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Peugeot 208 GTi, la résurrection ?

logo 208 gti

Trente ans après celle qui sauva la firme au lion d’un drame annoncé, Peugeot réitère aujourd’hui en ranimant la flamme “GTi”.
Sera-t-elle à la hauteur de LA légende ?
C’est ce que nous allons tenter de découvrir lors de cet essai.

Une grande dame était là pour nous accueillir, issue du Musée Peugeot de Sochaux !

Une grande dame était là pour nous accueillir, issue du Musée Peugeot de Sochaux !

Dans le hall de l'hôtel, la petite dernière nous attend dans son écrin de lumière.

Dans le hall de l’hôtel, la petite dernière nous attend dans son écrin de lumière.

Mais tout d’abord penchons nous sur le cas XY.

La version XY, pour demoiselles chics ou métrosexuels assumés.

L’occasion était également de présenter la version XY, destinée à une clientèle plutôt urbaine-chic, dans un lieu ad-hoc, un club huppé situé sur la Promenade des Anglais !

L’occasion était également de présenter la version XY, destinée à une clientèle plutôt urbaine-chic, dans un lieu ad-hoc, un club huppé situé sur la Promenade des Anglais !

Pour le côté chic et luxe, la XY tient bien son rôle. Une finition exclusive, des coloris inédits et une pléthore d’équipements, sont les arguments mis en avant sur cette gamme, destinée à une clientèle plutôt urbaine et fashion, à majorité féminine. Mais les hommes modernes apprécieront. Le 1.6, ici développant tout de même 155ch et 260 Nm de couple, est amplement suffisant pour emporter les seulement 1 090 kg de l’ensemble.

La XY séduira sans nul doute le plus grand nombre des citadins qui veulent se démarquer, de par ses couleurs ultra-modernes, ses équipements flatteurs et son style contemporain.

La XY séduira sans nul doute le plus grand nombre des citadins qui veulent se démarquer,
de par ses couleurs ultra-modernes, ses équipements flatteurs et son style contemporain.

La finition exemplaire de cette XY se veut véritablement l’alter-ego de la GTi, en version “classe”.
6 coloris au choix (5 sur le marché français), la calandre mêle chrome et noir glossy, le lettrage prend une teinte féminine, les jantes Mercure 17″ bi-tons, l’intérieur s’habille de tissu en adéquation avec l’idée générale, les compteurs s’entourent de filet violet, la planche de bord se couvre de cuir surpiqué, le tout apportant un charme raffiné.
A noter, que comme la GTi, la XY sera seulement disponible en carrosserie 3 portes.

L’intérieur de la XY, plus cossu que la GTi, soigne ses passagers.

L’intérieur de la XY, plus cossu que la GTi, soigne ses passagers.

Sur l’asphalte, elle respire la sécurité, offrant un comportement digne de ce nom.
Ne serait-elle pas en définitive une version GTi au féminin ? Tout du moins dans sa version 155ch.

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Admirez ce “Purple Night” à la peinture pailletée du meilleur effet. Il fera certainement fureur sur la Côte d’Azur.

Admirez ce “Purple Night” à la peinture pailletée du meilleur effet.
Il fera certainement fureur sur la Côte d’Azur.

Configurable à souhait, la XY, tout comme la GTi, dispose d’un logiciel dédié en ligne sur le site Peugeot.
A vous de jouer et créez la vôtre !

Fiche technique (version essayée)

Performance

Moteur 4 cylindres transversal 2 ACT à chaîne 1 598 cm3
Puissance max. : 156 ch. (115 kW) à 6 000 tr/min
Couple max : 260 Nm à 1 400 tr/min
Accélération : 0-100 km/h 7,3 sec.
1 000m DA : 28.2 sec.
Vitesse max. : 215 Km/h
Boite manuelle 6 rapports – MC6 B

Dimensions

Long. 3 962 mm
Larg. 2 004 mm (rétros dépliés)
Haut. 1 460 mm
Poids en ordre de marche (pleins faits de tous les fluides) : 1 090 kg
Cx : 0,34
Réservoir : 50 litres.
Consommation : Autoroute : 4,5 l/100km – Urbaine : 7,9 l/100km – Mixte : 5,8/100km
Pneumatiques : 205/45 R17

208 xy vs 208 gti

La GTi exacerbe les fondamentaux.

Après un rapide briefing matinal, nous apportant nombres d’informations à savoir, données techniques et découverte du parcours, nous frétillons d’impatience à l’idée de rejoindre le parking bien garni.

Le maitre de cérémonie nous présentant la vedette du jour, ainsi que le parcours de premier choix que nous allons emprunter à son volant, avec une surprise à la clé !

