Décidément, les constructeurs haut de gamme allemands ont la fibre écolo. Comme Porsche et Audi, Mercedes présente également son concept vert simplement nommé « Concept IAA » pour « Intelligent Aerodynamic Automobile »…
Une hybride rechargeable ultra-aérodynamique
Alors que les Porsche Mission E et Audi e-tron quattro annoncent très clairement un modèle en série, Mercedes a dévoilé à Francfort un concept-car nettement plus futuriste que l’on ne devrait pas voir arriver en concessions avant un bon nombre d’années. Le Concept IAA est une grande berline de 5,04 m très étirée en longueur. La face avant se veut à la fois simple et agressive avec une calandre occupant toute la partie frontale.
De profil, on remarque une ceinture de caisse haute laissant que très peu de hauteur au vitrage latéral. Heureusement, le très grand toit vitré compense. La partie arrière est impressionnante et peut s’allonger de plusieurs dizaine de centimètres (longueur totale : 5,43 m) afin d’améliorer la traînée aérodynamique de la voiture pouvant descendre son Cx de 0,25 à 0,19. Les roues et un certain nombre d’éléments se déplacent à partir de 80 km/h afin de diminuer le frottement de l’air (à découvrir en vidéo en fin d’article).
De cette façon, la motorisation hybride rechargeable de 279 ch est la moins sollicitée possible. Avec le mode le plus économe, le Concept IAA ne rejette que 28 g/km de CO2 et peut tenir 66 km en tout électrique. Les personnes à bord pouvant être au nombre de quatre au maximum pourront ainsi profiter de tout le confort de cette limousine ayant des airs de Classe S du futur… L’habitacle revêtu de blanc et les aérateurs de couleur bleue et rose offrent une ambiance atypique.
Il est certain que nous sommes encore loin de la commercialisation d’un modèle possédant un aérodynamisme aussi poussé, mais peut-être que d’ici une dizaine d’années ce sera probablement en train d’être introduit sur le haut de gamme. Aujourd’hui, quelques supercars (McLaren P1, Ferrari LaFerrari, …) modifient déjà leur empreinte aéro selon les conditions…
Plus que quelques jours avant l’ouverture du Salon de Francfort 2015. Les nouveautés défilent, la tension monte ! Abcmoteur a décidé de faire le point sur le programme de ce grand show, en listant les nouveautés déjà annoncées, celles attendues et les surprises potentielles. Après les Français, place aux rois du Salon : les constructeurs haut de gamme allemands.
Mercedes : feu d’artifice
La firme à l’étoile est déjà désignée reine du Salon. Son menu est pantagruélique. Il est normal d’en mettre plein la vue quand on joue à domicile. Mais là, il y a de quoi devenir aveugle. La tête d’affiche, car c’est le modèle qui sera le plus vendu, est le nouveau GLC. Ce SUV compact, basé comme son nom l’indique sur la Classe C, remplace le GLK.
Autre star chez Mercedes : la nouvelle Classe C Coupé. Le programme est d’ailleurs chargé rien que pour elle, car en plus de la version « classique », il y aura à Francfort la 63 AMG, l’Edition 1 imaginée pour le lancement ainsi que la variante DTM !
Et ce n’est pas tout ! Mercedes exposera aussi à Francfort en première mondiale la déclinaison cabriolet de la Classe S. C’est le retour de cette carrosserie dans la gamme de la limousine étoilée après 44 ans d’absence. Il ne faut pas oublier aussi, dans un tout autre registre, la Classe A restylée.
La liste est longue… et on imagine bien Mercedes lever le voile sur une ultime surprise le jour J !
Audi : l’A4 génération B9 en vedette
Une grosse vedette dans le bâtiment Audi, spécialement construit au cœur du Salon : la neuvième génération de l’A4, disponible en berline et en break. Dévoilée fin juin, elle a déjà un air familier… ou alors c’est parce que le design change par toutes petites touches !
Autre gros morceau, pas encore dévoilé lui : le concept e-tron quattro. Annoncé par des teasers, ce prototype donnera un avant-goût d’un SUV-coupé motorisé par l’électricité. Et la firme aux anneaux a déjà confirmé une mise en production pour 2018. Détail intéressant : ce concept promet des évolutions esthétiques chez Audi, à l’image des études de style Prologue.
Le reste du menu Audi est constitué d’évolutions ou d’élargissements de gamme. L’A8 sera ainsi présentée avec deux nouvelles variantes : une S8 Plus de 605 ch et une A8 L blindée pour les grands de ce monde. Du côté des SUV, le SQ5 adoptera aussi le badge Plus avec un diesel gonflé à 340 ch.
Des surprises à attendre ? Mystère à ce niveau. On voit bien la firme venir avec la nouvelle S4 !
BMW : deux gros lancements
Gros Salon aussi pour BMW, même si ses deux premières mondiales sont déjà connues depuis trois mois. Il s’agit des toutes nouvelles Série 7 et X1. Sans surprise, pas de révolution pour la première, mais un contenu technologique toujours plus riche.
Pour le second en revanche, tout change. Le X1 abandonne la silhouette de break surélevé pour une allure bien plus SUV. Il soigne davantage sa finition, sa modularité et son habitabilité. Enfin, il passe à la traction en empruntant sa plate-forme à la nouvelle Mini !
BMW profitera aussi du Salon pour exposer la Série 3 restyléeet sa version hybride 330e. Autre hybride rechargeable au menu : le Série 2 Active Tourer, en 225xe. Dans un tout autre registre, il y aura en première mondiale la nouvelle voiture de compétition de la marque, la M6 GT3. En revanche, pas sûr que la M4 GTS Concept soit de la partie.
Evénement chez Porsche. La 911 type 991 passe par la case restylage. Les changements sont subtils, mais apportent un joli coup de frais à la plus célèbre des sportives européennes. Le plus important est sous le capot arrière : les nouvelles Carrera et Carrera S adoptent un flat six bi-turbo !
Il se murmure aussi que Porsche prépare pour le Salon un concept-car annonçant la petite berline électrique que la firme va bientôt commercialiser pour rivaliser avec les modèles Tesla. Mais le doute subsiste, d’autant que ce proto pourrait faire de l’ombre à la reine 911.
Moins d’un mois après la présentation de la version la plus radicale de la Classe C Coupé, à savoir l’AMG C 63 Coupé, Mercedes lui offre déjà une série limitée en l’honneur de la voiture de DTM également dévoilée par la même occasion.
L’Edition 1 disponible en 63 et 63 S
Chaque année, Mercedes, BMW et Audi se disputent la première place du championnat allemand des voitures de tourisme qu’est le DTM (voir notre reportage à Hockenheim). Après BMW, c’est au tour de la marque à l’Etoile de remplacer sa voiture qui reprend la carrosserie de l’AMG C 63 Coupé de série. Cette propulsion de 5,01 m de long et 1 120 kg développe 360 KW (soit environ 482 ch à 7 500 tr/min) et 500 Nm de couple de son V8 4,0 l.
La 63 S Edition 1 utilise la même livrée se caractérisant par une robe grise et des bandes jaunes. Elle se dote de jantes de 19 pouces à l’avant et de 20 pouces à l’arrière accueillant des freins céramiques offrant une endurance accrue, notamment sur circuit. La 63 Edition 1 est un peu plus discrète avec des bandes non plus jaunes, mais grises. La monte pneumatique sportive et les freins céramiques sont pour le coup en option.
Dans les deux cas, le pack aérodynamique AMG est présent. Il comprend une lame avant, des jupes latérales spécifiques, de nouvelles écopes, … de couleur noire. Le moteur V8 4,0 l bi-turbo reste décliné en deux niveaux de puissance (476 et 510 ch) correspondant aux 63 et 63 S « classiques ». L’intérieur reçoit des sièges baquets en cuir Nappa et un volant Performance à méplat, ainsi que quelques touches de jaune.
Une chose est sure, cette fois-ci on ne pourra pas reprocher à l’Allemande d’être trop austère !
La conférence de presse de Mercedes au Salon de Francfort risque de s’éterniser : le programme de la firme allemande ne cesse de s’allonger. Après la Classe A restylée, le GLC, la Classe C Coupé et sa variante AMG, voici la déclinaison « ouverte » de la Classe S ! C’est la sixième carrosserie de la limousine étoilée.
Gros gabarit
Voilà 44 ans que la Classe S n’avait pas été proposée en Cabriolet. Avec ce retour sur le segment des grandes découvrables quatre places, Mercedes s’attaque à la Bentley Continental GTC. L’Allemande est d’ailleurs plus grande avec 5,03 mètres contre 4,82 mètres.
Comme toujours, la variante « découpée » ne réserve aucune surprise d’un point de vue esthétique, puisque la carrosserie est identique au coupé. L’auto en impose avec sa large calandre verticale positionnée en amont d’un long capot. Le profil est fluide et le regard se dirige naturellement vers la poupe, qui reçoit des feux horizontaux reliés entre eux par une baguette chromée. Les arceaux de sécurité sont parfaitement intégrés à l’arrière pour ne pas gâcher la ligne.
Rouler décapoté même en hiver
La capote en toile se replie en 20 secondes. La manœuvre peut s’effectuer en roulant jusqu’à 60 km/h. La toile est proposée en noir, bleu foncé, beige et rouge. Et la volonté de Mercedes est qu’elle soit le plus souvent cachée ! Pour profiter des rayons du soleil lors des journées un peu fraîches, on retrouve le système Airscarf, qui diffuse de l’air chaud dans la nuque. Les sièges, les accoudoirs et le volant sont aussi chauffants (du moins en option).
Plus que les températures basses, le vent est ce qu’il y a de plus gênant dans un cabriolet. Pour cela, Mercedes a monté deux dispositifs anti-remous, un au-dessus du pare-brise et l’autre derrière les occupants arrière. De plus, les ingénieurs de la firme à l’étoile ont mis au point une climatisation intelligente, qui s’adapte seule aux positions de la capote. Aucun bouton à toucher.
Déjà une AMG
La Classe S Cabriolet débute sa carrière avec une version S 500 dotée d’un bloc V8 de 455 ch. Il est associé à une boîte auto 9 rapports. La suspension pneumatique est de série, la volonté étant clairement d’en faire un cabriolet ultra-confortable, taillé pour les balades.
Mais pour ceux qui en veulent plus, Mercedes propose déjà une version AMG, la 63, avec V8 5.5 biturbo de 585 ch. La vitesse maxi est limitée à 250 km/h et le 0 à 100 km/h est réalisé en 3,9 secondes. La boîte a ici 7 rapports et la puissance est envoyée aux quatre roues. Le design est revu en conséquence, avec les éléments typiques AMG comme la calandre à double barrette au centre ou les quatre sorties d’échappement.
Au début des années 2000, de nombreux breaks (Volvo V70, Peugeot 406, …) avaient un style peu avenant à cause de l’intégration du grand coffre donnant l’impression qu’un sac à dos aurait été attaché au reste de la voiture. Depuis, ce type de carrosserie s’est nettement embelli pour devenir presque plus séduisant qu’une berline classique. Mercedes qui offrait déjà une berline racée avec la CLA, vient d’ajouter une déclinaison à hayon !
Et là encore, la proposition de la marque Etoilée est racée et suscite la curiosité de part son positionnement unique sur le marché ! Abcmoteur a donc pris le volant de la Mercedes CLA 250 Shooting Break 4Matic Version Sport BVA7 (2,0 l essence 211 ch) afin d’en savoir plus…
Une proposition inédite
Le temps des Mercedes sobres est bien révolu ! Avec la CLA Shooting Brake, vous ferez tourner les têtes de bon nombre de passants que vous croiserez à son bord, même dans cette teinte discrète appelée argent polaire.
Il faut dire que sous n’importe quel angle, l’Allemande en jette ! La face avant est particulièrement agressive en exhibant une calandre à diamant recevant l’Etoile généreusement dimensionnée (pouvant en option s’allumer au déverrouillage des portes). Le bouclier très aéré n’est pas en reste, d’autant plus qu’une lame de spoiler et un liseré rouge sont de la partie. Petit clin d’œil de la part des optiques recevant à l’intérieur un cerclage de la même couleur…
A l’arrière, la lunette très inclinée du hayon et les deux sorties d’échappement donnent le ton. En revanche, les feux à la forme un peu trop caricaturale ne me convainquent qu’à moitié… tout comme les extracteurs factices qui sont peut-être too much, hormis pour la version AMG récemment passée à 381 ch.
