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En novembre 2013, Lotus présentait l’Elise S Cup R avec un look hyper-agressif. Normal, puisque celle-ci est destinée uniquement au circuit et plus précisément aux championnats tenus par la marque « british ».
Toutefois, chez Lotus, la frontière entre la compétition et la série n’est jamais bien loin. Après avoir été aperçue en test sur le Nürburgring, voici que le constructeur lève le voile sur l’Elise S Cup, version homologuée pour la route de l’Elise S Cup R !
Si Lotus ne donne pas beaucoup de détails sur les différences entre les deux versions, la S Cup gagne 3 s au tour sur le Ring’ en comparaison à une S. C’est notamment l’aérodynamique qui a été améliorée, puisque la S Cup obtient 61 kg (5 kg de plus) en appui à 160 km/h (125 kg à 225 km/h) ! Le kit de couleur noir et l’aileron arrière ne sont donc pas qu’une question de frime…
Par ailleurs, au chapitre mécanique, on retrouve le quatre-cylindres compressé 1,8 l DOHC VVT-I d’origine Toyota développant 220 ch à 6 800 tr/min et 250 Nm de couple à 4 600 tr/min. Associé à une boîte courte à 6 rapports, l’exercice du 0 à 100 km/h est terminé en 4,6 s et la vitesse maximale est atteinte à 225 km/h. Le poids est de 932 kg, soit une augmentation de 8 kg par rapport à la version circuit.
L’arceau de compétition est de série, de quoi ne pas faire mentir le nouveau PD-G de la firme, Jean-Marc Galès, déclarant que son auto « est parfaite pour les conducteurs recherchant une voiture sportive, rapide, authentique, attractive et compétitive ».
Au final, il ne lui manquerait plus que des harnais et un extincteur pour redevenir une Elise S Cup R !
Enfin, question tarif l’inflation est importante, puisque à peu près 10 000 € séparent une Elise S d’une Elise S Cup. En effet, cette dernière sera vendue neuve aux alentours des 57 000 € lors de sa commercialisation.
Il y a deux mois, Opel présentait officiellement sa Corsa E ou Corsa de cinquième génération. Peu de temps après suivait les prix. Un des lecteurs du blog grec AutoBlog.gr a réussi à surprendre la future Corsa OPC ! Voici les premières informations et images…
En regardant ces clichés, certes d’une qualité très moyenne, il est impossible de ne pas deviner qu’il ne s’agit pas d’une Opel Corsa « classique ». L’élément le plus marquant est sans doute les deux entrées d’air situées sous les optiques de phare qui sont soulignées par une couleur type « alu ». Autre détail marquant, c’est la petite ouverture sur le capot à l’image d’une Subaru WRX STI.
En outre, on note un kit carrosserie suggestif, des jantes d’un grand diamètre et pour la partie arrière – plus discrète – deux sorties d’échappement chromées.
Côté moteur, le 1,6 turbo essence actuel de 192 ch et 230 Nm de couple devrait céder sa place à un bloc plus puissant. Ce pourrait être celui de l’Astra, un 1,6 l turbo SIDI de 200 ch et 280 Nm. La fiche technique serait assez intéressante avec un 0 à 100 km/h abattu en moins de 7 s et une Vmax au-dessus des 230 km/h. De quoi aller tailler croupières aux Ford Fiesta ST, Peugeot 208 GTi et Renault Clio RS ?
Pour obtenir la réponse, il faudra encore patienter. Si les prévisions disent vrai, la Corsa OPC sera dévoilée au Mondial de l’Automobile de Paris au mois d’octobre prochain (du 4 au 19) et sa commercialisation interviendra en 2015.
Quant à son prix, il devrait tourner autour des 24 000 €.
A suivre…
Après deux générations d’Agila, un mini-monospace à petit prix, Opel va très probablement mettre un terme à ce patronyme. A la place, ce sera une certaine « Karl » qui prendra la relève dont voici une première image en guise de teasing…
Dernièrement, la marque au blitz a renouvelé son offre de citadines avec l’Adam et très récemment la nouvelle Corsa. Ces deux modèles vont bientôt être rejoins par une autre nouveauté. La Karl, c’est son nom en référence à l’un des films d’Adam Opel, l’homme qui a fondé la société en 1862, est le futur petit minispace – du moins ses formes le suggèrent – qui fera sans doute sa première apparition au Mondial de l’Automobile de Paris au mois d’octobre prochain (du 4 au 19).
Avec une longueur de 3,68 m, la Karl sera plus petite qu’une Adam (3,70 m) et qu’une Corsa V (4,02 m). Dotée de cinq portes et autant de places assises, elle possèdera « tous les fondamentaux d’Opel sous une forme intelligente et très pratique » indique le communiqué.
Avec sa Karl, Opel veut séduire les petits budgets. Elle sera moins chère qu’une Adam et devrait se situer à un niveau de prix proche de sa devancière l’Agila, c’est-à-dire aux alentours des 11 500 €.
Les motorisations sera certainement uniquement des blocs essence et peut-être exclusivement des trois-cylindres. Elles ne dépasseront pas les 100 ch. Le 1,0 l d’un peu moins de 70 ch sera en tous cas au programme et peut-être revu pour l’occasion.
En outre, le constructeur indique sa sortie pour l’été 2015.
A suivre très bientôt…
Aperçue en mai dernier, la BMW Série 2 Cabriolet a donc attendu ce mois de septembre clément en terme de météo pour se dévoiler officiellement. Bien entendu, elle sera présente au Mondial de l’Automobile de Paris au mois d’octobre prochain !
Reprenant les lignes de la Série 2 Coupé (voir notre essai), la Série 2 Cabriolet lui est identique en tous points excepté le toit. Ce dernier est en toile noire (en option, de couleur anthracite ou marron) avec isolant acoustique et redescend légèrement plus tôt que son homologue en dur. De cette façon, la marque à l’hélice préserve le profil du cab’, limite les coûts et ne grève pas le poids de son auto.
Le mécanisme de déploiement/rangement de la capote est entièrement automatique et ne demande que 20 secondes. L’action peut se dérouler à l’arrêt, comme en roulant et ce, jusqu’à 50 km/h à l’image d’une Audi A3 Cabriolet. Pour le style, les arceaux de sécurité (en cas de retournement) sont cachés.
L’intérieur ne diffère pas du Coupé.
Même si l’on peut reprocher à la Série 2 d’avoir un design moins viril que sa devancière la Série 1 (écoulée à plus de 130 000 unités), la nouvelle génération a l’avantage de voir ses côtes progresser. Ainsi, la longueur augmente de 7 cm à 4,43 m, largeur de 3 cm à 1,77 m et le volume de coffre grimpe de 30 l capote fermée (335 l) et de 20 l une fois celle-ci ouverte (280 l). A titre de comparaison, le Coupé revendique un très bon volume de 390 l.
Afin de faciliter les chargements, BMW a agrandi l’ouverture de la malle de 3,5 cm en largeur et la trappe entre le coffre et l’habitacle est également plus conséquente.
Commercialisée en février 2015 – la saison aurait pu être mieux choisie… –, la Série 2 Cabriolet disposera à ce moment-là de quatre motorisations, dont trois essence : les quatre-cylindres 2,0 l 220i et 228i développant respectivement 184 et 245 ch. La 235i affichera 326 ch grâce à son six-cylindres en ligne de 3,0 l. Les amateurs de diesel cheveux au vent ne pourront choisir que le quatre-cylindres 2,0 l 220d de 190 ch. La boîte auto à 8 rapports est en option. La consommation varie de 4,4 l à 8,5 l/100 km selon les blocs.
A noter qu’un printemps de la même année, le 218i avec trois-cylindres 1,5 l de 136 ch fera son apparition. En outre, le constructeur allemand précise que la rigidité de la caisse a progressé de 20 %.
Les prix varient de 34 350 € à 52 900 €.
Type de moteur | Moteur | Finition | Prix |
essence |
1,5 l 136 ch 218i | Lounge | 34 350 € |
Sport | 37 900 € | ||
Luxury | 40 400 € | ||
M Sport | 40 550 € | ||
2,0 l 184 ch 220i | Lounge | 37 600 € | |
Sport | 41 150 € | ||
Luxury | 43 650 € | ||
M Sport | 43 800 € | ||
2,0 l 245 ch 228i | Lounge | 40 550 € | |
Sport | 44 100 € | ||
Luxury | 46 600 € | ||
M Sport | 46 750 € | ||
3,0 l 326 ch M235i | M Performance | 52 900 € | |
diesel | 2,0 l 190 ch 220d | Lounge | 39 150 € |
Sport | 42 700 € | ||
Luxury | 45 200 € | ||
M Sport | 45 350 € |
La voici enfin la tant attendue Jaguar XE après de nombreux teasings. Avec ce modèle, le constructeur britannique descend en gamme afin d’élargir sa clientèle, d’effectuer des économies d’échelle grâce à des volumes plus importants et il inaugure également une nouvelle plateforme. Première découverte de la « petite » Jaguar ici en images dans sa version la plus musclée…
En regardant cette nouvelle XE, on ne peut s’empêcher de la rapprocher de sa grande sœur la XF (voir notre essai). L’inspiration est bien visible, en particulier pour la face avant. Cependant, cette dernière se veut plus agressive avec des traits plus tendus, en particulier dans cette version S dotée d’un kit carrosserie plus sportif.
Ainsi, la calandre perd ses coins arrondis, le dessin des phares est plus anguleux et les bouches d’aération sont hypertrophiées. Le capot moteur reçoit quatre nervures bien marquées qui donnent une forte présence à l’Anglaise.
De profil, deux plis parcourent la carrosserie pour mettre en valeur les formes de l’auto et lui offrir une allure robuste. Ce sentiment se retrouve aussi sur la poupe. Tout comme sur la XF, les optiques sont costauds, même trop. Ils viennent presque mordre sur la plaque d’immatriculation. On observe une filiation bienvenue avec les feux de l’emblématique Type-E – mais aussi un peu de F-Type –, mais cela aurait mérité d’être un peu plus effilé et peut-être qu’un positionnement légèrement plus bas aurait été plus habile de la part des designers.
Cela étant dit, la XE signe le meilleur coefficient aérodynamique de tous les temps pour une Jaguar avec un Cx de 0,26 (la Série 4 qui est la BMW au meilleur Cx fait 0,28) ! Malheureusement, les dimensions ne sont pas encore connues, mais elles devraient se situer proches d’une BMW Série 3.
Pour l’habitacle, c’est plus sobre qu’à l’extérieur. Dans cette version S, la XE reçoit, certes, quelques éléments en rouge vif, mais globalement la présentation est assez simple.
L’ensemble est agréable à l’œil, mais aurait peut-être pu ressortir un peu plus du lot.
Ian Callum, directeur du design Jaguar, explique que « Les proportions de l’habitacle reculé permettent d’atteindre ce objectif et de donner à la XE l’impression de mouvement même à l’arrêt. Elle ressemble à la F-Type et sera remarquée dans la foulée ».
Côté technologies, la XE embarque un écran tactile de 8 pouces avec un tout nouveau système multimédia InControl permettant de profiter de la navigation GPS, de connexions USB et Bluetooth, de l’info trafic, … En option, il est possible d’obtenir le Wi-Fi et une application pour smartphone rendra possible la programmation de la climatisation, le verrouillage/déverrouillage des portes et le démarrage du moteur jusqu’à 7 jours à l’avance.
En outre, la berline est aussi capable de reconnaître les panneaux de signalisation, d’avertir en cas de changement de voie, de réguler sa vitesse et de freiner automatiquement. L’affichage tête haute est également de la partie.
Il faudra encore attendre pour connaître le volume de coffre.
Enfin, pour la partie technique, la Jaguar XE inaugure un certain nombre d’éléments. Tout d’abord, cette propulsion repose sur une nouvelle monocoque à utilisation intensive d’aluminium, une première dans le segment des berlines familiales. Kevin Stride, Vehicule Line Director de la Jaguar XE, précise : « La position de Jaguar en tant que premier constructeur premium de véhicules aluminium nous a permis de développer une structure légère et rigide innovante sur ce segment. Le châssis sophistiqué confère à la XE un équilibre hors-pair entre agilité et raffinement qu’on ne retrouvait jusqu’à présent que sur les segments supérieurs.«
D’autres part, la « petite » Jaguar utilise une suspension avant à double triangulation comme sur la F-Type et à l’arrière c’est une suspension appelée « Integral Link » qui officie afin d’obtenir une tenue route précise et confortable. La marque indique que c’est un privilège normalement réservé à des véhicules plus haut de gamme.
Pour terminer sur les nouveautés techniques, la XE est le premier modèle Jaguar à bénéficier de la nouvelle famille de moteurs baptisée « Ingenium ». Le premier bloc disponible est le quatre-cylindres 2,0 l diesel de 163 ch et 280 Nm de couple rejetant seulement 99 g de CO2/km. Une boîte automatique ZF à 8 rapports pourra être choisie en option en lieu et place d’une boîte manuelle à 6 vitesses. La révision en atelier est nécessaire que tous les 34 000 km ou tous les deux ans.
A l’opposé, la XE S est dotée du V6 3,0 l de la F-Type développant 340 ch et 450 Nm. Il lui permet de franchir le 0 à 100 km/h en 5,2 s ! Par ailleurs, des essence 2,0 l suralimentés seront proposés.
Côté prix, la XE fait statu quo avec les Audi A4 2,0 l TDI et BMW 320d, puisque qu’avec son diesel de puissance identique (163 ch), elle est aussi vendue contre 37 000 €. Sa commercialisation se fera en 2015.
Malgré de la bonne volonté, Jaguar a encore fort à faire face à ses rivales, notamment germaniques à l’image bien plus établie. Pour cela, en plus de tarifs calqués, l’Anglaise affirme être moins onéreuse à l’entretien et propose surtout une garantie de 3 ans au kilométrage illimité.
L’avenir nous le dira si la clientèle sera séduite par ces arguments.
