La période de tranquillité pour le X6 est terminée. Sept ans après sa naissance et alors que sa deuxième génération vient d’arriver dans les concessions, le SUV coupé de BMW voit débarquer en cette fin d’année son premier vrai rival. Sans surprise, c’est un compatriote, venu de Stuttgart. Voilà qui promet un beau match en 2015 !
Sous cet angle, le GLE Coupé ne va pas plaire à tout le monde ! Il mesure 4,90 m de longueur et 2,00 m de largeur !
Le nouveau nom du ML
Petit rappel avant de commencer la présentation : d’où sort le nom « GLE » ? Mercedes a dévoilé il y a quelques jours son nouveau système d’appellations, qui apporte du changement surtout chez les SUV. Tous les 4×4 de la marque auront un nom qui commencera par le préfixe GL auquel on ajoutera la lettre de la berline classique correspondante chez Mercedes. Le GLE est ainsi la Classe E SUV. Plus simplement, c’est le nouveau nom du ML (qui changera de patronyme dans quelques mois lors de son restylage). Le GLE Coupé est donc la version sportive du ML de la même manière que le X6 est un X5 recarrossé.
Le GLE Coupé étant un rival du X6, il est logique que sa silhouette soit similaire. Pour certains, Mercedes est un copieur… mais dans une même catégorie, il est normal que les autos aient la même forme ! Quand BMW a lancé la Série 6 Gran Coupé bien après la CLS, quasiment personne n’a parlé de copie. Ici, on retrouve donc le toit plongeant, le vitrage latéral réduit, la lunette très inclinée et la poupe haut perchée. Chez Mercedes, la malle est plus proéminente. La partie arrière devrait faire débat… et on attendra de voir l’auto en réel pour donner un avis ! Ce modèle s’inspire de la Classe S Coupé, avec des feux horizontaux qui sont surlignés et reliés par une baguette chromée. La proue est typiquement Mercedes avec une large calandre verticale et des optiques aux formes galbées.
Des V6 pour commencer
La planche de bord est celle du ML mais avec quelques modifications (qui seront reprises par le ML restylé/GLE). Changement le plus visible : l’écran entre les aérateurs centraux, qui adopte comme sur les autres Mercedes un aspect tablette. Il peut être commandé par un pavé tactile situé au dessus de la molette placée entre les sièges. Le volant est inédit. Selon Mercedes, l’espace à l’arrière est le plus généreux de la catégorie. Autrement dit, on serait plus à l’aise que dans un X6. Là aussi, c’est à vérifier en vrai, surtout au niveau de la garde au toit avec une chute de pavillon prononcée. Le coffre a un volume maximal de 1.650 litres.
Le GLE Coupé débute sa carrière avec trois moteurs V6 3.0 litres. Le modèle d’accès a un bloc diesel de 258 ch. Au-dessus, on a deux essence de 333 et 367 ch. Ce dernier correspond à la nouvelle finition AMG Sport, une sorte d’AMG « light », qui fait le lien entre les modèles normaux et les vraies sportives.
SUV oui, mais sportifs
Tous les GLE Coupé sont dotés d’une boîte de vitesses automatique à 9 rapports et d’une transmission intégrale 4MATIC. En conditions de circulation classiques, elle répartit le couple à part égale entre les essieux, sauf sur l’AMG Sport, avec 60 % sur le train arrière. Cette version est dotée en série d’une suspension pneumatique et d’un système d’amortissement adaptatif variable en continu avec une fonction d’abaissement automatique à vitesses élevées. De série, le 450 AMG Sport a des jantes de 21 pouces ! On ose imaginer le budget pneumatique. Mais Mercedes est clair : si le GLE Coupé est un SUV qui mesure 4,90 mètres de longueur et 1,73 mètre de hauteur, il peut se conduire comme une sportive.
Le GLE Coupé devrait arriver dans les concessions Mercedes d’ici l’été 2015. Pour la France, la marque à l’étoile indique que la version de base sera dotée du hayon électrique, de la caméra de recul, du démarrage sans clé et du système d’alerte collision. Le prix de départ devrait avoisiner les 70.000 € !
Décidément, le groupe Fiat est friand de la plateforme de la Maserati Ghibli. Souvenez-vous, nous vous présentions le mois dernier le prototype du futur SUV Maserati Levante, lui aussi basé sur la Ghibli. En revanche ce que nous avons sous les yeux aujourd’hui pourrait bien être badgé Alfa Romeo dans un futur proche, puisqu’il s’agirait de la remplaçante de la berline 159 dont la production s’est arrêtée en 2011.
Plus petite qu’une Ghibli
Le prototype immortalisé par nos photographes espions en Suède présente une silhouette bancale, notamment à cause de l’empattement réduit par rapport à celui d’une Ghibli. Il faut dire qu’avec 4,9 m de long (4,6 m pour la 159), cette dernière ne fait pas dans la demi-mesure ! On remarque que les portes arrière de la Maserati ont été considérablement raccourcies.
Celle que l’on nome Tipo 952 en interne ne laisse absolument rien paraître de son design. Même les jantes sont des OZ Racing, que l’on ne retrouvera sûrement pas sur le modèle final.
Mécaniquement, nos photographes sont formels, le mulet était équipé du V6 biturbo que l’on retrouve dans la Ghibli. Là encore, il semble difficile de croire que la Tipo 952 utilisera ce bloc, sauf peut-être dans une déclinaison performance Quadrifoglio Verde ou GTA si la marque se décide à raviver le blason.
En revanche, les blocs essence 1.4 Multiair (170 ch) et 1750 TBI (235 ou 240 ch si l’on opte pour la boîte automatique) de la Giulietta pourraient tout à fait figurer sous le capot de la berline. Idem pour le 2.0 diesel JTDm disponible en 150, 170 et 175 ch (boîte automatique).
Attendue au tournant
La prochaine berline Alfa devrait être le retour de la marque au serpent sur le segment des berlines propulsions. Le plaisir de conduite sera donc un élément déterminant dans l’achat de la voiture. Le constructeur transalpin sait qu’il n’a pas le droit à l’erreur avec la Tipo 952, qui sera chargée de redonner du crédit à la marque en venant épauler la Giulietta et la sportive 4C (voir notre essai).
Certains sites spécialisés ont déjà leurs pronostiques quant au prix de la berline, et estiment que le ticket d’entrée se situera en dessous des 30 000 euros, soit sensiblement le même prix qu’une Audi A4 (27 870 €) et un peu plus cher qu’une Peugeot 508 (24 750 €).
Sergio Marchionne, administrateur du groupe Fiat, a récemment déclaré que la remplaçante de la 159 serait révélée le 24 juin 2015, date anniversaire des 105 ans d’Alfa Romeo. Nul doute que nous aurons l’occasion de vous parler plus en détail de la Tipo 952 d’ici-là.
Lors de l’édition 2013 du salon de l’automobile de Genève, le stand Pininfarina accueillait le sculptural concept car Sergio. Moins de deux ans après, Ferrari en annonce une production ultra exclusive de six unités, basées sur la 458 Spider ! Le premier exemplaire a été livré aux Emirats Arabes Unis, durant un évènement de la marque sur le circuit Yas Marina d’Abu Dhabi.
Très proche du concept
Stylistiquement parlant, il n’y a que deux différences majeures entre le concept Sergio et la version production. La première, c’est que l’arrière adopte des échappements façon 458 Speciale en lieu et place de la triple sortie du concept. La seconde, c’est que Ferrari a fait le choix de doter son roadster d’un pare-brise qui, si il ne dénature pas la ligne originelle, a pour effet de faire paraître l’ensemble un peu moins bien proportionné que le concept.
On se souvient que Lamborghini avait été plus audacieux en proposant l’Aventador J avec seulement deux petits saute-vent. Ne boudons toutefois pas notre plaisir, tous les autres éléments du design étant présents aussi bien sur le concept que sur la Sergio finale !
On retrouve ainsi l’avant plongeant et très fin, l’arceau qui intègre des prises d’air pour le refroidissement de la boîte de vitesses et les jantes dorées contrastant avec le rouge profond de la carrosserie. Le trait de peinture noir courant des bas de caisses jusqu’à l’arceau est également de la partie. L’intérieur de chacun des six exemplaires a été soigneusement personnalisé par son propriétaire.
Performances de haut vol
Quand le cheval cabré le plus célèbre de la production automobile mondiale fait son apparition sur une carrosserie, on s’attend forcément à ce que la sportivité soit au rendez-vous. Et de ce côté-là, les six acquéreurs de la Sergio devraient être servis.
Le roadster est en effet propulsé par le bloc des 458 Speciale et Speciale Aperta. A savoir un V8 4.5 atmosphérique ne produisant pas moins de 540 Nm de couple et 605 chevaux perchés à 9 000 tr/min ! Le 0 à 100 km/h n’est qu’une formalité, ne réclamant que trois secondes.
Un soin tout particulier a également été apporté à l’aérodynamique avec une lame avant travaillant de concert avec l’extracteur d’air situé à l’arrière de la voiture. Les deux se chargent de canaliser l’air et de créer une dépression sous la voiture pour augmenter l’appui.
Maranello n’a pas jugé utile de rendre publique le prix de la Ferrari Sergio, mais il se murmure qu’elle se serait échangée contre un minimum de trois millions d’euros. Visiblement, quand on aime on ne compte pas !
Comme l’Enzo et la 599 GTB Fiorano avant elle, la LaFerrari se décline en version piste non homologuée. McLaren a dévoilé récemment sa P1 GTR, il ne manquerait plus que Porsche se décide à sortir la 918 RSR !
Bienvenue dans le futur
Que l’on aime ou pas son look de vaisseau spatial, la FXX K ne laisse pas indifférent. Chaque millimètre de l’engin a été pensé pour un maximum d’efficacité, a tel point que les superlatifs viennent à manquer pour qualifier cet ORNI.
Un simple coup d’œil sur la fiche technique donne le tournis : comme si les 963 chevaux de la LaFerrari ne suffisaient pas, la FXX K en propose 1050 ! 860 proviennent du V12 6.3 (puissance maximum atteinte à 9200 trs/min) et 190 de l’unité électrique. Le couple dépasse quant à lui les 900 Nm.
Le K dans FXX K est une référence au système de récupération d’énergie cinétique repris des F1, KERS en anglais, qui est paramétrable selon quatre modes via un Manettino sur la console centrale. La position « Qualify » offre les performances maximum sur une courte durée, « Long Run » permet le meilleur compromis performance/fiabilité pour tenir une course entière, « Manual Boost » délivre le couple maximal instantanément et enfin « Fast Charge » met la priorité sur le rechargement des batteries.
L’aérodynamique de la LaFerrari a été retravaillée en vue d’optimiser l’écoulement de l’air, autour de la carrosserie mais aussi sous le châssis, pour maximiser l’efficacité du fond plat et ainsi coller un peu plus la voiture à la piste. En outre, l’avant est plus bas de 30 mm. Les deux demi-ailerons actifs à l’arrière permettent un appui aérodynamique 50 % supérieur sur la FXX K, allant jusqu’à 540 kg à 200 km/h.
Des freins en carbone céramique (398 mm à l’avant, 380 mm à l’arrière) se chargent de stopper la bête. Aucun gain de poids n’a été annoncé, mais à titre de comparaison, la FXX pesait une centaine de kilos de moins que l’Enzo.
Utilisation encadrée
Les heureux (et très fortunés) élus qui pourront poser leur séant dans le baquet d’une FXX K n’auront pas la possibilité de l’utiliser comme bon leur semble. Car si la voiture n’est pas homologuée pour la route, elle ne l’est pas non plus pour la compétition.
En clair, les clients payent pour faire partie d’un programme de test sur une durée de deux ans, avec des sessions de roulage et de mesures organisées par la Scuderia. Les pneus slicks par exemple sont fournis par Pirelli et sont bardés de capteurs qui renseignent sur les forces latérales, longitudinales et radiales qu’ils subissent. Les résultats sont ensuite analysés. Ferrari utilise ce programme de test client pour transférer des technologies directement issues de la compétition dans ses voitures de production.
