On connaît déjà le succès de la Citroën Ami qui a su convaincre par un tarif accessible et une facilité d’utilisation pour tous les usagers de la route même ceux sans permis. On connaît également le succès de la Fiat 500 qui depuis plus de 10 ans séduit les automobilistes par son look néorétro. Fiat a alors décidé de croiser les deux dans une petite voiture sans permis au charme fou ! Découverte de la toute nouvelle Topolino
La dolce vita
Fiat s’est ouvertement inspiré de son passé, encore une fois, pour dessiner cette Topolino. En effet l’inspiration est celle de la Fiat 500 originel qui a connu immédiatement le succès en raison de son style charmant avec ses rondeurs. Rapidement surnommée « Topolino » signifiant « petite souris », le surnom de la Fiat 500 devient l’appellation officielle de la voiture sans permis du constructeur piémontais.
Cette gamme s’articule autour de deux carrosseries. La première est la Dolce Vita qui a une carrosserie ouverte et est celle qui fait sensation puisqu’elle n’a pas de véritables portières permettant de profiter du grand air, une proximité des éléments qui s’accentue aussi par son toit ouvrant en toile. Une voiture destinée aux beaux jours et qui devrait être la nouvelle coqueluche des propriétaires de résidences secondaires en bord de mer. Fiat l’a bien compris et à décider d’installer une douchette dans sa voiture permettant de se rincer après un moment de détente passé à la plage.
Le charme italien pour profiter des villes
La seconde carrosserie est plus conventionnelle puisqu’elle obtient des portes et un toit rigide mais elle n’est pas pour autant ennuyeuse. Effectivement, les acheteurs seront certainement séduits par ses éléments rappelant les Fiat des années 60 et 70 comme ses détails chromés, ses optiques ronds, sa teinte Verde Vita ou encore ses jantes uniques.
Sa motorisation électrique est alors parfaite pour circuler sans polluer, le temps des véhicules sans permis diesel semble de plus en plus révolu. Avec une autonomie maximale de 75 km et une vitesse maximale bridée à 45 km/h, elle se limite à la ville mais c’est pour cela qu’elle a été conçue. Elle peut alors être une concurrente de choix face à un cyclomoteur réputé plus dangereux et plus inquiétant pour les parents souhaitant donner une indépendance à leur adolescent dès 14 ans.
En d’autres termes, cette Fiat Topolino est la cousine italienne de la maintenant célèbre Citroën Ami que l’on connaît depuis plusieurs années dans les grandes villes de France. Elle utilise la même batterie de 5,5 kWh. Cependant pas de couleur grise pour la version Fiat puisque le constructeur italien a décidé de chasser cette couleur de son catalogue car elle ne correspondrait pas à l’âme de l’Italie.
Un achat facilité
Pour s’offrir la nouvelle Fiat Topolino, le constructeur a choisi un processus de configuration simplifié en seulement 3 clics. Un parcours qui permet aussi aux acquéreurs de suivre la commande de leur véhicule. Fiat annonce également qu’un système de loyer abordable va être proposé à un prix proche d’un abonnement à une plateforme de streaming.
Fiat a récemment annoncé dans une vidéo vouloir retirer la couleur grise de son catalogue jugeant cette couleur trop ennuyante pour l’associer aux charmes de l’Italie. Pour cette annonce, le constructeur de Turin a utilisé la nouvelle Fiat 600e qui se dévoile à présent. Le tour du propriétaire de ce nouveau SUV électrique par la marque italienne !
La dolce vita
Fiat dévoile son nouveau SUV électrique qui porte le nom de 600e. Un retour du chiffre 600 qui fait évidemment référence au modèle de 1955 qui était un dérivé plus spacieux de la Fiat 500. Aujourd’hui encore, la Fiat 600e se rapproche de la Fiat 500e avec son style. Notamment ses optiques à LED rond et sa ligne tout en rondeur. Le modèle obtient le logo 600 en chrome qui trône fièrement à l’avant du véhicule mais aussi sur les bas de caisse tandis que l’on retrouve un drapeau italien embossé sur le pare-chocs arrière. Une voiture fière de ses origines qui n’oublie pas le côté dynamique avec des jantes de 18 pouces ou des bas de caisse et des passages de roues noir mat.
Ce nouveau modèle dans la gamme Fiat arrive hautement en couleur avec la version (600e)RED qui est bien évidemment disponible en rouge mais aussi en Onyx Black et Ice White alors que la version La Prima propose 4 coloris métallisés : Orange Sun of Italy, Sable Earth of Italy, Bleu Sea of Italy, Vert Sky of Italy.
La modernité à bord
Si l’extérieur joue la carte du néo-rétro pour séduire. L’habitacle est de son côté bien moderne puisqu’il peut obtenir des équipements comme un système d’infodivertissement avec un l’écran tactile de 10,25 pouces permettant de gérer l’éclairage d’ambiance allant jusqu’à 64 combinaisons de couleurs. On distingue aussi des prises USB type A et type C ainsi que du type C pour les places arrière, un emplacement de recharge par induction ou encore l’ouverture sans clé, le hayon électrique, la climatisation automatique ainsi que des sièges électriques chauffants et massants.
À propos des aides à la conduite, la Fiat 600e s’équipe d’un régulateur de vitesse adaptatif ACC, la reconnaissance des limitations de vitesse, la détection d’angles morts, le freinage d’urgence autonome avec détection des piétons et des cyclistes mais aussi de radars à 360 degrés ainsi qu’une caméra de recul.
Cote habitabilité, avec son gabarit compact de 4m13 la Fiat 600e ne peut proposer un grand coffre. Il faut se contenter des raisonnables 360 litres proposés avec l’ajout de 15 litres de rangement intérieur.
100% électrique
Pour cette Fiat 600e, le constructeur italien a fait le choix de l’électrique en dotant au lancement son véhicule d’une unique motorisation branchée. On y retrouve un groupe bien connu dans le groupe Stellantis auquel Fiat appartient puisqu’il s’agit du moteur électrique de 156 chevaux et de la batterie de 54 kWh. Ainsi dotée, elle peut prétendre avoir une autonomie de 400 km en cycle WLTP et jusqu’à 600 km en ville selon Fiat.
Afin de faciliter les longs trajets, la Fiat 600e est équipée de la charge rapide en 100 kW permettant de passer de 20 à 80% de batterie en seulement 27 minutes. Elle dispose aussi d’un câble 11 kW laissant la possibilité de charger complètement à domicile ou sur les bornes publics en environ 6 heures.
Le carnet de commandes ouvre ce mercredi 5 juillet, les premières livraisons en France débuteront à la rentrée prochaine.
Fiat a surpris ses derniers jours le monde automobile en annonçant retirer de son catalogue la couleur grise alors qu’elle figure parmi les préférées des consommateurs. Comment comprendre cette mesure ? On vous explique tout ce qu’il faut savoir sur Abcmoteur
Pour l’optimisme, la passion, l’amour et la vie !
Selon le patron de Fiat, Olivier François, le gris est la couleur préférée la plus répandue dans les gammes des constructeurs d’automobiles comme il l’admet : « le gris, c’est la couleur préférée des constructeurs. Pour les voitures allemandes, japonaises et françaises. », Alors comment comprendre ce choix radical de supprimer le gris de son catalogue ?
Pour Fiat, il y a une différence entre les Allemands, les Japonais ou encore les Français avec les Italiens. En effet, selon la déclaration en vidéo d’Olivier François, l’Italie est le pays » de la joie, de l’optimisme, de l’amour et de la vie et le gris ne peut pas convenir à cela ». Le monde n’aurait alors pas besoin d’une nouvelle voiture grise.
Une décision radicale
Il faut donc comprendre qu’il n’y aura plus de gris pour les Fiat à partir de maintenant. Pour symboliser cette décision forte, Fiat a choisi de prendre une Fiat 600, prochain modèle du constructeur italien, et de la plonger dans un immense pot de peinture orange au milieu du village colore de Lerici au bord de la Méditerranée dans la province de la Spezia.
Fiat prend aussi un nouveau slogan qui marque cette décision : » Fiat, the brand of colours » qui traduit en français signifie « Fiat, la marque de couleurs »
Au cours de l’année 2021, le groupe FCA nous a présenté le concept Abarth 1000 SP (Sport Prototipo). Ce concept flatteur s’inspirant d’une production de la marque dans les années 60 avait peu de chance de voir le jour, mais les réactions du public ont poussé Abarth et le groupe FCA à envisager une production.
Afin de réduire les coûts de développement, cette sportive réutilisera la plateforme et le moteur de l’Alfa Romeo 4C pour qui la production vient de se terminer. Une manière de lui rendre hommage également. On retrouve donc le 4 cylindres 1,8l turbo de 240 chevaux en position centrale arrière, ce sera en toute logique une propulsion légère qui devra ravir les amateurs de conduite sportive.
Abarth devrait produire 5 exemplaires si l’on en croit Auto Italia Magazine qui se sont entretenus avec le patron de FCA Heritage Roberto Giolito. Une voiture très exclusive qui n’aurait pas dû voir le jour car au départ éclipsé pour faire de la place à l’Alfa Romeo 4C.
Plus d’informations devraient arriver en ce début d’année. On se réjouit de voir une nouvelle sportive légère bien qu’ultra-confidentielle après l’arrêt de la Lotus Elise ou encore de la 4C.
Il ne s’appelle pas Abarth bien que l’inspiration soit là. En devenant Sport, le 500X s’encanaille gentiment mais rate le compromis idéal.
Selon un sondage effectué en interne par Fiat, le style extérieur arrive en tête des raisons d’achat pour 69 % des clients de 500X. Le SUV urbain plaît, à tel point qu’il a grignoté 5,4 % de part de marché sur le segment cette année. Ceci étant posé, il aurait été dommage pour Fiat de se priver d’une déclinaison supplémentaire du 500X. La finition Sport vient donc rejoindre une gamme déjà fournie (Cross, City Cross, Lounge et Club) et apporte avec elle quelques nouveautés stylistiques. L’Italien gagne ainsi des pare-chocs plus enveloppants, de nouvelles jantes, une double sortie d’échappement chromée ainsi qu’une nouvelle couleur Rouge Sport Métallisé. Sans verser dans l’ostentatoire, la présentation spécifique est efficace et muscle bien la silhouette du 500X.
Une paire de badges Sport prennent place sur les ailes avant, tandis que les arches de roues deviennent couleur carrosserie. Le tout s’accompagne d’éléments contrastés Gris Satiné (rétroviseurs, lame de coffre, moulure autour du logo à l’avant…), une couleur que l’on retrouve également dans l’habitacle, pour la planche de bord. Mis à part ça, il est bien compliqué de différencier la version Sport des autres finition du 500X depuis l’habitacle, sauf si vous optez pour l’option Pack Sport Plus (600 €) qui ajoute un peu d’Alcantara sur la casquette du combiné d’instrumentation et sur la zone de préhension du volant, ainsi qu’un pédalier en alu et un éclairage d’ambiance. La finition est meilleure que dans la citadine 500, mais ne vous attendez pas à des miracles. Les plastiques durs foisonnent tandis que les ajustements sont corrects, sans plus.
