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Après l’A7 Sportback et sa déclinaison S7, c’est maintenant au tour de sa déclinaison la plus radicale RS7 d’être restylée. Quelques petites évolutions à relever, pas de révolution.
Comme ses sœurs de gamme et l’A8 restylée, elle peut adopter en option la technologie Matrix Led – qui voit s’associer 25 diodes fonctionnant indépendamment – dans une version ici légèrement assombrie pour plus de sportivité, associés à des clignotants à affichage dynamique à l’avant. Les phares sont sinon Full Led de série. Ils entourent alors une calandre Singleframe en nid d’abeille noir légèrement remaniée avec des angles plus prononcés.
Cette grille peut alors recevoir trois aspects différents en option : aluminium mat, noir brillant et carbone. Caractéristique des modèles RS, l’entrée d’air avant, porte toujours l’emblématique logo Quattro. Les feux arrière présentent aussi la nouvelle signature lumineuse des nouvelles A7 et surmontent un bouclier généreux intégrant deux sorties d’échappement ovales de chaque côté. Voilà de quoi rajouter de l’agressivité à la superbe ligne – osons le dire – de l’A7.
L’habitacle évolue lui-aussi avec parcimonie grâce à un combiné d’instrumentation, des aérateurs et des palettes de changement de vitesse remaniés. Le système multimédia MMI navigation plus avec MMI touch (pavé tactile) a été optimisé graphiquement par un nouveau processeur Nvidia plus rapide.
Pas de grande révolution non plus sous le capot : le V8 4.0 TFSI développe toujours 560 ch pour un couple maxi de 700 Nm délivré entre 1 750 et 5 500 tr/min. Un moteur qui permet de propulser la RS7 de 0 à 100 km/h en 3,9 s pour une vitesse maximale pouvant être rehaussée de 250 km/h de série à 280 ou 305 km/h en option… Seule la consommation est en baisse de 9,8 à 9,5 litres et des émissions de CO2 désormais à 221 grammes contre 229. Pas mal pour 560 ch, bien aidés ici par le système Cylinder on Demand qui ne fait fonctionner que quatre cylindres à faible charge et une boite automatique Tiptronic à huit rapports.
Il est coutume chez Audi de trouver des solutions à tous ses caprices dans le catalogue des options… Les plus sportifs trouveront alors une direction dynamique, à démultiplication variable, un différentiel sport arrière accélérant la roue extérieure au virage, une suspension sport plus rigide que son homologue pneumatique de série (abaissée de 20 mm par rapport à l’A7) toujours accouplée à un amortissement adaptatif et des freins en carbone céramique.
La RS7 arrivera en France à l’automne, pour un prix de base d’environ 113 300 €.
Au début du mois de mars dernier, nous vous présentions le Nissan Juke restylé, mais il manquait encore quelques informations sur les équipements, moteurs et tarifs notamment. Voici donc les derniers détails.
Au total, le Juke 2014 propose cinq moteurs de 94 à 190 ch dont quatre essence. La nouveauté est un turbo essence DIG-T de 1,2 l et 115 ch pour 190 Nm de couple (19 150 €). Il est associé à une boîte manuelle à 6 rapports et à un stop & start de série. Il vient remplacer (uniquement en boîte manuelle) le vieillissant 1,6 l de 117 ch qui reste vendu avec la boîte à variation continue (CVT) Xtronic.
En diesel, seul le 1,5 l dCi de 110 ch pour 260 Nm de couple (19 550 €) pourra être choisi par les gros rouleurs. Les amateurs de 4×4 devront obligatoirement passer le 1,6 l DIG-T de 190 ch pour 240 Nm (26 150 €), puisqu’il est le seul bloc avec transmission intégrale.
Sur les finitions haut de gamme (Connect Edition et Tekna), la liste des équipements de série est plutôt bien fournie.
En Connect Edition, on a l’allumage automatique des feux et des essuie-glaces, les rétroviseurs rabattables électriquement, les caméras de stationnement à 360°, le système de navigation tactile ou encore le fameux « Safety Shield » cher à Nissan comprenant un ensemble d’équipements de sécurité (détection de franchissement de ligne, angle mort et objets en mouvement).
En Tekna, on ajoute un inédit toit ouvrant panoramique, des projecteurs au xénon, des sièges avant chauffants et le démarrage sans clef.
La bonne nouvelle, c’est que suite à ce facelift la marque nippone ne fait pas grimper la note. L’entrée de gamme constituée par le 1,6 l essence de 94 ch en finition Visia débute toujours à 15 990 €. En sus, on bénéficie des feux de jour à LED, de quatre vitres électriques et d’un capteur de pression, mais en revanche pas de climatisation.
Le 1,2 l DIG-T de 115 ch est même moins cher de 452 € par rapport au 1,6 l de 117 ch qu’il supplante et tout cela sans malus.
Type de moteur | Moteur | Finition | Prix | Bonus malus |
Essence | 1,6 l 94 ch | Visia | 15 990 € | 250 € |
1,6 l 94 ch | Visia Pack | 17 350 € | 250 € | |
1,2 l DIG-T 115 ch | Acenta | 19 150 € | ||
1,2 l DIG-T 115 ch | Connect Edition | 20 750 € | ||
1,2 l DIG-T 115 ch | Tekna | 22 650 € | ||
1,6 l 117 ch Xtronic | Acenta | 20 050 € | 500 € | |
1,6 l 117 ch Xtronic | Connect Edition | 21 650 € | 500 € | |
1,6 l 117 ch Xtronic | Tekna | 23 550 € | 500 € | |
1,6 l DIG-T 190 ch | Connect Edition | 22 850 € | 250 € | |
1,6 l DIG-T 190 ch | Tekna | 24 750 € | 250 € | |
1,6 l DIG-T 190 ch 4×4 Xtronic | Connect Edition | 26 150 € | 1 600 € | |
1,6 l DIG-T 190 ch 4×4 Xtronic | Tekna | 28 050 € | 1 600 € | |
Diesel | 1,5 l dCi 110 ch | Visia Pack | 19 550 € | |
1,5 l dCi 110 ch | Acenta | 20 950 € | ||
1,5 l dCi 110 ch | Connect Edition | 22 550 € | ||
1,5 l dCi 110 ch | Tekna | 24 450 € |
Commercialisée prévue pour l’été 2014.
Entrée en production au cours de l’année 2009, la quatrième génération de l’Opel Astra va prochainement laisser place à sa remplaçante (l’Astra K pour les intimes). Comme en témoignent nos spyshots ci-dessous, la future mouture de la compacte allemande est encore à l’état de prototype, mais quelques premières informations ont déjà filtré.
En observant ce véhicule lourdement camouflé, on remarque que le capot est plus long et sculpté, les flancs semblent encore plus hauts par rapport au vitrage (certains y voient des air de Monza Concept) et enfin la proue se fait plus massive. Le tout, avec des dimensions en hausse. Pour cette Astra, ce sera la nouvelle plateforme « D2XX » de General Motors qui sera employée dans le but de contenir les coûts et de partager les technologies entre les véhicules.
Sur deux photos, on peut voir l’Astra V avec les portes ouvertes, mais malheureusement l’intérieur est aussi masqué. En revanche, l’épaisseur des panneaux de porte et des caoutchoucs peuvent laisser penser qu’Opel travaille à soigner l’insonorisation de son modèle qu’il veut hisser vers le premium. Le système multimédia Intellilink – déjà présent sur l’Adam – sera de la partie. Il permettra notamment de connecter son smartphone, d’accéder à internet et à la navigation, …
L’un des défaut de l’Astra actuelle est d’être trop lourde. Pour l’opus suivant, ce point sera amélioré de 50 à 100 kg selon la version grâce à l’usage de matériaux plus légers et de plus petits moteurs, dont un trois-cylindres. Les ingénieurs du constructeur devront relever le défi de faire aussi bien que l’EcoBoost de la Ford Focus ou le que e-THP de la Peugeot 308 (voir notre essai). La puissance du bloc trois-cylindres de la future Astra serait de 90 et 115 ch.
Un moteur d’environ 200 ch devrait également faire son apparition. Ce serait un quatre-cylindres essence turbo de 1,4 l ou 1,6 l.
Par ailleurs, une boîte manuelle à six vitesse ou une transmission automatique à double embrayage sera proposée.
La venue de la nouvelle Opel Astra est attendue pour 2015 et elle serait produite en Angleterre. Question tarifs, son prix d’entrée ne devrait pas bouger et rester autour des 17 000 €.
A suivre…
Crédits : CarPix pour Abcmoteur
Depuis la présentation au salon de Genève 2012 du concept EXP 9 F qui avait été loin de jouir de bonnes critiques, Bentley a revu sa copie pour le design de son SUV qui reste encore secret. En attendant, nous vous proposons donc des clichés espions de la mule de test reposant sur un Audi Q7 et quelques informations sur les motorisations au programme notamment.
Voici ce à quoi ressemble, pour le moment, le 4×4 de luxe que prépare Bentley qui sera sur la plateforme de troisième génération – optimisée pour un poids réduit grâce à l’usage d’alu – à destination des SUV du groupe Volkswagen. Elle sera partagée avec le Lamborghini Urus et le Q7 II.
Bien que du futur SUV Bentley on ne connaisse ni le design et le prix, la marque de luxe britannique a déjà convaincu 2 000 clients de prendre livraison de son mastodonte. Bart Gerris, directeur Europe, a précisé qu’aucun segment actuel du marché automobile ne pouvait accueillir le premier modèle haut sur pattes du constructeur. Ainsi, il déclare dans ces termes : « Nous ne voulons pas être arrogants, mais nous sommes en train de lancer une voiture sur un segment qui n’existe pas encore. En fait, il n’y a pas de segment pour nous, nous sommes en train de développer notre propre segment avec le SUV Bentley ».
A ce chapitre, Bentley restera fidèle à ses principes… quoique pas complètement ! En effet, si sous le capot du SUV (sûrement quatre roues motrices) on retrouvera le fameux W12 (sans doute à plus de 600 ch) et un V8 biturbo, deux autres motorisations plus inattendues vont faire leur entrée. Il s’agit d’une version hybride rechargeable combinant un bloc essence à un moteur électrique et d’une version équipée d’un… diesel ! En l’occurrence, le V8 TDI d’Audi.
Bentley a précisé qu’il a étudié la surface frontale et que les soubassements ont été lissés pour minimiser les frictions d’air. Les pneus sont aussi plus costauds. Tout cela dans le but de devenir le SUV le plus performant lors de sa commercialisation. La vitesse de pointe visée étant… 320 km/h ! A titre de comparaison, un Porsche Cayenne Turbo S (550 ch) n’atteint « que » 283 km/h…
Pour en savoir plus sur le dessin du SUV Bentley, il faudra encore patienter, la marque commençant déjà à teaser sur le sujet… Quant à sa date de sortie, elle est prévue pour le courant de l’année 2016 et 2017 pour l’hybride plug-in. Enfin, concernant le prix, celui-ci devrait dépasser les 120 000 €.
A suivre…
Crédits : CarPix pour Abcmoteur
L’Audi A6 Allroad Quattro de troisième génération est sur le marché depuis 2012. Le break baroudeur de la marque aux anneaux jouit toujours d’un segment de niche où ses principaux rivaux (BMW et Mercedes) ne se sont pas encore aventurés. Malgré tout, le restylage de ce modèle – démarrant actuellement à près de 58 000 € – est en approche comme en témoignent les photos espions de nos chasseurs de scoops.
