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Pour la première fois, la Seat Leon a reçu une déclinaison break : la Leon ST (voir notre essai). La marque espagnole poursuit son offensive sur le marché des breaks compacts avec l’ajout d’une transmission intégrale sur deux motorisations diesel.
Pour obtenir quatre roues motrices, Seat est allé piocher chez Volkswagen et son système Haldex. Ce type de transmission, rebaptisée pour l’occasion « 4Drive », permet de rouler en traction lorsque les conditions de roulage sont normales, mais dès lors que l’adhérence devient plus précaire, les quatre roues tournent pour offrir un maximum de grip.
Deux blocs seront concernés par cette technologie, à savoir le 1,6 l TDI 105 ch (250 Nm) et le 2,0 l TDI 150 ch (320 Nm).
Le premier sera proposé avec un boîte manuelle à 5 rapports pour 4,5 l/100 km et 119 g/km de CO2 rejetés. C’est 0,7 l/100 km de plus que son alter ego 2RM. La conséquence d’un poids plus élevé. Le 0 à 100 km/h est effectué en 12 s tout de même (+ 1,3 s) et la Vmax est de 187 km/h (– 3 km/h). L’ouverture des commandes se fera fin février pour une livraison en mars.
Pour le TDI en 4Drive le plus puissant, le conducteur disposera d’une boîte à 6 vitesses et de performances plus honorables. Le 0 à 100 km/h est réalisé en 8,7 s, soit 0,3 s supplémentaires par rapport à son homologue traction. Du côté de la consommation, 4,8 l/100 km (+ 0,7 l/100 km) pour 124 g/km de CO2 sont annoncés et la vitesse maxi est de 211 km/h (– 4 km/h). Il faudra patienter jusqu’à avril pour commander et la réception du véhicule devrait se faire pour mai 2014.
Au chapitre des tarifs, à version équivalente une Leon ST 4×4 s’échangera contre un peu moins de 2 000 € de plus. Pour le TDI 105 (finitions Référence et Style), les prix débuteraient à 24 400 € et pour le TDI 150 (finitions Style et FR) à 28 200 €.
Seat a l’esprit de conquête avec sa Leon et va multiplier les versions. D’ici octobre 2014, une version « Allroad » – pour comparer à Audi, l’appellation sera différente – sera vendue en finition haut de gamme bien entendu en 4×4. Il se pourrait qu’elle se découvre au salon de Genève, au mois de mars prochain.
Le segment des berlines au profil « coupé » est de plus en plus tendance. Après avoir lancé la Série 6 Gran Coupé, BMW s’apprête à dévoiler la Série 4 Gran Coupé. Voici les premières informations connues sur ce futur modèle dont certains aspects le rapproche de la Série 3 GT (voir notre essai).
En reprenant la plateforme de la Série 4 Coupé (voir notre essai) qui est elle-même basée sur la Série 3, la Série 4 Gran Coupé sera très proche de sa sœur à deux portes. En effet, du côté des dimensions, elles sont strictement inchangées : 1,82 m de large, 4,64 m de long et seule la hauteur de toit progresse à 1,37 m contre 1,36 m. Par ailleurs, son poids augmentera de 100 kg.
L’allure devrait être très proche du coupé deux portes, mais là où les critiques sont les plus vives, c’est sur le positionnement de l’auto. La Série 4 Gran Coupé ne va-t-elle pas faire doublon avec la Série 3 GT ? Pourquoi avoir gardé le petite custode sur les portières arrière ? Sera-t-elle vraiment différente d’une Série 3 « classique » hormis sa garde au toit légèrement inférieure ? Ses ventes nous diront si l’Audi A5 Sportback doit s’inquiéter ou non…
Quelques photos volées en bleu Estoril avec le pack M :
A ce chapitre, logiquement il n’y a pas de surprise. La Série 4 Gran Coupé 2014 reprendra l’ensemble des blocs disponibles sous le capot du Coupé deux portes, à savoir :
Type de moteur | Moteur | Puissance |
essence |
L4 2,0 l 420i | 184 ch |
L4 2,0 l 428i | 245 ch | |
L6 3,0 l 435i (voir l’essai) | 306 ch | |
diesel | L4 2,0 l 420d | 184 ch |
L6 3,0 l 430d | 258 ch | |
L6 3,0 l 435d | 313 ch |
Il se pourrait que par la suite une M4 Gran Coupé (431 ch) fasse son apparition à l’image de la Série 6 Gran Coupé déclinée en M6 Gran Coupé.
Attendue pour une première présentation officielle au salon de Genève au mois de mars prochain, la BMW Série 4 Gran Coupé sera commercialisée au mois d’octobre 2014. Pour ce qui est des tarifs, il faudra compter sur des prix élevés. L’entrée de gamme devrait se situer à 42 000 € avec le 2,0 l 420i 184 ch essence.
Les essayeurs de la marque à l’hélice à l’œuvre surpris par Worldcarfans :
Source iconographique : Bimmerpost
Le monde automobile est en plein effervescence en ce mois de janvier 2014, le salon de Detroit n’y étant pas étranger ! Alors qu’à ce dernier les constructeur dévoilent en première mondiale de gros modèles sportifs comme la BMW M3 & M4 et la Lexus RC F, on aurait aimé y découvrir la version la plus musclée de la nouvelle Classe C : à savoir la C63 AMG !
Pour autant, les spyshots et photomontages ne manquent pas sur la toile ! Le dernier scoop en date est relié sur un blog allemand qui s’interroge sur la nature des deux images que l’on peut voir ci-dessous. Est-ce des illustrations retouchées par ordinateur ou de véritables photos officielles ?
Voici la prochaine Mercedes C63 AMG, plutôt suggestive, elle fait penser à la E63 AMG !
On remarque les imposantes jantes, le bouclier et la calandre spécifiques
De notre côté, nous avons notre petite idée. En effet, ces deux visuels semblent être ceux modifiés de la Classe C AMG Line 2014. L’arrière-plan est strictement identique (tout comme l’habitacle ?), ce qui serait très surprenant ! Enfin, cela paraît très avancé par rapport à sa commercialisation qui n’est pas immédiate.
Les normes anti-pollution sont une dure réalité pour les amoureux de belles mécaniques. Plus aucun constructeur ou presque décide de maintenir ou d’augmenter la cylindrée de ses blocs.
La partie arrière se distingue d’une Classe C « normale » par quatre sortie d’échappement. Les détails sont tellement précis, que l’on peut douter de l’origine de cette image…
La C63 AMG 2015 suivra la voie ouverte par les E63 et S63 AMG en adoptant le V8 5,5 l suralimenté (ou le V8 4,0 l turbo). Le nombre de chevaux attendus est de 450 ch. Le pack performance permettra même d’atteindre 500 ch…
Tobias Moers, directeur de la production AMG, a confirmé que la Mercedes C63 AMG sera de sortie pour 2015, sans apporter plus de précision. Du côté des tarifs, il faudra s’attendre à un prix salé : pas moins de 90 000 € et 10 000 € supplémentaires pour faire grimper le nombre d’équidés à 500 ! Aïe !
Source : autofilou.at
Chez Peugeot, les modèles sportifs reviennent en force (208 GTI, 208 R, RCZ R, 308 R, …) et ce n’est pas l’arrivée de Carlos Tavares chez PSA qui va inverser la tendance, bien au contraire ! Une bonne nouvelle donc pour les amateurs du genre. Dernière information en date : la nouvelle Peugeot 308 II (voir notre essai) va profiter d’une version GT ou GTI, GT étant l’appellation la plus probable.
Actuellement, les moteurs les plus puissants sur la compacte sochalienne sont le 1,6 l THP 155 ch en essence et le 2,0 l HDI 150 ch en diesel. Un peu juste pour se faire une image, notamment par rapport à la Volkswagen Golf VII (voir notre essai) culminant à 300 ch dans sa version R et qui propose des blocs intermédiaires à 184, 220 et 230 ch (voir notre essai sur circuit).
Voici une illustration de la future Peugeot 308 GTI 2014 qui prendrait plutôt le sigle GT
On remarque un bouclier avant redessiné pour être plus agressif, des jantes de gros diamètre, un aileron au-dessus de la lunette arrière et sans doute une calandre spécifique
La poupe recevra une double sortie d’échappement et un diffuseur. L’ensemble demeure assez discret, mais ravira les acheteurs cherchant une Peugeot 308 avec un peu plus de caractère
Pour remédier à cette carence en motorisations, la firme au lion va sortir deux nouveaux niveaux de puissance sur sa 308 : un 1,6 l THP 200 ch – ou 220 ch selon certaines rumeurs – en essence (déjà présent sur le coupé RCZ) et un 2,0 l BlueHDI 180 ch en diesel (présent sur la 508 et la Citroën DS5). La 308 berline, comme la 308 SW (break) récemment dévoilée profiteront de ces deux moteurs. Cette dernière ira concurrencer la Renault Megane Estate GT (220 ch) notamment.
Même topo pour la 308 SW ! Le break compact se parera aussi des ces petits éléments spécifiques qui lui donnent encore plus d’allure, vivement la présentation officielle !
Par ailleurs, Peugeot Sport devrait avoir son mot à dire sur le châssis déjà applaudi aujourd’hui par les essayeurs. Il serait plus orienté sport afin de combler les adeptes de conduite dynamique et de routes sinueuses. Le système de freinage sera amélioré pour être plus endurant et performant, tout comme sur la suspension qui sera plus dure, tandis que la hauteur de caisse sera abaissée.
Des personnes bien informées indiquent que la date de sortie des 308 GT & 308 SW GT se fera dans le courant du mois de septembre 2014, soit juste un an après l’apparition de la 308 mk2.
Quant aux tarifs, ils devraient être semblables entre l’essence et le diesel (la différence de puissance compensant) et le niveau d’équipement sera supérieur à la finition Feline. On estime un prix d’entrée à 32 000 € avec un surcoût de 1 000 € pour la SW GT.
A suivre !
Crédits iconographiques : Cavalino
Mais seulement au Japon ! En effet, alors que l’actualité automobile est concentrée sur le salon de Detroit aux Etats-Unis, les Japonais ont droit au Tokyo Auto Salon. C’est un événement essentiellement dédié à la préparation. Renault y tient un stand sur place… et c’est une Megane RS Gendarmerie qui y est exposée !
Une Renault Megane RS Gendarmerie dans les rues de Tokyo : surnaturel, mais ce sera bientôt le cas !
Ici le but n’est pas de convaincre la police locale d’adopter la même auto qu’en France, mais bien de vendre une série limitée baptisée « Megane R.S. Gendarmerie » (prononcé « Jandarumuli » en japonais) exactement identique (couleurs, intérieur, …) à celle qui est utilisée par la Brigade d’intervention rapide française.
Voici les images tirés du site officiel Renault Japon. En plus de l’inscription « Gendarmerie », les autocollants jaunes seront aussi proposés pour les adeptes du plus vrai que nature ! Seul le gyrophare manque à l’appel
Disponible en seulement 20 exemplaires, la partie mécanique de cette Megane RS 3 phase 2 (la phase 3 arrive bientôt chez nous) est strictement identique à la version de série. A savoir, un 2,0 l turbo essence de 265 ch à 5 500 tr/min pour 360 Nm de couple. La boîte manuelle à six rapports se charge de commander la puissance aux roues avant.
L’habitacle est bien entendu accompagné de deux sièges baquet Recaro. Indispensables pour un bon maintient en conduite rapide !
Déjà disponible, la Renault Megane R.S. Gendarmerie est vendue 3 890 000 yens, soit à peu près 27 430 euros. Reste à savoir si un jour un petit malin tentera de l’importer en hexagone – ou même un touriste japonais venant avec sa RS – pour jouer des tours aux forces de l’ordre tricolores, la situation serait cocasse !
Après la présentation officielle au début du mois de janvier de la Peugeot 308 SW II, la marque nous en dit plus les tarifs, moteurs et finitions qui seront associés à sa 308 allongée de 33 centimètres.
Avec un volume de chargement de 610 litres, la Sochalienne se place juste derrière la reine du segment : l’Honda Civic et ses 624 litres. Malgré ce bon chiffre, la marque au lion ne surfacture pas sa déclinaison break. Avec un diesel démarrant à 22 350 euros et un essence commençant à 22 750 euros, les prix se situent dans la moyenne. Le surcoût par rapport à la berline (voir notre essai) se limite à 900 euros, ce qui est raisonnable.
Les quatre niveaux de finition sont proposés (Access, Active, Allure et Feline). La seule différence est qu’ici le trois-cylindres 1,2 l VTi de 82 ch ne sera pas vendu, une décision logique dans le sens où la 308 SW est amenée est à être chargée, ce bloc étant trop léger pour emmener l’auto correctement. Par ailleurs, la boîte auto en option contre 1 200 euros est exclusivement réservée au diesel BlueHDI 2,0 l 150 ch. Enfin, l’essence e-THP 1,2 l 110 ch fera son entrée qu’au second semestre 2014 – la 308 SW 2014 étant commercialisée au printemps.
Type de moteur | Moteur | Finition | Prix |
essence |
1,2 l e-THP 110 ch | Active | 22 750 € |
Allure | 24 850 € | ||
1,2 l e-THP 130 ch | Allure | 25 950 € | |
Feline | 28 250 € | ||
1,6 l THP 155 ch | Allure | 26 650 € | |
Feline | 28 950 € | ||
diesel | 1,6 l HDI 92 ch | Access | 22 350 € |
Active | 24 050 € | ||
Allure | 26 150 € | ||
1,6 l e-HDI 115 ch | Active | 25 400 € | |
Allure | 27 500 € | ||
Feline | 29 800 € | ||
2,0 l BlueHDI 150 ch | Allure | 29 500 € | |
Feline | 31 800 € |
La Porsche 911 Targa est un modèle un peu à part. Au départ conçue pour le marché américain demandant d’imposants arceaux aux voitures découvrables (la 1ère génération est sortie en 1965) et censée remplacer la déclinaison cabriolet, elle cohabite depuis avec le coupé et le cabriolet.
Pour cette 911 Targa 2014 dévoilée au salon de Detroit 2014, le constructeur allemand joue la carte de la nostalgie avec cet épais arceau gris avec trois ouïes verticales rappelant les premiers générations. Le toit est rétractable électroniquement, tandis que le dessin du bouclier avant se différencie légèrement des autres 911 avec des prises d’air spécifiques. En revanche, la partie arrière demeure inchangée.
Pour cette génération 2014 (type 911), la 911 Targa garde une certaine fluidité dans sa lignes malgré l’imposante partie en verre et l’arceau
Deux blocs seront proposés lors de sa sortie. Le premier est le flat-six 3,4 l de 350 ch et le deuxième est le flat-six 3,8 l fort de 400 ch disponible uniquement en transmission intégrale (4S) pour ce dernier. Le 0 à 100 km/h est effectué respectivement en 4,8 ou 4,4 s, tandis que la Vmax atteint 282 ou 296 km/h ! La consommation varie de 8,7 à 10,2 l/100 km selon la version choisie.
La commercialisation de la Porsche 911 Targa est prévue pour mai 2014. Au chapitre des tarifs, les prix s’échelonnent de 111 323 € pour la Targa 4 à 126 203 € pour la Targa 4S.
Lancée en 2011 pour être vendue dans le monde entier, la Ford Focus de troisième génération fait une belle carrière avec plusieurs millions d’exemplaires déjà vendus. Cependant, la concurrence sur le segment s’est encore durcie avec l’arrivée de la Volkswagen Golf 7 (voir notre essai) et la Peugeot 308 2 notamment. Ainsi, dès 2014 la compacte à l’ovale bleue ainsi que ses deux déclinaisons, seront revues de fond en comble afin de conserver sa position de leader sur son marché.
Tout comme sa petite sœur, la Fiesta (voir notre essai de la version sportive ST), la Focus adoptera le fameux facelift « Aston Martin ». Adieu les entrées d’air triangulaires sur la proue, place à une grande bouche d’aération avec baguettes horizontales chromées. En somme, la version électrique ne devrait pas trop s’en éloigner (image) ? Les optiques subiront une grosse refonte avec l’apparition des LED pour un regard plus moderne.
Les bâches sont encore bien présentes lors de cette phase de test pour la Ford Focus restylée photographiée par Autoevolution
Lors de sa sortie, Ford devrait la présenter comme la « nouvelle Ford Focus » bien qu’il s’agisse d’un restylage, important, il est vrai
A l’intérieur, la marque en profite pour réorganiser la console centrale tant décriée (ouf, le pavé numérique disparaît !). La qualité des matériaux semble également progresser. Par ailleurs , un écran tactile sera très certainement de la partie
Pour la partie arrière, alors qu’on pensait qu’elle ne serait pas touchée par le restylage, celle-ci verra au moins ses feux modifiés comme les camouflages sur les photos volées le suggèrent. Le profil, et donc les portes, demeureront inchangés.
