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La date précise de commercialisation qui oscille entre 2014 et 2015 pour le prochain ludospace Renault n’est pas encore connue, mais déjà un bon nombre d’éléments semblent attendus. Voici un premier tour d’horizon pour le futur Kango 3.
Le futur Renault Kangoo III s’éloigne encore un peu plus de la fourgonette pour une face avant plus valorisante
Le point le plus marquant lors de sa sortie, ce sera sans doute son design. Alors que la deuxième génération avait déjà fait entrer des codes stylistiques bien plus avenants, le prochain modèle, qui gardera une base technique similaire avec le Scenic comme plateforme, va encore aller plus loin. Le concept-car Frendzy présenté en 2011 en est une bonne illustration.
Comme écrit plus haut, le Renault Kangoo III conservera sa plateforme de Scenic et aussi ses dimensions, tout au moins pour sa longueur : 4,22 mètres. Son défi sera d’être encore plus accueillant pour ses passagers tout en contenant ou en diminuant son poids sur la balance (descendra-t-il en-dessous de la tonne ?) pour satisfaire les normes de pollution européennes et évitant autant que possible le malus écologique. Un amélioration de la consommation qui pourrait également passer par une meilleure aérodynamique et peut-être donc une légère diminution de la hauteur de toit…
Pour l’offre moteur, les diesel devraient s’échelonner de 75 à 110 ch tandis que la gamme essence (qui accueillera le trois-cylindres) ira de 90 à 115 ch. Certaines motorisations bénéficieront du stop & start. Pour ce qui concerne la version électrique (Z.E.), la commercialisation devrait avoir lieu une à deux années plus tard.
Pas forcément faciles à positionner, les tarifs du futur Kangoo seront cruciaux. En effet, avec la marque Dacia qui propose un ludospace à prix cassé sous la barre des 10 000 € (le Dokker), celui du losange se doit de proposer mieux pour se différencier et justifier le chèque, mais sans exploser le budget ! Un prix d’entrée à 14 000 – 15 000 € semble raisonnable.
A suivre…
Sur l’un de ses deux sites industriels de Valladolid en Espagne, Renault a présenté son tout nouveau concept-car, la Twizy RS F1 (concept).
Une véritable bombinette électrique !
La Twizy RS F1, qui a été développée conjointement par Renault Sport et par la division de la Formule 1, montre l’adaptation de la technologie sportive la plus récente pour un véhicule électrique de série puisque la Twizy modifiée est une Twizy 80.
Et le résultat est une combinaison étonnante d’un petit véhicule équipé de pneus slicks, d’un aileron avant ainsi qu’un spoiler arrière enveloppant l’arrière de la voiture le tout en carbone, d’un diffuseur arrière, de rétroviseurs de véritable monoplace, d’un véritable feux arrière de pluie clignotant et du système KERS.
Ce système est identique a la F1, possède sa propre batterie, et couplé au moteur électrique développé par Renault, celui ci multiplie par 6 la puissance d’origine, la voiture a donc une valeur proche de 100 chevaux pendant 13 secondes. Ainsi la Twizy RS F1 accélère de 0 à 100km/h en même temps qu’un Mégane RS soit 6 secondes avec un vitesse bridée électriquement a 110km/h avec un rapport poids/puissance de 5,8 kg/ch.
Ce Twizy unique se dote également du système RS Monitor vu sur les Megane RS et Clio RS afin d’enregistrer les performances en temps réel.
A l’intérieur, le siège arrière de la Twizy cède sa place au KERS, visible dans une zone qui a été traitée d’une manière transparente. Pour rappel, ce système est en mesure de récupérer une partie de l’énergie cinétique générée par le freinage et plutôt que de disperser sous forme de chaleur dans les freins, l’énergie n’est pas perdue, et peut être stocké pour la propulsion du véhicule, comme en Formule 1.
Renault semble d’humeur joueuse ces temps-ci. Après une Twin’Run driftant dans les rues de Madrid, voila une Twizy transformée en mini-F1.
Renault Sport a publié une vidéo amusante de promotion avec une Renault Mégane Trophy. Voiture de course du constructeur français, qui est habituellement repérée sur la piste, a cette fois pris le rôle d’un taxi, juste à l’extérieur d’une concession automobile Renault dans le centre de Paris. Les passants ont été étonnés de voir la Renault Mégane Trophy arrivant sur ??les lieux où les gens ont appelé un taxi pour réellement les ramasser, au lieu d’un taxi standard.
La nouvelle Renault Mégane offre de nouvelles fonctionnalités en contenus techniques et technologiques, en plus de quelques mises à jour mécaniques qui ont amélioré l’efficacité et plaisir de conduite des plus célèbres françaises cependant, la Renault Mégane Trophy de course est une version ultra allégée du modèle à trois portes propulsé par un moteur V6 de 3,5 litres qui produit jusqu’à 400 chevaux et 422 Nm, qui fournit également les meilleures performances.
La version routière la plus proche du Renault Mégane Trophy est la sportive Renault Megane RS. Elle, est propulsée par un 2,0-litres bi-turbo développant 265 chevaux qui garantit des performances d’un haut niveau.
Après avoir été aperçue sur de multiples photos volées, la Renault R-5 Concept ou Twin Run se fait remarquer dans les rues de Madrid, en Espagne ! Et il faut dire que la petite bombinette ne fait vraiment pas dans la discrétion !
Les deux vidéos ci-dessous vous ôteront tout doute à ce sujet-là… :
Selon vous : échappement libre, ligne inox ?
La Renault 5 est dans tous les esprits des Français, et pourtant Renault tardait à présenter une Cinq revisitée ! Quand on voit le succès des Citroën DS3 et Mini, le constructeur ne pouvait pas passer à côté de ce marché du néo-rétro !
Le teasing du concept Renault & Ross Lovegrove ne laissait transparaître que très peu d’informations…
Enfin, le 20 mars dernier, la marque se décidait à communiquer sur le sujet avec un teasing sur un concept nommé Ross Lovegrove prévu pour une présentation à Milan le 8 avril prochain. Rien n’indiquant encore avec certitude que ce serait la future Super 5 ou R5 bien que de sérieux doutes vont dans cette direction.
Seulement, il y a peu un concept Renault a été vu en Espagne et plus précisément aux environs de Madrid (ce serait un coup de communication orchestré). C’est le site km77.com qui publie une série de clichés nous dévoilant ce qu’ils appellent la R-5 Concept ou TwinRun dont voici les détails !
D’après les rumeurs, cette citadine musclée est un prototype d’une taille similaire à l’actuelle Twingo et elle serait motorisée par le 1,6 litre 200 ch à injection directe déjà présent sur la Clio RS. Avec un couple de 240 Nm disponible à 1 750 tours/min et un poids forcément réduit… Il est difficile de ne pas imaginer les très bonnes performances de l’auto avec de telles caractéristiques !….
On remarque également que les coloris de la voiture sont les mêmes que ceux qui ont été utilisés pour l’Alpine A110-50 et qu’elle est équipée de grandes roues (18 ou 19 pouces ?).
Un concept-car qui sera présenté au salon de Francfort selon les personnes informées… A suivre !
Cliquez ici pour la voir en vidéo !
Sans aucun doute, la Renault Zoé attire de nombreux regards. Il semble bien que ce soit la première électrique « normale ». Elle a un design plaisant, une habitabilité honnête, des innovations que d’autres véhicules électriques n’ont pas (prise caméléon qui permet de recharger avec la même prise à des intensités différentes : 22 ou 43 kW, récupération d’énergie à haut rendement, …) et un prix relativement accessible (surtout avec le bonus de 7 000 € de l’Etat).
Le seul bémol, c’est son autonomie de 150 km (bien que meilleure que d’autres VE) et son impossibilité d’être rechargée sur une prise électrique standard domestique sans installer une Wallbox et une prise sécurisée. Exit la recharge chez un ami le temps d’une soirée. Cela étant, la petite électrique au losange est passée au test du crash-test par l’organisme européen Euro NCAP et le bilan est positif puisque la voiture a obtenu le nombre d’étoiles maximum, c’est-à-dire cinq. Voici la vidéo :
Et pour connaître le détail de la note, voici une image extraite du fichier PDF :
Vous souvenez-vous du Renault Scenic première génération et sa déclinaison RX4 en transmission intégrale ? Le Scenic II a eu le droit à une version « Conquest » qui demeurait une traction, qu’en est-il du nouveau Scenic 2013 appelé « XMOD » ? Quelles sont ses prétentions ?