Ma partie préférée est sans hésiter le profil ! Le dessin du vitrage qui était déjà une réussite sur la berline, devient encore plus séduisant sur le break, car il s’arrête encore plus loin en allant jusqu’au coffre. Les lignes effilées et cette impression que le toit descend énormément au niveau de l’aile arrière font de la CLA Shooting Break un coup de cœur en plus d’être unique !
Le train de roulement sport surbaissé AMG permet de bien poser la CLA Shooting Brake sur ses quatre roues recevant des jantes de 18 pouces
L’opération de séduction se poursuit à l’intérieur
Tout comme à l’extérieur, Mercedes a choisi de flatter la rétine de son propriétaire avec un intérieur stylisé possédant de nombreuses touches de sportivité.
Le bandeau décoratif en carbone AMG s’étirant au milieu de la planche de bord dont la partie supérieure est recouverte de similicuir Artico pourrait vous faire croire un instant que vous vous êtes assis dans une AMG 45 ! La CLA continue d’impressionner avec un dessin très travaillé pour les aérateurs, un joli volant à trois branches avec méplat, ainsi que de nombreuses surpiqûres rouges. Le grand écran de 8 pouces (non tactile) est de série.
Petit bémol pour la présentation datée de la console centrale avec ses nombreux petits boutons. Les plastiques de cette dernière et du tunnel de transmission ne sont pas très valorisants
En m’installant dans le siège enveloppant en cuir, j’aurais apprécié un peu plus de maintien au niveau des cuisses. Pour le reste, la position de conduite est bonne (même si en faisant le difficile je trouve la hauteur d’assise minimum un peu trop haute) et se règle grâce aux boutons situés sur la porte, ce qui est bien plus pratique. Autre avantage de conduire une Mercedes, le levier de la boîte est remplacé par un commodo situé à droite du volant. Le frein à main électrique est caché au niveau du genou gauche. Ces deux spécificités permettent de dégager de l’espace supplémentaire sous la console centrale pour un nouveau rangement.
Le coffre permet d’emmagasiner de 495 à 1 354 l
Derrière le volant, est-elle aussi dynamique que ses lignes le suggèrent ?
La prise en main de la CLA 250 Shooting Brake dans la circulation urbaine se fait sans difficulté, le gabarit et la visibilité arrière ne posent pas de problème. En revanche, le train de roulement sport surbaissé AMG se fait sentir à chaque imperfection de la route. La boîte paramétrée en mode « E » (qui est le fonctionnement normal en tout automatique) se montre quelques fois brutale, alors que le reste du temps elle se fait oublier.
Une fois sur les grands axes, les bénéfices de la direction paramétrique sport AMG se ressentent. Le volant souple à basse vitesse se durcit juste ce qu’il faut quand l’allure est plus élevée. Lorsque j’ai à tourner, j’apprécie la précision et l’incisivité de la direction. De plus, la suspension cesse d’être ferme pour devenir très correcte en terme de confort. Et autre bonne nouvelle, la boîte à double embrayage est rentrée dans le rang en soignant ses passages de rapport, voilà qui est agréable !
Il est dommage que la gestion de la boîte soit trop restrictive
Si au démarrage, le quatre-cylindres 2,0 l turbo de 211 ch s’est animé dans un bruit quelconque, dès lors que l’on enfonce plus copieusement le pied sur l’accélérateur l’échappement se réveille et émet une sorte de détonation au passage d’un rapport supérieur (à écouter dans l’essai vidéo en fin d’article). En rétrogradant, on peut entendre un petit crépitement sympathique… En augmentant le rythme, la CLA Shooting Brake et ses 1 555 kg surprend par son agilité. Que ce soit en courbe ou sur du sinueux, le break Etoilé se débrouille parfaitement bien et se permet de virer à plat. Même si la boîte 7G-DCT n’est pas un modèle de rapidité et de sportivité (pourtant spécifique à la Version Sport !), on se surprend à enrouler à haute vitesse en restant aux alentours des 4 000 tr/min. En demeurant dans les limites du raisonnable, il serait bien difficile de mettre en défaut la transmission intégrale baptisée 4Matic.
Ce bloc essence de 211 ch et 350 Nm de couple n’est pas du genre expressif. Il se contente en moyenne rarement de moins de 8 l/100 km
Le freinage est puissant et mordant à souhait
Un coup de cœur avant tout
Comme vous avez pu vous en rendre compte en lisant la partie conduite, cette CLA 250 Shooting Brake Version Sport possède un certain dynamisme en profitant d’un châssis rigoureux et efficace, même si l’on ne peut pas aller jusqu’à la qualifier de sportive, notamment à cause de sa BVA7 et de son moteur au tempérament trop neutre.
Vendue à partir de 38 100 € en 211 ch, l’addition monte rapidement en optant pour le 4Matic et la 7G-DCT (+ 4 450 €), mais c’est surtout la Version Sport qui se paie très chère avec un rajout de 11 900 € nécessaire, soit au total 54 450 € ! Un somme rondelette compensée en partie par les nombreux équipements de série (écran 8 pouces, sièges sport électriques à mémoire et chauffants, garnitures en cuir et similicuir, nombreux éléments esthétiques, radars de stationnement AV/AR, détection de la somnolence, avertissement de risque de collision, …). Le modèle d’essai avec options (détail en fin d’article) est à 60 975 €.
La concurrence étant inexistante sur ce créneau, la Mercedes CLA 250 Shooting Brake 4 Matic Version Sport mise sur ses charmes pour vous faire oublier son tarif élevé et passer commande !
Nota : depuis l’essai, la CLA a été mise à jour. Elle reçoit la suspension adaptative laissant espérer un confort accru, des modes de conduite et 7 ch de plus pour la 250 (218 ch au total).
Ce qu’il faut en retenir
Les plus
Les moins
– la présentation extérieure et intérieure
– le châssis
– la direction
– la sonorité à l’échappement
– la boîte restrictive et manquant parfois de douceur
– la suspension à basse vitesse
– le tempérament moteur
– le prix élevé
Modèle essayé
Prix (hors options)
Mercedes CLA 250 Shooting Brake 4Matic Version Sport BVA7
BMW Série 3 Touring 320i xDrive 184 ch BVA8 – 39 000 € (prix avant restylage)
L’essai vidéo
Approchez la Mercedes CLA Shooting Brake de plus près avec notre essai commenté. L’esthétique, l’habitacle et bien entendu la conduite sont passés en revue !
Fiche technique Mercedes CLA 250 Shooting Brake 4Matic Version Sport BVA7
Informations générales
Commercialisation
mars 2015
Pays
Allemagne
Carburant/énergie
essence
Prix du neuf
54 450 €
Mécanique
Cylindrée
quatre-cylindres 2,0 l turbo
Puissance
211 ch à 5 500 tours/min
Couple
350 Nm à 1 200 tours/min, jusqu’à 4 000 tours/min
Transmission
intégrale (4×4)
Performances
Vitesse max
240 km/h
0 à 100 km/h
6,8 s
Consommation
cycle mixte : 6,8 l aux 100 km
Rejets de CO2
158 g/km
Poids et mesures
Poids à vide
1 555 kg
Dimensions
L : 4,63 m / l : 1,77 m / h : 1,43 m
Réservoir
56 litres
Volume de coffre
495 à 1 354 litres
Pneumatique AV/AR
235/40 ZR 18 95 Y – 235/40 ZR 18 95 Y
Equipements Mercedes CLA 250 Shooting Brake 4Matic Version Sport BVA7
> En série :
Grand écran central 20,3 cm (8″)
Pack Exclusif AMG
Pack Version Sport
Boîte automatique à double embrayage 7 rapports 7G-DCT avec palettes de commandes au volant
Adaptative brake avec fonction hold (aide au démarrage en côte)
APA (Aide au Parking Active) : système d’aide au stationnement avec radars de proximité avant/arrière
Attention assist : système de détection de somnolence
Collision prevention assist plus : système d’avertissement des risques de collision
réglage de l’ESP spécifique sport
> En option :
Argent polaire métallisé : 850 €
Pack d’Assistance à la conduite : 950 €
avertisseur de franchissement de ligne
détecteur d’angle mort
Pack technologique : 2 800 €
Command Online : système multimédia avec écran haute résolution couleur 20,3 cm
Eclairage d’ambiance avec 12 couleurs différentes et 5 niveaux d’intensité
Keyless-Go avec démarrage sans clé, ouverture/fermeture des portes sans clé, accès au véhicule mains-libres
Système de sonorisation Surround Harman Kardon Logic7 (12 haut-parleurs hautes performances ; amplificateur DSP multicanaux ; 500W) : 825 €
Inserts décoratifs intérieurs en carbone AMG : 1 100 €
« Something fast is coming – quelque chose de rapide arrive ».Mercedes avait annoncé la couleur le mois dernier… et nous ne sommes pas déçus du résultat. La marque allemande vient de lever le voile sur sa nouvelle bête de route née sur circuit : la C 63 Coupé. Cette présentation suit de près la révélation de la Classe C Coupé classique, officialisée vendredi dernier (lire : Mercedes Classe C Coupé : chérie, j’ai rétréci la S Coupé).
Jusqu’à 290 km/h
Elle a des faux airs de GT… et en a le moteur, à savoir un V8 4.0 litres biturbo. Il est décliné en deux niveaux de puissance : 476 et 510 ch, pour la version S. La BMW M4 (lire notre essai) est distancée avec son six cylindres de 431 ch, mais prépare la riposte avec la GTS, tout juste annoncée par un concept, mais à la puissance encore inconnue (lire : Une BMW M4 GTS Concept bien hydratée).
Les deux versions de la C 63 ont un couple maxi de 650 et 700 Nm. Dans les deux cas, la vitesse est bloquée à 250 km/h… sauf si vous optez pour le pack AMG Driver, qui relève la limite à 290 km/h ! Le 0 à 100 km/h est réalisé en 3,9 secondes avec la version S, 4,0 secondes pour la « normale ». La cavalerie est envoyée aux roues arrière via une boîte 7 rapports, avec palettes au volant.
« ESP off »
La transmission offre plusieurs modes de fonctionnement… comme les suspensions, la direction ou encore l’ESP. En 2015, les sportives sont malléables. Le correcteur de trajectoire peut être totalement déconnecté. Les deux modèles sont dotés d’un différentiel autobloquant sur l’essieu arrière : il est mécanique sur la 476 ch et électronique pour la 510 ch.
Côté look, le kit carrosserie est quasi identique à celui de la berline. La face avant adopte ainsi un capot spécifique avec deux bossages supplémentaires, une calandre à double barrette centrale et surtout une large prise d’air traversée par une lame. A l’arrière, les quatre sorties d’échappement et le petit becquet ne laissent aucun doute sur les capacités de l’auto ! La S reçoit d’office des jantes de 19 pouces. A bord, la console centrale singe le carbone.
La nouvelle C 63 Coupé sera dévoilée à Francfort à la rentrée. Le tarif est encore inconnu. Il devrait tourner autour des 95.000 € !
Chez Mercedes, la Classe S Coupé me fait très envie. Mais voilà, son gabarit me pose souci. Avec 5,03 mètres de longueur, elle ne rentre pas dans le garage (c’est plus pudique que de mettre en avant le prix de base minimum délirant de 135.000 €). La firme à l’étoile a pensé à moi : elle propose une version réduite de l’auto, dérivée de la Classe C !
Bon, même si le tarif d’accès restera une somme fort coquette, il sera bien moins défrisant : 38.000 € environ. Pour manœuvrer aussi, les choses seront facilitées. La nouvelle Classe C Coupé mesure 4,69 mètres de longueur (c’est quasiment 10 cm de plus que l’ancienne).