Au chapitre mécanique, les blocs carburant au diesel seront mis à jour pour être plus économes et émettre moins de CO2 au kilomètre. Pour la gamme essence, on notera l’arrivée du nouveau trois-cylindres Ecoboost de 1,5 l, tandis que le 1,0 l Ecoboost deviendra plus efficace. La boîte auto baptisée « Powershift » à double embrayage (en option) sera reprise à la Fiesta.
La Ford Focus restylée 2014 sera peut-être visible au salon de Genève en mars prochain. Côté tarifs, pas de bouleversement à prévoir : Ford continuant à jouer sur une politique tarifaire agressive. Le prix de base se situera aux alentours de 18 500 €.
Source iconographique : Autoevolution
L’édition 2014 du salon de Detroit vaudra le détour et plus particulièrement pour les amateurs de sportives. Après des images de la Lexus RC F culminant à 450 ch, nous passons encore un cran au-dessus avec la nouvelle Chevrolet Corvette Z06 !
Pour cette version plus musclée de la Corvette C7 dévoilée il y a maintenant un an, l’américaine se dote d’un pack aérodynamique que l’on retrouve en course et quelques artifices que l’on mettrait davantage dans la rubrique tuning.
Quelle gueule ! La Chevrolet Corvette Stingray Z06 2014 frappe fort !
Capot bicolor, bouclier spécifique, lames en carbone, prise d’air au niveau des ailes arrière, garde au sol abaissée, … sont au programme
Comme ces images ont été divulguées à l’insu du constructeur, la fiche technique du bolide n’est pas encore connue. Cependant, les pronostics lui donnent un moteur V8 turbo de quelques 620 chevaux et un couple s’élevant à 881 Nm. Le bloc atmosphérique V8 de 7,0 l et 512 ch de la devancière serait donc mis au placard. Le bloc sera commandé par une boîte auto avec palette derrière le volant.
La proue de la nouvelle Z06 reçoit un aileron noir, de quoi garder un peu d’appui une fois que les 300 km/h s’approchent sur le compteur !…
Surprise ici : l’habitacle reste très « soft » comparé à la plastique extérieure de l’engin.
Par rapport à une C7, la Z06 2014 reçoit de nouveaux sièges en cuir avec surpiqures blanches. Même le tableau de bord est identique, c’est une déception…
Comparativement, la version classique avec son V8 6,2 l de 460 ch et 624 Nm, passerait presque pour un coupé « peu puissant » ! Attention, car il reste encore la version ultime, la ZR1 !
Les futurs acheteurs français vont devoir patienter. En effet, si la Z06 2014 se montre au grand jour en ce mois de janvier, c’est au mieux à la fin de l’année qu’il pourront se mettre derrière le volant de la supercar. Alors que la C7 est déjà victime de son succès, qu’en sera-t-il de la nouvelle Z06 affichant un prix autour des 100 000 € contre 95 300 € pour le modèle actuel ? Une rumeur indique que ce serait la dernière Z06 si les ventes ne suivent pas…
>> Les premières caractéristiques techniques sont connues, les estimations étaient même en-dessous !
Véritable succès dans les crossovers, le Dacia Duster reçoit un restylage à mi-carrière tout en baissant ses tarifs !
Sorti en 2010, ce baroudeur a tout de suite connu un succès au-dessus des attentes de la marque roumaine.
Après 3 années de bons et loyaux services, ce Duster évolue esthétiquement mais aussi sur la partie moteur avec l’ajout d’un nouveau bloc essence.
Deux moteurs diesel (90 et 110 ch) et deux moteurs essence (105 et 125 ch) sont à disposition ainsi que quatre finitions (Duster, Ambiance, Lauréate et Prestige).
Nous avons pu essayer sur les routes du sud le 1.5 dCi de 110 ch et le 1.2 TCe de 125 ch dans leur finition haut de gamme (Prestige).
Extérieurement, les changements principaux sont situés à l’avant avec une toute nouvelle calandre et l’ajout de nouveaux phares. Ces modifications lui donnent un nouveau regard beaucoup plus accrocheur que sur la première version. Mis à part cela, on peut ajouter des barres de toit couleur aluminium avec l’inscription « Duster » (de série sur la finition Prestige).
Sur cette vue rapprochée, on peut voir la calandre retouchée pour le lifting. Elle devient plus classieuse et les optiques de phares gagnent un dessin interne plus moderne
Les dimensions extérieures sont identiques, soit 4,32 mètres de longueur pour 2 mètres de large.
Concernant les motorisations, les deux diesels (90 et 110 ch) et le bloc essence/GPL de 105 ch sont reconduits. A cela s’ajoute le nouveau moteur essence 1.2 TCe de 125 ch disponible dès le deuxième niveau de finition.
A son bord, la nouvelle planche de bord devient plus fonctionnelle avec l’apparition de deux vide-poches.
Malheureusement, la finition intérieure reste de piètre qualité. Les plastiques bas de gamme sont trop présents dans l’habitacle et on prend un léger coup de vieux à son volant.
Bon point, les commandes de vitres qui étaient auparavant sur la console centrale passent sur les portes, un lieu plus approprié pour leur manipulation.
Côté conducteur, on est bien assis dans un siège qui procure un confort satisfaisant. Le volant n’est pas réglable en profondeur, il faudra donc « jouer » avec le réglage du siège pour trouver une position optimale.
La présentation intérieure, et notamment la planche de bord, devient plus agréable malgré tout avec ce restylage
Dans notre finition Prestige, ce Duster n’est pas avare en équipements. Grand écran tactile de 7 pouces incluant la navigation GPS et les autres menus (radio, prise USB, téléphone, Bluetooth, …), climatisation, volant cuir, régulateur/limiteur de vitesse ainsi qu’un radar de recul ! Imbattable !
A cela s’ajoutent deux airbags latéraux supplémentaires et un ESP devenu obligatoire sur tous les modèles, rassurant en terme de sécurité.
Pour tout ce qui est des autres équipements en option, ils sont à un prix modique, 200 € pour des sièges chauffants par exemple.
Les cotes intérieures restent les mêmes après ce restylage. A l’arrière, les nouveaux sièges donnent un surplus de confort.
Les 1,70 mètre de haut du Duster ne gênent pas les passagers de grande taille qui ne sont pas à l’étroit et l’espace aux jambes s’avère dans la moyenne.
Cependant, la largeur à l’arrière est insuffisante pour 3 passagers qui se sentent un peu serrés.
Les vitres arrière surteintées de série sur notre modèle ne nous ont pas déplu avec le soleil présent lors de l’essai.
Le coffre de 475 dm3 spacieux et pratique se place bien par rapport à ses concurrentes sur le marché des 4×4. A titre de comparaison, un Nissan Qashqai sensiblement du même gabarit offre un coffre de 450 dm3.
La modularité peu évoluée de la banquette empêche d’obtenir un plancher plat. En effet, les dossiers se rabattent partiellement et restent donc apparents.
Malgré la hauteur de caisse, ce Dacia Duster réagit bien dans les virages, bien aidé par l’ESP désormais de série. Sa tenue de route nous montre qu’il a été étudié plus pour la route que pour un usage tout-terrain.
Les suspensions filtrent très bien les imperfections de la route. Quant aux mouvements de caisse, ils restent faibles.
A l’usage, les sièges apportent peu de maintien dans les virages et cela devient vite fatigant, plus particulièrement lors de notre essai sur routes sinueuses. L’écran tactile situé trop bas oblige le conducteur à quitter la route des yeux, gênant lors d’une navigation GPS…
Toujours équipé de tambours à l’arrière pour des raisons de coût, on pourrait croire que le freinage n’est pas performant. Effectivement, il n’est pas excellent, mais son poids mesuré (environ 1 200 kg selon les versions) lui permet d’effectuer des freinages corrects et n’a donc pas à rougir de ses concurrentes équipées de disques avant/arrière.
On aurait juste préféré une meilleure accroche sur les freinages d’urgence.
En ville, la direction est lourde et demande un peu d’effort lors des manœuvres, mais reste agréable à allure plus élevée.
Deux motorisations nous étaient proposées à l’essai, le diesel de 110 ch et le bloc essence de 125 ch dans la configuration 4×2 (deux roues motrices). Pour obtenir la version 4×4, il faudra débourser 2 000 € supplémentaires (le dCi 110 ch est le seule à pouvoir en profiter).
Notre mazout de 110 ch équipé d’une boite à 6 rapports suffit au quotidien. Son couple maximum, disponible tôt dès 1 700 tr/min jusqu’à 2 500 tr/min, ainsi que sa légèreté lui permettent d’effectuer des relances satisfaisantes.
Son moteur reste bruyant et se fait sentir dans l’habitacle, dont l’insonorisation progresse, mais n’est pas encore parfaite.
Quant à la version essence de 125 ch équipée d’un turbo, elle nous a surpris par son couple important disponible très tôt (2 000 tr/min). Ses relances vives permettent au conducteur d’effectuer des dépassements en toute sécurité sans pour autant changer de rapport sur une boite 6 vitesses efficace.
Moins bruyant que le diesel, ce bloc essence se fait oublier plus facilement en écoutant la radio qui reste simple d’utilisation.
Par ailleurs, Dacia n’envisage pas l’arrivée de moteurs plus puissants à ce jour.
Concernant le bonus/malus, les deux moteurs essence subiront un malus de 500 € et les diesel resteront en zone neutre grâce à une réduction des émissions de CO2 suite à ce restylage.
Type de moteur | Moteur | Finition | Prix |
essence |
1.6 105 ch GPL 4X2 | Duster | 11 900 € |
Ambiance | 13 000 € | ||
TCe 125 ch 4X2 | Ambiance | 14 500 € | |
Lauréate | 15 600 € | ||
Prestige | 16 700 € | ||
diesel | 1.5 dCi 90 ch 4X2 | Duster | 13 400 € |
Ambiance | 14 500 € | ||
Lauréate | 15 600 € | ||
1.5 dCi 110 ch 4×2 | Ambiance | 15 100 € | |
Lauréate | 16 200 € | ||
Prestige | 17 300 € | ||
1.5 dCi 110 ch 4×4 | Ambiance | 17 100 € | |
Lauréate | 18 200 € | ||
Prestige | 19 300 € |
Après une journée au volant du Duster 4×2, nous avons pu découvrir sur un atelier franchissement les aptitudes tout-terrain du Duster 4×4.
Avec sa transmission intégrale (disponible sur le 1,5 l dCi 110 ch), le tout-terrain roumain ne se trouve que rarement en difficulté
Les sensations n’ont rien à voir avec un Duster deux roues motrices, on est même étonné par sa capacité à franchir des obstacles. Pente de 40 degrés, bosses le mettant sur 3 roues, aptitude sur sol glissant, traversée d’un gué avec 30cm d’eau, rien ne lui a résisté !
Une bonne expérience pour les personnes n’ayant jamais fait de 4×4 dans des conditions difficiles.
Soyons clairs, ce 4×4 n’est pas un franchisseur tel que serait une Jeep et ce n’est pas ce qu’on lui demande.
Ce que souhaite Dacia en commercialisant le Duster, c’est proposer un 4×4 polyvalent sur tous les terrains sans pour autant exceller dans un des domaines. Confortable, plutôt rassurant sur route, il est à l’aise sur les terrains accidentés, y compris en deux roues motrices. La marque roumaine a rempli ses objectifs !
Bien sûr, on ne peut pas oublier sa finition bas de gamme, sa mauvaise insonorisation ainsi que sa direction lourde à basse vitesse … mais à un tel prix plancher, peut-on espérer mieux ?
Considéré comme une alternative au crossover tel que le Nissan Qashqai 2, le Dacia Duster moins cher à l’achat, même dans sa finition la plus haut de gamme, peut s’avérer un bon choix.
Ce restylage l’a rajeuni intérieurement avec une finition en progrès, mais aussi extérieurement avec une gueule vraiment attachante !
Alors, tenté ?
Lexus va profiter de l’imminent salon de Détroit aux Etats-Unis pour dévoiler rien de moins que son modèle le plus puissant jamais présenté ! Il s’agit du coupé RC F fort d’un V8 de 450 ch (de 477 ch et 530 Nm en réalité) ! Ce même bloc atmosphérique de 5,0 litres de cylindrée développait 423 ch sur la IS-F, la tout récente M4 de BMW et ses 431 ch n’a qu’à bien se tenir face à la Japonaise !
Du côté de la fiche technique, la marque de luxe appartenant à Toyota n’a pas encore communiqué. La présentation officielle ayant lieu le 13 janvier 2014 à 14 h 45 (heure de Paris) au salon de Détroit.
La face avant de cette Lexus RC F est sans pareille avec sa gueule béante matérialisée par une calandre géante ! Les optiques sont très acérées. La branche sport (d’où le « F ») de la marque veut faire tourner les têtes avec son bolide !
En revanche, l’habitacle contraste. En effet, ici c’est plus sobre et luxueux tout en étant austère et pas franchement original. Le carbone rappelle la vocation de l’auto, tandis que la console centrale et ses multiples boutons parait déjà datée…
Toutefois, il y a fort à parier que la Lexus RC F 2014 atteigne le 0 à 100 km/h en un très court instant : 4,2 secondes ! La Vmax, quant à elle, devrait s’établir au niveau des 280 km/h, elle n’a pas à rougir de ses performances !
Il faudra encore attendre un peu pour connaître sa date de sortie espérée pour 2015. Pour ce qui est de son prix, il est lui aussi encore tenu secret. Cependant, les estimations penchent vers un tarif débutant à 100 000 euros. Rien d’étonnant au regard de ce que propose constructeur.
Sous cet angle, on est davantage rassuré avec ces deux magnifiques sièges baquet bien visibles dans cet ensemble majoritairement de couleur noire
La RC F est dotée de jantes de 19 pouces à 10 bâtons. Parmi les trois choix au catalogue, un modèle sera fini à la main.
Par ailleurs, un aileron sur la malle se déploie automatiquement à partir de 80 km/h
La supercar du pays du soleil levant est à découvrir dans ce spot :
Depuis l’apparition de la Classe A en 2012, Mercedes multiplie les variantes de son modèle. Après la CLA, et le GLA, voici la déclinaison allongée de la CLA, à savoir la CLA Shooting Brake ! Le site AutoBild a surpris la bête partiellement camouflée, mais ces parties cachées ont été habilement révélées grâce aux retouches par ordinateur.
Comme ses deux sœurs précédemment citées, la CLA Shooting Brake partagera les mêmes motorisations (de 109 à 360 ch) et équipements. La transmission intégrale 4Matic est au programme sur certains blocs.
C’est sous cet angle que la CLA Shooting Brake se perçoit. Il est encore difficile de dire si l’intégration est réussie
Par rapport à la berline, cette « baby CLS » offre un espace aux passagers arrière plus important pour les jambes et la tête. Par ailleurs, l’accès à la banquette est facilité grâce aux ouvrants plus larges. Le coffre progresse également en passant de 470 à plus de 500 litres. Son ouverture plus grande est aussi plus pratique pour le chargement.
Pour découvrir officiellement cette Mercedes CLA break, il faudra attendre le salon de Genève en mars ou plus certainement le Mondial de Paris à la rentrée prochaine. Sa commercialisation en concessions aura lieu dans le courant de l’année 2015.
Ces photos volées représentent une Mercedes CLA Shooting Brake avec pack esthétique AMG. Cependant, les jantes devraient être plus imposantes que celles visibles ici
Son prix de vente est estimé aux alentours de 30 000 € (la berline démarre en France à 28 796 € avec le 1,6 l 122 ch essence 180 Edition BlueEfficiency Inspiration).
A suivre.
Difficile d’être fixé, c’est le moins que l’on puisse dire à propos d’une éventuelle version « RS » de l’actuelle Ford Fiesta ! En effet, depuis un moment déjà des rumeurs indiquent sa sortie prochaine ou sa mise au placard. Les Britanniques d’Auto Express nous affirment que chez la marque à l’ovale bleue, il ne manque plus qu’un feu vert pour que la petite bombinette voit le jour. Explications.
La Ford Fiesta ST 1,6 l turbo 182 ch (voir notre essai) a été très bien accueillie par l’ensemble de la presse et les bruits de couloir annonçant une Peugeot 208 R et une Renault Clio Gordini RS ont sans doute fait accélérer le pas à la direction de Ford pour une Fiesta RS.