De profil, le Renault Scenic XMOD 2013 dévoile ses suspensions ré-haussées, ses jantes plus massives, ses protections de bas de caisse (idéal pour le stationnement !), les différents inserts alu, …
La modularité reste la même, avec toujours 555 litres de volume de coffre et 71 litres de rangements disséminés dans l’habitacle (vide-poche, boîte à gants, …)
L’habitacle semble rester identique au Scenic classique…
… à la différence de ce petit bouton qui permet d’actionner « l’Extended Grip » (équivalent au Grip Control de Peugeot). Le conducteur a le choix entre « Sol meuble », » Expert » ou encore « Route » (ce mode est automatiquement sélectionné au-dessus de 40 km/h) pour influencer la gestion électronique de la motricité (couple et freinage)
Un petit baroudeur urbain dont sont usage se limitera aux chemins un peu boueux ou enneigés. Produit en France à l’usine de Douai, il sera présenté au salon de Genève. C’est sûrement à cette occasion que les tarifs du monospace « cross » seront révélés au public.
Chez Renault, les designers ne doivent plus souffler tant les nouveautés et restylages s’enchaînent (avec le Captur récemment…). Alors que le Scenic avait été revu l’année dernière avec la « Collection 2012 », voici que ce dernier est une nouvelle fois retouché ! Le voici en images…
Avec ce restyling, c’est uniquement la face avant qui est modifiée. Celle-ci perd ses gènes de Megane 3 (celle-ci suivra sans doute la même voie) pour endosser les codes stylistiques inaugurés par la nouvelle Clio 4
La face arrière du Renault Scenic 2013 qui reste inchangée avec ses feux en boomerang pour la version courte
La nouvelle calandre du Scenic après son troisième restylage. Il à noter que la version courte et la version longue ne partagent pas exactement la même
Il demeure une alternative au grand monospace Renault, l’Espace, qui a été restylé de la même façon dernièrement, mais qui reste de conception plus ancienne
La face avant spécifique du Grand Scenic III phase 3 qui a subi quelques menues retouches. L’ensemble est très (trop) classique. Les aventuriers préfèreront son petit frère le XMOD
L’habitacle du monospace compact ne bouge pas, si ce n’est les coloris des selleries. On note l’arrivée du système R-Link avec l’écran TFT. Selon Renault, les deux moteurs essence Tce (115 et 130 ch) recevront l’appellation efficiente « Energy »
Prochainement disponibles en concession, les Renault Scenic et Grand Scenic se refond une beauté en attendant l’arrivée de la quatrième génération à l’horizon 2014 ou 2015.
Teasé avec une image et une vidéo, le Renault Captur avait suscité notre curiosité, la marque au losange allait se lancer sur le segment des petits crossovers urbains…
Sous cet angle le Captur, qui tire sa silhouette de la Clio IV, est équilibré esthétiquement parlant, cette garde au sol un peu plus haute lui va bien
Comme on pouvait s’y attendre, que ce soit de face, de profil ou vu de l’arrière, le design du Captur mesurant 4,12 m laisse bien apparaître les traits de la Clio 4 (qui fait 6 cm de moins). Une chose voulue par Renault et logique car c’est sur cette citadine que repose la plateforme du petit SUV. Par ailleurs, il sera produit depuis l’usine de Valladolid, en Espagne.
C’est de profil qu’il ressemble le plus à une Clio surélevée. Un image sans le coloris bitons serait bienvenue pour mieux se rendre compte de ses lignes
On remarque tout de même que ce dernier se dote de quelques artifices pour légitimer sa posture surélevée avec notamment des roues d’une taille au-dessus, un regard souligné par du chrome pour la calandre, des passages de roue recouvert de plastique noir, un planche de bord plus imposante pour l’intérieur…
Il se différencie par un côté plus « fun ». Cela se caractérise par la couleur orange présente sur la carrosserie dans l’habitacle, le toit d’un autre coloris (assorti au rétroviseurs), …
Pour la partie intérieure on est très proche de celui de la Clio, à la différence qu’ici on a voulu un ensemble à l’allure plus robuste pour rappeler inconsciemment à l’acheteur le côté tout-terrain allant de paire avec l’aventure… Du marketing en somme !
Le constructeur n’a malheureusement pas encore diffusé les motorisations (qui devraient être proches de celles disponibles sur la Clio IV), ni les équipements/finitions/tarifs. Il faudra en tous cas compter sur beaucoup similitudes avec la citadine et un prix un peu relevé (en comparaison avec la concurrence) par conséquent.
A suivre.
La communication autour de la présentation officielle du Renault Captur commence aujourd’hui même ! Le constructeur a ainsi délivré une première image de l’avant de son petit SUV reposant sur la plateforme modulaire B accueillant également les Clio IV et Nissan Juke. Une façon de répondre à Peugeot qui dévoilait son concurrent direct il y a quelques jours, le 2008.
Le Renault Captur (projet J87) nous laisse apercevoir sa proue avec une calandre et des optiques très proches de la Clio 4
Les dessins qui émanaient involontairement du site Renault lui-même étaient donc justes. Cette illustration sombre présente bien le petit SUV urbain du losange que l’on pouvait deviner à la mi-décembre.
Ce sera donc un modèle de plus sur ce segment des faux 4×4 prévus pour rouler la plupart du temps en ville, un peu en-dehors et que par erreur sur les sentiers battus. D’ailleurs, le Captur sera un simple deux roues motrices, aucune transmission intégrale n’est prévue.
Renault nous donne rendez-vous vendredi 11 janvier 2013 à 10 h 15 pour découvrir son dernier modèle qui, si l’on en croit la vidéo de teasing et les employés qui en parlent, est exceptionnel, « whaou »…
Une affaire à suivre pour ce crossover que l’on retrouvera au salon de Genève en mars prochain aux côtés de la nouvelle R5, de la Twingo 3… et de l’Alpine ? C’est peut-être encore tôt pour la sportive, mais sait-on jamais…
La rumeur court depuis quelques mois, voir année. Le directeur marketing de Renault indique y réfléchir, mais aux dernières nouvelles aucune décision n’est prise pour faire renaître la mythique R5.
Rappelez-vous, c’était en 1972, Renault sortait sa R5. Il créait la surprise en étant le premier constructeur automobile à lancer une citadine en 3 portes et avec un hayon.
Ce fut un grand succès avec 5,5 millions de véhicules vendues. La R5 fut ensuite remplacée en 1985 par la Super 5, autre grande réussite de Renault.
Lorsqu’on voit les succès des dernières résurrections des modèles phares de chaque marque, forcément cela fait envie. On a tous en tête les revivals de la Mini, de la Fiat 500 et plus récemment de la DS déclinée en toute une gamme, alors au final pourquoi Renault ne s’y mettrait-il pas aussi ? Gardons en tête qu’une nouvelle Alpine verra prochainement le jour, forcément Renault a plus d’un tour dans son sac et réfléchit très sérieusement au cas de la R5.
Quelques photos circulent sur internet. Il est très certainement probable que la future R5 ressemble à cela.
Avouez-le, elle serait magnifique (d’autres photoshops sont visibles ici) ? Je me rappelle encore être assis à l’arrière de la R5 de ma mère. Même à l’époque, la R5 avait de la gueule, alors l’idée de la voir à nouveau sur les routes m’émoustille et j’espère grandement que Renault concrétise son projet en 2013 !
On le sait, niveau financier, Renault comme les autres constructeurs ne se porte pas au mieux. Renault a trouvé un créneau dans le low-cost avec sa marque Dacia, mais a besoin de trouver d’autres produits à forte marge. On sait que sur un produit affectif comme la Mini, la Fiat 500 ou les DS, le prix est un facteur moins déterminant dans le choix des clients. Les fabricants peuvent augmenter les prix de vente sans risquer de garder les modèles en stock, alors il est vrai que la R5 aurait un potentiel de vente à forte marge intéressant !