Encore une fois, c’est sur le circuit du Nürburgring, en Allemagne, que les clichés espions ont été réalisés. Avec ces derniers, on peut constater quelques menues évolutions concernant l’A6 Allroad Quattro restylée.
La future Audi A6 Allroad Quattro restylée se distinguera tout d’abord par de nouveaux moteurs plutôt que par sa plastique
Par exemple, les optiques avant et arrière seront modifiées. Le dessin intérieur est revu avec une nouvelle signature lumineuse se caractérisant par un trait supérieur sur les projecteurs et comme un « T » allongé pour les feux stop. Les ampoules halogènes devraient être bannies pour l’éclairage. Les LED et le xénon seront toujours présents.
Par ailleurs, on remarque sur la proue une calandre possédant moins de barrettes chromées verticales…
Malheureusement, au sujet de l’habitacle, il faudra encore patienter avant de prendre connaissance des potentielles nouveautés (selleries, équipements high-tech, …).
Au chapitre mécanique, comme souvent avec les facelifts des constructeurs germaniques, les plus importants changements sont effectués.
Ainsi, le diesel V6 3,0 l TDI passe de 204 à 218 ch, soit un gain de 14 ch. Le couple moteur n’est pas encore connu, mais il devrait augmenter de 50 Nm environ, soit près de 500 Nm contre 450 Nm auparavant. Le V6 3,0 l TDI de 245 ch grimpera à 272 ch, soit 27 ch supplémentaires. Le couple s’élèvera à 600 Nm et toujours à 1 750 tr/min comme lors des 580 Nm. En revanche, le V6 3,0 l BiTDI (313 ch) et le seul essence, un V6 3,0 l TFSi de 310 ch, resteront inchangés.
A l’occasion de ce restylage, la consommation de carburant et les émissions polluantes de ces blocs compatibles Euro 6 seront optimisées.
Pour découvrir de près l’Audi A6 Allroad Quattro restylée, ce sera sûrement possible lors du Mondial de l’auto à Paris au mois d’octobre prochain. La commercialisation devrait se faire fin 2014 ou début 2015. Son prix de vente devrait se rapprocher des 60 000 €.
A suivre…
Crédits : CarPix pour Abcmoteur
Volkswagen présentait en ce début d’année le restylage de la Polo V. Surtout concentré sur les motorisations, ce lifting permet à la Polo GTI de grimper de 180 à 192 ch, ce qui peut sembler encore peu face aux Renault Clio RS (voir notre essai) et Peugeot 208 GTI (voir notre essai). Seulement, c’est sans compter sur la venue probable d’une Polo R qui ira succéder à la série limitée de la Polo R WRC (voir notre essai) !…
Alors qu’aucune information officielle n’est encore parue, l’illustrateur Theophilus Chin nous gratifie d’une premier rendu pour celle qui sera la plus délurée des Polo. On découvre donc dans un coloris bleu la citadine allemande dans sa version trois portes. Des modifications sont réalisées sur la calandre qui se sépare de la barrette chromée tout en recevant un logo « R » comme sur les Golf R et Scirocco R (voir notre essai).
En-dessous, le bouclier exhibe de larges prises d’air. Les antibrouillards sont supprimés, tandis que deux feux LED en position horizontale sont posés sur les extrémités. Enfin, de profil on note les coques de rétroviseur noires, les jantes d’un gros diamètre avec des disques de frein surdimensionnés, ainsi que des jupes latérales pour les bas de caisse. Inévitablement, un diffuseur avec une double sortie d’échappement seront de la partie.
Tout comme dans la R WRC, on retrouvera le moteur essence 2,0 TSI turbo. Ici, il ne développera plus 220 ch, mais 230 ch, soit autant que l’Audi S1 ! Le couple moteur devrait osciller entre 350 et 370 Nm. Les deux roues motrices seront remplacées par une transmission intégrale, tandis que le client aura sans doute le choix entre une boîte manuelle à 6 rapport ou une boîte auto DSG.
Côté performances, elles devraient être sensiblement identiques à sa cousine aux anneaux. Le 0 à 100 km/h serait bouclé en 5,8 s et la Vmax bridée électroniquement à 250 km/h. Le poids total serait autour des 1 300 kg.
Pour s’acheter la Volkswagen Polo R 230 ch, il faudra patienter jusqu’en début 2015, la Polo VI arrivant pour 2016 ou 2017… Son prix de vente sera un peu moins élevé que celui de la S1 (33 900 €), soit peut-être 30 900 € (– 3 000 €).
A suivre…
Pour la troisième génération du X-Trail (voir notre présentation détaillée), Nissan a complètement repensé son 4×4 pour le faire ressembler davantage à un SUV. Les lignes sont réussies et si il grossit légèrement en longueur (17 mm) et largeur (30 mm), son poids est en baisse de 90 kg avec 1 500 kg pour le modèle de base.
Petite surprise, puisque le nippon disponible en 5 ou 7 places (+ 800 €) ne proposera qu’un seul moteur lors de sa commercialisation au mois de juillet 2014 ! Il s’agit d’un quatre-cylindres diesel 1,6 l dCi offrant 130 ch et 320 Nm de couple dès 1 750 tr/min. Un bloc bon à tout faire et sobre. A la pompe, il demande 4,9 l/100 km de carburant pour des rejets de CO2 s’élevant à 129 g/km en 4×2. Seules les versions 4×2 avec la boîte auto à variation continue Xtronic (CVT) et 4×4 (uniquement disponible en boîte manuelle à 6 vitesses) sont soumises au malus. Respectivement, elles demandent 150 € (135 g/km) et 250 € (139 g/km).
La bonne nouvelle, c’est que le X-Trail III en profite pour être moins onéreux que son prédécesseur. Ainsi, l’offre débute à 27 700 € avec l’entrée de gamme Visia comprenant déjà le feux de jour à LED, la climatisation, l’aide au démarrage en côte, le témoin de pression des pneus, le régulateur de vitesse, un accoudoir à l’avant et à l’arrière, quatre vitres électriques, le kit main libre Bluetooth ou encore les jantes en alliage de 17 pouces.
Le deuxième niveau de finition, Acenta, ajoute pour 2 200 € de plus la climatisation automatique bi-zone, les antibrouillards, l’allumage auto des feux et essuie-glaces et les radars de stationnement avant et arrière.
Les finitions haut de gamme telles que Connect (à partir de 32 250 €) et Tekna (34 400 €) permettent d’accéder au hayon électrique, à des caméras de stationnement à 360°, au système d’info-divertissement avec écran tactile, l’ouverture et le démarrage sans clef, le freinage automatique d’urgence, le détecteur d’angle mort, les projecteurs entièrement à LED, …
Version | Prix | Malus |
X-Trail 4×2 BVM6 Visia | 27 700 € | |
X-Trail 4×2 BVM6 Acenta | 29 000 € | |
X-Trail 4×2 BVM6 Connect | 32 250 € | |
X-Trail 4×2 BVM6 Tekna | 34 400 € | |
X-Trail 4×2 Xtronic Acenta | 31 140 € | 150 € |
X-Trail 4×2 Xtronic Connect | 33 750 € | 150 € |
X-Trail 4×2 Xtronic Tekna | 35 900 € | 150 € |
X-Trail 4×4 BVM6 Acenta | 32 100 € | 250 € |
X-Trail 4×4 BVM6 Connect | 34 450 € | 250 € |
X-Trail 4×4 BVM6 Tekna | 36 600 € | 250 € |
La gamme de modèles Porsche ne cesse de s’élargir avec plus seulement des coupés, mais aussi deux SUV et une berline. Ces derniers temps, les puristes pouvaient se demander si la marque n’avait pas un peu oublié ses origines ? C’était sans compter sur un petit roadster léger et sportif qui pourrait faire son entrée dans les prochaines années… Explications.
Auparavant, les autos de la firme de Stuttgart étaient bien plus légères et moins onéreuses. Au regard du dernier Boxster (265 ch) frôlant les 1 400 kg et débutant à 51 260 €, on se dit que l’inflation sur ces deux points a été conséquente. Toutefois, Porsche travaillerait secrètement sur un petit coupé-cabriolet sous la barre des 4 mètres appelé pour le moment « Porsche 718 » en référence à un modèle sportif de la fin des années 1950.
Compacte et avec un poids en baisse, la Porsche 718 promet de belles sensations de conduite ! – (image : Porsche Boxster GTS)
En sus de son gabarit réduit, la 718 proposera le minimum à bord avec un intérieur relativement dépouillé sans aller jusqu’au niveau d’un Lotus Elise, mais peut-être d’une Alfa Romeo 4C (voir notre essai) ?
L’un des objectifs de cette cure d’amaigrissement est bien entendu le poids, mais aussi les normes anti-pollution très contraignantes poussant la marque à proposer des voitures moins énergivores. Ainsi, alors qu’un Boxster pèse 1 385 kg, la 718 basée sur une plateforme dérivée du Boxster pourrait se limiter à 1 200 kg.
Pour y arriver, elle compte sur sa capote manuelle, mais surtout sur l’arrivée d’un flat-4 turbo. Un quatre-cylindres n’avait plus été intégré à la gamme depuis les années 1960 avec la Porsche 912 ! Il sera toujours positionné à l’arrière (d’où les ailettes sur la deuxième image visible ci-dessus) et développera 286 ou 360 ch selon qu’il soit en 2,0 ou 2,5 l de cylindrée. Les performances devraient même être meilleures qu’un Boxster !…
L’autre argument de cette 718 sera son prix. Avec un tarif d’entrée estimé à moins de 40 000 € (39 000 €), il devrait attirer un certain nombre d’intéressés et aussi peut-être faire du tort aux Boxster/Cayman qui représentent jusqu’à aujourd’hui l’entrée de gamme Porsche en terme de coupé. Bien entendu, une liste d’options à rallonge sera disponible pour améliorer son bolide et… augmenter sensiblement la note !
L’année de commercialisation estimée est pour… 2016. Nul doute que d’ici là la pression aura le temps de monter !
A suivre !…
Source : Auto Plus
Lors de l’officialisation du restylage de la Challenger, nous pensions que la redoutable version « Hellcat » avait été passée à la trappe, mais il n’en est rien ! Le constructeur américain vient de lever le voile sur sa « muscle-car aux performances ultimes » dépassant les 600 ch pour « les 5 % de la population en voulant toujours plus » !
Face à une Challenger « normale », la SRT Hellcat fronce encore un peu les sourcils avec une calandre dotée d’une grille spécifique pour améliorer le flux d’air, des antibrouillards qui disparaissent, un prise d’air élargie sur le capot, ainsi que des feux à diodes « visibles à plusieurs pâtés de maisons » selon le communiqué…
De grosses roues de 20 pouces chaussées de pneus Pirelli P Zero Nero avec disques de frein Brembo de 390 mm de diamètre à étriers 6 pistons et un becquet arrière noir finissent d’annoncer la couleur pour la plus délurée des Challenger.
D’ailleurs, c’est bien sous le capot de l’Américaine que se situe le plus intéressant, à savoir le moteur essence 6,2 l V8 HEMI compressé développant plus de 600 ch !… Dodge se gardant, pour le moment, de donner la puissance définitive, tout comme les performances du monstre.