Pour l’horizon 2015, ce serait donc une Fiesta RS forte de 230 ch tirés du 1,6 turbo qui pourrait voir le jour. Ici, ce serait un véritable différentiel autobloquant mécanique, des suspensions revues et raffermies, ainsi qu’un freinage amélioré qui serait de la partie en plus d’une esthétique encore plus aguicheuse. En somme, une version plus radicale.
Fidèle à son habitude, Ford ne ferait pas gonfler exagérément les tarifs de son auto. Pour la Fiesta RS 2015, on parle d’un prix à 28 000 €, pour un plaisir encore plus grisant qu’avec la ST.
Vivement la suite !
Source iconographique : Auto Express / Poblete
L’arrivée du 13 au 26 janvier prochain du salon de Détroit aux Etats-Unis draine son lot de nouveautés ! Après des photos volées + une vidéo de la sonorité moteur, la présentation de la version classique et d’un concept-car, voici enfin la nouvelle Mercedes GLA 45 AMG dans sa version définitive.
Dans sa version d’origine, le GLA est déjà doté d’un style assez fort, tout comme la Classe A dont il est dérivé. Avec cette version 45AMG, la carrosserie subit encore quelques modification pour lui offrir une allure encore plus agressive, mais qui perd en élégance en particulier pour la poupe trop chargée.
La calandre AMG à double lame en impose et donne ce caractère sportif au GLA.
La lame inférieure et les déflecteurs sur les entrées d’air couronnent le tout
Pour l’arrière du nouveau GLA AMG, on remarque la casquette pour la lunette, les quatre sorties d’échappement aux formes carrées et un diffuseur
Les jantes de 20 pouces chaussées de pneus Continental sont réussies. Les bas de caisse renforcent l’aspect massif du GLA 45 AMG 2014
L’habitacle de la GLA 45 AMG est agréable à l’œil et pas trop austère avec ces sièges baquet de couleur rouge mêlant cuir Artico et microfibre Dinamica. Le tableau de bord est mis en valeur avec de l’alu brossé et du carbone
Pour ce qui se passe sous le capot, nous sommes en terrain connu. En effet, ici on retrouve le même ensemble déjà présent dans les CLA 45 AMG et A 45 AMG. C’est-à-dire le 4-cylindres 2,0 l M133 turbo Twinscroll à injection directe. Sous la pédale d’accélérateur, ce sont 360 ch et 450 Nm de couple qui sont disponibles, l’Audi RSQ3 et ses 310 ch n’a qu’à bien se tenir !
La transmission est intégrale (4Matic) et est commandée par une boîte automatique à double embrayage à sept rapports.
Les premières commandes pourront être prises en mars pour une livraison au mois de juillet prochain. Du côté des tarifs, rien n’est encore officiel, mais il devrait se rapprocher des 60 000 €.
Commercialisée depuis le début 2011, la Peugeot 508 (voir notre essai) voit ses ventes fléchir sur l’année 2013 (de l’ordre de – 15 %) alors qu’elle est la numéro un de son segment en France (à l’étranger les ventes sont plus difficiles) devant ses rivales que sont les Citroën C5, Renault Laguna, BMW Série 3, … Bonne nouvelle, l’année 2014 sera l’occasion pour la firme au lion de présenter sa berline haut de gamme restylée. Explications.
Si la voiture sera remaniée pour ses déclinaisons berline, break (SW) et RXH, il ne faut pas non plus s’attendre à un grand bouleversement. Les retouches se concentreront sur la proue – inspirée par la nouvelle 308 – et pour le reste cela se manifestera plus discrètement.
Voici un aperçu de ce que pourrait être la nouvelle Peugeot 508 restylée pour 2014
On remarque les optiques avant full LED avec un décroché comme sur les 2008 et 308. En revanche, le logo sur la grille de la calandre semble peu probable (il sera sur le capot), car pas en accord avec les derniers codes stylistiques de la marque exception faite de la 308 R (crédits : Cavalino)
Une proposition pour la 508 phase 2. Ici les phares et antibrouillards sont encore très inspirés par la 308 II (crédits : RM.Design)
Certains parient sur une poupe plus sportive, avec notamment l’intégration de la plaque d’immatriculation sur la malle. La finition GT et ses quelques attributs spécifiques (double sortie d’échappement droite gauche…) pourrait aussi être améliorée.
L’intérieur profitera également d’une petite mise à niveau. La caméra de recul couplée à l’écran de navigation fera son entrée (l’écran tactile disponible sur les derniers modèles ne semble pas prévu). Et quelques autres équipements seront sans doute ajoutés. Les jantes, selleries et teintes devraient être revues.
Les changements importants auront lieu sur la gamme diesel. L’arrivée de la norme Euro 6 oblige les constructeurs à proposer des mazouts rejetant des émissions de Nox inférieures (le CO2 et la consommation sont en baisse), PSA répond donc par le BlueHDi. Disponible dans sa version 2,0 l 150 et 180 ch (d’autres modèles du groupe profiteront d’une 1,6 l BlueHDi), ce moteur équipant la finition haut de gamme GT signera la fin du 2,2 l HDI de 204 ch.
Au final, la palette des motorisations devrait s’étalonner de 115 à 200 ch (2 essence, 3 diesel et 1 hybride rechargeable) :
Type de moteur | Moteur | Puissance |
essence |
1,6 l 16V VTi | 120 ch |
1,6 l THP | 155 ch | |
diesel | 1,6 l e-HDi | 115 ch |
2,0 l BlueHDi | 150 ch | |
2,0 l BlueHDi | 180 ch | |
hybride diesel | 2,0 l HDi (163 ch) + moteur électrique (37 ch) | 200 ch |
Le communiqué officiel de la Peugeot 508 restylée sera diffusé probablement au cours de l’été ou à la rentrée 2014 étant donné que celle qui fait office de vaisseau amiral pour le constructeur sera présente au Mondial de l’auto 2014.
Sa date de sortie sera connue dans la foulée (sans doute octobre 2014) et son prix devrait légèrement augmenter avec une offre débutant à près de 24 500 €.
A suivre dans les mois à venir avec d’éventuelles photos volées… La 508 II étant attendue avec la C5 III pour 2017 ou 2018.
La deuxième génération de 308 SW gagne 8 cm en longueur, pour un total de 4,58 mètres. Cela commence à faire un peu beaucoup, non ?
Il fut un temps où les constructeurs faisaient les difficiles en refusant d’entrer dans telle ou telle catégorie car celle-ci ne correspondait pas à leur image. Aux débuts des années 2000, Peugeot ne voulait pas entendre parler des monospaces compacts, qui étaient devenus la nouvelle coqueluche des familles, car ils n’étaient pas assez dynamiques au goût du lion. La marque de Sochaux avait choisi d’attirer les ménages avec une déclinaison break à sept places de la 307 SW. Et l’idée a séduit. Elle a été logiquement reconduite avec la 308.
Mais les temps ont bien changé. De nos jours, il est devenu impensable pour un grand constructeur d’éviter ouvertement un segment populaire. Quand on voit que même BMW prépare un monospace pour 2014, on se dit que Peugeot aurait été idiot en ne proposant pas un rival du Scénic. Heureusement, il a réagit en 2009 avec le 5008, frère technique du crossover 3008 qui lui attire… les lassés du monospace. Au milieu de tout cela, une 308 SW 7 places n’a plus eu beaucoup d’intérêt. Pas étonnant donc que Peugeot revienne à une architecture intérieure classique pour la nouvelle génération.
L’effet sac à dos n’est pas trop prononcé. Peugeot semble avoir rajouté quelques centimètres à l’empattement.
On oublie donc les occupants en plus dans le coffre et la deuxième rangée est une classique banquette. Peugeot annonce que la nouvelle venue se veut plus élégante et plus dynamique. Ce n’est pas faux (on pouvait d’ailleurs faire difficilement pire)… mais on attendait mieux en réalité. La nouvelle SW s’allonge de 33 centimètres par rapport à la berline et annonce un coffre gigantesque de 610 dm3. Mais à quoi cela sert-il ? Qui achète un break compact pour son volume de chargement ? On ne déménage pas tous les dimanches ! Pourquoi Peugeot n’a t-il pas tenté de dessiner un petit break de chasse sexy à partir de la 308. Evidemment, la capacité aurait été sacrifiée mais franchement cela n’aurait pas gêné grand monde.
Ou alors, il faut voir plus large. Avec un tel véhicule, Peugeot veut faire les yeux doux à une clientèle bien précise : les entreprises, qui représentent une part non négligeable du marché français. Ce qui explique que cette lionne fasse dans le grand volume avec une silhouette classique, aux faux airs de 508 SW, avec des feux arrière horizontaux, qui partent des ailes pour déborder sur le hayon. Mais ceux de la 308 se reconnaissent à leur forme en boomerang, accentuée par une partie centrale blanche. Pour tenter de dynamiser un peu l’ensemble, la vitre de custode se termine en pointe et quelques nervures parcourent la carrosserie.
La modularité est simple mais efficace. On retrouve une banquette arrière qui se rabat en 1/3-2/3, formant un plancher plat.
La modularité est simple, avec des dossiers qui se replient sur les assises, formant un plancher parfaitement plat. L’opération peut s’effectuer depuis le coffre avec des petites tirettes. La zone de chargement montre des formes régulières. En revanche, Peugeot n’a apparemment pas multiplié les astuces. Pour l’instant, il ne s’est pas montré très bavard sur cette auto il faut le reconnaître, mais aucun détail pratique n’est évoqué, pas même un dossier de siège passager rabattable pour transporter de longs objets. On devrait en savoir plus d’ici le Salon de Genève. On aperçoit le toit en verre panoramique, marque de fabrique des SW.
Les optiques au niveau de la poupe sont immenses ! Elles reprennent la forme en boomerang très en vogue chez Peugeot.
On retrouve sous la carrosserie la nouvelle plate-forme modulaire EMP2, gage d’allégement. Peugeot promet un poids moyen en baisse de 140 kg. La gamme de motorisations n’a pas été détaillée, elle devrait être proche de celle de la berline avec enfin l’arrivée des nouveaux blocs essence turbo 1.2 THP de 110 et 130 ch. Peugeot annonce quand même déjà une version Blue HDi ne rejetant que 85 g/km de C02. Elle bénéficiera donc en 2014 d’un bonus de 150 euros. La SW sera fabriquée à Sochaux. Sa date de commercialisation est attendue dans le courant du printemps, tandis que le surcoût par rapport à la berline devrait s’établir autour de 1 500 €. Le prix d’entrée devrait se situer en périphérie des 23 000 €.
>> Les tarifs de la 308 SW 2014 sont désormais connus !
Pour l’heure, la nouvelle Seat Leon III (voir nos essais de la ST et de la SC) culmine à 184 ch avec le diesel 2,0 TDI (180 ch en essence). Pas très musclé pour la marque « sportive » du groupe Volkswagen. Que les intéressés se rassurent, la Leon va bientôt se dévergonder ! Attendue au salon de Francfort 2013, ce sera finalement au salon de Genève 2014 que l’on pourra l’apercevoir pour la première fois. En attendant, voici quelques informations, photos volées (d’Inautonews) et illustrations.
Même si les seules photos réelles de la Seat Leon Cupra 2014 présentent le modèle encore camouflé, on regrette que la marque ne se soit pas lâchée davantage en ce qui concerne le kit carrosserie. Alors certes on a le droit à des boucliers avant et arrière redessinés pour être plus agressifs, des jantes 19 pouces avec gros disques de frein Brembo, deux sorties d’échappement droite/gauche et quelques autres artifices. Espérons que l’intérieur respire davantage la sportivité (la finition FR actuelle déçoit en étant trop austère).
Les illustrateurs comme Virtual Car réalisent de très beaux montages pour nous donner un premier aperçu de l’espagnole. Les images correspondent bien à ce que l’on peut deviner sur les spyshots (échappement trapézoïdale mis à part).
La Seat Leon Cupra R 2014 (coupé = SC = R chez Seat).
Certaines rumeurs font entendre que la R ne sera pas proposée…
A sa sortie, la Leon Cupra veut faire grand bruit. Disponible en boîte manuelle et automatique (DSG), elle sera équipée du 2,0 l TSI essence que l’on connait déjà sur la VW Golf 7 GTI ou l’Audi S3. La puissance délivrée aux quatre roues (oui, il s’agira d’une transmission intégrale) sera de 265 ch et selon les bruits de couloir 280 ch (avec un pack performance ?)… De quoi passer sous la barre des 6 s au 0 à 100 km/h et surtout battre la Renault Megane 3 RS sur le Nürburgring !
Du côté des tarifs, l’Ibérique risque de mettre tout le monde d’accord. En effet, avec une addition aux alentours des 33 500 €, elle place 1 500 € au-dessus d’une Megane RS (dépourvue de 4×4), mais surtout au même prix qu’une Golf 7 GTI 220 ch alors qu’elle proposera 45 équidés supplémentaires… Sans doute une bonne affaire, même si en toute logique elle sera privée de quelques équipements par rapport à sa cousine allemande pour ne pas lui faire trop d’ombre.
>> [MAJ] : Voir les photos officielles et les caractéristiques techniques
Attendue pour une présentation au salon de Détroit qui ouvrira ses portes dans moins de dix jours, la Mercedes Classe C AMG Line 2014 se montre déjà sur la toile. Voici donc les éléments du pack AMG extérieur et intérieur.
Cette finition AMG Line se rapproche de la SportLine que nous connaissons déjà. Elle ajoute encore plus d’agressivité avec un kit aérodynamique dont un bouclier avant avec lame de spoiler, des bas de caisse plus visibles, un pare-choc arrière avec prises d’air et un diffuseur où deux sorties d’échappement droite/gauche viennent se loger.
Après les photos de la Mercedes Classe C 2014, voici le pack esthétique AMG donnant une allure plus sportive
L’option AMG Line complète (carrosserie et habitacle) s’élève à 4 522 €, pas donné !
Ici, la ressemblance avec la nouvelle Classe S est frappante !
Les disques de frein avant sont perforés (comme sur la CLA) et les étriers sont siglés « Mercedes-Benz »
Les jantes alu de 18 pouces à cinq branches sont spécifiques. Le confort devient plus ferme avec des suspensions plus dures et la une hauteur de caisse diminuée de 1,5 cm à l’aide de ressorts plus courts.
Du côté de l’habitacle, la nouvelle Classe C pack AMG se pare de beaucoup de noir ! On remarque aussi des sièges (cuir ou tissu, selon le niveau de finition) au dessin plus sportif, un volant multifonction sport à trois branches (en cuir Nappa), des inserts alu, un pédalier en alu et des tapis de sol avec le logo AMG.
L’ensemble semble luxueux et bien fini (écran tactile mal intégré mis à part), mais l’ambiance est terriblement triste et sans couleurs
Il est à noter que les prix indiqués sont ceux pour l’Allemagne (TVA à 19 %). Les motorisations essence comme diesel pourront recevoir ces ornements esthétiques. Enfin, le break pourra également profiter de ces modifications.
Chez Seat le suspens dure depuis un moment à propos de l’introduction d’un SUV dans la gamme. Au départ attendu aux alentours de 2008, la crise économique avait eu raison de lui. Retournement de situation, puisque la presse anglophone parlent à nouveau d’un baroudeur urbain chez la marque espagnole.
Inspiré par les concepts IBe et IBX, celui qu’on surnomme « Tribu » ou « Freetrack » reposera sur la base de l’actuel Audi Q3. Cependant, il adoptera les codes stylistiques Seat. C’est-à-dire une ligne dynamique avec des traits tendus et saillants. Les formes triangulaires que l’on peut par exemple retrouver sur la nouvelle Leon ST seront bien entendu de la partie.
Le tout-terrain sera disponible en deux roues motrices, comme en transmission intégrale (sûrement uniquement disponible sur un bloc diesel). Il sera non pas produit à l’usine de Martorell, en Espagne, mais sur le site tchèque aux côtés du Skoda Yeti.
Si ce SUV Seat est confirmé (le feu vert est encore attendu…), il devrait être dévoilé en 2015, puis commercialisé en 2016. Du côté des tarifs, un prix voisin des 20 000 € pour l’entrée de gamme est probable.
Le SUV Seat : sortira ou sortira pas ?
La réponse semble pencher du côté positif, l’engouement pour ce type de véhicule aidant…
Affaire à suivre…
Source iconographique : Theophilus Chin
Comme nous vous en parlions en novembre 2012, Mini est en train de préparer activement un nouvelle déclinaison de son modèle fétiche : une Mini 5 portes ! La gamme de la marque appartenant à BMW va donc encore s’élargir après l’arrivée des Clubman et Countryman.