Le prix de la Ferrari FXX K n’a pas encore été révélé mais devrait se situer aux alentours des 2 millions d’euros, comme la P1 GTR (1,98 million). Et moi de rêver d’un championnat de supercars entre FXX K, 918 RSR et P1 GTR…
MAJ : il est de 2,7 millions de dollars, soit à peu près 2,2 millions d’euros. Les 32 exemplaires disponibles sont déjà tous vendus !
Alors que la Corvette Stingray est déjà disponible chez nous, une version plus épicée va faire son apparition dès 2015 : la Z06. Il nous manquait encore son prix que Chevrolet vient de révéler…
Une nouvelle Z06 ultra-compétitive
La Corvette C7 présente déjà un rapport prix/puissance très favorable en étant vendue 69 990 € avec un V8 6,2 l atmosphérique de 466 ch. Pour ce qui est de la Z06, celle-ci gagne le même bloc, mais suralimenté, ce qui lui permet de culminer à 659 ch pour 881 Nm de couple… Le 0 à 100 km/h est abattu en 3,5 s. Et cela, pour « seulement » 100 400 € pour le coupé et 105 400 € pour le cabriolet. En comparaison, à ce niveau de prix, il est possible de s’acheter une Jaguar F-Type Coupé R (550 ch) ou une Porsche 911 Carrera S (400 ch)… il y a un monde ! Sa fiche technique la met face aux prestigieuses Lamborghini Huracan (610 ch) et McLaren 650S(650 ch) !…
D’autant plus que la Z06 est aujourd’hui dans le coup avec un V8 disposant de l’Active Fuel Management permettant de désactiver une partie des cylindres lorsqu’ils ne sont pas utilisés avec un gain en consommation de carburant à la clef. La distribution variable est en continu, les amortisseurs Magnetic Selective Ride Controle pilotés, un différentiel à glissement limité est présent, … En outre, un système nommé Performance Data Recorder (PDR) sert à enregistrer une vidéo avec la télémétrie incluse.
Un pack compèt’ pour les plus exigeants
Pour ceux qui ne pourraient se satisfaire de cette configuration, ils peuvent opter pour le « Performance Package Z07 » ajoutant les freins Brembo en carbone céramique, des éléments aérodynamiques, ainsi que des pneus semi-slicks Michelin Pilot Super Sport Cup. Il faudra aligner 16 640 € supplémentaires.
Par le passé, les marques automobiles chinoises ont eu leur image entachée à cause de nombreuses copies de modèles déjà existants. Il y avait notamment eu un faux BMW X5. Dernièrement, c’est à l’occasion du salon de Guangzhou qu’un nouveau plagiat a surgi : le Landwind X7. Il est la copie parfaite du Range Rover Evoque (voir notre essai).
Une copie très proche de l’original
On pensait que les reproductions à l’identique de voitures par les constructeurs de l’Empire du Milieu seraient révolues, mais ce serait crier victoire trop hâtivement. Land Rover en sait quelque chose, puisque son Evoque qui rencontre un succès dans le monde entier et particulièrement en Chine, vient d’être victime d’une contrefaçon que voici :
A l’exception de la calandre, d’une partie du bouclier et de l’habitacle, le Landwind X7 reprend tout du Range Rover Evoque ! De loin, il ne serait pas difficile de le confondre avec l’original.
Côté mécanique, on a sous le capot un moteur essence 2,0 l turbo de 190 ch et 250 Nm de couple. Ce bloc est couplé avec une boîte manuelle à 6 rapports ou une boîte auto à 8 rapports.
Son prix de vente serait aux alentours de seulement 17 700 €, alors que l’Evoque démarre en France à 33 500 € avec un diesel de 150 ch.
Land Rover très agacé
Sans surprise, Ralph Speth qui est à la tête de Jaguar Land Rover n’a pas apprécié la plaisanterie, d’autant plus que c’est au même endroit qu’il avait présenté son Evoque pour le Chine ! Il compte saisir les autorités sur ce sujet avec son partenaire Chery.
La marque Landwind – qui avait déjà copié le Mitsubishi Outlander – appartient à Jiangling Motor Holding, une joint venture entre Changan Auto et Jiangling Motors Corporation (JMC). A noter que ce sont des partenaires de Ford, Suzuki, PSA et Mazda…
Nous vous avions parlé de l’Adam S pour le salon de Genève et à la rentrée de façon plus détaillée. Voici maintenant que la version la plus sportive de la citadine au blitz révèle son prix et en profite aussi pour faire le « show » à haute vitesse sur des routes sinueuses. La vidéo est à découvrir en fin d’article.
Juste en-dessous des 19 000 €
Déjà disponible à la commande, l’Opel Adam S sera livrée aux clients à partir du premier trimestre 2015 contre la somme de 18 900 €. Des sièges baquet Recaro sont disponibles en option pour 1 300 €.
Pour rappel, elle abrite un moteur essence turbo 1,4 l de 150 ch et 220 Nm de couple disponible de 2 750 à 4 500 tr/min. Ces caractéristiques lui autorisent un 0 à 100 km/h en 8,5 s et une vitesse maxi de 210 km/h selon les chiffres du constructeur.
Du côté de la concurrence à puissance équivalente, on peut citer la Seat Ibiza FR avec un bloc 1,4 l TSI suralimenté développant 150 ch et 220 Nm ou encore la Volkswagen Polo BlueGT avec encore un 1,4 l TSI de 150 ch, mais offrant, pour le coup, 250 Nm. Vendues respectivement à 20 475 € et 22 800 €, les deux modèles du groupe VW sont plus chers de 1 500 à 3 800 €. L’Abarth 595 (voir notre essai) débutant à 22 200 € est également plus onéreuse, mais propose 160 ch et 230 Nm.
L’Adam S à l’attaque
Afin de vous convaincre, Opel a emmené son Adam S sur une sympathique route comprenant de nombreux virages. Montez le son pour apprécier la sonorité du 4-cylindres !
En plus d’une série spéciale de lancement baptisée « Opening Edition » (à partir de 20 990 €) et limitée à 2 000 unités, le 500X prévu pour une commercialisation le 15 février 2015 se déclinera en six finitions tout de même ! Elles s’appellent « X », « Pop », « Popstar », « Lounge », « Cross », et « Cross Plus ».
L’entrée de gamme « X » se démarque notamment par des projecteurs antibrouillard adaptatifs et une peinture pastel « Rouge Passione » de série. En choisissant la « Pop », on a le droit à la climatisation manuelle, des pare-chocs couleur carrosserie, des rétroviseurs électriques et dégivrants, un régulateur de vitesse adaptatif, le frein à main électrique, … Au-dessus, la finition « Popstar » donne accès à des jantes alliage 17 pouces et le système UConnect Radio. La « Louge » permet de gagner un pouce pour les jantes, des phares xénon, des vitres surteintées, ainsi qu’un écran pour le tableau de bord (3,5 pouces) et un autre, tactile, de 5 pouces pour la console centrale comprenant la navigation.
Les niveaux de finitions « Cross » et « Cross Plus » sont à destinations des personnes à la recherche d’un aspect plus baroudeur. On bénéficie, entre autres, de protections en plastique, de barres de toit, de jantes alliage 18 pouces et d’une canule d’échappement chromée. A noter qu’en plus de la climatisation, la « Cross Plus » propose l’ouverture et le démarrage sans clef « Keyless Entry & Keyless Go ».
Quatre moteurs différents
Au chapitre des motorisations, on y trouve deux essence (1,6 l et 1,4 l MultiAir) et deux diesel (1,6 l MultiJet et 2,0 l MultiJet uniquement en 4×4 et BVA9). Ils vont respectivement de 110 ch à 140 ch et de 120 ch à 140 ch. Le prix de base est fixé à 15 990 € avec le 1,6 l essence de 110 ch en finition « X » et peut grimper jusqu’à 30 290 € avec le 2,0 l MultiJet diesel de 140 ch 4×4 BVA9 avec la finition « Cross Plus ». Un tarif honnête sachant que ses rivaux Peugeot 2008 (1,2 l PureTech 82 ch à 15 550 €) et Nissan Juke (1.6 l 94 ch à 15 990 €) sont à peine moins chers ou au même niveau pour un déficit de puissance entre 28 ch et 16 ch.
Pour la suite, quatre blocs feront leur apparition. Trois essence : le 1,6 l E-torQ 110 ch en 4×2 BVM5, le 1,4 l MultiAir de 170 ch en 4×4 BVA9 et le 2,4 l Tigershark MultiAir 187 ch en 4×4 BVA9. En diesel, ce sera un petit 1,3 l MultiJet 95 ch en 4×2 BVM5.
Pour ceux qui aiment la marque aux anneaux mais trouvent le Q7 trop utilitaire, Audi proposera dans les années à venir un Q8. Plus sportif, plus dynamique et doté d’un style plus affirmé, il viendra concurrencer les BMW X6 et futur Mercedes GLE Coupé annoncé par un concept.
Haut de gamme
Le Q8 a été conçu pour s’attaquer à des marchés où le luxe occupe une place importante. Sans surprise, c’est donc la Chine, le Moyen-Orient et les Etats-Unis qui seront servis les premiers.
En adoptant le chiffre 8, le nouveau modèle se positionnera au sommet de la gamme SUV d’Audi. Il reprendra des technologies étrennées sur la berline de luxe A8 en y ajoutant la possibilité de sortir des sentiers battus. Une suspension à air ajustable sera proposée sur les variantes les mieux équipées.
Le Q8 reposera sur la plateforme MLB, comme le prochain Q7, et nombre de ses concurrents (Volkswagen Touareg, Porsche Cayenne, le futur SUV Bentley pour ne citer qu’eux). Un allègement de près de 300 kilos par rapport au Q7 est toutefois attendu. Avec un poids un peu en-dessous des deux tonnes, le Q8 ne sera pas exactement une ballerine, mais devrait profiter d’un comportement plus incisif que le Q7.
Pas de 4-cylindres ?
Selon nos sources, la gamme de motorisations démarrerait directement avec un V6 3.0 diesel. Exactement comme l’A8. En se basant sur les motorisations que propose la berline, on aurait donc droit à deux diesel, les V6 TDI 3.0 258 ch et V8 TDI 4.2 385 ch ainsi que deux essence, les V6 3.0 TFSI 310 ch et V8 4.0 TFSI 435 ch.
Si modèle RS Q8 il y a, il reprendra sûrement le V8 4.0 biturbo des RS 6 et RS 7 avec une puissance dépassant les 500 ch. Une version plug-in hybride a également de grandes chances de figurer au catalogue. Les rumeurs parlent aussi d’une version full électrique pour concurrencer le SUV Tesla Model X, mais rien n’est confirmé.
Le style final de l’auto n’a pas encore été révélé et aucune date de sortie n’est pour le moment avancée. Tout juste sait-on que l’Audi Q8 arrivera d’ici les trois prochaines années. Le prix de base devrait s’établir au dessus de 60 000 € avec un RS Q8 dépassant allègrement les 100 000 €.
Après le 100 % électrique, l’hybride… la tendance actuelle semble revenir vers l’hydrogène et c’est Toyota qui présente la première berline de grande série de ce type.
Un style… très particulier
Annoncée depuis quelques temps, cette auto a enfin reçu son patronyme : Mirai, signifiant « futur » en langue japonaise. D’une longueur de 4,89 m, cette berline d’un gabarit comparable à une Peugeot 508 possède des lignes pour le moins originales et osées. A croire qu’une voiture fonctionnant avec une énergie alternative ne peut ressembler à un modèle équipé d’un moteur thermique ? Pourquoi vouloir toujours faire cette distinction esthétique ?
Avec ce bouclier recevant deux entrées d’air complètement disproportionnées, tandis que les phares sont ultra-fins, le contraste n’est pas franchement réussi.
De profil, le dessin est déjà plus sage. On note une vague parcourant l’aile arrière pour lui donner des hanches plus musclées et une allure plus dynamique sous cet angle.