En revanche, il faut que Renault arrive à rester cohérent dans ses gammes. N’oublions qu’en 1972, la R5 était la seule citadine. Depuis, Renault à lancé sa Clio qu’il vient de relooker et plus récemment sa Twingo. Alors dans tout cela comment positionner la nouvelle R5 ? Personnellement, je la vois bien en citadine premium, une sorte de vrai concurrente de la mini et de la DS3. Renault a annoncé présenter au prochain salon de Genève en mars 2013 deux concepts-car dont un concernant la R5. Vont-ils franchir le pas ? Est-ce que Renault m’entendra ? Croisons les doigts.
Alors que sa sortie sur le marché devrait intervenir entre 2013 et 2014, la Megane IV va revoir en profondeur les blocs moteur proposés à son catalogue pour cette nouvelle génération. Sans surprise, le constructeur Renault – comme l’ensemble de ses concurrents – prend le chemin du downsizing afin d’abaisser les consommations et les rejets de CO2.
Plus affutée, la future Megane 2013 ou 2014 se dotera d’un style moins banal que celui de sa devancière
Plus imposante et élégante, mais avec des moteurs plus petits en terme de cylindrée, telle sera la prochaine Renault Megane
Basé sur une plateforme inédite, la compacte française devrait recevoir au minimum quatre motorisations, dont deux trois-cylindres essence, qui sont les suivantes :
Type de moteur |
Moteur |
Puissance |
essence |
L3 0,9 l TCe | 90 ch |
L3 0,9 l TCe | 120 ch | |
diesel | L4 1,5 l DCi | 115 ch |
L4 1,6 l DCi | 130 ch |
L3 signifie « moteur trois-cylindres en ligne »
Les version proposées peuvent paraître faiblardes, mais d’autres blocs plus puissants viendront compléter l’offre tandis qu’une version RS viendra s’ajouter par la suite. Pas de motorisation hybride semble prévue.
Entre temps, certains parient sur un restylage de la génération actuelle pour ressembler davantage aux derniers canons stylistiques de la marque au losange. C’est une option envisageable si Renault souhaite se laisser plus de temps pour développer la Megane IV.
Affaire à suivre dans les mois qui viennent…
Depuis plusieurs mois déjà, bon nombre de d’informations convergent pour annoncer la venue d’un crossover chez le constructeur au losange. Et ces rumeurs viennent de recevoir une pièce du puzzle avec la publication sur la toile d’images volées. Celles-ci présentent le futur Renault Capture (nom de projet : J89) sous la forme de dessins au trait. Les fichiers permettant d’illustrer la pose d’accessoires étaient en ligne sur le site de Renault lui-même !… Une belle bourde !
Voici donc un modèle qui manquait au sein de la gamme de la marque française, surtout lorsqu’on voit le succès que rencontre actuellement le segment des crossovers ! A côté de cela, la Modus qui a été lancée il y a quatre ans, en profiterait pour tirer sa révérence.
Sur les visuels, il est impossible de ne pas trouver des airs de Clio 4 à ce Captur tant les points de ressemblance sont nombreux. De profil, on croirait voir une Clio surélevée.
Reste à voir si ce scoop se vérifie, mais il y a de fortes chance pour que ce soit le cas. Une présentation officielle pourrait avoir lieu à l’occasion du prochain salon de Francfort, pour une commercialisation dans les mois qui suivent.
Après avoir présenté en grandes pompes la Clio IV, Renault prépare activement la relève pour sa compacte, c’est-à-dire la Megane IV ! Aboutie, cette dernière doit encore progresser pour rester en tête de sa catégorie sur son marché national et continuer à se battre sur le territoire européen où elle occupe la huitième position en 2011 avec 240 000 unités écoulées.
Plus massive et sûre d’elle, la Renault Megane 4 compte bien en découdre avec le haut de gamme allemand en faisant valoir « le luxe à la française »
Pour cela, la prochaine génération va suivre la voie inaugurée par la Clio 4 avec la nouvelle calandre où trône fièrement le gros losange. M. Anthony Lo, vice-président du design Renault, tient à préciser que les clients ne seront pas pour autant perdus. Son allure ne sera donc pas radicalement différente.
Impossible de ne pas remarquer l’influence de la citadine Clio sur cette image (feux, poignée de porte dissimulée, …). Reste à voir si cela se confirme lors de la présentation officielle de la Mégane en 2013
La petite révolution pour cette auto devrait avoir lieu sur sa qualité de finition selon des sources internes à la marque. Elle aura pour but de non seulement se positionner en challenger à la Volkswagen Golf 7, mais aussi aux modèles proposés par BMW, Mercedes et Audi… Les équipements seront donc en hausse tout comme son prix qui subira une inflation certaine. Les tarifs devraient progresser de 1 500 à 3 000 € selon les versions. Reste à savoir si le prix d’entrée suivra la même voie, car Renault se priverait d’un volume de ventes non négligeable avec une telle stratégie sans toutefois apporter une alternative !
A l’image de la future Peugeot 308 qui est sa première rivale, la Renault Megane IV est attendue pour une commercialisation en 2013 au plus tôt, ou alors sa sortie aura lieu début 2014.
Crédits iconographiques : René Demarets pour Autoplus
Qui y croyait encore ? La marque Alpine disparu depuis 1995 avec l’A610 n’avait plus montré signe de vie, alors même que Renault dévoilait un concept – l’A110-50 – à Monaco cet été.
Avec la renaissance de ce symbole, Carlos Tavares, numéro deux chez Renault, assure que l’auto « sera l’essence même d’Alpine, capable d’enflammer de nouveau les passions »
C’est finalement ce matin que Carlos Ghosn (à la tête du groupe Renault-Nissan) et Tony Fernandez (patron de Caterham) ont annoncé la renaissance d’Alpine ! Tant d’attente… pour cette conférence que les passionnés n’ont pas manqué !
Avec cette conférence de presse à Boulogne officialisant le retour d’Alpine, Renault ne compte pas grossir son chiffre d’affaire, mais surtout frapper un grand coup en terme d’image. Des retombées signifiantes pour le losange sont espérées
Les deux dirigeants n’ont malheureusement livré que de très maigres détails sur la future sportive. On sait cependant que son lieu de production était et sera l’usine de Dieppe en Normandie. C’est donc la co-entreprise « Automobiles Alpine Caterham » (qui verra le jour en janvier 2013 avec 50 % pour Renault et 50 % pour Caterham) qui produira les voitures au rythme de « plusieurs milliers par an ». De plus, les suppositions lui donnent une puissance qui devrait s’établir aux alentours des 250 chevaux pour un poids total ne dépassant les 1 200 kilos afin de rester sous le seuil des 6 000 € du malus 2013. Pour ce qui est du prix de la future Alpine, il ne devrait pas excéder les 40 000 € afin de ne pas répéter l’erreur du dernier modèle vendu qui s’achetait pour… 66 000 € tout de même !
Une affaire à suivre avec beaucoup d’attention, et qui devrait voir le jour d’ici 2016 ou 2017 !
Et si la nouvelle Clio 4 était proposée dans sa version break avec une allure plus sportive ? C’est le chef du design extérieur, Anthony Lo, qui affirme que certains marchés seraient potentiellement intéressés par une telle déclinaison. Voyons ce que pourrait réserver cette Clio Estate préparée par Renault Sport…
Tout d’abord, il n’est pas question d’une version RS (dire que la Peugeot 207 SW avait eu le droit pendant un court moment à une version RC !), mais d’une finition badgée « GT » ou moins probablement « Gordini ». En plus de boucliers plus agressifs, d’un diffuseur arrière, de belles jantes de 17 ou 18 pouces et de sorties d’échappement plus visibles, cette version plus musclée disposerait d’un moteur plus costaud. Il s’agirait du 1,6 litre essence de la RS dégonflé ou bien le 1,2 TCe pour atteindre 150 chevaux environ.
En tous cas M. Lo déclare que « C’est inscrit dans notre agenda. Nous pourrions facilement le faire. Nous avons les outils pour cela et c’est quelque chose que nous étudions ».