Du côté du style de cette Mini 5 portes, seul l’empattement semble ajouter quelques centimètres à la voiture. Le reste semble inchangé.
Toutefois, c’est du côté de l’habitabilité (en progression) que les petites familles se pencheront
Avec cette Mini 5 portes, les Clubman, Countryman et BMW Série 1 (origine de la nouvelle plateforme de cette Mini MkIII) ont-elles du souci à se faire ?
Sur cette image, on peut remarquer la double sortie d’échappement centrale caractérisant les Mini Cooper S
Si la Mini 5 portes proposera deux ouvrants supplémentaires, du côté de son offre moteur (des 3 et 4-cylindres essence et diesel de 116 à 192 ch), ce sera complètement identique à la nouvelle Mini 3 portes 2014. Quid d’une version John Cooper Works ?
Deux autres photos (prises sur le site de production anglais à Oxford) permettant voir la Mini 5P à la peinture…
Certains l’appellent déjà « Countryman abaissée » tellement la rassemblement entre les deux modèles se fait sentir.
Impression à confirmer (ou non) lorsqu’elle sera dévoilée au public
La différence de prix entre une 3 et 5 portes devrait être de l’ordre de 1 500 €. Le prix d’entrée est estimé à environ 20 000 €.
A suivre avec une présentation officielle de la Mini 5 portes en 2014 pour une commercialisation attendue en 2015…
Source iconographique : Carscoops
Depuis l’apparition de l’A1 en 2010, les fans de la petite citadine aux anneaux attendent avec impatience une version plus musclée. Audi les a satisfait en très petit nombre en présentant l’A1 Quattro (256 ch, 51 190 € et 333 exemplaires). Ce sera à l’occasion du restylage de son modèle que le constructeur présentera enfin un moteur plus puissant que l’actuel 1,4 l TFSI 185 ch.
Voici l’Audi S1 5 portes restylée reprenant des éléments du pack S Line. Ce sont surtout les optiques, devenant plus acérés, qui forment le gros des retouches extérieures
Une nouvelle fois, le site worldcarfans.com a débusqué la petite allemande avant sa présentation officielle attendue pour le salon de Genève 2014. C’est donc une Audi S1 Sportback 2014 de couleur noire que nous avons sur ces photos volées.
Si à l’avant la modifications des boucliers peut laisser planer le doute (quoique…), la poupe et ses quatre sorties d’échappement affirment bien le caractère sportif de l’A1 auprès des passants !
Le bloc sous son capot n’est pas encore confirmé, mais la plupart des bruits de couloir donnent le quatre-cylindres 2,0 l TSI dégonflé à 210 ou 220 ch comme la motorisation choisie (une rivale pour la Volkswagen Polo R WRC ?). La boîte DSG à 6 ou 7 rapports sera de la partie tout comme la transmission intégrale Quattro.
La date de sortie précise n’a pas encore été communiquée, mais celle-ci interviendra au mois de mai 2014. Quant au prix, il devrait se situer aux alentours des 35 000 €.
Affaire à suivre…
Comment vendre toujours plus malgré la crise ? Les constructeurs allemands l’ont bien compris en élargissant sans cesse leur gamme et à ce jeu-là, le groupe Volkswagen est très fort. Alors qu’Audi va sortir un petit SUV en-dessus du Q3 et un monospace pour contre les Mercedes Classe B et BMW Série 2 Active Tourer, voici Skoda qui va imiter la Volkswagen Passat CC !
La Skoda Octavia coupé 2015 jouera sur son style pour séduire les amateurs de voitures à coffre, mais moins statutaires que la moyenne. Sa longueur devrait se situer aux alentours entre 4,70 et 4,80 m, tandis que sa hauteur de toit demeurera au-dessus des 1,40 m (crédits image : autozeitung.de)
Le segment des berlines à coffre n’a guère la cote face aux breaks et puis maintenant aux SUV et crossovers. Toutefois, le coupé quatre portes est à la mode et trouve ses acheteurs en plus d’être positionné d’office comme plus haut de gamme.
Ce genre de déclinaison propose quatre ou cinq places, mais sur une Mercedes CLA, les passagers arrière de grande taille ne sont à pas la fête à cause d’un plafond trop bas. La hauteur de toit réduite participant à l’esthétique de la voiture.
Pour cette Octavia coupé, l’habitabilité devrait être encore correcte pour correspondre aux gènes de la marque. Par exemple, l’espace aux jambes sera confortable et les occupants ne devraient pas toucher le plafond de la tête. Des suppositions qu’il faudra tenter de vérifier dès l’apparition des premières photos volées et lors de la présentation du concept annonciateur du modèle (salon de Genève 2014 ?).
Alors qu’une Octavia RS forte de 220 chevaux existe déjà au catalogue du Tchèque, pour ce coupé quatre portes ce sont pas moins de 300 ch tirés du 2,0 l TSI turbo essence qui seront proposés ! Des puissances intermédiaires seront également disponibles (150 – 200 ch) et pour les blocs essence, on devrait retrouver le 2,0 l TDI en 150 et 184 ch.
Les prix seront plus élevés que sur l’Octavia classique. Le coupé sera doté de finitions plus hautes et d’un équipement plus complet. Du côté des prix, l’entrée de gamme devrait se situer à 33 000 €. Le client pourra mettre jusqu’à presque de 40 000 € pour les versions les plus huppées.
La commercialisation précise de l’Octavia coupé 4 portes n’est pas encore connue, mais elle semble bien confirmée pour une mise en vente d’ici 2015.
A suivre…
Agée de neuf ans, la triplette de mini-citadines PSA et Toyota lancée en juin 2005 commence à faire figure de « mamies » sur le marché français. Que les intéressés se rassurent, la relève ne va plus tarder pour ces modèles citadins peu chers. Les trois marques sont en plein tests de leurs futures autos qui devraient faire leur apparition au salon de Genève qui se tiendra au mois de mars prochain.
Pour cette deuxième génération des Citroën C1, Peugeot 108 et Toyota Aygo, les mensurations de ces trois voitures vont bondir et varier selon que l’on choisisse une version à trois ou cinq portes. Quinze centimètres vont être gagnés pour atteindre 3,60 m et avec les cinq ouvrants la longueur augmentera encore un peu. Pour rappel, aujourd’hui les deux versions sont identiques en terme de gabarit.
Un gain d’espace qui sera salué par ceux possédant les actuelles C1, 107 et Aygo au coffre minuscule (139 l) et qui devrait également profiter à l’habitabilité.
Autre axe d’amélioration : la finition. Si il ne faut pas s’attendre à des intérieurs exempts de tout reproches, un bon en avant sera réalisé pour la planche de bord notamment (perdra-t-elle son aspect « jouet » ?). Des possibilités de personnalisation permettront d’égayer l’habitacle.
Le volume de coffre passerait à 180 l. On remarque l’abandon des feux verticaux pour PSA. L’ouverture du coffre intègrera la carrosserie, alors qu’aujourd’hui il s’agit la vitre arrière uniquement
Par ailleurs, ces petites ne sont pas épargnées par la technologie qui envahie toujours plus nos voitures avec très certainement un écran tactile situé sur la console centrale (en option ou en série sur la finition haute). On parle aussi de limiteur de vitesse et même d’une caméra de recul !
Au chapitre des motorisations, l’offre se simplifie avec uniquement des blocs essence (logique pour une petite citadine) d’origine PSA. On retrouvera les trois-cylindres 1,0 l e-VTi de 68 ch et sans doute le 1,2 l e-VTi de 82 ch.
Enfin, pour ce qui est des prix, ils sont annoncés comme stables, soit aux alentours des 10 000 € hors offres spéciales ou séries limitées.
La commercialisation est attendue pour juin 2014 (la date précise sera communiquée ultérieurement) et le lieu de production est l’usine TPCA localisée en République Tchèque. La principale concurrente sera la Renault Twingo 3.
Au mois de septembre dernier, on apprenait – un peu surpris – que Renault décidait de restyler une 2ème fois sa Megane 3 alors que la 4ème génération approche à grands pas. Toutefois, il y avait une oubliée : la Megane CC. Trois mois plus tard, voici finalement le cabriolet en toit dur retouché !
La Megane coupé-cabriolet se plie aux nouveaux codes stylistiques Renault : logo plus gros, barrettes chromées entre les optiques à fond obscurci, … En revanche, la poupe demeure inchangée
Si peu d’informations ont été livrées jusqu’à présent, le coupé-cabriolet au losange recevra l’écran tactile R-Link. En option ou de série selon la finition, cette tablette de 7 pouces se commande aussi à l’aide d’un joystick multidirectionnel positionné sur la console centrale.
Bien que fabriquée dans l’usine française de Douai dans le Nord (aux côtés des Scenic, Grand Scenic et Scenic XMOD), la nouvelle Megane 3 CC 2014 sera disponible chez nos voisins avant d’être mis à la vente chez nous. En effet, en Belgique le modèle profitera du salon de Bruxelles (11 au 20 janvier) pour être proposée en concessions dans la foulée. Pour les autres pays, dont l’hexagone, il faudra prendre rendez-vous en mars !
De série, une vitre coupe-vent fixe est située entre les deux appuis-tête arrière. En option, un filet anti-remous (pour rouler décapoté au-dessus de 90 km/h) est proposé. Les deux places arrière sont condamnées avec cette configuration
Questions tarifs, peu d’évolutions sont à prévoir, la Megane 3 CC phase 3 devrait même être légèrement mieux équipée à prix équivalent selon les versions.
[MAJ] : La Renault Megane 3 cabriolet qui profitera de son restylage à partir de décembre 2014 aura les tarifs suivants :
Type de moteur | Moteur | Finition | Prix |
essence |
Energy TCe 130 ch | GT-Line | 29 950 € |
Intens | 31 150 € | ||
diesel | Energy dCi 110 ch BVM6 | GT-Line | 31 600 € |
dCi 110 ch EDC6 | GT-Line | 32 800 € | |
Energy dCi 130 ch BVM6 | GT-Line | 32 850 € | |
Intens | 34 050 € |
La Lamborghini Huracan, on en parle depuis un petit moment sur Abcmoteur ! Sa venue pronostiquée pour 2012 était incorrecte. En revanche, la puissance annoncée de 600 ch devrait correspondre. En effet, il y a quelques jours un média italien a publié sur son site internet quelques photos (retirées depuis !) de celle que l’on appelait auparavant Cabrera. L’attente se termine enfin !
La Lamborghini Huracan 2014 remplace la Gallardo apparue en 2002 et se sert de l’Aventador comme inspiratrice pour son design. L’ensemble reste bestial, mais gagne en élégance
Si l’Huracan (patronyme à confirmer) s’inspire de sa grande sœur, elle garde quelques traits de sa devancière
Tout comme à l’avant, les optiques rétrécissent et pour la poupe ils seraient en sus teintés en noir pour rendre le bolide encore plus furtif…
Le nom complet de cette supercar est Huracan LP610-4, ce qui laisse supposer une puissance aux alentours de 610 ch en 4×4. Ce serait un V10 de 5,2 l situé en position arrière qui délivrerait les équidés. Le couple de 560 Nm est atteint à 6 500 trs/min. Le 0 à 100 km/h est abattu en 3,2 petites secondes, contre 3,7 secondes pour une Gallardo, tandis que la vitesse de pointe culmine à 325 km/h Le poids est en hausse de 12 kg à 1 422 kg dus à la boîte à double embrayage (7 rapports). Le stop and start de l’italienne lui permettra de consommer 12,5 l/100 km. pour 290 g/km
Dans l’habitacle les formes rectangulaires sont bien présentes et l’on remarque le bouton start se situant sur la console centrale permettant de mettre en route l’engin
Sa date de sortie n’a pas encore été communiquée, mais il y a fort à parier qu’elle se situe dans la moitié ou la fin de l’année 2014. L’Huracan devrait apparaître au salon de Genève. Quant aux tarifs, un prix d’entrée débutant à 190 – 220 000 € est évoqué.
Affaire à suivre d’ici peu avec le communiqué officiel…
Crédits de la galerie : Raphael d’Autofilou
A la fin du mois de novembre dernier, Subaru levait le voile sur la WRX 2014 lors du salon de Los Angeles. Il s’agit de la déclinaison sportive de la trop sage Impreza dévoilée en 2011. Ici, le moteur boxer passe de 2,5 à 2,0 l de cylindrée et développe 268 ch, mais les performances sont annoncées à la hausse en tous points (suspensions, rapports de boîte, puissance et couple, freinage, …).
Pour nous le prouver et nous en mettre plein les yeux, le constructeur japonais a lâché une vidéo de sa sportive dans milieu favori : les spéciales en terre !
Si les belles images et glissades sont bien là, on regrette juste de ne pas profiter d’une vue embarquée et de la bande son du moteur à plat un peu plus longtemps.
Maintenant, il reste à connaître son prix qui devrait se situer aux alentours des 45 000 € tout de même (la génération précédente commençant à 43 300 €).
Voilà une évolution de gamme logique. La DS3 a d’abord été proposée en version sportive Racing puis en découvrable Cabrio. Elle est maintenant les deux à la fois ! L’auto avait été annoncée en juillet 2013 par un « concept » lors du Festival of Speed de Goodwood. Elle vient d’être dévoilée dans sa version de série à l’occasion de la présentation du programme sportif de la marque aux chevrons pour 2014, où se mêlent WRC et WTCC (avec une C-Elysée de compétition pilotée par Loeb et Muller).
Citroën nous refait le coup de la série limitée numérotée. Une façon de renforcer l’exclusivité de l’auto… pour mieux la vendre à un prix exorbitant. Le constructeur français avait déjà utilisé cette « astuce » avec la berline, vendue quasiment 30 000 euros quand une Clio RS de puissance équivalente tournait autour des 25 000 euros. Le tarif du Cabrio Racing n’a pas été encore dévoilé, mais il devrait avoisiner les 33 000 euros… On ne sait pas aussi encore le nombre d’exemplaires disponibles, mais il devrait être assez faible. Dans un premier temps. En cas de succès, on connait la suite.
Les modifications esthétiques sont semblables à celles de la berline, avec la présence par exemple d’une sortie d’échappement à double canule chromée ou encore une finition carbone véritable déclinée sur de nombreux éléments de carrosserie (diffuseur d’air, lame semi-rigide du bouclier avant, ceinture de bas de caisse, élargisseurs d’ailes…). La carrosserie adopte une teinte inédite Gris Moondark mat, avec des bandes Rouges Carmin sur les portières. Par rapport au show-car, les jantes passent de 19 à 18 pouces.
Dans l’habitacle, les deux couleurs de l’extérieur se retrouvent sur le bandeau de planche de bord et sur plusieurs pièces d’habillage, comme celle de la console centrale. Le carbone est visible sur le volant et les supports de la casquette de combiné. L’exclusivité de la DS3 Cabrio Racing est renforcée par la signature Citroën Racing sur le dossier des sièges avant et par une plaque d’identification numérotée située sur l’embase du levier de vitesses.
Sous le capot, il y a toujours le 1.6 litre THP associé à une boîte mécanique à 6 rapports. Mais la puissance est légèrement revue à la hausse, passant de 202 à 207 ch. Le couple est de 275 Nm.
Les performances ne changent pas car la prise de poids est limitée. Sur la balance, le Cabrio n’annonce que 25 kg en plus. L’heureuse conséquence du choix d’un système économique pour profiter du plein air car seuls le toit en toile et la lunette arrière se replient sur la malle. Une solution basique mais qui à l’usage est plutôt agréable. Le 0 à 100 km/h est donc toujours réalisé en 6,5 secondes. La consommation en cycle mixte est fixée à 6,5 litres aux 100 km.
Par rapport à la berline, la puissance grimpe légèrement, de 202 à 207 ch. Les performances ne changent pas.
Le lancement de l’auto est prévu pour le 2 janvier 2014. On connaitra donc le montant de la facture à ce moment-là (estimation supérieure à 30 000 €) ! Demandez des chèques cadeaux Citroën au Père Noël.
[MAJ] : Citroën a communiqué sur les tarifs de son auto. La Citroën DS3 R Cabrio s’échangera au prix de 34 990 € avec en sus en malus de 900 €. Une Mini Cabrio JCW est vendue 400 € plus chère. Les premières livraisons auront lieu avant fin janvier.
Après un concept baptisé Active Tourer en fin d’année dernière et quelques clichés avec camouflage cet été, c’est le site Worldcarfans qui a mis la main sur le futur monospace BMW entièrement nu. Autre nouveauté, il ne faudrait plus parler de Série 1 GT, mais de Série 2 Active Tourer (code F45) pour la version sept places et de Série 2 GT (F44) pour le modèle avec 5 sièges.