En ce qui concerne la poupe, le traitement est ici également assez sportif. Une partie des feux parcourent en largeur le coffre et le reste situé aux extrémités rappelle les ouïes aperçues à l’avant.
Enfin, pour ce qui est de la présentation intérieure, le constat est malheureusement le même qu’à l’extérieur. L’agencement asymétrique de la console centrale aux touches électrostatiques perturbe et l’on regrette que l’ensemble ne soit pas un peu plus gai. On retiendra que l’équipement propose, entre autres, la climatisation automatique bizone, le volant et sièges chauffants, le freinage d’urgence automatique, le détecteur d’angle mort, …
Les performances
Propulsée par une pile à combustible, la Mirai annonce 154 ch et 335 Nm de couple grâce à son moteur électrique. La voiture à hydrogène de Toyota ne rejette que de la vapeur d’eau et effectue le 0 à 60 mph (environ 97 km/h) en 9 s.
Le plein d’hydrogène demande 3 minutes et offre ensuite une autonomie de 500 km selon le constructeur.
Pas encore de date pour la France
Commercialisée dans le courant de l’année 2015 au Japon et au mois de septembre de la même année en Allemagne, au Royaume-Uni et au Danemark, la Toyota Mirai ira se vendre dans d’autres pays européens en 2017. La firme nippone garde les pieds sur terre et prévoit des ventes comprises entre 50 et 100 unités par an pour 2015 et 2016.
Il faut dire que face à un réseau de distribution de ce carburant à construire et un prix de vente fixé à 60 000 € (taxes non comprises) en Allemagne, la Mirai ne sera pas à la portée de toutes les bourses !
Vous roulez en Mercedes Classe S 600, mais quelque chose vous chiffonne. L’espace disponible à bord vous convient, mais vous ne seriez pas contre un petit extra. Et puis avouez-le, vous trouvez intolérable que l’on puisse confondre votre S 600 V12 avec la S 300 doté d’un vulgaire 4-cylindres. Mercedes a pensé à vous.
Deuxième service
Tel un phœnix, la marque allemande de très grand luxe ne cesse de renaître de ses cendres. Rachetée par le groupe Daimler en 2002, elle a produit deux modèles jusqu’en 2013, la 57 et la 62 sur base de Mercedes Classe S (sans compter l’anecdotique 57 S Xenatec coupé sur base de Mercedes CL et le concept car Exelero). Problème, la clientèle les jugeait trop peu différents d’une Classe S, et la marque n’a pas atteint les objectifs de ventes qu’elle s’était fixés.
Pour 2015, Mercedes remet le couvert en changeant de stratégie. Les nouvelles Maybach arboreront désormais l’étoile à trois branches et seront situées au top de la gamme Classe S. Mercedes a décidé d’intégrer Maybach dans sa gamme, comme il l’a fait avec AMG.
Empattement allongé
Extérieurement, une Mercedes-Maybach en impose. Véritable limousine avec ses 5,4 m de long, elle dispose d’un empattement gigantesque de 3,4 m. A titre de comparaison, c’est 20 cm de plus que celui d’une Classe S a empattement allongé, et à peine inférieur à la taille d’une Renault Twingo (3,6 m) ! La messe est dite.
Pour le reste, les changements s’avèrent beaucoup plus subtils : quelques touches de chrome en plus (sur les montants de portières notamment), des portières arrière plus petites qui s’arrêtent avant la vitre de custode et un logo Maybach sur le montant C. Les jantes chromées sont quant à elle spécifiques et présente un design très conservateur, même si des jantes à bâtons, plus sportives, sont également disponibles.
Personnalisable à l’envie
Ce qui fait la force d’une voiture ultra luxueuse, c’est sa capacité à choyer ses occupants. Car non, une limousine n’est pas une voiture qui s’apprécie au volant, mais bien depuis les places arrière.
Sélection des meilleurs cuirs, système audio haute fidélité, sièges massants avec position allongée, boiserie fine, éclairage d’ambiance ou encore insonorisation très travaillée il est impossible de dresser une liste exhaustive du degré de raffinement dont disposent les nouvelles Maybach. D’autant plus que la personnalisation est ici très poussée, et que seul votre porte-monnaie dictera la configuration finale. Avec la possibilité de se concocter un intérieur « à la carte », Mercedes entend bien marcher sur les plates-bandes de Rolls-Royce et Bentley.
Et pour se faire, seules les motorisations les plus puissantes de la Classe S (hors AMG), sont reprises. La Maybach S 500 reçoit donc le V8 4.6 biturbo de 455 ch et 700 Nm de couple et la S 600 le V12 6.0 biturbo de 530 ch et 830 Nm de couple. De quoi voir venir. Si les deux sont des propulsions, une version intégrale 4MATIC de la S 500 sera disponible en juin 2015.
Les Mercedes-Maybach S 500 et S 600 viennent d’être présentées simultanément en Chine et aux Etats-Unis, leurs deux marchés de prédilection. Elles seront disponibles à partir de février 2015, à un tarif de base estimé aux alentours des 200 000 euros.
La discrète carrière de la Twingo 2 RS avait semé le doute quant à l’arrivée d’une remplaçante. Nous vous en parlions cet été et puis dans cet article consacré aux futurs modèles Renault, voici maintenant la preuve en photos que la Renault Twingo RS (ou plus certainement Twingo GT) est bien en cours de développement !
Petite bombinette Renault !
Après des clichés de la future Smart Fortwo Brabus – ce qui n’a pas vraiment été surprise –, nous découvrons les spyshots de la Twingo RS/GT, alors que sa venue n’était pas confirmée et également incertaine…
On remarque quelques différences esthétiques avec la Twingo que l’on connait aujourd’hui, même si nous pensons que son apparence définitive sera encore un peu plus agressive, notamment pour la partie avant qui semble ici identique aux versions classiques. Pour les nouveautés donc, il faut se pencher sur le profil. On y trouve une suspension sport abaissant l’assiette, ainsi que des jantes d’un plus gros diamètre accueillant un système de freinage plus conséquent.
A l’arrière, la double sortie d’échappement logée dans un diffuseur offre un look fort sympathique à l’auto au losange, tandis qu’un becquet de toit soigne l’allure de la petite sportive.
Entre 120 et 130 ch ?
Basée sur la même plateforme que la Smart Fortwo, la Renault Twingo RS/GT devrait utiliser son trois-cylindres 0,9 l SCe turbo essence. Actuellement, il développe 90 ch, mais sa puissance pourrait être portée à 120 ch, voire 130 ch. Le quatre-cylindres 1,2 l a été évoqué, néanmoins la place est trop étroite pour qu’il puisse être logé sous le coffre.
La boîte de vitesse pourrait être de type EDC, soit à double embrayage.
A quand sa sortie ?
Pour acheter la Twingo RS/GT, il faudra patienter jusqu’à fin 2015. Son prix de vente devrait se situer aux alentours des 16 000 €.
C’est un prototype lourdement camouflé de la prochaine Audi A4 berline qui a été surpris par nos photographes. Que les puristes se rassurent tout de suite, la familiale ne renie pas ses origines, et conserve sa silhouette familière.
« Changement dans la continuité »
Le chef du design de la marque aux anneaux serait-il un fan de Georges Pompidou ? Nous n’avons pas la réponse. Par contre, il semble trouver grande inspiration dans le slogan que l’ex-président a utilisé pour sa campagne de 1969 ! Sous l’épais camouflage, on reconnaît aisément l’A4, mais déjà, quelques détails font la différence.
Les phares et feux tout d’abord, présentent un design plus fin et plus acéré. Les angles sont fermés, les rondeurs quasi absentes. A l’avant, la calandre dissimulée sous des grillages factices semble un peu plus large que sur la génération actuelle (B8), et le pare-choc présente un design revu, notamment dans sa partie basse.
Pour l’arrière, le constat est un peu plus difficile à établir mais on note tout de même un diffuseur légèrement affiné et l’apparition de catadioptres. Dans l’ensemble, on peut s’attendre que ce que l’allure gagne en dynamisme, recette qu’Audi a déjà appliqué à la dernière génération du TT (voir notre essai).
L’intérieur devrait lui aussi faire honneur à la marque en termes de qualité perçue et de présentation. La Volkswagen Passat ayant marqué un bon en avant dans ces domaines, l’A4 se doit de placer la barre encore plus haut. L’on sait déjà que la planche de bord accueillera un écran multimédia (MMI chez Audi) de 8 pouces soit 20,3 centimètres.
Une base saine
L’A4 B9 reposera sur la toute nouvelle plateforme modulable MLB Evo du groupe, qui devrait être ensuite introduite sur tous les modèles au-dessus de l’A4. Elle permet notamment un gain de poids d’environ 90 kg tout en proposant une rigidité accrue grâce à l’emploi d’aluminium et de matériaux composites. En sus, la plateforme MLB Evo autorise de placer le moteur plus au centre du châssis, au bénéfice direct de la répartition des masses et donc de l’agilité de la voiture.
Un bon point quand on sait que l’A4, quand elle n’est pas équipée du quattro, est une traction. Audi pourrait aussi profiter du renouvellement de sa familiale pour introduire une transmission intégrale hybride baptisée e-quattro. Le système est simple : le moteur thermique n’entraîne que les roues avant et un moteur électrique d’une puissance équivalente à une centaine de chevaux entraîne les roues arrière en cas de besoin. Une architecture dont on vous a déjà parlé avec le Mercedes Vision G-Code concept.
Les moteurs thermiques justement, parlons-en. L’offre diesel reprendra le 2.0 TDI décliné en plusieurs niveaux de puissance – vraisemblablement entre 130 et 200 chevaux environ. Il n’est pas certain en revanche que le V6 3.0 TDI actuel de 245 chevaux résiste à la course au downsizing, à moins qu’Audi ne souhaite proposer une variante diesel de la sportive S4.
En essence, les 1.8 et 2.0 TFSI devraient être disponible entre 130 et 230 chevaux. L’ensemble sera bien sûr moins gourmand en carburant. La S4 gardera son V6 3.0 quoique légèrement boosté (environ 350 ch) et l’ultra sportive RS4 pourrait recevoir le V8 4.0 biturbo des RS6 et RS7 dans une version dégonflée à 500 chevaux.
Dévoilée courant 2015
Le prix d’appel de l’Audi A4 B9 ne devrait pas être beaucoup plus élevé que celui de la B8, qui débute à 27 870 euros. Elle est attendue l’année prochaine, mais aucune date officielle n’a filtré pour le moment.
La berline à coffre sera suivie par une déclinaison break « Avant », mais également par les nouvelles A5 Coupé, Cabriolet et Sportback (version 5 portes) en 2016.
Infiniti, la marque de luxe de Nissan, compte prochainement élargir son offre vers le bas avec une compacte sur la base de la Mercedes GLA. Nos photographes espions l’ont repéré en vadrouille pour la première fois !…
Des lignes proches du concept Q30
Rappelez-vous, au salon de Francfort 2013, Infiniti levait le voile sur la Q30 Concept. Cette compacte aux lignes relativement osées annonçait l’arrivée dans les années à avenir d’une compacte au sein de la gamme du constructeur. Un an plus tard, voici le prototype de développement qui semble grandement s’approcher de l’étude de style dévoilée sur le sol allemand.
A travers l’épais camouflage, on peut repérer les optiques avant au dessin voulant imiter l’œil humain comme l’expliquent les designers de la marque japonaise. On devine une calandre plutôt imposante avec en son centre l’emplacement pour le logo.
De profil, la ceinture de caisse est haute pour donner un sentiment de robustesse, mais les nombreuses vagues du concept sont estompées. La longueur de l’auto est d’environ 4,40 m.
A l’arrière, la future concurrente des BMW Série 1,Mercedes Classe A etAudi A3 se démarque par des feux très effilés, ainsi qu’une lunette assez inclinée pour un aspect plus dynamique.
L’habitacle demeure encore dans le secret, toutefois espérons qu’il sera à la hauteur malgré un positionnement moins haut de gamme qu’une Q50 par exemple.