En vente en décembre
L’auto pointe le bout de son capot un an et demi après l’apparition de la berline. Elle pousse ainsi vers la sortie un modèle qui peinait à cacher ses rides, bien que lancé il y a seulement quatre ans… mais à partir de la C de 2007. La première sortie officielle aura lieu au Salon de Francfort, aux côtés des Classe A restylée et GLC. L’arrivée en concessions se fera peu avant Noël.
Il y a quand même des différences avec la S. Regardez par exemple la pointe relevée du vitrage latéral.
La C Coupé a donc des airs de S Coupé. Rien d’étonnant, la berline étant également inspirée de la limousine. Certains trouveront quand même que la « petite » est moins élégante. Difficile de juger sans voir l’auto en réel, mais il est vrai que quelques aspects me font moi-même tiquer, notamment le dessin du vitrage latéral. La pointe est ici relevée.
Planche de bord connue
Par rapport à la S, les feux sont aussi plus épais. En revanche, l’absence de baguette chromée les reliant est un plus pour la légèreté visuelle. La partie avant est quasiment identique à la berline. Mais le coupé n’est proposé qu’avec la calandre qui intègre le gros logo et la déco effet diamant.
Même refrain à l’intérieur, où l’on retrouve une planche de bord désormais bien connue (puisqu’elle officie aussi dans le GLC). Comme pour le SUV, ce n’est pas un problème car on aime la présentation soignée de ce tableau… à l’intégration de l’écran près. Le conducteur et le passager sont installés dans des sièges sport intégraux spécifiques. Petit plus bien appréciable : un approche ceinture évite les contorsions vers l’arrière. Mercedes annonce que toutes les côtes d’habitabilité sont en progrès.
Déjà six moteurs
La base est logiquement reprise à la berline. Mais le coupé est abaissé de 15 mm. Mercedes offre le choix en version classique entre deux types de suspensions : l’un typé confort, l’autre plus sportif avec une direction plus directe. En option, la marque propose une suspension pneumatique et un amortissement à pilotage électronique. Le Dynamic Select permet de faire varier des caractéristiques de l’auto selon ses envies et sa façon de conduire.
La C Coupé fait ses débuts avec des blocs quatre cylindres. En essence, il y a la C180 avec 1.6 156 ch ainsi que les C200, 250 et 300 dotées d’un 2.0 de respectivement 184, 211 et 245 ch. Pour le gazole, on trouve les C220d et C250d de 170 et 204 ch. Selon la firme à l’étoile, les consommations baissent jusqu’à 20 % par rapport au modèle remplacé.
Et l’AMG tant annoncée via une foule de teasers ? Patience, la fin du compte-à-rebours pour ce modèle est fixée à mercredi !
A Francfort, les constructeurs germaniques jouent à domicile : ils sont donc obligés de mettre le paquet côté nouveautés. Dans le gigantesque hall Mercedes, on ne saura ainsi plus où donner de la tête, avec la présentation déjà programmée de la Classe A restylée (lire : Mercedes présente une Classe A restylée plus sportive), du nouveau SUV de milieu de gamme GLC (lire : Mercedes GLC : on efface tout et on recommence) et de la Classe C Coupé. Les deux premières citées ont déjà été dévoilées officiellement. La troisième le sera le 19 août. Pour nous faire patienter, Mercedes a mis en ligne plusieurs images d’un modèle camouflé.
L’AMG pour commencer !
Mais attention : Mercedes a souhaité donner un petit coup de projecteur sur une variante très spéciale de la C Coupé. Il s’agit de l’AMG 63 ! D’ailleurs, on ne sait pas encore si ce sera la seule version révélée le 19 août ou si la firme allemande détaillera également les déclinaisons plus abordables.
Comme Mercedes le dit, « quelque chose de rapide arrive » !
La 63 reprendra logiquement la même motorisation que la berline, à savoir un V8 4.0 litres. Ce bloc existe en deux versions, normale 476 ch et S 510 ch (lire : Mercedes-AMG C 63 : la M3 peut trembler). Le Coupé, que Mercedes a clairement orienté plaisir et performances, ne pourrait garder que la plus musclée. De quoi prendre une sacrée avance sur la BMW M4 (lire notre essai) et son bloc de 431 ch (mais une GTS est attendue courant 2016).
Mini S Coupé
Niveau look, à travers le camouflage, on distingue les éléments typiques des « vraies » AMG, comme la lame qui traverse la prise d’air ou la calandre à double barrette centrale. De manière plus générale, la Classe C Coupé sera une petite Classe S Coupé, avec un profil et une poupe similaire : custode pointue, feux horizontaux reliés par une baguette chromée… En clair, la photocopieuse aura encore fonctionné dans les bureaux Mercedes. Mais là, on ne va pas s’en plaindre puisque cela rendra plus « accessible » une auto très désirable (s’ils pouvaient faire de même avec la GT).
Si vous souhaitez acheter une Classe A, le moment est venu de faire un choix : soit vous optez pour la version pré-restylage, avec sûrement la possibilité de faire quelques affaires sur stock (à l’échelle de Mercedes), soit vous attendez la rentrée et l’arrivée en concessions de la nouvelle version. Si vous voulez être parmi les premiers livrés, il est d’ores et déjà possible de passer commande.
De 90 à 381 ch !
La gamme comporte sept moteurs essence. Il y a un nouveau bloc d’entrée de gamme de 102 ch (version A 160). Les A 180 et 200 ne bougent pas, avec 122 et 156 ch, tout comme la A 220 4MATIC de 184 ch. La A 250 reste en configuration normale à 211 ch mais la version Sport profite de 7 ch de plus. Enfin, la super sportive A45 AMG grimpe de 360 à 381 ch.
Le restylage est (sans surprise) léger.
Il y a moins de mouvements du côté du gazole. La seule grosse transformation est l’adoption de l’appellation « d » à la place de CDI. Les 160, 180 et 200 restent à respectivement 90, 109 et 136 ch. La version 220 gagne 7 ch à 177 ch.
Six finitions
Le niveau de base Intuition évite les pingreries et reçoit l’allumage automatique des projecteurs et des essuie-glaces, la détection de somnolence, l’alerte anti-collision, les rétroviseurs extérieurs électriques et chauffants, la banquette rabattable, la climatisation, la connexion Bluetooth, quatre vitres électriques, la radio avec écran 7 pouces ou encore les jantes 16 pouces.
L’Inspiration gagne la caméra de recul et le régulateur/limiteur de vitesse, la Sensation l’éclairage à LED. La Fascination se distingue avec son kit carrosserie AMG, l’aide au parking avant/arrière, le Dynamic Select (sélecteur de mode de conduite), la navigation et le toit ouvrant. La Sport soigne son look, avec par exemple des baguettes rouges dans les boucliers. Tout en haut de la gamme, la vraie AMG reprend la dotation de la Fascination (avec le toit ouvrant en moins).
Les tarifs augmentent
Avec son nouveau moteur d’accès, la Classe A affiche un prix de base en baisse : 23.950 € au lieu de 25.150 €. Mais Mercedes n’hésite pas à faire gonfler la facture ailleurs, puisque la 180 essence qui était la version de base démarre maintenant à 25.800 € ! La démarche est un peu la même pour le gazole : le prix de base de la 160 d passe de 25.300 à 25.800 €, celui de la 180 d de 27.150 à 27.550 €…
Mercedes est le constructeur qui a la gamme la plus prolifique du marché. Conséquence : la marque a toujours une nouveauté à dévoiler ! Quelques jours à peine après le GLC (lire : Mercedes GLC : on efface tout et on recommence), qui remplace le GLK, la firme à l’étoile lève le voile sur la version restylée de la Classe A. Un samedi ? Oui, Mercedes ayant profité du festival de vitesse de Goodwood pour une avant-première.
Diamants pour tous
D’un point de vue esthétique, les retouches sont légères. Vous vous attendiez à autre chose ? Sur les versions « classiques », on note la présence d’un bouclier avant remodelé, qui n’est pas sans rappeler le concept-car annonciateur de 2011. Toutes les A ont désormais une jolie calandre à effet diamants. Mercedes propose de série ou en option selon les versions des optiques full LED.
Les versions les plus musclées gagnent quelques chevaux et un bouclier plus agressif.
A l’arrière, les plus observateurs noteront la nouvelle signature lumineuse et le pare-chocs redessiné avec sorties d’échappement visibles. Les variantes les plus onéreuses sont toujours dotées d’un kit carrosserie AMG. Celui-ci a été revu, avec de nouvelles entrées d’air. Les versions Sport conservent la baguette de décoration rouge.
Les CDI deviennent « d »
Pas de révolution à l’intérieur non plus. Il y a un nouveau volant, une instrumentation au graphisme revu et un écran plus grand (8 pouces). Mercedes annonce la présence de nouveaux coloris et matériaux, de selleries inédites et d’un dispositif d’éclairage d’ambiance à LED proposant douze teintes.
La gamme de motorisations est toujours aussi étoffée. Commençons par les blocs qui ne changent pas. Du côté de l’essence, il s’agit des versions A180 122 ch, A200 156 ch et A250 211 ch. Pour le diesel, on retrouve les variantes de 90, 109 et 136 ch. A noter que leur appellation n’est plus CDI mais simplement d.
Elle s’adapte à vos envies
Alors quelles sont les nouveautés mécaniques ? Pour faire baisser son tarif d’accès, la A adopte une nouvelle version de base 160 essence avec un bloc de 102 ch. La variante A250 Sport gagne une poignée de chevaux, passant de 211 à 218 ch. La version 220 d grimpe elle de 170 à 177 ch.
Les modèles les plus puissants et ceux dotés de la boîte automatique 7G-DCT sont équipés du Dynamic Select, un sélecteur de mode de conduite qui agît sur plusieurs paramètres : boîte de vitesses, direction… Côté sécurité, le freinage automatique d’urgence en ville est monté d’office dès le niveau d’accès. Le système de détection de somnolence a été amélioré.
381 ch pour la 45 AMG !
Clou du spectacle, la déclinaison A 45 AMG n’a pas été oubliée. Au contraire : Mercedes l’a revu pour que l’auto retrouve son titre de compacte la plus puissante du monde. L’ancienne mouture de 360 ch avait été doublée par la nouvelle Audi RS3 (367 ch). L’étoile remet les pendules à l’heure avec maintenant 381 ch ! Ce surplus de puissance fait gagner 4 dixièmes sur l’exercice du 0 à 100 km/h. Il ne faut plus que 4,2 secondes pour atteindre la barre des 100 !
En option, la 45 AMG peut recevoir un nouveau pack Dynamic Plus qui comprend notamment un différentiel autobloquant mécanique sur l’essieu avant, afin d’améliorer la motricité, ainsi qu’un amortissement adaptatif. L’étagement de la boîte auto a été revu pour des passages de vitesses encore plus rapides.
La nouvelle A sera disponible à la commande à partir du 3 juillet. Les livraisons débuteront en septembre.
On l’a vu il y a quelques jours avec la nouvelle Série 7 (lire : BMW Série 7 : allô, le banquier ?) : les Allemands ont la bonne habitude de mettre en vente leurs nouveautés très peu de temps après leur présentation. Exemple du jour : le Mercedes GLC. Celui qui remplacera à la rentrée le GLK peut déjà être commandé (lire : Mercedes GLC : on efface tout et on recommence).
Trois moteurs au début
Le GLC débute sa carrière avec un choix restreint de motorisations. Il fait l’impasse pour commencer sur les blocs d’entrée de gamme. Le moins puissant des GLC annonce ainsi 170 ch. Il s’agit de la version 220 d, dotée d’un quatre cylindres diesel. Le 250 d reprend ce bloc, poussé à 204 ch. Les amateurs d’essence devront se tourner vers le 250 avec quatre cylindres 211 ch.
Le nouveau SUV de Mercedes débute sa carrière française avec un prix de base de 44.000 €.
A noter que la boîte de vitesses automatique et la transmission intégrale 4 MATIC sont de série. La déclinaison hybride 350 e arrivera plus tard. Le GLC devrait aussi rapidement monter en gamme, avec des déclinaisons sportives AMG (que l’on espère découvrir au Salon de Francfort).