Après l’A7 en mai dernier, c’est au tour de la famille A6 (Berline, Avant, allroad quattro, S6, S6 Avant et RS6 Avant) de subir un léger restylage de mi-carrière. Sur le marché depuis 2011, la concurrente des Mercedes Classe E, BMW Série 5, Jaguar XF (voir notre essai) et Maserati Ghibli gagne de nouvelles technologies, ainsi que des motorisations plus économes afin de poursuivre sereinement sa carrière…
Comme à son habitude, Audi restyle dans le détail. Seul un œil averti remarquera les différences entre une A7 C7 phase 1 et phase 2. La modification sans doute la plus marquante concerne les optiques qui peuvent recevoir en option la technologie Matrix LED. Cette dernière permet un éclairage plus efficace quelque soit les conditions et est combinée à des clignotants à affichage dynamique.
De plus, on note une calandre perdant ses angles arrondis, tandis que les boucliers sont subtilement retouchés.
A l’intérieur, l’A6 2015 reste également sur ses positions. Au rayon des nouveautés pour l’apparence, on retiendra seulement de nouvelles teintes. Toutefois, le modèle aux anneaux reçoit les toutes dernières évolutions du système Audi MMI offrant notamment internet en 4G. Pour le régulateur adaptatif, une fonction Stop & Go est ajoutée afin de rendre autonome la voiture dans les bouchons pour ce qui concerne l’accélération et le freinage.
Par ailleurs, les break Avant et allroad quattro, il est maintenant possible d’ouvrir le coffre en passant le pied sous le bouclier.
Ces petits ajustements se retrouvent pareillement sur les suspensions et les transmissions qui ont été optimisées pour l’occasion. L’A6 restylée s’octroie deux nouveaux blocs d’entrée de gamme. Le premier est un 1,8 l TFSI essence de 190 ch. Badgé « ultra » et associé à la boîte à double embrayage S tronic à 7 rapports, il atteint une consommation théorique de seulement 5,7 l/100 km pour 133 g de CO2/km rejeté. Le second est un 2,0 l TDI diesel ultra développant 150 ch. Il ne boit que 4,2 l/100 km, soit 109 g de CO2/km.
Le V8 des sportives S6 et S6 Avant monte de 420 à 450 ch, tandis que la terrible RS6 demeure à 560 ch !
En outre, tous les moteurs sont compatibles avec la norme antipollution Euro 6 et leurs émissions de CO2 ont été réduites de 22 %.
La date de sortie de la nouvelle Audi A6 se fera au mois de novembre 2014. A sa commercialisation, le prix du neuf débutera à 39 900 € avec l’A6 Berline 2,0 l TDI, à 42 500 € avec l’A6 Avant 2,0 l TDI et à 58 000 € pour l’A6 allroad quattro 3,0 l TDI. Quant à la S6 – le prix de la RS6 n’a pas été communiqué –, son tarif de base se situe à 91 200 €.
A noter que pour le moment l’A6 hybride restylée n’a pas été évoquée.
Comme la MX-5, qui vient d’être entièrement renouvelée, le Discovery fête cette année ses 25 ans. Et il s’est dit qu’à cet âge, il serait peut-être bon de fonder une famille. Le Disco devient donc aujourd’hui papa d’un petit Sport ! Bon, l’histoire est très romancée… surtout que la réalité est bien plus marketing. Ce nouveau modèle est plus simplement le remplaçant du Freelander, qui a donc été rattaché au Discovery pour profiter de la bonne réputation du patronyme… qui est d’ailleurs écrit en gros devant et derrière ! La gamme Land Rover sera ainsi coupée en trois lignes de produits : Discovery, Range et Defender.
Il ressemble à un Evoque… mais pour qu’on ne se mélange pas les pinceaux, Land Rover a bien écrit en gros devant « Discovery ».
Petit problème quand on découvre le dernier né de la firme britannique : tout ce petit monde va beaucoup se ressembler. Le Disco Sport reste proche esthétiquement des derniers Range, avec une face avant au côté très galet poli. On retrouve une fine calandre prolongée par des optiques étirées, des feux horizontaux débordant dans les ailes… De l’univers Discovery, on retrouve la troisième glace latérale rattachée à la lunette, après un épais montant incliné couleur carrosserie, qui forme comme un pilier qui soutient le toit.
A l’intérieur aussi, ce Discovery Sport s’inspire beaucoup des derniers Range… même si l’ensemble est un peu moins flatteur à l’oeil, surement pour bien faire la différence avec les autos luxueuses de la marque. On retrouve une classique console centrale encadrée de deux éléments chromés. Au-dessus prend place un écran tactile 8 pouces. Grand changement par rapport au Freelander : sept personnes peuvent monter à bord. Bon, Land Rover parle bien d’un 5 + 2 places, ce qui veut tout dire : le troisième rang servira en dépannage. La deuxième rangée est coulissante. Pour les appareils de tout le monde, on trouve quatre prises 12V et six ports USB.
Curieusement, le Discovery Sport n’a pas eu le droit à la nouvelle plate-forme en aluminium du groupe Jaguar-Land Rover, qui sera inaugurée par la nouvelle XE, dévoilée la semaine prochaine. Il y a quand même du nouveau côté châssis, avec par exemple une nouvelle suspension arrière multi-bras pour plus de confort. Le Discovery Sport est avant tout un Land Rover, avec de vraies capacités de franchissement. On retrouve le système ultra-moderne Terrain Response, avec différents modes de fonctionnement en fonction du type de route. Les angles d’approche, ventral et de sortie sont respectivement de 25, 31 et 21 degrés.
Côté moteurs, l’auto débutera sa carrière avec deux diesel de 150 et 190 ch et un essence de 254 ch, uniquement en quatre roues motrices pour commencer. Côté transmission, on aura le choix entre manuelle 6 rapports ou automatique 9 rapports. Une version traction sera lancée l’année prochaine. Elle rejettera 119 g/km de C02 et échappera donc au malus.
L’auto devrait arriver dans les concessions début 2015. Le prix de base pour le marché français est déjà connu : 34.600 €.
« J’veux du cuir » chantait Alain Souchon dans son morceau titre éponyme en 1985. Renault en sert de série à qui le veut avec une nouvelle déclinaison de la Mégane : l’ « Ultimate », qui sera présentée sur le stand du losange au prochain Mondial de l’Automobile de Paris, du 4 au 19 octobre prochain.
Un modèle qui ne sera vendu qu’en France et sur la base de la finition « Intens ». Sellerie en cuir avec sièges avant chauffants, volant en cuir et pommeau de levier de vitesse dans le même matériau.
Le prix de base commence à 25 700 euros, auxquels il faut (malheureusement) rajouter 120 euros pour la roue de secours et 600 euros pour la peinture métallisée. Côté équipement, la voiture est dotée comme la version Intens de l’aide au parking arrière, carte d’accès et démarrage mains libres, climatisation automatique bizone, régulateur/limiteur de vitesse, siège conducteur réglable en hauteur et lombaires, vitres et lunette arrière sur teintées, volant en cuir et réglable en hauteur/profondeur plus un capteur de pluie et de luminosité.
En plus de cet équipement de base, la version Ultimate rajoute le toit en verre fixe, des jantes en alliage de 18 pouces (Serdard noir brillant), des boucliers avant et arrière de type « GT », le pack Renault R-Link (système multimédia R-Link, cartographie zone Europe et pré-équipement pour services connectés), les rétroviseurs rétractables électriques, la sellerie en cuir avec sièges avant chauffants, un pédalier en aluminium, un badge « Ultimate » et des touches de décoration intérieures en noir brillant.
Une Mégane qui se veut plus agressive dans cette nouvelle version livrée en coupé uniquement.
Pour les motorisations, cette version Ultimate reprend les blocs TCe 130 en essence et dCi 130 en version diesel. La voiture peut recevoir le Pack Easy moyennant 300 euros supplémentaires et le Pack Techno contre 500 euros. Commercialisée en version limitée jusqu’au 31 mars 2015.
Le grand jour est enfin arrivé pour la nouvelle Twingo. Dévoilée début mars au Salon de Genève, la troisième génération de la petite Renault se montre dès aujourd’hui dans les concessions. Et la marque française aura attendu le dernier moment pour révéler la gamme et les tarifs !
La Twingo 3 est lancée avec deux motorisations essence trois cylindres. La première est un nouveau 1.0 SCe atmosphérique de 70 ch, qui développe un couple de 91 Nm à 2.500 tr/min. Associé à une boîte manuelle à 5 rapports, ce bloc, qui passe de 0 à 100 km/h en 14,5 secondes, sera réservé à un usage urbain. Renault annonce une consommation de 4,5 l/100 km et des rejets de C02 de 105 g/km. Un Stop and Start est proposé en option. Il fait baisser la conso de 0,3 l/100 km et le C02 de 10 g/km.
La seconde motorisation est un 0.9 Turbo TCe de 90 ch. Le couple bien plus important (135 Nm à 2.500 tr/min) donne des ailes à la Twingo, qui ne met plus que 10,8 secondes pour atteindre les 100 km/h. Le Stop and Start est ici de série et pour le moment on n’a pas le choix de la boîte de vitesses (manuelle à 5 rapports). L’EDC sera lancé dans un an. La consommation en cycle mixte est de 4,4 l/100 km et les rejets de C02 sont de 99 g/km.
Comme sur les autres Renault, on trouve trois niveaux de finition : Life, Zen et Intens. Le niveau de base embarque un minimum plutôt correct avec quatre airbags, l’ESP, l’aide au démarrage en côte, la fermeture centralisée avec télécommande, la direction assistée, l’ordinateur de bord ou le limiteur de vitesse. A noter que la boîte à gants est ouverte et qu’il faut user de l’huile de coude pour ouvrir les vitres avant.
Celles-ci deviennent électriques sur le second niveau de finition, Zen, qui rajoute aussi la banquette rabattable 50/50 avec appuis-tête, la climatisation manuelle, la radio Connect R&Go et le volant réglable en hauteur. Le haut de gamme Intens reçoit de série l’alerte de franchissement de ligne, le régulateur de vitesse, les rétroviseurs extérieurs électriques et dégivrants, le siège conducteur réglable en hauteur, les antibrouillards ou les jantes alliage 15 pouces.
A noter que Renault propose une série limitée de lancement nommée Edition One, qui est suréquipée. Basée sur la finition Intens, elle est dotée aussi d’office du système multimédia R-Link, de la caméra de recul et de jantes 16 pouces.
Comme le Captur, la Twingo met l’accent sur la personnalisation, avec des packs de décors à l’extérieur (joncs de calandre, baguettes latérales, coques rétroviseurs pour 150 €) et intérieurs (volant, cerclage aérateurs, bandeaux de planche de bord, 150 ou 200 € selon finition) en différentes couleurs. Des autocollants sur les flancs sont aussi disponibles en supplément (200 €).
– 1.0 SCe atmosphérique 70 ch > Life : 10.800 €, Zen* : 12.300 €, Intens* : 13.300 € (* Stop and Start + 300 €)
– 0.9 Tce Turbo 90 ch > Zen : 13.300 €, Intens : 14.300 €, Edition One : 15.700 €
Au début de l’année, Volkswagen dévoilait au salon de Beijing sa future concurrente de la Mercedes CLA : le concept New Midsize Coupé (MNC). Présenté comme un coupé quatre portes « comme il n’en existait pas auparavant sur ce segment », le communiqué de la marque allemande avait quelque peu fait bondir au regard des formes de son auto… pour le moins classiques. La hauteur de pavillon un peu réduite et la largeur un peu plus conséquente ne changeant pas grand chose à cause de lignes définitivement trop banales.
Aperçue moins d’un mois plus tard dans sa version de série grâce à des photos volées, celle que l’on appelait « NMC » prendra finalement le patronyme « Lamando ».
Pour la conception de ce modèle, Volkswagen n’a pas fait les choses à moitié, puisque c’est la dernière plateforme du constructeur qui a été choisie. Modulaire, cette dernière équipe par exemple la Golf 7 (voir notre essai).
Difficile de différencier la Lamando de la nouvelle Passat 8, son pavillon arrière est à peine plus incliné !
Malheureusement, nous ne disposons pas encore d’images officielles de l’intérieur (cependant, vous pouvez le découvrir sur les photos volées), mais la palette des motorisations a été communiquée. Il s’agit de deux moteurs essence quatre-cylindres TSI. Le 1,4 l et le 2,0 l qui seront disponibles avec la boîte DSG à 7 rapports.
Parmi les équipements proposés, on remarque un toit vitré et sans doute le régulateur adaptatif, ainsi que le freinage automatique d’urgence comme en témoignent les capteurs en haut du pare-brise et le radar logé dans le bouclier en-dessous de la calandre.
Déjà en production, la Lamando sera commercialisée en Chine à partir du mois de novembre pour un prix d’entrée situé à 180 000 yuans, soit environ 22 779 euros.
Avec cette berline compacte, Volkswagen veut attirer les acheteurs qui ne pourraient pas s’offrir une Passat CC vendue plus chère. Son volume de coffre s’élevant à 500 litres sera également un élément pour convaincre en concession.
Néanmoins, la nervure située sur la partie verticale de la malle la rend un peu moins austère que sa grande sœur précédemment citée
Rien n’indique si la Volkswagen Lamando prendra ou non le chemin de l’Europe, mais elle le pourrait assez facilement étant donnée qu’elle repose sur un base récente. Elle viendrait se placer aux côtés ou en remplaçante de la Jetta.
A suivre…
Au mois de juillet dernier, nous vous détaillions la cinquième génération de l’Opel Corsa. Basée sur sa devancière, elle n’en profite pas moins pour évoluer en de nombreux points. L’élément qui nous manquait encore, c’était son prix. Bonne nouvelle, la marque au blitz vient de communiquer sa grille tarifaire, ses finitions et ses équipements.
Tout d’abord, il faut savoir que la Corsa 2014 est toujours disponible en 3 et 5 portes (+ 600 €). Sa gamme est découpée en 4 finitions (Essentia, Edition, Color Edition et Cosmo) et accompagnée de 7 motorisations (5 essence et 2 diesel). Le premier prix est situé à 11 990 € en trois-portes avec le 1.2 70 ch essence en Essentia.