Des moteurs connus au programme
Sous le capot, Infiniti devrait tirer parti des avantages apportés par l’utilisation de la plateforme « MFA » qui est utilisée pour les Classe A, GLA et CLA. L’un d’entre eux, c’est de réutiliser les mêmes motorisations et boîtes de vitesse.
Par conséquent, il est fort probable de retrouver le 2,0 essence de la Classe A 250 (211 ch) et la boîte 7 rapports qui va avec. Le 1,5 dCi d’origine Renault développant autour des 100 ch est également évoqué. En outre, la présence au catalogue d’une motorisation hybride serait logique de la part d’Infiniti.
Arrivée prochaine
Très probablement présentée officiellement en 2015, l’Infiniti Q30 devrait être vendue à un prix proche des 25 000 € en entrée de gamme. A noter qu’une version crossover baptisée « QX30 » – à l’image de la Volvo V40 Cross Country ? – sera commercialisée par la suite. Les Q30 et QX30 seront produits dans une usine localisée en Angleterre.
Sur le segment des citadines, la concurrence est féroce. Le marché français est dominé par des modèles tricolores, mais actuellement la Renault Clio, comme les Peugeot 208 et Citroën C3 ne sont plus très loin de leur premier restylage ou de leur remplacement en ce qui concerne les chevrons. Il s’agit donc d’une opportunité pour la concurrence. En plus de l’Opel Corsa (voir notre essai), on retrouvera donc aussi la nouvelle Mazda2 en 2015 !
Légère hausse tarifaire
La marque vient de communiquer sur les tarifs de son auto. Face à un taux Yen/Euro défavorable, la Mazda2 qui est importée du Japon ne peut s’aligner sur ses rivales en terme de prix et demande 900 € en sus par rapport à la génération précédente. Avec le moteur essence de 75 ch, la petite nippone débute à 14 450 €, quand une 208 réclame 1 450 € de moins (13 000 €).
D’une longueur de 4,06 m (soit une taille identique à la Clio) et uniquement disponible en 5 portes, la Mazda2 se distinguera par une connectivité embarquée à la pointe et pour la version la plus haut de gamme (Sélection) un affichage tête haute est proposé, un équipement inédit sur une voiture urbaine ! En outre, la présentation intérieure semble soignée et qualitative. Les aérateurs de forme circulaire apportent une touche sportive bienvenue.
Commercialisation au printemps
La date de sortie de la nouvelle Mazda2 aura lieu le 2 avril 2015 avec quatre moteurs quatre-cylindres de 1,5 l allant de 75 à 115 ch pour le bloc le plus puissant (en attendant une MPS de 200 ch ?). L’offre est majoritairement composée par des essence qui sont au nombre de trois pour un unique diesel. A noter qu’une boîte automatique à 6 rapports est proposée sur l’essence développant 90 ch.
Lancé depuis 2013, le Mitsubishi Outlander va déjà bénéficier d’une mise à jour. Ce sont nos paparazzi spécialisés dans la chasse de futurs modèles de voiture qui ont surpris le SUV japonais partiellement camouflé…
Déjà des modifications esthétiques
D’ordinaire, la carrière d’un véhicule est de six ans avec un restylage à la moitié, mais pour l’actuel Outlander les choses semblent aller plus vite. En effet, comme en témoignent ces spyshots, l’engin d’un peu plus de 4,6 m de long s’active déjà pour apparaître sous une nouvelle apparence en concessions.
Au programme de ce lifting ? La carrosserie semble à peine touchée ou presque, néanmoins la grille de calandre, les optiques de phare (antibrouillards compris) et les boucliers de la proue sont retouchés. L’ensemble apparaît comme plus imposant, moins effacé que le faciès actuel, ce qui n’est pas une mauvaise chose.
Pour la partie arrière, les feux et boucliers sont également revus. Il est difficile de deviner quelles seront les évolutions apportées aux optiques, toutefois le pare-chocs laissent penser qu’ils seront peut-être moins épais.
Il est dommage que les ressemblances avec la séduisante étude de style Mitsubishi PHEV Concept-S du salon de Paris 2014 soient, semble-t-il, inexistantes. Un look qui serait donc réservé pour la prochaine génération du SUV ?…
A l’intérieur, les deux clichés permettent de découvrir l’apparition d’un nouveau système d’infodivertissement plus moderne. Pour le reste, c’est identique à ce que l’on connait aujourd’hui.
Pas de changements sur la mécanique ?
Reposant toujours sur la plateforme appelée « GS platform » ou « Project Global », le Mitsubishi Outlander restylé devrait garder ses moteurs, à savoir des quatre-cylindres de 2,0 en essence et de 2,2 l en diesel forts de 150 ch pour les deux types de carburant. Il est possible de choisir entre le 2×4 ou le 4×4 pour le diesel, tout comme la transmission manuelle ou automatique à 6 vitesses.
Sa présentation devrait se faire à la fin de l’année 2014. Son prix de base devrait demeurer légèrement sous les 28 000 €.
Depuis son lancement il y a trois ans, l’Audi Q3 se vend bien, mais pour autant la marque aux anneaux ne s’endort pas sur le succès de son SUV. En effet, en vue de l’ouverture du salon de Los Angeles, le constructeur d’Ingolstadt ne présentera pas uniquement un concept spectaculaire, son stand exposera aussi les Q3 et RS Q3 restylés !
Calandre « DS Wings » et xénon de série
En observant les images officielles des Q3 et RS Q3 millésime 2015, Audi nous a surpris. Pour une fois, et il faut le souligner, les retouches sont nettement plus visibles, du moins pour ce qui concerne la calandre. Et pour cause, celle-ci se distingue assez nettement en rejoignant désormais les deux blocs optiques façon « DS Wings » ! Il en résulte une impression d’avoir une auto plus haut de gamme et au faciès plus imposant.
Les modifications ne s’arrêtent pas là, puisque Audi en a également profité pour modifier quelque peu les phares en dotant le Q3 du xénon en série et du full LED en option. En outre, les clignotants sont maintenant à affichage dynamique et le bouclier arbore des entrées d’air (factices) plus grandes.
Le profil, la partie arrière et l’habitacle demeurent inchangés. Le Q3 affiche toujours 4,39 m de long et un volume de coffre s’élevant à 460 litres.
Des moteurs plus économes et plus puissants
En plus de faire passer à la norme antipollution Euro 6 les moteurs de son SUV (émissions de CO2 en baisse de 17 %), Audi précise avoir réduit leurs consommations et introduit la technologie « Audi cylinder on demand » permettant de désactiver deux cylindres sur quatre dans certaines conditions. Dans le détails, les cinq moteurs diesel et essence couvre une puissance allant de 120 à 220 ch, contre 140 à 211 ch auparavant. Pour les TDI, comme pour les TFSI, ce sont des quatre-cylindres. Leur consommation moyenne varie de 4,4 l à 7,2 l/100 km.
Pour le RS Q3 doté du quattro et de la S tronic à 7 rapports, le gain de puissance atteint 30 ch et 30 Nm de couple en passant de 310 ch à 340 ch et de 420 Nm à 450 Nm. Ainsi, le cinq-cylindres de 2,5 l de cylindrée retrouve sa puissance initiale qui était proposée sous le capot de l’ancien TT RS et se retrouve presque à armes égales face au Mercedes GLA 45 AMG fort de 360 ch. D’ailleurs, face à son rival étoilé, il établit le même score pour l’exercice du 0 à 100 km/h, soit 4,8 s ! Par ailleurs, il boit, en moyenne, entre 8,4 l et 8,6 l/100 km.
Disponible en début d’année prochaine
Pour terminer, les nouveaux Q3 et RS Q3 seront commercialisés en 2015. Pour le Q3, ce sera en février et pour le RS Q3 au courant du 1er trimestre.
L’entrée de gamme du Q3 débutera à 29 500 €, mais ne sera pas disponible immédiatement. Pour la version sportive RS Q3, le prix n’est pas encore indiqué. A titre de comparaison, avant restylage il s’échangeait pour 61 660 €, soit plus que les 58 900 € demandés par le GLA 45 AMG possédant pourtant 20 ch en sus. Espérons qu’Audi s’alignera sur son concurrent…
En production depuis 2009, la Porsche Panamera attaque paisiblement sa sixième année de carrière. Toutefois, en coulisses, les ingénieurs s’activent depuis un moment pour développer sa remplaçante. Nos paparazzis ont déjà pu photographier pour la première fois de près la berline de luxe allemande dont voici les clichés…
Des lignes dans la continuité
Reposant sur une nouvelle plateforme « MSB », les designers de Stuttgart ne semblent pas avoir eu pour consigne de révolutionner l’allure de la bête qui pourtant a subi et subit encore des critiques.
Sur ces photos volées prises sur route ouverte, on remarque que la Panamera II devrait ne pas se distinguer énormément de sa devancière, et cela est fort dommage. Certains estiment que des traits seront repris au concept-car Panamera Sport Turismo apparu au Mondial de l’Automobile de 2012.
Le principal reproche étant fait sur la poupe, espérons que la marque corrigera le tir avec des formes plus dynamiques et harmonieuses. Aujourd’hui, le prototype aperçu reste encore bien camouflé et il laisse donc filtrer bien peu de détails. Il serait pourtant abouti à 80 % pour l’esthétique. Aussi, jusqu’à présent, l’intérieur n’est malheureusement pas visible.
V6 et V8 de nouvelle génération au programme
Côté moteurs, la future Panamera restera fidèle aux V6 et V8, à la différence que ce seront des blocs de nouvelle génération qui iront se positionner sous le capot avant. Des motorisations diesel, ainsi qu’une version hybride rechargeable seront également de la partie. L’objectif étant toujours de diminuer les émissions de CO2 et la consommation de carburant sans gréver les performances.
Le client pourra toujours choisir entre deux roues motrices arrière (propulsion) ou quatre roues motrices (4×4).
Encore un an minimum avant sa sortie
La date de sortie précise de ce modèle n’est pas encore connue, mais il devrait apparaître à la fin de l’année 2015 ou au plus tard en 2016. Lors de sa commercialisation, le prix de base est évalué à 90 000 €.
Enfin, il est fort probable qu’une Panamera Shooting Brake (ou « break de chasse ») vienne s’ajouter à la gamme Porsche quelques années après…
Downsizing, un mot que l’on rencontre très souvent dans l’univers automobile de nos jours. Et tout le monde en fait les frais, même Porsche, qui a décidé de supprimer deux cylindres sur son Cayenne le plus sportif.
Plus petit, mais plus puissant
Exit donc le gros V8 4.8 atmosphérique, et place à un nouveau V6 3.6 biturbo. Nouveau, pas tant que ça, puisqu’il s’agit en réalité du bloc du « petit » Macan Turbo, ici porté à 440 chevaux (+ 20 par rapport au précédent). Avec 600 Nm de couple (+ 85 par rapport au précédent), les performances sont aux rendez-vous, malgré les 2,1 tonnes à vide la bête : seulement 5,2 secondes sont nécessaires sur l’exercice du 0 à 100 km/h, voire 5,1 avec l’optionnel pack Sport Chrono.
Mais, magie de la baisse de cylindrée et de la suralimentation, la consommation normalisée est en baisse de 0,9 l/100 km et s’établit à 9,8 l/100 km. Un gros travail de mise à jour a également été fait sur le châssis, qui voit sa suspension PASM retarée et abaissée (-24 mm avec la suspension métal, -20 mm avec la suspension à air optionnelle) pour plus de sportivité.
Enfin, les gros freins du Cayenne Turbo (520 ch) sont de la partie, avec des disques de 390 mm à l’avant et 358 mm à l’arrière, ce qui devrait conférer au GTS une puissance d’arrêt tout à fait honorable.
Paint It Black
Le Cayenne GTS reçoit de série la face avant de son grand frère Turbo, ainsi que le pack Sport Design qui comprend des passages de roues élargis, des bas de caisses plus prononcés et un becquet de toit. Il y ajoute en plus un logo sur le bas des portes avant, des jantes spécifiques de 20 pouces et un échappement sport, le tout peint bien évidemment en noir.