Le groupe Chrysler se dit très fier de présenter au public « le V8 le plus puissant jamais développé » par ses soins. A l’achat, il sera possible de choisir entre une boîte manuelle à 6 vitesses ou une boîte auto Torqueflite à 8 rapports, une première. Dans les deux cas, il est possible de choisir parmi quatre modes : Standard, Sport, Piste ou personnalisé. Cela permettant d’intervenir sur la puissance moteur, les changements de rapport, la suspension, …
Petit « bonus », la Challenger SRT Hellcat restylée est livrée avec deux clefs distinctes. La première, rouge, donne accès à tous les équidés du huit-cylindres, tandis que la deuxième, de couleur noire, bride certaines fonctionnalités comme la puissance, le régime moteur (4 000 tr/min maxi), désactive le Launch Control, le mode séquentiel, …
Le système multimédia à écran 7 pouces fait son entrée avec plus de 100 configurations intérieures possibles
Une façon de rendre plus sage la bête avant de confier son engin à un ami ou à son fils le temps d’une soirée…
La commercialisation de la Challenger SRT Hellcat est prévue pour le quatrième trimestre 2014 aux Etats-Unis. Son prix de vente atteindrait 50 000 $ (36 740 €) environ, de quoi nous faire saliver, nous Européens !
Voici trois vidéos pour découvrir cette voiture qui ne s’adresse pas au premier venu…
En fin de semaine dernière, nous vous présentions l’Audi A7 Sportback restylée, c’est maintenant au tour de la version plus musclée d’être détaillée ici. Voici donc les évolutions – se portant essentiellement sur l’esthétique et la mécanique – concernant la S7 Sportback 2014.
Sur la nouvelle S7, nous retrouvons les même modifications que sur le modèle « standard », à savoir des nouvelles optiques. A l’avant, le dessin est modifié pour des formes plus acérées et la technologie Matrix LED – introduite sur l’A8 restylée – fait son entrée. Cette dernière permet, grâce à une batterie de LED indépendantes au nombre de 25, d’éclairer la route de manière optimale tout en adaptant l’éclairage lorsque l’on croise un véhicule par exemple.
Pour les feux stop, le dessin intérieur est également revu avec notamment un « T » allongé semblant compartimenter les différents blocs d’ampoules. Le fond des optiques devient aussi plus sombre. En outre, les clignotants de la S7 deviennent dynamiques, comme sur la R8 restylée qui a inauguré ce système accentuant l’impression de direction avec un mouvement horizontal plutôt que de clignoter de manière classique.
Côté carrosserie, on note des boucliers légèrement remaniés, ainsi qu’un diffuseur plus agressif pour la proue. Les quatre sorties d’échappement deviennent noires pour l’occasion. Le gabarit est toujours imposant, puisque l’Audi mesure près de 5 m de long (4,9 m) et plus de 2 m de large (2,1 m). Le volume de coffre demeure à 535 l pour aller jusqu’à 1 390 l banquette rabattue.
Le V8 4,0 TFSI essence turbo proposant auparavant 420 ch profite de ce restylage pour grimper à 450 ch. Il est toujours équipé du système de désactivation partielle des cylindres. Le cylinder on demand (COD) permet de désactiver quatre des huit cylindres lorsque le moteur n’est pas en charge dans le but d’économiser en carburant.
Malheureusement, la fiche technique complète avec les performances n’est pas encore connue. Pour rappel, avec les 420 ch le 0 à 100 km/h est effectué en 4,7 s. Les 30 équidés supplémentaires devraient permettre d’améliorer ce chiffre de 0,1 ou 0,2 s. De quoi rester dans la course face aux Mercedes CLS 500 (408 ch) et surtout BMW Gran Coupé 650i (450 ch). Toutefois, il faudra patienter encore un an ou deux avant de voir la RS7 (560 ch) subir un relifting.
Le communiqué Audi ne précise par la date de sortie de la S7 Sportback phase 2, mais elle devrait se faire en même quand que l’A7 Sportback, soit au mois de septembre prochain. Quant aux tarifs, ils devraient débuter à partir de 103 000 € environ (101 180 € actuellement, hors malus de 8 000 €).
[MAJ] : La RS7 a finalement été présentée restylée !
Apparue en 2007, la deuxième génération de la Fabia (plus d’1,5 million d’unités vendues) va bientôt laisser place à sa remplaçante. Cette dernière vient d’ailleurs d’être photographiées par nos chasseurs de scoops pour la première fois. La future citadine de Skoda a été surprise à l’entraînement sur le circuit du Nürburgring, en Allemagne.
Tout comme sa prédécesseur, la Fabia III joue la carte de la simplicité pour son style. Si la proue adopte la nouvelle calandre proéminente avec le logo positionné en-dehors de celle-ci, sur la carrosserie, le reste ne changera pas énormément. Les optiques de phare sembles dénuées de LED. Reste à voir si les versions haut de gamme en seront également privées, alors qu’une Seat Ibiza peut en être équipée dès le deuxième niveau de finition.
Le profil est très épuré avec des formes rectangulaires pour le vitrage, tandis que la poupe évolue avec de nouveaux feux. La lunette arrière semble légèrement plus inclinée et le bouclier donne un air plus massif à l’ensemble. D’après nos informations, Skoda utilisera une ancienne plateforme pour la Fabia 2014. Alors que certains voyaient la base modulaire MQB, ce sera la PQ24, soit celle du modèle actuel tout en étant très probablement retouchée pour l’occasion. Ce choix est fait dans le but de contenir les coûts.
Malheureusement, ces spyshots ne permettent pas de distinguer l’habitacle. Il faudra donc encore patienter afin de prendre connaissances des nouveautés à bord.
Malgré tout, on sait déjà que de nouvelles fonctionnalités en terme de connectivité (téléphone, MP3, …) seront proposées. Un nouveau système d’info-divertissement offrant la possibilité d’interagir avec des applications de son smartphone (Twitter, Facebook, Google Maps, …) sera intégré sur la console centrale.
Par ailleurs, des personnes informées affirment que prototypes de la future Fabia ont été vus avec un radar dans la partie inférieure du pare-choc avant tout comme sur la Volkswagen Polo dernièrement restylée. Ainsi, l’auto profitera du freinage d’urgence automatique (« City Emergency Braking ») jusqu’à 30 km/h. A réserver pour un usage urbain et embouteillé donc.
Sous le capot, la Fabia de troisième génération ira piocher dans la palette de motorisations de la Polo 2014. En essence, les 1,0 l FSI (trois-cylindres de 60 et 75 ch) et 1,2 l TSI turbo (de 90 et 110 ch) seront de la partie. Ce dernier pourra se coupler avec la boîte à double embrayage DSG. Côté diesel, le nouveau trois-cylindres 1,4 l TDI se déclinera en 75 et 90 ch. La Fabia RS n’est pas reconduite.
En outre, une Fabia Greenline avec le 1,4 l TDI de 90 ch émettant seulement 80 g de CO2/km sera disponible. Des pneus « verts » permettront d’abaisser la consommation à 3,2 l/100 km.
Attendue au Mondial de l’auto 2014, à Paris, la nouvelle Skoda Fabia devrait être commercialisée dans la foulée à la fin de la même année. La Fabia Combi (break) fera son entrée l’année suivante, soit en 2015. Le prix de base ne dépassera pas les 12 000 € avec le plus petit bloc essence.
[MAJ] : Voici la future Fabia avec beaucoup moins camouflages !
A suivre…
Crédits : CarPix pour Abcmoteur
La marque Daihatsu, appartenant au groupe Toyota, est sur le point de lever le voile sur la deuxième génération de son tout petit coupé-cabriolet Copen. Cependant, c’était sans compter sur une fuite sur le Web concernant la brochure de la voiture !
Sur les scans visibles ci-dessous, on y découvre donc la Japonaise au gabarit très réduit qui s’inspire très largement de l’étude de style Kopen vue l’an dernier au salon de Tokyo.
La Copen 2015 se dote donc d’un style beaucoup moins en rondeurs et plus musclé, dommage pour auto qui avait une bouille attachante. A l’intérieur, on retrouve ces formes anguleuses, mais l’ensemble donne un sérieux coup de vieux à sa devancière ! La sellerie de couleur marron clair est réussie, mais l’on se demande pourquoi Daihatsu monte un volant avec une jante d’un si grand diamètre sur cette auto de moins de 4 mètres.
En outre, ce dépliant égaré nous livre quelques informations techniques. Ainsi, on apprend que la Copen repose sur le châssis D-Frame afin de gagner en rigidité et confort. Un bon point.
Par ailleurs, côté motorisation, le cabriolet du Soleil Levant adopte un trois-cylindres essence turbo de 660 cm3 (soit la cylindrée d’une moto !) offrant 64 ch (à 6 400 tr/min) et 92 Nm de couple (à 3 200 tr/min) pour un poids total de 850 kg. Le client pourra choisir entre une boîte manuelle à 5 rapports ou bien une transmission à variation continue (CVT).
… mais pas en France ! En effet, depuis plus d’un an Daihatsu ne vend plus dans l’Hexagone.
La présentation officielle aura lieu le mois prochain, tandis que sa commercialisation se fera en 2015. Son prix de vente estimé aux alentours des 11 000 € devrait être attractif.
[MAJ] : Voici les premières photos dans la vie réelle !
A suivre.
Il y a peu, Mercedes levait le voile sur un concept-car massif : le Coupé SUV. Le passage des stands du salon de Pékin à la route s’est fait très rapidement pour celui que l’on appelle « MLC » ou « ML Coupé », puisque moins d’un mois plus tard les chasseurs de scoops automobiles l’ont saisi sur le vif. Le voici ci-dessous dans sa version la plus brutale, soit la 63 AMG.
Le segment des SUV coupé inauguré par BMW avec le X6 n’est pas un type de carrosserie pour jouer sur le terrain de la discrétion, et encore moins lorsque l’on parle des X6 M et MLC 63 AMG ici en photos… Au travers du lourd camouflage, on peut deviner un bouclier avant intégrant des bouches d’aération hypertrophiées, une calandre avec une grosse étoile en son centre, des jupes latérales plus larges et des jantes surdimensionnées avec un système de freinage conséquent.
Pour la partie arrière, on note un diffuseur recevant deux doubles sorties d’échappement rectangulaires, ainsi qu’une ouïe sur les extrémité de part et d’autre à la hauteur de la plaque d’immatriculation.
A l’intérieur un traitement spécifique de la part d’AMG (sièges et volant sport, inserts sur la planche de bord, etc…) est attendu, mais malheureusement pas encore visible sur ces photos espions.
Pour mouvoir son char d’assaut, Mercedes utilisera l’artillerie lourde ! Le moteur M157 qui est un V8 biturbo de 5,5 l développant 557 ch et 720 Nm de couple et 585 ch et 800 Nm dans sa version S pourrait être utilisé.
Côté transmission, on retrouverait la boîte auto AMG MCT à 7 rapports pour aller envoyer la puissance sur les quatre roues (4×4). Le tout permettant au Mercedes MLC 63 AMG de réaliser le 0 à 100 km/h en environ 4,5 s. La Vmax sera limitée électroniquement à 250 km/h.
La version « standard » du MLC (C292) sera sans doute présentée au salon de Genève, en Suisse, au mois de mars prochain. Le MLC 63 AMG apparaîtra probablement six mois plus tard, à la rentrée 2015. Son prix débutera au-dessus des 130 000 € !
Crédits : CarPix pour Abcmoteur
Lancée en 2010, l’Audi A7 Sportback est en passe de fêter son quatrième anniversaire, mais celui-ci s’effectuera avec mouture restylée puisque la marque aux anneaux vient de l’officialiser pour sa berline « coupé » concurrente de la Mercedes Classe CLS – elle aussi en phase d’être rafraichie.