Quatre finitions
La gamme est composée de quatre finitions. Le niveau de base, sans nom, embarque, parmi d’autres équipements, le système de détection de somnolence, l’alerte de risque de collision, le système d’amortissement sélectif, la climatisation automatique bizone, le sélecteur de mode de conduite ou encore le pavé tactile pour naviguer dans les menus du système multimédia.
La version Executive gagne le hayon électrique, la navigation, l’aide au parking avant/arrière ou encore les rétroviseurs extérieurs rabattables électriquement. La Sportine se distingue avec le pack esthétique AMG et l’éclairage intelligent à LED. Le haut de gamme Fascination embarque l’affichage tête-haute, le détecteur d’angle mort, la sellerie cuir, le toit ouvrant panoramique, la suspension pneumatique, l’amortissement adaptatif…
Pour une fois, avec cette auto, il est possible de dire « tout change, même le nom » ! Suite à la mise en place d’une nouvelle nomenclature, le patronyme GLK passe à la trappe pour un inédit GLC. Il y a une logique dans cette modification : il faut en effet considérer ce modèle comme la déclinaison SUV de la Classe C, au même titre que le GLA est la Classe A 4×4.
Place aux rondeurs
C’est aussi l’occasion d’abandonner un nom qui n’a pas particulièrement brillé face aux BMW X3 (lire notre essai) et Audi Q5. Avec son look trop carré, le GLK n’a pas vraiment séduit. Son remplaçant est très différent, avec un design tout en courbes, bien dans la veine des dernières productions de la marque à l’étoile. D’ailleurs, la filiation avec la Classe C est indéniable, encore plus avec sa variante break. La photocopieuse n’est pas en panne chez Mercedes !
Avec en série la transmission intégrale, la suspension pneumatique et l’amortissement piloté, le GLC frappe fort.
La face avant adopte une large calandre verticale, avec un gros logo, et des optiques en amande. L’élément couleur alu autour de la prise d’air centrale assure le lien esthétique avec le GLA. De profil, retenons la présence d’une troisième vitre latérale en pointe… aux faux airs d’Audi Q5 ! A l’arrière, les feux horizontaux débordent sur le hayon. Petit détail esthétique curieux : la lunette ne suis pas la découpe du coffre : la carrosserie en fait le tour. Tradition Mercedes oblige, un kit esthétique AMG est d’ores et déjà présenté.
Plus habitable
Preuve que le GLC est une Classe C SUV, la planche de bord est commune aux deux véhicules ! Mercedes fait ainsi une belle économie… et au final ce n’est pas un souci, car le design de ce tableau est très réussi (même si l’intégration de l’écran central est étonnamment toujours aussi discutable). En mettant la main au porte-feuille, le système multimédia peut se piloter par un pavé tactile situé entre le conducteur et le passager. Mercedes propose de nombreux habillages : le GLC séduira aussi bien la clientèle traditionnelle avec sa console imitant le bois que les jeunes pères de famille dynamiques avec des placages argentés.
Avec 4,66 mètres, le GLC est 12 cm plus long que le GLK. L’empattement en profite pour gagner 11 cm, ce qui améliore l’habitabilité. Le coffre n’est pas en reste : en configuration normale, le volume est de 550 litres, soit 80 litres de mieux. En redressant les dossiers de la banquette (qui se replie selon le format 40/20/40), la capacité grimpe même à 580 litres.
L’hybride du départ
Même refrain sous la carrosserie : plate-forme et moteurs sont empruntés à la C ! Le GLC débute sa carrière avec quatre versions plutôt puissantes. Il y a deux diesel, les 220d et 250d avec quatre cylindres de 170 et 204 ch. Pour l’essence, on retrouve le bloc quatre cylindres 2.0 turbo de 211 ch (GLC 250). L’offre est complétée par la version hybride rechargeable 350e, qui associe le bloc essence 211 ch à un moteur électrique de 116 ch.
Toutes ces variantes sont dotées d’office de la transmission intégrale 4MATIC. La boîte de vitesses automatiques 9 rapports est de série (7 rapports pour l’hybride). Visiblement très haut de gamme dans la catégorie, le GLC reçoit de série une suspension pneumatique et un amortissement piloté. Gadget devenu incontournable : un sélecteur de modes de conduite (5 types) fait varier les réglages de nombreux paramètres. Plus grand que le GLK, le GLC est plus léger en moyenne de 80 km. Sur les versions thermiques, les consommations baissent jusqu’à 19 % !
Attendue pour être révélée au cours de cet été, la Mercedes Classe A restylée a été photographiée en avance sans aucun camouflage !
Pas de chamboulement pour la « petite » Mercedes
Après avoir été aperçue en début d’année, puis un peu plus tard avec une partie de son intérieur, la compacte Etoilée serait maintenant connue grâce à un site internet allemand. Celui-ci nous présente une photo volée de l’Allemande vue de 3/4 avant avec ce qui semble être un pack sport.
Connaissant une belle carrière commerciale, la Mercedes Classe A ne changera pas énormément pour son restylage d’après nos informations
Du moins, on note des changements pour le bouclier avant, de nouvelles grilles, ainsi que des optiques légèrement revisitées. La teinte verte de la carrosserie est également inédite !
Certains parlent d’une dizaine de chevaux supplémentaires pour la plus puissante des Classe A, à savoir l’A 45 AMG possédant à l’heure actuelle 360 ch grâce à son quatre-cylindres 2,0 l turbo essence.
Rendez-vous dans quelques mois pour connaître de façon officielle ce que nous réserve la Mercedes Classe A remise au goût du jour. Elle devrait apparaître en fin d’année au salon de Francfort.
Déjà aperçu à la fin de l’année dernière en version AMG, le Mercedes GLK qui changera de patronyme pour son restylage et devenir le Mercedes GLC a été de nouveau surpris en cours de développement. Cependant, le SUV a profité des beaux jours pour retirer quelques vêtements !
Révélation officielle le 17 juin prochain !
Alors qu’il y a quelques jours, nous vous présentions le concept GLC Coupé qui ressemble de près à la version de série qui viendra concurrencer le X4 de BMW, le GLC classique se montre encore partiellement grâce à nos chasseurs de scoops toujours prêts à appuyer sur le déclencheur de leur appareil photo. Désormais, une bonne partie de sa carrosserie n’est plus cachée derrière des bâches en plastique, ce qui nous permet de distinguer plus facilement les lignes du futur SUV Etoilé. Il reposera sur la plateforme modifiée de la Classe C.
Il ira se battre face aux BMX X3 (voir notre essai) et Audi Q5. Ce coup de pinceau pourrait enfin le faire sortir de l’ombre par rapport à ses rivaux germaniques.
Chez Mercedes, on a décidé que l’Audi TT ne pouvait plus continuer à régner parmi les petits coupés sportifs. Pour remédier à cela, la marque à l’Etoile prépare sa riposte. En voici les premières informations.
Le TT bientôt menacé ?
Les Allemands d’Auto Bild et les Anglais d’Autocar ont confirmé tour à tour que Mercedes travaille sur le développement d’un coupé compact. D’une longueur que l’on estime autour des 4,25 m, cette sportive serait basée sur la prochaine génération de la Classe A. Elle verrait donc le jour d’ici… 2019. Ce n’est pas encore pour tout de suite !
Néanmoins, on sait déjà que ce 2+2 places disposera en option de la transmission intégrale 4Matic pour les motorisations les plus puissantes. Autrement, le conducteur disposera d’une simple traction, plateforme de la Classe A oblige ! Une petite déception pour les amateurs de propulsion compacte (suivez notre regard…), mais que les fans d’AMG apprécieront puisque le préparateur officiel sera appelé en renfort afin d’offrir une version survitaminée de 400 ch grâce à un quatre-cylindres 2,0 l turbo essence.
Avec une boîte à double embrayage à 6 rapports, l’accélération au 0 à 100 km/h demanderait moins de 4,5 s !… La vitesse serait limitée électroniquement à 250 km/h. Quant au prix de vente, il est estimé entre 45 000 € et 60 000 €. L’Audi TTS (voir notre essai) a-t-il des raison de trembler ? Réponse d’ici 4 ans, le coupé aux Anneaux aura donc le temps de passer par la case restylage, mais aussi d’appeler le TT RS et son cinq-cylindres 2,5 l à la rescousse !
A noter qu’une déclinaison cabriolet pour le futur petit coupé Mercedes n’est pas écartée.
Le succès de Porsche avec la Panamera ne laisse pas les autres constructeurs indifférents. Mercedes qui a maintenant dans sa gamme les CLS et CLA en berline « coupé » 4 portes réfléchirait à un nouveau modèle plus sportif…
Une Mercedes CLS plus athlétique en préparation ?
Partant de ce constat, la rédaction de Top Gear Bulgarie a dessiné une « Mercedes Panamera » qui utilise la forme de la Mercedes-AMG GT tout en lui ajoutant deux portes arrière.
Le résultat est convaincant, même si il est vrai que la face arrière s’accommode moins bien de cette transformation que la partie avant. Toutefois, cette illustration a le mérite de présenter une berline coupé 4 portes au profil particulièrement racé.
Les rumeurs actuelles indiquent que Mercedes-AMG sortirait cette auto sous l’appellation « GT4 ». Propulsé par le V8 4,0 l biturbo essence d’environ 500 ch, elle serait à un prix situé entre 120 000 et 140 000 €.
Le rendez-vous pour son éventuelle commercialisation est donné pour 2019, Porsche peut encore écouler tranquillement sa Panamera pendant quelques années avant d’être inquiété.
Dévoilées en septembre dernier, les berline et break C 63 AMG vont bientôt cohabiter avec la version coupé qui a été surprise en cours de développement par nos chasseurs de scoops !
Arrivée sous le capot du V8 4,0 l biturbo
En croisant ce prototype et malgré son camouflage quasi-intégral, il est impossible de passer à côté du fait qu’il ne s’agit pas d’une classique Classe C Coupé… Les prises d’air élargies aux extrémités du bouclier avant, ainsi que la grosse barrette horizontale parcourant la calandre sont autant d’indices qui confirment que nous sommes en présence d’une version sportive et plus précisément de la remplaçante de l’actuelle C 63 AMG Coupé !
Le profil permet de découvrir des jantes au dessin musclé, que l’on soupçonne sans mal d’accueillir un système de freinage surdimensionné. On remarque aussi une garde au sol diminuée.
Pour la partie arrière, les quatre sortie d’échappement de forme carrée ne laissent aucun doute sur la nature de ce mulet Etoilé…
Enfin, pour la partie mécanique, la future Mercedes C 63 AMG Coupé attendue pour 2016 prendra le même chemin que les berline et break en passant du V8 6,3 l atmosphérique au V8 4,0 l bitrubo inauguré par l’AMG GT. La puissance sera identique aux C 63 AMG berline et break, à savoir 476 ch et 650 Nm de couple ! Les plus demandeurs pourront même opter pour la version S gonflée à 510 ch et 700 Nm !… De quoi franchir le 0 à 100 km/h autour des 4 s à l’aide de la boîte Speedshift MCT à 7 rapports.
Même s’ils bénéficient de moyens humains, techniques et financiers colossaux, qui leurs permettent d’investir un grand nombre de niches, les constructeurs allemands ne peuvent être partout en même temps. Ainsi, pendant que Mercedes misait sur les breaks de chasse, BMW préférait les SUV coupés.
Vous aimez le GLE Coupé mais il est trop grand (et trop cher). Pas de panique, Mercedes prépare déjà un petit frère.
Proche de la série
Mais alors que le bavarois n’a toujours pas prévu de concurrencer les CLA et CLS Shooting Brake, la firme à l’étoile prépare activement la riposte aux X4 et X6. Le plus grand devra affronter d’ici cet été le GLE Coupé. Le petit sera gêné dans sa progression en début d’année prochaine par le GLC Coupé. Et pour faire patienter ses fidèles clients qui seraient tentés par le X4, Mercedes dévoile à Shanghai un concept annonciateur.