A ce niveau de prix, on obtient de série l’aide au démarrage en côte, six airbags, l’alerte de sous-gonflage pour les pneumatiques, la direction assistée, le volant réglable en hauteur et profondeur, les vitres avant électriques ou encore les rétroviseurs électriques, mais plus de climatisation. Pour l’avoir dans la dotation de série, il faut prendre le niveau supérieur : l’Edition. A cela est ajouté l’ordinateur de bord, les jantes alliage 15 pouces et la banquette rabattable pour faciliter les gros chargements.
Avec la Color Edition, les antibrouillards et le régulateur/limitateur de vitesse font leur apparition en plus d’une décoration intérieure et extérieure spécifique comme son nom l’indique, à savoir par exemple le toit, la calandre, les rétroviseurs et les jantes en noir.
Enfin, le haut de gamme Cosmo permet d’accéder en série à l’aide au stationnement arrière, le détecteur de pluie, l’allumage automatique des phares, les jantes alu en 16 pouces et aussi l’IntelliLink qui est un système multimédia comprenant un écran tactile de 7 pouces.
Pour profiter de l’Opel Eye (lecture des panneaux de signalisation, l’alerte anti-collision et l’avertisseur de changement de file) à 650 €, la caméra de recul à 350 € ou encore les phares bi-xénon à 600 €, il faudra passer par la case des options quelque soit la finition.
C’est la question que l’on se pose ! Si le prix d’entrée diminue de 500 €, il faut savoir que la clim’ disparaît en contrepartie de l’ESP, l’alerte de sous-gonflage et quatre airbags. En somme, selon les versions le surcoût s’élève de 0 à… 800 €.
Pour nuancer, on notera que le constructeur avait baissé les tarifs de sa citadine en fin de carrière, ce qui fait qu’au final la nouvelle Corsa garde des prix compétitifs. A titre de comparaison, en diesel l’Allemande reste moins chère de 160 à 310 € que sa rivale la Renault Clio 4.
Type de moteur | Moteur | Finition | Prix |
essence |
1.2 70 ch BVM 5 | Essentia | 11 990 € |
Edition | 13 590 € | ||
1.4 90 ch BVM 5 | Edition | 14 090 € | |
1.4 90 ch BVA 6 | Cosmo | 17 390 € | |
1.4 Turbo 100 ch BVM 6 | Edition | 14 890 € | |
Color Edition | 15 790 € | ||
Cosmo | 17 090 € | ||
1.0 ECOTEC Turbo 115 ch BVM 6 | Cosmo | 17 990 € | |
diesel | 1.3 CDTI 75 ch BVM 5 | Edition | 16 390 € |
1.3 CDTI 95 ch BVM 5 | Edition | 17 390 € | |
Color Edition | 18 290 € | ||
Cosmo | 19 590 € |
L’Opel Corsa V sera visible au Mondial de l’Automobile à Paris au début de mois d’octobre prochain et sa commercialisation devrait se faire dans la foulée ou presque.
Dernièrement, des photos volées avec camouflages concernant la future berline de luxe basée sur la Rapide S circulaient sur la toile. Aujourd’hui, c’est une compagnie aérienne qui se charge de dévoiler l’Aston Martin Lagonda, plutôt surprenant !
La Lagonda 2014 a pris les airs. C’est en effet la compagnie aérienne Omar Air qui a transporté un exemplaire de la Grande-Bretagne jusqu’au au Sultanat d’Oman. Cette limousine très limitée en nombre d’exemplaires est réservée pour le Moyen-Orient. La raison de ce voyage n’est pas une livraison, mais des tests grandeur nature, notamment dans le désert. Les températures très élevées mettront à rude épreuve les organes de la voitures, une étape incontournable pour assurer sa fiabilité par la suite.
Concernant son design, l’ensemble est très épuré. La proue est constituée d’optiques très acérées entourant la calandre conséquente. De profil, les grandes roues en imposent et à l’arrière les feux sont aussi très fins et traversés par une baguette chromée. Marek Reichman, designer de la marque anglaise, la considère comme « de l’art automobile d’exception ».
Malheureusement, il faudra encore attendre pour découvrir l’intérieur de la nouvelle Lagonda en détails (une berline du même nom existait dans les années 1970).
Si la fiche technique n’a pas encore été communiquée, il est fort probable que l’auto reprenne la mécanique de la Rapide S, c’est-à-dire un V12 de 6,0 litres de cylindrée offrant 560 ch et 630 Nm de couple sous le pied droit ! La nouvelle boîte automatique Touchtronic à 8 rapports pourrait également être de la partie pour un 0 à 100 km/h établi en 4,4 secondes environ ! La Vmax serait atteinte à… 320 km/h !
En outre, le prix reste pour le moment secret, mais nul doute qu’il est très certainement supérieur aux 191 361 € que demandait une Rapide S !…
Nous y sommes ! Après des mois de teasing sur l’habitacle, les moteurs et les équipements de sécurité, nous pouvons enfin découvrir dans sa totalité la nouvelle Volvo XC90 ! Pour ceux qui suivent l’actualité automobile de près, vous aviez même pu prendre connaissance de la bête avec un peu d’avance.
C’est donc treize ans après la naissance du premier XC90 que Volvo remplace son gros SUV en étirant ses dimensions encore un peu plus. Véritable porte-drapeau de la marque suédoise, ce mastodonte embarque sur une nouvelle plateforme (appelée « SPA ») tout ce que sait faire de mieux Volvo.
En regardant le XC90 2015, on remarque immédiatement que le style Volvo a changé. La calandre s’agrandit tout en accueillant un nouveau logo, les phares deviennent très effilés (le dessin intérieur prend la forme d’un « T ») et l’allure générale s’éloigne de l’esprit « 4×4 » au profit d’un aspect « SUV ». L’inspiration auprès de ses rivales germaniques est nette, mais le XC90 garde de la retenue en se jetant pas dans cette surenchère stylistiques comme c’est de plus en plus le cas chez les Allemands. En outre, les feux arrière, très fins, demeurent typiquement Volvo.
En somme, ce SUV mise sur ses grandes dimensions pour en imposer, plutôt qu’en mettre plein la vue par un style exubérant. Selon les choix du client, il sera possible de l’équiper d’un kit carrosserie plus sportif, de protections en plastique brut pour le côté baroudeur et de lui fixer des roues allant jusqu’à 22 pouces.
Une fois à l’intérieur, le constructeur de Göteborg sort le grand jeu ! La présentation particulièrement luxueuse est très agréable à l’œil, l’ensemble est chaleureux, le choix des teintes et matériaux multiples (même du cristal sur le levier de vitesse !), … Volvo parle du XC90 comme « le premier SUV du monde sans compromis ». Dr Peter Mertens, Senior Vice-Président, Recherche et Développement de Volvo Car Group, explique : « Vous avez la sensation aux commandes, d’un espace intérieur généreux et d’une capacité flexible alliés à l’agilité et au confort douillet d’une voiture plus petite et plus basse. »
Sur la planche de bord arborant un dessin relativement classique, on trouve en son centre sur la console centrale un grand écran tactile au format portrait permettant d’accéder à presque toutes les fonctions : la radio, la climatisation, la navigation, le multimédia, le paramétrage de l’auto, … Heureusement, quelques boutons physiques ont été conservés afin de faciliter les manipulations sans quitter la route des yeux.
Pour les sept passagers qui peuvent être accueillis à bord du XC90, un système audio de marque Bower & Wilkins avec 19 haut-parleurs développant 1 400 w a été installé ! Volvo le présente comme l’une des meilleures sono embarquée dans une automobile actuellement. Enfin, côté sécurité, le SUV suédois n’est pas en reste. Entre autres, il dispose de série du freinage automatique y compris dans les intersections lorsqu’un véhicule arrive dans le sens inverse et de face, une première mondiale, mais aussi d’un système de protection contre les sorties de route resserrant les ceintures des passagers et évitant les fractures de la colonne vertébrale.
Lors de la commande, vous aurez le choix entre cinq motorisations 4-cylindres en transmission intégrale (4×4) dont deux diesel, deux essence et un essence-électricité. Pour les amateurs de gasoil, l’offre sera composée du D4 de 190 ch ou du D5 de 225 ch. En sans-plomb, la puissance est nettement supérieure avec le T5 de 254 ch et le T6 de 320 ch. Pour ceux pour qui cela ne suffirait pas, le T8 hybride rechargeable, doté d’une autonomie en tout électrique annoncée à 40 km, atteint 400 ch et ne rejette que 60 g de CO2/km.
Une boîte auto à 8 rapports est livrée de série. Des versions 2 roues motrices seront proposées ultérieurement.
Pour approcher de plus près le nouveau Volvo XC90, il faudra patienter jusqu’au Mondial de l’Automobile de Paris au mois d’octobre prochain (du 4 au 19). Aujourd’hui, seuls le prix d’entrée (49 900 €) est connu avec celui de la série limitée XC90 First Edition (91 800 €). Les 1 927 exemplaires seront proposés à la réservation à partir du 3 septembre 2014.
Sa commercialisation est attendue pour le printemps 2015.
L’attente aura été longue ! Initialement prévue pour un lancement en 2012, la nouvelle génération de la Ford Mondeo (appelée Ford Fusion aux Etats-Unis) arrivera qu’à la fin de l’année à l’occasion du Mondial de l’auto de Paris au mois d’octobre prochain, soit avec deux ans de retard.
Pour cette quatrième génération de la Mondeo (la première génération remontre au début des années 1990), c’est surtout la face avant qui évolue en comparaison avec sa devancière. Comme le reste de la gamme du constructeur, elle adopte une calandre façon « Aston Martin » qui est du plus bel effet avec ses phares effilés.
En finition haut de gamme, l’ensemble des optiques avant et arrière utilisent des LED et les projecteurs avant deviennent adaptatifs. Certains pourront regretter que la poupe reste proche de l’ancien modèle.
Un regret également concernant l’intérieur, puisqu’on y découvre une planche de bord qui est aussi assez proche. Un peu plus de modernisme aurait été bienvenu… Toutefois, Ford n’oublie pas de mettre à la page la Mondeo en terme d’équipements, puisque cette dernière reçoit un nouvel écran 8 pouces, un airbag-ceinture pour les passagers arrière, le stationnement semi-automatique, l’ouverture du coffre en passant le pied sous le bouclier arrière, le freinage automatique d’urgence, …
Côté moteurs, l’offre est déjà assez fournie avec des quatre-cylindres essence 1,5 et 2,0 l estampillés EcoBoost allant de 125 à 240 ch. En diesel, l’offre est composée de quatre-cylindres 1,6 et 2,0 l TDCi oscillant entre 115 et 200 ch, tandis qu’un bloc essence-électricité sera proposé. Avec un 2,0 l et des batteries de 1,4 kWh, les émissions de CO2 de cette motorisation hybride s’établiront à 99 g de CO2/km, soit environ 4,3 l/100 km.
Un trois-cylindres 1,0 l Ecoboost et une transmission intégrale (4×4) feront leur apparition en 2015
Il est d’ores et déjà possible de passer commande pour une Mondeo berline 4 portes/5 portes (hayon) ou break en finition Trend ou Titanium. Deux nouvelles finitions arriveront en 2015 : la finition Ambiente pour l’entrée de gamme et la finition Business Edition pour le haut de gamme. Son prix d’entrée devrait débuter aux alentours des 27 000 €. Les premiers exemplaires apparaîtront en concessions au mois d’octobre.
Opel ajoute une nouvelle offre diesel dans la gamme du Zafira Tourer. Avec 120 chevaux, le 1.6l CDTI s’intercale entre l’offre d’entrée de gamme (2.0l CDTI de 110 chevaux) et le milieu de gamme (1.6l CDTI de 136 chevaux) et permet de bénéficier des dernières technologies en matière de dépollution.
Le nouveau 1.6l CDTI de 120 chevaux dérive étroitement de la version 136 chevaux. Il en conserve la construction en aluminium (bloc et culasse, ce qui permet un gain de poids d’une vingtaine de kilos par rapport à un bloc en fonte), le système d’injection qui peut atteindre une pression peut atteindre 2000 bars et qui peut réaliser jusqu’à 10 injections par cycle ainsi que le start/stop associé à un dispositif de récupération au freinage. Outre la réduction de la consommation de carburant, le 1.6l CDTI a été développé avec comme axe de développement principal la réduction du bruit et des vibrations.
Les deux versions satisfont aux normes Euro 6 (le diesel d’accès se contentant de répondre aux normes Euro 5). Pour ce faire, Opel équipe le Zafira Tourer d’un dispositif de réduction des NOx appelé SCR (Selective Catalytic Reduction). Le système se compose d’un catalyseur supplémentaire et d’un dispositif d’injection d’AdBlue situé après le filtre à particules. Une fois mélangé avec les gaz d’échappement, l’AdBlue se décompose en ammoniaque pour réagir avec les oxydes d’azote et rejeter après traitement de l’azote N2 et de l’eau. Cette technologie permet une réduction des émissions de NOx de l’ordre de 60% à 80%.
Le montage de ce dispositif a été nécessaire dans le cas du Zafira Tourer pour compenser son embonpoint : plus de 1700 kg sur la balance lorsque le C4 Grand Picasso (ainsi que le Renault Grand Scenic) accusent près de 300 kg de moins. L’Astra équipée du même moteur n’utilise d’ailleurs pas cette technologie, se contentant d’un piège à NOx, plus simple et sans additif, pour être conforme aux normes Euro 6 (environ 30% à 40% de réduction des NOx). Citroën utilise aussi un SCR avec le 2.0l BlueHDi (du fait d’une cylindrée plus importante) sur le C4 Picasso.
L’AdBlue est contenu dans un réservoir d’une dizaine de litres, ce qui autorise une autonomie de plus de 20000 km avant de devoir refaire le plein de ce liquide (disponible en station essence en bouteille ou directement via une pompe dédiée).
Les deux versions se distinguent par leur turbocompresseur : dans le cas de la variante de 136ch, le turbo est à géométrie variable tandis qu’il est à géométrie fixe dans cette nouvelle version de 120 chevaux. Si la puissance est moins élevée, le couple reste identique dans les deux cas avec 320 Nm disponibles à 2000 tr/min. Le 1.6l de 120ch a par ailleurs un système d’admission simplifié.