Toujours élégante malgré les années, l’A7 Sportback 2014 voit sa calandre et ses optiques avant/arrière retouchées. Comme le veut la tendance actuelle dans le groupe Volkswagen, les phares avant adoptent des formes moins arrondies avec leds de série, le dessin intérieur donne l’impression que chaque ampoule est compartimentée. Les phares Audi Matrix LED (5 projecteurs de leds chacun permettant d’adapter l’intensité lumineuse selon les situations) déjà présents sur l’A8 restylée sont également proposés, mais en option. La calandre suit même chemin stylistique en devenant de forme hexagonale.
A l’arrière, on note le nouvel aspect des feux devenant plus sombres et où là aussi chaque ampoule semble comme isolée par un trait en forme de « T » renversé. Les canules des sorties d’échappement optent pour une forme trapézoïdale – se rapprochant de l’A8 – en lieu et place des sorties rondes.
Pour l’habitacle, les évolutions sont encore plus minimes. Tout juste on note de nouveaux matériaux comme l’aluminium/Beaufort, du bois de noyer et du cuir Valcona. La palette de couleurs a été revue avec cinq couleurs différentes pour les sièges. La banquette arrière trois places fait désormais partie de la dotation de série.
Au chapitre mécanique, le travail de la firme d’Ingolstadt a été d’offrir plus de puissance tout en proposant des blocs plus efficients conformes à la norme Euro 6. Au programme, ce sont cinq gros moteurs dont deux essence et trois diesel d’une puissance allant de 218 à 333 ch.
Le 3.0 TDI clean diesel dans sa version « ultra » de 218 ch ne consomme que 4,7 l/100 km pour 122 g de CO2/km.
Type de moteur | Moteur | Puissance |
essence |
V6 2,8 l FSi | 218 ch |
V6 3,0 l TFSi | 333 ch | |
diesel | V6 3,0 l TDI | 218 ch |
V6 3,0 l TDI | 272 ch | |
V6 3,0 l BiTDI | 320 ch |
A retenir que le 3.0 TDI biturbo clean diesel de 320 ch est associé à une transmission tiptronic à 8 rapports, tandis que les autres moteurs utilisent une boîte auto à double embrayage S tronic à 7 rapports. La boîte automatique des versions traction a été complètement redéveloppée et remplace la boîte multitronic. A partir de 272 ch, il est possible d’ajouter un différentiel sport répartissant de manière active la puissance entre les roues arrière.
Pour acquérir la nouvelle A7 Sportback, il faudra patienter jusqu’à septembre 2014 pour la voir en concession. Son tarif de base est fixé à 58 900 € (+ 1 550 €) avec le V6 2,8 l FSi de 218 ch (+ 14 ch).
[MAJ] : Voir aussi la S7 Sportback restylée et la RS7
Ces derniers temps chez DS, il y en avait que pour les Chinois avec notamment la berline 5LS et le SUV 6WR. Heureusement, Citroën vient de dévoiler le restylage de sa DS3 après quatre années sur le marché des citadines huppées. Coup de projecteur sur la dernière nouveauté DS !
Ecoulée à plus de 300 000 exemplaires, la DS3 (et DS3 Cabrio) méritait bien une petite mise à jour de son faciès après avoir troqué il y a un an ses feux arrière classiques contre des nouveaux à effet 3D avec leds. Ainsi, elle reçoit des blocs optiques avant totalement inédits comprenant trois leds en forme de diamant et un phare au xénon incorporant un clignotant à défilement (à voir en action dans la vidéo ci-dessous). Une première pour la catégorie.
Pour le reste, rien ne change ou presque, la DS3 2014 ne reçoit donc pas la nouvelle calandre « DS Wings » vue sur les modèles DS destinés à l’Empire du Milieu. Toutefois, à l’intérieur des possibilités de personnalisation ont été ajoutées comme la gravure laser sur la planche de bord, la sérigraphie sur les vitres latérales arrière et un jeu de jantes « aluminium diamantées » de 17 pouces fait son apparition…
La Citroën DS3 phase 2 a l’honneur d’inaugurer une nouvelle technologie de pointe chez le groupe français : le système Active City Brake. Ce dispositif permet à l’auto de freiner de manière automatique à vitesse réduite (jusqu’à 30 km/h) afin d’éviter la collision et sera donc réservé à un usage urbain et aux bouchons. C’est un capteur laser de courte portée situé sur le haut de pare-brise qui joue le rôle de radar.
La petite DS 3 profite de l’arrivée des diesel de nouvelle génération (NOx en baisse de 90 % selon la marque), à savoir le 1,6 l BlueHDi en 100 et 120 ch remplaçant le 1,6 l e-HDi 90 et 115 ch. Ainsi, la consommation (respectivement 3,0 et 3,6 l/100km contre 3,5 et 3,8 l auparavant) et les émissions diminuent (respectivement 79 et 94 g de CO2/km contre 90 et 99 g avant facelift).
Pour les essence, deux blocs sont retouchés. Cela concerne le 1,2 l e-VTi de 82 ch dont la boîte pilotée ETG réduit la consommation mixte de carburant de 4,5 à 4,1 l/100 km, tandis que les rejets de CO2 décroissent de 104 à 95 g/km. De son côté le 1,6 THP de la DS3 Racing (voir notre essai) passe de 202 à 207 équidés comme sur la DS3 Cabrio Racing.
Les tarifs, tout comme la commercialisation n’ont pas encore été précisés. Selon les estimations, le prix de base devrait rester inchangé à 16 000 € avec le VTi 82. La sortie de la DS3 2014 étant attendue pour le mois de juin prochain.
Les nouveautés qui seront présentes au Mondial de l’auto de Paris en fin d’année (4 – 19 octobre) se font connaître peu à peu. Une des dernières en date est la Passat de Volkswagen dont les premières esquissent viennent d’être diffusées.
Sur les trois croquis suivants, on aperçoit celle qui deviendra la huitième (!) génération de la Passat. La face avant arbore une calandre à effet 3D dont les barrettes chromées viennent comme se prolonger dans les optiques très acérées.
Ces formes impressionnantes ne seront pas reconduites en série, la VW Passat 2015 sera fidèle à elle-même, autrement dit bien plus sage
Le profil est assez râblé et la vitre du hayon exagérément inclinée afin de donner l’impression d’avoir une berline aux allures de coupé quatre portes. Un élément que l’on ne retrouvera sans doute pas sur la version de série, puisque le modèle chinois de la Passat récemment surpris affiche une garde au toit classique.
Enfin, en ce qui concerne la poupe, l’ensemble est imposant afin de donner une impression de solidité. Les feux aux contours biseautés sont massifs et deux sorties d’échappement disposées de part d’autre du bouclier affichent le caractère sportif de l’auto déjà souligné par les jantes surdimensionnées. L’utilisation de la plateforme modulaire MQB devrait profiter à l’empattement et l’habitabilité.
Parmi les moteurs qui seront proposés avec la Passat millésime 2015 (de 120 à 280 ch), il y aura bien entendu des blocs déjà vus sur la Golf (voir notre essai), mais aussi deux nouveautés importantes.
La première est un quatre-cylindre 2,0 l biturbo diesel inédit. Il développera 240 ch pour un couple de 500 Nm ! Une boîte automatique à double embrayage DSG à sept rapports lui sera associé. Une transmission intégrale pourra également être choisie par le client.
Le seconde est une version hybride rechargeable similaire aux Audi A3 Sportback e-tron et Golf GTE. Un essence 1,4 l TSI turbo sera combiné à un moteur électrique pour atteindre une puissance totale de 204 ch et autonomie théorique en tout électrique de 50 km.
La présentation officielle de la nouvelle Passat devrait faire dans les prochains jours, tandis que sa commercialisation est attendue pour le mois de novembre 2014. Son tarif d’entrée ne devrait pas grandement évoluer : 25 500 à 26 500 € tout au plus.
A suivre…
Après plusieurs apparitions camouflée, la Mercedes-AMG GT fait à nouveau parler d’elle au travers d’une vidéo teaser… pour le moins musclée !
Sur ces images (voir vidéo ci-dessous), le préparateur officiel de Mercedes effectue en quelque sorte une démonstration de force. L’AMG GT – le 2ème modèle développée par AMG après la SLS – est filmée à tombeau ouvert sur de petites routes sinueuses. De nombreuses glisses sont réalisées de la part de celle qui souhaite concurrencer les Porsche 911 et Jaguar F-Type Coupé…
La présentation officielle de la GT a été confirmée pour l’autonome 2014, soit à la même période que le salon de l’auto de Paris où elle y sera donc très certainement présente. Sa date de sortie est inconnue, mais sa commercialisation se fera probablement dans le courant de l’année 2015, tandis que certaines rumeurs lui donnent un prix de base se situant aux alentours de 130 000 €.
Pour patienter, un mini-site spécialement dédié à la future sportive à l’étoile a été ouvert. Différents aspects de la voiture (capacités dynamiques, performances, design, …) y seront révélés au cours des prochains mois.
Il semble bien que nous ayons affaire au nouveau V8 4,0 l biturbo Mercedes-AMG annoncé pour 500 ch et 700 Nm de couple. Sa sonorité typiquement rocailleuse ravira les fans du genre !
A titre de rappel, l’habitacle de la GT :
Depuis les premiers spyshots de la Mini 5 portes il y a un an et demi, Mini a présenté la nouvelle Mini en fin d’année dernière et récemment le Countryman restylé. C’est maintenant bientôt le tour de la première Mini 5 portes d’apparaître dans sa version définitive, mais avant d’en arriver là les pilotes-essayeurs peaufinent encore le développement de leur voiture comme en témoignent ces spyshots pris au Nürburgring.
Sur les photos espions ci-dessous, on peut apercevoir les Mini Cooper S 5 portes et Clubman (en noir, images 1 & 2) qui ont été surprises en phase de test. Ces deux modèles dans leur version la plus puissante ont été rudement menée sur le circuit allemand d’après les différents témoignages.
La marque doit s’adapter à ces deux autos dotées d’un châssis plus long, de deux ouvrants en sus et d’un poids en hausse. L’agilité et le comportement sportif sont donc directement impactés par ces éléments par rapport à une Mini 3 portes. Différents réglages seront nécessaires pour gommer au mieux ces différences.
Malgré tout les efforts possibles des ingénieurs, fatalement le quatre-cylindres 2,0 l essence turbo de 192 ch et 280 Nm de couple (300 Nm avec l’overboost) sera un peu plus à la peine sur ces deux déclinaisons plus imposantes.
Les estimations donnent un 0 à 100 km/h autour des 7,0 s au lieu des 6,8 s de la Mini 3 portes actuelle, soit environ 0,2 s supplémentaires pour cet exercice. La consommation de carburant devrait également être légèrement plus élevée (5,7 l/100 km pour une Mini Cooper S 3 portes). Toutefois, cela n’est pas dramatique, puisque les amateurs à la recherche d’une sportive auront prochainement le choix entre 3 et 5 portes, contre seulement 3 portes auparavant.
Par ailleurs, la Mini 5 portes devrait afficher un surcoût de l’ordre de 1 500 € par rapport à une Mini 3 portes, soit un tarif juste au-dessus des 26 000 € en neuf. Sa commercialisation interviendrait à la fin 2014 ou au début 2015 – avec la Cooper S disponible simultanément – après une apparition officielle au Mondial de l’auto à Paris.