Ça va secouer !
Sport faisant référence à une finition, tous les moteurs du 500X sont disponibles avec. Nous avons roulé avec le 1.3 turbo de 150 ch nouvellement introduit dans la gamme. Bien qu’étant le bloc le plus puissant, il reste malgré tout très sage dans son comportement et la puissance est délivrée de manière très linéaire. Ses 270 Nm de couple sont appréciables et gages de reprises tout à fait correctes, mais la boîte à double embrayage qui lui est forcément accolée gâche un peu le plaisir. Lente et peu réactive en mode automatique, elle est un peu plus alerte en utilisant les palettes au volant, mais ces dernières sont placés très haut ce qui ne les rend pas particulièrement agréable à utiliser.
Autre point sujet à controverse, le châssis est lui aussi retouché. En choisissant le moteur 150 ch, le 500X Sport est en effet affublé de ressorts courts et des amortisseurs Koni des Abarth 595. Sur sol sec et si le bitume est en excellent état, le SUV compact fait preuve d’une belle précision de conduite et d’un grip enviable pour la catégorie. En revanche, à la moindre aspérité ou trace d’humidité (sans parler de la neige rencontrée lors de notre essai!), tout part en vrille. Les suspensions s’avèrent alors trop sèches, le 500X sautille et cherche ses appuis plus qu’il ne lit la route. La motricité est immédiatement mise à mal et, comme sur les Abarth, les remontés de couple dans le volant deviennent légion. Déjà relativement ferme pour une auto dédiée avant tout à la famille, le 500X Sport franchit encore un cap et peut devenir inconfortable sur long trajet, surtout pour les passagers qui sont vite secoués.
Résultat malheureux
Le vrai problème du 500X Sport 150 ch, c’est d’avoir trop voulu imiter la recette suivie par la petite Fiat 500 devenue Abarth 595, mais sans être allé jusqu’au bout de l’opération. Faire une vraie déclinaison sportive qui laisse le confort de côté pour mettre le fun au premier rang ? Qu’à cela ne tienne, mais greffez lui le 1.4 turbo des Abarth, bien plus expressif, sonore et explosif que ce 150 ch honnête mais trop timide. Et donnez lui une boîte manuelle, ou à défaut une boîte auto rapide et dotée de palettes plus accessibles pour en profiter pleinement. Si le look de la finition Sport vous intéresse (jantes de 18 pouces de série, surpiqûres rouges dans l’habitacle, kit carrosserie…), autant opter pour une autre motorisation qui sera livrée avec un châssis plus conciliant. Dommage que le 500X Sport rate le coche de la bombinette rigolote, surtout que sa bouille sympa marque vraiment le pas face aux autres finitions disponibles. Le transalpin démarre à 25 990 €, c’est 4 300 € de plus que l’entrée de gamme City Cross et 1 700 € de plus que la finition intermédiaire Lounge.
L’une des vedettes de ce Salon de Genève 2016 est l’Opel Astra (lire notre essai). L’Allemande a reçu le convoité prix de Voiture de l’année. L’occasion de se rappeler que Fiat est le constructeur qui détient le record de titres, avec neuf autos distinguées. Parmi celles-ci, la première Tipo, en 1989, et le duo Bravo/Brava, en 1996.
Deux nouvelles carrosseries
Il fut donc un temps où l’Italien était réputé sur le marché des compactes. Mais depuis le début des années 2000, plus rien ne va. La Stilo n’a pas été un grand succès et la Bravo deuxième du nom, bien que dotée d’un style séduisant, a mené une carrière discrète. Aujourd’hui, malgré un joli passé sur le segment, Fiat n’a plus aucune légitimité chez les compactes. Et c’est comme s’il partait de zéro que l’Italien a levé le voile sur la nouvelle Tipo à Genève.
Ou plus exactement sur deux nouvelles carrosseries de la Tipo du 21ème siècle. Fiat avait tout d’abord dévoilé la variante berline en Turquie. Une silhouette très appréciée en Europe du Sud et de l’Est, mais pas vraiment à l’Ouest. Pour mieux coller à nos goûts, le transalpin propose donc maintenant une variante rabotée à hayon, ainsi qu’un break.
Argument prix
Conscient que venir affronter les Golf et 308 de manière frontale était mission impossible, Fiat a décidé d’attaquer le marché des compactes avec un positionnement précis : un véhicule sage aux tarifs canons. Si la grille de tarifs de ces modèles n’est pas encore connue, il ne fait aucun doute qu’il y aura un écart de plusieurs milliers d’euros avec les références du segment.
La Tipo, c’est selon Fiat « du contenu, pas de superflu ». Elle s’intègre à la ligne de produits « pragmatiques » de la marque, avec de la fonctionnalité et de la simplicité. Cela se ressent dans le design. La Tipo n’est pas moche, mais elle n’attirera pas les regards dans la rue. La 5 portes multiplie les faux-airs : les portières font penser à l’ancienne Série 1, les optiques à la Giulietta… Le break est plutôt agréable, avec une soute bien intégrée. Il mesure 4,57 mètres de longueur, soit 20 cm de plus que la 5 portes.
Connectivité à jour
Bonne nouvelle à l’intérieur : ces nouvelles versions ont une planche de bord légèrement revue par rapport à la berline turque. Le petit écran abrité sous une immense casquette en plastique dur est remplacé par un plus grand écran tactile de type tablette, de 7 pouces, avec le système connecté Uconnect Live. En téléchargeant une application sur l’App Store d’Apple ou Google Play, on a accès dans son auto à des services connectés, comme la musique en streaming. Voilà qui est nettement plus moderne.
Le haut de la planche de bord est légèrement rembourré. Mais tout le reste est dur. On ne peut pas trop en demander. En bonnes Fiat, ces Tipo mettent en avant une habitabilité de première classe. Les volumes de coffre ne sont pas en reste avec 440 litres pour la compacte classique et 550 litres pour le break.
La liste de moteurs fait dans le rationnel avec des blocs de milieu de gamme. Du côté du diesel, il y a le 1.3 95 ch et le 1.6 120 ch. Pour l’essence, on a le 1.4 16V 95 ch, le 1.4 T-Jet 120 ch et le 1.6 E-torQ 110 ch couplé uniquement à une boîte automatique 6 rapports. Le diesel 120 ch est proposé avec une boîte double embrayage.
Fiat a maintenant deux visages. Lorsque l’emblématique PDG du groupe FCA, Sergio Marchionne, a dévoilé la stratégie de ses différentes marques pour la période 2014/2018, il a expliqué que la maison mère aurait une gamme clairement divisée en deux.
Nom venu du passé
D’un côté, les produits sobres, fonctionnels, sans émotion particulière, dont Fiat est un spécialiste. Parmi ceux-ci, la Panda ou la nouvelle compacte Tipo. De l’autre, les autos « fun », avec l’incontournable famille 500… et (enfin) un produit plaisir qui n’est pas lié à la petite puce de la marque, un roadster !
Ce petit roadster est une version revue et corrigée du MX-5. La copie aura fort à faire face à l’originale !
Pour les plus jeunes, un tel véhicule peut sembler étonnant dans la ligne de produits Fiat. Mais la firme italienne n’en est pas à son premier spider ! Le dernier en date, la Barchetta, a pris sa retraite en 2005. Le plus célèbre reste… le 124 Spider, né dans les années 1960. Comme pour la 500, Fiat souhaite faire revivre une ancienne gloire.
Cousin du MX-5
Mais l’histoire de cette nouvelle version est assez rocambolesque. Au tout début du projet, cela devait être une Alfa Romeo ! La firme au trèfle s’était en effet alliée à Mazda pour proposer un dérivé du MX-5. Mais Sergio Marchionne a vite stoppé les manœuvres, expliquant qu’une Alfa devait être 100 % transalpine et produite en Italie. On a alors dit qu’Abarth allait récupérer seul l’auto… et c’est finalement Fiat qui le commercialisera en premier.
Mazda est toujours de la partie. Ce 124 Spider n’est d’ailleurs rien de plus qu’une MX-5 recarrossée. Toute la face avant a été revue. Par rapport au Japonais, elle est visuellement allongée. Comme la 500 n’est jamais loin, la 124 Spider adopte des optiques arrondies. Le bouclier intègre une double bouche, sans grande personnalité.
Habitacle 100 % japonais…
La partie arrière est aussi très différente de celle du MX-5. Si l’avant est plutôt rondouillard, la poupe se fait anguleuse, avec des feux rectangulaires. On a l’impression que les deux extrémités de l’auto ne vont pas ensemble ! De manière générale, ce 124 a un air plus costaud (qui a dit bouffi ?) que la MX-5.
A l’intérieur, découverte désagréable : rien n’a changé par rapport au roadster japonais. Fiat a juste apposé son logo sur le volant ! Alors, la planche de bord du MX-5 présente très bien, avec un agréable côté dépouillé, mais on voit mal comment Fiat peut nous vendre l’Italie à ce niveau ! En toute logique, la liste des équipements est identique.
… mais moteur italien
La base technique est également identique au MX-5. Ce qui n’est pas une mauvaise chose, la 124 Spider profitera des qualités de la Japonaise, très légère. Mais le cœur qui bat sous le capot est inédit. Fiat n’a pas repris les blocs de la Mazda. Il a monté un moteur issu de sa banque d’organes, un 1.4 essence de 140 ch. Il sera couplé au choix à une boîte manuelle ou une boîte automatique, toutes deux à six rapports et reliées aux roues arrière.
On ne pourra en dire plus car… Fiat n’en dévoile pas davantage ! L’auto a été présentée à Los Angeles dans sa version américaine. La 124 Spider semble d’ailleurs imaginée en premier lieu pour les USA. Mais elle sera bien disponible chez nous dans le courant de l’été 2016. La version européenne devrait être révélée au Salon de Genève en mars.
La série anniversaire limitée à 124 exemplaires dans le monde
Depuis un an, Fiat ne commercialise plus en France de berline compacte. Un trou dans sa gamme qui sera comblé dès 2016 avec la Tipo.
Retour de la berline compacte chez Fiat
Jusqu’en 2014, Fiat proposait la Bravo. Un modèle qui n’a jamais atteint ses objectifs de ventes et est tombé peu à peu dans l’oubli. Une petite déception au regard de son design à mon sens réussi. Heureusement, l’arrivée de la Tipo va permettre de choisir entre trois formes de carrosseries dans les concessions de la marque italienne. La Tipo qui débarquera à l’été 2016 sera en effet disponible en quatre portes, cinq portes à hayon et break.
L’AEgea s’appelle en réalité Tipo. Une appellation délaissée depuis 1995
Ce modèle à vocation mondiale, d’abord présenté au mois de mai dernier sous le nom de code AEgea, sera proposé à un tarif attractif qui reste pour le moment inconnu. Cette future rivale des Peugeot 308, Kia cee’d et Volkswagen Golf sera disponible avec des moteurs essence et diesel modestes allant de 95 à 125 ch. On devrait en apprendre davantage sur ses caractéristiques au printemps prochain.