Voici le futur monospace BMW Série 2 Active Tourer dans sa version définitive pour sa commercialisation en au milieu ou en fin d’année 2014. Les photos auraient été prises lors d’un tournage publicitaire
Pour sa première auto réservée à la famille, la marque à l’hélice ne change pas ce qui fait la recette de ses modèles : un avant massif inspiré des SUV et avec la partie basse du bouclier s’inspirant des Série 2 et Série 4. Bien heureusement, les haricots ne sont pas disproportionnés comme sur la Série 5 GT
Le profil reste assez neutre, mais l’on constate une surface vitrée quelque peu écrasée pour dynamiser l’ensemble
La plateforme UKL partagée avec la nouvelle Mini ne nous empêche de penser que le constructeur bavarois s’est fortement inspiré du Mercedes Classe B… du moins pour les optiques de feu le doute n’est pas permis !
En plus de faire tiquer les puristes en adoptant des roues avant motrices, le monospace made by BMW pourrait décevoir également pour son plaisir de conduite. Un argument fort de la marque.
La BMW Série 2 Active Tourer/GT proposera des trois-cylindres essence et diesel pour les plus petits moteurs
En effet, lorsque l’on regarde la palette de motorisations attendues, l’entrée de gamme ne sera pas particulièrement véloce… Les blocs essence débuteront à 122 ch pour atteindre 224 ch (225i), tandis que du côté du mazout, l’offre s’étalonnera de 84 à 184 ch (220D).
Une version hybride serait également de la partie ultérieurement.
Attendu au salon de l’auto de Genève pour être de sortie à la rentrée 2014, l’Active Tourer devra conquérir de nouveaux clients et pour cela le prix d’entrée devrait ne pas être trop corsé – les diverses finitions et options permettront de relever la note –. Avec un peu d’optimisme, on serait tenté d’estimer un prix du neuf débutant à 23 000 €, mais la réalité devrait plutôt se situer autours des 24 000 €.
Oubliez le Coupé M3, place au Coupé M4 ! Si le nom change, la philosophie et la silhouette sont proches.
Des sportives, BMW en a de toutes les tailles, de la Série 1 à la Série 6, en passant par l’étonnante hybride i8. Mais LA référence absolue dans la gamme de la marque à l’hélice, ce n’est pas la plus puissante de toutes. Il s’agit de la M3, avec un petit avantage à la version Coupé. Mais celle-ci a disparu du catalogue en juillet 2013, après avoir fait le bonheur de 40 000 clients !
Rassurez-vous, si l’appellation est morte, c’est suite à la réorganisation de la gamme Série 3. Les coupé et cabriolet issus de la plus petite berline de la marque allemande ont pris leurs distances en adoptant le nom Série 4. La nouvelle tête d’affiche de la branche Motorsport se nomme donc logiquement M4. La version cinq portes subsiste. C’est d’ailleurs la première fois que les deux carrosseries sont présentées en même temps.
Pour la première fois, les berline et coupé préparés par Motosport à partir de la Série 3 sont dévoilés en même temps.
Mais trêve de bavardages, rentrons dans le vif du sujet… en se penchant sous le capot. Il y a du changement à ce niveau. La mode du downsizing est passée par là, puisque BMW a mis au placard le V8 pour revenir au six cylindres en ligne. D’une cylindrée de 3.0, ce bloc à injection directe reçoit deux turbos. Ce qui explique que la valeur de couple maximale explose. Elle s’affiche désormais à 550 Nm (disponible entre 1800 et 5390 tr/min), soit 40 % de plus par rapports aux anciennes autos. La puissance en revanche augmente à peine, passant de 420 à 431 ch.
Les M3 et M4 adoptent un nouveau six cylindres en ligne doté de deux turbos. Il annonce 431 ch et un couple de 550 Nm.
Les M3 et M4 sont dotées d’une boîte mécanique à 6 rapports. Celle-ci a été profondément revue, pour se faire plus compacte et plus légère (12 kilos de moins). Petite nouveauté qui va plaire à tous les passionnés : au rétrogradage, la boîte déclenche une fonction coup de gaz ! En option, on peut avoir une transmission robotisée à double-embrayage 7 rapports. Pour réaliser des départs canons, une fonction Launch Control est montée de série. On retrouve aussi le « Smokey Burnout », qui autorise un « certain patinage des roues arrière lorsque la voiture roule ». Les pneus vont fumer…
Dans les faits, cela nous donne un 0 à 100 km/h réalisé en 4,3 secondes avec la boîte manuelle et 4,1 secondes avec la robotisée. La vitesse maximale est bridée électroniquement à 250 km/h. Mais avec le pack M Driver optionnel, la bride peut-être relevée à 280 km/h. Autre donnée fort intéressante : il faut 3,5 secondes seulement pour passer de 80 à 120 km/h en 4è ! BMW insiste aussi sur le fait que la consommation en cycle mixte est en baisse de plus de 25 %, avec 8,3 litres aux 100 km. Evidemment, dans la réalité, avec de telles voitures, il en sera tout autre !
Une fonction du contrôle électronique de trajectoire autorise plus de libertés sur circuits. Histoire de faire quelques glissades grisantes.
Fort logiquement, les M3 et M4 sont des propulsions. Un différentiel actif est installé, pour répartir au mieux le couple entre les deux roues, ce qui assure la stabilité en toutes circonstances et autorise une forte accélération en sortie de virage. Le contrôle électronique de trajectoire DSC dispose d’un mode M Dynamic qui autorise quelques glissades pour ceux qui veulent s’amuser sur circuits. La direction électronique offre trois lois d’assistance, Comfort, Sport et Sport+, pour s’adapter aux envies du conducteur. Il en est de même pour les amortisseurs. En version standard, M3 et M4 sont dotées de quatre freins à disque ventilés et perforés (les dimensions ne sont pas précisées). Des carbone/céramique sont disponibles en option.
Si le design n’est pas spécialement tape-à-l’oeil, il en est tout autre des couleurs choisies pour les premières photos officielles !
BMW a fait attention aux poids des autos. En moyenne, il baisse de 80 kilos. La M4 reste ainsi sous la tonne et demie (1497 kg), tandis que la M3 n’en est pas loin (1520 kg). La marque allemande a utilisé l’aluminium pour le capot et les panneaux latéraux. Le plastique renforcé de fibre de carbone, que l’on retrouve en grande quantité dans les i3 et i8, est ici utilisé pour le toit et l’arbre de transmission.
Terminons en évoquant le look des autos. On avait déjà eu un avant-goût avec la présentation du concept M4 l’été dernier et avec l’arrivée d’un pack stylistique M dans la gamme des deux autos. On retrouve les changements habituels de ce genre de véhicules, avec des prises d’air agrandies dans le bouclier avant, des jantes de 18 pouces (19 en option), des bas de caisse spécifiques, quatre sorties d’échappement ou encore un capot inédit avec le fameux « dôme de puissance ».
BMW a soigné l’aérodynamisme. L’ouïe latérale est ainsi associée à un rideau d’air crée par la fente dans le bouclier avant, ce qui permet un guidage idéal de l’air au niveau du passage de roue. Le soubassement est lisse. A bord, les changements sont plus discrets, avec des détails d’équipement badgés M, comme les caches de marchepied, le repose pied, le levier de vitesses, le volant…
Les nouvelles M3 et M4 feront leurs débuts lors du Salon de Detroit en janvier prochain. Aucun prix n’a encore été donné pour la France.
[MAJ] : Les tarifs ont été communiqués pour les BMW M3 et M4 :
A noter que la version avec boîte manuelle (204 g/km CO2) devra payer un malus de 8 000 € et celle avec la boîte auto DKG7 (194 g/km CO2) à double embrayage 6 500 €.
Pour Noël, KIA compte combler les enfants avec son monospace. Pourquoi me direz-vous ? Tout simplement parce que le Kia Carens Toys’R’Us est livré avec quelques surprises à destination des petites têtes blondes…
Pour sa communication, la marque a diffusé sur son site un drôle de Noël une série de trois vidéos teaser où une maman farceuse prépare des cadeaux à ses trois enfants. Ces derniers l’ont épuisée tout au long de l’année et Marie nous montre comment créer la surprise sur les visages de ses enfants Paul, Elise et Thomas. Pour cela, elle confectionne elle-même une pieuvre, une poupée et un robot. C’est certain que sous le sapin, le têtes dépitées seront là !
Heureusement, il ne s’agit qu’une d’une blague, puisque pour Noël les trois chérubins retrouveront le sourire avec les cadeaux qui sont joints à la livraison du Kia Carens : une console portable Sony PSP, deux jeux et d’autres surprises…
Avec ce monospace de 5 à 7 places (+ 500 € pour les deux places supplémentaires) garanti 7 ans, c’est toute la famille qui se fait plaisir !
Il faut savoir que cette finition haute basée sur la finition Active demande une rallonge de 800 € et permet de bénéficier des dernières avancées technologiques (aide au stationnement, alerte de franchissement involontaire de ligne, écran tactile, feux à LED, …), de jantes alu 17 pouces, le simili cuir sur les garnitures de porte, le radar AV/AR pour les manœuvres, … Bref, c’est une belle dotation disponible uniquement avec le diesel 1,7 l CRDi 115 ch couplé à une boîte manuelle à six rapports. Le tout est vendu au prix attractif de 28 000 €.
Vidéo sponsorisée
Ce n’est pas avec le Macan que Porsche renouvelle son style ! La face avant est similaire à celle des autres productions de la marque, notamment le Cayenne.
On n’est jamais au bout de nos surprises avec Porsche. Ce n’est pas l’arrivée dans la gamme du constructeur allemand d’un SUV compact qui nous étonne. Celle-ci était prévue de longue date. La marque germanique avait commencé à communiquer officiellement sur l’auto en février 2012 ! Non, cette fois, la petite surprise se trouve au niveau de la grille des tarifs. Ne vous emballez pas, Porsche n’a pas décidé de faire une auto abordable. Ce qui nous interpelle, c’est même le fait que c’est tout le contraire !
Le prix de base d’un Macan est de 59 873 euros. Celui d’un Cayenne est de 60 794 euros ! Alors, oui, ces versions d’accès n’affichent pas encore la même puissance (340 ch pour le premier, 300 pour le deuxième). Mais quand on compare des modèles avec des moteurs similaires, l’écart de prix se situe entre 3000 et 5000 euros. Une somme infime à ce niveau de tarifs, qui prouve bien que si Porsche descend en gamme petit à petit dans les carrosseries, il ne compte pas pour autant faciliter l’accès à son univers. Ceux qui attendaient la Porsche familiale à moins de 50 000 euros devront donc repasser. Ou attendre.
On pense quand même que Porsche va agrandir la gamme du Macan par le bas. L’Allemand a sûrement volontairement donné la priorité aux plus gros blocs pour bien souligner le côté sportif de l’engin. On sent d’ailleurs que la marque de Zuffenhausen a tout fait pour qu’on ne remette pas en cause le pedigree du Macan, en multipliant les vidéos où des représentants expliquent en long, en large et en travers pourquoi ce SUV est une vraie Porsche sportive.
D’ailleurs, pour que tout soit clair, le Macan Turbo sera le SUV compact le plus puissant du marché. Il est équipé d’un bloc V6 3.6 bi-turbo de 400 ch, qui délivre un couple de 550 Nm disponible dès 1500 tr/min. On est loin des 313 ch d’un Audi SQ5. La vitesse maxi est de 266 km/h et le 0 à 100 km/h est réalisé en 4,8 secondes. Avec le pack Sport Chrono, on tombe à 4,6 secondes.
En dessous, on trouve le Macan S et son V6 3.0 bi-turbo de 340 ch. Mais le gros des ventes chez nous se fera avec le bloc diesel V6 3.0 turbo de 258 ch. Fort logiquement, il s’agit de la version la plus économe, avec une consommation mixte de 6,1 litres tous les 100 km. Dans la mesure où ce modèle se nomme « S diesel », on se dit qu’il y aura à l’avenir un diesel plus petit. Et c’est à ce moment que le ticket d’entrée devrait vraiment s’éloigner d’un Cayenne, plus grand de 17 centimètres.
Tous les Macan sont équipés d’une transmission intégrale et d’une boîte robotisée PDK double embrayage à 7 rapports. Pour des questions de coûts, Porsche est parti de la base d’une Audi Q5. L’empattement est commun au deux véhicules. Le Macan devrait être quand même moins logeable, d’autant que sa hauteur est inférieure de 4 cm. Une façon de bien différencier les deux cousins, et de ne pas gêner l’Audi, qui s’adresse d’abord à une clientèle familiale.
La poupe du Macan se fait plus élégante que celle du Cayenne, avec des feux plus fins et un hayon moins chargé, qui n’intègre pas la plaque d’immatriculation.
Le Macan adopte aussi une silhouette plus sportive. Si on peut confondre le nouveau venu avec un Cayenne en regardant la face avant, impossible de le faire à l’arrière. Les deux frères sont bien différents. Le Macan se reconnaît à sa lunette plus inclinée, son hayon moins chargé et ses feux affinés. On aurait même aimé qu’ils soient encore plus fins. Quelques détails sont repris à d’autres Porsche, comme la signature lumineuse à l’avant faite de quatre carrés éclairés, reprise à la 918 Spyder. La version Turbo peut être dotée de jantes de 21 pouces !
Que ceux qui n’aiment pas le rouge se rassurent : d’autres ambiances seront disponibles pour l’intérieur !
Les fidèles de la marque ne seront pas déboussolés à l’intérieur, avec une planche de bord dans la veine des dernières productions de la marque. On retrouve une architecture en T, avec une console centrale coupée en deux éléments. Une très grande partie des commandes se trouve ainsi autour du levier de vitesses. Comme toujours, le compte-tours est au centre de l’instrumentation, le contact est à gauche du volant et un chrono prend place au-dessus de l’ensemble. Même si le Macan ne sera pas une voiture de déménageurs, il pourra se rentre utile pour transporter quelques affaires avec un coffre de 500 litres et une banquette rabattable 40/20/40.
La version diesel devrait être la plus vendue en France. Le Macan arrivera dans les concessions en avril.
Le Macan sera commercialisé en France en avril 2014. Les versions S et S diesel seront au même prix, 59 873 euros, le Turbo demandera 81 908 euros.
Même s’il s’agit d’un 4×4, Porsche déclare : « Nous vouons une passion sans limite à la sonorité de nos moteurs. Outre ses performances exceptionnelles et son efficience hors du commun, celui du Macan présente justement cette sonorité rocailleuse si typique. »
Si la Mini gagne près de 10 cm en longueur par rapport à sa devancière, ses concepteurs n’ont pas souhaité révolutionner la Mini. Ils ont cherché, au contraire, à s’appuyer sur ses valeurs fortes telles qu’un comportement routier proche de la conduite d’un karting et un style fidèle au modèle originel.
Pas question de révolution, le style de la nouvelle Mini doit rester immédiatement identifiable à une Mini. De fait, si les proportions évoluent, la nouvelle Mini garde les code stylistiques propres à la marque, à savoir : des phares avant de formes ovoïdes cerclés de chrome, des feux arrières rectangulaires et verticaux eux-aussi entourés de chrome, une calandre en nid d’abeille (Cooper S), les montants de carrosserie noirs au niveau des vitrages et le toit de couleur contrasté.
En option, l’éclairage extérieur peut être réalisé à partir exclusivement de LED (phares avant, feux arrière, antibrouillards, éclairage diurne) avec adaptation automatique de la lumière en fonction des conditions de circulation.
L’aérodynamique de la carrosserie fait un net progrès avec un Cx désormais de 0,28 contre 0,35 à la génération précédente (surface frontale non communiquée).
La nouvelle Mini a donc gagné 98 mm en longueur par rapport à la Mini 2. Afin de garder des proportions équilibrées, le nouveau modèle gagne aussi 44 mm en largeur. La hauteur progresse de 7 mm, une augmentation relativement faible par rapport aux deux précédentes lui confère une silhouette plus trapue que le modèle précédent. Au final, la nouvelle Mini mesure 3,81 m de long (3,85 m pour la Cooper S), 1,73 m de large et 1,41 m de haut.
En matière d’empreinte au sol, l’empattement progresse de 28 mm et les voies avant et arrière sont élargies de respectivement de 42 mm et de 34 mm. Des valeurs qui devraient améliorer la stabilité intrinsèque de la nouvelle Mini, elles pourraient à l’inverse dégrader la maniabilité, une des caractéristiques marquantes de la Mini. Toutefois, des réglages châssis adéquats doivent préserver un bon compromis entre ces deux valeurs antinomiques.