Dommage toutefois pour les émissions de CO2 qui sont légèrement plus défavorables avec la variante 120ch sur le cycle d’homologation avec des rejets de 119 g/km contre 109 g/km pour le 136ch, même si cela n’a pas d’incidence sur le bonus/malus écologique en France (neutre dans les deux cas). Les émissions restent néanmoins largement inférieures à celles du moteur d’accès (2.0l CDTI) qui atteignent 134 g/km (malus de 150€) et comparables aux modèles concurrents (Citroën C4 Grand Picasso HDi 115 – 114 g/km de CO2, Renault Grand Scenic Energy 110 – 105 g/km).
Le 1.6l CDTI 120 chevaux est disponible à partir de 27.600€. Le 2.0l CDTI 110 ch démarre quant à lui à 25690€ contre 28350€ pour le 1.6l CDTI de 136 ch.
La marque d’Ingolstadt fête cette année les 25 ans du moteur TDI, l’occasion d’équiper le modèle A7 d’un bloc V6 TDI qui passe de 313 à 326 chevaux !
TDI pour « Turbocharged Direct Injection » en résumé une pression augmentée à la combustion grâce à un système de forage dans le piston. Une marque déposée par le groupe Volkswagen et des motorisations qui ont fait leur preuve depuis 1989.
Un système qui perdure, et qui équipe donc la luxueuse A7, lui permettant même d’atteindre une puissance de 346 chevaux lorsque la fonction « Boost » est enclenchée depuis l’habitacle. Le couple est annoncé à 650 Nm.
L’Audi A7 engloutit le 0 à 100 km/h en en 5.1s pour une vitesse de pointe limitée électroniquement à 250 km/h. La consommation moyenne annoncée est de 6,1 l/100 km pour 162 g de CO2/km. Un quart de siècle fêté dignement par la firme aux anneaux, qui propose une version dotée d’un pack « S-Line » en série comprenant des jantes spécifiques à 5 branches en « W » dans lesquels de beaux étriers de freins rouges à l’allure sportive se cachent.
Pour la robe ; 4 coloris sont au catalogue : gris Nardo, gris Daytona, bleu Sepang ou rouge Misano.
Disponible à partir du mois prochain (août 2014) pour une livraison à l’automne, l’Audi A7 Competiton dispose d’un habitacle sobre, très bien fini et entièrement noir relevé de touches de rouge. Du bois incruste certaines pièces intérieures, il s’agit de chêne Beaufort, parce qu’on ne fait pas les choses à moitié chez Audi.
Le prix devrait se situer aux alentours de 70 000 euros.
Pour ceux qui se demanderaient (encore) pourquoi Porsche ose commercialiser un gros SUV, voici deux chiffres très parlants : 276.000 et 303.000. Le premier renvoie au nombre d’exemplaires produits de la génération 1, commercialisée de 2002 à 2010. Le second correspond à la quantité de Cayenne II déjà sortie des lignes d’assemblage en quatre ans d’existence ! Pas besoin d’en dire plus pour comprendre à quel point l’engin est un succès… dont Porsche ne pourrait plus se passer.
On ne dirait pas comme ça, mais tout change au niveau de la face avant ! Il en est de même à l’arrière.
Et pour que cette réussite se poursuive, la firme allemande s’est penchée sur sa poule aux œufs d’or. Le Cayenne fait l’objet d’un bon restylage pour affronter sereinement sa deuxième moitié de carrière. En bon véhicule allemand, le SUV de Porsche change… sans vraiment changer. Les faces avant et arrière ont été intégralement revues mais cela ne se remarque pas tout de suite. Au niveau de la proue, tout a été redessiné, même le capot et les ailes. Les optiques sont un peu plus aiguisées et adoptent la nouvelle signature visuelle de Porsche, avec quatre points lumineux. Les prises d’air s’inspirent de celles du nouveau petite frère Macan. Elles intègrent des « airblades », des lamelles verticales qui guident l’air pour mieux refroidir la mécanique.
Côté poupe, le hayon est inédit, tout comme le bouclier, les sorties d’échappement et les feux, qui semblent plus fins. Selon Porsche, les designers « ont redessiné l’ensemble des lignes horizontales, donnant au modèle une meilleure assise sur la route ». Ils ont moins travaillé à bord puisque seul le volant a été changé. Multifonctions, il évoque celui de la 918 Spyder. La dotation de série comprend un hayon automatique. En option, on peut s’offrir une banquette arrière ventilée.
La grande nouveauté de ce millésime 2015 est l’apparition d’une version hybride plug-in. Le Cayenne existait déjà en hybride, mais il devient donc rechargeable et capable de parcourir une petite distance (entre 18 et 36 km) en mode zéro émission. La puissance du bloc électrique a été doublée, à 95 ch contre 47 ch auparavant. Avec le V6 essence 3.0, la puissance totale est de 416 ch. Le 0 à 100 km/h est réalisé en 5,9 secondes. Porsche annonce une consommation en cycle mixte de 3,4 l/100km et des rejets de C02 de 79 g/km.
Autre nouveauté : la variante S délaisse le V8 au profit d’un V6 biturbo 3.6 litres de 420 ch (soit 20 ch de plus). Le couple est de 550 Nm (+ 50 Nm), disponible dès 1.350 tr/min. Au-dessus, le Turbo gagne lui aussi 20 ch et grimpe à 520 ch. (couple de 750 Nm). Les diesel ne sont pas oubliés. Le V6 passe de 245 à 262 ch (mais réduit légèrement ses consommations avec 6,6 l/100 km au lieu de 6,8 l) et le V8 profite de trois chevaux supplémentaires à 385 ch. Porsche annonce avoir optimisé les réglages du châssis avec à la clef un meilleur confort.
Le Cayenne version 2015 sera mis en vente en France le 10 octobre 2014. Le S sera facturé 82.568 €, le Turbo 131.168 €, le Diesel 68.528 € et le S Diesel 84.488 €. Le S E-Hybrid sera à 84.038 €.
Un peu plus de 3 ans après la commercialisation de la DS4, second modèle de la marque aux chevrons à adopter la dénomination DS (pour Different Spirit), Citroën envisage de revoir entièrement son milieu de gamme Premium, issu du segment M1.
Autant la DS3 a tenu son pari en se vendant à plus de 300 000 exemplaires, que ses grandes sœurs DS4 et DS5 se trouvent encore à la traîne avec respectivement une production de 100 000 et 50 000 unités vendues. Ces deux derniers modèles, malgré des qualités indéniables constatées lors de différents essais que nous avons pu réaliser, n’ont pas réussi à trouver leur public (en savoir plus sur les chiffres de ventes DS).
La Citroën DS 4R Concept dévoilée en 2012 proposait 256 chevaux, mais rien n’a ensuite été proposé en série
C’est probablement pour ces raisons, et d’après les fuites que nous avons pu récupérer, que la marque française envisage sérieusement de refondre la DS4 à l’horizon 2016. Pensez donc ; seulement 5 200 exemplaires de la DS4 se vont vendus sur les 6 premiers mois de l’année 2014, et 3 100 exemplaires de la DS5.
Alors que la gamme « DS », devenue une marque entière en Chine explose là-bas, les modèles équivalents peinent à se vendre dans l’hexagone. La refonte envisagée par Citroën viserait à rallonger la DS4 de presque 10 cm, en gommant son arrondi arrière avec un coffre rallongé et par conséquent une ligne plus fluide. Le style coupé serait donc abandonné au profit d’une ligne plus « passe-partout » et allongée.
Qui dit plus grande dit volume intérieur augmenté, avec un gain aux places arrière qui ne sera pas négligeable. Les vitres latérales arrière pourraient s’ouvrir, ce qui n’est pas possible sur les modèles actuels, et les portes arrière recevraient des poignées de portes visibles, jusqu’alors camouflées.
A l’instar de la Chine où DS est une marque, et non pas un modèle, diffusée de surcroît dans un réseau de concessions encore peu nombreuses mais haut de gamme : tapis rouge, marketing olfactif, accueil haut de gamme, la nouvelle DS4 serait « tatouée » sur la calandre des 2 lettres « DS » et non plus des traditionnels chevrons chers à André Citroën.
Autre innovation ; la plateforme actuelle issue de la seconde génération de C4 serait abandonnée, au profit de la fameuse EMP2 conçue pour le tout nouveau « Technospace » Picasso. Nouvelle plateforme voulant dire gain de poids, les performances de la voiture devraient par conséquent s’en voir améliorées.
Pas d’informations à ce jour sur les motorisations, mais une version « sport » serait envisagée, elle reprendrait le bloc de la… RCZ-R Peugeot (voir notre essai) ! Soit 270 chevaux. Destinée à concurrencer les modèles germaniques compactes ; Audi A3, Mercedes Classe A et autre BMW Série 1, la future DS4 devra être à la hauteur et recevra un meilleur niveau de finition, un équipement plus riche et des matériaux haut de gamme jusqu’alors inutilisés sur le segment des compacts aux chevrons.
Le tout sera disponible à un tarif contenu, afin d’attirer une clientèle nouvelle avec un prix d’entrée probablement aux alentours de 24 000 euros. Quand deux lettres remplaceront les chevrons, la révolution aura vraiment eu lieu chez Citroën.
Le sport chez Mercedes a différentes facettes. Il peut être classique avec des modèles de grande série dévergondés, extrême avec des supercars comme la SLS ou la future GT, ou très bourgeois comme avec cette nouvelle Classe S Coupé 65 AMG, placée au-dessus de la S 63 dévoilée en mars dernier. La nouvelle venue hérite d’un V12 6,0 l biturbo. C’est la quatrième Mercedes équipée d’un douze cylindres. L’allemand est le constructeur automobile qui offre le plus de modèles dotés de ce type de moteur !
Le V12 est abrité par un cache en carbone et aluminium. Comme le veut la tradition AMG, il est assemblé par un seul homme, qui appose à la fin sur le bloc une plaque avec sa signature. La puissance est de 630 ch et le couple est digne d’un camion avec une valeur maximale de 1.000 Nm, disponible de 2.300 à 4.300 tr/min. La vitesse maxi est limitée électroniquement à 250 km/h mais on se doute que l’auto est capable d’atteindre des vitesses bien plus élevées. Le 0 à 100 km/h est réalisé en 4,1 secondes.
C’est bien, très bien même… mais à ce niveau de puissance il y a mieux. La S Coupé est pénalisée par son poids, qui devrait dépasser les deux tonnes. Mais comme on l’a dit au début, l’auto reste avant tout un coupé très haut de gamme et ne fait aucun sacrifice en matière de confort. Elle fait quand même quelques efforts pour contenir sa masse, en adoptant par exemple une batterie lithium-ion, plus légère de 20 kg que le modèle standard.
Côté boîte de vitesses, on retrouve la transmission AMG Speedshift Plus 7G-Tronic, qui dispose de trois modes de fonctionnement : Controlled Efficiency (favorisant les économies de carburant), Sport et Manuel. La S 65 AMG est dotée d’un Stop and Start et annonce une consommation en cycle mixte de 11,9 litres tous les 100 km. Une valeur qui correspondra aux moments où vous conduirez pépère pour aller acheter le pain. Dès que vous vous amuserez un peu avec la pédale (d’accélérateur), la conso s’envolera ! Mais quand on achète un tel jouet, généralement ce n’est pas vraiment un souci.
Côté châssis, on retrouve les dernières innovations de la Classe S et de sa variante Coupé, avec par exemple une fonction d’inclinaison dans les virages, qui réduit l’accélération transversale qui s’exerce sur les occupants. L’auto se penche dans les courbes, à la façon d’une moto. Mercedes indique que l’objectif n’est pas d’atteindre des vitesses plus élevées dans les virages mais de rendre la conduite plus agréable ! Les virages sont détectés par une caméra, qui repère aussi à l’avance les imperfections de la chaussée.
Côté look, pas de grands changements par rapport à la S63 AMG. Seuls des chromes en plus et le logo V12 biturbo font la différence. L’auto est dotée de jantes forgées de 20 pouces qui cachent un système de freinage composite avec des étriers gris. En option, ils peuvent être rouges et on peut s’offrir des freins en carbone composite. Le tarif est corsé : 251.500 euros ! A ce prix, la dotation est complète, avec de série l’affichage tête haute, le pavé tactile, les caméras panoramiques, le système sono haut de gamme Surround Burmester, les garnitures en cuir Nappa étendu ou le pack d’assistance à la conduite.
Les commandes sont ouvertes, les premières livraisons débuteront fin septembre.
Après une présentation détaillée de la Passat 8 – eh oui, déjà la huitième génération ! –, il nous manquait encore un élément sur la routière de Volkswagen : son prix. Voyons donc un peu plus en détails ce que nous réserve la marque allemande pour sa berline annoncée comme 100 % nouvelle…
Si à terme ce sont neuf motorisations qui seront disponibles au catalogue pour la nouvelle Passat, lors de sa commercialisation elle en recevra tout de même six. La majorité des blocs carburent au diesel avec le 1,6 l TDI 120 ch, le 2,0 TDI en 150 ch et 190 ch, ainsi que l’inédit 2,0 l TDI BiTurbo fort de 240 ch… L’offre essence est composée par le 1,4 l TSI décliné en 125 et 150 ch.
Les plus gros moteurs sont livrés d’office avec la boîte robotisée à double embrayage DSG à 6 ou 7 rapports, tandis que la transmission intégrale baptisée « 4Motion » est proposée sur les trois diesel les plus puissants (150, 190 et 240 ch).
Le client aura le choix entre quatre niveaux de finition. Le plus bas, soit la « Trendline » (1,4 l TSI 125 ch et 1,6 l TDI 120 ch uniquement), comprend déjà six airbags, la climatisation, l’alerte de perte de pression des pneumatiques, les quatre vitres et rétroviseurs électriques, le système audio avec CD (!) et écran tactile 5 pouces, …
La finition « Confortline » permet d’obtenir un peu plus de technologies avec le freinage automatique d’urgence, les radars de stationnement AV/AR, l’écran tactile de 6,5 pouces avec ports USB, le Bluetooth, les jantes alliage 16 pouces, …
En « Carat », la dotation s’améliore encore un peu avec l’aide au créneau Park Assist, la sellerie alcantara et cuir, l’accès sans clef, l’ouverture du coffre main-libre, la caméra de recul, les jantes alliage 17 pouces, …
Pour les plus exigeants, la « Carat Edition » permet de profiter de l’éclairage entièrement à LED, d’une sellerie recouverte de cuir et d’un écran d’ordinateur de bord et d’instrumentation encore plus grand.