Une illustration de la version à hayon (crédit : RM.Design)
Le lieu de production est l’usine de Tofas de Bursa en Turquie. Les commandes seront ouvertes à partir d’avril 2016. Le salon de Genève lui permettra de s’offrir un premier contact avec le public européen.
Ce n’est un secret pour personne, Fiat présentera bientôt la 124 Spider qui est un petit roadster sur la base de la Mazda MX-5. Les premières photos sans aucun camouflage viennent de paraître !
Le futur roadster Fiat n’a presque plus aucun secret
Malgré l’utilisation de la plateforme japonaise de la MX-5, la 124 Spider arrive à se démarquer de sa future rivale, du moins extérieurement. Fiat a revu en profondeur la face avant qui est moins plongeante tout en donnant l’impression d’avoir un capot plus long. A l’arrière, les feux sont rectangulaires. Ils rappellent un peu ceux de la 500 restylée.
Les deux sorties d’échappement pas trop volumineuses sont bien senties. Le cabriolet serait disponible avec un 1,4 l turbo d’environ 180 ch, quand la version Abarth utiliserait le 1,75 l des Alfa Romeo 4C et Giulietta QV pour une puissance aux alentours des 200 ch, voire un peu plus. Malheureusement, l’habitacle de la 124 Spider sera quasiment identique à la MX-5 si nous avons bien sous les yeux le modèle définitif. Le volant et la sellerie devraient être les rares éléments à différer entre les habitacles des deux autos…
La 124 Spider est ici équipée d’une boîte auto, mais une boîte manuelle pourra être choisie
La présentation officielle de la Fiat 124 Spider devrait avoir lieu en novembre prochain au salon de Los Angeles, tandis que la commercialisation se ferait lors du salon de Genève en mars 2016.
Plus que quelques jours avant l’ouverture du Salon de Francfort 2015. Les nouveautés défilent, la tension monte ! Abcmoteur a décidé de faire le point sur le programme de ce grand show, en listant les nouveautés déjà annoncées, celles attendues et les surprises potentielles. Après les Français, le premium allemand ou encore les Allemands, Espagnols et Tchèques généralistes, fin de notre périple européen avec les Italiens et Anglais.
Bentley
Evénement pour la firme britannique. Bentley viendra à Francfort avec son tout premier SUV. Dévoilé il y a quelques jours, le Bentayga est doté d’un W12 6.0 de 608 ch, ce qui en fait le 4×4 de série le plus puissant et le plus rapide au monde. C’est aussi le tout-terrain le plus luxueux et sans aucun doute le plus cher ! Voilà qui promet un beau duel avec son compatriote Range Rover.
Autre marque britannique qui exposera en Allemagne son premier SUV : Jaguar. Mais le modèle du félin, nommé F-Pace, sera nettement plus abordable… et plus compact. Il rivalisera avec les Audi Q5 et Mercedes GLC. Pour l’instant, une seule image officielle de l’auto a été publiée. Pour en voir davantage et surtout connaître les informations techniques, il faudra attendre l’ouverture du Salon à la presse. Le F-Pace, qui comme son nom l’indique, s’inspire de la F-Type (lire notre essai), sera commercialisé courant 2016.
Land Rover
Pour le moment, c’est silence radio du côté de Land Rover. La marque n’a encore annoncé aucune nouveauté. Pourtant, elle en a bien une dans les tuyaux : la déclinaison cabriolet de l’Evoque, « teasée » officiellement dès le Salon de Genève ! Land Rover attend t-il l’ouverture du Salon pour le dévoiler… ou le réserve-t-il à un Salon plus ensoleillé, celui de Los Angeles (fin novembre) ?
Si Mini appartient au groupe BMW, son cœur est toujours britannique. Le Salon de Francfort 2015 marquera le début d’une nouvelle ère pour Mini avec la présentation du plus grand véhicule de son histoire, le Clubman III. Ce modèle est désormais un grand break à six portes, mesurant 4,25 mètres de long. Objectif de la marque : détourner des clients des compactes premium.
Les firmes britanniques sont en forme à Francfort. Rolls Royce dévoilera lui aussi un nouveau modèle, ce qui lui arrive rarement compte tenu de sa petite gamme. Il exposera en première mondiale la Dawn, qui n’est autre que la version cabriolet de la Wraith. Une découvrable ultra luxueuse, que la marque décrit comme le modèle cheveux dans le vent le plus confortable du marché.
Pour une fois, c’est Alfa Romeo qui va présenter au sein du groupe Fiat quelque chose de 100 % nouveau à Francfort. Et c’est même un sacré morceau, puisqu’il s’agit de la berline Giulia, qui marque le renouveau d’Alfa. Pour l’instant, seule la version sportive QV de 510 ch a été montrée. On espère donc découvrir le jour J le reste de la gamme, pour voir à quoi ressemble l’auto sans un kit carrosserie.
Avec Ferrari, pas de temps à perdre. Le coupé 488 a été dévoilé en mars au Salon de Genève, voici à Francfort la variante Spider ! Comme pour la 458, qui a servi de base, l’auto est dotée d’un toit rigide rétractable. Dans les entrailles, le nouveau V8 biturbo de 670 ch. Certains espèrent découvrir aussi la variante épicée de la 599, qui pourrait se nommer GTO. Mais Ferrari n’est pas vraiment du genre à dévoiler deux nouveautés dans le même Salon.
Fiat va sûrement mettre en avant à Francfort sa « nouvelle » 500. Mais celle-ci a été présentée début juillet et est même visible depuis un mois et demi dans les concessions. Il y aura donc un fort air de déjà vu. Aucun inédit n’est annoncé pour l’instant, et s’il y en a, ils devraient tourner autour de la 500 ! De son côté, le 124 Spider devrait être montrée fin novembre à Los Angeles. Reste la division sportive Abarth, qui pourrait elle aussi exposer sa 500 mise à jour et pourquoi pas la version épicée de la 500 X.
L’info a été confirmée il y a quelques jours : la firme au taureau viendra à Francfort avec la variante Spyder de son Huracan. L’actu est donc très « aérée » pour Lamborghini, car cette présentation fera suite à la révélation de l’Aventador SV Spyder ! L’Huracan sans toit arrivera sur le marché près de deux ans après le coupé. Ceux qui sont intéressés devraient déjà réserver leur auto, car les délais de livraison vont vite exploser.
Lancia
Triste événement sur le stand de la marque italienne. Celle-ci devrait présenter à Francfort sa dernière nouveauté : l’Ypsilon restylée. La citadine chic italienne adopte une nouvelle calandre et un nouveau bouclier avant. Elle met aussi sa connectivité à jour.
Maserati
Aucun programme pour Maserati. La marque va-t-elle créer la surprise au dernier moment en révélant son premier SUV ?
Fiat fait une petite entorse à sa sacro-sainte règle du 4 juillet ! Cette date est très importante pour la firme italienne puisqu’elle correspond à l’anniversaire de la première 500, née en 1957… et à celui de la moderne, apparue pile 50 ans après. La marque nous avait donc encore donné rendez-vous cette année le jour de la Saint Florent pour la présentation de la nouvelle version. Mais se rendant compte que les retombées médiatiques seraient moindres un samedi, Fiat a levé le voile sur l’auto avec un jour d’avance !
Des détails qui font toute la différence !
Bon, le mot « nouvelle » est exagéré, vous l’avez vite compris en regardant ces premières images officielles. Lancée il y a maintenant 8 ans, la 500 réussi l’exploit de toujours attirer du monde dans les concessions. Il n’y avait donc pas urgence à travailler sur une grosse refonte. Mais pour ne pas voir la courbe des ventes trop plonger, il fallait tout de même apporter une touche de fraîcheur. Et le résultat est réussi.
Des retouches subtiles qui à n’en pas douter suffiront à relancer les ventes.
La face avant a été modifiée par petites touches. Il y a de nouveaux projecteurs additionnels, qui intègrent une signature lumineuse faisant référence à la forme des « 0 » du logo 500 (rien n’est jamais fait au hasard). La fente sous la calandre a été modifiée. La bouche principale hérite sur les versions haut de gamme d’un nouvel habillage avec des petits points brillants. Les baguettes chromées autour de la plaque d’immatriculation ont été supprimées et remplacées par des moustaches plus petites.
Enfin l’heure du tactile
A l’arrière, la transformation la plus visible se situe au niveau des feux. Ils sont désormais constitués d’un cadre rouge avec au centre un insert couleur carrosserie. Un petit rien qui change tout ! Le bouclier a également été redessiné. La 500 millésime 2016 reçoit aussi de nouveaux dessins de jantes alliage 15 et 16 pouces et sa palette de coloris accueille les teintes Corallo Rouge et Opéra Bourgogne.
A l’intérieur, il y a une grande modification : la partie supérieure de la console centrale a été entièrement revue. Les aérateurs sont maintenant verticaux et font de la place à un écran 5 pouces (tactile sur les versions hautes). Toutes les 500 sont dotées de prises USB/AUX, du Bluetooth (important depuis l’interdiction des oreillettes au volant) et de commandes vocales.
Moteurs inchangés
Le système Uconnect Live permet de profiter des applications de son smartphone directement sur l’écran de la voiture. Les habitués remarqueront la présence d’un nouveau volant. L’instrumentation en partie numérique n’est pas nouvelle : elle était déjà disponible depuis l’année dernière.
Techniquement, pas grand chose à signaler ! Fiat indique juste que les suspensions ont été revues. La palette de motorisations est la même. L’entrée de gamme est dotée d’un 1.2 de 69 ch. Il y a ensuite le deux cylindres 0.9 litre TwinAir, décliné en 85 et 105 ch. La 500 est toujours proposée avec un bloc diesel 1.3 Multijet 95 ch. Elle et sa sœur Panda sont désormais les seules citadines disponible avec du gazole.
Les prix
Au final, point de révolution. Mais Fiat l’a joué malin. Un peu comme avec les produits high-tech, ceux qui ont déjà une 500 voudront la toute dernière version. Et cette clientèle se cumulera avec les nouveaux convertis. C’est donc reparti pour quelques années de succès ! Les carnets de commandes sont déjà ouverts.
Il y a deux mois de cela, Abcmoteur vous parlait de la venue future d’un cabriolet basé sur la Mazda MX-5 dans la gamme Fiat (lire : Le cabriolet rétro de Fiat révélé fin 2015 !). Grâce au site internet The Truth About Cars, nous sommes en mesure de vous présenter les clichés du premier prototype qui a été aperçu en cours de tests.
La 124 Spider cachera sa parenté avec la MX-5
Le segment restreint des petits cabriolets légers en propulsion va prochainement voir arriver une nouvelle protagoniste : la Fiat 124 Spider ! Sur les photos volées visibles ci-dessous, on peut découvrir celle qui devrait être dévoilée en fin d’année 2015 et plus précisément lors du salon de Francfort (du 17 au 27 septembre). Elle sera également par la suite à Los Angeles (du 17 au 29 novembre).