A suivre…
Crédits : CarPix pour Abcmoteur
La deuxième génération de la Porsche Cayman n’a plus à rougir face aux performances de sa grande sœur la 911 – hormis pour les versions les plus puissantes. Malgré tout, le constructeur allemand nous réserve un Cayman encore plus efficace et radical comme en témoignent ces récents spyshots pris sur le Nürburgring.
Par le passé, Porsche avait vendu un Cayman R de 330 ch. Allégé de 55 kg et abaissé de 20 mm, cette version était la plus radicale qui fut proposée pour la première génération du petit coupé. Le Cayman actuel suivrait le même chemin, mais cette fois-ci l’appellation retenue serait « GT4 ».
Avec le Cayman GT4, Porsche offre au Cayman ce qu’il offre à la 911 avec la GT3 (475 ch).
Au sujet du moteur, les 340 ch du Cayman GTS présenté il y a peu seront bien entendu dépassés. La puissance devrait atteindre les 360 ch, mais deux hypothèses existent quant au bloc qui sera utilisé.
Kit aérodynamique spécifique, hauteur de caisse réduite, disques de frein plus grands,… la Porsche Cayman GT4 donne le ton !
La première supposition est que Porsche placera sous le capot du Cayman GT4 une motorisation hybride. Ce serait un quatre-cylindres boxer turbo couplé à un moteur électrique qui seraient de la partie. Un choix dans la continuité du prototype 919 et son V4 hybride qui concourra aux 24 H du Mans.
L’autre possibilité – sans doute plus probable – serait de retrouver l’habituel six-cylindres à plat. Sa cylindrée portée à 3,6 l irait sérieusement concurrencer les 911 les plus sages qui auront bien du mal à tenir tête à cette sportive au sommet…
Pour la transmission, une boîte auto à double embrayage (PDK) avec sept rapports serait uniquement proposée tout comme sur la 911 GT3.
La plus extrême des Cayman pourrait s’échanger contre un chèque de 90 000 €, soit 50 000 € de moins qu’une 911 GT3, ce qui paraît comme un achat bien plus raisonnable.
Le diffuseur et la double sortie sont pour l’instant ceux du Cayman GTS sur cette mule de test
Des rumeurs donnent déjà sa première apparition officielle auprès du public pour le Mondial de l’auto à Paris au mois d’octobre prochain !…
A suivre.
Crédits : CarPix pour Abcmoteur
Après avoir été surprise sur circuit, vue sur un fragment d’image et au cours d’une vidéo, la Renault Megane R.S. 275 Trophy se montre enfin ! Que nous réserve donc Renault Sport pour sa version ultime de la Megane RS ?
Contrairement à ce que l’on aurait pu penser, la Megane RS 275 Trophy ne joue pas trop la carte de l’extravagance. On remarque l’inscription « Trophy » sur la lame avant et les stickers latéraux sur les ailes arrière. De nouvelles jantes noire 19 pouces « Speedline Turini » à battons et un enjoliveur de canule d’échappement type carbone parachèvent la plastique de la compacte trois-portes.
La Renault Megane RS 275 Trophy ne joue pas la carte de la surenchère pour son style et c’est une bonne nouvelle
Ses 275 ch la place devant l’ex-modèle le plus puissant tricolore, à savoir la Peugeot RCZ R (voir notre essai)
A l’intérieur, le pilote notera des seuils de passage de porte numérotés, des sièges baquets Recaro en cuir et alcantara rehaussés de surpiqûres rouges. Les appuie-têtes sont estampillés « Renault Sport ».
Du côté de la fiche technique, même si les performances n’ont pas été encore communiquées, les 10 chevaux supplémentaires du moteur ne sont pas la seule amélioration sur cette Megane RS R. Ainsi, la sportive au losange reçoit un différentiel à glissement limité de série, ainsi qu’une ligne d’échappement Akrapovic en titane – comme nous vous l’avions annoncé il y a trois mois – ayant pour résultat d’améliorer l’extraction des gaz, le poids et la sonorité.
Deux options peuvent être ajoutées pour faire de cette Megane RS une auto encore plus radicale. La première concerne des amortisseurs « Road&Track » 1 voie, réglables, du réputé fabricant Öhlins. La deuxième vous lie avec Michelin, puisque vous pouvez choisir des pneus Pilot Sport Cup 2 développés spécifiquement pour la configuration traction du bolide.
Enfin, concernant le 2,0 l turbo essence, la reprogrammation le fait passer de 265 à 275 ch sans changement pour la consommation. Celle-ici demeure à 7,5 l/100 km pour 174 g/km de CO2, soit 2 200 € de malus (voir notre essai). En outre, le couple moteur stagne à 360 Nm (de 3 000 à 5 000 tr/min). Les valeurs du 0 à 100 km/h et de la Vmax devraient légèrement progresser, tandis que la masse totale fléchira légèrement.
Pour la question des tarifs, la Megane RS 275 Trophy (38 000 €) gonfle la note de 5 950 € par rapport à une Megane RS classique (32 050 €). Elle sera commercialisée en série limitée dans une vingtaine de pays, tandis que les commandes seront ouvertes à partir du 3 juin pour la France.
Reste à attendre le 16 juin pour connaître son chrono sur le Nürburgring. Ce dernier a de très grandes chances d’être en-dessous de celui de la nouvelle Seat Leon Cupra !
Des rumeurs font de plus en plus état d’une future berline chez Peugeot. Si la 508 (voir notre essai) s’intercalant entre les 407 et 607, laisse une place vacante pour un modèle très haut de gamme, il semble que le constructeur franc-comtois soit davantage intéressé – pour le moment – par la commercialisation future d’une berline à l’allure de coupé.
Le concept-car Exalt présenté il y a un mois au salon de Pékin donnait le ton avec des lignes sculptées et épurées, ainsi qu’une hauteur de toit réduite (1,31 m). Depuis, la supposée venue d’une berline coupé au sein de la gamme au lion est encore plus forte. L’hebdomadaire Auto Plus qui annonçait l’arrivée d’un tel modèle dès le mois de janvier dernier rempile avec son dernier numéro (n° 1 340) du 9 mai où il y détaille sur deux pleines pages la « 408 GT de série » ou encore nommée sur la couverture du journal comme « la version définitive ».
La future Peugeot 408 GT imaginée par Auto Plus. Reposant sur la plateforme EMP2 de la 308 (voir notre essai), elle sera dynamique et équipée de technologies dernier cri
Cette illustration – qui n’est pas une image officielle, tout comme le patronyme « 408 GT » n’est pas confirmé – nous montre ce que serait l’élégante auto découlant de l’étude de style Exalt. Ici, le design très sportif est assagi. Les éléments non transposables en série sont supprimés ou remplacés (rétroviseurs effilés, poignées de porte invisible, …). La longueur (4,70 m) serait identique, les optiques sont toujours partiellement scindées en deux, les plis sur le profil sont plus communs, tandis que la poupe est nettement apaisée (voir page 22 – 23) avec un bouclier proéminent.
Avec cette berline coupé plutôt relativement exclusive, Peugeot viendra se positionner en challenger de la Mercedes CLA (à partir de 29 000 €) dotée d’un look très viril. La 408 GT sera armée de blocs puissants en diesel et surtout en essence. Pour le mazout, nous pourrions retrouver en haut le nouveau 2,0 l BlueHDi de 180 ch, alors que pour les amateurs de sans plomb pourront compter sur le 1,6 l THP de la RCZ R (voir notre essai). Fort de ses 270 ch, il viendra jouer les trouble-fête ! En outre, une motorisation hybride dépassant les 300 ch ne serait pas non plus à exclure !…
Si aucun spyshot n’a encore été diffusé et que la direction n’a rien indiqué à ce sujet, la Peugeot 408 GT semble bien dans les cartons de la firme sochalienne. Une date de sortie située en 2016 et un prix d’entrée démarrant aux alentours des 26 000 – 28 000 € semblent probables.
Une affaire à suivre de près…
La Superb, représentant le modèle le plus haut de gamme chez Skoda, avait été restylée il y a un an. C’est maintenant au tour de la déclinaison break appelée « Superb Combi Offroad », avec ses airs de baroudeur, d’être rafraichie pour l’été 2014. Sa mise sur le marché datait de décembre 2012.
Ce restylage de la Superb Combi Offroad se concentre en grande partie sur la proue qui reçoit le nouveau visage de la marque. La nouvelle calandre fait migrer le logo sur le capot qui est lui aussi redessiné, les optiques légèrement obscurcies sont plus grandes, tandis que le bouclier évolue tout en accueillant des antibrouillards désormais de forme rectangulaire. Un barrette de chrome vient parachever l’ensemble qui gagne en prestance.
Du côté du profil on pourra signaler de nouvelles jantes en alliage 18 pouces « Trinity » anthracite. La poupe se contente d’un hayon quelque peu modifié au niveau de l’emplacement de plaque d’immatriculation.
Par ailleurs, cette version Offroad offre son lot d’équipements comme le kit carrosserie (passages de roue élargis, boucliers spécifiques façon « tout-terrain », pare-chocs noirs et protections style alu à l’avant et à l’arrière, bas de caisse, diffuseur, double sortie d’échappement, …), une sellerie cuir/alcantara noir ou ivoire, ainsi qu’un système d’accès et de démarrage main libre « Kessy ».
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, Skoda ne réserve pas cet accastillage uniquement à un seul bloc. Le client peut choisir entre deux diesel et un puissant moteur essence 2,0 l développant 200 ch. Pour les 2,0 l TDI 140 et 170, la transmission intégrale est proposée. En outre, comme les autres Superb restylées, la Superb Combi Offroad profite du pack Greentec comprenant le stop & start et la récupération d’énergie au freinage afin de diminuer la consommation de carburant.
Moteur | 2.0 TDI 140 | 2.0 TDI 140 DSG | 2.0 TDI 140 4×4 | 2.0 TDI 170 | 2.0 TDI 170 DSG | 2.0 TDI 170 4×4 DSG | 2.0 TSI 200 DSG |
Prix du neuf | 37 785 € | 39 465 € | 39 285 € | 39 095 € | 40 775 € | 42 265 € | 40 025 € |
Le surcoût à finition et motorisation équivalentes pour la version Offroad est de 1 675 €.
Pour les intéressés, la Skoda Superb Combi Offroad 2014 sera disponible en concession dès le mois de juin prochain.
L‘Hyundai Veloster Turbo a été lancé en 2012 et ce modèle de la firme coréenne est un peu à part de part avec son style atypique, son moteur peu performant et son prix élevé. Néanmoins, la donne pourrait changer comme en témoigne les toutes premières images volées de nos chasseurs de scoops. Les prises de vues sont situées en Allemagne (le centre de test de la marque est à Francfort).
En effet, sur ces différents clichés espions on peut remarquer un lourd camouflage sur le Veloster Turbo afin de masquer les nouveautés esthétiques aux regards indiscrets. Malgré tout, on peut deviner une nouvelle grille pour la calandre qui sera inspirée de la nouvelle philosophie Hyundai en matière de design appelée « Fluidic Sculpture 2.0 ». Le récent crossover ix35 en a bénéficié par exemple.
D’après les différentes vues offertes par ces spyshots, le Veloster Turbo restylé conserve son unique porte arrière à l’image d’une Mini Clubman
La poupe ne sera pas en reste, puisque les feux et le bouclier devraient être revus.