Type de moteur | Moteur | Finition | Prix |
essence |
1,4 l TSI 125 ch BVM6 | Trendline | 25 350 € |
1,4 l TSI ACT 150 ch BVM6 | Confortline | 30 020 € | |
Carat | 34 230 € | ||
1,4 l TSI ACT 150 ch DSG7 | Confortline | 31 520 € | |
Carat | 35 730 € | ||
diesel | 1,6 l TDI 120 ch BVM6 | Trendline | 28 290 € |
Confortline | 30 760 € | ||
Carat | 34 970 € | ||
1,6 l TDI 120 ch DSG7 | Confortline | 32 260 € | |
Carat | 36 470 € | ||
2,0 l TDI 150 ch BVM6 | Confortline | 32 810 € | |
Carat | 37 020 € | ||
Carat Edition | 40 580 € | ||
2,0 l TDI 150 ch DSG6 | Confortline | 34 310 € | |
Carat | 38 520 € | ||
Carat Edition | 42 080 € | ||
2,0 l TDI 190 ch DSG6 | Carat | 40 430 € | |
Carat Edition | 43 990 € | ||
2,0 l TDI 150 ch BVM6 4Motion | Confortline | 34 310 € | |
Carat | 38 520 € | ||
Carat Edition | 42 080 € | ||
2,0 l TDI 190 ch DSG6 4Motion | Carat | 42 130 € | |
Carat Edition | 45 690 € | ||
2,0 l TDI BiTurbo 240 ch 4Motion | Carat Edition | 49 330 € |
La commercialisation de la Volkswagen Passat aura lieu à l’automne. Sa présentation se fera au Mondial de l’auto à Paris en octobre prochain, tout comme sa rivale française récemment restylée qu’est la Peugeot 508 qui a elle aussi dévoilé ses prix.
Le Scirocco, pendant germanique de la Renault Fuego, est née en 1974. 7 ans après, la version 2 pointait le bout de son nez avant d’être arrêtée. Tel un phénix il renaquit de ses cendres pour réapparaître en 2008 sous une enveloppe moderne et beaucoup plus dynamique.
La nouvelle version 2014 est désormais disponible à la commande. Nouveau design, nouveaux coloris, nouveaux moteurs répondant aux normes Euro6, nouveaux équipements, nouvelles selleries, nouvelles jantes et nouveaux tarifs. Ces derniers s’échelonnent de 24 900 à 37 790 €.
Lancé il y a 40 ans, le nouveau Scirocco arrive avec un design beaucoup plus affirmé. Ses motorisations sont plus sobres, tout en étant plus puissantes. Avec un équilibre idéal entre confort et sportivité, le coupé 2 portes germanique revient avec de nouveaux équipements qui en font un coupé dynamique et polyvalent.
La face avant s’inspire des Golf GTI et GTD, avec notamment le pare-chocs qui intègre des antibrouillards recouverts des griffes propres aux 2 modèles Golf. Les lignes étirées sur l’arrière ont été redessinées et confèrent à la voiture un caractère renforcé.
L’intérieur n’est pas en reste avec une atmosphère plus sportive soulignée par l’insert de compteurs additionnels qui font leur apparition avec une fonction chronomètre, la mesure de pression de turbo et la température de l’huile.
Côté motorisations, la consommation baisse jusqu’a -19%, ce qui implique une diminution du rejet CO2. Trois niveaux de puissance sont disponibles en essence : 125 cv – 180 cv et 220 cv. Pour le Diesel, 2 motorisations possibles : 150 et 184 cv. Ces motorisations sont couplées au choix à une boîte de vitesse manuelle BVM6 ou séquentielle DSG6 excepté le 1.4 TSI.
La structure de la gamme demeure inchangée, reposant sur les trois finitions Scirocco, Sportline et Carat. Dès l’entrée de gamme, le Nouveau Scirocco embarque l’alerte de perte de pression des pneus, les feux arrière à LED, les compteurs sport additionnels sur le tableau de bord ainsi que les jantes en alliage léger de 17’ ‘‘LongBeach’. La finition Sportline donne notamment accès à la climatisation automatique, l’interface Bluetooth, l’aide au stationnement avant et arrière, les jantes en alliage 17’ ‘Mallory’’ ou encore le volant multifonction. Enfin la finition Carat ouvre la possibilité de profiter de série de la radionavigation ‘’RNS 315’’, de la sellerie cuir, du toit ouvrant panoramique entrebâillant en verre ainsi que des jantes en alliage léger 18’ ‘’Lisboa’’.
Cinq nouveaux coloris font leur apparition : Ultra-Violet, Pyramid-Gold, Rouge Flash, Gris Urano et Blanc Pur. Treize couleurs sont disponibles au catalogue. De nouvelles selleries sont également disponibles. Sur la finition Scirocco le Noir Titane en tissu ‘’Matthew’’ est dorénavant monté en série. Sur la finition Sportline, le choix pourra se porter sur l’un des trois coloris de la sellerie en Tissu/Alcantara ‘’Greg’’, à savoir le Gris Céramique, le Noir Titane ou le Moka. Enfin, le cuir Vienna de la finition Carat sera disponible, soit en Gris Céramique/Noir Titane, soit en Noir Titane ‘’Carbon Style’’ ou en Sioux/Noir Titane.
Les jantes n’ont pas été oubliées, avec 3 nouveaux modèles : 17 pouces Mallory, 18 pouces Lisboa ou 18 pouces Salvador.
Le tarif du Nouveau Scirocco, démarre à partir de 24 900 euros avec le moteur 1.4 TSI 125.
Type de moteur | Moteur | Finition | Prix |
essence |
1.4 TSI 125 cv BVM6 | Scirocco | 24 900 € |
2.0 TSI 180 cv BVM6 | Scirocco | 27 980 € | |
2.0 TSI 180 cv DSG6 | Sportline | 31 090 € | |
Carrat | 34 120 € | ||
2.0 TSI 220 cv BVM6 | Sportline | 32 380 € | |
Carrat | 34 940 € | ||
2.0 TSI 220 cv DSG6 | Sportline | 33 970 € | |
Carrat | 36 530 € | ||
diesel | 2.0 TDI 150 cv BVM6 | Scirocco | 29 700 € |
Sportline | 31 430 € | ||
Carrat | 34 460 € | ||
2.0 TDI 150 cv DSG6 | Sportline | 33 020 € | |
Carrat | 36 050 € | ||
2.0 TDI 184 cv BVM6 | Sportline | 33 170 € | |
Carrat | 36 200 € | ||
2.0 TDI 184 cv DSG6 | Sportline | 34 760 € | |
Carrat | 37 790 € |
La démesure a toujours été étroitement rattachée à l’Amérique. La nouvelle Dodge Challenger SRT Hellcat ne déroge pas à la règle, et s’impose comme le muscle-car le plus puissant de l’histoire automobile.
Par conséquent, c’est également le modèle le plus furieux de la marque : 707 chevaux délivrés par un monstrueux V8 de 6.2 litres « supercharged ». Le couple est tout autant monstrueux puisqu’il est annoncé à 881 Nm. Plus puissante qu’une Viper SRT déjà annoncée comme une référence avec ses 640 chevaux et son couple de 814 Nm !
Le bloc HEMI turbocompressé de 6.2l devient également la référence à dépasser pour Chrysler, qui produit là son plus gros moulin, le premier HEMI à être fabriqué de série par la marque américaine.
Petit détail amusant ; afin de limiter la puissance du monstre, le fabricant a mis en place un système de double-clefs. La première : noire, bride la voiture à 500 chevaux (ce qui soit dit en passant arrache déjà bien les bras), la seconde : rouge, libère la bête en version « Full » avec une cavalerie supplémentaire de 207 équidés, soit au total un haras de 707 chevaux.
Ce « chat de l’enfer » comme l’indique son sobriquet est doté d’une nouvelle boîte de vitesses automatique TorqueFlite à 8 rapports. Une boîte manuelle est disponible en option, une Tremec TR6060 à 6 rapports. La voiture arrivera dans les concessions américaines en septembre 2014. Elle sera fabriquée dans l’usine Chrysler de Brampton.
Le prix, la consommation et le rejet CO2 n’ont pas été communiqués, mais on peut s’attendre à un tarif avoisinant les 50 000 $ (37 000 €).
La Ford Mustang a été dévoilée officiellement à la fin de l’année passée, mais une version bien plus musclée est toujours en cours de développement. A ce sujet, les rumeurs sont encore de légion et des mulets lourdement camouflés arpentent toujours les routes comme en témoignent les derniers clichés espions de nos photographes.
Pour le moment, le patronyme de celle qui deviendra la Mustang actuelle la plus puissante n’est pas connu. Les appellations telles que « GT 350 », « GT 500 », « SVO », « Mach 1 » ou encore « SVT Cobra » ont été évoquées, le plus probable étant « GT 350 » dans un premier temps… une autre version encore plus dévergondée pouvant suivre ultérieurement pour aller rivaliser avec les Chevrolet Camaro ZL1 et Corvette, ainsi que la Nissan GT-R.
Bien entendu, pour l’occasion la Ford Mustang se virilise avec un kit carrosserie agressif, de larges entrées d’air, des bas de caisse marqués, quatre sortie d’échappement, …
On peut également apercevoir son habitacle où des sièges baquets très sportifs de la marque Recaro sont présents. Le régime maxi est déplacé à 6 500 tours/min et il sera même possible d’atteindre les 7 000 tours/min dans certaines conditions.
Les quatre roues sont équipées de pneus larges Michelin Pilot Super Sport, tandis que le freinage est assuré par des freins à disque perforés en carbone céramique !
Au chapitre mécanique, le V8 de 5,8 l suralimenté sera mis à jour. Le but étant de proposer mieux que les 662 ch et 631 Nm de couple de l’actuelle Shelby GT 500.
Le total de canassons sous le capot du bolide pourrait atteindre les 700 ch étant donné que Dodge et sa Challenger SRT Hellcat en offrent 707 pour 808 Nm (soit bien plus les 600 ch environ annoncés à l’origine !…) !
Pour découvrir le visage de cette Ford Mustang très certainement délirante, il faudra patienter jusqu’en 2015 minimum pour la voir dans un salon. Sa date de sortie étant attendue pour le courant de l’année 2016. Son prix de vente américain dépassera sans aucun doute les 55 000 $ (40 460 €) demandés aujourd’hui pour une GT 500.
A suivre…
Une courte vidéo pour apprécier la sonorité du V8 :
Crédit : CarPix pour Abcmoteur
Le lancement commercial de la Peugeot 508 restylée se fera le 10 septembre 2014. Le carnet de commandes est d’ores et déjà ouvert, nous vous donnons les tarifs détaillés au cas où vous envisageriez de changer de voiture pour la rentrée.
Une gamme et des versions identiques, avec cinq niveaux de finition qui ne bougent pas ; Access en entrée de gamme, Active, Allure, GT et le haut du panier : Féline. Une nouveauté tout de même : les motorisations avec l’arrivée de 2 nouveaux blocs sous le capot de la nouvelle 508 :
Le moteur 1.6 THP 165 chevaux, qui vient remplacer le bloc 1.6 THP 155 chevaux.
Le moteur 2.0 BlueHDI 150 chevaux.
Les prix s’échelonnent de 24 750€ pour l’entrée de gamme équipée du moteur 1.6 VTI de 120 chevaux en finition Access, à 40 700€ pour le modèle 2.2 HDI 200 BVA en finition GT. L’entrée de gamme augmente de 150€, Peugeot justifie cette hausse par l’arrivée de feux de jour à LED et du contrôle de pression des pneumatiques, la finition Active sera facturée quant à elle 400€ de plus en raison d’un nouveau système multimédia (écran tactile de 7 pouces, clé 3G, streaming, connexion tablettes, téléphones…), mais la hausse la plus forte se fait sur les finitions haut de gamme Féline et GT qui augmentent de 900€ (1150€ en version SW). Elles reçoivent en plus de l’ancienne version : des feux à LED, la surveillance des angles morts et une caméra de recul.
Type de moteur | Moteur | Finition | Prix |
essence |
1.6 VTI 120 ch | Access | 24 750 € |
1.6 THP 165 ch | Active | 29 250 € | |
Allure | 31 900 € | ||
1.6 THP EAT6 165 ch | Allure | 33 400 € | |
Féline | 37 100 € | ||
diesel | 1.6 e-HDi 115 ch | Access | 27 000 € |
Active | 29 250 € | ||
1.6 e-HDi ETG 115 ch | Access | 27 700 € | |
Active | 29 950 € | ||
Allure | 32 600 € | ||
Féline | 36 300 € | ||
2.0 l HDi 140 ch | Active | 30 550 € | |
Allure | 33 200 € | ||
2.0 l BlueHDi 150 ch | Active | 31 750 € | |
Allure | 34 400 € | ||
Féline | 38 100 € | ||
2.0 HDi BVA 160 ch | Allure | 35 200 € | |
Féline | 38 900 € | ||
2.0 BlueHDi EAT6 180 ch | Allure | 36 700 € | |
Féline | 40 400 € | ||
2.2 HDi BVA 200 ch | GT | 40 700 € |
Access : 6 airbags, ESP, climatisation manuelle, banquette arrière rabattable, feux de jour à LED, aide au démarrage en côte, accoudoir central avant, contrôle de la pression des pneus, 4 vitres électriques, autoradio CD, port USB, régulateur de vitesse, rétroviseurs électriques et dégivrants, verrouillage centralisé. La version SW est équipée en sus de barres de toit, cache-bagages et essuie-glace arrière.
Active : La version Active est équipée de tous les éléments de l’Access plus : les radars de recul, une climatisation automatique bizone, des jantes en alliage de 16 pouces, des rétroviseurs rabattables électriquement, d’un système multimédia avec écran tactile 7 pouces, d’un lecteur CD/radio 8 HP et le siège conducteur avec réglages électriques.