Attendons de découvrir les images officielles, mais le porte-à-faux avant paraît un peu démesuré au regard de reste de l’auto
L’Italienne se différencie de sa cousine japonaise avec une proue et une poupe spécifiques. A l’avant, on remarque immédiatement ce long nez, ainsi que des optiques de plus grande taille. A l’arrière, il ne semble pas y avoir de crise de croissance. Les feux sont plus gros et la fin du coffre semble plus verticale. En revanche, pour le profil l’apparence est beaucoup plus similaire avec des portes et vitrages quasiment identiques.
Le faible poids donné aux alentours de la tonne ne demandera pas de mécanique puissante pour s’amuser au volant de la 124 Spider que l’on espère joueuse
Enfin, sachez que sous le capot de la 124 Spider – l’appellation reste à confirmer – ce devrait être un quatre-cylindres 1,4 l turbo existant déjà dans la gamme Fiat, notamment sur la 500. Le nombre chevaux s’élèverait environ à 140 et une boîte à 6 rapports sera disponible en transmission manuelle. Une boîte à double embrayage ou en automatique est aussi évoquée. Ce dernier point restant à confirmer.
Hier, Florent vous détaillait les principaux événements et nouveautés attendus dans l’agenda auto du mois de juin 2015. En l’espace de 24 heures, certaines choses ont déjà changé. Par exemple, on vient d’apprendre que la présentation officielle de la Fiat 500 restylée aurait lieu dans un peu moins de 8 jours grâce à un document interne révélé officieusement sur la Toile… (MAJ : les images confidentielles ont été retirées)
Une fuite française ?
Dévoilée en 2007, la 500 contemporaine a rencontré un vif succès dès son lancement. Après 5 ans de carrière, elle s’était déjà écoulée à plus d’un million d’unités ! Seulement, le temps passe et la petite italienne se trouve peu à peu dépassée et menacée par ses concurrentes telles que la Renault Twingo. Pour lui donner un second souffle, Fiat semble sur le point de lui offrir un restylage relativement complet. Voici une illustration de CarPassion afin d’en avoir un aperçu en version Abarth :
Les optiques du 500X sont utilisées et plutôt bien intégrées
Ce serait donc une fiche de présentation qui se serait échappée des bureaux de Fiat France au regard de la langue utilisée ? Il ne s’agit ici que d’une supposition. Toujours est-il que l’on apprend que les nouveautés se concentreront à la fois sur l’extérieur, l’intérieur, quelques technologies, ainsi que la personnalisation. Pas de révolution à attendre pour la citadine.
Chez Abcmoteur, on espère que les nouveaux boucliers ne viendront pas dénaturer l’allure de cette auto pleine de charme et que les feux à LED seront disponibles en série sur la majorité des finitions. Un dernier souhait ? Oui, que la finition intérieure progresse, ce qui semble prévu au regard des modifications concernant la planche de bord, la boîte à gant et le volant.
A suivre très bientôt, le mercredi 10 juin prochain si ces informations se révèlent exactes, ce qui a de grandes chances d’être le cas. La commercialisation française débuterait le 11 juillet 2015.
Fiat avait présenté lors du Mondial de l’Automobile 2014 un SUV urbain appelé 500X. Des rumeurs avaient annoncé l’arrivée d’une version Abarth, mais il nous manquait encore la preuve que le préparateur italien travaillait bien à muscler cette auto. Une vidéo espion vient nous en apporter la preuve…
Un mulet filmé en cavale
Grâce aux Italiens de CarPassion, nous pouvons apercevoir une partie de ce qui semble être un prototype d’une 500X Abarth. Deux éléments permettent pour le moment de le distinguer : une double sortie d’échappement positionnée à droite et des jantes spécifiques d’un diamètre important (19 pouces).
Jusqu’à présent, le Fiat 500X doit se contenter de 140 ch au maximum. Au salon de Francfort, il pourrait apparaître aux couleurs d’Abarth et se révéler nettement plus puissant
Un autre élément nous fait penser chez Abcmoteur que cette version est probable. En effet, le vice-président du design Fiat, Roberto Giolito, avait déclaré en octobre dernier que « le 500X a une bonne carrosserie pour devenir une Abarth » et « qu’il est absolument parfait en terme d’agilité, de contrôle. Le siège conducteur est parfaitement ajusté pour contrôler la voiture. Ainsi, une [version] Abarth serait parfaite ».
200 ch attendus
Sous le capot, il y a fort à parier que l’on ne retrouvera pas le petit quatre-cylindres 1,4 l de la 500 Abarth (voir notre essai), mais plutôt le quatre-cylindres 1,75 l TBi équipant l’Alfa Romeo Giulietta QV (voir notre essai) et la 4C (voir notre essai). Pour le cas du 500X Abarth, la puissance sera probablement contenue à 200 ch, ce qui devrait se révéler suffisant pour aller batailler avec les Mini Countryman John Cooper Works et Nissan Juke Nismo RS qui sont tous les deux des SUV « sportifs » de 218 ch.
Le Fiat 500X Abarth en vidéo
Voici ce qui semble être un prototype du Fiat 500X Abarth en cours de mise au point !
Attention mesdames et messieurs, voici « un truc de dingue » : une nouveauté Fiat qui n’a rien à voir avec la 500 ! Oui, vous ne rêvez pas : la firme italienne a présenté ce matin un véhicule qui n’est pas un énième dérivé de la petite puce (rassurez-vous, celle-ci sera rapidement de nouveau à l’honneur avec un lifting). Son nom ? « AEgea ». Mais ce patronyme semble être celui désignant le projet et devrait donc changer lors de la commercialisation.
Cette berline inédite donnera naissance à une compacte deux volumes, qui remplacera la Bravo.
Made in Turquie
L’AEgea (il n’y a pas de faute de frappe), c’est la nouvelle berline compacte globale de Fiat, qui sera vendue dans 40 pays de la zone Europe, Moyen Orient et Asie. Elle vient d’être dévoilée au Salon d’Istanbul, en Turquie. Un choix qui ne doit rien au hasard : l’auto sera fabriquée dans ce pays à partir du mois de novembre. La Turquie sera aussi servie en premier.
Les autres marchés seront concernés en 2016. La France en fera t-elle partie ? Fiat n’a pas encore communiqué dessus, mais on pense que non. Les berlines compactes ne connaissent pas le succès dans l’Hexagone. Mais Fiat devrait proposer une version deux volumes, qui elle serait bien vendue chez nous à la place de la Bravo.
Plutôt jolie
Sur ces premières images, cette AEgea est plutôt agréable à regarder. Le style est bien équilibré, l’auto évitant l’effet « sac à dos » souvent visible sur les compactes tricorps. La longueur est de 4,50 mètres. Le design est élégant bien que très sobre. C’est simple : si on enlève le logo Fiat, pas facile de retrouver le constructeur à l’origine de cette voiture.
Il faut dire que Fiat n’avait plus dessiné autre chose qu’une variante de 500 depuis belle lurette. On ne savait donc plus à quoi pouvait ressembler une auto de la marque sans quatre optiques rondes ! Les phares étirés de l’AEgea sont reliés à la calandre. A l’arrière, les feux ont un habillage en forme de « P ».
Quatre moteurs
La planche de bord ne brille pas par une grande originalité non plus. Mais la présentation n’est pas désagréable, avec une ligne couleur argentée qui intègre habilement quelques commandes au niveau de la console centrale. Au-dessus des aérateurs est placé l’interface multimédia avec un écran tactile désespérément petit, de 5 pouces seulement. Il intègre la fonction « Uconnect », avec commandes vocales. Fiat promet de la place pour cinq. Le coffre est géant avec un volume de 510 litres.
Fiat annonce la présence de quatre moteurs sous le capot : deux essence et deux diesel. Les puissances vont de 95 à 120 ch, avec des boîtes manuelles ou automatiques. Sans surprise, la marque vante la frugalité de ces mécaniques, avec des versions sous la barre des 4 l/100 km.
Grâce aux Belges d’Autofans, nous en savons plus sur le petit roadster Fiat dont on parle depuis un moment. Voici les nouvelles informations sur ce modèle pour le moment surnommé « 124 Spider » en référence à la 124 Sport Spider produite par la firme italienne à partir du milieu des années 1960.
Le petit cabriolet le plus séduisant du marché sera-t-il italien ?
C’est lors de l’essai de l’Abarth 695 Biposto que les équipes Fiat ont été bavardes sur ce petit cabriolet reposant sur la base de la Mazda MX-5 qui sera donc une propulsion. Dotée d’un design différent mêlant un caractère latin et rétro, la 124 Spider pourrait rencontrer un joli succès. Le constructeur pense sans doute pouvoir conquérir un public féminin comme il a pu le faire avec la 500.
Cette illustration donne un aperçu de ce à quoi pourrait ressembler la Fiat 124 Spider (crédit : Auto Express)
Sa révélation est prévue pour fin 2015, et plus précisément lors du salon de Los Angeles (du 17 au 29 novembre), nous permettra d’avoir un début de réponse ! D’autres sources donnent pour date le salon de Francfort, au mois de septembre, pour la présentation officielle. La commercialisation interviendrait lors de l’été 2016.
Simple, légèrement rétro et élégant
Pour le reste, on apprend que le moteur utilisé serait le petit 1,4 l MultiAir Turbo essence qui se trouve notamment sous le capot de l’Alfa Romeo MiTo QV (voir notre essai) en 170 ch. Ici, il pourrait voir sa puissance atteindre les 200 ch, tandis qu’une version Abarth est déjà évoquée. De quoi faire voir autre chose que la 500 au préparateur au scorpion ! Enfin, le poids de la Fiat 124 Spider devrait se placer juste sous les 1 000 kg, une bonne nouvelle !
Alors qu’elle s’est vendue à plus d’1,5 million d’exemplaires à travers le monde depuis 2007, la Fiat 500 « moderne » aurait bien besoin d’un petit toilettage pour continuer de rayonner sur la catégorie largement renouvelée des minis-citadines ! Un beau succès pour cette mignonne voiture néo-rétro, quand ses concurrentes se vendent en général à 100 000 exemplaires par an.
Un design actualisé et plus imposant ?
Ce sera chose faite tout prochainement, pourquoi pas à l’occasion du 8ème anniversaire du pot de yaourt, le 4 juillet 2015 ? Une date anniversaire également de sa devancière historique ! Nos photographes ont en effet surpris des prototypes en cours de développement sur les routes enneigées de Suède.
Que faut-il attendre de ce restylage ? D’après les photos, des boucliers avant et arrière retouchés, peut-être plus imposants, dans l’esprit du récent crossover 500X, ce qui lui apporterait plus de tempérament. Optiques et feux antibrouillards pourraient également être renouvelés, quand les possibilités de personnalisation, si importantes à la petite 500, seront actualisées et décuplées. En outre, des jantes inédites sont à prévoir.
L’habitacle évoluerait de manière plus significative, avec une planche de bord s’inspirant des dernières 500L et 500X. Leur écran tactile moderne est en effet sera de la partie, tout comme, au chapitre sécurité active, un système de freinage automatique d’urgence urbain, similaire à ce que proposent notamment la Volkswagen Up! et ses cousines.