Si une chose nous plaît avec le constructeur de Stuttgart, c’est qu’il n’y a pas de place à la langue de bois. Dans le communiqué de presse qui présente ce modèle à la couleur bien voyante (voilà qui change du gris argenté des derniers prototypes de Mercedes), il est écrit noir sur blanc qu’on est proche de la version de série. Au moins, il n’y a pas de place au doute.
GLE Coupé en réduction
Au fait, pourquoi GLC ? Le GLC « tout-court » sera le remplaçant du GLK, rival des Q5 et X3. Une nouvelle appellation pour uniformiser les noms des 4×4 de la marque, qui commenceront tous par « GL » avec en plus la lettre de la berline équivalente. Ici, c’est donc la Classe C. Le GLC Coupé sera ainsi la déclinaison rabotée du GLC.
Comme ses compatriotes, Mercedes use de la photocopieuse en ce moment ! Le GLC Coupé n’est rien de plus qu’un GLE Coupé en réduction. Il mesure 4,73 mètres, 17 cm de moins que son grand frère et 6 de plus que le X4. La silhouette est quasi identique avec un toit abaissé (hauteur maxi de seulement 1,60 mètre) qui plonge rapidement vers la poupe, une lunette très inclinée aux contours arrondis (ce qui ramollit un peu l’arrière) et une malle haut-perchée.
Pas encore d’habitacle !
On retrouve à l’arrière des feux affinés et à l’avant une calandre verticale intégrant un grand logo. Le concept est monté sur d’immenses jantes de 21 pouces. On pourrait dire comme souvent dans ces cas-là que c’est un artifice de salon… mais quand on voit que le GLE peut avoir des roues de 22 pouces, ici ce n’est pas forcément un délire de designer pour attirer l’œil. En revanche, la forme des boucliers sera plus sobre (sauf sur les AMG), tout comme celles des rétroviseurs qui s’inspirent d’ailes.
Mercedes ne montre pas l’habitacle de ce concept. A la vue des vitres totalement opaques, on se dit qu’il ne doit même pas y en avoir ! C’est une belle économie pour un engin de Salon. Mais on saura à quoi ressemblera l’intérieur du GLC Coupé bien avant sa présentation officielle, qui devrait intervenir début 2016. Pourquoi ? Parce qu’il sera logiquement repris au GLC, qui, lui, pourrait se montrer avant l’été. L’ambiance devrait être sportive… et le sens de l’accueil ne sera pas la qualité première de l’auto, qui ne cherchera pas à soigner l’habitabilité et le volume du coffre !
V6 non hybride
Ce concept sans habitacle aurait en revanche un moteur (!). Il s’agit d’un V6 essence biturbo. Mercedes ne s’embête pas ici avec des considérations écologiques : il n’y a pas d’hybridation, juste le bloc thermique qui développe 367 ch et un couple de 520 Nm. La boîte 9 vitesses fait passer la puissance aux quatre roues à l’aide de la transmission intégrale 4MATIC.
L’actuel Mercedes SL va arriver à mi-carrière. Il est donc temps pour le constructeur d’envisager une mise à jour afin de lui donner un second souffle. Nos photographes espions ont pu surprendre un prototype du SL restylé. Visiblement, nous n’avons pas affaire à une petite mise à jour comme c’est habituellement le cas.
Un design moins lourd au programme ?
En effet, alors qu’au mois de décembre dernier nous avions surpris un SL avec un regard étrange, l’exemplaire que l’on peut observer sur les clichés se trouvant ci-dessous nous révèlent un certain nombre de choses.
Il est parfois reprocher à la dernière génération du SL de posséder des lignes trop lourdes. Ce lifting permettra-t-il de corriger ce point ?
Tout d’abord, on s’aperçoit que ce facelift concernera pas uniquement les optiques qui vont s’affiner. La calandre, le bouclier et le capot moteur vont être également retouchés. A l’arrière, c’est un peu plus léger avec un nouveau bouclier, un dessin revu pour les optiques et des sorties d’échappement remaniées.
En outre, nos chasseurs de scoops ont réussi à obtenir deux photos de l’intérieur de l’Allemande. On peut remarquer que l’écran tactile est plus grand et que la disposition des boutons a changé. De plus, le volant a été remplacé. Cependant, les nouveautés les plus importantes sont encore dissimulées.
Pour le moment, aucune information n’a encore filtrée pour d’éventuellement modifications en ce qui concerne les motorisations. La présentation officielle du Mercedes SL restylé se fera dans le courant de l’année 2016.
Il y a peu, nous vous dévoilions les images officielles de la Mercedes-AMG GT3. Laissons maintenant la place à la vidéo pour apprécier la mécanique mise à rude épreuve sur le redoutable tracé du Nürburgring…
L’énorme V8 réveille l’Enfer Vert
Dans sa robe gris mat avec quelques bandes jaunes, le nouveau coupé allemand exclusivement réservé à la piste circule à bon rythme sur le circuit de la Nordschleife. Il faut dire que ce modèle inédit reçoit un certain nombre de pièces en fibre de carbone (capot moteur, portes, ailes avant, …) afin de contenir son poids, ce qui est l’une des clés pour établir des chronos canons.
Le souffle du V8 paraît inépuisable !
Malheureusement, la puissance du V8 6,3 l atmosphérique (remplaçant le V8 4,0 l biturbo de la voiture de série) n’est pas encore connue. Il faudra encore faire preuve de patience. Toujours est-il que la sonorité de ce moteur de forte cylindrée fascine. Elle est comparable au retentissement d’un coup de tonnerre. C’est en quelques sortes la marque de fabrique des blocs AMG.
Nous vous l’avions déjà expliqué sur Abcmoteur : Mercedes a décidé de revoir la nomenclature de ses modèles en vu d’harmoniser sa gamme. En conséquence, le petit roadster SLK laissera place dans les mois à venir au SLC. SL indique une découvrable deux places, et C signifie que le roadster se situera au niveau d’une Classe C.
Tout en rondeur
L’étoile de Stuttgart poursuit inexorablement l’implantation de sa nouvelle identité visuelle au sein de sa gamme. Pour le SLC, c’est donc sans surprise que nous distinguons sous le camouflage du prototype des faces avant et arrière plus arrondies que sur la génération actuelle. Exit les arrêtes saillantes, place aux galbes généreux. Les optiques suivent la même tendance et tendent vers plus de rondeur. Pour l’extérieur, il ne faudra pas s’attendre à de plus amples transformations : la ligne reste identique et les habitués ne seront pas dépaysés.
Enfin un pilote sympa ! Ce n’est pas le cas de tous
Nous n’avons pas de photos de l’intérieur pour le moment mais, à l’image de l’extérieur, il devrait se rapprocher de ce que l’on trouve dans la dernière Classe C. Attendez-vous à une mise à jour de l’équipement ainsi qu’aux dernières versions des systèmes multimédia embarqués et autres aides à la conduite.
Transition en douceur
Si le SLC semble proche de la production, Mercedes a néanmoins fait le choix de prolonger la carrière du SLK pour quelques mois encore. La partie mécanique fait notamment l’objet de plusieurs nouveautés pour les entrées et milieux de gamme. Tout d’abord, le SLK 200 (184 ch) gagne une nouvelle boîte de vitesses manuelle à six rapports et voit son couple passer de 270 à 300 Nm. Le SLK 250 (204 ch) disparaît au profit du SLK 300 fort de 245 chevaux et 370 Nm de couple tiré de son 4-cylindres 2.0 turbo. Le 300, au même titre que le 250 d (seul diesel disponible, 204 ch), se dotent d’une nouvelle boîte de vitesses automatique à 9 rapports. Les hauts de gamme SLK 350 (V6, 306 ch) et SLK 55 AMG (V8, 421 ch) n’évoluent pas.
Ces upgrades de fin de vie – sûrement destinés à booster les ventes en attendant la relève – nous font dire que le SLC n’arrivera probablement pas avant le printemps 2016 lors du salon de Genève. D’ici là, on devrait en croiser une version de pré-série peu camouflée qui nous en montrera plus.
Déjà aperçue à plusieurs reprises, la neuvième génération de la Mercedes Classe E s’est laissée photographier par nos chasseurs de scoops avec une carrosserie légèrement moins dissimulée.
Sur les traces de la grande berline
Si la Classe E 2016 (W213) est toujours en cours de développement et donc très lourdement camouflée, ces derniers clichés permettent de se rendre un peu mieux compte de l’allure que va adopter la routière Etoilée.
Vu sous cet angle, ce mulet de la Classe E 2016 rappelle l’actuelle Classe S. La forme des optiques paraît très proche
Ainsi, celle-ci va être grandement influencée par le dessin extérieur et intérieur de la dernière Classe S qui a déjà été repris par la Classe C récemment présentée. On pourra donc malheureusement bientôt reprocher à Mercedes de faire comme Audi en différenciant trop peu le design de chacune de ses autos.
En revanche, la partie arrière pourrait être distincte avec des feux moins étirés et plus larges
Déjà surprise en début d’année, la Classe A restylée fait à nouveau son apparition devant les objectifs de nos paparazzi toujours à la recherche d’un prototype en cours de développement. Cette fois-ci, la compacte Etoilée en profite pour nous dévoiler son intérieur !
Changements discrets
A l’extérieur, la Mercedes Classe A millésime 2015 ne devrait pas se remarquer au premier regard, hormis pour les aficionados de la marque. En effet, le programme de ce facelift est limité à des optiques avant et arrière subtilement retouchées, tout comme les boucliers, et peut-être également à une nouvelle grille de calandre, histoire de justifier l’appellation « nouvelle Classe A » sur les prochaines réclames…
Pour ce qui est de l’intérieur, les évolutions ne sont pas davantage marquées. Le volant est nouveau – en réalité, il est repris au Classe B restylé –, l’écran de la console centrale serait remplacé à défaut d’être plus grand comme espéré et enfin le logiciel interne faisant fonctionner ce dernier sera très probablement mis à jour.
Un an à peine après la présentation du nouveau coupé porte-drapeau de la marque à l’étoile, nos photographes espions en ont immortalisé un prototype à l’allure très suggestive. Où ? Sur le sempiternel Nürburgring, évidemment.
Toute la panoplie
La GT n’est déjà pas la voiture la plus discrète qui soit. Elle est élégante, mais ne renie en aucun cas son blason AMG, synonyme de puissance et de sportivité. Mais quand les ingénieurs veulent insister sur ce dernier point, cela donne ce que vous avez sous les yeux. Le pare-choc avant de la GT gagne une lame et des déflecteurs d’air (également présents sur les ailes) et l’arrière se dote d’un massif aileron fixe. Autre signe que le coupé est passé par la case musculation, les ailes avant et arrière sont très généreusement élargies. Ainsi gréée, l’AMG GT affiche clairement son envie de dévorer la piste !
Tout est camouflé, mais on s’attend à ce que l’ensemble des éléments aérodynamiques précédemment cités soit réalisé en fibre de carbone, pour une raison évidente de limitation de prise de poids. L’intérieur devrait lui aussi faire la part belle au carbone et à l’alcantara, peut-être avec de nouveaux sièges baquets. En l’absence de photos pour le moment, cela reste à confirmer.
Black Series ou pas ?
Si le fameux label nous vient forcément à l’esprit à la vue des modifications que supporte le prototype, il se pourrait que son heure ne soit pas encore venue. En effet, Mercedes-AMG ne dégaine généralement pas les versions ultimes Black Series avant la fin de vie du modèle. Or, la GT vient de faire son arrivée en concession. La piste la plus plausible serait donc une version homologuée de la GT GT3 de course présentée au salon de Genève cette année. Dans tous les cas, on peut être sûr qu’après le désolant procès que Porsche a collé à Aston Martin pour l’utilisation du nom GT3 sur une voiture de route (pour la Vantage GT3 Special Edition, renommée depuis en GT12), la Mercedes-AMG GT homologuée ne s’appellera plus GT GT3.
Peu d’informations fiables ont filtrées quant à la partie mécanique. Le V8 4.0 biturbo sera très probablement toujours de la partie, dans une version avoisinant les 550 chevaux (510 dans l’AMG GT S) et on s’attend à ce que le poids soit revu à la baisse grâce à l’emploi de matériaux légers.