Allure : La version Allure est équipée de tous les éléments de la version Active plus : l’ouverture et le démarrage sans clé, un affichage tête haute, un frein de stationnement électrique, des jantes en alliage de 17 pouces, une sellerie mi- cuir, le système de navigation GPS, le système d’assistance/sécurité Peugeot Connect SOS, antibrouillards à LED, sur-tapis avant et arrière et un volant gainé de cuir. La version SW reçoit en plus un toit panoramique et des vitres et lunette arrière sur-teintées.
GT : La version GT reçoit tous les éléments de la version Allure plus une caméra de recul, des jantes en alliage de 18 pouces, des sièges sport chauffants, des projecteurs full-LED, une double sortie d’échappement, une calandre spéciale noir laqué et le système de surveillance des angles morts.
Féline : La version Féline reçoit tous les éléments de la version GT plus une climatisation automatique quatre zones, des sièges en cuir et des stores pare-soleil latéraux. La version SW est dotée d’une ouverture de coffre électrique.
Détrônée sur le circuit du Nürburgring par la Seat Leon Cupra accusant 280 chevaux en début d’année, la Mégane RS (voir notre essai) ne pouvait en rester là et laisser la place du meilleur temps sur la boucle nord du circuit allemand à son équivalent espagnol. L’honneur est sauf puisqu’en juin dernier, la marque au losange récupérait son dû en affichant un temps record de 7’54’’36 au tour ! La responsable : la Mégane RS 275 Trophy R, qui sera commercialisée à 250 exemplaires en septembre prochain ! Voici les tarifs …
La version sportive de la Mégane se décline en 3 modèles :
Mégane RS 265 : 32 000 €
Mégane RS 275 Trophy : 38 000 €
Mégane RS 275 Trophy R : 45 000 €
Cette dernière sera commercialisée en version limitée puisque seulement 250 exemplaires seront produits ! Livrée en septembre, il vous en coûtera 45 000 € auxquels il vous faudra rajouter 2 200 € de malus écologique, soit la coquette somme de 47 200 €.
Cette version radicale est équipée en série du châssis Cup, de sièges Recaro monocoque, de pneus semi-slicks Michelin Pilot Sport-Cup 2, d’amortisseurs Ohlins et elle reçoit en prime une nouvelle ligne d’échappement Akrapovic (100% titane et canule en carbone) et des jantes en alliage Turini de 19 pouces.
La Mégane RS 275 Trophy R est dotée du moteur 4 cylindres essence turbocompressé de 1 998 cm3, il développe 275 chevaux et avale le 0 à 100 km/h en 6 s. La vitesse de pointe est de 255 km/h.
Cela fait maintenant un moment que la Série 2 Active Tourer (F45) fait parler d’elle. Après un concept-car et la présentation officielle, c’est maintenant aux prix de se dévoiler… Alors que le monospace casse de nombreux codes chez BMW (traction, premier monospace de la marque, etc…), côté tarifs il ne surprendra guère…
Démarrant à partir de 28 350 € tout de même, la BMW Série 2 Active Tourer est bien dotée. En entrée de gamme, soit la finition « Premiere » (uniquement avec le petit diesel trois-cylindres 216d), on dispose de la climatisation, de l’accoudoir avant, de la banquette rabattable en trois parties, ainsi que des essuie-glaces et feux automatiques. Un écran couleur de 6,5 pouces, l’avertisseur de risque de collision et le frein de parking électrique sont également présents.
Vendu jusqu’à 3 000 € de plus que son rival direct le Mercedes Classe B à motorisation similaire, la Série 2 AT en offre plus dès le deuxième niveau de finition (« Lounge », rallonge de 1 450 € en 218i). Ici, la clim devient bi-zone, la banquette coulissante (60/40) et les dossiers inclinables. En sus, les radars de stationnement arrière font leur entrée tout comme le limitateur/régulateur de vitesse, la direction Servotronic à assistance variable, le volant multifonction, les antibrouillards et les jantes en alliage de 16 pouces (17 pouces pour le « gros » essence 225i).
La finition « Sport » se concentre davantage sur l’esthétique avec des jantes de 17 pouces, du noir brillant à plusieurs endroits (coque de rétroviseur, haricots de la calandre, lames, …) et une/des sorties d’échappement rondes noires chromées selon la motorisation, mais aussi le GPS (navigation multimédia Business), des sièges « Advanced », une sellerie tissu « Race », des surpiqûres, l’éclairage intérieur à LED, …
En « Luxury », un hayon et des rétroviseurs électriques sont ajoutés, des radars de stationnement AV/AR, un système anti-collision à basse vitesse, la sellerie cuir, des éléments chromés, …
Le niveau le plus haut, la finition « M Sport », apporte la direction à démultiplication variable, une suspensions adaptative, un kit carrosserie, des jantes 18 pouces, les projecteurs à LED, … La note atteint les 44 750 € (+ 150 € de malus) avec le 225i xDrive (4×4).
En lieu et place de la BVM6, tous les blocs quatre-cylindres peuvent recevoir la BVA8, tandis que les trois-cylindres se contentent d’une BVA6. Il est à noter que les 220d xDrive, 225i et 225i xDrive sont proposés uniquement en boîte automatique.
Type de moteur | Moteur | Finition | Prix |
diesel |
3-cyl 1,5 l 116 ch 216d | Premiere | 28 350 € |
Lounge | 30 500 € | ||
Sport | 33 300 € | ||
Luxury | 34 800 € | ||
4-cyl 2,0 l 150 ch 218d | Lounge | 32 500 € | |
Sport | 35 300 € | ||
Luxury | 36 800 € | ||
M Sport | 37 750 € | ||
4-cyl 2,0 l 190 ch 220d | Lounge | 35 300 € | |
Sport | 38 100 € | ||
Luxury | 39 600 € | ||
M Sport | 40 150 € (+ 4 150 € en xDrive) | ||
essence | 3-cyl 1,5 l 136 ch 218i | Lounge | 29 800 € |
Sport | 32 600 € | ||
Luxury | 34 100 € | ||
M Sport | 35 050 € | ||
4-cyl 2,0 l 190 ch 220i | Lounge | 32 700 € (+ 250 € de malus) | |
Sport | 35 500 € (+ 250 € de malus) | ||
Luxury | 37 000 € (+ 250 € de malus) | ||
M Sport | 37 550 € (+ 250 € de malus) | ||
4-cyl 2,0 l 231 ch 225i | Lounge | 37 800 € (+ 150 € de malus) | |
Sport | 40 200 € (+ 150 € de malus) | ||
Luxury | 41 700 € (+ 150 € de malus) | ||
M Sport | 42 750 € (+ 150 € de malus) (+ 2 000 € en xDrive) |
Une version hybride d’environ 200 ch rejoindra l’offre moteur dès 2015. La commercialisation du monospace Série 2 Active Tourer est prévue pour le 25 septembre prochain.
D’abord reconnu dans le monde de la moto, le fabricant d’échappements Akrapovic continue à élargir son catalogue à destination de bolides sur quatre roues. Après l’Alfa Romeo 4C Spider et la Renault Megane RS 275 Trophy, c’est au tour de la récente BMW M4 de passer entre les mains du Slovène dans le but de gagner un peu de « voix ».
Alors que la sonorité émise par le 6-cylindres en ligne 3,0 l biturbo de 431 ch suscite la polémique, la solution se trouve peut-être en montant une ligne d’échappement complète d’un spécialiste de la sonorité moteur.
Ici l’intéressé pourra choisir entre deux versions. La première est « classique », car faite d’acier inoxydable. La seconde, plus typée course et bruyante, est composée de carbone et de titane.
Malheureusement, aucun chiffre n’a encore été communiqué par Akrapovic, mais il y a fort à parier que ces nouveaux « tuyaux » à destination de la M4 lui permettent de gagner en poids et en performances. Avant de franchir le pas, il reste aussi à connaître le prix… Certains annoncent jusqu’à 5 000 – 7 000 € pour la ligne carbone-titane… quand même !
Afin de se faire un premier aperçu des nouvelles vocalises du coupé sportif BMW, voici une sélection de vidéos avec pour finir une M3 berline équipée de l’échappement d’origine afin de comparer.
Convaincu par la réalisation d’Akrapovic ? Le bruit devient plus sourd, mais reste encore peu mélodieux… La future Honda Civic Type R ferait-elle mieux ?
Les tarifs de l’inattendue Mini 5 portes ont été dévoilés à la Presse. Autant les prix de la nouvelle version 3 portes présentée en début d’année restaient stables par rapport aux modèles 2013, autant ils prennent un peu d’embonpoint en passant de 3 à 5 portes, avec une hausse de 1 150 € (voir tarifs ci-dessous pour la version 3 portes et version 5 portes) quelle que soit la version.
Nous vous la présentions le 7 juin dernier, une véritable révolution dans la gamme Mini qui passait alors en 5 portes. Celle que l’ingénieur Alec Issigonis (concepteur de la première Mini Morris) avait voulue petite, peu chère et capable d’emporter 4 personnes devient une vraie berline frôlant les 4 mètres en longueur.
Plus longue, avec 2 portes supplémentaires, il fallait bien se douter que le prix lui aussi, serait rallongé. 575 € la porte voilà ce qu’il vous en coûtera si vous optez pour ce nouveau modèle. Nous vous détaillons ci-dessous les nouveaux tarifs de la plus allemande des petites « british » :
Cooper S 5 portes : Bloc essence 4 cylindres Mini Twin Power/turbo – 1998 cm3 – 192 chevaux – 280 Nm de couple – 0 à 100 km/h : 6.9s- vitesse maximale : 232 km/h- consommation : 5.9l/100 km- CO2 : 136 à 139 gr/km parcouru.
Version 3 portes : 24 750 € Version 5 portes : 25 900 €
Cooper 5 portes : Bloc essence 3 cylindres Mini Twin Power/turbo– 1499 cm3 – 136 chevaux – 220 Nm de couple- 0 à 100 km/ : 8.2s – vitesse maximale : 207 km/h. Consommation : 4.7l/100 km- CO2 : 109 à 111 gr/km parcouru.
Version 3 portes : 19 950 € Version 5 portes : 21 100 €
Cooper SD 5 portes : Bloc 4 cylindres diesel Mini Twin Power/turbo – 1995 cm3 – 170 chevaux – 360 Nm de couple – 0 à 100 km/h : 7.4s – vitesse maximale : 225 km/h. Consommation : 4.1l au 100 km- rejet CO2 : 109/102 gr/km parcouru.
Version 3 portes : 26 150 € Version 5 portes : 27 300 €
Cooper D 5 portes : Bloc 3 cylindres diesel/ Twin Power/turbo -1496 cm3 – 116 chevaux – 270 Nm de couple – 0 à 100 km/h : 9.4s – vitesse maximale : 203 km/h – Consommation : 3.6l/100 km- Rejet CO2 : 95 à 97 gr/km parcouru.
Version 3 portes : 21 600 € Version 5 portes : 22 750 €
Voilà trente ans que la griffe « GTi » est apparue chez Peugeot avec 205 GTi. Pour fêter dignement cet anniversaire, le lion a levé le voile sur la nouvelle 208 GTi 30th à l’occasion du Festival de Goodwood qui se déroule en Angleterre.
Le reproche qui est régulièrement fait à la Peugeot 208 GTi (voir notre essai) est d’avoir une allure trop sage se différenciant pas assez des 208 moins puissantes. Avec cette version 30ème anniversaire, la critique n’est plus possible, puisque la marque sochalienne a sérieusement virilisé son modèle ! Jugez plutôt…
La Peugeot 208 GTi à l’allure timide, c’est terminé ! Cette 208 GTi 30th a maintenant une vraie gueule !
Dans le détail, on note une peinture bicolore avec les trois-quarts de la voiture en noir mat et la partie arrière en rouge faisant penser à la 308 R. Les chromes présents jusqu’alors sur la calandre, le cerclage des antibrouillards, la ligne de caisse, les coques de rétroviseurs, … disparaissent. Les jantes 17 pouces cèdent leur place à de nouvelles roues inédites de 18 pouces accueillant des étriers de frein rouges. A l’arrière, la sortie d’échappement troque sa forme trapézoïdale pour deux classiques tubes circulaires collant mieux avec l’esprit davantage dévergondé de la lionne. On espère qu’au passage la sonorité sera plus réussie.
Pour ceux que cette teinte rebuterait, les Blanc Perle Nacré et Rouge Ruby seront également disponibles
Malheureusement, du côté de l’habitacle, pour le moment encore aucune image n’est disponible. On sait simplement que des baquets en alcantara avec surpiqûres rouges seront de la partie et qu’une plaque numérotée sera apposée sur le ciel de toit. Reste à savoir si Peugeot fera le même coup que Citroën avec la DS3 Racing (voir notre essai) qui devait elle-aussi être vendue à un nombre limité d’exemplaires…
La bonne surprise, c’est que les changements ne se limitent pas à la carrosserie. En effet, les équipes de Peugeot Sport se sont attardées sur la 208 GTi 30th pour la rendre encore plus efficace. Pour cela, la préparation du châssis a été améliorée avec notamment une assiette diminuée de 10 mm, des voies élargies de 22 mm à l’avant et de 16 mm à l’arrière (soit respectivement 1 502 mm et 1 503 mm) et une géométrie des trains redéfinie. Des pneus Michelin Pilot Super Sport en 205/40 ZR 18 seront montés sur les jantes plus larges de 0,5 pouce.
Le tempérament du correcteur de trajectoire (ESP) a été revu, tandis que les freins à disque avant de 302 mm cèdent leurs étriers à mono piston flottant pour des disques de 323 mm de diamètre et 28 mm d’épaisseur avec étriers Brembo fixes à quatre pistons. La suspension et la direction ont été modifiés. De quoi faire monter la température des gommes plus rapidement et accroître les sensations à son volant !