Pour l’habitacle, aucune photo ne permet encore d’affirmer des changements pour l’intérieur, mais il sont forts probables.
Avec son moteur essence 1,6 l turbo de 186 ch (contre 200 ch pour le modèle américain) dérivé de la Ford Fiesta ST, le Veloster Turbo souffre lorsqu’il est comparé à la concurrence. Un 0 à 100 km/h bouclé en 8,1 s n’aidant pas tout comme son prix frôlant les 30 000 € au catalogue en incluant le malus écologique de 2 200 €.
Pour la version restylée, la puissance, l’efficience (CO2…) et les performances pourraient donc grimper afin de rendre la sportive Hyundai plus convaincante et attractive. La présentation officielle interviendrait au salon de l’auto de Los Angeles, aux Etats-Unis, en fin d’année pour une commercialisation attendue début 2015.
[MAJ] : Le Veloster Turbo a aussi été vu sur le circuit du Nürburgring !
A suivre…
Alors qu’il y a un peu plus d’un mois le Porsche Macan s’est fait surprendre par les paparazzis dans sa finition GTS, la version coupé de cette déclinaison musclée a déjà été imaginée par un illustrateur.
La talentueux Virtual Car a donc imaginé ce à quoi pourrait ressembler le premier SUV coupé du constructeur allemand. Ici la ligne du Macan se plie très bien à cet exercice avec un pavillon plongeant à l’arrière, une silhouette assez trapue et une poupe massive.
Le futur Porsche Macan GTS Coupé offrirait entre 340 et 400 ch. La transmission intégrale 4×4 sera très certainement proposée
Reste à savoir si ce sera la V6 turbo essence 3,0 l ou 3,6 l qui sera mis à contribution sous le capot
D’autres rumeurs donnent plutôt le Cayenne comme favori pour un SUV coupé 5 portes, mais une chose est sûre, en s’aventurant sur ce segment la marque risque fort d’écouler son modèle comme des petits pains…
Et justement, c’est bien le succès du Range Rover Evoque (disponible en trois et cinq portes) qui nourrit les ambitions de la concurrence. L’arrivée du X4 chez BMW a dû également jouer sur l’éventuelle commercialisation (d’ici 2016 ou 2017 ?) d’un SUV coupé chez Porsche. Son prix tournerait autour des 70 000 €.
Affaire à suivre…
Crédits : Virtual Car pour BlogAutomobile
Connaissez-vous ce constructeur artisan anglais produisant des autos faisant passer une Lotus Elise pour une voiture confortable ? Il s’agit d’Areil. Et si cette marque fait parler d’elle actuellement, c’est parce que sa barquette baptisée Atom reçoit une édition spéciale encore plus radicale : l’Atom 3.5R.
Disponible en 3.5, l’Atom se décline en 3.5R pour offrir plus de puissance et de performance. Ainsi, le 2,0 i-VTEC turbo d’origine Honda (présent sous le capot de la Civic Type R) passe de 310 à 355 ch, tandis que couple moteur s’élève maintenant à 330 Nm. Le tout pour un poids plume d’à peine plus de 550 kg, soit un vrai missile sol-sol !
On notera également que la boîte manuelle est remplacée par une séquentielle toujours à six rapports – utilisée pour l’Atom V8 – et promettant des passages de vitesse (40 ms) tout comme des rétrogradages (50 ms) éclairs. Une rapidité d’exécution qui colle parfaitement à la vivacité de l’engin, puisque ce dernier n’a besoin que de 2,6 s pour effectuer le 0 à 96 km/h (60 mph) et 6 s pour atteindre 165 km/h ! La Vmax étant quant à elle établie à 250 km/h.
Commercialisée sans doute pour l’été 2014, l’Areil Atom 3.5R peut être commandée aujourd’hui pour le prix coquet de 97 000 € (au Royaume-Uni).
La date de sortie de la nouvelle Alpine n’est pas encore demain (2016), mais elle se rapproche. Des chanceux ont quand même pu l’admirer en maquette et la Française ne semblerait pas laisser de marbre.
En effet, d’après les dires rapportés par le site Internet La Tribune, ceux qui ont pu contempler celle qui se doit être la successeur de la célèbre berlinette et ressusciter la marque Alpine ont été enthousiasmés.
L’un de ces privilégiés explique qu’elle « combine un avant inspiré de la célèbre berlinette [NDLR : l’A110] et un arrière d’Aston Martin [NDLR : la DBS ?] ». Plutôt pas mal comme sources d’inspiration !
Un des autres sujets, non moins important, à propos de cette sportive concerne la fiche technique. D’après les derniers bruits de couloir, elle afficherait un poids compris entre 1 200 et 1 300 kg pour un moteur développant de 200 à 250 chevaux très probablement issus d’un quatre-cylindres turbo.
Avec un tel rapport poids/puissance, la future Alpine serait bien plus lourde que son ancêtre tout en aillant du mal à offrir des performances similaire à une Alfa Romeo 4C (voir notre essai) vendue à un prix similaire.
Parlons-en du prix ! Selon les infos qui circulent, la bombinette tricolore s’échangerait contre moins de 55 000 €, ce qui la place en concurrence directe avec l’Italienne citée plus haut qui pour le coup pèse 900 kg pour 240 ch… soit un rapport poids/puissance bien plus favorable !
Pour en savoir plus, il faudra encore patienter quelques temps avant l’apparition des premières photos volées et d’un prototype à la mi-2015 selon Bernad Ollivier, directeur d’Alpine. Sa commercialisation étant prévue pour 2016.
A suivre de près…
Source : La Tribune
Alors que la future R8 s’est fait surprendre camouflée tout en nous laissant apprécier la sonorité de son V10 atmosphérique et ici avec sa carrosserie presque à nue, voici que Audi présente une série spéciale de la R8 actuelle : la R8 LMX.
Chez BMW on a dû avaler son café de travers en apprenant la nouvelle, puisque la marque à l’hélice s’était positionnée en tant que précurseur de l’éclairage laser avec la sortie de sa supercar hybride i8 pour le mois de juin prochain. Et voici que son rival Audi dégaine le premier avec la R8 LMX équipée de la même technologie !
Avec ce type de projecteur, la sportive aux anneaux reçoit un module de quatre diodes à laser actives à partir de 60 km/h et venant en complément des feux de route à led. Une caméra logée derrière le rétroviseur intérieur permet de changer l’orientation du halo de lumière afin de ne pas éblouir les usagers que l’on croise.
Pour cette édition LMX, le constructeur germanique ne se contente pas d’apporter le laser dans les optiques avant, il en profite également pour booster encore un peu plus le V10 5,2 l se trouvant sous le capot derrière les passagers. Ainsi, ce dernier fait un bond de 550 ch (puissance de la V10 Plus) à 570 ch avec toujours un couple moteur s’établissant à 540 Nm. La transmission intégrale Quattro et la boîte séquentielle S tronic à sept rapports permettent d’abattre le 0 à 100 km/h en 3,4 petites secondes, soit 0,1 s de mieux. La vitesse maxi progresse, quant à elle, de 3 km/h à 320 km/h.
Depuis l’extérieur, pour repérer une Audi R8 LMX il faudra se reporter à sa teinte de carrosserie bleue exclusive, ainsi que ses jantes 19 pouces au dessin spécifique. Son aileron fixe (en plastique renforcé de fibre de carbone), ses bas de caisse, ses prises d’air latérales et son diffuseur de couleur noir mat parachèvent le tout.
Si vous avez le privilège de monter à bord de cette auto d’exception, vous remarquerez également la numérotation inscrite sur les seuils de portes en aluminium (X/99).
Uniquement disponible en coupé, la R8 LMX est actuellement proposée à seulement trois exemplaires pour la France au prix de 217 000 €, soit 30 000 € de plus par rapport à une V10 Plus.
Reste à savoir qui de BMW ou Audi livrera en premier ses modèles avec feux laser…
Des rumeurs faisaient état de la présentation imminente d’une M5 « ultime » sur la toile. Devant ces indiscrétions, BMW a préféré dévoiler dès maintenant la « 30 Jahre M5 » (pour « 30 ans de la M5 ») plutôt qu’au Festival de la Vitesse de Goodwood en juin prochain au Royaume-Uni comme cela était prévu initialement.
L’année 2014 est une année significative pour la marque à l’hélice, puisque cela fait 30 ans que la première M5 (la E28) est sortie des usines du constructeur germanique, soit en 1984. Pour rendre hommage à la lignée – il y a eu entre temps la E34, E39, E60 et maintenant la F10 –, une édition spéciale a été créée.
Cette M5 dispose d’une suspension raffermie et de ressorts plus courts de 10 mm, d’un différentiel qui lui est propre et de jantes 20 pouces. Les amateurs de conduite agressive se réjouiront d’apprendre qu’une direction plus directe, ainsi qu’un contrôle de stabilité plus permissif équipent le bolide.
La 30 Jahre M5 se reconnait également à sa teinte gris foncé mat (Individual Frozen Dark Silver Metallic). Ses sorties d’échappement, poignées de portes et jonc de calandre sont de couleur noire, tandis que des logos « 30 Jahre M5 » sont apposés sur les ailes avant.
Des sigles que l’on retrouve aussi sur les seuils de portes et le dossier des sièges. La sellerie est composée de cuir et d’alcantara. Dans l’habitacle une inscription numérotée sur la planche de bord portera le chiffre X/100.
Développant 560 ch et 680 Nm de couple de base, le V8 4,4 l biturbo de la M5 peut être porté à 575 ch avec le pack Compétition. L’édition spéciale 30 ans de la M5 est partie de la préparation à 575 ch pour passer à 600 ch et 700 Nm, soit 25 ch et même 40 ch par rapport à la M5 standard.
Les performances progressent, puisque le 0 à 100 km/h bondit de 4,3 s avec la 540 ch à 3,9 s avec la 600 ch. La boîte auto M DCT est toujours de la partie.
30 des 300 exemplaires de la 30 Jahre M5 sont d’ores et déjà réservés pour le marché américain où la munichoise sera vendue au prix de 138 275 dollars. 30 le sont de même pour le Royaume-Uni. La date de sortie n’est pas encore connue, mais elle devrait intervenir à la fin 2014 ou début 2015.
Actuellement, chez Rolls Royce, le client ne peut choisir que parmi un unique modèle en cabriolet, l’imposante Phantom Drophead Coupé et ses 5 m 61 pour 1 m 99 de large !…
Pour les amateurs de petites Rolls découvrables – tout est relatif ! –, la constructeur britannique proposera bientôt une Wraith Drophead Coupé de 5 m 27 dont voici les premières photos volées. La puissance sera également en hausse, puisque le V12 6,6 l biturbo atteindra ici 624 ch et 590 Nm de couple, contre « seulement » 460 ch dans la Phantom. Il est vrai que le poids dépassant les deux tonnes de ce paquebot de luxe demande un certain nombre d’équidés…
Si la Rolls Royce Wraith Drophead Coupé est plus courte que la Phantom, elle est aussi plus musclée avec près de 200 ch supplémentaires sous le capot !
On remarquera que ici, comme pour les clichés concernant la future Classe S Coupé Cabriolet, les camouflages tentent de faire croire à un toit rétractable en dur, alors que nous auront affaire à une toile souple.
Cette Rolls Royce Wraith Cab sera disponible dès 2015 et son prix de vente s’envolera bien au-dessus des 300 000 € de la version coupé.