Il faudra aussi s’attendre à des motorisations mises à jour avec des consommations et rejets de CO2 en baisse qui pourraient bien faire atteindre de très bons niveaux de pollution à l’Italienne étant donné son faible poids (moins de 900 kilos). Il semble que l’ajout de nouvelles motorisations ne soit pas à l’ordre du jour.
Néanmoins, le Salon de Bruxelles n’aurait pas la même saveur s’il n’avait pas ces petits traits caractéristiques étonnants. Salon des « Utilitaires Légers, Véhicules de Loisirs et Motos », motards comme artisans pourront trouver leur bonheur, chose rare sur un salon automobile. De quoi même trouver une… ambulance sur le stand Renault ! Mercedes n’hésite pas alors à montrer des Vito en peinture flashy bleu mat, quand Volkswagen, Peugeot-Citroën et Ford consacrent une belle partie de leurs stands à ces utilitaires légers.
Autre belle surprise, nous avons pu nous rendre à l’exposition temporaire Dream Cars regroupant plus de 40 voitures d’exception ! Et cela, s’il vous plait, sans oublier les plus récentes ! Nous pouvions alors retrouver les toutes dernières Lotus Exige LF1, McLaren 650S MSO (McLaren Special Operations), Mercedes-Maybach Classe S, Mercedes-AMG GT S,Nissan GT-R Nismo, Noble M600 Convertible en première mondiale – qui présente de faux airs de Porsche 911 Targa et de Lotus Exige S… Une petite note exclusive était à noter du côté de Ferrari avec la F12 Berlinetta « Tour de France 64 », spéciale commande au service de personnalisation de la marque « Ferrari Tailor Made » du concessionnaire bruxellois Francorchamps Motors Brussels en hommage à la victoire du Tour de France d’une 250 GTO de même configuration en 1964. Audi et Porsche virent leurs gammes très bien représentées par une RS7 Sportback, une R8 LMX (dotée de feux laser pour rappel), ainsi que la R18 e-tron du Mans, quand Porsche proposait une 911 GT3, une 911 Targa, un Cayman GTS, un Macan Diesel ainsi qu’une 918 Spyder, tout de même. De quoi être stupéfait de la voir ici, sans pudeur, alors qu’elle était bien cachée, pour quelques privilégiés, au Mondial…
Voici donc un petit échantillon de toutes ces petites merveilles réunies dans cette exposition !
Enfin, pour les plus aventuriers, un complexe de franchissement 4×4 était installé aux abords du Salon quand les motards pouvaient aussi profiter d’animations dédiées.
Au final, et à l’heure où certains salons sont contraints d’annuler des éditions, nous ne pouvons que nous réjouir de voir exister des petits salons comme celui-ci, sachant que sa fréquentation était en hausse de 12,76 % par rapport à la dernière édition de 2013, avec 434 465 visiteurs ! Donc non, clamons-le haut et fort, et dans la continuité des bons résultats du Mondial de l’Automobile, la passion automobile est toujours bien présente !
Au début du mois de septembre dernier, nous vous avions parlé d’une Fiat du milieu des années 1960, la 850 Spider. Aujourd’hui, nous partageons avec vous une vidéo bien particulière montrant le réveil d’un énorme quatre-cylindres de la même marque datant du début du siècle dernier…
Quand la Bête se réveille…
La Fiat S76 est une auto fabriquée à deux exemplaires avant la Première Guerre mondiale, en 1911 précisément, ayant pour but de battre des records de vitesse. Pour y parvenir, le constructeur l’a doté de l’un des plus gros quatre-cylindres au monde cubant à 28,5 l. Oui, vous ne rêvez pas !
D’une puissance d’à peu près 300 ch, il permis à la S76 d’atteindre les 211 km/h en 1913. Depuis, les deux bolides ont été plus ou moins laissés en état après avoir été modifiés plusieurs fois.
Un certain Duncan Pittway a entièrement restauré cette pièce de l’histoire de l’automobile pour enfin redémarrer ce bloc démesuré. Surnommé « la Bête de Turin », on se dit que la Fiat S76 porte très bien cette appellation après avoir visionné la vidéo ci-dessous tellement le démarrage est redoutable d’une point de vue sonore, comme visuel !
Une terrifiante mise en route !
A noter que cette vidéo est une bande-annonce pour un documentaire « Beast of Turin » qui reviendra sur cette période folle de la course automobile. Il paraîtra en février 2015. En outre, la voiture devrait être visible au Festival de la Vitesse de Goodwood au mois de juin prochain !
Crédit image : capture depuis la vidéo de stefan marjoram
En plus d’une série spéciale de lancement baptisée « Opening Edition » (à partir de 20 990 €) et limitée à 2 000 unités, le 500X prévu pour une commercialisation le 15 février 2015 se déclinera en six finitions tout de même ! Elles s’appellent « X », « Pop », « Popstar », « Lounge », « Cross », et « Cross Plus ».
L’entrée de gamme « X » se démarque notamment par des projecteurs antibrouillard adaptatifs et une peinture pastel « Rouge Passione » de série. En choisissant la « Pop », on a le droit à la climatisation manuelle, des pare-chocs couleur carrosserie, des rétroviseurs électriques et dégivrants, un régulateur de vitesse adaptatif, le frein à main électrique, … Au-dessus, la finition « Popstar » donne accès à des jantes alliage 17 pouces et le système UConnect Radio. La « Louge » permet de gagner un pouce pour les jantes, des phares xénon, des vitres surteintées, ainsi qu’un écran pour le tableau de bord (3,5 pouces) et un autre, tactile, de 5 pouces pour la console centrale comprenant la navigation.
Les niveaux de finitions « Cross » et « Cross Plus » sont à destinations des personnes à la recherche d’un aspect plus baroudeur. On bénéficie, entre autres, de protections en plastique, de barres de toit, de jantes alliage 18 pouces et d’une canule d’échappement chromée. A noter qu’en plus de la climatisation, la « Cross Plus » propose l’ouverture et le démarrage sans clef « Keyless Entry & Keyless Go ».
Quatre moteurs différents
Au chapitre des motorisations, on y trouve deux essence (1,6 l et 1,4 l MultiAir) et deux diesel (1,6 l MultiJet et 2,0 l MultiJet uniquement en 4×4 et BVA9). Ils vont respectivement de 110 ch à 140 ch et de 120 ch à 140 ch. Le prix de base est fixé à 15 990 € avec le 1,6 l essence de 110 ch en finition « X » et peut grimper jusqu’à 30 290 € avec le 2,0 l MultiJet diesel de 140 ch 4×4 BVA9 avec la finition « Cross Plus ». Un tarif honnête sachant que ses rivaux Peugeot 2008 (1,2 l PureTech 82 ch à 15 550 €) et Nissan Juke (1.6 l 94 ch à 15 990 €) sont à peine moins chers ou au même niveau pour un déficit de puissance entre 28 ch et 16 ch.
Pour la suite, quatre blocs feront leur apparition. Trois essence : le 1,6 l E-torQ 110 ch en 4×2 BVM5, le 1,4 l MultiAir de 170 ch en 4×4 BVA9 et le 2,4 l Tigershark MultiAir 187 ch en 4×4 BVA9. En diesel, ce sera un petit 1,3 l MultiJet 95 ch en 4×2 BVM5.
Le segment des crossovers/SUV urbains est en plein essor, un bol d’air pour les constructeurs automobiles à la recherche de ventes supplémentaires dans ce contexte difficile. C’est Fiat qui profite de l’ouverture du Mondial de l’Automobile à Paris pour lever le voile sur une nouveauté très importante pour la marque : la 500X.
La nouvelle 500X sera vendue dans plus de 100 pays
Après la 500L, la famille 500 s’agrandit encore un peu plus avec la 500X. Ce SUV compact (cousin du Jeep Renegade) à destination de la ville mesure 4,25 m de long, 1,80 m de large et 1,60 m de haut, soit 8 cm de plus en longueur qu’un Renault Captur. Sous son hayon, il est capable d’embarquer un chargement allant jusqu’à 330 l, soit une vingtaine de litres de plus que son rival français. Il peut recevoir des jantes alliage allant de 16 à 18 pouces.
Côté moteurs, l’offre est composée d’un diesel 1,6 l MultiJet II 120 ch et d’un essence 1,4 l Turbo MultiAir II développant 140 ch. Ce dernier pouvant être choisi avec une transmission intégrale et une boîte à double embrayage à 9 rapports. D’autres blocs plus puissants viendront s’ajouter par la suite tels que l’essence 1,4 l de 170 ch et le diesel 2,0 l 140 ch. Un mazout de 1,3 l et 95 ch est aussi au programme.
Son prix de départ est estimé entre 17 000 et 18 000 euros.
Fiat a promis de révéler officiellement son futur petit crossover 500X lors de l’ouverture du Mondial de l’Automobile et ainsi garder le secret jusqu’au jour J. Seuls quelques teasers sont diffusés. En réalité, il en est tout autrement, puisque nous voici en l’espace de trois jours avec une deuxième prise de l’Italienne sans aucun camouflage !
D’une longueur supposée de 4,20 m, le futur concurrent des Nissan Juke et Renault Captur est doté d’une plastique séduisante, en particulier dans cette livrée rouge. La lunette arrière fortement inclinée contribue à son allure dynamique, tandis que les protections gris satiné situées sur la partie inférieure de la proue et de la poupe lui assurent un look de « baroudeur » des villes, tout comme les contours en plastique noir des passages de roue et bas de caisse.
Le prix de base estimée est d’environ 18 000 €.
A suivre… il ne manque plus que des photos de l’intérieur !…
Fiat avait décidé de garder le secret jusqu’au Mondial de l’Automobile de Paris pour dévoiler au public son petit crossover 500X. Encore une nouvelle fois, c’est sur la toile qu’une fuite a eu lieu avec une photo qui a été publiée sur le forum italien Quattroruote.
Une nouvelle déclinaison pour la famille 500
Sur ce cliché, on aperçoit donc sans aucun camouflage la Fiat 500X dans une livrée rouge. Basée sur la 500, la 500X s’étire en longueur et au niveau des optiques, tandis que sa garde au sol est rehaussée. Avec en plus la maquette et la carrosserie, on peut commencer à se faire une idée du style du crossover turinois.
Les rondeurs, les protections en plastique noir et les barres de toit lui sied bien. L’allure du cousin du Jeep Renegade est loin d’être déplaisante !
Présentation officielle au Mondial de l’Automobile
La marque n’a pas encore donné d’informations concernant les motorisations, mais ce devrait être des blocs essence et diesel déjà vus dans la – grande ! – famille 500 comprenant les 500, 500C, 500L, 500L Living et 500L Trekking. Espérons qu’une transmission intégrale soit de la partie pour les amateurs d’escapades en-dehors des routes goudronnées.
Pour le reste, il faudra se rendre à Paris Expo Porte de Versailles le 4 octobre prochain pour connaître la suite !…
Je vous propose de découvrir un petit cabriolet sympa, il fut dessiné à l’époque par le designer Italien BERTONE. Il s’agit de la FIAT 850 SPIDER qui fut présentée au Salon International de l’automobile de Genève en mars 1965, l’auto sera commercialisée au dernier trimestre de 1965 et jusqu’en 1972.