Le maitre de cérémonie nous présentant la vedette du jour, ainsi que le parcours de premier choix
que nous allons emprunter à son volant, avec une surprise à la clé !

A la première approche, visuellement l’effet est là, bien que plus discrète que son aïeule. Extérieurement, la calandre, à effet damier, est soulignée d’une fine lèvre rouge, le fond de lettrage se colore, le sigle GTi également. Des bas de caisse habillent l’ensemble et un aileron discret prend place en haut du hayon, le tout rehaussé sur des jantes 17″, sont les signes extérieurs de puissance.
Des touches de chrome terminent l’ensemble, apportant un côté plus clinquant que sportif. On s’éloigne du prestigieux label.

Avec l'accastillage spécifique GTi, la lionne semble prête à bondir ! Ici dans le Col de Vence au petit matin, à l'heure où l'aurore darde ses rayons d'argent à travers les écharpes de brume.

Avec l’accastillage spécifique GTi, la lionne semble prête à bondir !
Ici dans le Col de Vence au petit matin, à l’heure où l’aurore darde ses rayons d’argent à travers les écharpes de brume.

Sur le papier, l’évolution continue. Par rapport à la 207 RC, la GTi se raccourcit de 7cm et les voies sont élargies (+10 mm), adoptant ainsi des tours d’ailes accentuées, pour une posture plus râblée, gagne 90 kg et 25 ch pour un rapport poids/puissance plus avantageux, + 35 Nm de couple, indéniablement les qualités sont plus dynamiques encore. Les perfs s’en ressentent : Le 0 à 100 est donné pour 6,8 sec, soit 1 de moins que sa devancière, le 1 000m DA en 26,9 (-1,6 sec) et une V max de 230 km/h.

La calandre à effet damier et le lettrage coloré en rouge participe à rendre la face avant plus sportive. A l’arrière, l’aileron massif donne le ton.

La calandre à effet damier et le lettrage coloré en rouge participe à rendre la face avant plus sportive.
A l’arrière, l’aileron massif donne le ton.

Les optiques avants spécifiques participent à la signature du nouveau style Peugeot. A gauche la GTi, à droite la XY. Notez le petit damier dans l’angle supérieur.

Les optiques avants spécifiques participent à la signature du nouveau style Peugeot.
A gauche la GTi, à droite la XY. Notez le petit damier dans l’angle supérieur.

Les feux arrières, désormais typiques avec leurs 3 griffes, restent quant à eux inchangés.

Les feux arrière, désormais typiques avec leurs 3 griffes, restent quant à eux inchangés.

A l’intérieur, l’ambiance s’est embourgeoisé. On est loin de l’esprit spartiate de la 205 en son temps, sportive pure et dure. Le compteur entouré d’un fin liseré lumineux, les touches de rouge ci et là sont bien présentes et dans l’air du temps, les poignées de portes et le tableau de bord présentent un dégradé de rouge fantaisie, le pommeau est serti d’incrustations rouge, le volant comprend un repère milieu, un insert GTi et même le fond des “trous-trous” du cuir sont eux aussi colorés (!). Les sièges enveloppants bi-tons, bi-matières, au confort satisfaisant, arbore quant à eux, un filet en surpiqure qui court tout du long.
L’ambiance est bien moins timide que l’aspect extérieur. Après tout, c’est ici que le pilote passe le plus clair de son temps.

L’intérieur n’est pas des plus sportifs et quasi identique aux versions “classiques”, si ce n’est les touches de couleur et le trio pédalier/pommeau/volant spécifiques.

L’intérieur n’est pas des plus sportifs et quasi identique aux versions “classiques”, si ce n’est les touches de couleur et le trio pédalier/pommeau/volant spécifiques.

La position de conduite est très bonne et permet d’appréhender un long voyage dans un confort certain. Le levier de vitesse tombe bien sous la main et son toucher agréable. Le maniement général est précis et rassurant.

Le bloc d’instrumentation, cerné d’un rai lumineux, fait quant à lui son effet !

Le bloc d’instrumentation, cerné d’un rai lumineux, fait quant à lui son effet !

Installons nous à bord. Le contact est mis. 3, 2, 1… Vroum ! Le 1.6 thp 200 vrombit, le son est feutré et trop contenu, la sonorité étouffée. Ah on est bien loin du ronronnement caractéristique du 1600 XU des années 80 !
Nous partons à l’assaut du Col de Vence, route très appréciée et bien connue des pilotes amateurs du coin.

Rencontre au sommet au sortir du Col de Vence… Un étalon circonspect face à un troupeau de 200 canassons.