A suivre…
Crédits : CarPix pour Abcmoteur
Volvo a écoulé plus de 8 000 voitures hybrides rechargeables en 2013 et ne souhaite pas en rester-là avec la V60 D6 Plug-in Hybrid qui reçoit un kit carrosserie à l’allure sportive.
Pour rendre plus attractif son modèle « vert », la marque suédoise joue la carte de la séduction. En effet, la V60 hybride est maintenant disponible avec la finition R-Design au prix de 60 750 € (57 190 € en finition la plus basse « Momentum »).
Les attributs spécifiques de ce pack sont visibles aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur. Ainsi, le break se voit doté de jantes 18 pouces « Ixion », d’une face avant légèrement remaniée avec la disparition des barrettes chromées sur la calandre et d’un bouclier plus agressif avec une bouche d’aération plus proéminente. A l’arrière, on note l’apparition d’un diffuseur où viennent se loger deux sorties d’échappement gauche/droite qui sont cette fois-ci rondes au lieu d’être rectangulaires comme sur la version classique.
Dans l’habitacle, la finition R-Design se distingue par la présence de sièges sport en textile nubuck et cuir perforé. Différents inserts en aluminium sont également de la partie.
Equipée d’un moteur diesel cinq-cylindres de 215 ch pour 440 Nm de couple et d’un bloc électrique de 70 ch pour 200 Nm, la V60 D6 est une hybride quatre-roues motrices. Le thermique agissant sur le train avant et l’électrique sur l’essieu arrière.
En outre, la batterie lithium-ion située sous le plancher du coffre offre une autonomie théorique en tout électrique de 50 km. Arnaud, essayeur Abcmoteur, s’est chargé de tester, entre autres, ces différentes caractéristiques. Pour retrouver son essai complet de la Volvo V60 D6 Plug-in Hybrid, c’est par ici.
Récemment, nous vous présentions la Golf R400 Concept et ses 400 ch comme son nom le sous-entend. Des rumeurs faisaient état d’une commercialisation prochaine du bolide permettant d’abattre le 0 à 100 km/h en 3,9 petites secondes… On peut maintenant en avoir le cœur net, puisque -X- a communiqué à Abcmoteur des renseignements pour le moins intéressants suite à un bug sur le configurateur de Volkswagen France !
La Vmax de la VW Golf R 400 est bridée à 280 km/h au lieu des 250 km/h habituels – (crédit : -X- pour Abcmoteur)
Grâce à cette erreur technique qui a duré seulement une dizaine de minutes (avant que le message suivant s’affiche : « Des modifications ont été apportées au configurateur. Merci d’actualiser la page. »), le jeune homme a pu réaliser une capture d’écran visible ci-dessous. On y apprend donc que la plus puissante des Golf de tous les temps sera disponible en deux versions. La première en BVM 6 (boîte manuelle) au prix de 51 995 € et la deuxième en DSG 6 (boîte auto à double-embrayage) contre un chèque de 53 970 €, soit un surcoût de 1 975 €.
C’est bien entendu le moteur essence turbo 2,0 l TSI 4MOTION BlueMotion accompagné de la transmission intégrale qui sera proposé.
Cette découverte a aussi révélé les huit couleurs disponibles pour l’extérieur, à savoir : Bleu R, Noir Profond, Rouge Tornado, Bleu Azur, Gris Platine métallisé, Blanc Candy, Gris Limestone métallisé et Vert Menthe.
Après l’échec de la C6 (moins de 24 000 ventes en 7 ans de carrière), Citroën change de formule en lançant la DS5 en 2011, une berline aux airs de monospace racé.
Son allure est un peu déroutante et son mauvais confort – les suspensions ont été assouplies entre temps – lui permettent de s’écouler à 50 000 exemplaires environ jusqu’à maintenant. Une performance en demi-teinte que les chevrons compte bien enrayer en restylant le vaisseau-amiral l’année prochaine.
Les changements les plus importants seront focalisés sur la proue. La face avant de la DS5 restylée se conformera aux nouveaux codes stylistiques DS, à savoir une calandre plus agressive et clinquante. Le chrome est plus épais et visible, tandis que la grille est proéminente. Il y a de fortes chance que ce soit un copié-collé de la 5LS réservée à la Chine. Ce sera aussi la disparition du logo Citroën au profit du logo DS. Au final, seul le capot devrait rester à l’identique, car les nouveaux phares rectangulaires imposeront d’utiliser des panneaux de carrosserie différents pour les ailes avant.
Sur le profil, la ligne devrait demeurer intacte, tout comme les deux longues barrettes de chrome s’arrêtant au niveau des rétroviseurs. En revanche, la poupe subira un nouveau traitement pour les optiques 100 % LED qui adopteront le dessin 3D déjà vu sur la DS3 Cabrio Racing.
Bien entendu, des coloris et jantes inédits seront proposés.
L’habitacle ne sera pas oublié avec une mise à jour de l’ergonomie générale, en particulier de la console centrale avec un écran tactile et des commandes plus simples. Le C4 Picasso servira de base d’inspiration. On attend également une planche de bord revue, ainsi que des équipements supplémentaires en série, comme en option.
La DS5 phase II imaginée ici par Cavalino gardant la forme générale des optiques actuelles
Des motifs et selleries supplémentaires seront ajoutés au catalogue.
Lors de sa sortie estimée à l’autonome 2015, rien de nouveau du côté des motorisations (de 120 à 200 ch) n’est attendu, puisque la DS5 vient de se doter du tout jeune diesel BlueHDI 180 ch.
Par ailleurs, ses tarifs évolueront peu. Le prix d’entrée ne dépassera pas les 30 500 € avec le e-HDI 115 ch Airdream BVA6.
Le gros SUV de Nissan, c’est le Murano. Cette auto avec un style décalé apparue en 2003 va laisser place à sa troisième génération. Le salon de New-York qui se tient actuellement est l’occasion pour le constructeur de dévoiler au grand jour ce nouveau modèle.
Dès le premier coup d’œil, le Murano III rappelle le concept-car Resonance du salon de Detroit 2013 dont il s’en inspire largement comme prévu. On retrouve donc cette nouvelle identité stylistique avec une calandre proéminente en forme de « V », le pavillon donnant l’illusion d’être flottant et les feux arrière en boomerangs. Le tout lui conférant une allure assez futuriste et intimidante sans toutefois égaler le Lexus NX !
Le Nissan Murano 3 profite d’une face avant modernisée avec des blocs de phare faisant penser au coupé 370Z de la marque
Le SUV profitera des dernières technologies, à savoir les caméras à 360°, la détection des angles morts, le freinage d’urgence automatique, le régulateur de vitesse adaptatif, …
Au-delà de ces évolutions esthétiques, la marque japonaise a aussi soigné deux autres aspects : l’aérodynamisme et le poids. Cela fait que respectivement le premier point est amélioré de 16 % avec un coefficient de traînée de 0,31 et que la masse du véhicule décroît de 59 kg. A la clef, ce sont des consommations de carburant en baisse qui sont à attendre.
La mise à jour se poursuit du côté des moteurs avec un V6 3,5 l essence passant de 255 à 260 ch. Il sera disponible en 4×4 comme en traction avant avec des jantes de 18 pouces ou jusqu’à 20 pouces en option.
A l’intérieur, le Murano joue la carte du luxe avec un espace important pour ses passagers. Le toit panoramique devient l’un des plus grands de sa catéogorie
Par ailleurs, l’Europe devait avoir le droit à un nouveau bloc fonctionnant au mazout venant remplacer l’antique 2,5 l dCi de 190 ch. Il faudra encore patienter un peu avant de connaître la totalité de la palette de motorisations proposée.
La date de sortie n’a pas encore été divulguée, mais la commercialisation du mastodonte de près de cinq mètres se fera d’ici la fin de l’année 2014 à un prix de base estimé à au moins 50 000 € hors malus écologique.
La Mercedes SL fait parler d’elle à nouveau après que son moteur d’entrée de gamme ait été revu, ici c’est la version S 63 AMG qui est retouchée pour 2014.
Consécutivement au remplacement du SL 350 par le SL 400, Mercedes revoit à la hausse la puissance du SL 63 AMG jusqu’à présent disponible en deux niveaux de puissance. En effet, si les 537 ch d’origine ne suffisaient pas, l’acheteur pouvait opter pour le Pack Performance et ainsi gagner 27 ch, soit un total de 564 canassons.
Il est désormais aussi puissant que la nouvelle Classe S 63 AMG Coupé
Pour les adeptes du douze-cylindres, le SL 65 AMG V12 6,0 l biturbo de 630 ch et… 1 000 Nm de couple – limités électroniquement afin de ne pas fumer l’embrayage en un temps record ! – est toujours proposé !
Pour le nouveau SL 63 AMG, le nombre de chevaux est porté à 585 et le couple moteur passe de 800 à 900 Nm. La consommation moyenne s’établit à 9,9 l/100 km pour 231 g de CO2/km. Pour le moment, c’est le seul niveau de puissance pour ce V8 comme le Pack Performance disparaît par la même occasion.
Avec cette amélioration, le coupé progresse de 0,1 s au 0 à 100 km/h à 4,1 s, tandis que la Vmax demeure bridée à 250 km/h. Par ailleurs, le différentiel à glissement limité fait désormais partie des équipements de série.
Le prix de l’Allemande dépassera la barre des 180 000 € pour aller se situer autour des 185 000 €, hors malus écologique de 8 000 €.
Assez logiquement, aujourd’hui la gamme de motorisations de la Volkswagen Golf SW est tournée vers le diesel avec quatre TDI de 90 à 150 ch contre deux TSI de 85 et 105 ch. Toutefois, la donne pourrait évoluer à en croire une vidéo récente du compte YouTube TouriClips spécialisé dans la prise de vue de modèles en développement.
Voici une nouvelle surprenante, la marque allemande a été aperçue sur la Nordschleife – la boucle nord du Nürburgring – en train de tester ardûment une Golf dans sa version break. En regardant l’auto, on remarque des jantes d’un gros diamètre, une garde au sol diminuée, des boucliers plus agressifs et deux sorties d’échappement ovales nous indiquant l’orientation sportive de l’engin. Autre indice, c’est une Golf 7 R (300 ch) – ou serait-ce une R Evo 370 ch ? – qui est à ses trousses…
La Volkswagen Golf SW sautera directement à la case « R », sans même passer par le sigle « GTI » ! – (crédit : vidéo TouriClips)
Tout cela concorde donc vers le fait que le constructeur prépare une Golf SW R dotée du 2,0 l TSI développant 300 ch avec une transmission intégrale (4Motion) afin de faire passer la puissance au sol efficacement.
Il s’agit là d’une future version un peu inattendue, car c’est un segment de niche que vise VW avec une Golf SW R tout comme avec la Seat Leon ST Cupra photographiée en fin d’année dernière.
La Golf break la plus puissante de son histoire pourrait faire son apparition au Mondial de Paris au mois d’octobre prochain pour une commercialisation en 2015 à un prix estimé à partir de 42 000 €.
A suivre…
Lancé depuis 2012, le Dacia Dokker a décidé de refaire parler de lui. Pour ses deux premières bougies, le ludospace à bas prix s’offre une série spéciale basée sur la finition haut de gamme Lauréate.
Le cousin du Renault Kangoo présente la série spéciale « Emblème ». Celle-ci ajoute, à l’intérieur, le système de navigation avec écran tactile, le régulateur limiteur de vitesse, une console centrale en noir brillant, une sellerie en tissus spécifique et des tapis de sol.