Elle connaîtra immédiatement un grand succès en Italie comme dans tous les pays européens mais surtout aux États-Unis où elle sera exportée avec le surnom de « Little Ferrari ». Il est aujourd’hui très rare de voir rouler en France ce beau petit cabriolet.
La base mécanique de la FIAT 850 SPIDER est un moteur à essence d’une puissance de 52 ch, ce qui lui permet d’atteindre une vitesse d’à peu près 145 km/h grâce à un poids plume de 725 kg. Ce cabriolet est une propulsion et la boîte de vitesse est manuelle, elle possède 4 rapports.
Dans la vidéo ci-dessous, vous verrez Max qui est l’heureux propriétaire ! Sympa et passionné, il nous fait faire le tour de sa belle tout de jaune vêtu (la voiture et le propriétaire…). Il a restauré patiemment son auto achetée à Nice il y a quelques années et en partie lui-même !
Je vous laisse découvrir la vidéo de l’auto avec son charmant propriétaire :
La saison estivale étant propice aux grands nettoyages, Martin et moi-même avons profité du beau temps de l’été pour prendre soin de nos autos. Une bonne occasion de se lancer dans un lavage approfondi des carrosseries…
Le résultat final
Après de longues heures à frotter et à appliquer de multiples produits « miracles » et à suivre les conseils concernant les différentes étapes du detailing (mot utilisé par les « pro » pour désigner le lavage auto, nous en reparlerons dans un article ultérieur 😉 ), il faut admettre que le résultat est bien là ! Même si nous n’avons pas la prétention d’obtenir un résultat parfait, c’est déjà agréable à l’œil lorsque l’on se dirige vers sa voiture, car la différence se remarque immédiatement ! 😀
Voici quelques clichés du rendu sur nos deux « bolides ». Deux après-midi à astiquer ont été nécessaires pour la BMW Série 3 E36 323i 6-cyl 2,5 l 170 ch de 1996 (202 000 km et pas une ride !) et la Fiat Punto Evo MultiAir 4-cyl 1,4 l 105 ch de 2010 (elle vient de franchir la barre des 70 000 km !) :
Quoi de mieux qu’un beau coucher de soleil pour photographier nos deux titines ?
Ces deux autos, dont près de vingt ans les sépare, s’opposent par leur style. La Série 3 E36 (apparue en 1991) est assez basse (139 cm), présente un long capot où deux nervures partent des haricots, tandis que les phares rectangulaires, mais avec des projecteurs ronds, apportent un côté agressif. De face, elle en impose avec 1,70 m de large et ses 4,210 m de long, même si aujourd’hui ces dimensions semblent bien faibles (la dernière Série 3 mesure 11,1 cm de plus en largeur et surtout 41 cm de plus en longueur !). Le profil est souligné par un unique pli de carrosserie à la hauteur des poignées de porte. La partie arrière se montre beaucoup plus neutre en essayant de dégager un sentiment de robustesse.
De son côté, la Fiat Punto Evo (apparue en 2009) se donne des airs de petite bombinette avec son gabarit réduit (4,030 m), en particulier dans cette configuration trois portes avec pack sport. La hauteur de toit est plus importante (149 cm) et le capot est plus court. Deux nervure légères le parcourent en partant des phares en forme d’amande. Les ailes avant convergent assez fortement vers le centre pour donner un air sportif à la proue. De profil, la ligne du vitrage plonge nettement vers l’avant afin de dynamiser encore la ligne et la poupe se ressert vers le haut toujours dans le but de faire ressentir ce caractère vif.
Et maintenant un peu de roulage :
N’hésitez pas à partager vos photos de votre propre voiture via les commentaires !
Voici une petite surprise vue en Inde et diffusée par le Team Fiat Moto Club (club Facebook) : la Fiat Punto restylée pour la deuxième fois ! En effet, la citadine italienne introduite en 2005 avait été redessinée en 2009 pour un remplacement prochainement. Ces photos volées viennent semer le doute…
Où se trouve la simplicité du dessin de la Punto ?
Sur ces différents clichés, on remarque que les designers Fiat ont nettement allongé les projecteurs avant, un peu à la manière d’une Kia cee’d diront certains. Le chrome est également présent en abondance, puisqu’il prend place sur la nouvelle calandre plus imposante et autour des antibrouillards.
De profil, rien ne semble changer si ce n’est les poignées de porte chromées ?
Pour la poupe, on note un bouclier revu et des feux antibrouillards reliés par une baguette chromée et entourés de chrome.
Malheureusement, à l’intérieur tout semble identique pour la Punto phase III qui commencera sérieusement à accuser le coup…
A suivre d’ici la rentrée…
Normalement, le salon de auto parisien qui se déroule au début du mois d’octobre prochain devait être le lieu de présentation d’une version cinq portes de la Fiat 500. L’avenir nous dira si ces images annoncent la prochaine Punto vendue en France ou si elle sera réservée aux pays émergents… Chose fortement probable quand on se souvient du concept-car Fiat Punto Avventura présenté au salon de New Delhi cette année !
Connaissez-vous la signification du scorpion noir trônant au centre du logo Abarth ? Il est dû au signe astrologique de Karl Abarth (1908 – 1979) qui fonda en 1949 le préparateur turinois. Rapidement, sa société s’est accaparée une solide réputation grâce aux petits bolides explosifs qui sortaient de ses ateliers et aussi par ses échappements à la sonorité caractéristique (Gordini et Porsche ont même été ses clients !). C’est en 2008 qu’Abarth, tombé dans le giron de Fiat depuis 1971, fait son grand retour en tant que constructeur à part entière en lançant l’Abarth 500 (135 ch).
Le modèle qui va nous intéresser pour cet essai, c’est l’Abarth 595 Competizione sortie en 2013. Plus puissante (160 ch) et plus radicale, elle s’adresse aux amateurs de petites bombinettes à sensations fortes. L’Italienne dit-elle vrai ? c’est ce que nous allons tenter de vérifier !…
Quand la Fiat 500 se fait piquer par le Scorpion…
Lancée en 2007 – soit juste 50 ans après sa devancière –, la Fiat 500 a reçu un accueil au-dessus des espérances de la marque bien aidée par ses lignes néo-rétro très séduisantes. Une fois passée entre les mains des sorciers du Scorpion, l’Abarth 595 Competizione ne demeure pas moins désirable !
Pour l’occasion, son allure devient plus musclée avec une proue dotée d’une nouvelle calandre. Le logo rouge laisse place à du jaune et du rouge, la barrette chromée rétrécit légèrement tout en devant un peu plus épaisse, tandis que l’entrée d’air s’agrandit. Le bouclier perd sa baguette chromée et la bouche d’aération, où viennent se loger les antibrouillards, devient plus proéminente. Des ouïes latérales sont greffées sur les extrémités pour compléter la parure.
Le profil n’est pas en reste, puisque des autocollants « Abarth » sont posés sur la partie inférieure des flancs, l’assiette est surbaissée, les passages de roues sont élargis et les jantes blanches à battons de 17 pouces (qui sont en fait du kit Esseesse) abritant des disques de frein perforés contribuent à renforcer cet esprit de pot de yaourt dévergondé.
Concernant la poupe, l’aspect sportif de la 595 Competizione est retransmis à l’aide d’un becquet de toit, de deux extracteurs situés derrière les roues et d’un magnifique diffuseur où sont encastrés quatre sorties d’échappement baptisées « Record Monza ».
Un bel habitacle, mais accusant le poids des ans
A peine à l’intérieur de l’Abart 595 Competizione, on remarque immédiatement les deux sièges baquets marrons signés Sabelt frappés du chiffre mythique « 595 ». Le volant à trois branches, le manomètre de pression du turbo, le pédalier en aluminium et le petit levier de vitesse finissent de convaincre sur le tempérament de l’auto.
Ces sièges baquets donnent beaucoup de cachet à la voiture
Cependant et malgré le traitement spécifique de la planche de bord – tout de même très proche de la 500 –, la finition générale, et plus particulièrement les plastiques durs et rayables facilement, est critiquable. De plus, la console centrale aux boutons commandant l’air conditionné plus tout jeunes donnent un côté cheap, cet aspect contrastant avec la belle sellerie. Dommage…
Le système audio est daté et les haut-parleurs indignes du prix de l’auto
En option, le GPS amovible était complètement perdu
En contre-partie, ces jolis sièges empiètent sur les places arrière
Le volume de coffre varie de 185 à 550 litres
Très amusante et pourtant pas sans défauts…
Une fois à bord donc, on commence par chercher sa position de conduite. Les sièges baquets étant positionnés hauts perchés, on cherche à les descendre, mais ce réglage n’est pas disponible. Même constat pour le volant qui, lui, ne se règle qu’en hauteur, mais pas en profondeur. Par conséquent, il n’est pas toujours aisé d’être bien installé, en particulier pour les grands gabarits se retrouvant avec la tête dans le ciel de toit. Toutefois, dès que l’on effectue un tour de clef, le 1,4 l T-Jet Turbo se réveille et il donne déjà de la voix, de quoi retrouver le sourire !
Pour débuter cet essai dans les Gorges du Verdon, nous sommes partis de la gare TGV d’Aix-en-Provence, le lieu idéal pour juger d’une conduite au quotidien de la petite italienne. Sans surprise, son gabarit réduit est un atout dans la circulation et lorsqu’il faut chercher un stationnement. Le volant est agréable à manier (une jante un peu moins grande aurait été préférable), tout comme les différentes commandes (pédales, boîte, …), elle n’est pas invivable dans cet environnement urbain où déjà il nous titille de laisser s’exprimer la mécanique… Seul bémol, le confort pèche.
Le 0 à 100 km/h est abattu en 7,4 s et la Vmax atteinte à 211 km/h
Pour cela, rien de telle qu’une départementale sinueuse à travers les montagnes. Dès les premières accélérations, la 595 Competizione affiche un caractère assez joueur avec un moteur « on/off ». On appuie sur le bouton sport, permettant de rigidifier la direction, améliorer le temps de réponse de la pédale des gaz et atteindre le couple maximal de 230 Nm à 3 000 tr/min tout de même, avant d’enchaîner les premiers virages.
Avec sa direction offrant un assez bon ressenti et son train avant précis, c’est un vrai régal d’enrouler les courbes, en dépit d’une suspension ferme (amortisseurs Koni). Toutefois, à partir du moment où le rythme s’accélère, le châssis peu rigoureux et les mouvements de caisse qui en découlent vous créeront quelques petites sueurs froides, même sur revêtement lisse. Néanmoins, les 160 ch demandant d’être toujours exploités entre 4 000 et 5 700 tr/min à l’aide du pommeau au maniement agréable, on ne peut s’arrêter de solliciter le bestiaux, d’autant plus que le freinage Brembo est très efficace et la ligne d’échappement, très sonore, totalement grisante !