A suivre !
Le nombre de déclinaisons pour la nouvelle Clio croit très vite, puisque que la future star des citadines actuellement visible au Mondial, se trouve déjà épaulée par les versions RS et Estate ! C’est donc l’occasion de comparer la berline et le break pour se décider si cette version surprise en séance de tests lors du mois de juillet en vaut la peine.
Dotée d’une malle plus importante, la Clio Estate 2013 facilitera les chargements d’objets lourds avec un seuil de coffre abaissé
Tout d’abord, au niveau des dimensions on note que la voiture s’est rallongée de 2,01 cm pour un total très précis de 4,262 mètres. Cela lui confrère un volume de chargement de 443 dm3, soit une progression d’environ 30 % par rapport à la Clio « classique ». Les empattements restent identiques tout comme l’habitabilité.
Bien dessinée, l’Estate garde une allure élancée dans cette déclinaison allongée. Les poignées de porte arrière et la disposition des surfaces vitrées y jouent pour beaucoup
Au chapitre des motorisations, c’est assez simple puisque ce sont les mêmes que pour la berline, tandis que ses tarifs n’ont pas été encore communiqués. On peut néanmoins tabler sur un surcoût d’à peu près 700 €.
Enfin, la commercialisation de Clio break est attendue pour le premier trimestre 2013.
Très médiatisée, la nouvelle Renault Clio 2012 continue sa communication. Alors que la citadine est actuellement exposée au Mondial de l’Auto à Paris, la marque au losange a engagé l’agence Publicis Conseil afin de réaliser le spot TV sur son nouveau modèle.
Assez logiquement, la pub est axée sur le côté émotionnel de la voiture (ce n’est pas un hasard si celle-ci a été très souvent présentée de couleur rouge…) avec une séquence de 1 min 01 où le téléspectateur s’interpelle. Qu’est-ce donc que ces gens ont vu et se souviennent comme quelque chose de « fou » et d’inoubliable ? Voici la vidéo en question :
Que penser de cette publicité appelée « Unforgettable » ? Auteur d’une saga qui dure depuis 22 ans, le constructeur présente son auto comme un coup de foudre et un objet de désir traqué par tout le monde. La réalisation du film promotionnel est réussie, avec l’usage de nombreux symboles le spot marque les esprits, mais la Clio IV apparaît sans doute trop peu et trop rapidement pour que l’on puisse la retenir.
À côté de ce reproche, le choix musical est très bon. La musique de la pub de la Clio 4 est composée de deux morceaux d’Abel Korzeniowski, avec respectivement « Abdication » et « Brooklyn Faces » entendus dans la BO du film « W.E ».
Le partenariat entre Renault et Mercedes pourrait donner naissance à la future Twingo 3. Prévue pour une commercialisation en 2013 ou 2014, la petite Renault devrait grandement évoluer en reprenant la plateforme de la prochaine génération de la Smart Fortwo.
La prochaine Twingo serait bien différente de l’actuelle et compte rester attractive sur le plan tarifaire avec un prix d’entrée à 8 500 €
Ce tournant radical implique une nouvelle physionomie pour cette petite citadine. Ainsi, elle perdrait 15 cm en longueur (3,54 m), 2 cm en largeur (1,64 m) et elle gagnerait 8 cm en hauteur (1,55 m) ! Et malgré tout, la Twingo III serait disponible en cinq portes pour quatre places assises. Une révolution !
Sans compter qu’au niveau mécanique c’est un retour en 1947 avec la mythique 4CV. Oui, la prochaine génération accueillerait un moteur logé à l’arrière sous le coffre. Un essence de 900 cm3 90 ch ainsi que le 1,2 TCe 100 ch seraient proposés et du côté diesel on verrait apparaître un nouveau trois-cylindre conçu par le losange… Une version électrique basée sur le bloc de la Zoé serait aussi de la partie !
La Focus ST est la troisième grosse GTI qui débarque avec des ambitions mondiales. Mais la Megane RS qui a subi un restylage offre une évolution moteur de 265 ch.
La Mégane RS qui possède une puissance plus élevée que la focus ST et un différenciel autobloquant lui permet de réaliser de bonnes accélérations et qui gagne 1″2 sur sa concurrente sur l’exercice du 400m. En revanche, la disponibilité de son moteur a bas régimes fait que la ST parvient à distancer la Renault sur l’exercice du 80 à 150 km/h et tient tête sur les relances à 140 km/h sur le dernier rapport.
L’injection directe haute pression, le turbo à faible inertie et la distribution à calage variable à l’admission et à l’échappement permet à la Focus ST d’obtenir un couple de 34.7 mkg dès 2 000 tr/min. Très tonique, il pousse sans discontinuer jusqu’à 6 500 tr/min. Mais la Mégane RS dont le moteur est plus puissant de 15 ch permet d’obtenir un couple de 36.7 mkg à 3 000 tr/min. Bien moins souple que sur sa rivale et endormi en dessous de 2 500 tr/min, il va s’asseoir jusqu’à 6 000 tr/min.
Gâchée par une direction un peu tardive mais ayant un très bon équilibre sur route, la Ford se montre très directe et agile. La Mégane RS qui possède un châssis très efficace donne le sourire aux sportifs et offre un grande aisance sur la route mais reste quand même moins incisive que la Focus.
Sur une piste club de Magny-cours, la Renault Megane signe un meilleur temps que la Focus, 1’28″52″ contre 1’29″61″ mais notre RS reste quand même très sensible aux variations de température et à la chaleur. Lente dans les virages, elle en ressort comme une balle, la Megane RS est tout de même la meilleure des GTI actuelles sur circuit. La nouvelle ST semble quand même plus à l’aise que l’ancienne Focus RS mais avec des freins plus consistants et sans cette direction très mauvaise, elle aurait sûrement fait un meilleur temps.
En conclusion, la Focus ST qui est dominée par la Mégane RS est en progression par rapport à sa précédente RS; son châssis, sa précision et son agilité sont bluffants autant sur circuit que sur route. Mais la direction gâche tout le plaisir. La Mégane RS reste donc la référence en matière de GTI plus particulièrement avec son châssis cup. On espère que Ford peut inverser la donne(peut-être avec la prochaine RS ?).
La Latitude n’a pas bouleversé son segment. Avec ce modèle de transition qui n’a pas su cacher sa parenté avec la Samsung SM5, Renault gagnait du temps pour préparer une voiture bien plus ambitieuse. Nommé « Altica », le futur vaisseau-amiral de la marque au losange reposera sur la plateforme de la Classe E comme le veut l’accord avec Mercedes.
Altica, c’est le nom que portait un concept-car présenté en 2006 par Renault. Ce nouveau modèle qui représentera le HDG de la marque en étant basé sur une Mercedes Classe E ne s’offrira aucun écueil stylistique
Le moins que l’on puisse dire, c’est que cette Renault Altica sera inédite. D’une longueur imposante (4,90 m), l’auto sera une propulsion ! De quoi convaincre les puristes d’essayer ce modèle français alors que ce mode de transmission est essentiellement réservé aux routières allemandes.
Du côté des moteurs, la Renault piochera chez la marque à l’étoile (uniquement pour les essence ?). Ce qui lui garantit donc une certaine et réputation et surtout des blocs suffisamment puissants aux yeux de la clientèle.
Estimée à un prix du neuf débutant aux alentours des 40 000 €, l’Altica fera payer ses prestations lors de sa commercialisation en 2015.
Ce projet est un véritable challenge où Renault devra se surpasser pour réussir son retour sur ce segment très difficile, vivement la suite !
Source iconographique : l’Argus
Avant la commercialisation d’une voiture, toute une batterie de tests sont effectués afin de vérifier que tout fonctionne. Renault nous propose donc de découvrir découvrir ces différentes vérifications qui ont eu lieu sur la Clio 4 avant son lancement sur le marché avec notamment le crash-test (incontournable avec l’EuroNcap), la résistance à l’eau et la endurance du châssis grâce à un simulateur.