En sus de ces réglages et améliorations, la 208 30th gagne un moteur avec quelques chevaux supplémentaires et du couple !… Les ingénieurs se sont « amusés » à atteindre les 208 ch du 1,6 l THP (contre 200 ch auparavant) en référence au patronyme de la sportive. Le couple moteur progresse de 275 Nm à 300 Nm, soit un gain de 25 Nm. Ce moteur turbo essence en profite également pour passer à la norme anti-pollution Euro VI et adopter un stop & start, ce qui lui permet de ne rejeter plus que 125 g de CO2/km au lieu de 139 g à l’origine. Le malus écologique passe donc de 150 à 0 euros.
Grâce à un différentiel à glissement limité Torsen et à une boîte manuelle à 6 rapports à l’étagement spécifique tous deux partagés avec le coupé RCZ R (voir notre essai), la virulente 208 GTi 30th passe le 0 à 100 km/h en seulement 6,5 s (– 0,3 s) et le 1 000 m départ arrêté en 26,5 s (– 0,4 s). De quoi donner des idées à sa rivale la Renault Clio RS (voir notre essai) pour l’instant à 200 ch, à moins qu’une version Gordini soit prévue…
Pour contempler la Française, il faudra patienter jusqu’au Mondial de Paris se tenant du 4 au 19 octobre. La Peugeot 208 GTi de 208 chevaux n’a pas encore communiqué son prix – une inflation de 3 000 à 4 000 € est plausible, soit 28 000 à 29 000 € –, mais sa date de sortie sera fixée pour le courant du mois de novembre prochain.
Alors que PSA a sorti avec succès son 1.2 e-THP 130 sur ses 308 (voir notre essai) et C4, l’initiateur du trois-cylindres optimisé Ford a sans nul doute été vexé et prend sa revanche…
Ainsi, son très médiatisé moteur EcoBoost – à juste titre, tellement le moteur était innovant et éblouissant, titulaire de nombreux prix et records – gagne quelques chevaux sous le capot de la citadine Fiesta. Idéal pour combler le fossé existant entre le 1.0 EcoBoost 125 et le 1.6 de 180 ch du même nom de la Fiesta ST (voir notre essai). Ford se vante alors de présenter une puissance au litre supérieure à la Bugatti Veyron et la Ferrari 458 Spéciale, bien qu’une Peugeot RCZ-R (voir notre essai) fasse mieux notamment. Ce nouveau moteur de 1.0 EcoBoost 140 ch permet alors à la Fiesta d’atteindre les 100 km/h en 9.0 secondes, pour une vitesse de pointe de 201 km/h, une consommation mixte de 4.5 l/100 km et de 104 g de CO2.
Ce nouveau moteur de pointe intègre la gamme Fiesta trois portes sous deux nouvelles finitions Red et Black Edition. Elles se caractérisent par une grille de calandre en nid d’abeille, un bouclier avant plus dynamique ; ces deux éléments étant contrastés en rouge sur la Black Edition et inversement pour la Red Edition. Idem pour les rétroviseurs et le toit de l’auto. Le bouclier arrière se veut aussi plus sportif et s’accompagne d’un spoiler.
A l’intérieur, volant et levier de vitesses s’habillent de cuir noir et de surpiqûres rouges, tandis que la Fiesta adopte des sièges sport noirs associés également de surpiqures rouges.
Une fois n’est pas coutume, ces Fiesta généreusement motorisées se dotent d’une suspension raffermie, d’un étagement de boite plus court et d’une direction plus ferme.
Le tarif devrait tourner autour de 19 000€. Les commandes seront ouvertes cet été pour une commercialisation au mois de septembre 2014.
La rumeur de l’arrivée d’une version RS pour le Renault Captur avait déjà surgi il y a un peu plus d’un an. Le site internet CarAdvice présent lors du dévoilement du nouveau chrono de la Megane RS 275 Trophy-R sur le Nürburgring est allé à la pêche aux informations à ce sujet…
Le succès du Captur ne faiblissant pas, chez Renault on réfléchit depuis maintenant quelques temps à élargir la gamme du petit crossover. Une des façon d’y arriver, ce serait d’y ajouter une version RS. Regis Fricotte, directeur commercial de Renault Sport, explique : « Nous étudions tout ce qui est possible d’étudier, nous veillons à ce que:. 1. ce soit possible; . 2 ce soit économiquement viable; 3. ce soit en ligne avec l’expertise de Renault Sport ».
Et c’est bien ce troisième point qui fait hésiter la marque au losange. En effet, comment positionner un Captur RS par rapport à la gamme RS actuelle composée de la Clio RS et de la Megane RS (voir notre essai) ? Ce Captur musclé doit-il être capable de faire tomber les chronos sur circuit, de crapahuter sur des sentiers en terre battue, de conserver un certain confort ?
Si le Captur RS est commercialisé, il y a de très fortes chances que ce soit le 1,6 l turbo déjà présent sous le capot de la Clio RS (voir notre essai) qui soit utilisé. Bien que Nissan le propose en 200 ch avec son Juke Nismo, il se pourrait que Renault choisisse de le dégonfler légèrement (170 – 180 ch), afin de ne pas le positionner frontalement à la Clio RS qui sera toujours meilleure qu’un Captur à motorisation identique grâce à son centre de gravité situé plus bas entre autres. La boîte automatique à double embrayage EDC serait de la partie.
M. Fricotte en profite pour rappeler que l’objectif de Renault Sport n’est pas de mettre gros moteur comme le font BMW M et Mercedes AMG, c’est d’abord le meilleur compromis entre le châssis et la mécanique.
Il est encore tôt pour s’avancer sur ce domaine, mais si l’on part dans l’optique d’un Captur RS (ou peut-être baptisé plus raisonnablement « GT » ?) avec 170 ch, le tarif de base pourrait se situer aux alentours de 23 000 €.
A suivre…
Déjà surprise par le passé, la prochaine génération de l’Audi Q7 – le plus imposant des SUV aux anneaux – a été à nouveau photographiée en test. Si le camouflage est toujours présent, ces nouveaux clichés en provenance de nos photographes espions permettent tout de même d’en savoir plus…
En effet, alors que jusqu’à présent il s’affichait avec une calandre qui n’était pas définitive, ce prototype en arbore une qui est déjà plus proche de ce que l’on retrouvera en série. Globalement, on aperçoit que les formes sont moins arrondies et que l’allure générale devient plus élégante, moins pataude, grâce notamment à des arches de toit qui semblent plus fines.
Le Q7 de 2ème génération tentera d’apparaître comme moins pataud visuellement et de moins donner cette impression d’être rallongé exagérément
Des optiques avant et arrière compartimentées et une double sortie d’échappement gauche/droite font leur entrée, à l’image de ce que l’on a vu sur les dernières A7 et A8 restylées. Il très fortement probablement que la technologie Matrix LED soit de la partie.
Malheureusement, ces spyshots ne montrent pas, pour l’instant, le nouvel habitacle que nous réserve Audi…
Les évolutions ne concernent pas uniquement l’aspect visuel, puisque la plateforme (MLB) sera en aluminium et permettra de gagner tout de même 300 kg sur la balance ! Une cure d’amaigrissement qui n’est pas sans rappeler celle du rival « british », le Range Rover IV.
Les motorisations diesel comme essence en profiteront pour gagner des chevaux supplémentaires et être plus économes en carburant. Le nouveau V6 TDI passera à 218 ch contre 204 ch actuellement et la version à 245 ch grimpera à 272 ch pour un couple moteur de 600 Nm. Quant au 3,0 l TFSI, sa puissance sera portée à 333 ch au lieu de 310 ch. A noter qu’une version hybride rechargeable est également en développement !
Côté transmission, le Q7 II proposera une boîte de vitesse automatique Tiptronic à sept rapports combinée à quatre motrices, système appelé « quattro » chez le constructeur germanique.
Enfin, pour découvrir de plus près le prochain Audi Q7, il faudra patienter encore un peu, sa commercialisation étant attendue pour début 2015. Une présentation au Mondial de Paris 2014 semble prévue. Son prix de vente devrait débuter aux alentours des 58 000 €.
Crédit : CarPix pour Abcmoteur
Lotus vient de présenter l’Exige LF1. Cette série spéciale rend hommage au passé victorieux de la marque britannique en Formule 1 en commercialisant autant de d’exemplaires qu’il y a eu de victoires en monoplace pour ceux dont l’adage est « Light is right ». Ces quarante dernières années, cela fait donc précisément 81 Grand Prix remportés.
Basée sur une Exige S, cette édition très limitée reprend les codes couleur déjà vus sur les « barquettes » du constructeur, à savoir le noir, (pour la majorité de la carrosserie), le rouge (pour quelques éléments comme la lame avant) et le doré (pour les jantes notamment).
L’habitacle n’est pas non plus oublié, puisqu’on y trouve une sellerie spécifique mêlant tissu et cuir, des logos sur les sièges baquets et tapis de sol inédits, ainsi qu’une plaque numérotée en fibre de carbone… En option, des sièges chauffants et l’aide au stationnement sont disponibles, « shocking! » (« choquant ! » dans notre langue) diront les Anglais, et ils ont raison !
Les jantes avant sont en 17 pouces et les jantes arrière en 18 pouces. Elles sont chaussées de pneus Pirelli P Zero Trofeo
Sous le capot arrière, on trouve toujours le V6 3,5 l d’origine Toyota développant 350 ch et 400 Nm de couple grâce à son compresseur. Il permet de mouvoir les 1 176 kg du bolide en 4 secondes pour le 0 à 100 km/h. Un boîte manuelle avec pommeau en alu est bien entendu toujours de la partie, tandis que le pack Race (suspension revue, trois modes de conduite dont « Race », …) et la climatisation sont de série.
Exposée lors des 24 Heures du Mans, la Lotus Exige LF1 est vendue au prix de 79 000 € (malus de 8 000 € offert par la marque !). Les commandes sont déjà ouvertes et les premières livraisons interviendront dès cet été.
Par ailleurs, chaque acheteur aura le droit à une visite pour deux aux QG de Lotus Cars et Lotus F1, mais aussi une reproduction à l’échelle 1/2 du casque du pilote tricolore Romain Grosjean ou encore des tarifs avantageux sur certaines produits dérivés de la firme anglaise.
Début 2014, Chevrolet présente au salon de Détroit sa toute nouvelle Corvette Stingray. Son nom : Z06. Une puissance annoncée dès lors à 639 chevaux, soit 173 équidés de plus comparé à l’ancienne version. C’était faire sans la démesure américaine vu que les ingénieurs de Chevrolet ont tout compte fait décidé de booster la bête à 659 chevaux dans sa version définitive, pour un couple phénoménal de 880 Nm.
La Corvette Z06 deviendra par conséquent la sportive de série disposant du plus gros couple au monde, devant la Dodge Viper SRT et son 814 Nm pour 640 chevaux. Beaucoup se seraient satisfaits des 639 chevaux initiaux, mais au pays de l’Oncle Sam et des verres de Coca à 1 litre, la démesure apparaît comme quelque chose de normal.
Cette puissance phénoménale est délivrée par le bloc LT4-V8 de 6.2 litres à compresseur. De quoi arracher la gomme des pneus, griller de la plaquette et du disque en un rien de temps, il faudra y penser dans votre budget d’achat (nous vous conseillons de prendre le « Performance Package » qui inclut les freins carbone).
Ces nouveaux chiffres placent cette Z06 en tête de la gamme, devant la diabolique ZR1 qui affiche désormais 12 cv de moins et 62 Nm de couple en dessous ! Un comble… Le 0 à 100 km/h ? Une formalité réglée en 3 secondes, de quoi jouer dans la cour des grandes en se positionnant face aux 640 chevaux de la Viper SRT, les 610 équidés de la Lamborghini Huracan, les 650 cv distillés par la Maclaren 650-S ou les 630 cv de la Mercedes SLS AMG.
La Z06 est équipée d’une boîte automatique à 8 rapports, avec palettes au volant. 5 embrayages, pas moins que ça ! Les ingénieurs de Chevrolet annoncent même un passage de rapports plus rapide que sur la boîte PDK de la Porsche 911 ! Une ligne plus fluide, plus aérodynamique, un différentiel à glissement limité, contrôle de trajectoire, launch-control et pour arrêter ce monstre ; des freins Brembo avec disques de 371 mm à l’avant et étriers à 6 pistons, et 365 mm pour l’arrière, avec des étriers 4 pistons.
Pour la monte pneumatique, là aussi on a vu grand chez Chevrolet puisque l’avant est équipé de pneus taille 285/20/19 et l’arrière en 335/25/20. Le prix définitif n’a pas encore été communiqué, mais il devrait avoisiner les 100 000€.
Lors de l’édition 2013 du Salon de Genève, nous avions assisté à un événement rare : la présentation simultanée de deux hypercars. D’un côté, on avait la Ferrari LaFerrari, qui prenait la relève de l’Enzo, née en 2002. De l’autre, on trouvait la McLaren P1, qui donnait enfin une descendance à la mythique F1, produite entre 1992 et 1998. L’édition 2015 du show Suisse pourrait être le théâtre d’un nouvel affrontement au sommet avec la présentation des déclinaisons « circuit » de ces deux bêtes.
Le communiqué publié par McLaren pour dévoiler le nom « P1 GTR » était accompagné de ce petit croquis.
S’il ne fait aucun doute que la firme au cheval cabré prépare une telle version de la LaFerrari, le projet n’a pas encore été confirmé publiquement. Tout le contraire de ce qui se passe chez les Anglais. McLaren avait déjà annoncé il y a quelques jours l’arrivée d’une P1 « Track » lors de la présentation de ses résultats 2013. Il est allé plus loin avec la révélation des premières informations officielles.
Pour commencer, McLaren a donné le nom de l’engin. Ce sera P1 GTR. Et ces trois nouvelles lettres n’ont pas été choisies au hasard. Elles ont été utilisées par les versions compétitions de la F1 dans les années 1990. La F1 GTR avait gagné les 24 Heures du Mans en 1995. 20 ans plus tard, le clin d’oeil était inévitable.
La P1 GTR sera produite en série très limitée. Pour l’instant, le nombre d’exemplaires prévus n’a pas été donné par McLaren, mais il sera faible. La marque précise déjà que ce sera son modèle le plus rare sur le marché. La fabrication commencera lorsque le 375ème et dernier exemplaire de la version de route sera produit. La GTR sera réservée à un strict usage sur circuit. Elle n’aura donc pas besoin de se conformer aux législations relatives à la circulation sur route ouverte.