On retrouve encore cette couleur contrastant avec le reste de la carrosserie pour le fond des phares et des feux arrière et pour les sigles présents sur la malle de coffre. L’habitacle profite aussi du blason GTS pour se parer d’alcantara et de divers logos, ainsi que pour offrir à votre séant ses sièges sport réglables de huit manières différentes.
Le Porsche Cayenne GTS s’échange contre un minimum de 101 330 € et sera officiellement présenté le 19 novembre au salon de Los Angeles, en même temps que le nouveau Cayenne d’entrée de gamme (V6 3.6 atmosphérique, 300 ch, à partir de 68 330 €). Commercialisation prévue au printemps 2015.
Des modifications esthétiques pour la rendre plus bestiale
Premier changement de taille : le design ! Avec cette livrée RTR, la Mustang quitte son allure gentillette pour un style bien plus musclé. On note une nouvelle calandre avec projecteurs intégrés, des bas de caisse élargis ou encore un diffuseur pour la partie arrière.
Des barres stabilisatrices, des amortisseurs réglables, des suspensions surbaissées, ainsi qu’un échappement sport Magnaflow ou encore un système de refroidissement spécifique sont prévus. Tout cela étant intégré à la transformation dite de « Spec 1 ».
Un V8 boosté à bloc
Pour les amateurs de puissance et ceux voulant rivaliser avec la SRT Hellcat, Ford propose de passer à la transformation « Spec 2 » qui va impacter la mécanique.
Ici, le moteur V8 de 5,0 l de cylindrée passe de 418 à 725 chevaux grâce à un compresseur, soit une cavalerie plus élevée que sa rivale précédemment citée ! A noter que le quatre-cylindres 2,3 l EcoBoost de 310 chevaux pourra, lui aussi, bénéficier d’un gain de puissance.
Pas pour l’Europe
Malheureusement, la Ford Mustang RTR 2015 ne traversera pas l’Atlantique pour venir chez nous, elle sera cantonnée à quelques concessionnaires triés sur le volet localisés en Amérique du Nord. Sa commercialisation se fera courant janvier 2015, tandis que son prix officiel n’a pas encore été communiqué. Il devrait se situer aux alentours des 60 000 € « seulement ».
La nouvelle génération de l’Honda NSX (ou Acura NSX selon les pays) avait rencontré quelques problèmes cet été (voir ci-dessous) et c’est avec plaisir que l’on s’aperçoit que la sportive japonaise fait son retour sur le Nürburgring, en Allemagne. Ce sont nos photographes espions qui nous livrent quelques clichés de la belle…
Derniers réglages pour la prochaine supercar japonaise
Révélée sous la forme d’un concept au salon de Francfort en 2013, la NSX ne va plus tarder à être présentée officiellement comme en témoignent ces spyshots d’un prototype à l’essai sur le célèbre et redoutable tracé. La voiture est quasiment aboutie et le design sera repris à 95 % de l’étude de style montrée au public deux années auparavant.
En position arrière prend place un moteur turbo essence V6 hybride. Les blocs thermique et électrique devraient délivrer une puissance cumulée de l’ordre de 400 chevaux ! Les quatre roues seront motrices (système appelé « SH-AWD » pour « Handling All Wheel Drive ») et la puissance sera commandée par une boîte à double embrayage et 7 rapports.
Sa commercialisation est attendue pour la mi-2015, tandis que son prix de vente est estimé à 130 000 €…
Un prototype qui avait pris feu !
C’était en juillet 2014, pour une raison non communiquée, qu’un prototype de l’Honda NSX avait été détruit par les flammes :
Depuis l’arrêt de la production de la M1 en 1981, BMW est dépourvu d’une véritable sportive. Cependant, l’année 2014 a marqué le lancement de l‘i8, une GT à motorisation hybride.
Les Américains d’Automobile Mag ont eu vent d’une nouvelle version de l’i8 qui serait appelée « i8S ». Plus puissante, mais aussi plus bestiale, il pourrait s’agir d’une digne remplaçante de la M1…
Enfin une successeur pour la M1 ?
Comme son nom l’indique, l’i8S sera basée sur l’i8, mais avec quelques différences. On notera notamment une ligne plus agressive avec très probablement des boucliers aux formes plus virulentes, des bas de caisse plus enveloppants, une garde au sol diminuée, des sorties d’échappement bien mise en valeur, etc.
Une image d’illustration réalisée par jonsibal
Il est aussi avancé que la banquette arrière serait supprimée pour gagner en poids et cela laisserait également de la place pour améliorer la rigidité de la caisse grâce à arceau notamment. Bien entendu, la suspension, le châssis et le système de freinage seront réajustés pour convenir au tempérament du bolide.
Quelle puissance pour l’i8S ?
La grande question au sujet de cette i8S auparavant nommée i9 par les rumeurs annonçant le retour d’une supercar BMW, c’est quel moteur viendra donc mouvoir le bestiau ?
A ce chapitre, les bruits de couloir divergent. Pour certains, ce sera un quatre-cylindres biturbo d’à peu près 320 ch et pour d’autres un six-cylindres 3,0 l affichant 480 canassons !…
Cela étant, tous sont d’accord pour miser sur une motorisation hybride. Le bloc thermique enverrait la puissance aux roues arrière, tandis que le bloc électrique se chargerait de faire tourner les roues avant. Au total, la puissance cumulée s’élèverait aux alentours des 500 ch et 675 Nm de couple, contre 362 ch actuellement !
Côté chiffres, cela donnerait un 0 à 100 km/h en 3,5 s (4,4 s aujourd’hui) et une vitesse maximale, limitée électroniquement, de 250 km/h.
Présentée en 2016
Les 100 ans de BMW ayant lieu en 2016, il y a de fortes chances que ce soit durant cette année que le constructeur en profite pour dévoiler son i8S. Elle serait lancée en 2017 aux Etats-Unis avec un tarif supérieur de 30 % à l’i8 (elle débute à 145 950 €), soit un prix de base estimé à près de 190 000 €.
Un peu plus tôt dans l’année, nous parlions du Range Rover Sport RS qui viendrait se positionner en tant que le SUV le plus puissant de sa catégorie. Comme si que cela ne suffisait pas, Land Rover prévoirait également la même motorisation pour la version longue (« LWB » pour « Long Wheelbase ») de son mastodonte.
550 ch sur un SUV
Actuellement proposé avec un bloc culminant à 510 ch grâce à un V8 5,0 l suralimenté, le Range Rover LWB se musclerait encore davantage. Ce sont nos photographes espions qui ont déniché un prototype du Range Rover LWB SVR cachant donc sous son capot un V8 porté cette fois-ci à 550 ch et 680 Nm de couple ! Les quatre sorties d’échappement étant caractéristiques.
Avec une telle cavalerie, le char d’assaut « british » demanderait moins de 5,5 s pour effectuer un 0 à 100 km/h, tandis que sa vitesse maximale serait de 225 km/h…
Bien entendu, Land Rover modifiera les réglages châssis et notamment la suspension, ainsi que le système de freinage en conséquence. L’exemplaire partiellement camouflé ne semble pas encore présenter tous les éléments de carrosserie pour la mise en série et plus particulièrement en ce qui concerne l’aérodynamique qui devrait être améliorée pour l’occasion.
Proche des 200 000 € ?
Le plus luxueux et musclé des Range Rover sera réservé à un marché de niche avec un prix très élevé. Prévu pour un lancement à la mi-2015, il trouverait preneur contre un peu moins de 200 000 €. 190 000 € plus précisément, selon les estimations qui circulent.
Le Range Rover LWB SVR sera très probablement le plus demandé au Moyen-Orient.
Renault, Peugeot et Citroën n’étaient pas les seuls constructeurs tricolores à exposer au Mondial de l’Automobile de Paris. Certes bien plus petite, la marque PGO était également de la partie pour dévoiler une version spéciale de la Cevennes : la Coastline.
Ce modèle issu du programme de personnalisation de l’artisan français se rapporte à l’univers nautique et plus précisément de la voile. Ainsi, le roadster néo-rétro très compact se trouve dans un livrée bleue, reçoit du teck sur le capot et une sortie d’échappement Supersprint Performance pour flatter les tympans. D’ailleurs, au chapitre mécanique c’est l’ancien bloc de la Mini Cooper S qui officie (en position centrale arrière), c’est-à-dire le 1,6 l turbo de 184 ch. Il permet de déplacer les moins de 1 000 kg avec vivacité. Le 0 à 100 km/h demande 5,9 s et la vitesse maximale est de 225 km/h.
A l’intérieur, on note les inserts chromés et le cuir et l’Alcantara cohabitant sur le volant et les sièges… Ambiance originale assurée à son bord ! Son prix de vente devrait se situer légèrement au-dessus des 45 000 €.
Audi suivrait-il l’exemple de Lamborghini en proposant moult versions spéciales de sa supercar R8 ? Si on est sûr que le modèle est en fin de vie, la marque aux anneaux nous surprend encore une fois et préparerait une version radicale de la R8 V10, comme le laissent suggérer les clichés pris par nos photographes espions.
GT3 Look
On ne chôme pas du côté d’Ingolstadt. A peine la R8 LMX (équipée de phares laser) révélée, voilà que des images dévoilent une déclinaison bestiale du coupé. Si elle semble basée sur une V10 Plus (grilles de calandres, jantes ou encore sorties d’échappements peintes en noir nous le laissent supposer), la nouvelle venue est cependant bien plus suggestive esthétiquement parlant. Le plus frappant étant bien entendu le massif aileron fixe, qui ne dépareillerait pas en championnat GT3 !
On retrouve également d’autres éléments dérivés de la compétition comme la lame avant, les canards fixés sur les côtés du bouclier, les jupes latérales ou le diffuseur arrière au dessin plus travaillé que celui d’origine. Il y a fort à parier que tous ces éléments aérodynamiques seront faits de fibre de carbone, dans une logique évidente de gain de poids.
Le capot avant présente une large prise d’air, similaire à celle de la version course baptisée R8 LMS Ultra. Dernier indice qui achève de nous convaincre que cette R8 sera définitivement plus « hardcore » que les précédentes versions, elle embarque un arceau, équipement dont seules les voitures les plus sportives, et généralement directement dérivées de la compétition telle la Porsche 911 GT3 Clubsport, sont équipées.
On connait la musique
Sous le capot, il n’y aura vraisemblablement pas de révolution. On retrouvera donc le V10 5.2 FSI, partagé avec les cousines latines Gallardo et Huracan, en position centrale arrière. Selon nos sources, la puissance ne devrait pas excéder 570 chevaux soit 20 de plus que dans la V10 Plus et le même chiffre que dans la LMX. Cette dernière devrait par ailleurs prêter ses phares laser à la nouvelle venue.
Les rumeurs avancent un prix de 200 000 € pour cette R8 ultime ainsi qu’une production limitée à 333 exemplaires, tout comme l’était celle de la R8 GT (2010-2011). On devrait en apprendre davantage en janvier, avec une possible révélation au salon de Detroit.
Voiture d’ingénieur pour certains, tueuse de supercars pour d’autres, qu’on le veuille ou non la GT-R a fait couler beaucoup d’encre. Mise à jour tous les ans depuis son lancement en 2008, nos photographes espions sont tombés sur un prototype avec l’avant camouflé, préfigurant le cru 2015.
Aérodynamique revue
Le premier changement que l’on remarque sous le camouflage concerne la calandre, qui se scinde désormais en trois parties. La prise d’air est aussi légèrement modifiée et perd sa forme trapézoïdale au profit d’un design rectangulaire. En partie basse, la lame avant semble légèrement plus travaillée que sur la génération actuelle. Les extrémités de la face avant ont également une forme retravaillée, qui n’est pas sans rappeler la GT-R Nismo.
Si aucune autre modification n’est visible pour le moment, Nissan pourrait tout de même proposer de nouvelles peintures ou de nouvelles jantes, comme il l’a fait avec les précédentes versions.
Quid de la partie technique ?