Voici la vidéo au centre technique de Lardy qui permet de se faire une idée de ce doit endurer un modèle aujourd’hui :
Pas un constructeur automobile ne se prive du marché des petites citadines telles que les Fiat 500 et Smart Fortwo. Renault est donc très certainement en train de plancher sur un modèle de ce type qui a d’ailleurs l’avantage de développer des marges confortables. Même s’il existe déjà la Twingo, le fait que la nouvelle Clio ne soit pas disponible en trois portes soulève des doutes…
La Renault 5 reste encore dans les mémoires. Son retour savamment marketé pourrait causer du tort aux concurrentes déjà installées sur ce segment en pleine expansion !
Il reste une question qui se pose : le Losange va-t-il proposer une voiture simple qui disposera d’une version sportive sans céder aux sirènes néo-chic tendance dont usent (et abusent ?) les Mini et DS3 par exemple. Ou bien, la future Renault Cinq jouera la même carte que ses concurrentes savant bien que le catalogue des options et personnalisations permettent de créer de la rentabilité. De cette façon, la note monte facilement. Il ne serait pas surprenant que la marque se tourne vers cette deuxième solution.
Pour cette troisième génération de la Renault 5 arrêtée il y a plus de quinze ans, une version préparée par Renault Sport serait très certainement de la partie
La R5 néo-rétro devrait apparaître dans le courant de l’année 2014 avec un prix d’entrée aux alentours des 15 000 €. La date de sortie précise n’ayant pas encore été communiquée, il est fort probable qu’un concept-car soit dévoilé un peu avant pour l’annoncer.
Source iconographique : largus.fr
Traditionnellement, les citadines stars de Peugeot et Renault (qui étaient la 207 et la Clio III il y a peu) sont proches, visent une cible très similaire et s’affrontent donc de manière frontale. Comme nous l’a montré le match 208 VS Clio 4, les deux modèles n’ont pas choisi les mêmes directions. Et forcément, on est en mesure de se demander qu’en sera-t-il donc des tarifs ?
Renault fait le choix d’une politique tarifaire qui fait de la Clio une citadine pas donnée. Son prix du neuf débute à 13 700 € tout de même
Comme prévu, la voiture du losange se vend un peu plus chère que la 208. C’est en moyenne un surcoût de 1 000 à 1 500 € en défaveur de la Clio qui s’explique par un gabarit plus important, l’absence de version trois portes et une dotation de série supérieure (ESP, régulateur/limiteur de vitesse, aide au démarrage en cote, …).
Voici l’offre moteur tarifée selon les niveaux de finition :
Moteur/Finition |
CO2 | Authentique |
Expression | Business | Dynamique |
1,2 16v 75 | 127 | 13 700 € | 15 700 € | ||
ENERGY TCE 90 | 105 | 16 900 € | 18 000 € | ||
ENERGY TCE 90 | 99* | 17 100 € | |||
DCI 75** | 97 | 16 000 € | 17 800 € | 18 000 € | 18 900 € |
ENERGY DCI 90 | 90 | 18 800 € | 19 000 € | 19 900 € | |
ENERGY DCI 90 |
83* | 19 000 € | 19 200 € |
* Versions optimisées en CO2
** Commercialisation ultérieure
Les commandes sont d’ores et déjà ouvertes. Son apparition en concessions se fera le 11 octobre prochain.
Alors que la Renault Clio 4 a été présentée il y a un peu plus d’une semaine, où en est-on avec la version RS de la citadine ? Si aucune date n’est pour le moment connue pour ce qui est de sa commercialisation, le futur bolide a déjà été vu à Goodwood et il se montre maintenant sur le circuit du Nürburgring, en Allemagne.
La Renault Clio 4 RS sera-t-elle garder ou améliorer le niveau de sa devancière qui fait figure de référence ?
On peut donc apercevoir la bête au losange faire ses premiers tours de roues sur le tracé avec une sonorité plutôt agréable aux oreilles qui s’échappe des deux sorties d’échappement. Le pilote n’y va pas de main morte comme le montre cette vidéo :
Au rayon des données techniques, on sait que la Clio 4 RS sera équipée du moteur Nissan 1,6 litre GDI turbo (M5Mt) déjà présent sur le Juke avec 190 chevaux. Ici, on table sur une puissance aux alentours des 210 ch, le tout couplé à une boîte de vitesse robotisée à double embrayage.
De nouveaux éléments seront sans doute rapportés d’ici le Mondial !
Le petit quadricycle de Renault présente bien des particularités dont celle de ne pas avoir de fenêtres ou même de portes en série ! Approchant des 6 000 unités vendues, la Twizy poursuit sa lancée sans qu’une possibilité de protection au vent et aux intempéries soit proposée par le losange.
L’absence de fenêtre sur la Twizy peut s'avérer être un réel handicap selon les conditions climatiques
Un fabricant italien s’est donc collé à la tâche. Résultat ? A partir de 360 € on peut acheter une paroi qui vient se fixer sur la porte de la voiture électrique. Et le tout en quelques minutes avec simplement un tournevis (autant les fixer chez soi quand pleine rue…).
C’est donc un vrai plus qu’apporte ce produit à la Twizy qui doit être, sans cet accessoire, très certainement difficilement vivable en saison hivernale. Vous vous voyez arriver totalement décoiffée au bureau ?
Voici la vidéo pour la vitre rigide (la fenêtre existe aussi en matière plastique souple) :
Plus d’excuse pour ne pas utiliser la Twizy en ville !
Renault avait preuve d’une rigueur exceptionnelle avec la Clio IV : pas une seule photo ou presque n’avait fuité. De nos jour, dans l’univers automobile il est récurrent de voir la présentation officielle d’un modèle avancée dans le temps à cause d’images officielles traînant sur la toile…
Avec cette photo volée, on remarque que la Clio Estate opte pour un dessin de la partie vitrée en un bloc tandis que les poignées de porte arrière restent dissimulées dans les montants
Pour la déclinaison break de la Clio 4, c’est Renault lui-même qui a fait une bourde avec la diffusion d’une vidéo détaillant les différentes étapes de la genèse de la citadine. En effet, en ayant un œil averti, on remarque qu’une modèle allongé de la Clio se trouve en test sur un banc ! La Clio 4 Estate vient de se faire griller !
Séquence émotion ! L’Alpine Berlinette A110 c’est un pan de l’Histoire automobile à part entière, aucun passionné ne peut méconnaître ce modèle tant son parcours est légendaire en rallye. Développant jusqu’à 250 chevaux à l’aide d’un turbo, cette voiture mérite une remplaçante !
Pour les cinquante ans de ce modèle apparu en 1962, Renault lui fait honneur avec un concept-car appelé A110-50 (basé sur la Dezir) qui ne lui ressemble pas vraiment si ce n’est la couleur. N’empêche que le rendu a le mérite d’être fort sympathique et de prouver que le losange n’a pas oublié sa sportive.
Rien ne vaut une confrontation de ces deux générations dans les Alpes avec le talentueux Jean Ragnotti derrière le volant… face à lui-même ! Vidéo en grand écran et volume monté au maximum de rigueur !
Plus de 2 min 30 de pur bonheur ! On ne demande qu’à Renault de faire revivre le mythe, et vite !
Sur le marché automobile français, le segment des citadines est essentiellement dominé par les marques tricolores et plus particulièrement par deux modèles chez Renault et Peugeot. A chaque nouvelle génération, le match recommence. Aujourd’hui, c’est entre la Clio et la 208 que va se jouer le duel. Laquelle des deux part favorite ? D’un côté la Sochalienne a l’avantage d’avoir été commercialisée la première, et celle de Boulogne-Billancourt qui arrive plusieurs mois plus tard. Elle a donc pu observer la lionne.
Tout d’abord, si l’on regarde les deux autos, elles ont un premier point commun, c’est d’avoir complètement révolutionné leur design. La 208 tire un trait sur les lignes lancées par la 206 tandis que la Clio 4 s’approprie la nouvelle identité du losange et n’a plus grand chose à voir avec sa devancière.
Le résultat est très positif d’un côté, comme de l’autre. La Peugeot retrouve son élégance qu’elle avait perdu avec la grosse 207, tandis que la nouvelle Clio rompt avec le style peu entraînant de la génération précédente. La poupe de cette dernière s’avère très réussie avec une calandre imposante permettant à l’auto d’être bien « assise ».