Comme à l’accoutumée, les informations seront disponibles au compte-gouttes, et l’on peut compter sur Mercedes pour teaser la prochaine déclinaison de son AMG GT.
[MAJ] : Nos dernières informations (venues d’une personne ayant déjà commandé un exemplaire de ce modèle !) indiquent qu’il s’agirait d’une AMG GT R de 530 ch avec un poids réduit et une aérodynamique améliorée.
Le Classe M / ML est mort, vive le GLE ! A l’occasion du restylage de son grand SUV, Mercedes jette aux oubliettes un patronyme apparu en 1997. La volonté de la marque est de simplifier les appellations de ses 4×4. Ses « franchisseurs » (de trottoirs) auront tous un nom commençant par le préfixe GL, auquel il faut ajouter la lettre de la berline équivalente dans la gamme. Ainsi, le GLA est la Classe A SUV, le GLE est la Classe E SUV… Le terme GLE n’est cependant pas totalement inédit puisqu’il est déjà utilisé par l’anti BMW X6 de Mercedes, le GLE Coupé… qui est donc la version tronquée du ML. Vous suivez ?
Le GLE n’est pas un modèle inédit. Il s’agit en réalité du ML renommé et restylé.
Par rapport à l’ancien modèle, toute la face avant est inédite… et quasiment reprise au Coupé. Le GLE adopte les derniers codes esthétiques en vogue chez Mercedes : large calandre verticale, optiques aux contours arrondis… Comme toutes les autres productions de la firme à l’étoile, il offre le choix entre deux visages, l’un typé classique, l’autre plus sportif avec des prises d’air agrandies.
Il y a même une troisième proue, mais réservée aux exclusives versions AMG, qui reçoivent une immense prise d’air. Il y a moins de changements au niveau de la partie arrière… qui a pris un petit coup de vieux et ne colle plus vraiment avec le reste avec ses formes anguleuses.
La planche de bord commence aussi à dater, mais Mercedes n’a pu la revoir en profondeur (cela aurait coûté trop cher). Elle a un côté très mastoc qui semble d’une autre époque. Il y a néanmoins quelques changements, avec notamment un nouvel écran pour le système multimédia qui a l’apparence d’une tablette comme sur les autres productions de la firme. Son intégration est une nouvelle fois discutable. Non tactile, il se commande via une molette entre les passagers complétée par un pavé qui lui est tactile. Quelques habillages ont été revus, tout comme le dessin du volant.
Ce n’est pas non plus le grand chamboulement sous le capot, même s’il y a quelques nouveautés intéressantes. La principale est l’arrivée d’une version hybride rechargeable, qui associe un V6 essence de 333 ch à un bloc électrique. La puissance maximale cumulée est de 442 ch. Le GLE 500 e (c’est son nom) peut parcourir jusqu’à 30 km en mode tout électrique. Il est homologué avec une consommation en cycle mixte de 3,3 l/100 km, soit 78 g/km de C02. La prise pour faire le plein de jus est à l’arrière. Avec un boitier mural adapté, il faut 2 heures.
En entrée de gamme essence, on trouve une nouvelle version GLE 400 avec le V6 de 333 ch. Au dessus, la 500 a un V8 de 435 ch. Les blocs sans-plomb ont une boîte de vitesses automatique 7 rapports. Deux choix pour le diesel : un quatre cylindres 2.1 de 204 ch (GLE 250 d) et un V6 258 ch (GLE 350 d). La boîte auto compte ici 9 rapports. A noter que le 250 est disponible avec deux roues motrices seulement (arrière), ce qui permet d’obtenir une consommation de 5,4 l/100 km et des rejets de C02 de 140 g/km.
Au sommet de la gamme, on retrouve la variante AMG avec son V8 5.5 litres, qui est désormais proposé avec deux niveaux de puissance : 557 et 585 ch. Le plus musclé passe de 0 à 100 km/h en 4,2 secondes.
Déjà aperçue très lourdement camouflée il y a presque un an, la future Mercedes Classe S Cabriolet s’est à nouveau faite surprendre par nos paparazzi, mais cette fois-ci dans le grand froid, en Suède.
Le grand et luxueux cabriolet à l’Etoile se cache de moins en moins
Pour cette deuxième prise, Mercedes a pris beaucoup moins temps à camoufler sa grande découvrable, puisque seule la partie arrière demeure occultée. Pour le reste, tout est visible ! Vous pouvez ainsi observer la face avant dans son plus simple appareil, le profil de la même façon, ainsi que la capote en toile électrique.
Si la marque allemande prend la peine de dissimuler la poupe de son cabriolet, c’est qu’il est fort probable que celle-ci diffère de la Classe S Coupé que l’on connait déjà. La partie arrière serait remodelée pour faire rentrer le toit, tandis que les feux verraient également leur dessin modifié.
Alors qu’à la fin du mois de janvier dernier Lamborghini levait le voile sur sa Huracan GT3, les pilotes du championnat d’endurance de la FIA vont également avoir le choix avec une autre nouveauté : la Mercedes-AMG GT3 !
Elle garde le cœur de la SLS AMG GT3
Si le design de la GT n’a pas séduit tous les passionnés d’automobile que nous sommes, dans cette version réservée au circuit, l’Allemande gagne nettement en caractère. Elle voit ses ailes élargies, son échappement migrer sur le profil et l’aérodynamique repensée comprend notamment une garde sol réduite, des bas de caisse et un énorme aileron. La structure tout en aluminium de la GT de « base » a été conservée, néanmoins de nombreux éléments tels que le capot moteur, les portes, les ailes avant, le diffuseur, … sont en fibre de carbone pour obtenir un poids total maîtrisé.
Derrière le volant – qui n’est vraiment comparable à celui de série ! –, on est aux commandes du V8 6,3 l à aspiration naturelle qui était utilisé jusqu’à présent par sa devancière, à savoir la SLS AMG GT3. Pour l’occasion, il sera bien entendu optimisé – malheureusement, la puissance n’a pas encore été annoncée – et il demeure couplé à une boîte séquentielle à 6 vitesses. Question liaison au sol, on sait que la suspension est à double triangulation.
Dommage que la poupe nous soit encore inconnue
Les premiers exemplaires seront livrés aux client à la fin de l’année 2015. Vivement les premiers tours de roue pour apprécier la sonorité du bolide Etoilé en vidéo !…
Le Mercedes GLK va être prochainement remplacé. Son successeur appelé GLC a été surpris en Suède dans une version hybride plug-in par nos photographes espions. Nous vous détaillons ci-après ses nouveautés.
Adieu les formes cubiques !
Première changement d’envergure, avec le GLC, Mercedes tourne le dos aux traits rectilignes du GLK pour une apparence plus dynamique et élancée. L’avant faisant penser à un gros GLA, tandis que les feux arrière rappellent le récent GLE Coupé.
Cela étant, le concurrent des BMW X3 (voir notre essai) et Audi Q5 conserve ses proportions imposantes (plus de 4,50 m) et devrait donc toujours proposer une habitabilité généreuse.
La motorisation hybride rechargeable de la Classe C
Ce prototype que nous avons sous les yeux est un peu particulier, puisqu’il s’agit d’une version combinant un moteur thermique et un bloc électrique avec une autonomie en utilisant uniquement ce dernier estimée à une trentaine de kilomètres.
Plus précisément, il s’agira de la mécanique de la Classe C 350 Plug-In Hybrid, soit un quatre-cylindres essence et un moteur électrique délivrant ici une puissance combinée s’élevant à 279 ch et 600 Nm de couple !…
Pour en savoir plus, il faudra patienter jusqu’à la fin de l’année 2015. Le Mercedes GLC « classique » pourrait faire son apparition au salon de Francfort, en Allemagne. Sa commercialisation interviendrait en au cours de l’année 2016.
Une illustration de ce à quoi pourrait ressembler le Mercedes GLC dans sa forme définitive
Croisé à la fin de l’année dernière et au début de l’année dans la neige, le Mercedes G 500 4×4² se dévoile enfin ! Encore sous l’appellation « Concept », ce mastodonte devrait être identique à 99 % lors de sa production en série (si les réactions du public sont positives !)…
Le G 63 AMG 6×6 a un petit frère
Alors que toute la production du G 63 AMG 6×6 a été écoulée (pour rappel, ce modèle était à l’origine conçu pour l’armée australienne !), Mercedes a jugé qu’il était temps de lui donner une suite. Pour cela, ils ont conservé la même recette, mais avec deux roues en moins !
Ainsi, l’énorme 4×4 est toujours aussi intimidant et démesuré avec sa largeur de 2,10 m (un Classe G « classique » est à 1,87 m), sa hauteur de 2,10 m – lui interdisant bon nombre de parkings souterrains – et sa garde au sol de 450 mm ! Les jantes de 22 pouces chaussées de pneus tout-terrain et la double sortie d’échappement latérale lui offrent un look redoutable. Nul doute que l’on vous laissera assez rapidement passer sur la voie la plus à gauche sur autoroute…
Rien ne l’arrête !
Le constructeur à l’Etoile assure que conduire le G 500 est davantage proche « d’une voiture de sport que d’un 4×4 ». La suspension pilotée permet de choisir en un mode confort et sport, tandis que sous le capot un nouveau moteur apparaît : un V8 4,0 l biturbo essence développant 422 ch. Sa vitesse maximum serait de 210 km/h. Malheureusement, pas d’autres informations techniques ont été données. Néanmoins, le poids sera conséquent, le centre de gravité haut perché, … le comportement s’en ressentira.
Après avoir été aperçue par deux fois, la Mercedes Classe C Cabriolet (A205) se montre à nouveau, mais cette fois-ci sur les routes suédoises recouvertes de neige.
Toujours copieusement camouflée
Alors que les Classe C et Classe C break ont été révélées et que la Classe C Coupé est annoncée pour novembre, l’arrivée de la Classe C Cabriolet est moins précise. Ces derniers spyshots envoyés par nos photographes nous indiquent en tous cas que les équipes de l’Etoile sont toujours à pied d’œuvre.
Malheureusement, l’Allemande ne se découvre pas d’un fil sur ces clichés. Les optiques ne sont pas même définitives comme on avait pu les voir ici.
Future rivale de la M4 Cabriolet ?
Selon nos informateurs, le prototype de la Classe C Cabriolet que nous avons devant les yeux possède une transmission intégrale 4Matic et serait une C 300. Cela signifierait que sous son capot se cache le quatre-cylindres essence 2,0 l turbo d’une puissance de 256 ch. Pour les inconditionnels du diesel, même sur un cabriolet, des motorisations seront prévues tout comme sur la génération actuelle.
Par ailleurs, il y a fort à parier qu’une C 450 AMG Cabriolet soit proposée. Animée par un V6 3,0 l biturbo de 362 ch (déjà présent sur la berline en AMG Sport), cette version permettra déjà de disposer d’une solide réserve de puissance cheveux au vent. Plus hypothétiquement, une C 63 AMG Cabriolet pourrait voir le jour. Dotée du V8 4,0 l biturbo de 476 ch (que l’on connait sur la berline), le modèle Etoilé irait se battre face à la BMW M4 Cabriolet (431 ch).
Chaque année a lieu à Paris l’exposition « Concept Cars et design automobile » durant le Festival Automobile International. Cette édition 2015 (du 28 janvier au 1er février) mettait encore une fois à l’honneur les plus belles créations du design automobile. Ces voitures d’exception sont installées sur une grande surface de 3 000 m2 située au sein de l’Hôtel National des Invalides (7ème arrondissement).
L’exposition Concept Cars ou la Fashion Week de l’Automobile
Lors de ces cinq jours, les visiteurs peuvent admirer une très sympathique sélection d’autos, avec en prime cette année une première mondiale : la Renault Alpine Vision Gran Turismo réservée au jeu vidéo éponyme dont un teasing avait été lâché vendredi 23 janvier. Une preuve que ce mini-salon prend une certaine ampleur…
Abcmoteur vous emmène faire un petit tour de ces œuvres d’art qu’il était possible de contempler…
Néanmoins, le Salon de Bruxelles n’aurait pas la même saveur s’il n’avait pas ces petits traits caractéristiques étonnants. Salon des « Utilitaires Légers, Véhicules de Loisirs et Motos », motards comme artisans pourront trouver leur bonheur, chose rare sur un salon automobile. De quoi même trouver une… ambulance sur le stand Renault ! Mercedes n’hésite pas alors à montrer des Vito en peinture flashy bleu mat, quand Volkswagen, Peugeot-Citroën et Ford consacrent une belle partie de leurs stands à ces utilitaires légers.