Avec l’introduction d’une suspension Bilstein faite sur mesure pour la Nismo, il y a fort à parier que la GT-R 2015 reçoive une mise à jour de ses trains roulants et profite des avancées technologiques du constructeur. Le travail effectué sur la rigidité de la caisse devrait également être repris. Au niveau de la puissance, gageons que Nissan décide d’augmenter légèrement cette dernière pour la situer entre un millésime 2014 (550 chevaux) et une Nismo (600 chevaux).
Ces améliorations pourraient d’ailleurs être les dernières apportées à la GT-R telle qu’on la connaît, si la marque décide d’introduire une hypothétique GT-R R36. Les rumeurs voudraient que la remplaçante de Godzilla (surnom affectif donné à la GT-R par les Japonais) soit animée par un moteur hybride fort de 700 chevaux.
Prix en hausse
L’un des atouts majeur de la GT-R à sa sortie, c’était son prix. En effet, elle était disponible en version de base aux alentours de 76 000 €. Certes elle n’était alors donnée « que » pour 475 chevaux, mais au fil des ans son tarif a gonflé pour atteindre un ticket d’entrée fixé à 94 200 € aujourd’hui.
Avec les modifications, la prochaine devrait encore faire grimper l’addition, se rapprochant dangereusement de la barre des 100 000 €. Plus si bon marché.
Trois ans après son lancement sur le marché, la Prius+, version sept places de l’une des voitures hybrides les plus connues au monde, s’offre une cure de jouvence.
Changement dans la continuité
L’évolution esthétique la plus marquante concerne la face avant du véhicule. Reprenant les nouveaux codes stylistiques de la marque, la Prius+ gagne une calandre en forme de X que l’on a déjà pu apercevoir sur la dernière Aygo (voir notre essai) notamment. Les nouveaux phares, qui n’intègrent désormais qu’un seul projecteur à LED, ainsi que les entrées d’air plongeant vers les feux de jours retravaillés, donnent à la Toyota un regard acéré et un look plus affirmé. A l’arrière en revanche les changements sont mineurs et se bornent à des feux et à un bouclier légèrement redessinés.
Comme à la maison
Dans l’habitacle, c’est blanc bonnet ou bonnet blanc ! Bien malin celui qui pourra distinguer au premier coup d’œil les aérateurs centraux affinés, le nouveau revêtement des boutons ou encore les poignées de porte chromées. Tout juste remarque-t-on le tableau de bord peint en noir selon une demande de la clientèle.
Technologie omniprésente
Là où la Prius+ marque le pas face à sa devancière, c’est au niveau de la technologie embarquée. Si la configuration à double écran de la planche de bord a été conservée, elle accueille un nouvel écran de 4,2 pouces (11 cm) dans sa partie supérieure, plus lisible et piloté directement depuis le volant. Il regroupe les informations de base telles que la vitesse, la consommation et la représentation des flux d’énergie de la voiture, à l’image des autres Toyota hybrides. Le système multimédia – écran du bas – bénéficie quant à lui de la dernière évolution du Toyota Touch 2. Boutons et écran 6,1 pouces (15 cm) sont tactiles et permettent de contrôler, entre autres, le GPS (de série sur la finition haute Lounge), la lecture audio des SMS et la caméra de recul. Il est également possible, avec un smartphone compatible, d’utiliser le Mirror Link.
Au chapitre des aides à la conduite, l’aide au stationnement a été améliorée, au même titre que le démarrage en côte. L’amortissement a été revu pour plus de confort, et le moteur adapté aux normes Euro 6.
Commercialisation prévue en janvier 2015. Le prix d’entrée est fixé à 32 200 euros (+ 500 euros) en finition Active. Par rapport au modèle précédent, des feux avant à diodes électroluminescentes (DEL) sont ajoutés. En haut de gamme (finition Lounge), le tarif démarre à 37 250 euros hors options.
Le segment des crossovers/SUV urbains est en plein essor, un bol d’air pour les constructeurs automobiles à la recherche de ventes supplémentaires dans ce contexte difficile. C’est Fiat qui profite de l’ouverture du Mondial de l’Automobile à Paris pour lever le voile sur une nouveauté très importante pour la marque : la 500X.
La nouvelle 500X sera vendue dans plus de 100 pays
Après la 500L, la famille 500 s’agrandit encore un peu plus avec la 500X. Ce SUV compact (cousin du Jeep Renegade) à destination de la ville mesure 4,25 m de long, 1,80 m de large et 1,60 m de haut, soit 8 cm de plus en longueur qu’un Renault Captur. Sous son hayon, il est capable d’embarquer un chargement allant jusqu’à 330 l, soit une vingtaine de litres de plus que son rival français. Il peut recevoir des jantes alliage allant de 16 à 18 pouces.
Côté moteurs, l’offre est composée d’un diesel 1,6 l MultiJet II 120 ch et d’un essence 1,4 l Turbo MultiAir II développant 140 ch. Ce dernier pouvant être choisi avec une transmission intégrale et une boîte à double embrayage à 9 rapports. D’autres blocs plus puissants viendront s’ajouter par la suite tels que l’essence 1,4 l de 170 ch et le diesel 2,0 l 140 ch. Un mazout de 1,3 l et 95 ch est aussi au programme.
Son prix de départ est estimé entre 17 000 et 18 000 euros.
Après les Cayman et Boxster au printemps, au tour de la 911 de profiter du fameux blason Gran Turismo Sport. Elle sera disponible en coupé et cabriolet, chacun pouvant être équipé de la transmission intégrale.
Plus sportive, mais pas radicale
Placée au sommet de la gamme Carrera, la GTS se veut la plus sportive de toutes. Porsche la définit comme étant le chaînon manquant entre la déjà virulente Carrera S (400 ch) et la pistarde déguisée en routière GT3 (475 ch). Techniquement parlant, le flat-six 3.8 affiche ici fièrement 430 chevaux, pour des performances en légère hausse : le 0 à 100 km/h est compris entre 4,0 et 4,4 secondes, suivant que vous optiez pour la transmission intégrale et/ou la boîte de vitesses à double embrayage PDK (entre 4,1 et 4,5 secondes pour une Carrera S). La vitesse maxi est quant à elle supérieure à 300 km/h pour toutes les déclinaisons, soit largement assez pour perdre tous vos points de permis en un clin d’œil ! Pour autant, Porsche annonce des consommations identiques à une Carrera S. Le pack Sport Chrono et la suspension active PASM, qui abaisse la hauteur de caisse de 10 mm, sont quant à eux de série.
Richement dotée
Bon nombre d’options disponibles au catalogue se retrouvent dans l’équipement de base: phares bi-Xénon avec Porsche Adaptative Light System, échappement sport ou encore sellerie mixte cuir-alcantara sont ici de la partie. A l’extérieur, ce sont les imposantes jantes noires de 20 pouces à écrou central et les voies arrière élargies, spécificité normalement réservée aux seuls modèles à quatre roues motrices, qui attirent immédiatement le regard. Pour le reste, Porsche applique la même recette à toutes ses voitures badgées GTS, à savoir peindre divers éléments de carrosserie en noir. Les phares, prise d’air du capot arrière (spécifique à ce modèle) et sorties d’échappement y ont donc droit, ce qui confère à la 911 un look plutôt menaçant.
Les tarifs n’ont pas encore été dévoilés en France, mais l’on sait déjà que la 911 Carrera GTS sera commercialisée en Allemagne à partir du mois de novembre, à un prix débutant à 117 549 euros.
Renault annonce le retour de sa finition haut de gamme, nommée Initiale Paris. Premier modèle à en profiter, la Clio entend bien mettre une roue dans le segment des citadines premiums.
Un équipement fourni
C’est surtout au niveau de l’équipement que cette Clio Initiale Paris se démarque des autres finitions. Citons pêle-mêle une sellerie en cuir Nappa (le volant aussi y a droit), des sièges chauffants à l’avant, un pédalier en alu, un ciel de toit en suédine ou encore des placages intérieurs assortis à la teinte de la carrosserie.
La technologie embarquée n’est pas en reste avec une tablette intégrée Renault R-Link – comprenant entre autre un GPS TomTom et un avertisseur de zones dangereuses Coyote – une caméra de recul et des projecteurs Xénon.
On ne compte que trois options au catalogue : un toit en verre (400€), une peinture métallisée (500€), une roue de secours (120€).
Quelques changements cosmétiques
Extérieurement, la Clio change peu. Pour faire honneur à son statut de premium, elle se pare tout de même d’un bouclier avant et d’une signature lumineuse qui lui sont spécifiques (avec des feux de jours désormais intégrés dans les optiques) ainsi que d’une sortie d’échappement chromée. Ajoutez-y des jantes de 17 pouces, des rétroviseurs et une jupe arrière peints en noir, des vitres arrières surteintées et le tour est joué.
En outre, deux nouvelles couleurs font leur apparition : Gris Givre (disponible uniquement en finition Initiale Paris) et Ivoire Opaque.
Motorisations et tarifs
Sous le capot on retrouve un bloc diesel, le dCi 90, disponible en boîte manuelle ou double embrayage EDC ainsi que deux blocs essence TCe 90 (boîte manuelle) et TCe 120 EDC. Les tarifs s’échelonnent de 21 500 euros pour la TCe 90 à 25 200 euros pour la dCi 90 EDC. Face à la concurrence, la Clio se place dans la moyenne haute avec par exemple une Peugeot 208 Roland Garros affichée 1 550 euros moins chère à motorisation et équipement équivalents, quand une Audi A1 Ambition Luxe ne réclame pas moins de 25 490 euros.
Deux contrats d’assistance et d’extension de garantie seront proposés aux acquéreurs, Renault souhaitant développer un service de suivi personnalisé pour ses clients Initiale Paris. Les commandes sont déjà ouvertes depuis le 2 octobre.
Fin août, nous découvrions en images la Skoda Fabia berline de troisième génération, c’est maintenant au tour de la déclinaison break – appelée « Combi » – de se révéler au grand jour.
Un nouveau design dans la continuité
Avec cette nouvelle Fabia, Skoda tire un trait – sans jeu de mots – sur les rondeurs. Les lignes sont saillantes… et aussi très inspirées par Volkswagen à qui la marque tchèque appartient. Cela lui donne plus de carrure et une impression accrue de robustesse.
On déplore tout de même que les designers n’aient pas intégré un peu plus de folie pour la proue et plus particulièrement les optiques possédant des formes plutôt basiques.
Pour le reste, les lignes sont identiques à la berline, mais avec ce profil allongé, la Fabia Combi gagne en prestance, ce qui nous la fait préférer.
Un habitacle pratique
D’ailleurs, côté mensurations le break s’allonge d’un centimètre en longueur et surtout de 9 centimètres en largeur, tandis que la hauteur diminue de 3 centimètres. Une croissance qui profite à l’habitabilité et au volume de coffre (de 530 à 1 395 litres) qui devient par la même occasion le plus généreux du segment ! Skoda en profite pour indiquer que le plancher de chargement a été légèrement élargi pour faciliter l’emport d’objets.
En revanche, la présentation intérieure qui sera identique à la berline ne déclenchera pas les passions… La connectivité mise à jour (MirrorLink et SmartGate) permettra d’appairer un smartphone à la voiture et les différents équipements de sécurité active et passive (freinage automatique d’urgence en ville, détecteur de fatigue, …) font leur entrée. La clé sans contact « Kessy » est également introduite. Plus besoin de sortir son trousseau pour (dé)verrouiller son auto. Nous assistons donc clairement à une montée en gamme de ce modèle.
Baisse de la consommation jusqu’à 17 %
Au chapitre des motorisations, la Skoda Fabia Combi reposant sur la plateforme modulaire MQB voit son poids diminuer de 55 kilos au maximum par rapport à la génération précédente. En trois-cylindres 1,0 l MPI, elle ne pèse que 1 004 kg ! Cet amaigrissement lui autorise de réduire ses consommations jusqu’à 17 %. La version plus frugale est la Fabia Combi Green Line demandant seulement 3,1 litres tous les cent km pour 82 g de CO2/km !