? EGALITE
Là encore, les prises de position sont de nature subjectives avec notamment le design des planches de bord. Autant la Peugeot joue la carte de la petite citadine fun avec son petit volant, sa console centrale originale et des compteurs audacieux situés en hauteur, autant la Renault reprend de nombreux éléments chez la Zoé pour un résultat qui souhaite flatter l’œil avec de nombreuses surfaces recouvertes de laque noire.
Au niveau de l’habilité, la 208 perd neuf centimètres de long sans perdre en habilité et sa future concurrente gagne encore quelques centimètres tout en perdant sa version trois portes. Elle pourra gagner sans difficulté ce chapitre.
? AVANTAGE CLIO
Dans ce domaine, les deux constructeurs ont opté pour deux stratégies différentes. Le lion a préféré faire évoluer les motorisations déjà existantes sur la 207 en introduisant un trois-cylindres essence pour l’entrée de gamme. A l’opposé, le losange s’offre trois moteurs essence totalement inédits et donc (normalement) plus performants et écologiques. Les blocs diesel sont, quant à eux, déclinés à partir du très connu 1,5 l dCi.
? AVANTAGE CLIO
Actuellement, une Peugeot 208 1.0 VTi 68 BVM5 Access (3p.) est vendue 11 950 €. Pour comparer ce qui est comparable, il faut ajouter 600 € et se retrouver avec la version 5 portes. Ce qui donne un positionnement tarifaire agressif.
Dans le segment des citadines, le facteur prix joue un rôle important. Ainsi, Renault ne pourra pas trop s’écarter des tarifs de la 208 sous peine d’avoir une performance commerciale de son modèle en-dessous des objectifs de vente.
Cela étant, la Clio IV pourra difficilement atteindre les prix fixés par la 208 car elle est dépourvue de version trois portes et qu’elle devrait répercuter la finition de l’intérieur qui semble de très bonne facture.
? AVANTAGE PEUGEOT
Récapitulatif des forts et des points faibles des deux voitures :
Evidemment, il sera plus facile d’avoir un avis sur la Clio IV une fois qu’elle sera sortie, mais pour le moment on dirait bien que cette dernière aura l’avantage.
A suivre !
L’attente était interminable et de plus en plus pesante depuis la présentation de sa concurrente la 208, voici enfin la nouvelle Renault Clio 4 2012 !
Indéniablement, avec cette quatrième génération de sa citadine, le losange bouscule le design établi sur la Clio 3. Tout change ou presque, et ce n’est pas une mauvaise nouvelle tant le résultat est plaisant. La voici sous toutes ses coutures en images :
Belle sous tous les rapports, la nouvelle Clio en impose avec un design de haut niveau. Merci Lauren Van Den Acker !
De nombreux éléments seront personnalisables (coques de rétros, jantes, stickers de carrosserie, ...) à l'images des Mini et DS3
La Renault Clio profitera du système multimédia R-Link composé d’un écran 7 pouces, une commande vocale intuitive et, d'un écran d’accueil personnalisable en option
Du côté des blocs essence, c’est du 100 % inédit avec un trois-cylindre de 899 cm3 suralimenté offrant 90 ch, un quatre-cylindres TCe 1,2 litres turbo de 120 ch et puis pour la déclinaison RS un 1,6 l turbo d’un minimum de 220 chevaux…
L'affichage du tableau de bord est original et réussi. Le conducteur pourra profiter d'une foule de fonctions pour jauger et améliorer sa consommation de carburant
Pour les mazout, ce sera le 1,5 l dCi qui sera de service avec trois niveaux de puissance : 70, 90 et 110 ch. Le 1,6 l 130 ch pourrait s’ajouter par la suite tout comme le 1,2 l dCi trois-cylindres qui équipera également Smart et Mercedes.
Depuis la Vel Satis, on a parfois du mal à comprendre les choix effectués par Renault pour ses modèles haut de gamme qui se trouvent toujours en décalage. Aujourd’hui, la gamme est chapeautée par la Latitude en France qui n’a pas été particulièrement bien accueillie par la presse. Et malgré tout, le constructeur présente une autre berline au salon de Pékin.
Renault connait une performance commerciale pour le moment minime sur le marché chinois étant donné que ce sont qu’une vingtaine de milliers d’unités qui sont écoulées par an (environ 0,14 % du marché) tandis que Volkswagen atteint les 1,72 millions d’exemplaires. Il y a monde.
La Talisman, c'est le modèle qui est sensé donner un coup d'accélérateur aux ventes de Renault en Chine
Cette berline, c’est la Talisman qui était à l’origine vendue en Corée du Sud sous le nom de Samsung SM7. C’est elle qui doit faire doubler les ventes du losange dans l’Empire du Milieu.
La Renault Talisman mesure cinq mètres de long ce qui promet un espace confortable aux places arrière.
A ce chapitre, rien n’a été dévoilé officiellement. Les rumeurs lui donnent un V6 de 2,5 l développant 187 ch et un autre six cylindres plus puissant de 258 ch pour 3 litres de cylindrée. Le premier bloc disposant de 243 Nm et le second de 330 Nm de couple.
Pour la question des tarifs, l’auto est voulue abordable. Ainsi, elle s’affichera à un prix de base s’élevant à 38 650 €.
Alors que les premiers photoshops avaient été diffusés il y a plus d’un an et que des spyshots de plus en plus légers se laissent prendre en photo, les dernières informations circulant à propos de la Clio 4 RS permettent d’établir de nouvelles images retouchées par ordinateur pour le moins crédibles. C’est le magazine Auto Express qui s’est collé à la tâche :
Nouveaux codes stylistiques, phares à LED et seulement disponible en cinq portes, la Renault Clio RS prévue pour 2013 se métamorphose
Du côté de la fiche technique, il faudra très certainement s’attendre à un poids réduit légèrement comme c’est la tendance et le moteur essence turbo 1,6 TCe de 210 ch rejettant 150 g de CO2/km (contre 190 g sur le modèle précédent).
On note les bas de caisse joliment dessinés et abaissés (on dirait les clichés officiels !), la sortie d'échappement directement tirée de l'actuelle Megane RS (à confirmer) et aussi les très probables poignées des portes arrière dissimulées dans les montants
Pour la découvrir dans sa version officielle et de plus près, il faudra attendre le Mondial de l’Auto de Paris à la fin du mois de septembre prochain.
Les nouveautés étaient de légion au salon de Genève qui vient de se terminer. Renault y était en vedette avec la Zoe, la première citadine électrique ayant pour but de (vraiment) séduire les foules. Mais le premier pari du losange pour cette année 2012, c’est bien la présentation officielle au salon de l’auto de Paris de la nouvelle Clio ! Ce modèle est fondamental dans la gamme du constructeur et seul son succès est possible. L’inverse n’est même pas envisageable tellement les conséquences seraient désastreuses.
Par conséquent, la Clio est bichonnée. L’auto est donc sujette à de nombreux tests dans toutes les conditions imaginables et rien ne doit déchanter afin d’éviter les reproches de la presse.
Sur ces deux photos volées retouchée de la Renault Clio 2013, on obtient presque le dessin final de la partie avant de la citadine qui fera son apparition au prochain Mondial de l'auto de Paris en fin d'année. On remarque également la poignée de porte arrière dissimulée près du custode
Par ailleurs, ce modèle a été entièrement dessiné sous l’ère Van Den Acker, le chef des bureaux de style de la marque. Du coup, la quatrième génération de la citadine devrait reprendre certains codes stylistiques aperçus sur le Dezir ou la Zoe. Et l’instant T où elle se découvrira se fait de plus en plus sentir !
Le dessin des feux est modélisé grâce à un logiciel de montage. Du côté des proportions de la future Clio IV, on parle d'une voiture plus basse, plus large mais plus légère
En attendant sa commercialisation non plus en fin d’année mais en 2013, des informations concernant ses moteurs, la version RS, le break (Estate), son prix et même son éventuelle calandre circulent.
A suivre !