Autre belle surprise, nous avons pu nous rendre à l’exposition temporaire Dream Cars regroupant plus de 40 voitures d’exception ! Et cela, s’il vous plait, sans oublier les plus récentes ! Nous pouvions alors retrouver les toutes dernières Lotus Exige LF1, McLaren 650S MSO (McLaren Special Operations), Mercedes-Maybach Classe S, Mercedes-AMG GT S,Nissan GT-R Nismo, Noble M600 Convertible en première mondiale – qui présente de faux airs de Porsche 911 Targa et de Lotus Exige S… Une petite note exclusive était à noter du côté de Ferrari avec la F12 Berlinetta « Tour de France 64 », spéciale commande au service de personnalisation de la marque « Ferrari Tailor Made » du concessionnaire bruxellois Francorchamps Motors Brussels en hommage à la victoire du Tour de France d’une 250 GTO de même configuration en 1964. Audi et Porsche virent leurs gammes très bien représentées par une RS7 Sportback, une R8 LMX (dotée de feux laser pour rappel), ainsi que la R18 e-tron du Mans, quand Porsche proposait une 911 GT3, une 911 Targa, un Cayman GTS, un Macan Diesel ainsi qu’une 918 Spyder, tout de même. De quoi être stupéfait de la voir ici, sans pudeur, alors qu’elle était bien cachée, pour quelques privilégiés, au Mondial…
Voici donc un petit échantillon de toutes ces petites merveilles réunies dans cette exposition !
Enfin, pour les plus aventuriers, un complexe de franchissement 4×4 était installé aux abords du Salon quand les motards pouvaient aussi profiter d’animations dédiées.
Au final, et à l’heure où certains salons sont contraints d’annuler des éditions, nous ne pouvons que nous réjouir de voir exister des petits salons comme celui-ci, sachant que sa fréquentation était en hausse de 12,76 % par rapport à la dernière édition de 2013, avec 434 465 visiteurs ! Donc non, clamons-le haut et fort, et dans la continuité des bons résultats du Mondial de l’Automobile, la passion automobile est toujours bien présente !
Disparu une deuxième fois en 2012, Maybach est déjà de retour. Mais le label ultra-luxe de Daimler n’est plus utilisé en tant que marque à part entière. Il faut désormais le voir comme une excroissance de Mercedes, à la manière d’AMG pour les sportives. Maybach est ainsi utilisé pour désigner une nouvelle variante de la Classe S.
La Classe S monte encore en gamme avec cette déclinaison Maybach, rivale de la Rolls-Royce Ghost.
La grande berline de l’étoile monte donc encore en gamme (si, si, c’est possible) pour se rapprocher de la « petite » limousine de Rolls-Royce, la Ghost. D’ailleurs, avec ses 5,45 mètres de longueur, cette S dépasse l’anglaise de cinq centimètres.
La britannique garde cependant l’avantage en matière de mécanique. Elle est dotée d’un V12 de 570 ch alors que la Mercedes propose au mieux 530 ch dans sa version S600. C’est également un V12 qui officie, associé à une boîte automatique à 7 rapports. Mercedes propose aussi une plus « abordable » S500 équipée d’un V8 de 455 ch, avec boîte 9 rapports.
A côté de la Rolls, la Maybach serait presque donnée ! Quand la Ghost est affichée au tarif de 267.480 €, l’allemande débute à « seulement » 145.800 € avec le V8. En V12, elle franchit la barre symbolique des 200.000 € mais reste loin de la Rolls, avec 206.500 €. Sans surprise, le malus est maximal avec des rejets de C02 de 207 et 274 g/km. Mais 8.000 € en plus à ce niveau de gamme, c’est une broutille !
Par rapport à la Classe S Limousine, la Maybach est plus longue de 20 centimètres. L’écart de prix est de 22.000 € pour la S500 et 19.600 € pour la S600. On peut quasiment dire qu’en moyenne, le centimètre en plus est facturé 1.000 € ! D’un point de vue esthétique, hormis l’allongement, les changements visibles sont rares (insert chromé sur le montant central, badge sur le montant arrière…).
A bord, c’est évidemment à l’arrière que la Maybach s’apprécie le plus. L’espace aux jambes est royal. De série, on trouve des sièges inclinables électriquement jusqu’à 43,5° avec un repose jambes. Ils sont chauffants et ventilés. La personne installée à droite peut reposer ses pieds sur un support qui se déploie électriquement à l’arrière du siège passager. Pour faciliter la conversation entre le chauffeur et les occupants arrière, il y a un système d’amplification vocale !
En option, il est possible d’équiper son auto d’un minibar pouvant contenir plusieurs bouteilles de champagne. Un petit plus facturé 1.380 €. Pour 2.850 €, on a une console centrale Businness avec un double porte-gobelet réfrigéré. En complément, pourquoi ne pas opter pour les deux flûtes à champagne, pour la modique somme de 3.850 € ! Côté look, les jantes forgées de 20 pouces à l’aspect brillant coûtent 4.700 €…
Avec la cinquième génération de la berline lancée au printemps dernier, ce n’était qu’une question de temps avant que nous puissions mettre la main sur des photos des autres carrosseries de la Mercedes Classe C. Plus précisément, c’est aujourd’hui le coupé qui est à l’honneur.
En terrain connu
Dans l’actuelle gamme, le coupé Classe C est toujours basé sur l’ancienne génération de la berline. Avec l’arrivée de la BMW Série 4, l’étoile de Stuttgart se devait de réagir pour adapter son offre. Au regard des premiers clichés, nous ne pouvons pas dire que nous soyons particulièrement surpris par le style. L’évolution est logique, le coupé reprend les éléments phares de la berline en y ajoutant un petit peu de dynamisme grâce notamment à des voies élargies et une garde au sol réduite.
On remarque aussi que les rétroviseurs ont migré des montants de pare-brise vers les portières. Les designers ont indiqué s’être largement inspirés de la sculpturale Classe S Coupé pour concevoir la C. Une ressemblance qui s’observe par exemple avec les feux arrières, mais qui sera d’autant plus frappante sur les niveaux de finitions les plus élevés, avec des projecteurs LED ou des pare-chocs plus enveloppants.
Aucune photo de l’intérieur du coupé ne nous est parvenue pour le moment, mais si l’on se fie aux différences entre la E berline et la E coupé, on peut imaginer que l’habitacle de la C coupé sera légèrement différent de celui de la berline et un peu plus sportif.
Pas de nouveaux moteurs
La grande majorité des mécaniques de la berline se retrouveront sous le capot du coupé. Pour le diesel, cela se traduit par un 4-cylindres avec des puissances comprises entre 136 (C 200 BlueTEC) et 204 chevaux (C 250 BlueTEC), l’entrée de gamme de 116 chevaux ayant très peu de chances d’être proposée. La gamme essence est plus fournie et se compose d’un 4-cylindres de 184 (C 200) ou 211 chevaux (C 250) et d’un V6 turbo de 333 chevaux (C 400). Une C 450 AMG Sport pourrait aussi arriver, proposant 367 chevaux et faisant le pont entre la C 400 et la virulente C 63 AMG.
Les déclinaisons AMG, parlons-en. Le V8 4.0 biturbo est connu, les puissances aussi : 476 chevaux pour la version « de base » et 510 pour la C 63 S, soit presque autant que dans l’ancien C 63 coupé Black Series ! Les BMW M4, Lexus RC-F ou encore Audi RS5 auront fort à faire pour lutter.
La Mercedes Classe C Coupé arrivera en concession au mois de novembre après avoir été révélée en septembre au salon de Francfort. Ses tarifs qui n’ont pas encore été communiqués.
Déjà sur les chaînes de production de l’usine de Kecskemét, en Hongrie, le break allemand fera son entrée dans les concessions au mois de mars 2015, ce qui est relativement proche ! Ainsi, les commandes sont d’ores et déjà ouvertes !
Le client aura le choix entre deux moteurs diesel et quatre moteurs essence. Pour les gros rouleurs, cela correspond aux 200 CDI de 136 ch et 220 CDI de 177 ch. Les amateurs de sans plomb pourront opter soit pour le 180 de 122 ch, le 200 de 156 ch, le 250 de 211 ch (en 4×2 et 4×4) ou encore la puissante 45 AMG tirant 360 ch de son 2,0 l turbo (en 4×4) ! Le prix de base étant fixé à 30 900 € avec le plus petit bloc essence.
Trois niveaux de finition
Bonne nouvelle, Mercedes a eu la bonne idée de ne pas multiplier les finitions en conservant trois niveaux (Inspiration, Sensation et Fascination), ce qui est suffisant afin de ne pas perdre les acheteurs potentiels.
En Inspiration, nous trouvons donc dans la dotation de série les jantes alliage de 16 pouces, les rétroviseurs électriques et chauffants, la climatisation manuelle, les sièges sport, la caméra de recul avec vue à 180°, le frein à main électrique, le régulateur/limitateur de vitesse et divers équipements de sécurité tels que le système d’avertissement de collision appelé « Collision Prevention Assist Plus ».
La finition Sensation demandant 3 650 € supplémentaires ajoute des jantes alliage en 18 pouces, la climatisation automatique bizone, les feux de position à LED, les projecteurs bi-xénon et le pack Urban comprenant notamment la calandre diamant, une double sortie d’échappement et un diffuseur arrière avec insert chromé.
Enfin, le haut de gamme Fascination nécessitant 8 400 € de plus permet d’obtenir le pack AMG qui se caractérise par un kit carrosserie et un habitacle plus sportif et le pack Sport donnant droit à des coques de rétroviseur extérieurs noires, des vitres surteintées, … On note aussi l’aide au parking active, le toit ouvrant panoramique, un châssis sport rabaissé, des phares à l’éclairage intelligent, des pneus à roulage à plat, …
La CLA A 45 AMG Shooting Brake reçoit encore d’autres équipements supplémentaires et une apparence plus musclée, ainsi qu’un intérieur avec des touches de rouge.
Nous l’avions déjà aperçu au mois de novembre dernier, l’énorme Mercedes G 63 AMG à 4 roues – contre 6 jusqu’à présent – s’est fait à nouveau surprendre, mais dans des contrées bien plus rigoureuses… Un signe indiquant que sa révélation officielle n’est plus très lointaine.
Démesure !
Certains attendent avec impatience le remplaçant du GL (qui s’appellera GLS), mais la marque à l’Etoile semble vouloir lancer une version un peu moins imposante du G 63 AMG en lui retirant 2 roues. Ce 4×4 aux proportions dépassant allègrement la plupart de la production automobile est ainsi surnommé « Hulk » ou encore « Green Monster ».
Très haut sur pattes et équipé de pneus tout-terrain, ce mastodonte faisant penser à un véhicule de l’armée devrait pouvoir aller se balader à peu près partout sans être trop embêté. En revanche, pour rouler en toute discrétion on repassera…
On peut se demander si une telle garde au sol est sécurisante en cas de choc avec un piéton…
Près de 550 ch pour quoi faire ?
Sous son capot, on retrouvera un gros V8 5,5 l essence biturbo de 544 ch et 760 Nm de couple !… Le tout étant commandé par une boîte automatique G-tronic à 7 rapports distribuant la puissance à l’ensemble des roues. Cela étant, on se demande quel est l’intérêt d’avoir un 4×4 aussi puissant ? Que ce soit sur circuit où le roulis sera prononcé ou bien sur une route défoncée, les près de 550 ch du V8 AMG ne seront pas grandement utiles…
Toutefois, il y a peu de chances que les acheteurs potentiels se soucient de ce genre de problèmes à la vue du tarif du Mercedes G 63 AMG 4×4 qui sera au-delà des 300 000 € ! La présentation au public de M. Muscle devrait se faire au salon de New-York en avril, tandis que les clients pourraient pouvoir l’acheter à partir de cet été.