McLaren annonce la couleur : la GTR sera « conçue et développée comme la meilleure voiture du monde adaptée pour le mode Race, ce qui lui permettra d’atteindre des niveaux encore plus élevés de performance, de tenue de route et d’adhérence ». Les informations techniques sont encore rares mais McLaren donne la plus importante : la valeur de puissance. Ce sera 1000 ch ! La version route annonce 916 ch, en utilisant un V8 biturbo de 739 ch et un KERS. La GTR adoptera des pneus slicks, un essieu élargi et un style plus agressif.
Autre information confirmée : le prix. Il est de 1,98 million de livres sterling, soit près de 2,5 millions d’euros. La GTR sera réservée à ceux qui ont déjà une P1 classique. McLaren indique d’ailleurs que c’est suite à de nombreuses demandes de propriétaires de P1 qu’il s’est décidé à faire cette version course. Le constructeur britannique fera profiter aux heureux acquéreurs de cette bête d’un programme sur mesure pour devenir un vrai pilote. Il comprendra des formations de remise en forme, l’accès aux simulateurs de course de McLaren et la participation à au moins six événements internationaux de conduite dédiés sur les plus célèbres circuits de Formule 1 de la planète.
En ce moment, Mercedes est sur tous les fronts et c’est peu dire. Après la Classe C, la Classe C Break, les versions hybride et hybride rechargeable, ainsi qu’une Classe C Cabrio, la marque à l’étoile peaufine le haut du panier de ses motorisations comme en témoignent les dernières photos espions de nos photographes.
Dernièrement, c’est une C 450 AMG Sport Estate 4Matic qui a été surprise en test sans aucun camouflage. Le break allemand reçoit un kit carrosserie agressif (boucliers, jupes latérales, diffuseur, …), une calandre plus sportive, des coques de rétroviseur noires et quatre sorties d’échappement.
Avec la C 450 AMG Sport Break, Mercedes vient se positionner en face l’Audi S4 Avant tirant 333 ch de son V6 3,0 l TFSI essence compressé, mais également des BMW Série 3 335i (306 à 320 ch en M Performance) et future Jaguar XE-S (335 ch).
Ici, le déménageur pressé étoilé réutilisera le V6 3,0 l biturbo de la C 400 (333 ch), mais pour l’occasion la puissance sera portée à 367 ch pour environ 550 Nm de couple. Elle se situera donc en-dessous de la prochaine C 63 AMG disposant d’un V8 de 480 ch… Comme ses concurrentes, elle proposera la transmission intégrale et une boîte automatique.
La date de sortie de la Mercedes C 450 AMG Sport Break n’est pas encore connue, mais elle interviendrait à la mi-2015, tandis que pour en profiter en 4×4, il faudra patienter jusqu’à la fin de cette même année.
Son prix de vente est estimé aux alentours des 65 000 €. A réserver aux familles fortunées !…
A suivre…
Crédit : CarPix pour Abcmoteur
Au début du mois de mai dernier, Audi présentait fièrement son R8 LMX avec feux laser tout en se targuant de commercialiser la première auto dotée de cette technologie. Toutefois, c’était oublier que BMW était aussi sur le coup avec son i8…
Depuis quelques temps déjà, les deux constructeurs germaniques se livrent un petite « guéguerre » afin d’être LE premier à mettre sur le marché une voiture équipée de feux laser. La marque aux quatre anneaux ne voulait pas se faire supplanter par son concurrent alors que l’éclairage a toujours été au centre de ses préoccupations. Depuis le 5 juin dernier, le match a été remporté par la firme bavaroise qui a livré huit exemplaire de l’i8 – équipées de projecteurs au laser, alors qu’ils devaient arriver plus tardivement – lors d’une soirée exclusive à Munich en présence de deux personnalités allemandes (le présentateur Thomas Gottschalk et l’acteur Thomas Kretschmann).
Pour rappel, le bolide est hybride avec un moteur thermique trois-cylindres 1,5 l de 231 ch et un bloc électrique permettant d’atteindre un total de 362 ch pour une consommation moyenne de carburant théorique s’élevant à 2,1 l/100 km. Le 0 à 100 km/h est effectué en 4,4 s et son prix de vente est fixé à 140 000 €.
Sorti en 2008, le coupé X6 au look improbable avait défrayé la chronique par son design totalement nouveau. Mi 4X4-mi coupé il en avait l’agilité et le dynamisme. Pour 2014, le SUV à l’hélice s’offre un remaniement, le premier de son lancement. Pleins phares sur un modèle qui au début dérangeait, et est devenu un succès commercial, avec plus de 250 000 exemplaires produits à ce jour.
Ce nouvel opus seconde génération conserve la ligne générale qui a contribué à son succès. Le pavillon fuyant est toujours là, ainsi que le dessin des vitres latérales qui remontent vers l’arrière. La nouvelle face avant a été empruntée au nouveau X5, ainsi que les phares étirés. Les motorisations sont conservées, mais gagnent légèrement en puissance tout en optimisant leur consommation.
Blocs 6 cylindres et V8 répondent toujours présents à l’appel :
moteur Diesel 6 cyl. De 381 chevaux.
moteur Diesel 6 cyl de 258 chevaux.
moteur essence V8 de 450 chevaux.
S’inspirant du nouveau X5, mais également du tout nouveau X4, le nouveau X6 dispose d’un profil encore plus dynamique. Monté sur des jantes dont la première taille débute à 19 pouces, son prix d’attaque se situera à 70 900 €. Il aura par conséquent à batailler avec le X4 qui lui se négocie à un prix plus attractif à 49 800 €, et un look tout aussi imposant, et original.
Le nouveau X6 sera décliné en version M, et pourra être doté du pack M également. Une version hybride devrait également voir le jour, avec une batterie rechargeable sur une prise classique.
Le X6 2014 sera commercialisé à partir de décembre 2014, pour un tarif qui devrait aller de 70 900 € à 98 900 €.
Après la déferlante de petites GTI (Renault Clio RS, Peugeot 208 GTI, Ford Fiesta ST, Mini Cooper S, …), c’est au tour de versions encore un peu plus musclées de faire leur venue. Audi a ouvert la voie avec une S1 de 230 ch et Mini est en train de développer la John Cooper Works qui ira se positionner de manière frontale face à l’Allemande. Voici les premiers clichés espions de nos photographes de la petite – enfin de moins en moins ! – anglaise…
A l’image de sa prédécesseur et comme l’annonçait le concept-car du salon de Detroit en fin d’année dernière, quand la Cooper S se mue en JCW, cela se voit ! Malheureusement, sur ces spyshots la voiture de développement n’arbore encore que le bouclier avant de la future JCW, le reste du kit carrosserie n’ayant pas encore été posé.
Néanmoins, on peut déjà remarquer les jantes spécifiques avec étriers de frein John Cooper Works et l’assiette de la voiture abaissée. Espérons que les trains roulants ne seront pas identiques à la Cooper S afin de ne pas détériorer la motricité, un problème auquel était confronté sa devancière.
Sous le capot de la Mini JCW, on trouvera le moteur B48 2,0 l TwinPower Turbo, soit le même bloc qui viendra équiper la BMW Série 2 Active Tourer 225i ! D’une puissance de 231 ch pour 350 Nm de couple, il se pourrait que les équipes de la marque britannique ajoute un overboost pour offrir un peu plus de puissance sur un court instant.
Le 0 à 100 km/h devrait être effectué en 6,2 s environ par la petite bombinette, tandis que la Vmax devrait tourner autour des 240 km/h. Le tout, toujours en traction avant et avec une boîte manuelle à 6 rapports.
La commercialisation de la Mini John Cooper Works devrait intervenir en 2015 et son prix progressera légèrement à 32 000 € ou légèrement plus.
A suivre…
Crédit : Carpix pour Abcmoteur
L’histoire liant la marque Skoda à la principauté monégasque continue, avec la sortie le 1er juin dernier de la Skoda Yeti « Monte-Carlo ». Après l’édition « Tour de France », le fabricant tchèque livre ici un modèle un peu plus sportif dans le look.
45% des ventes de Fabia en 2013 étaient des séries « Monte-Carlo ». Fort de ce succès, la marque continue sur sa lancée en proposant aujourd’hui une version « monégasque » de son Yeti. Une Citigo griffée de la principauté est également prévue, ainsi qu’une version spéciale de la Rapid Spaceback.
Particularité récurrente ; la teinte bicolore. Le Yeti s’enrobe donc de rouge et noir, et reçoit un équipement spécifique à ce modèle : une grille de radiateur spécifique noire laquée, un spoiler avant noir, des jantes en alliage noires de 17 pouces, des vitres sur teintées, un toit et des barres de toit noirs, ainsi qu’un diffuseur de la même couleur.
Pour l’intérieur, l’ambiance devient elle aussi sportive avec des seuils de porte griffés Monte Carlo, des pédales Sport en aluminium, une sellerie spéciale gris/rouge/noir, un volant sport en cuir à double surpiqûre rouge, un levier de vitesses du même type, un frein de main assorti, avec des surpiqûres qui apparaissent également sur les tapis de sol.
La finition est l’équivalent de la version « Ambition », à équipement égal. La voiture est disponible en 5 motorisations ; 2 blocs essence 1.2 TSI 105 chevaux et 1.4 TSI 122 chevaux, et 3 blocs Diesel 2.0l TDI 110 chevaux ou 140 et 170 chevaux. La « Monte Carlo » se négocie 1 200€ de plus que la Yeti classique en finition « Ambition ».
Les prix de la version monégasque s’échelonnent de 23 000€ pour le 1.2 TSI 105 chevaux, à 32 960€ pour le 2.0 TDI 170 chevaux en version 4X4, équipé de la boîte automatique Volkswagen DSG6. Un Yeti qui monte sur le rocher pour l’arrivée de l’été.
La nouvelle Renault Megane RS 275 Trophy continue de présenter ses nouveaux équipements. Après la ligne d’échappement Akrapovic en titane et les suspensions Ohlins, c’est au tour des pneus Michelin de faire partie d’une courte vidéo retraçant la conception de ces enveloppes développées spécifiquement pour ce modèle.
On peut donc découvrir ici les « coulisses » qui ont permis de mettre au point les Michelin Pilot Sport Cup 2 tout spécialement pour la Megane 3 RS Trophy. Cela va du dessin par ordinateur, à la fabrication en passant par différents tests dont certains sur circuit d’essai avec revêtement sec ou mouillé.
Au passage, Renault Sport n’oublie pas de nous gratifier de quelques jolies glissades…
Toute cette préparation n’est pas réalisée uniquement pour rendre plus performante la Megane RS, c’est aussi pour aller reconquérir un titre perdu il y a peu. En effet, avec ces différentes améliorations, dont 10 chevaux supplémentaires (soit un total de 275 ch pour le 2,0 l turbo, contre 265 pour la version standard, mais toujours 360 Nm de couple), la sportive au losange veut redevenir la traction la plus rapide sur le tracé du Nürburgring. Le verdict tombera dans moins de dix jours…
Pour cela, elle devra faire mieux que la Seat Leon Cupra qui lui a mis 10 secondes dans la vue !
Les commandes pour cette série limitée de la Megane RS sont ouvertes depuis le 3 juin au prix de 38 000 € (+ 2 200 € de malus) tout en sachant que Michelin Pilot Sport Cup 2 sont en option.
Seat devrait bientôt commercialiser la Leon Cupra Performance Pack, auteur du fameux record sur le Ring’ en passe d’être battu…
Révélées lors du Salon de Genève en mars dernier, les nouvelles petites citadines de PSA et Toyota vont arriver en même temps dans les concessions, d’ici quelques jours. Si les Citroën C1 et Peugeot 108 ont dévoilé leur grille de tarifs il y a plusieurs semaines (voire mois maintenant), l’Aygo a attendu le dernier moment pour faire connaître ses prix.
Alors que les autos de PSA sont proposées avec deux blocs, la japonaise se contente d’un seul moteur, essence bien évidemment (les puces gazolées sont à oublier avec la mise en place de la norme anti-pollution Euro 6). Il s’agit d’un trois cylindres 1.0 VVT-i de 69 ch, qui développe un couple maxi de 95 Nm à 4.300 tr/min. Il est associé à une boîte manuelle à 5 vitesses. La consommation en cycle mixte est de 3,8 litres aux 100 km. Avec des rejets de 88 g/km, l’auto bénéficie d’un bonus de 150 euros. Une boîte de vitesses robotisée avec palettes au volant est présente dans la liste des options (700 euros et 0 euro de bonus avec 97 g/km de C02).
L’Aygo est proposée en 3 et 5 portes et avec deux finitions, plus deux séries spéciales permanentes, qui sont uniquement disponibles avec la carrosserie 5 portes. Les noms des versions tournent autour du « X », en référence à la croix qui barre toute la face avant. Le modèle d’accès s’intitule ainsi tout simplement « x ». De série, il est équipé de six airbags (frontaux, latéraux, rideaux), de l’aide au démarrage en côte, de la direction assistée, du Stop and Start, de la surveillance de la pression des pneus, des feux de jour à LED et du volant réglable en hauteur.
Au-dessus, la finition « x-play » ajoute le limiteur de vitesse, les rétroviseurs extérieurs électriques et dégivrants, la climatisation manuelle, le compte-tours, les dossiers de banquette arrière rabattables 50/50, les vitres avant électriques, le siège conducteur réglable en hauteur, le verrouillage centralisé par télécommande et l’autoradio Bluetooth avec connectivités USB/AUX.
Les séries spéciales « x-cite » et « x-clusiv » se veulent haut de gamme. Elles intègrent de série la peinture métallisée, les jantes alliage 15 pouces, les antibrouillards, la caméra de recul et le système multimédia avec écran couleur tactile 7 pouces. La « x-clusiv » a même le droit à l’accès et démarrage mains libres et à l’allumage automatique des phares.
Avec le 1.0 VVT-i, en 5 portes (- 400 euros pour la 3 portes) :
x : 10.900 euros
x-play : 12.400 euros
x-cite : 13.500 euros
x-clusiv : 15.000 euros