Grâce à ses dimensions en hausse, l’habitabilité fait un bond notable : le coffre propose désormais 211 litres (contre 160 l précédemment). Les occupants bénéficient également d’un espace accru. L’accès aux places arrières est facilité, passagers arrières qui profiteront d’une assise plus longue de 23 mm et d’une plus grande largeur aux épaules.
Exit les collaborations avec Chrysler, Toyota et plus récemment avec PSA. Mini utilise désormais ses propres moteurs et ils exploitent amplement les technologies de la maison-mère BMW. Toutes les motorisations (au nombre de 3 au lancement de la nouvelle Mini) sont conformes aux futures normes d’émissions Euro 6.
Tous les moteurs sont d’ailleurs équipés de la technologie TwinPower de BMW, à savoir le recours à la suralimentation (via turbocompresseur), l’injection directe de carburant, le calage variable des soupapes à l’admission et à l’échappement (double VANOS) ainsi que la levée variable des soupapes (Valvetronic).
La transmission aux roues avant de la Mini se fait via une boîte manuelle à 6 rapports. Lors d’un changement de vitesse, le moteur adapte automatiquement le régime moteur pour un meilleur confort de passage notamment lors des rétrogradages.
Optionnellement, elle peut être équipée d’une boîte automatique à convertisseur à 6 rapports elle-aussi. Accouplée au système de navigation, la boîte automatique adapte sa loi de passage des vitesses en fonction du profil de la route. Quelle que soit la motorisation choisie, la boîte automatique conserve les mêmes démultiplications, optimisées pour la Cooper S. Seul le rapport de pont change pour pallier les différences de couple entre les motorisations.
L’offre de Mini (Cooper) démarre en essence avec un moteur 3 cylindres développant 136 ch (entre 4.500 et 6000 tr/min) de 1,5 l de cylindrée. Il affiche un couple de 220 N.m (jusqu’à 230 N.m temporairement) de 1.250 à 4.750 tr/min. Ainsi motorisée, la nouvelle Mini accélère de 0 à 100 km/h en 7,9 secondes (7,8 secondes avec la boîte automatique) et atteint la vitesse maximale de 210 km/h. En matière d’émissions de CO2, elles se portent à 105 g/km (boîte de vitesses manuelle) ou 109 g/km (boîte automatique).
La Mini Cooper S est équipée d’un 4 cylindres de 2l de cylindrée. Il développe une puissance 192 ch de 4.700 et 6.000 tr/min et un couple de 280 N.m (300 N.m de manière temporaire) entre 1.250 et 4750 tr/min. Elle accélère de 0 à 100 km/h en 6,8 secondes (6,7s en boîte automatique) et sa vitesse maximale est de 235 km/h (233 km/h avec la boîte automatique). Les émissions de CO2 sont de 133 g/km (boîte manuelle) ou 122 g/km (automatique).
Enfin, la Cooper D cache sous son capot un 3 cylindres diesel 1,5l équipé d’un turbo à géométrie variable et d’une rampe d’injection commune dont la pression peut atteindre 2.000 bars. Il dispose d’une puissance de 116 ch à 4.000 tr/min et d’un couple de 270 N.m à 1.750 tr/min. La D accélère de 0 à 100 km/h en 9,2 secondes et atteint la vitesse de 205 km/h (204 km/h avec la boîte automatique). Ses émissions de CO2 se limitent à 92 g/km en boîte manuelle et 98 g/km en boîte automatique sur le cycle d’homologation.
Tous les moteurs sont associés à un (petit) réservoir de 40 litres, capacité identique à la précédente génération.
Le châssis de la Mini reste fidèle au principe de l’essieu avant de type Macpherson à l’avant et de l’essieu arrière multi-bras. Grâce à l’emploi d’aluminium et d’acier à haute limite élastique pour les éléments de suspensions, la Mini contient son poids par rapport à la génération précédente.
Fidèles à la réputation de la marque, les équipes de développement se sont attachées à conserver les caractéristiques d’agilité et de maniabilité de la nouvelle Mini. De fait, il ne faudra pas attendre de la nouvelle Mini plus de confort de suspension par rapport à la génération précédente. Les ingénieurs ont mis la priorité sur les sensations de conduite.
En option, la nouvelle Mini peut être équipée d’un amortissement variable piloté.
La nouvelle Mini fait sa révolution ! Le grand cadran central, trônant toujours fièrement en haut de la console centrale, n’affiche désormais plus la vitesse (ni la jauge à carburant). Cette présentation était devenue obsolète et il était temps pour la marque anglaise de la faire évoluer.
L’instrument central est désormais entouré d’un anneau éclairé par des LED. Capable de produire 6 couleurs différentes, elles ont une fonction informative. Par exemple, en association avec le radar de recul, elle passeront du vert au rouge selon la proximité d’un obstacle.
Au milieu de l’anneau central prend place, en option, un écran de 8,8 pouces. Les commandes type cockpit d’avion sont naturellement conservées (commandant notamment l’éclairage intérieur ou la désactivation de l’ESP).
L’indicateur de vitesse, le compte-tours et le niveau de carburant sont désormais positionnés de manière classique, en face du conducteur. En option, la Mini peut être équipée d’un affichage tête haute.
Pour cette troisième génération, Mini ne perd pas de temps à dévoiler ses tarifs. Ainsi, le prix d’entrée pour l’achat d’une Mini Cooper reste inchangé à 19 950 €. Bonne nouvelle, pour la Cooper D, le prix tombe à 21 600 €, soit une baisse de 250 €. Même constat pour la version haut de gamme Cooper S affichée pour 24 750 € au lieu de 25 000 €. Du côté des équipements, rien n’a encore été communiqué, mais une Audi A1 est moins compétitive à motorisation équivalente.
Pour ce qui est de sa commercialisation, la nouvelle Mini est attendue au printemps 2014.
Alors que le salon de Tokyo approche, Nissan vient de révéler une version encore plus puissante de sa supercar déjà connue pour son rapport prix/performance imbattable. En effet, avec la GT-R Nismo 2014, la marque japonaise améliore encore son auto en allant titiller la barre des 600 chevaux !
Passée entre les mains de la section Nismo qui s’occupe notamment chez Nissan de développer les versions les plus musclées des modèles de série (la 370Z Nismo par exemple), la GT-R subit donc quelques évolutions à commencer par l’extérieur. On remarque de nombreuses pièces en fibre de carbone tirées de l’option Track Pack comme les bas de caisse, la lame avant, l’aileron, …
Voici la Nissan GT-R Nismo 2014 exposant fièrement ses jantes Rays montées sur des pneus Dunlop spécifiques !
Le tout permettant d’économiser 65 kilos. Sur le plan dynamique, des ressorts plus fermes et des amortisseurs réglables Ohlins sont de la partie.
Une Nissan GT-R propose déjà pas moins de 550 ch et 632 Nm de couple, ce qui n’est pas rien. Pour la plus puissante des GT-R qui est représentée par la Nismo, ce sera 599,76 ch et 650 Nm de couple qui seront tirés du V6 3,8 l biturbo ! Pour arriver à atteindre ces chiffres, la cartographie, la ligne d’échappement, les deux turbos (dérivés de la GT-R GT3), le calage de la distribution et l’admission ont été optimisés.
Dans l’habitacle, peu de changements. On compte quand même le volant en Alcantara et les sièges baquets Recaro en fibre de carbone pour la coque. Le tableau de bord est recouvert de cuir noir surpiqué
Si la totalité de la fiche technique de ce bolide du Pays du Soleil Levant n’est pas encore connue, la GT-R Nismo arrive à talonner la Porsche 918 Spyder (887 ch – 775 000 €) sur le Nürburgring puisqu’elle la suit de seulement 10 secondes… pour un prix bien différent !
D’ailleurs, côté tarifs rien n’a encore été annoncé par Nissan, mais il faut savoir que la GT-R Nismo avec Track Pack est vendue au prix de 200 000 dollars environ aux USA, soit à peu près 148 000 euros. La note finale sur le Vieux Continent pourrait se situer un peu en-dessous des 200 000 euros ?
Du côté de la commercialisation, elle est attendue pour la fin du mois de février 2014 dans son pays natal le Japon et pendant le printemps pour les Etats-Unis et l’Europe.
La Nissan GT-R Nismo pilotée par Mickael Krumm, c’est du pilotage !
Après l’essai de la Série 4, restons chez BMW, mais pour un tout autre type de voiture puisque nous avons testé – Martin et moi-même – la nouvelle i3 qui est la première électrique de la marque commercialisée en série.
Avec l’i3, BMW ne lance pas seulement une voiture électrique, c’est aussi le premier modèle de la gamme « i » pour électro-mobilité. Un véritable défi après 40 ans de diverses études et projets. Dès la conception, le constructeur a pensé à minimiser l’impact sur l’environnement de la production (usine utilisant de l’énergie renouvelable) et des matériaux (recyclés).
Voyons donc d’un peu plus près l’extérieur de cette auto au design singulier (est-ce un mini-monospace, un crossover ?) et inédit chez la marque à l’hélice.
Voici la BMW du XXIième siècle ! Catégorisée parmi les citadines en catalogue, elle ne manque pas d’intriguer par son dessin particulier
La face avant et les proportions générales font penser au concept électrique E1 présenté par la marque au début des années 1990
Comme le veulent les codes stylistiques de la gamme i BMW, on retrouve du bleu turquoise à différents endroits dont notamment la fameuse calandre en haricots chère à la marque bavaroise. Un petit coffre se cache sous le capot, on y trouve la prise de recharge
La BMW i3 mesure presque 4 mètres (3,99 m) de long. Elle est toujours livrée dans une teinte bi-ton (ici en Solar Orange) avec le capot, le toit et une partie de la poupe en noir
Dans cette version essayée, les phares sont entièrement à LED (voir le résultat de nuit)
La carrosserie est en plastique pour diminuer le poids et parer aux petits chocs urbains
Les grandes roues de 20 pouces (option, sinon 19 pouces) permettent d’absorber les 250 Nm de couple disponibles immédiatement dans sa totalité (spécificité de l’électrique), tandis que la largeur du pneu est réduite à 155 afin de réduire la résistance au roulement et donc de diminuer la consommation
L’i3 possède des lignes peu conventionnelles qui intriguent. Pour ma part, je ne suis pas plus emballé que cela. Il y a le côté « techno et branché » de sympathique, mais le profil et la poupe me paraissent peu harmonieux.
Allez, il est temps de voir ce que nous réserve cet habitacle lui aussi atypique !
La vitre est sans contour, un élément de style toujours appréciable qui apporte une certaine légèreté
L’ouverture des portes est de type antagoniste. Il n’y a pas de pied central fixe, un plus pour l’accessibilité surtout au regard de la faible largeur de l’accès dédié aux places arrière
Ci-dessus, on peut voir le pied central qui est en fait intégré à l’ouvrant arrière. L’ensemble reste d’un poids convenable
On notera que la porte avant doit toujours être ouverte en premier pour que la porte arrière puisse être ouverte et il faudra répéter la manœuvre inverse pour fermer les deux battants. Peu pratique et fatiguant à la longue
Voici l’accès à bord une fois les portes ouvertes au maximum. Le plancher est un peu surélevé par rapport à la moyenne (les batteries sont logées dans le châssis en aluminium).
On peut également voir au-dessus du liseret bleu la cellule de couleur grise foncée faite en PRFC (plastique renforcé de fibre de carbone, quid des éventuelles réparations…) pour une grosse économie de 250 kg
Finalement, comme sur une voiture avec deux portes, on est obligé de replier le siège. Drôle de logique de la part de BMW qui fait compliqué sur ce point. Cependant, le positionnement du moteur (à l’arrière) et la propulsion permettent de se passer de tunnel de transmission central, un plus pour passer d’un siège à un autre
A l’arrière, les deux passagers ne se sentiront pas à l’étroit en terme par rapport au toit (hauteur générale : 1,57 m) ni en largeur (1,77 m), mais en revanche l’espace réservé aux jambes est réduit
Une fois à l’avant, on découvre un intérieur pas comme les autres. L’ensemble est très dépouillé, de nombreuses matière se côtoient (plastiques de différents aspects, laine, tissu, bois, …) selon la finition. Si ce côté novateur plaît tout comme la finition qui semble de bonne facture, on attendait plus cossu de la part de BMW. Un reproche à modérer étant donné que le constructeur joue à fond la carte de l’allègement. Par exemple, les sièges sont dépourvus de réglages électriques qui font gagner quelques 40 kg
Du côté du poste de conduite, on a un volant d’un diamètre assez grand avec quelques touches de bleu pour rappeler le côté « i » et électrique
La grosse commande sur la droite du volant permet de démarrer et joue le rôle de boîte automatique. Son emplacement et sa faible longueur rend son maniement peu pratique au départ, mais le plus gros problème est que suivant le conducteur la commande est cachée par le volant situé devant
Le coffre et ses 260 litres n’est pas très grand, mais pour l’usage urbain auquel est destiné cette voiture, cela est suffisant.
Le moteur électrique et le moteur thermique (en option) sont placés en-dessous
L’intérieur de la BMW i3 est novateur par sa conception et sa présentation. Pendant cette courte prise en main, il est difficile d’avoir un avis tranché, mais si l’aspect épuré surprend (tout comme les matériaux) pour une BMW, il n’en reste pas moins agréable avec cette sensation d’espace. La marque assure que l’i3 propose l’habitabilité d’une Série 3 pour le gabarit d’une Série 1. La voiture profite par ailleurs de toutes les options d’un modèle thermique chez BMW (ConnectedDrive, aides à la conduite, caméra de recul, GPS, …). Une application pour smartphone permet d’avoir l’ordinateur de bord dans sa poche (trajets, autonomie, programmation des recharges et de la température de l’habitacle, …). Bien réalisée, cette dernière apporte un vrai aspect pratique et qui plus est pour cette i3 électrique. Seule véritable ombre au tableau donc : les portes peu pratiques.
Passons maintenant au moment le plus attendu, notamment lorsqu’il s’agit d’un modèle électrique : la conduite ! Grâce au système de clef sans contact, on déverrouille la voiture en s’approchant de la portière et on démarre sans sortir la télécommande de sa poche. Il faut donc appuyer sur la bouton « Start » situé sur le gros comodo et l’écran derrière le volant faisant office de tableau de bord affiche « Ready ». Ceux qui n’ont encore jamais conduit de véhicule électrique seront surpris par le silence, en fait depuis que le moteur est en marche rien n’a changé, il n’y a pas même une vibration ! Le petit hic, c’est que cette absence de bruit de fonctionnement peut se révéler dangereux en ville pour les passants un peu téméraires, BMW aurait bien fait d’intégrer un petit son à faible allure comme cela existe sur certains VE. Toutefois, il est possible de choisir – en option – un détecteur de piétons.
La conduite de la BMW i3 nous a séduite. La prise en main facile et la puissance disponible immédiatement font de cette voiture électrique une auto performante qui pourra aller titiller les grosses berlines et autres petites sportives au feu vert (ses qualités dynamiques n’ayant pu être essayées)
Me voici bien installé, je passe sur le mode « D » et la voiture reste à l’arrêt, elle ne partira que en sollicitant la pédale d’accélération (contrairement aux voitures à boîte automatique classique et certains VE). L’i3 s’élance franchement grâce à son couple disponible immédiatement. Après moins de 5 min, je lai déjà apprivoisé. La direction est agréable, suffisamment ferme. Comme les roues avant sont seulement directrices et non pas motrices, l’i3 tourne bien, même très bien ! Son rayon de braquage est sous les 10 mètres (9,86 m), un vrai plus pour son utilisation urbaine à laquelle elle est dédiée. Une fois que l’on relâche la pédale de droite, la voiture freine, et cela de manière bien plus forte que sur d’autres électriques qui utilisent cette énergie cinétique (on peut faire le « parallèle » avec le frein moteur des véhicules thermiques) pour recharger les batteries. Assez logiquement, les feux stops s’allument alors même que l’on a pas actionné les freins. En ville, on peut donc conduire sans toucher la pédale de gauche avec même peu d’anticipation. C’est donc une autre façon de conduire (bénéfique pour les plaquettes et disques de freins), mais on s’y habitue très vite.