Rencontre au sommet au sortir du Col de Vence…
Un étalon circonspect face à un troupeau de 200 canassons.

Les premiers tours de roues se montrent agréables et l’amortissement, bien que ferme (en partie grâce aux tiges d’amortisseurs 2mm plus épaisses et aux ressorts 20% plus durs) filtre très bien les imperfections de la chaussée. Tout est là, question de compromis. La firme sochalienne l’a voulu ainsi, une sportive au confort contemporain.

Un petite pause s’impose pour pouvoir laisser refroidir les mécaniques. Ici, dans sa livrée “Bleu Virtuel”, surplombant le village perché de Gréolières.

Un petite pause s’impose pour pouvoir laisser refroidir les mécaniques.
Ici, dans sa livrée “Bleu Virtuel”, surplombant le village perché de Gréolières.

Le châssis s’annonce réactif et agile, la direction précise, avec une DA électrique spécifique et le freinage efficace, les étriers mono-piston (57 mm) pinçant des disques Galfer de 302 mm.

Prenant cette fois la pose devant le Château de Hautes Gréolières. En Gris Shark et Noir Perla Nera, équipées des jantes Carbone.

Prenant cette fois la pose devant le Château de Hautes Gréolières.
En Gris Shark et Noir Perla Nera, équipées des jantes Carbone.

Le moteur dit “Prince”, développé en étroite collaboration entre PSA et BMW, vient d’être élu Moteur International de l’Année 2013 dans la catégorie 1 400/1 800 ! Il s’agit très précisément du 1 600 THP 200 ch qui équipe notre modèle, connu aussi sous le nom de code, plus barbare, de EP6 CDTX.
Côté technique, il est suralimenté par un turbo “twin-scroll”, équipé d’une admission directe bien sûr, des 2 arbres à cames à calage variable et d’une inédite loi de levée de soupapes d’admission variable également, en continu !
Toutes ces avancées, permettent d’établir une consommation mixte, revendiquée par Peugeot, à seulement 5,9 l/100 et des rejets en Co2 de seulement 139 gr !

On est là aussi, très loin de son aïeule avec son collecteur d’admission caractéristique, reconnaissable entre 1 000 ! Ici on a 200 ch, faut que ça se sache. (sic)

On est là aussi, très loin de son aïeule avec son collecteur d’admission caractéristique, reconnaissable entre 1 000 !
Ici on a 200 ch, faut que ça se sache. (sic)

Le comportement routier se veut rassurant et équilibré, car les ingénieurs l’ont travaillé pour être le plus neutre possible. Néanmoins, on est loin de la sportivité qui a fait la renommée de son ascendante. Le politiquement correct a-t-il encore frappé ?

La montée en puissance exige l’implantation d’un aileron destiné à canaliser les flux d’air et apporter appui sur le train arrière.

La montée en puissance exige l’implantation d’un aileron destiné à canaliser les flux d’air et apporter appui sur le train arrière.

Le train arrière (rigidifié et élargi de 20 mm) est peu joueur, l’auto rivée au sol. Il faut la pousser dans ses derniers retranchements pour un peu retrouver les sensations de la 205 et enrouler les virages serrés dans un ballet majestueux du popotin. L’ESP est quant à lui déconnectable. Ouf !

Enrouler les épingles fait partie de ses compétences sur son terrain de jeu favori. Avec l’aide du “câble” pourquoi pas ? Sûrement !

Enrouler les épingles fait partie de ses compétences sur son terrain de jeu favori.
Avec l’aide du “câble” pourquoi pas ? Sûrement !

Ceci dit, elle est beaucoup moins sectaire que la “05” et permet un usage quotidien sans aucun soucis, de part son maniement et du fait des consommations relativement contenues grâce aux technologies actuelles.
Cependant, lorsque le rythme s’accélère, il vaut mieux prendre une carte fidélité chez le pompiste du coin, car, promis, vous ne viendrez plus chez lui par hasard et le service à café* tant désiré par “Maman” sera à vous en quelques semaines seulement.
* Certainement, seuls les plus de 25 ans comprendront.

A la période de l’essai, les températures n’étaient pas bien élevées et la neige encore présente par endroits. Néanmoins, cela a permis de tester l’accroche des Michelin Pilot Exalto 2 sur le mouillé. Ça tient !

A la période de l’essai, les températures n’étaient pas bien élevées et la neige encore présente par endroits.
Néanmoins, cela a permis de tester l’accroche des Michelin Pilot Exalto 2 sur le mouillé. Ça tient !