Les trois diesel et trois essence d’une puissance allant de 75 à 110 ch sont tous équipés d’un stop & start et de la récupération d’énergie au freinage. Selon les blocs, une boîte à double embrayage DSG peut être choisie.
Lancement l’an prochain
Pour découvrir la Fabia Combi, il faudra se rendre au Mondial de l’Automobile de Paris. Sa commercialisation débutera début 2015 et son prix d’entrée devrait s’établir à 14 000 €, voire légèrement plus, selon nos estimations.
Afin de faire patienter ses fans, Honda dévoilera un « nouveau » concept-car pour la Civic Type R au Mondial de l’Automobile de Paris ouvrant ses portes ce week-end. La compacte sportive arbore une teinte de carrosserie inédite…
La Civic Type R quitte sa teinte écarlate
Pour le salon parisien, le bolide de la marque japonaise se fera un peu plus discret en passant du rouge au bleu, mais il sera tout de même plus original avec ses motifs à effet « relief » sur les portes avant simulant l’air évacué par les ouïes latérales.
Le reste demeure identique au concept vu en début d’année à Genève avec une proue menaçante avec ses optiques très effilées et une poupe hyper-musclée avec son énorme aileron intégrant les feux stop, ainsi que ses quatre sorties d’échappement logées dans le diffuseur au dessin travaillé.
Arrivée du turbocompresseur
Portant toujours l’inscription « i-VTEC », le moteur de la prochaine Honda Civic Type R inaugurera un turbocompresseur. Ce quatre-cylindres de 2,0 l de cylindrée développera plus de 280 ch selon le constructeur, tandis que le nombre de tours par minute maximum sera atteint à 7 000 rotations. Dans cette catégorie, la moyenne étant autours des 6 000 tr/min.
En outre, Suehiro Hasshi, à la tête de la recherche et du développement du projet, explique le choix de la transmission manuelle à 6 rapports : « Une transmission manuelle permet aux conducteurs de choisir le rapport qu’ils souhaitent, par exemple en descendant directement en troisième à l’approche d’un virage. Le concept de la nouvelle Civic Type R est celui d’une auto dédiée aux véritable amateurs : il s’agissait donc là de la meilleure option ». Un point de vue que nous partageons entièrement, sans compter que le plaisir procuré par le maniement d’un levier de vitesse et d’une pédale d’embrayage ne sont pas comparables à des palettes au volant.
Un mode extrême…
Malgré la puissance et la présence du turbo, Honda assure que les roues avant digèreront le déluge de puissance. Pour cela, un système de pivots dans la suspension avant baptisé « steer axis » et des amortisseurs adaptatifs avant/arrière seront de la partie.
Pour les conducteurs à la recherche de sensations fortes, un mode de conduite « R+ », pouvant être enclenché à l’aide d’un bouton, viendra viriliser davantage le caractère du 2,0 i-VTEC. La réponse du moteur est accrue et sa courbe de couple est modifiée. En sus, la direction et la suspension se raffermissent. M. Hasshi affirme que « La différence de caractère est immense. Le mode « R+ » est extrême : la voiture est alors idéale pour une utilisation sur piste où elle sera grandement appréciée par les amateurs de conduite sportive« . Vivement les essais !
A quand sa sortie ?
Il n’y a pas encore eu de mois précis d’annoncé, mais la commercialisation de la « CVR » se fera dans le courant de l’année 2015. Son tarif de base est estimé à 38 000 €.
Sur le marché depuis 2008, la Jaguar XF (voir notre essai) va bientôt céder la place à sa remplaçante qui sera donc la deuxième génération de ce modèle. Nos paparazzis automobile nous transmettent les premiers clichés espions de la XF (en 2,0 l turbo diesel et ce qui présente comme la R-Sport avec les deux sorties d’échappement) avec ses formes figées pour la production.
Une allure plus dynamique
Sous ces camouflages tentant de cacher complètement les lignes de la future XF (nom de code : X260), on peut tout de même remarquer que la berline anglaise prend quelques centimètres en longueur. Sans doute un bon point pour les passagers arrière et le volume de coffre.
Toutefois, le plus intéressant, c’est de s’apercevoir que cette concurrente de la BMW Série 5 reprend les codes stylistiques de la toute récente petite sœur, à savoir la XE. Ainsi, la calandre est positionnée plus bas, le regard semble plus menaçant, tandis que le dessin général devient plus sportif.
Par ailleurs, cette XF II va se doter de la nouvelle plateforme nommée « iQ[Al] ». Inaugurée par la XE, sa conception en aluminium permet de gagner du poids sur la balance et ses capacité dynamiques sont accrues.
L’autre avantage, c’est que la XF pourra profiter de la nouvelle famille de moteurs Ingenium avec à la clef des émissions de CO2 réduites.
Bien entendu, les V6 et V8 suralimentés seront toujours au programme pour les versions sportives R et R-S.
En outre, une version hybride rechargeable est attendue un peu après le lancement et une boîte automatique à 9 rapports, un start&stop, ainsi qu’une transmission intégrale (en lieu et place de la propulsion) seront proposés selon les motorisations.
Arrivée prochaine
La sortie de la nouvelle Jaguar XF est estimée pour 2015, voire 2016 au plus tard. Les prix pourraient débuter autour des 43 000 € et elle sera toujours vendue également en break.
Dévoilées récemment, les dynamiques 308 GT berline et SW présentent désormais leurs tarifs. La berline sera alors disponible dès 30 450 € en 1.6 e-THP BVM6 205 ch et 33 700 € avec le diesel 2.0 BlueHDi EAT6 180 ch. Le break SW s’échangera lui contre 31 400 € en essence et 34 560 € en diesel. Des tarifs inférieurs de 3 000 € en moyenne à ceux des Volkswagen Golf GTI et GTD (respectivement plus puissantes de 4 et 15 ch), les principales cibles.
Rappelons qu’outre un design plus dynamique (boucliers, calandre, jantes 18’’, double sortie d’échappement…) la voiture verra son comportement renforcé par de nouveaux amortisseurs, davantage de raideur sur les deux trains, une assiette rabaissée, ainsi que des pneus Michelin Pilot Sport 3 et des freins de dimensions majorées (330 mm à l’avant et à l’arrière 268 mm pour la berline, contre 290 mm pour la SW).
Elle recevra dans l’habitacle une sellerie en tissu et alcantara habillant des sièges sport, un pédalier et des seuils de porte en aluminium, un volant en cuir et une planche de bord surpiqués de rouge, ainsi que des compteurs spécifiques.
La prise des commandes est ouverte en France depuis le 12 septembre 2014, mais nous ne verrons pas les 308 GT berline et SW avant respectivement janvier et février 2015. Patience !
En vente depuis décembre 2011, l’Hyundai i40 se prépare pour subir un restylage de mi-carrière que ce soit en berline à coffre ou en break. Nos photographes espions vient de capturer pour la première fois dans leurs appareils photo l’i40 Sedan. L’occasion de revenir sur les nouveautés attendues pour la Coréenne…
Refonte esthétique notable
Le premier élément qui se remarque immédiatement sur ces clichés, c’est la nouvelle calandre que l’on peut apercevoir à travers du camouflage. Elle est bien plus grande, et c’est normal, puisqu’elle tire son inspiration de la dernière Genesis.
Les optiques de phare – surmontées d’un liseré de LED pour les feux de jour – et les boucliers sont aussi bien différents. Concernant la poupe, il est moins facile de détecter les évolutions. Néanmoins, les optiques et boucliers devraient bien être changés. Le profil ne laisse pas espérer un grand bouleversement. Tout juste on repère de nouvelles jantes.
En somme, il y a fort à parier que l’i40 Sedan va gagner en prestance et donner une impression plus haut de gamme.
L’habitacle sera très certainement également amélioré et doté d’équipements plus modernes dont notamment un nouveau système multimédia.
De nouveaux moteurs pour 2015 ?
Nous espérons que le constructeur complètera son offre de motorisations composée jusqu’ici d’un unique diesel de 1,7 l et 115 ch pour 260 Nm de couple.
La date de sortie de l’Hyundai i40 restylée est estimée pour fin 2015. Son prix de base débutera sans doute aux alentours des 29 000 €.
La commercialisation du Jeep Renegade ayant déjà débuté, tandis que les premières livraisons arriveront pendant le Mondial de l’Automobile, c’était donc une bonne occasion pour votre blog Abcmoteur d’aller à la rencontre du petit SUV du célèbre constructeur de 4×4…
Un gros « jouet »
Avec ses formes cubiques simples et ses phares circulaires, le Renegade séduit rapidement son public et s’identifie immédiatement comme une Jeep. Ses protections en plastique noir au niveau des bas de caisse et des passages de roue rappellent l’univers du 4×4, alors que ses feux arrière – de forme carrée pour le coup – font preuve de fantaisie avec un dessin intérieur original.
Oui, vous reconnaissez bien le MotorVillage !
Nous avons été assez surpris par son gabarit (4,23 m de long), car sur les images il donnait l’impression d’être plus compact. D’ailleurs, c’est assez amusant de se rendre compte que le plus petit modèle Jeep – depuis la Willys dans les années 1940 – fait sentir sa présence, mais sans se rapprocher du gros tout-terrain qui n’aurait pas sa place en ville. Pour le coup, le Renegade semble taillé pour toutes les situations.
En ce qui concerne l’intérieur, nous n’avons pas pu l’examiner en détail, mais il nous en a semblé de bonne facture sans nous emballer non plus…
Enfin, sachez que cet SUV urbain débute à 18 950 € en essence 110 ch et qu’il peut grimper – sans jeu de mots ! – jusqu’à 32 800 € en diesel 2.0 l Multijet 170 ch BVA9 finition Trailhawk. A ce prix, on bénéfice de toute l’expertise du constructeur avec une garde au sol la plus haute possible, la transmission intégrale, des plaques de protection, … Une confrontation avec sa cousine la Fiat 500X semble inévitable !
En janvier dernier, nous découvrions le restylage de la Polo de cinquième génération, mais une version était absente : la Polo GTI. Volkswagen aura donc attendu près de dix mois pour révéler la version la plus épicée qui gagne au passage quelques canassons…
Des airs de Golf GTI taille réduite
En regardant cette nouvelle Polo GTI, on ne peut s’empêcher de dire que le changement n’a pas été des plus marqués, mais aussi que la citadine ressemble encore davantage à sa grande sœur la Golf GTI !
Au rayon des modifications, on note tout de même un bouclier avant revu devenant plus agressif, des optiques à LED (optionnelles), ainsi qu’un liseré rouge horizontal traversant désormais les optiques en plus de la calandre.
A l’intérieur, les fameux motifs de sièges sont toujours au rendez-vous et la marque germanique indique que – tout comme pour les autres versions de la Polo – la qualité perçue est en hausse grâce à l’emploi de matériaux de plus grande qualité.
En outre, la liste des équipements s’enrichit d’amortisseurs pilotés, d’un régulateur adaptatif et du système Front Assit permettant de freiner automatiquement les quatre roues de 17 pouces en cas de danger. Une caméra de recul est également de la partie.
La Polo GTI restylée augmente sa cylindrée !
La bonne surprise que nous réserve VW avec sa Polo GTI V phase 2, c’est sous le capot qu’on la trouve. En effet, la petite bombinette troque son 1,4 l TSI pour un 1,8 l TSI d’origine Audi. Ce moteur essence turbo permet de passer de 180 à 192 ch et de 250 à 320 Nm de couple, pas mal !
Niveau performances, la différence se ressent, puisque le 0 à 100 km/h ne demande plus que 6,7 s au lieu de 6,9 s et la vitesse max atteint 236 km/h, contre 228 km/h auparavant. A titre de comparaison, une Golf 7 GTI (220 ch) n’est qu’à 6,5 s et bloque en pointe à 246 km/h.
L’autre atout de la Polo GTI, c’est d’être maintenant proposée à la fois en boîte manuelle et à double embrayage DSG avec à chaque fois 6 vitesses.