A l’extérieur, on retient des jantes alliage de 16 pouces, des vitres arrières surteintées et des barres de toit.
Disponible avec le bloc essence TCe 115 pour 13 750 € ou avec le diesel dCi 90 contre 15 250 €, le prix est supérieur de 500 € à la finition Lauréate. Toutefois, le rapport prix/équipement est encore plus avantageux, car le GPS (250 €), le régulateur limiteur (150 €) et les barres de toit (90 €) atteignent 490 €. Les jantes alliage 16 pouces, les vitres teintées et la console en noir brillant sont donc cadeaux…
Pour les plus exigeants, des équipements peuvent encore être ajoutés par le biais des options avec notamment la cartographie Europe (100 €), l’ESP (300 €), la peinture métallisée (480 €), l’aide au parking arrière (200 €), la roue de secours avec cric (120 €) et le filet de retenu des bagages (100 €).
Les commandes sont d’ores et déjà ouvertes.
Il y a dix jours nous vous présentions la M4 Cabriolet. Aujourd’hui, la sportive de 431 ch refait parler d’elle en ouvrant ses commandes et en dévoilant donc son prix !
Le moins que l’on puisse dire, c’est que de nos jours s’offrir celle qui portait auparavant l’appellation « M3 » n’est pas à la portée de toutes les bourses ! Déjà, avec le toit fixe l’addition est corsée (81 900 €), pour le rouler cheveux au vent et apprécier la sonorité du L6, il faudra s’acquitter de 6 600 € supplémentaires, soit un total de 88 500 € en boîte manuelle six.
Si la BMW M4 est chère avec un prix proche des 90 000 €, ses concurrentes le sont encore davantage !
Pour les amateurs de transmission automatique, ils pourront opter pour la boîte auto à double-embrayage MDCT à sept rapports contre 3 950 € (0 à 100 km/h en 4,4 s), soit pour un prix final de 92 450 €.
Si elle est 4 100 € plus chère que la M3 E93 (420 ch) qu’elle remplace, une Audi RS5 (450 ch) avec toit souple est encore plus onéreuse avec un prix de base situé à 97 900 €. A noter que les deux Allemandes écopent du malus CO2 maximum (8 000 €).
A chapitre, on retiendra le toit rétractable électroniquement en trois parties accompagné du filet anti-remous, la sellerie cuir, l’affichage tête haute couleur, les rétroviseurs extérieurs électrochromes (pour ne être ébloui la nuit) rabattables électroniquement, les radars de recul AV/AR, la navigation multimédia Professional avec iDrive Touch, les services ConnectedDrive, les projecteurs entièrement à LED, les jantes 18 pouces, …
La BMW M4 CC sera à découvrir au salon de New-York.
Mercedes a récemment levé le voile sur la remplaçante de la CL, à savoir la Classe S Coupé. Plus courte de 10 cm qu’une Classe S, elle peut se pencher jusqu’à 2,5 degrés dans les virages !…
Il maintenant temps de prendre connaissance du sujet qui fâche : l’addition.
Pour le lancement, les clients intéressés par le coupé luxueux à l’étoile auront le choix entre deux blocs. Le premier étant un V8 4,0 l biturbo de 455 ch et 700 Nm de couple. Si cela n’est pas suffisant, le préparateur officiel AMG propose un V8 5,5 l biturbo de quelques 585 ch et 900 Nm ! L’esthétique de la voiture tout comme le comportement sont revus pour l’occasion.
Côté tarifs, la S500 Coupé 4Matic (transmission intégrale) débute à 139 000 € hors malus CO2 de 8 000 €. Pour la S 63 AMG Coupé, la note s’élève à 185 000 € en 4Matic hors malus de 8 000 €. Il est à noter qu’elle est aussi disponible en propulsion.
Pour les amateurs au portefeuille bien garni, les premiers modèles arriveront en concession à partir du mois de septembre 2014.
D’autres versions plus accessibles et moins puissantes devraient rapidement faire surface, tout comme une S 65 AMG dotée du V12 pour chapeauter le tout !…
Actuellement, la gamme Série 2 est chapeautée par la M235i de 326 ch qui a été fort bien accueillie (voir notre essai). Fort logiquement, les fans du genre attendent une déclinaison encore plus puissante et radicale : une M2 digne de remplacer la redoutable 1M.
D’après les rumeurs, BMW réfléchirait ou serait déjà en train de préparer une M2. Au menu des réjouissances ? Un coupé bien plus bestial qui s’allège avec l’emploi de matériaux légers comme l’aluminium et le carbone. Le gain de poids pourrait tourner autour des 100 kg, de quoi permettre d’atteindre ou de descendre en-dessous des 1 400 kg sur la balance.
Avec ses lignes bien plus acérées, la BMW M2 devrait combler ceux trouvant la M235i trop « gentille »
En outre, le châssis, la suspension et le freinage (entre autres) seront revus et corrigés pour être encore plus efficaces et tenir le choc face au surplus de puissance. La largeur des trains sera aussi probablement élargie afin d’offrir un comportement et un grip toujours de premier ordre.
Là où les suppositions vont bon train, c’est en ce qui concerne la mécanique. D’après les bruits de couloir, la puissance disponible sous la pied droit à bord de la M2 devrait osciller entre 360 et 400 ch. Il serait étonnant que les canassons soient plus nombreux, étant donné que la grande sœur la M4 se situe à 431 ch.
Pour la poupe, la marque ne peut faire l’impasse sur ces fameuses quatre sorties d’échappement caractéristiques
Le L6 3,0 l turbo sera bien entendu toujours de la partie, mais retravaillé avec notamment – du moins, on l’espère – un caractère moins linéaire résultant de la suralimentation. Le couple moteur pourrait s’élever à 480 – 500 Nm…
Il encore difficile d’annoncer un prix comme la fiche technique n’a pas encore communiquée, mais si le petit venait à être commercialisé, il pourrait s’échanger contre un montant compris entre 60 000 et 70 000 €. Quant à sa date de sortie, elle est attendue pour 2016.
A suivre…
Crédits photos : Theophilus Chin
Mercedes profite de l’arrivée du printemps pour faire évoluer son roadster SL 350 qui disparaît au profit du SL 400. Le modèle à l’étoile se conforme à la tendance actuelle : le downsizing ou autrement dit la diminution de la cylindrée afin de satisfaire les normes anti-pollution.
Pour cela, le modèle à l’étoile délaisse son V6 3,5 l actuel d’une puissance de 306 ch contre un six-cylindres de plus que 3,0 l – déjà présent sur les Classe E Coupé & Cabriolet –, mais offrant 27 ch supplémentaires, soit un total de 333 canassons pour l’entrée de gamme du CC. Les deux turbos du nouveau bloc n’offrent pas uniquement un gain de puissance, le couple moteur est également en hausse. Il passe de 370 à 480 Nm (disponibles de 1 600 à 4 000 tr/min), soit une augmentation de 110 Nm.
La Mercedes Classe SL s’équipe d’un turbo pour la SL400. Si le 0 à 100 progresse sensiblement, à la pompe c’est bien plus limité
A l’exercice du 0 à 100 km/h, l’Allemande s’améliore assez nettement en accélérant sept dixièmes plus vite (5,2 s contre 5,9 s auparavant).
Par ailleurs, la consommation s’en sort aussi améliorée en diminuant de 7,5 à 7,3 l/100 km. Les émissions de CO2 baissent donc de quelques grammes à 172 g/km.
La grille tarifaire demeure encore inconnue pour la France, mais chez nos voisins d’outre-Rhin, la note a déjà été communiquée. Il faut compter 97 282,50 € pour le prix de base – oui, c’est précis…
Ce passage de l’atmosphérique à la suralimentation n’est qu’un début pour le SL, la génération suivante devrait connaître un bouleversement beaucoup plus important avec la perte de son toit en dur. La capote souple ferait son retour !
A suivre…
Le segment des SUV survitaminés est un marché de niche, mais très rémunérateur. Les constructeurs se livrent à une bataille sans merci afin d’attirer le client et c’est Land Rover qui teste en ce moment son futur Range Rover Sport R-S. Il a été surpris par les paparazzis sur le célèbre circuit du Nürburgring, un lieu idéal pour mettre à rude épreuve un modèle en développement.
Le Range Rover badgé « R-S » est la version la plus puissante du 4×4 et il le montre. Cela se caractérise par une calandre revue, une garde au sol diminuée, des jantes encore plus imposantes, ainsi que quatre sorties d’échappement logées dans un diffuseur spécifique. Le système de freinage, la suspension et le châssis sont également modifiés pour aller de paire avec la mécanique surboostée se trouvant sous le capot et apporter un surcroît de dynamisme.
Land Rover veut garder sa longueur d’avance en augmentant encore un peu la puissance de son Range Rover Sport avec une version RS – (crédit : vidéo TouriClips)
L’habitacle ne sera pas oublié avec un traitement spécifique toujours luxueux, mais on espère qu’un aspect plus sportif par rapport aux finitions actuelles sera privilégié.
Jusqu’à maintenant, on peut opter pour un Range Rover Sport Supercharged de 510 ch et 625 Nm de couple. Avec la version R-S qui sera dévoilée à l’occasion du Mondial de Paris en fin d’année, c’est le V8 5,0 l de 550 ch et 680 Nm déjà présent sur le coupé XKR-S qui est appelé en renfort.
De cette façon, la marque anglaise veut faire taire ses concurrents que sont les Porsche Cayenne Turbo S (V8 4,8 l – 500 ch) et Mercedes Classe M 63 AMG (V8 5,4 l – 525 ch). Sa date de sortie est attendue pour le courant de l’année 2015 et son prix de vente dépassera sans problème la barre des 125 000 €.
On vous laisser apprécier la bande son ponctuée par instants de crépitements en provenance de l’échappement… un vrai régal !
… sur le marché chinois et C-Quatre plus précisément ! Décidément, après la DS 5LS R de 300 ch, Citroën veut vraiment agacer ses clients français à la recherche d’une sportive de la marque !
De plus en plus, les constructeurs développent des modèles réservés spécifiquement à certains marchés comme cette C4 Sedan. Et parfois, ils en profitent aussi pour proposer une version un peu plus sportive. Pour le cas de cette C-Quatre VTS (ces trois lettres parleront aux passionnés !), c’est même très déluré !
On aperçoit donc ici une auto qui joue dans le tape-à-l’œil et le résultat n’est pas déplaisant si l’on aime le style. La VTS se distingue des C4 classiques par un kit carrosserie avec des boucliers plus agressifs, des ouïes supplémentaires sur les flancs et le capot, un liseré rouge sur la calandre, un aileron rouge sur la malle et quatre sorties d’échappement. En somme, elle a la panoplie complète ou presque…
… ou presque, parce ce que question moteur ce n’est pas aussi attractif que la carrosserie le laisse le supposer. En effet, un seul bloc est disponible avec la VTS et il développe seulement 147 ch. Ce 2,0 l ne vous offrira pas des départs canons au feu vert à défaut d’avoir une auto avec un design très évocateur.
Les tarifs du bolide s’étalent de 113 800 à 135 800 yuan, soit de 13 300 à 15 860 euros. Dommage que la France soit oubliée, elle pourrait séduire les amateurs !
La Citroën C-Quatre VTS 2014 sera à découvrir dans les prochains jours au salon de Pékin.
Sources photos : Autohome, Xcar et Auto ifeng