Peugeot a fait les choses en grand pour cet essai, nous permettant de découvrir et d’exploiter tout le potentiel de la nouvelle lionne enragée, sur les premiers kilomètres d’une des spéciales mythiques du Monte-Carlo notamment, le Col de Bleine, fermé pour l’occasion. De plus, Gilles Panizzi himself, nous honora de sa présence pour un baptême de haut niveau.

Nous voici au départ de la spéciale du Col de Bleine, en exclusivité ! Notez le toit vitré qui apporte luminosité au sein de l’habitacle.

Nous voici au départ de la spéciale du Col de Bleine, en exclusivité !
Notez le toit vitré qui apporte luminosité au sein de l’habitacle.

Le moteur tourne au ralenti, chacun notre tour nous patientons, prêts à lâcher la bride des 200 bourrins qui montent en température sous le capot. Au signal de l’homme en jaune… BANZAÏ !!!

Le moteur tourne au ralenti, chacun notre tour nous patientons, prêts à lâcher la bride des 200 bourrins
qui montent en température sous le capot. Au signal de l’homme en jaune… BANZAÏ !!!

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Peugeot a-t-il atteint le point de non-retour et joue son va-tout avec cette version sportive, pour sauver les meubles d’une crise compliquée et voir en un avenir moins sombre ?

Peugeot a-t-il atteint le point de non-retour et joue son va-tout avec cette version sportive,
pour sauver les meubles d’une crise compliquée et voir en un avenir moins sombre ?

En résumé, Peugeot nous a concocté une auto polyvalente, aux suspensions fermes mais confortables, sûre et joueuse si on sait l’utiliser, convaincante et efficace, mais manque de saveur. A l’appellation “GTi” on s’attend à un plat épicé, au goût exotique, qui pétille, ici on reste un peu sur notre faim en terme de piment.

Ici toutes les couleurs disponibles sont représentées.

Ici toutes les couleurs disponibles sont représentées.

Vous pouvez également découvrir l’essai d’Arnaud qui a eu la 208 GTi pendant plusieurs jours au quotidien.

Fiche technique

Performance

Moteur 4 cylindres transversal 2 ACT à chaîne 1 598 cm3
Pression max. Turbo : 1,2 bar
Puissance max. : 200 ch. (147 kW) à 5 800 tr/min – Coupure d’injection : 6 800 tr/min
Couple max : 275 Nm à partir de 1 700 tr/min
Rapport volumétrique : 10,5 : 1
Accélération : 0-100 km/h 6,8 sec.
1 000m DA : 26.9 sec.
Vitesse max. : 230 Km/h
Freins : Avant Disques ventilés à étrier flottant 302×26mm mono-piston 57mm
Arrière Disques à étrier flottant 249×9mm mono-piston 38mm
Rapport poids/puissance : 7,9 kg/kw (poids à sec)
Répartition du poids : 735 kg avant, 425 kg arrière
Boite manuelle 6 rapports – MC6 A

Dimensions

Long. 3 962 mm
Larg. 2 004 mm (rétros dépliés)
Haut. 1 460 mm
Poids en ordre de marche (pleins faits de tous les fluides) : 1 160 kg
Cx : 0,34
Réservoir : 50 litres.
Consommation : Autoroute : 4,7 l/100km – Urbaine : 8,2 l/100km – Mixte : 5,9/100km
Roues : Jantes alliage 7 J17″ 4-20
Pneumatiques : Michelin Pilot Exalto 2 – 205/45 R17 88V

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En exclusivité, nous avons le privilège de vous présenter un des tous nouveaux personnages de la série française “Section de Recherche”, fraichement installée à Nice pour la saison 8, et qui paraitra sur nos écrans à partir de mars 2014.

En effet, dorénavant le lieutenant effectuera ses déplacements à bord de cette Peugeot 208 GTi. Notez l’insigne “gendarmerie” sur le pare-soleil passager.

En effet, dorénavant le lieutenant effectuera ses déplacements à bord de cette Peugeot 208 GTi.
Notez l’insigne “gendarmerie” sur le pare-soleil passager.

Le nouveau bolide de l’équipe se pare forcément d’un gyrophare bleu.

Le nouveau bolide de l’équipe se pare forcément d’un gyrophare bleu.

C’est sous les feux de la rampe qu’elle commence, en parallèle, une carrière cinématographique.

C’est sous les feux de la rampe qu’elle commence, en parallèle, une carrière cinématographique.

Vincent LS

Vincent LS

Passionné depuis toujours d'automobile, aujourd'hui 3 spécialités se détachent : le Sport Auto et plus particulièrement le Rallye, les Anciennes, notamment les Youngtimers & enfin les Italiennes. Les concept-cars de tout temps & les innovations écologiques pour un avenir plus propre attisent également mon intérêt.

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