L’année 2015 sera celle des SUV chez Mercedes ! La marque à l’étoile va quasiment revoir toute sa gamme de 4×4 avec la mise en place d’un nouveau système d’appellations. Le GLK sera remplacé par le GLC en septembre, les ML et GL seront restylés et renommés respectivement GLE et GLS. Il y aura aussi un inédit : le GLE Coupé. Ce modèle arrivera au printemps dans les concessions. Il a été dévoilé le mois dernier et prend actuellement son premier bain de foule au Salon de Detroit. Bonne surprise : Mercedes a aussi apporté la déclinaison sportive 63 !
Poussez-vous, j’arrive ! Et avec une telle gueule et un tel gabarit, on va vite s’écarter pour le laisser passer !
557 ou 585 ch
Remarquez, cela n’a rien d’étonnant : les variantes AMG des nouveaux modèles Mercedes sont de plus en plus souvent présentées en quasi simultané… et il ne faut pas laisser le temps au nouveau BMW X6 M de prendre ses aises ! Car pour ceux qui ne le savent pas encore, le GLE Coupé est le premier vrai rival du SUV-coupé bavarois.
Les sorciers d’Affalterbach (siège d’AMG) ont glissé sous le haut capot de ce pachyderme à roues un V8. Mais ce n’est pas le nouveau 4.0 biturbo de la GT. Il s’agit du 5.5 biturbo, vu par exemple dans la Classe S. Comme de nombreuses AMG, l’auto est proposée avec deux niveaux de puissance. La version « de base » propose 557 ch et délivre un couple de 700 Nm dès 1.750 tr/min. La variante S grimpe à 585 ch, avec un couple de 760 Nm. C’est 10 ch de plus que le X6 M ! Fidèle à la tradition maison, le moteur est assemblé par un seul homme, qui appose à la fin sa signature sur le bloc.
Des jantes de 22 pouces !
Le V8 est associé à une boîte automatique à sept rapports, que l’on peut commander manuellement depuis le volant. Côté performances, la vitesse maxi est de 250 km/h et Mercedes annonce un 0 à 100 km/h réalisé en 4,2 secondes ou 4,3 secondes selon la puissance. L’auto est bien sûr dotée de la transmission intégrale 4 MATIC, qui favorise en temps normal le train arrière (60 % du couple). La suspension pneumatique est fournie de série. Côté freinage, on a des disques de 390 mm à l’avant et 346 mm à l’arrière.
Niveau look, le GLE Coupé 63 AMG en impose… le gabarit renforçant cette impression. Comme sur les autres « vraies » AMG, on trouve au niveau de la face avant une grande prise d’air traversée par une lame. La calandre intègre une double barre centrale. A l’arrière, on reconnaît cette version bodybuildée à ses quatre sorties d’échappement. Le modèle visible sur les premières photos officielles est une version S équipée de jantes couleur anthracite de 22 pouces, avec des pneus 285/40 à l’avant et 325/35 à l’arrière. Elles abritent des étriers de freins peints en rouge. A bord, l’ambiance est sombre. Les changements se font par petites touches. On remarque en premier lieu des sièges baquets spécifiques. On note aussi des inserts imitant l’aspect du carbone, un volant en partie recouvert de « microfibre dinamica » et des compteurs à la décoration modifiée.
L’auto devrait arriver dans les concessions cet été.
Esthétiquement, une C 450 AMG (disponible en berline et break) ne se distingue pas énormément d’une C 63 bien plus puissante (jusqu’à 510 ch). Dans les deux cas, le traitement est sportif avec des prises d’air élargies, une calandre imposantes, de grandes roues, ainsi que quatre sorties d’échappements chromées.
Néanmoins, dans le détail on remarque que les boucliers sont légèrement différents, que la grille de calandre est un peu moins menaçante et que les canules diffèrent en étant collées par deux. De plus, les jantes de 18 pouces ne cachent pas leurs écrous sur la C 450 AMG.
A l’intérieur, l’ambiance est sportive avec des sièges enveloppants et des surpiqûres rouges, mais les coloris et matériaux (fibre de carbone et aluminium en option) ne sont pas les mêmes et le rappel de point milieu sur le volant disparaît. Des sièges performance avec une assise plus basse et un meilleur maintient latéral sont disponibles en option.
Moins de 5 secondes au 0 à 100 km/h pour la berline
La concurrente des Audi S4 (333 ch) et BMW 335i M Sport (306 ch) – il se murmure que BMW prépare une réponse – revendique 362 ch (de 5 500 à 6 000 tr/min) et 500 Nm de couple (de 2 000 à 4 200 tr/min) issus de son V6 3,0 l biturbo. La transmission intégrale 4Matic et la boîte de vitesse automatique à 7 rapports 7G-Tronic se chargent de digérer la puissance et ainsi obtenir un 0 à 100 km/h en 4,9 s (5,0 s pour le break). La consommation en carburant s’établit à 7,6 l aux 100 km et 178 g/km de CO2. Le break demande 0,1 l et rejette 2 g de plus.
La marque à l’Etoile assure que le conducteur pourra conduire selon son envie avec des modes de conduite (Eco, Comfort, Sport et Sport Plus) qu’il pourra personnaliser (Individual). La suspension, la direction et moteur sont ajustés en conséquence. En Sport Plus, l’expérience d’AMG se traduit par des réglages d’injection et de transmission spécifiques, tout comme la sonorité de l’échappement revue pour un son travaillé.
La commercialisation des Mercedes C 450 AMG berline et break interviendra à la mi-2015. Les tarifs n’ont pas encore été communiqués.
Apparue en 2012, la Mercedes Classe A (W176) avait tout changé pour sa troisième génération en quittant son l’allure de mini-monospace. Cependant, pour son restylage de mi-carrière, ne vous attendez pas à un grand chamboulement…
La Mercedes Classe A avait débuté sa carrière en trombe, mais pour 2014 elle accuse des ventes en baisse de – 11,5 %
En observant ces photos espions, il est vraiment difficile de repérer les changements opérés par la firme allemande. Tout comme pour le Classe B, la marque à l’Etoile semble partie pour offrir à sa compacte une discrète mise à jour. Celle-ci devrait porter sur les optiques avant et arrière légèrement remodelées recevant une technologie utilisant des leds plus perfectionnées. Le dessin intérieur de ces dernières sera par la même occasion subtilement remanié.
Les boucliers seront également revus, tandis que de nouvelles jantes devraient faire leur apparition.
Enfin, pour ce qui concerne l’habitacle, un écran multimédia plus grand (8 pouces) sera introduit à l’image du Classe B restylé. Le démarrage sans clef, ainsi que des selleries inédites sont attendues.
A découvrir en fin d’année
Question moteur, la Classe A 2015 devrait garder ses blocs actuels allant de 90 à 360 ch correspondant à la puissante A 45 AMG. La transmission intégrale (4Matic) pourrait être ajoutée sur certaines motorisations diesel.
La révélation de la Mercedes Classe A restylée se fera sûrement lors du salon de Francfort au mois de septembre prochain pour une commercialisation en octobre.
Voici que Mercedes débute sa communication à propos de cette curieuse voiture. Ne vous attendez pas à découvrir son fonctionnement, puisque la marque à l’étoile se contente, pour l’instant, de diffuser une unique image montrant partiellement le profil du concept-car qui sera dévoilé officiellement le lundi 5 janvier 2015 à 8 heures (17 h en heure française).
C’est donc lors du salon de l’électronique de Las Vegas (CES) que le constructeur présentera sa voiture mystère qui semble dotée de formes bien particulières et originales. Les portes-à-faux sont réduits et la face avant dans le prolongement du pare-brise. Les feux arrière paraissent effilés et étirés sur toute la largeur.
Certains misent sur un habitacle où les passagers sur deux rangées l’une en face de l’autre, car il s’agira d’une voiture autonome. Un sujet auquel beaucoup d’entreprises s’intéressent, même celles qui n’ont pas de rapport direct à l’automobile telles que Google. La firme du groupe Daimler va-t-elle réaliser un coup de communication ou une véritable entrée dans ce milieu où la production en série semble de plus en plus proche ?…
La prochaine génération de la Classe E (W213) est déjà apparue deux fois sur Abcmoteur. En octobre, nous en profitions pour vous révéler l’arrivée d’un six-cylindres en ligne et début décembre pour vous dévoiler l’habitacle… Cette fois-ci, la berline étoilée s’est faite surprendre, pour la première fois, dans sa version plug-in hybrid.
Une prise pour recharger les batteries
Si l’on connait déjà un peu l’apparence de la future Classe E ressemblant à un croisement entre les nouvelles Classe C et Classe S, un détail n’a pas échappé à l’œil averti de nos photographes postés en Suède. En effet, en regardant de près l’arrière de la voiture, on remarque sur le côté droit une forme circulaire en plastique noir. Cet élément intriguant est en fait la prise électrique qui permettra de recharger les batteries.
En outre, on s’aperçoit que la W213 (c’est son nom de code à l’image de F10 pour la dernière Série 5 de BMW) s’allongera encore davantage. En utilisant la plateforme modulaire MRA déjà utilisée pour la Classe C, Mercedes améliorera l’habitabilité de son auto et plus particulièrement pour les passagers installés aux places arrière.
Quid de la motorisation pour la Classe E hybrid plug-in ?
La question la plus importante au sujet de cette Mercedes Classe E hybride rechargeable, c’est bien de savoir quelle mécanique se cache sous son capot.
Malheureusement, les informations ne sont encore certaines sur le bloc thermique qui sera retenu. La possibilité d’avoir deux versions est aussi évoquée. L’une serait avec un quatre-cylindres 2,0 l turbo de 211 ch et couplé avec un bloc électrique de 68 ch. Elle serait appelée « E 400e » et partagerait sa motorisation avec la Classe C plug-in hybrid. L’autre option est le V6 de 333 ch combiné à un bloc électrique de 110 ch, comme sur le futur GLE plug-in hybrid.
La présentation de la Mercedes Classe E plug-in hybrid est attendue pour 2016, tandis que son prix s’élèverait aux alentours des 50 000 €.
Sur Abcmoteur, vous avez pu découvrir la S600 (530 ch) et la S 63 AMG (585 ch). Néanmoins, ceux qui seraient à la recherche de davantage de puissance et d’une carrosserie plus exubérante pourraient bien être tentés par la dernière préparation de Brabus basée sur la S 63 AMG !
Une S 63 AMG pour la mafia russe ?
Dans cette teinte or satiné, la Mercedes S 63 AMG Brabus passe tout sauf inaperçue ! De plus, de nombreux éléments suggestifs sont ajoutés, tels que des boucliers plus agressifs, de nouvelles jantes d’un gros diamètre, des écopes, un diffuseur ou encore une ligne d’échappement spécifique.
En somme, on imagine sans mal que la clientèle visée souhaite exhiber sa richesse. Un cible qui se trouve en Russie, au Moyen-Orient, en Chine, …
Un compteur de vitesse gradué jusqu’à… 400 km/h !
Pour l’habitacle, là aussi Brabus surprend avec des sièges en cuir spécifiques, ainsi que des couleurs assorties à la peinture extérieure.
Le petit détail qui fait allusion aux 850 ch et 1 450 Nm de couple tiré du V8 5,5 l biturbo, c’est le compteur de vitesse qui s’arrête à… 400 km/h ! La boîte de vitesse est une AMG Speedshift MCT à 7 rapport modifiée pour encaisser couple camionesque.
Malheureusement, le sorcier de Bottrop n’a pas encore dévoilé la fiche technique de sa berline de luxe qui devrait être la plus rapide au monde. A titre de comparaison, la première préparation Brabus sur la S 63 AMG permettait d’atteindre 730 ch, tandis que la Vmax était bridée électroniquement à 325 km/h…
Le sujet des mandataires automobiles revient régulièrement sur le devant de la scène. Cependant beaucoup de zones d’ombres persistent. C’est pour cela que j’ai posé quelques questions en tant que néophyte à Jonathan Luck. Nous nous sommes déjà rencontrés et il est…