BMW a eu la bonne idée d’intégrer à l’i3 un GPS intelligent et pensé pour l’électrique comme le montre la photo ci-dessus représentant la distance maxi (contours blancs) pouvant être parcourue (simplement l’aller). De plus il s’agit d’un rayon modulé par les parcours possibles, pas d’un simple cercle
Voici plus de 10 minutes que l’on roule et il est bien difficile de se sortir des bouchons. Enfin, voici une petit ligne droite pour faire un premier test de cette BMW et voir ce qu’elle a sous le capot plancher du coffre (moteur en position arrière) ! On appuie donc franchement sur les gaz et quelle pêche ! On reconnait bien la marque allemande toujours à la quête de performance : l’i3 nous colle au siège et cela pousse très fort et sans faiblir. Malheureusement, nous n’avons pas pu aller au-delà de 80 km/h du fait de l’environnement, mais quelques kilomètres sur autoroute (la vitesse est bridée à 150 km/h) aurait été très intéressants. Il faut savoir que le 0 à 100 km/h est abattu en 7,2 secondes (comparable à Mini Cooper S !), pas mal ! Une chose est sûre, voilà des sensation inédites pour cette catégorie de voiture électrique !
Selon vos envies, vous pouvez choisir entre trois modes de conduite sur l’écran central de très bonne qualité par ailleurs : confort, éco pro ou éco pro +. Ce dernier permettant d’atteindre jusqu’à 200 km d’autonomie. L’essai ne nous a pas permis de vérifier l’efficacité des différents modes, ni l’autonomie de manière générale
Le travail sur la masse totale s’élevant à 1 195 kg n’y est pas non plus étranger (voir plus d’information sur la fiche technique de l’i3) quand d’autres modèles tutoient les 1,5 tonne ! Cette hausse du rythme nous permet de confirmer la dureté des suspensions. La personne qui nous accompagne nous expliquera que c’est toujours un peu plus raide chez BMW par rapport à la moyenne et qu’ici encore un peu plus à cause de la conception de la voiture. Il faudrait la conduire plus longtemps pour juger si cela est inconfortable ou non.
De jour dans le trafic vous vous ferez remarquer avec l’i3 et de nuit vous vous différencierez avec les phares à LED qui ont un liseré bleu/violet sur la partie supérieure du faisceau
Petit bémol, nous n’avons pas pu tester le prolongateur d’autonomie (le REx, pour « Range Extender ») qui est un moteur de moto d’une cylindrée de 647 cm3 permettant de porter le kilométrage maximal sans recharger de 130 – 160 à 240 – 300 km. Une option à 4 710 € (soit 15 % du prix de la voiture) palliant à l’absence de bornes électriques (vous allez faire un plein de 9 l d’essence, le réservoir est sous le capot) tout en tranquillisant le conducteur (il ne faudra pas dépasser les 110 km/h pour que le moteur électrique puisse être alimenté). Cela apporte également une plus grande polyvalence à l’i3.
Après cet essai express bien évidemment trop court pour donner lieu à un jugement définitif, que peut-on conclure au sujet de l’i3 ? Si son design particulier est sujet à d’éventuelles critiques, BMW a eu l’audace de concevoir et de proposer une auto innovante de la carrosserie (panneaux en plastique, en fibre composite et en carbone pour la cellule, en alu pour le châssis, …) à l’habitacle (matières recyclées et inédites…). Le résultant est réussi, car l’i3 fait partie des voitures électriques les plus légères avec un autonomie comparable (à vérifier) tout en proposant beaucoup plus de puissance ! Du côté de la recharge, sur une prise classique celle-ci demande 8 heures. Les batteries sont garanties 8 ans ou 100 000 km (ou location avec option d’achat à 470 €/mois pendant 3 ans et 30 000 km, entretien et garantie compris).
La BMW i3 va-t-elle faire décoller le segment premium des électriques ? Réponses d’ici quelques mois…
Le prix d’entrée est fixé à 34 990 € (ou 39 700 € avec le REx) hors bonus de 6 300 € (au 1er novembre 2013). Des tarifs élevés donc, mais qui doivent être mis en perspective par rapport à la clientèle visée et la conception de l’auto. Ici, ce sera sûrement un achat en tant que deuxième voiture et l’usage de carbone, d’un moteur électrique puissant justifient déjà une partie du prix d’autant plus qu’il n’y a pas de location d’une batterie contrairement à la Renault Zoé moins chère (20 800 € hors bonus de 6 300 €, mais 79 €/mois pour les batteries).
Si aujourd’hui il est trop tôt pour commenter le succès ou le non-succès de l’3, BMW a déjà des indicateurs au vert qui lui permettent d’être optimiste, à savoir : 100 000 demandes de réservations d’essais et 4 mois d’attente pour une commande alors que 9 000 unités (produites à l’usine de Leipzig, en Allemagne) ont déjà été écoulées.
A suivre !
Pour la deuxième génération de la plus petite des Hyundai, la marque a grandement amélioré le design de sa citadine. Une évolution qui vaut également pour le reste de la gamme du Sud-coréen. Découvrons en détails les nouveautés de l’Hyundai i10 2013.
Sur les images officielles que l’on peut voir dans cet article, on remarque bien l’i10 avec une identité plus marquée. Pour y arriver, elle a été conçue au centre technique Hyundai de Rüsselsheim, en Allemagne et ses dimensions ont été modifiées. Ainsi, l’i10 est plus longue de 8 cm (3,66 m), plus large de 6,5 cm (1,66 m) et sa hauteur de toit diminue de 1,55 à 1,50 m.
Du côté de la dotation, le constructeur ajoute quelques équipements supplémentaires mieux rivaliser avec ses concurrentes comme les Renault Twingo et Fiat 500.
Alors que l’extérieur dégage une montée en gamme, la partie intérieur de l’i10 2013 fait un peu bon marché… Un peu moins de boutons sur le volant n’aurait pas été de refus
Dès l’entrée de gamme, on dispose du contrôle automatique de pression des pneus, des jantes en acier de 14 pouces, des vitres teintées, … La finition supérieure (Evidence) permet de gagner des rétroviseurs (dégivrants et électriques) et poignées de porte couleur carrosserie, des vitres avant et arrière électriques, la radio CD MP3, … Pour avoir les anti-brouillards et les feux de jour à LED de série, il faudra malheureusement choisir la plus haute finition (Sensation) vendue à partir de 12 400 €.
Pour l’offre moteur, c’est assez simple puisqu’elle est réduite à l’essence et seulement deux petits blocs de 66 et 87 ch. Seul ce dernier en finition Sensation permet de bénéficier d’une boîte automatique.
Type de moteur | Moteur | Finition | Prix |
essence |
1,0 l 66 ch | base | 9 950 € |
Evidence | 10 800 € | ||
Sensation | 12 400 € | ||
1,2 l 87 ch | Evidence | 11 400 € | |
Sensation | 13 000 € | ||
1,2 l 87 ch BVA | Sensation | 13 750 € |
Il à noter que si la dotation de série est plus riche, l’auto voit son prix d’entrée gonfler légèrement (+ 300 €) par rapport à sa devancière. Le choix le plus compétitif, semble être le 1,2 l 87 ch en finition Evidence à 11 400 €.
L’Hyundai i10 est disponible en concessions.
Très attendue tout comme l’était la Série 4, voici la Série 2 qui est le deuxième nouveau modèle BMW créant un nouveau chiffre dans la gamme (« 2 » et « 4 » en l’occurrence). Qu’est-ce qui change par rapport à sa devancière la Série 1 Coupé ? A vrai dire pas mal de choses…
Depuis quelques temps de plus en plus d’informations filtraient sur la Série 2. Des photos volées en pagaille, une vidéo teaser de la marque, etc… Voici donc la présentation officielle de l’auto sous sa version la plus puissante : la M235i.
Autant la face avant nous fait penser à une petite Série 4, autant l’arrière et notamment les optiques de feu font davantage penser à une mise à jour de la Série 1 Coupé
Vue de profil, la ligne est très équilibrée. Beaucoup parlent déjà de la BMW Série 2 comme d’un classique alors même que sa commercialisation n’a pas encore eu lieu !
Sur les photos ci-dessus, on découvre des traits musclés (le pack M aidant) et une proue comme une poupe bien dessinées. La Série 2 n’a rien à voir avec la Série 1 berline contrairement à la Série 4 qui partage sa calandre avec la Série 3. Seul l’habitacle est repris à la Série 1 (à l’exception du volant à trois branches).
Du côté des dimensions maintenant, la BMW Série 2 Coupé s’allonge de 7 cm (4,42 m), s’élargit d’1 cm (1,77 m) et conserve sa hauteur de toit de 1,42 m. Et comme on a maintenant l’habitacle avec les nouveautés, le poids est en baisse. Il s’agit de 30 à 80 kg perdus selon les versions.
Comme annoncé, le coupé disposera de trois moteurs à son lancement. Le client pourra choisir entre deux essence et un diesel. La puissance minimum s’établissant à 184 ch pour culminer jusqu’à 326 ch avec le six-cylindres en ligne bi-turbo (0 à 100 km/h en 4,8 s).
L’habitacle très austère de la BMW Série 2 Coupé, il est identique au volant près à celui de la Série 1
Seule une M2 pourrait proposer davantage d’équidés sous son capot. Les prix estimés varient de 32 000 à 50 000 €.
Type de moteur | Moteur | Puissance | Conso/CO2 | Prix |
essence |
220i | 4-cyl 2,0 l 184 ch 270 Nm |
6,1 l/100 km 142 g CO2/km |
33 000 € |
220i (BVA 8) | 4-cyl 2,0 l 184 ch 270 Nm |
5,7 l/100 km 134 g CO2/km |
34 000 € | |
M235i | 6-cyl 3,0 l 326 ch 450 Nm |
8,1 l/100 km 189 g CO2/km |
50 000 € | |
M235i (BVA 8) | 6-cyl 3,0 l 326 ch 450 Nm |
7,6 l/100 km 176 g CO2/km |
52 000 € | |
diesel | 220d | 4-cyl 2,0 l 184 ch 380 Nm |
4,5 l/100 km 119 g CO2/km |
33 000 € |
220d (BVA 8) | 4-cyl 2,0 l 184 ch 380 Nm |
4,2 l/100 km 111 g CO2/km |
35 000 € |
Par la suite, l’offre moteur s’enrichira de deux diesel supplémentaires :
Type de moteur | Moteur | Puissance | Conso/CO2 | Prix |
diesel | 218d | 4-cyl 2,0 l 143 ch 320 Nm |
4,3 l/100 km 114 g CO2/km |
29 000 € |
218d (BVA 8) | 4-cyl 2,0 l 143 ch 320 Nm |
4,2 l/100 km 111 g CO2/km |
31 000 € | |
225d | 4-cyl 2,0 l 218 ch 450 Nm |
4,7 l/100 km 124 g CO2/km |
38 000 € |
Il est à noter que toutes les versions pourront être choisies en boîte manuelle à six rapports ou en boîte automatique à huit rapports (BVA 8) contre un surplus de 2 000 €.
Un modèle qui devrait rapidement trouver sa clientèle (et les déçus du style de la Série 1 F20) qui est à découvrir en chair et en os au salon de Los Angeles le 20 novembre prochain, tandis que la date de sortie de la Série 2 Coupé est attendue pour mars 2014.
Le constructeur germanique présente (en langue anglaise) sa nouvelle Série 2 très axée sur le plaisir de conduite, prometteur tout comme la sonorité moteur et ses capacités dynamiques !
Les modifications esthétiques se font rares à l’extérieur. Dacia a jugé que ce n’était pas une priorité.
Dacia se prendrait-il pour un constructeur haut de gamme ? D’habitude, ce sont les premium qui en font le moins possible lors des restylages de leurs modèles ! Ou alors au contraire, à véhicule low-cost, lifting low-cost ? Pas totalement.
Alors oui, à l’extérieur, la marque roumaine ne s’est pas foulée. Selon ses termes, les petites modifications apportées à l’engin renforceraient son côté baroudeur. Elles lui donneraient aussi un côté un peu plus chic, avec par exemple un nouvel habillage pour les optiques avant. La calandre adopte deux bandeaux chromés. C’est ce qui est le plus visible. Les plus observateurs remarqueront ailleurs les nouvelles barres de toit siglées Duster, la canule d’échappement chromée ou encore les jantes 16 pouces « Dark Metal » associées à des pneumatiques de type M+S.
Un œil exercé remarquera quand même le nouvel habillage des phares et de la calandre. Ce nouvel ensemble fait un peu monter en gamme le Duster.
En réalité, les plus gros changements se trouvent à l’intérieur, avec une toute nouvelle planche de bord. Bonne surprise, celle-ci est inédite. La marque ne s’est pas contentée de reprendre celle de la nouvelle Sandero. Même si quand on y regarde de plus près, on se rend compte que quasiment toutes les commandes sont partagées avec d’autres Dacia et que la position des éléments est identique. Mais l’emballage est nouveau, avec une large console centrale encadrée par deux inserts verticaux, gage de robustesse.
C’est ici que le changement se remarque le plus, avec une nouvelle planche de bord, un peu plus valorisante visuellement. Niveau qualité, les plastiques restent durs. Mais à ce prix, c’est normal.
L’ergonomie progresse, avec par exemple l’arrivée (enfin) des commandes de vitres électriques dans les portières. Autre petit progrès, l’ordinateur de bord affiche la température extérieure. Pour plus de confort, Dacia a redessiné les sièges avant et les dossiers de la banquette ont été renforcés. Un nouveau cache-bagages prend place dans le coffre.
Sous le capot, preuve que Dacia n’est pas le parent pauvre du groupe Renault, on trouve un inédit TCe de 125 chevaux (boîte manuelle 6 rapports), en complément du 1.6 de 105 ch compatible GPL. Curieusement, le 0.9 TCe de 90 ch est absent. Pas de changement côté diesel, avec les connus et fiables 1.5 dCi de 90 et 110 ch. Seul ce dernier est proposé avec la transmission intégrale, facturée 2000 euros.
Le « nouveau » Duster se reconnait sous cet angle à ses feux rhabillés et sa canule chromée. Les jantes de ce haut de gamme sont nouvelles, avec des pneus neige/boue.
On ne connait pas la date précise d’arrivée de l’auto dans les concessions. Cela devrait se faire avant la fin de l’automne. Dacia vient tout de même de dévoiler la nouvelle gamme de l’auto. Les commandes seront ouvertes le 8 octobre.
Avec la marque roumaine, on n’est jamais déçu. Et si les prix étaient canons, ils le sont encore plus car, surprise, ils sont en légère baisse à dotation équivalente. Car si certaines versions perdent un ou deux équipements, l’ESP est proposé de série sur toute la gamme (300 euros auparavant).
La version de base, sans changer de prix, gagne aussi des airbags latéraux, qui demandaient avant 500 euros de rajout. Bon, côté confort, c’est toujours vide, direction assistée mise à part.
Le niveau supérieur, Ambiance, rajoute la condamnation centralisée des portes, la banquette 1/3-2/3, les vitres avant électriques ou encore la radio CD avec prise jack et USB. Le prix de cette version baisse de 300 euros en moyenne… mais les antibrouillards et les jantes acier 16 pouces disparaissent. On les retrouve au niveau supérieur Lauréate qui ajoute aussi la climatisation manuelle, l’ordinateur de bord et les rétros électriques.
La version haut de gamme Prestige est celle qui fait l’objet du plus de changements. A prix équivalent, si elle perd la peinture métallisée, elle propose maintenant de série l’aide au parking arrière, le système de navigation Média Nav avec écran tactile et le régulateur de vitesse. Le Duster se met donc enfin à la page niveau équipements.
Et clairement, c’est cela qui intéresse plus les acheteurs qu’un nouveau bouclier avant. Pas radin Dacia, juste malin !
Type de moteur | Moteur | Finition | Prix |
essence |
1.6 105 ch GPL 4X2 | Duster | 11 900 € |
Ambiance | 13 000 € | ||
TCe 125 ch 4X2 | Ambiance | 14 500 € | |
Lauréate | 15 600 € | ||
Prestige | 16 700 € | ||
diesel | 1.5 dCi 90 ch 4X2 | Duster | 13 400 € |
Ambiance | 14 500 € | ||
Lauréate | 15 600 € | ||
1.5 dCi 110 ch 4×2 | Ambiance | 15 100 € | |
Lauréate | 16 200 € | ||
Prestige | 17 300 € | ||
1.5 dCi 110 ch 4×4 | Ambiance | 17 100 € | |
Lauréate | 18 200 € | ||
Prestige | 19 300 € |
>> Voir notre essai du Dacia Duster en diesel et essence
On efface tout et on recommence. Le nouvel X-Trail adopte l’allure d’un crossover, avec un air plus citadin, sans protection en plastique.
C’est ce qu’on appelle l’ironie de l’histoire. Le X-Trail avait vu ses ventes fondre suite à l’arrivée des Qashqai court et long. A tel point qu’on le pensait condamné. Et pourtant, en 2013, l’engin doit son salut au crossover compact de la firme japonaise ! Explications.