A découvrir au Mondial
Pour approcher de plus près la Volkswagen Polo GTI, il faudra se rendre au Mondial de l’Automobile de Paris du 4 au 19 octobre prochain à la porte de Versailles. L’Allemande sera disponible en 3 et 5 portes à un prix aux alentours de 24 000 €. Les livraison débuteront au début de l’année 2015.
La semaine a été placée sous le signe de la famille pour Ford ! Le constructeur américain a dévoilé il y a quelques jours la seconde génération du monospace sportif S-Max et a enchainé avec le restylage des C-Max court et long. Une mise à jour bienvenue, car ils étaient de plus en plus isolés dans la gamme Ford. Ils n’avaient pas encore reçu le nouveau visage de la marque.
Le C-Max est toujours proposé en version courte 5 places et longue 7 places. Ce nouveau visage lui va bien.
Mieux intégré à la famille Ford
Les choses rentrent aujourd’hui dans l’ordre. Comme pour la Focus il y a quelques mois, la refonte est profonde mais concerne surtout la face avant. On retrouve donc la nouvelle calandre trapézoïdale inversée, qui évoque Aston Martin. Le capot a été redessiné n’intègre plus les jets de lave-glace, désormais cachés sous le pare-brise.
Le C-Max gagne en caractère avec des optiques plus ciselées et des antibrouillards rectangulaires, reliés à la prise d’air centrale. A l’arrière, les changements concernent surtout le modèle court (le 7 places n’a droit qu’à un nouvel habillage pour les feux). Le C-Max 5 places hérite d’un hayon moins chargé esthétiquement et de feux redessinés. La palette de couleurs accueille deux nouvelles teintes : Rouge Rush et Brun Caribou.
L’ergonomie progresse
A l’intérieur, il n’y a pas de révolution. Du moins au premier coup d’œil, car en se concentrant sur la console centrale, on constate qu’elle est bien moins chargée en boutons. Elle intègre un grand écran tactile 8 pouces. Les commandes de la climatisation ont été revues. L’ergonomie devrait grandement progresser. Le volant a été changé et Ford promet des améliorations au niveau de la qualité perçue. Les rangements au-dessus de la planche de bord et sous l’accoudoir central ont été agrandis.
Dès sa naissance, la seconde génération du C-Max a joué la carte de la technologie avec une foule de dispositifs. Certains sont améliorés à l’occasion de ce restylage, comme le freinage automatique en ville, qui fonctionne maintenant jusqu’à 50 km/h au lieu de 30 km/h. L’aide au créneau automatique peut désormais gérer les manœuvres perpendiculaires. Le monospace compact de Ford est équipé d’une alerte de véhicule en approche, utile quand on sort d’un emplacement avec peu de visibilité. Il reçoit aussi un régulateur de vitesse actif.
Plusieurs nouveaux moteurs
Pensé pour la famille, le nouveau C-Max sera enfin proposé avec la technologie MyKey. Celle-ci permet au propriétaire de paramétrer une clé pour les jeunes. On peut ainsi limiter la vitesse maximale, réduire le volume maximal du système audio ou empêcher la désactivation des équipements de sécurité.
Le C-Max millésime 2015 reçoit de nouvelles motorisations, partagées avec la sœur Focus. Pour l’essence, les nouveautés se trouvent en haut de la gamme avec un inédit 1.5 Ecoboost de 150 ou 182 ch. Pour le gazole, c’est l’inverse : le renouveau se fait par le bas avec un 1.5 TDCI de 95 ou 120 ch. Une version rejettera moins de 100 g/km de C02. La liste des blocs qui ne changent pas est la suivante : 1.0 Ecoboost 100 et 125 ch, 2.0 TDCI 150 ch. Les nouveaux C-Max seront mis en vente début 2015. Le prix de départ est estimé à un peu plus de 23 000 €.
Fiat a promis de révéler officiellement son futur petit crossover 500X lors de l’ouverture du Mondial de l’Automobile et ainsi garder le secret jusqu’au jour J. Seuls quelques teasers sont diffusés. En réalité, il en est tout autrement, puisque nous voici en l’espace de trois jours avec une deuxième prise de l’Italienne sans aucun camouflage !
D’une longueur supposée de 4,20 m, le futur concurrent des Nissan Juke et Renault Captur est doté d’une plastique séduisante, en particulier dans cette livrée rouge. La lunette arrière fortement inclinée contribue à son allure dynamique, tandis que les protections gris satiné situées sur la partie inférieure de la proue et de la poupe lui assurent un look de « baroudeur » des villes, tout comme les contours en plastique noir des passages de roue et bas de caisse.
Le prix de base estimée est d’environ 18 000 €.
A suivre… il ne manque plus que des photos de l’intérieur !…
Lors du dernier festival de vitesse de Goodwood, des rumeurs indiquaient l’arrivée d’une Mulsanne encore plus puissante. Les bruits de couloir disaient vrai, puisque Bentley vient de lever le voile sur la Mulsanne Speed qui sera présente au Mondial de l’Automobile.
De petits détails pour la repérer…
Pour différencier une Mulsanne d’une Mulsanne Speed, il faudra avoir l’œil tant les changements sont discrets. Sur les images officielles, la berline de luxe est dotée d’un vert sombre (100 teintes possibles), mais surtout de prises d’air et grilles dans une finition foncée, tout comme les optiques avant et arrière sont aussi assombris. L’inscription « Speed » en acier poli se trouve sur les ailes avant et les marchepieds.
Pour le reste, l’Anglaise conserve son allure imposante et ses lignes épurées. La face avant arbore toujours cette calandre conséquente surplombée du logo de la marque.
Les 300 km/h en Vmax dépassés !
L’appellation « Speed » n’est pas un hasard. Ainsi, la Bentley voit ses performances accrues. Cela passe par quelques chevaux supplémentaires pour l’énorme V8 biturbo de 6,75 litres. Il gagne 25 ch et 80 Nm de couple, soit 537 ch et 1 100 Nm (à 1 750 tr/min) au lieu de 512 ch et 1 020 Nm ! Le 0 à 100 km/h s’améliore de 4 dixièmes de secondes à 4,9 s et la vitesse maximale est atteinte à 305 km/h, soit 9 km/h de mieux.
De plus, le constructeur en a profité pour améliorer la sobriété de son moulin avec une consommation en baisse de 13 %. A vitesse stabilisée, certains cylindres peuvent se désactiver. Concrètement, cela se traduit par 14,6 l absorbés – en théorie – tous les 100 km, contre 16,9 l auparavant. Côté émissions de CO2, les 537 ch ne rejettent plus que 342 g de CO2/km (- 51 g).
A noter que les conducteurs à la recherche de plus de sportivité pourront presser un bouton pour enclencher le mode S et ainsi augmenter le ralenti à 2 000 tr/min pour garder en éveil les deux turbos. La suspension pilotée permettra d’obtenir un comportement plus rigoureux ou confortable, selon le réglage choisi, de l’engin de 2,7 tonnes.
Une personnalisation quasi-infinie… et un prix en conséquence
L’intérieur de la Mulsanne Speed n’est pas oublié avec 24 coloris pour le cuir, 10 bois distincts, des inserts en fibre de carbone, un système audio de 14 haut-parleurs pour un total de 2 200 watts et, raffinement ultime oblige, un compartiment réfrigéré pourra accueillir la bouteille de champagne…
On retiendra que la Mulsanne de 517 ch sera toujours proposée au catalogue et avec le gain en matière de consommation, tandis que la Mulsanne Speed et ses 537 ch sera commercialisée au plutôt en janvier 2015. Son tarif devrait se situer aux alentours des 320 000 €.
Pour rêver, la Bentley Mulsanne sera visible au Mondial de l’Automobile de Paris à partir du 4 octobre prochain…
Arrivée à mi-carrière après trois années de service, la routière 508 s’est offerte un restylage qui a été dévoilé au mois de juin dernier à Londres, en Angleterre. Peugeot a pris les choses au sérieux, puisque le regard de sa berline et de son break ont été revus en profondeur, tout comme la poupe (uniquement la berline). Petit tour des nouveautés et deux vidéos pour découvrir la Sochalienne en action.
Un restylage complet pour la berline
La calandre, les optiques entièrement à LED et les boucliers sont inédits pour cette 508 restylée qui gagne par conséquent un visage plus moderne et retrouve le lion au centre de la gille chromée cachant le radiateur. Les feux de jour sont déportés plus bas et forment comme deux crosses.
Le profil reste inchangé, mais l’arrière de la berline perd sa barrette chromée sur la malle pour un aspect plus épuré et ses feux sont aussi modifiés. Ils présentent toujours ces griffes rappelant le lion.
Le plein de nouveautés et des prix en hausse
Côté moteurs, on note l’arrivée du 1,6 THP de 165 ch en essence et du 2,0 l BlueHDi de 150 ch en diesel. Le haut du panier demeure représenté par le 2,2 l HDi fort de 200 ch et la version hybride (diesel-électricité) de même puissance.
Par ailleurs, les tarifs de la Peugeot 508 sont en légère en hausse en raison d’équipements supplémentaires (écran tactile, caméra de recul, détecteur d’angle mort, …). L’entrée de gamme débute à 24 750 € en essence, soit un surcoût de 350 € par rapport à avant. Pour en savoir plus sur les équipements, finitions, moteurs et prix, nous vous recommandons notre article dédié à ce sujet.
La Française est commercialisée depuis le 10 septembre et elle est d’ores et déjà disponible en concessions.
Le Mercedes Classe B n’est plus seul depuis l’arrivée de la BMW Série 2 Active Tourer ! Pour se remettre au goût du jour, la marque à l’étoile fait donc passer son monospace par la case restylage. Il sera présenté au Mondial de l’Automobile de Paris au mois d’octobre prochain (du 4 au 19). En voici les nouveautés.
Retouches minimes
Fidèle à son habitude, Mercedes ne chamboule pas ses modèles restylés. Ainsi, le Classe B millésime 2015 se voit doté de nouveaux phares à LED comprenant désormais les feux de jour, le dessin des optiques évolue légèrement en les rendant plus sculptées, tout comme les boucliers avant et arrière. Les feux à LED de la poupe obtiennent également un nouvel agencement intérieur. Sur ces photos, le Classe B rouge est équipé du pack AMG plus agressif.
Pour l’habitacle, les changements sont composés d’un volant inédit inspiré par la dernière Classe C et l’écran tactile – à l’intégration esthétique toujours bancale – peut atteindre jusqu’à 8 pouces. Les graphismes de l’instrumentation de bord ont été retouchés.
En outre, Mercedes propose sur son Classe B restylé 12 teintes d’ambiance pour son éclairage intérieur à LED et le détecteur de fatigue a été perfectionné. Le freinage autonome fait son entrée au sein de l’équipement « Collision Prevent Assist ».
Du nouveau sous le capot
Les adeptes du déverrouillage et démarrage sans clef seront ravis, puisque enfin l’auto en profite. En revanche, du côté des moteurs thermiques, c’est statu quo. Aucun des huit blocs proposés n’est modifié pour l’occasion. A noter tout de même que la version B200 CDI est désormais disponible en quatre roues motrices (4Matic). Selon la motorisation, une boîte à double embrayage 7G-DCT pour être choisie.
Toutefois, Mercedes en profite de cette mise à jour pour introduire une version électrique baptisée « Electric Drive » d’une puissance de 180 ch, mais dont l’autonomie n’est pas communiquée. Un Classe B fonctionnant au gaz naturel (156 ch) est aussi proposé. Son coefficient aérodynamique record pour le segment (Cx de 0,25) devrait l’aider à être économe.
Les premiers exemplaires en concession fin novembre
Le nouveau Mercedes Classe B est commercialisé depuis le 12 septembre 2014 et les premiers exemplaires arriveront en concessions le 29 novembre prochain. Son prix de base est de 26 700 € en B180, soit 600 € de plus par rapport à auparavant.
Les prix par motorisation
Les tarifs débutent de 26 700 € et s’arrêtent à 39 400 €.
Légende : entre parenthèses = 7G-DCT / entre crochets = 4Matic
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