Les kilomètres défilent et petit à petit la magie du Scorpion agit sur vous. Les défauts qui vous agaçaient lui sont pardonnés. Il faut dire qu’une fois apprivoisée, la 595 Competizione donne vraiment beaucoup de plaisir à être pilotée. Bien calé dans les Sabelt, on se plaît à attaquer les épingles toujours plus fort, surtout que la motricité est bien gérée sur le sec. La pédale du milieu ne faiblit pas, l’étagement court de la boîte et le poids relativement contenu à 1 145 kg font de cette Abarth un véritable petit kart ! Seul véritable défaut, le correcteur de trajectoire (ESP) ne peut pas être désactivé. Certes, il laisse un petit peu de liberté dans les dérives, mais pour une sportive de ce tempérament, cela peut être rédhibitoire, et encore davantage pour les amateurs de circuit.
Enfin, en terme de consommation de carburant, en mixte elle s’élève à 9 l/100 km environ. En attaque, il est possible d’atteindre entre 12 et 15 l, en ville un bon 10 l, sur le réseau secondaire 7 l et sur autoroute 8,5 l à cause du régime moteur élevé (3 500 tr/min à 130 km/h).
Que faut-il en retenir ?
Les plus
Les moins
– Les lignes attachantes
– L’échappement Record Monza
– Le comportement vif et les sensations
– La finition, ainsi que le système audio et de navigation en retrait
– La position de conduite
– Le châssis trop souple déstabilisant pour le pilote
En étant parfaitement raisonnable et en ne cherchant pas à tout prix une auto survitaminée de petites dimensions, l’Abarth 595 Competizione a peu de chances de l’emporter. Sa finition intérieure datée et son châssis en « guimauve » ne jouant pas en sa faveur.
Pourtant, si vous n’êtes pas insensible à son charme, à son moteur caractériel souligné par les borborygmes rauques en provenance de l’échappement, aux sensations de conduite et que vous savez pardonner quelques défauts, l’Abarth 595 Competizione pourrait bien vous faire craquer !
Vendue neuve à partir de 23 700 € (+ 1 600 € de malus) avec une dotation de série plutôt généreuse (radars de recul, nombreux airbags, bi-xénon, sièges baquets, climatisation, USB/Bluetooth, …) et sans réelle concurrence, la 595 Competizione mérite le détour !
Vidéo de l’essai
Voici la présentation intérieure et extérieure de la voiture avec de la conduite :
Ici, les formes sont arrondies contrairement à celle du Renegade nettement plus carrées
La face avant ne devrait pas grandement différer de la 500, tout comme cela est le cas pour la 500L
Côtés motorisations, ce sont celles de la 500 et du Renegade qui sont attendues, à savoir les 0,9 l TwinAir (85 et 105 ch) et 1,4 l MultiAir (140 ch) turbo essence, ainsi que le turbo diesel 1,3 l MultiJet (95 ch). Les blocs les plus costauds seront réservés aux versions à transmission intégrale. Des éléments à préciser par la suite.
Dévoilé dans sa version définitive pour l’anniversaire de la 500
C’est à l’occasion du 57ème anniversaire de la 500 que Fiat présentera officiellement la 500X, soit le 4 juillet prochain. La marque turinoise exposera son SUV d’environ 4,20 m au salon de l’auto de Paris en octobre, tandis que sa date de sortie interviendrait fin 2014 ou au début de l’année 2015 tout comme la petite Jeep.
Décidément, le salon de New Delhi 2014 devrait être rebaptisé en salon du crossover/SUV ! Les constructeurs n’ont d’yeux que pour ce type de modèle. Après le Renault Kwid et le Volkswagen Tagun, voici Fiat qui présente la Punto Avventura qui n’est rien d’autre qu’une Punto maquillée en baroudeuse.
Un « guerrier urbain » pour les pays émergents
Ce sont les termes utilisés par Nagesh Basavanhalli, directeur des opérations de Fiat Chrysler Automobiles India pour désigner l’Avventura. Il faut dire que les designers de la marque ont réussi un joli travail de recyclage en partant d’une Punto pour arriver à ce crossover plutôt sexy. On relève donc une nouvelle face avant avec de nouvelles optiques de phare, une calandre revue et des boucliers façon tout-terrain où viennent se loger les LED.
Avec cette version Avventura, la vaillante Punto gagne une nouvelle jeunesse !
Les aspects pratiques et les loisirs sont de mise
De profil, on note des protections en plastique noir pour les bas de caisse et les portières, des passages de roue élargis avec des jantes d’un gros diamètre et des étriers de frein assortis au coloris pimpant de la carrosserie. La garde au sol passe à 200 mm (180 mm pour un Nissan Qashqai mk2) et le toit gagne des barres de fixation.
L’intérieur ne présente pas de spécificité particulière, si ce n’est une sellerie avec des surpiqures oranges pour être en harmonie avec la teinte carrosserie
Pour la poupe, Fiat a pensé local en y greffant une roue de secours sur le hayon. Cela permettant d’avoir un accès plus rapide à la roue de secours, un souhait formulé auprès des constructeurs automobiles par les clients. L’Avventura se protège des agressions extérieures avec une renfort type alu et se donne du caractère avec ses deux sorties d’échappement droite gauche.
Petit prix et moteurs prévus
Le moteur de cette étude est un 1,3 l Multijet turbo diesel de 90 ch et 209 Nm de couple. Prochainement commercialisé en Inde et dans d’autres pays émergents, la Fiat Punto Avventura sera vendue à des tarifs contenus et elle ira concurrencer les Volkswagen Polo Cross, Skoda Fabia Scout et Toyota Etios Cross.
Chrysler est maintenant italien à 100 %. En effet, depuis la première prise participation du groupe Fiat en 2009 – la marque est alors en faillite et sauvée par l’Etat américain –, son président Sergio Marchionne n’a cessé de monter dans le capital. En 2013, Fiat détenait 58,5 % de Chrysler et le 20 janvier prochain (ou avant) sera réalisée la transaction de 2,65 milliards d’euros afin d’engloutir les 41,5 % restants. La bourse a bien accueilli la nouvelle, puisque le titre Fiat a bondi de 16,4 % à 6,92 euros.
En 2009, personne ne croyait que Chrysler se ferait acheter en totalité par Fiat. Cinq ans plus tard, le syndicat ouvrier UAW a vendu ses parts en-dessous des estimations
« Dans la vie de tout groupe majeur et de ses employés, il existe des moments marquant les livres d’histoire. Pour FIAT et Chrysler, l’accord tout juste passé avec la VEBA (ndlr : The Chrysler Voluntary Employee Beneficiary Association) est clairement l’un de ses moments », a déclaré le PDG du groupe turinois, « cette structure unifiée nous permet désormais de réaliser pleinement notre ambition de créer un groupe automobile unique en termes d’expérience, de perspective et de savoir-faire, une entreprise solide et ouverte offrant aux salariés un cadre gratifiant et enclin au défi. »
Désormais, ce sont neuf marques qui sont réunies dont certaines connaissent de graves difficultés : Fiat, Abarth, Alfa Romeo, Chrysler, Dodge, Ferrari, Jeep, Lancia et Maserati.
Fiat et Chrysler ont déjà des modèles communs
Dernièrement, ce sont des Chrysler rebadgées qui ont fait leur entrée dans la gamme de Lancia pour l’Europe. Même si le résultat en termes de ventes n’a pas été concluant, cette prise de participation permet aussi d’exporter la Fiat 500 aux USA tout comme la récente et réussie petite sportive 4C d’Alfa Romeo. On peut également citer la berline Dodge Dart basée sur une Alfa Romeo Giulietta.
Cette union permettra de renforcer encore un peu plus le partage de plates-formes entre les marques du groupe. 2014 pourrait ainsi donner naissance à un petit SUV chez Jeep et Fiat.
La Fiat 500 a beaucoup plu à ces dames et aux hommes que l’on catégorise de « métrosexuels », mais une version sport a fait son apparition pour tous, l’Abarth 500. Revenons en détail sur cette petite bombe italienne. « Petite, mais méchante ».
Côté technique
Le préparateur dit qu’il a rajouté « une dose de venin » à la 500 pour la rendre séduisante et surtout racée. Mais c’est bien plus que ça, surtout si on observe attentivement cette bête de petite dimension. En ouvrant le capot, vous aurez devant vous un moteur à turbocompresseur 1.4L d’une puissance de 135 chevaux à 5500 tr/min. Et malgré ces caractéristiques, l’Abarth 500 consomme peu. Avec 6.5 L aux 100 et des émissions de CO2 de 155 g/km, cette auto peut se vanter d’enregistrer des performances de voiture de course pour son tout petit gabarit.
Niveau sécurité, Abarth a utilisé les systèmes les plus sophistiqués comme l’ESP pour la tenue de route, l’aide au démarrage Hill Holder, le Torque Transfer Control (TTC) pour envoyer habilement du couple sur les roues et surtout pas moins de 7 airbags. On pourrait également rajouter l’AFU (Aide Freinage d’Urgence) et bien d’autres…
Équipements
L’Abarth 500 est équipée du système intelligent Blue&Me Maps qui permet bien évidemment de se déplacer d’un endroit à un autre avec le GPS, mais aussi de contrôler les statistiques de sa conduite en temps réel ou plus tard chez soi, et de retrouver sa voiture si on est perdu !
On retrouve également le GSI (Gear Shift Indicator) qui indique au conducteur quand changer de rapport pour optimiser les performances lors du pilotage sportif ou la consommation grâce à des LED, ainsi que des dizaines d’autres équipements de série et optionnels.
Côté esthétique
Le préparateur a trouvé l’équilibre parfait entre style et performances. À l’extérieur, on admire le spoiler, la double sortie d’échappement chromée, les mini jupes latérales et les très belles jantes à 8 branches de 16 pouces en alliage. La triple entrée d’air fait aussi son petit effet et garantit un très bon refroidissement du moteur. L’intérieur est sportif et on reconnait la griffe Abarth. Volant et pommeau de vitesse en cuir, pédales en alu, sièges baquets réglables et tableau de bord avec des indicateurs précieux pour la conduite sportive.
Pour la conduire
Vous voulez tester la Fiat Abarth 500 sur circuit et découvrir toutes ses performances à la manière d’un grand pilote ? Alors n’attendez plus, des sites tels que www.stage-auto.com le proposent.
La Fiat Panda 3 attend sa version 4×4 comme ses prédécesseurs et c’est un manque qui sera très prochainement comblé comme en témoigne la présentation officielle par la marque italienne du petit monospace en quatre roues motrices.
Très réussie esthétiquement, la Fiat Panda 3 4×4 doit compter sur un nouveau concurrent : le Dacia Duster
On retrouve donc logiquement une Panda reconvertie pour les aventures en-dehors des routes bitumées. Au programme : de nombreux renforts sur la carrosserie qui lui donne un vrai look de baroudeur, une garde au sol surélevée, des teintes (beige/vert, beige/orange, beige/noir) et équipements (climatisation manuelle, autoradio CD/MP3, jantes 15 pouces en alliage « gris foncé mat », rétroviseurs électriques, …) spécifiques, … Ainsi, l’auto gagne 3 cm en longueur (3,68 m) et largeur (1,67 m) tandis que la hauteur de toit s’octroie 5 cm de plus (1,60 m) grâce aux suspensions surélevées.