Si Nissan n’a pas décidé d’abandonner totalement les carrosseries classiques (il prépare en ce moment une nouvelle compacte rivale directe de la Golf), il veut proposer un maximum de crossovers en complément suite au véritable succès du Qashqai. Et il y avait un trou entre ce dernier et le Murano. La version 7 places « +2 » du premier le comblait partiellement mais Nissan souhaitait placer un vrai modèle. Et ce rôle a été attribué à la 3ème génération de X-Trail, qui délaisse donc l’allure de baroudeur pour une silhouette plus urbaine et plus sportive. Typé famille, le nouveau venu poussera vers la sortie le Qashqai +2 et permettra à Nissan de proposer un Qashqai 5 places plus dynamique, dans la veine du Juke.
On oublie donc tout des anciens X-Trail. Le nouveau est plus chic, plus moderne et prouve à merveille qu’avec quelques traits simples on peut obtenir une jolie silhouette. L’engin ne fait pas dans l’outrancier ni dans les excès et sait pourtant se montrer séduisant avec des formes équilibrées. Le nouvel X-Trail est international : il sera aussi vendu aux Etats-Unis sous l’appellation Rogue.
Le nouvel X-Trail n’est pas l’engin le plus original qui soit mais son allure est très agréable avec des lignes équilibrées, sans fioritures.
Et l’influence américaine se ressent dans le design, surtout au niveau de la poupe, avec des volumes solides. L’épaisse barre chromée autour du logo à l’avant fait aussi très USA. Une nervure partant du capot, contournant le montant de pare-brise et soulignant le vitrage latéral donne du relief au profil, tout comme les passages de roues marqués.
Il est dommage de voir Nissan ne pas faire des efforts pour le dessin de la planche de bord. La marque qui cherche à donner un côté fun a ses crossovers pourrait proposer un poste de conduite plus dynamique. Le succès du Peugeot 3008, avec sa planche de bord digne d’une sportive, prouve que le client est attentif à ce genre de détail. Ici, on a du classique, sans originalité.
On est un peu déçu par cette planche de bord, sans grande originalité. On aurait aimé quelque chose de plus sportif.
Comme on l’a dit plus haut, le X-Trail séduira les familles. En option, il pourra proposer deux sièges supplémentaires dans le coffre. Les trois rangées de sièges sont implantées à des hauteurs différentes pour que les passagers puissent bien voir le paysage. Pour favoriser l’accès à la banquette centrale, mais aussi l’installation des jeunes enfants, les portes arrière s’ouvrent à près de 90 °. Les sièges de la deuxième rangée sont coulissants et inclinables. L’habitabilité progresse grâce à un empattement allongé et à des sièges conducteur et passager creusés. Ceux qui aiment se faciliter la vie opteront pour le hayon électrique. Dans le coffre, on trouve un plancher réglable sur deux niveaux.
Pas de miracle, les 6ème et 7ème places seront réservées à des petits gabarits… qui ne seront pas très à l’aise. Cela dépannera.
Côté équipements, pas d’innovation. Le X-Trail millésime 2014 reprend les friandises vues sur les modèles récents de Nissan, comme le Note. On retrouve la dernière génération du système de navigation NissanConnect, qui donne accès à tout un ensemble d’applications allant des plates-formes de réseaux sociaux au divertissement via un écran tactile 7 pouces. On retrouve aussi les fonctionnalités de Google avec par exemple la fonction Send to car : le conducteur planifie son itinéraire depuis sa maison avant de l’envoyer d’un clic à la voiture. Le système est associé à la fonction Bluetooth et à des prises USB et AUX.
Le nouvel X-Trail a l’honneur d’inaugurer la nouvelle plate-forme modulaire CMF de l’Alliance Renault-Nissan, qui sera reprise par toutes les autos du losange des gammes moyenne et haute (de la Mégane à l’Espace). Pour l’instant, Nissan est resté muet sur les motorisations qui équiperont l’engin. On aura le choix entre des versions traction ou quatre roues motrices, avec le système « All-Mode 4×4-i » qui offre le choix entre trois modes de fonctionnement : deux roues motrices, Auto et Lock (transmission intégrale permanente).
Le nouvel X-Trail sera commercialisé en Europe en juillet 2014, mais aucune date précise n’a été communiquée. Quant à son prix, les tarifs devraient débuter aux alentours des 29 000 €.
[MAJ] : Nouveau Nissan X-Trail : un seul moteur et tarifs en baisse
La gamme de l’Audi A3 est en plein renouvellement. Pour cette troisième génération, nous avons déjà vu l’A3, l’A3 berline et l’A3 Sportback (qui recevra également une version hybride e-tron). Le salon de Francfort qui se tient actuellement en Allemagne est l’occasion pour la marque de présenter une nouvelle déclinaison : l’A3 cabriolet.
Tout comme l’A3 berline, le CC profite de la nouvelle plateforme modulaire MQB qui offre plusieurs avantages. Du côté des dimensions déjà, l’allemande profite d’une petite cure de croissance. Ainsi sa longueur progresse de 4,24 à 4,42 m, son empattement grandit de 2,58 à 2,60 m et sa largeur passe de 1,77 à 1,79 m. La seule mesure en baisse est la hauteur de toit perdant 15 mm sur 1,42 m. A la clef, une habitabilité supérieure et un volume de coffre plus important (+ 60 l).
La deuxième génération de l’Audi A3 cabriolet avec le pack S line est une réussite d’un point de vue esthétique !
Sur la balance, l’usage de cette nouvelle plateforme se traduit par une voiture plus légère, malgré qu’elle soit un peu plus grande. Elle affiche 1 365 kg, soit une cinquantaine de kg en moins par rapport à sa devancière grâce à l’usage d’aluminium (pour le capot par exemple).
La partie arrière est très bien intégrée, tandis que les arches anti-retournement ne sont plus visibles (elles se déploient automatiquement derrière les appuis-tête en cas d’accident)
Du côté de la capote, c’est toujours une matière souple qui est utilisée. Le conducteur se plaira à actionner le système en 18 s et ce, jusqu’à la vitesse maximum de 50 km/h. Ce qui est très confortable au quotidien, notamment quand la pluie s’invite subitement en ville. Décapotée l’A3 offre encore un volume de coffre de 287 l.
En plus des trois finitions (Attraction, Ambition et Ambiente avec un pack S line disponible en option), la nouvelle A3 cabriolet 2013 dispose d’une palette de motorisations qui sera à terme bien garnie. Au lancement on pourra compter sur les blocs suivants (réduction moyenne de 12 % de la consommation) :
Type de moteur | Moteur | Puissance |
essence |
1,4 l TFSI | 140 ch |
1,8 l TFSI | 180 ch | |
diesel | 2,0 l TDI | 150 ch |
Puis deux autres moteurs viendront s’ajouter au catalogue par la suite dont celui de la S3 offrant 300 ch et 380 Nm de couple :
Type de moteur | Moteur | Puissance |
essence |
2,0 l TFSI | 300 ch |
diesel | 1,6 l TDI | 110 ch |
La boîte S-Tronic double embrayage à 7 rapports sera de série sur le 1,8 l TFSI, tandis que les autres auront droit à une boîte manuelle à 6 vitesse. Il est à noter qu’ultérieurement sera proposée la transmission intégrale appelée « quattro », une première sur ce modèle.
L’intérieur est bien fini, les différents coloris permettent de créer une sensation d’espace plus importante et les équipements technologiques sont bien présents avec une connexion 4G, un écran tactile, le régulateur de vitesse actif, …
Du côté de la date de sortie, elle n’est pas encore connue, mais on sait que l’auto devrait apparaître dans les concessions avant l’été 2014 (au 1er trimestre) afin de profiter de la météo et le tout pour un ticket d’entrée situé à 31 700 €. A ce tarif, on a le droit au 1,4 l TFSI 140 ch et la finition Attraction. Les commandes seront ouvertes dès le mois d’octobre 2013.
Les rumeurs donnent ce cabriolet comme un potentiel candidat à la gamme e-tron d’Audi. Cela fera le premier cabriolet hybride rechargeable du marché et c’est atout de taille lorsque l’on roule cheveux au vent…
En attendant, Audi organise une soirée le 23 septembre à Electric Paris spécialement sur le thème « e-tron ».
Au programme de ce concert privé, deux artistes dont Gesaffelstein de la scène électro et le duo belge 2manydjs (DJ Set) se produiront en live.
La vidéo de teasing de l’événement arrive, revenez sur cet article d’ici demain !
Depuis sa venue sur le marché des petits monospaces en 2006, le Nissan Note a été restylé en 2009 et 2013 saura l’année de sortie de la deuxième génération qui propose une esthétique bien différente et une montée en gamme sur les équipements proposés avec notamment un radar anti-collision et un système d’angle mort « pour le meilleur et pour le pire » comme le dit elle-même la marque nippone.
La Nissan Note 2 qui sera commercialisée en septembre 2013 en France se veut être la citadine fun et habitable
Voici d’ailleurs la vidéo promotionnelle mettant en avant le Nissan Safety Shield (système d’alerte anti-collision) :
Il faut avouer que ce genre de technologie qui tend à se généraliser (ici, c’est de série ou en option selon les finitions qui sont présentées en fin d’article) est un plus appréciable, en particulier pour une citadine, car c’est le lieu des petits coups de frein intempestifs qui surprennent.
Avec le Pack Style (bas de caisse, aileron, boucliers et jantes 16 pouces spécifiques ) dans cette teinte rouge, la Note propose un style racé
Du coup, du côté des dimensions elle perd un peu en longueur (4,10 m) et en hauteur (1,53 m) par rapport à la première mouture
Pour se déplacer, le Nissan Note II a choisi de s’équiper avec deux blocs essence trois-cylindres dont un est doté d’un compresseur (le DIG-S), tandis que les amateurs du gazole se rapatrieront sur un dCi Renault.
Pour l’habitacle, c’est assez sobre, mais les touches bleutées ici et là contribuent à rendre l’ambiance plus vivante
L’ensemble des moteurs est couplé à une boîte manuelle à cinq rapports (boîte auto CVT en option sur le 98 ch) et à un stop & start.
Type de moteur | Moteur | Finition | Prix |
essence |
1,2 l 80 ch – 110 Nm 109 g CO2/km |
Visia | 13 490 € |
Acenta | 14 690 € | ||
Connect Edition | 16 090 € | ||
1,2 l DIG-S 98 ch – 142 Nm 99 g CO2/km |
Acenta | 16 490 € | |
Connect Edition | 17 590 € | ||
Tekna | 18 690 € | ||
diesel | 1,5 l dCi 90 ch – 200 Nm 95 g CO2/km |
Visia | 15 790 € |
Acenta | 16 990 € | ||
Business Edition* | 18 190 € | ||
Connect Edition | 18 390 € | ||
Tekna | 19 590 € |
*finition réservée aux professionnels
Cette tarifaire nous dévoile donc une deuxième génération du minispace moins chère que sa devancière, mais avec des équipements plus high-tech que voici :
Article sponsorisé
Après avoir été annoncé il y a plus d’un an et vu en test sur le Nürburgring, Mercedes se décide à lever le voile sur son premier SUV compact qu’est le GLA. Ce modèle est permet au constructeur de renforcer son offre sur le segment des compactes surélevées et de venir concurrencer l’Audi Q3 et le BMW X1 qui arrivera en fin d’année.
La version pack AMG :
Voici le Mercedes GLA pack AMG qui lui donne des traits plus sportifs. Un SUV sur la base d’une Classe A
Sa parenté avec la petite compacte donne un design très proche, mise à part la poupe ci-dessus qui se distingue un peu plus pour prendre des airs plus « baroudeurs »
La version sans pack AMG :
Le GLA dans sa version classique. Le chrome sur le bouclier et la teinte marron lui confèrent un aspect haut de gamme
Avec sa transmission intégrale 4Matic, le GLA peut s’autoriser quelques sorties en-dehors des routes goudronnées, mais sa faible garde au sol limite quand même ses déplacements alors que cela lui permet d’atteindre un bon Cx (0,29)
Pour l’habitacle, nous sommes en univers connu puisque c’est en grande partie celui vu dans la Classe A. On notera l’ouverture électrique du coffre en option, de multiples combinaisons de garniture de siège et de couleurs pour personnaliser sa voiture et des sièges sport avec appuie-tête intégrés.
La version pack AMG :
Par la partie intérieure du GLA, c’est réussi et très similaire à sa sœur la Classe A dont il est issu
La version sans le pack AMG :
Ici, l’habitable joue dans un autre registre avec une boiserie sur la planche de bord et beaucoup de teintes marron
Quelques équipements spécifiques au 4×4 ont été intégrés via l’ordinateur de bord : gestion du mode 4×4, angle de braquage, boussole, inclinaison d’une pente en pour cent, vitesse contrôlée en descente, …
Pour les équipements classiques, on retrouve l’avertisseur d’angle mort, le franchissement de ligne, l’aide au stationnement, le régulateur de vitesse adaptatif, l’anti-collision, …
De côté-là, il n’y aura que des quatre-cylindres turbo, en essence comme diesel et il seront couplés à un stop & start de série.
Pour ce qui est de la boîte de vitesse, la clientèle aura le choix entre une boîte manuelle à six rapports ou une boîte automatique 7G-DCT à double embrayage avec sept vitesses. Cette dernière sera imposée sur les GLA 250 et 220 CDI 4×4.
Type de moteur | Moteur | Puissance | Conso |
essence |
180 1,5 l | 109 ch | |
200 1,6 l | 156 ch | ||
250 2,0 l | 211 ch | 7,1 l/100 km | |
diesel | 200 CDI 2,2 l | 136 ch | 4,3 l/100 km |
220 CDI 2,2 l | 170 ch |
Il est à noter que le 1,5 l essence d’origine Renault ne sera pas disponible au lancement et la version 200 CDI essence sera disponible uniquement en traction.
Une vidéo pour voir évoluer l’engin sur route et en mode tout-chemin :
Au chapitre des tarifs, la note s’annonce assez élevée. En effet, l’information est encore au conditionnel, mais il se pourrait bien que le constructeur germanique demande 30 000 € en prix d’entrée neuf pour acquérir son dernier modèle tendance… Un chèque en inflation de 5 000 € par rapport à la Classe A.
La date de commercialisation précise n’a pas encore été donnée par la marque, mais les intéressés pourront passer commande au mois de novembre prochain pour une livraison au début de l’année 2014… si la France permet à Mercedes d’immatriculer !
Honda continue son retour en force dans le milieu des voitures sportives. Après quelques images et vidéos de la NSX, le constructeur refait parler de lui avec la future Civic Type R. Voici les première informations connues sur ce qui se logera sous son capot, quand elle sera disponible et le prix qui sera demandé en concession pour les intéressés.
La cible à abattre pour la japonaise est bien sa rivale française au losange. Pour cela, en plus des qualités de la génération précédente, ce nouveau modèle profitera d’un bloc plus puissant. Fini les 201 ch, le 1,6 litre turbo ou alors un 2,0 litres turbo sera de la partie pour une puissance comprise entre 265 et 300 CV !
Le kit carrosserie lui va à ravir et apporte ce piment qui manque à la version de série
Mais ce qui fera sans doute son effet, c’est l’origine de ce moteur. En effet, Daisuke Horiuchi, responsable WTCC chez Honda, a laissé entendre il y a quelques mois que la mécanique serait étroitement dérivée de la compétition… La fin de l’i-VTEC ? Une tristesse pour les fans d’un côté, mais ces derniers devraient vite retrouver le sourire puisque ce même monsieur a annoncé qu’en retirant la bride à l’admission l’auto pouvait aller titiller les 10 000 tours/min ! Décidément, Honda ne renie jamais sa passion pour la moto et c’est tant mieux !
Au départ attendue cette année pour certains, la Civic Type R devrait voir le jour en 2015. Ce sera sans doute l’occasion pour Honda de faire profiter au modèle – sorti en 2011 – d’un restylage. Pas de date de sortie précise n’a encore été communiquée.
Ci-dessus voici une rencontre inattendue. C’est pour la vidéo de présentation de la Civic Tourer qu’à été vue cette version avec aileron de la Civic qui n’est pas la Type R comme l’a écrit Honda. Il faudra encore attendre !…
Enfin, pour la question des tarifs, au regard du gain en terme de performances et de l’habitacle plus cossu qui est dans le cahier des charges, il faudra compter sur un prix d’entrée autour des 27 000 à 28 000 €, ce qui fait de 2 000 à 3 000 € de plus que sa devancière.