Comme l’avait établi ce classement, la Renault Zoe était annoncée comme la voiture électrique populaire. Par conséquent, l’attente vis-à-vis de l’annonce des prix de la VE au losange était importante. Le salon de Genève ayant démarré, le constructeur vient dévoiler les différents tarifs pour son modèle… pas si accessible qu’il n’y paraît.
Le prix du neuf de la Zoe débute à 15 700 € après déduction du bonus écologique de 5 000 €. Avec cette finition appelée « Life« , on obtient de série la tablette multimédia intégrée Renault R-Link, la climatisation régulée et le chargeur « Caméléon ». Deux autres versions seront également au catalogue pour 17 500 €. La Zen propose un diffuseur de senteurs actives, un ioniseur à fonctions purifiante et relaxante, un capteur de toxicité permettant d’activer automatiquement le recyclage de l’air dans l’habitacle et des sièges en Teflon. La finition Intens se distingue avec une caméra de recul pour l’aide au stationnement.
Sobre, élégante et tendance, la Zoe pourrait bien convertir un certaine nombre d'automobilistes à l'électrique avec son design qui ne laisse pas indifférent et semble avoir plusieurs années d'avance
Sous cet angle, la Zoe se distingue par des traits originaux du plus bel effet. On remarque encore une fois le travail effectuée par les équipes du losange au sujet des optiques
Selon les journalistes qui se sont rendus au salon, la qualité perçue se caractérise par des plastiques durs, des selleries fines pour un rendu léger. A confirmer.
Il ne faut pas oublier qu’en sus de l’achat de l’auto, il faut prévoir dans son budget la location des batteries, ce qui rend la voiture moins abordable. En effet, il faut compter 79 euros par mois pour un forfait de 12 500 km/an et cela pendant 36 mois. Soit un total de 2 844 € et 37 500 km. Le prix au kilomètre revient donc à 7,5 centimes sans prendre en compte le coût de la charge électrique. D’autres forfaits plus onéreux seront également disponibles.
La qualité au toucher ne semble pas extraordinaire, mais l'intérieur de la Zoe se distingue une nouvelle fois par son aspect moderne et bien dessiné. Encore un bon point... Sans compter que lors de sa recharge il est possible de programmer la température souhaitée de l'habitacle lorsqu'on reprendra le volant
A noter que la VE ne pourra dépasser les 135 km/h et que des pneus basse consommation ont été montés pour autonomie pouvant atteindre 210 km tandis que Renault affiche en toute transparence que celle-ci variera plutôt entre 100 et 150 km
Attention donc à bien calculer le coût final de la Zoe qui n’est pas celui que vous allez payer en concession le jour de votre achat !
Alors même que les politiques sont en plein débat sur la réindustrialisation en France, Renault annonce l’ouverture d’une nouvelle usine au Maroc et précisément à Tanger, lieu stratégique. En effet, cette nouvelle usine située à proximité du port permettra de faciliter les exportations qui transiteront par l’Espagne avant de rejoindre le marché français ou plus largement, le réseau européen.
Renault ouvre son deuxième site de production au Maroc. L'usine de Tanger s'ajoute donc à celle de Casablanca
Le Royaume du Maroc a dévoilé le tapis rouge à l’entreprise française qui est exonérée d’impôt sur les sociétés et d’impôt sur les exportations pendant cinq ans. Par ailleurs, il a également été mis en place un centre de formation totalement financé par le gouvernement marocain. Ce nouveau site et la région dans son ensemble vise à attirer d’autres entreprises du secteur automobile ce qui permettrait au pays de dégager une nouvelle source de revenus tout en réduisant le taux de chômage des jeunes.
Renault qui a inauguré cette usine la semaine dernière espère faire construire un bon nombre de voitures sur l’année 2012 et doubler, voire tripler ce nombre dès l’année 2013. En effet, il est annoncé, qu’il sera mis en place une rotation par 3-8 où les employés travailleront 24h/24, 7j/7. Renault souhaite donc mettre en place un site de grande envergure visant à alimenter le marché européen en voitures low cost.
Le restylage de la Megane est assez timide de l’extérieur mais au niveau des motorisations les changements sont plus importants avec l’arrivée de nouveaux blocs comme cela a été constaté lors de la présentation officielle de la Megane Collection 2012. Qui dit restylage, dit bien souvent hausse des prix. Qu’en est-il pour la Megane phase 2 ?
Pour ce tarif-là, on obtient une Renault Megane berline essence dans sa version Authentique 1,6 l 16v BioEthanol eco2. Pour le diesel le moins cher (dCi 90 eco2), il faudra signer un chèque 1 600 € plus cher, soit 21 100 €. Suite à ce rafraichissement, la note augmente de 250 à 1 450 €. Cette dernière est parfois invisible car le bonus écologique est plus conséquent sur les nouvelles motorisations.
En ce qui concerne les différences de prix entre les déclinaisons, il faut compter un surplus de 800 € pour le break (estate) tandis que le coupé est vendu avec des moteurs plus puissants et démarre ainsi avec l’essence Energy TCe 115 ch eco2 commercialisé à 22 600 €.
Il est à noter que la Megane RS 2012 (images ci-dessus) gagne 15 chevaux et 20 Nm de couple à l’occasion de ce facelift.
Désormais ce n’est plus un seul restylage qui a lieu durant la carrière d’un modèle mais souvent deux ou trois petites « retouches ». La Renault Megane Collection 2012 en est la preuve. Ainsi, pour cette année, elle s’offre quelques modifications esthétiques mineures et trois nouveaux blocs à loger sous son capot. Voici un tour des dernières nouveautés apportées à la Megane III sortie pour la première fois en 2008.
La version 2012 de la Megane signe l’arrivée deux moteurs diesel appelés « Energy ». Il s’agit des DCi 110 et 130 ch. Ces nouveaux blocs remplacent les motorisations existantes et permettent de faire baisser la facture à la pompe avec respectivement 3,8 et 4,0 litres au 100 kilomètres de consommés. Pareillement, les émissions de CO2 en profitent avec des rejets s’élevant respectivement à 95 et 104 grammes par kilomètre.
La version compacte, coupé et break (Estate) ont été restylés ! Outre les inserts de chrome et des boucliers recouverts d'une peinture laquée, l'équipement sera également enrichi avec l'introduction d'une caméra de recul, du changement automatique des feux de croisement/route, ...
La Megane Coupé reste toujours le modèle le mieux réussi de la gamme. L'ajout de quelques modifications sur sa face avant la bonifie d'autant
La partie intérieure reçoit quelques nouveautés avec notamment des inserts carbone pour les bas de portes et de nouvelles selleries cuir. L'ensemble est sobre et à la fois très agréable à l’œil
Du côté des moteurs essence, le nouveau 1,2 l TCe 115 ch fait son entrée. Ce dernier remplace son devancier (le 1,6 l 16v) et permet de gagner 40 Nm de couple (pour un total de 190) et 5 ch supplémentaires. Quant à la consommation de carburant, elle régresse de 6,6 à 5,3 l/100 km avec 119 grammes de CO2 émis au kilomètre.
La date précise de la commercialisation de la Megane restylée 2012 n’est pas encore connue mais elle devrait intervenir dans le courant du mois de mars prochain et son prix devrait connaître un légère inflation.
La Renault Clio RS… véritable référence dans son segment des petites bombinettes sportives, que vaut-elle sur un circuit sur glace à l’Alpe d’Huez ? Son châssis et ses deux roues motrices avant se sont-ils montrés à la hauteur ?
Dès les premiers tours de roues, la prise en main de la Clio RS est aisée. Par ses faibles proportions, on sent tout de suite l’auto. Dès lors, le slalom devient un jeu très amusant que l’on essaye de passer le plus rapidement possible. L’enjeu sera de ne pas trop faire déraper l’auto et surtout d’être assez rapide pour braquer dans l’autre sens après le passage d’un cône.
Clairement, la Clio RS est joueuse et se manie encore plus aisément qu’une Impreza XV. Cela est dû à plusieurs choses. Dans un premier temps, il y a les pneus neige (des ContiWinterContact TS 830 P) qui jouent un rôle majeur. La même voiture avec des pneumatiques prévus pour la saison estivale n’auraient pas permis de monter la moindre dénivelée !