La Panda est dotée d’une transmission intégrale permanente lui permettant d’être redoutable en milieu montagnard
Du côté de l’offre moteur on a le choix entre deux blocs essence et diesel :
Type de moteur
Moteur
Puissance
essence
0,9 litre Twinair Turbo
85 ch
diesel
1,3 litre Multijet II
75 ch
Au chapitre des tarifs, rien n’a encore été communiqué mais l’on peut tabler sur un prix d’entrée à environ 13 500 € avec le bicylindre Twinair.
L’intérieur de la Panda 4×4 2012 se pare de teintes spécifiques avec notamment le tableau de bord qui reprend la couleur des assises
La bonne nouvelle, c’est que cette Panda 4×4 arrivera cette année, et pour coller avec les conditions climatiques sa date de sortie sera située à l’automne !La Fiat sera bien entendu au Mondial.
Pour ceux qui ont une bonne mémoire, ils se rappelleront peut-être que Fiat avait présenté une 500 EV en 2010 au salon de Détroit. Vendue plus de 40 000 dollars, elle n’avait pas déchaîné les foules. Et voilà qu’il y a quelques jours, le pot de yaourt s’est fait surprendre en pleine séance de tests pour une déclinaison électrique. Les spyshots laissent le choix entre l’appellation « EV » (sur la vitre arrière) ou « E » (sur la planche de bord) :
La Fiat 500 électrique surprise en train d’être testée par les ingénieurs de la marque
L’intérieur de la 500 électrique reste globalement identique
L’inscription « 500E » sur la planche de bord
On se demande d’ailleurs pourquoi la 500 électrique n’est pas arrivée plus tôt, surtout quand on voit que Smart et sa Fortwo sont sur le créneau. Les informations qui circulent laisse penser qu’un moteur d’environ 100 chevaux emmèneront cette 500E sur une distance de 150 kilomètres environ. Son prix devrait approcher les 25 000 € pour le marché américain où elle y sera commercialisée en 2013 selon le magazine Car and Driver.
Si les rumeurs de voir la 500 se décliner en coupé cabriolet et en coupé sont plausibles, qu’en sera-t-il de la partie mécanique ? La petite Fiat qui ne manquera pas de faire craquer un certain nombre d’acheteurs avec son (supposé) design des plus réussis pour rouler cheveux au vent le long de la cote d’Azur ou dans les rues de Paris pour la version coupé. Voici les moteurs au programme.
Richement dotée au chapitre des motorisations, la 500 Coupé partirait avec un atout non-négligeable dès son lancement
En utilisant la plateforme B-Wide, l’Italienne se doterait de pas moins de six motorisations essence et diesel. Et même sept si une version Abarth faisait son entrée avec un bloc de 200 ch…
Type de moteur
Moteur
Puissance
essence
0,9 litre TwinAir
85 ch
1,4 litre MultiAir
105 ch
1,4 litre MultiAir
135 ch
1,4 litre MultiAir
170 ch
diesel
1,3 litre JTD
95 ch
1,6 litre JTD
120 ch
Il ne reste plus qu’à attendre le feu vert du constructeur pour cette voiture qui ne devrait pas avoir de difficultés à percer !
A ne plus en douter, la marque Fiat nous a démontré que la 500 pouvait être déclinée de nombreuses fois : en version découvrable, en 500L, en 500X, … La liste peut encore se compléter !
La gamme Fiat 500 avec le coupé et le spider
Et c’est là que l’idée de voir un coupé et/ou un cabriolet s’ajouter au catalogue n’est pas complètement impossible. C’est ainsi qu’une dénommé David Obendorfer (qui avait déjà fait des propositions pour la 500L) se colle à la tâche de présenter ce que pourrait être une 500 coupé et une 500 cab. Le rendu est pour le moins réussi !
Les deux déclinaisons de la 500 imaginées par David Obenderfer
Les deux autos seraient sur la plateforme B-Wide utilisée pour la 500L et MiTo
Sexy, le coupé 500 plaira aux amateurs de petites autos pas trop chères comportant un fort capital sympathie
Plus long que la 500 d'origine, le coupé devrait mesurer aux alentours de quatre mètres
Le poupe de la voiture est très joliment dessinée ! On peut y voir une ressemblance avec la Chrysler Corssfire
La version à capote devrait se vendre comme des petits pains tellement elle est irrésistible ! Une date de sortie en 2013, 2014 ?
La Fiat 500 CC serait une stricte deux places
On imagine déjà une version Abarth de cette 500 cab !
Le charme de ces deux voitures est indéniable. Il n’y a plus qu’à espérer que ce projet soit dans les cartons du constructeur italien !…
Les journalistes qui sont venus assister à la présentation de la 500L ont été surpris. Et pour cause, Fiat leur a dévoilé pendant quelques secondes le futur crossover italien : la 500X !
Pour remplacer le Sedeci
Basé sur la 500, le 500 X permettra d’introduire une nouvelle déclinaison à la petite citadine alors que d’autres vont encore suivre.
La 500X présentée en un éclair à la presse reprend sans le cacher la partie avant et arrière de la 500 qui devient le cœur de la gamme du constructeur Fiat
On retiendra que le 4×4 Fiat mesure 4,20 mètres de long environ (4,12 m pour la L), qu’il possède une transmission intégrale baptisée « B Wide » en interne (grâce à la collaboration Jeep) et que sa production aura lieu à Mirafiori près de Turin, pour un volume de 280 000 unités par an.
Commercialisation et tarif
A ce niveau-là, il ne s’agit que de spéculations, quoiqu’une présentation au Mondial de Paris est très probable. La date de sortie de Fiat 500X se situerai fin 2013. Quant à son prix, il est pour le moment estimé autour des 18 000 €.
Afin de remplacer l’Idea, Fiat a décidé de commercialiser une nouvelle 500L. Cette dernière n’a plus grand chose à voir avec sa devancière, mais son charme pourrait bien quelque peu bousculer une rivale de ce segment : la Mini Countryman (voir même la Paceman ?).
La voici la nouvelle 500L ! Le monospace Fiat mesure 4,14 m de long, 1,78 m de large et culmine à 1,66 m de hauteur
Sous cet angle, la 500L fait bigrement penser à la Mini Countryman !
Les moteurs de la 500L 2012
Le moins que l’on puisse dire, c’est que les blocs de la Fiat 500L ne se caractériseront pas par leur puissance. La prime écologique devrait par conséquent être facilement obtenue. Le monospace italien recevra donc en essence le modeste bicylindres TwinAir de 900 cm3 développant 85 chevaux et les quatre-cylindre 1,4 litre de 77 et 105 ch. Du côté des mazouts, on trouvera deux motorisations qui sont les 1,3 litre multijet fort de 75 et 95 ch.
Il est à noter que le constructeur proposera la 500L en version 5 ou 7 places avec 10 cm supplémentaires en contre-partie. Les motorisations assez faiblardes seront donc mises à rude épreuve
Il se pourrait bien que par la suite l’auto soit dotée d’une version 100 % électrique.
Prix de la Fiat 500L 2012
Le constructeur n’a pas encore communiqué à ce sujet mais certains avancent le tarif de 16 000 € pour la version d’entrée de gamme.
Il reste à déterminer si la marque souhaite faire du néo-rétro abordable comme c’est le cas avec la 500 ou bien alors faire grimper la note… A suivre.
Le monospace de sortie pour la fin de l’année
Enfin, la 500L sera disponible en concessions d’ici l’automne prochain après une présentation officielle au salon de Genève le 6 mars prochain.
Le segment des compactes ne réussit pas au constructeur italien. En effet, plus les années passent et moins Fiat vend d’autos dans cette catégorie. La Bravo, pourtant dotée d’un design original et attrayant, n’a pas obtenu le succès escompté. Le problème paraît donc assez profond pour qu’une génération d’un modèle ne puisse dépasser le million d’exemplaires vendus.
Plus de Bravo mais un crossover
Sergio Marchionne a donc pris une décision assez radicale : arrêter tout bonnement la production de modèles compacts et remplacer la Bravo par un crossover (qui est appelé pour le moment Fiat Crossover à défaut de patronyme…) à l’image de ce qu’a fait Nissan pour l’Almera avec le Qashqai qui s’est créé un marché à lui tout seul.
La prochaine Fiat Panda devrait garder les atouts de l’actuelle génération, c’est-à-dire une taille menue tout comme son poids. Cela étant, elle pourra se permettre de maintenir une palette de motorisations modestes mais qui auront les faveurs des politiques écologiques pour le moins castratrices pour les moteurs.
Peu d’informations sont disponibles pour le moment sur les prochains moteurs de la Panda 3, seulement on peut prévoir avec certitude qu’un bloc autour de 60 chevaux sera mis avant pour descendre en-dessous du seuil des 100 grammes de CO2 par kilomètre, idéal pour atteindre un bon prix d’attaque grâce au bonus écologique.
Le succès des deux premières générations de la Panda repose sur une formule efficace dont le prix est un facteur primordial. Avec la 3ème génération de la citadine, le constructeur italien Fiat ne changera pas de politique tarifaire, il n’est pas question de quitter sa clientèle qui attend depuis 2003 la remplaçante de l’actuelle Panda.
Ainsi, alors qu’aujourd’hui la Fiat Panda est vendue pour 7 700 €, elle n’a pas intérêt à dépasser la barre des 8 000 € car la Twingo 2 est au tournant. Envisager une commercialisation de la Panda III à 7 800 – 7 900 € paraît raisonnable. A suivre.
Sortie en 2003, le modèle actuel a besoin d’une cure de jouvence. Pour les acheteurs potentiels il faudra attendre un an environ avant de signer pour la Panda 3 prévue pour une commercialisation au début de l’année 2012.
Plus belle, la Fiat Panda 2012 restera une petite voiture accessible
Sans doute présentée pour la première fois au salon de Francfort, la petite Fiat gagnera en allure. Pourquoi pas concevoir une citadine italienne aux dimensions menues tout comme son prix ?
Nous aurons davantage de réponses d’ici la fin de l’année. Pour le moment, on sait que la Panda 3 sera produite dans l’usine transalpine de Pomigliano d’Arco où le constructeur a investi 800 millions d’euros. Par ailleurs, Chrysler pourrait utiliser à son compte la plate-forme de la future Panda… A suivre.
Il ne s’agit que de suppositions, mais la Fiat 500 (qui se porte bien commercialement) a été surprise avec des scotch noirs sur la carrosserie… signe que le constructeur cache quelque chose. Depuis sa commercialisation en 2007, la « Cinquecento » n’a reçu de modification stylistiques. Bien qu’elle ne vieillisse pas d’un ride, il se pourrait bien que Fiat prépare une phase 2 comme le montre la photo volée ci-dessous…
Un Fiat 500 restylée, voilà peut-être ce que la marque nous prépare pour l'année prochaine bien qu'il s'agira sûrement en réalité de légères retouches plus qu'un restylage
Alors qu’en penser ? Le plus probable, c’est que Fiat retouchera (très) légèrement sa 500 comme le fait Mini avec sa citadine, histoire de la garder au goût du jour.
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