Avec les pneus neige Continental, le freinage d'urgence se passait en toute sérénité. La motricité était toujours présente et permettait donc d'effectuer un évitement
L'excellente tenue de route de la Clio RS était due en grande partie aux pneumatiques ContiWinterContact™ TS 830 P montés sur les quatre roues
Par ailleurs, les nombreuses aides électroniques de l’auto permettent au conducteur novice d’éviter bien des erreurs ! Le freinage et la pédale des gaz s’en trouvent ainsi régulés. Du coup, les virages et les freinages s’enchaînent sans la moindre crainte. Bref, en tant qu’amateur sur glace, la Renault Clio RS saura satisfaire tout le monde, pour les plus ardus, ils préfèreront sans doute une propulsion ou le Polaris RZR !
Le constructeur Renault fait partie des plus grands groupes automobile dans le monde. Il s’agit d’une entreprise créée en 1899 par les frères Louis, Marcel et Fernand Renault (source Wikipédia). Aujourd’hui, le chiffre d’affaires se compte en milliards et les ventes en millions. Ce petit rappel chiffré et historique effectué, la question que l’on se pose est : «faut-il choisir une Renault d’occaz’» ?
Comme on peut s’y attendre, la réponse à cette interrogation n’est pas tranchée. En effet, on ne peut pas dire que toutes les Renault ont été fiables ou l’inverse. Même en parlant plus précisément d’un modèle ce genre d’affirmation n’est pas possible car de nombreux éléments changent lors de la carrière commerciale d’une Twingo par exemple. Ainsi, si l’on prend la première génération de cette dernière, il y aura des différences suivant les séries, les restylages et les motorisations. Il est connu que des moteurs sont plus réputés que d’autres.
Pour avoir tout de même quelques lignes directrices, on peut dire que les autos au losange sont en grand nombre sur le marché de l’occasion français. Le constructeur est depuis des décennies numéro un en France. L’avantage est pour l’acheteur. Si vous cherche une Clio 2 et que le vendeur ne veut pas baisser son prix, il sera facile d’en trouver une autre équivalente et moins chère.
En ce qui concerne la fiabilité des modèles Renault, il est conseillé d’éviter les autos vendues autours des années 2000 et plus spécialement la Laguna qui a rencontré bon nombre de problèmes. A cet époque les marques automobiles sont se lancer dans électrisation de leurs véhicules sans que cette technologie soit entièrement maitrisée sur le plan de la fiabilité. Par conséquent, bon nombre de bugs et anomalies sont à prévoir. Les diesels sont à déconseiller dans certains cas.
Voici quelques modèles à éviter (en rouge) et à choisir (en vert) :
Modèle | Année | Fiabilité |
Clio 2 | 1998 – 2004 |
C’est un modèle à la fiabilité moyenne. Le gros point noir est la vanne EGR qui s’encrasse sur les modèles dCi et provoque des pertes de puissance. ? Choisir la Clio Campus est une très bonne alternative. |
Espace 3 | 1997 – 2002 |
La fiabilité n’est pas son point fort. La vanne EGR fait défaut sur les 2,2 l dCi et le 1,9 dTi 100 ch souffre d’une poulie d’alternateur qui ne résiste pas et pouvant entraîne la rupture de la courroie et donc une casse moteur. ? L’Espace 4 n’est pas non plus exempté de défauts. |
Koleos | 2008 | Les dernières modèles Renault sont bien plus fiables, le Koleos en fait partie. On lui reproche seulement d’user ses pneumatiques trop rapidement (trains n’allant pas au-delà de 25 000 km). |
Scenic 2 | 2003 – 2009 |
Le leader des monospaces est sain globalement mais la fiabilité du turbo du dCi 120, la faible solidité de l’embrayage des dCi et l’encrassement de la vanne EGR donnent un résultat en demi-teinte. |
A lire également, un comparatif des modèles par segment (citadine, monospace, …) selon l’ADAC.
Finalement, acheter une voiture Renault occasion, c’est une foule de paramètres à prendre en compte !
[MAJ] : Le moteur attendu pour la Renault Clio IV RS serait plus probablement le 1,6 l TCe et non pas le 1,8 l TCe qui est réservé à la Megane. Merci à Gilles pour la correction via les commentaires.
L’actualité des citadines françaises est plutôt agitée : les sorties respectives des Renault Clio et Peugeot 208 ne devraient plus tarder ! Cela étant, qu’en est-il du futur moteur qui équipera la prochaine Clio IV RS ? Beaucoup d’interrogations se posent…
En effet, les choses ne sont pas aussi claires qu’elles auraient pu l’être. Tout d’abord, il s’est récemment posé la question de la déclinaison 3 portes. La quatrième génération de la Renault Clio en sera-telle dotée ? Rien n’est moins sûr d’après ce qui se dit sur les forums automobile… Peu vendue, si ce n’est en tant que voiture de société, le constructeur au losange pourrait lui abréger sa carrière…
Seulement, comment serait commercialisée la Clio IV RS ? La réponse serait donc d’adopter la même stratégie que Citroën et sa C3. Il faut le savoir, tellement le re-carrossage est bon, la DS3 est une C3 trois portes déguisée ! On imagine bien les économies qu’à pu faire la marque tout en s’attaquant au marché des petites citadines premium qui est en plein boum. Alors, est-ce que Renault prendra le même chemin ? La question se pose. Si pour le moment on ne peut y répondre avec certitude, cette option est plausible.
En attendant, on a appris que question moteur, la future Renault Clio IV allait abandonner le 2,0 litres 16v de 200 chevaux à cause de la norme Euro V anti-pollution. Ce sera donc le 1,8 l TCe doté d’un turbo qui sera chargé d’emmener la petite sportive dans les tours.
Vivement l’essai !
Impossible d’y échapper ses derniers temps : la « deutsch qualität » est partout dans les spots tv automobile des constructeurs allemands. Certains y vont par un slogan comme Volkswagen et d’autres comme Opel en font carrément le sujet de la publicité.
Ainsi, en 2010 pour la Corsa fût présentée la séquence vidéo suivante sur les écrans :
On peut voir qu’avec son accent allemand, le commercial donne raison sur tous les points à l’auto car elle est allemande. L’allusion au régulateur de vitesse et donc aux contrôles radar est bien vue même si on grimace un peu !
Et là où ça devient amusant, c’est lorsque ce genre de publicité est parodié. C’est une marque française qui en a eu l’audace, et sans grande surprise il s’agit du constructeur au losange qui se révèle toujours sur les devants et efficace en terme de communication.
Voici la pub de la Corsa parodié par Renault avec la Megane :
Tout d’abord, on peut saluer la réussite des personnes qui ont monté ce spot, un vrai moment de rires où l’on est bien content de rendre la pareille aux allemands qui ne cessent de jurer que par la nationalité de leurs voitures ! Le coup du « Ich bin ein Berliner » est terrible !
Puis, la reproduction est parfaite. La séquence vidéo étant récente, il difficile de mesurer les retombées (bonnes ou mauvaises). Mais à coup sûr, il s’agit déjà d’un buzz qui traversera le Rhin !
Renault est face à un dilemme pour son nouvel Espace 5 : faut-il garder la politique tarifaire pratiquée aujourd’hui ou bien réduire la marge de ce modèle pour lui garantir sa survie ? La dernière option est sans doute la meilleure, car plus que jamais le grand monospace du losange doit affronter une concurrence de plus en plus fournie et déterminée avec la Ford Galaxy par exemple.
Pour cette génération de l’Espace, le constructeur va revoir sa gamme de prix. Les tarifs ne seront plus aussi élevés que pour l’actuelle mouture démarrant à 36 100 € pour atteindre les 52 900 € dans sa version 2,0 l dCi 175 FAP BVA Initiale Euro 5.
Pour l’Espace 2013, le prix du neuf devrait démarrer aux alentours des 30 000 €. Peut-être un peu moins, peut-être un peu plus. Cela dépendra du positionnement tarifaire choisit par Renault, car aujourd’hui le Galaxy débute à 29 800 € dans sa version 2,0 l 145 Flexifuel Trend.
Affaire à suivre…