Dacia est au cœur d’un véritable succès ! Grâce à ses prix compétitifs, sa praticité et la fiabilité de ses véhicules, la marque connaît un grand succès commercial. Pour rester en tête, le constructeur roumain améliore constamment ses voitures en introduisant de nouvelles finitions et en renforçant les équipements de sécurité. Voici les principales nouveautés de la gamme Dacia.
Renforcement des équipements de sécurité
L’année 2024 marque l’entrée en vigueur de la norme GSR 2, qui exige des véhicules une sécurité renforcée. Dacia a pris les mesures nécessaires pour se conformer à cette norme. Dès les niveaux de finition Essential, le constructeur a ajouté :
Un enregistreur de données d’événements en cas d’accident
Une prédisposition antidémarrage éthylométrique
La reconnaissance des panneaux de signalisation avec alerte de survitesse
L’alerte de changement de voie
L’aide au maintien dans la voie
Le système de surveillance de l’attention du conducteur
L’aide au parking arrière
Les capteurs de luminosité et de pluie
Le freinage automatique d’urgence (AEBS) avec détection des piétons et des cyclistes
Le signal d’arrêt d’urgence
En outre, Dacia ajoute un QR code sous forme de sticker visible sur le pare-brise et la lunette arrière. Celui-ci permet de consulter la fiche de sauvetage générée par Dacia via une application dédiée et gratuite, ce qui facilite l’intervention des pompiers en cas d’accident.
De nouveaux équipements
La plupart des modèles de la gamme Dacia bénéficient de mises à jour, avec notamment l’introduction de jantes Flexwheel biton Atara sur la Sandero, la Sandero Stepway et le Jogger. De nouvelles jantes alliage diamantées Randia et Randia Dark font également leur apparition sur certains modèles.
La Dacia Sandero Stepway propose désormais une nouvelle teinte Beige Safari, tandis que deux nouvelles couleurs, Gris Schiste et Vert Cèdre, sont disponibles sur l’ensemble de la gamme.
Enfin, le Dacia Jogger est désormais équipé d’un nouvel écran de 7 pouces. Les passagers peuvent également profiter de prises USB-C à l’avant et à l’arrière (avec le Pack Confort uniquement), ainsi que de la climatisation manuelle dès la version Essential.
Une nouvelle finition pour la Dacia Sandero
La gamme Dacia s’enrichit de nouvelles finitions, notamment la Sandero qui bénéficie de la finition Journey, désormais le haut de gamme du modèle. Cette version comprend une antenne requin, des jantes alliage diamantées Randia, des seuils de porte, des surtapis, ainsi que de nombreux équipements tels que la carte mains libres, la climatisation régulée, la caméra de recul, le compartimentage du coffre et le support smartphone amovible.
Première distinction pour le Dacia Duster de troisième génération. Le SUV déjà vendu à plus de 500 000 exemplaires arrive sur le marché avec une première récompense du jury de l’Argus. Retour sur ce qui fait de cette troisième génération, la « nouveauté de l’année »
La 31ème édition des Trophées de L’argus s’est déroulée le 23 janvier dernier aux Folies Gruss. Sous le chapiteau du cirque, plusieurs distinctions ont été distribuées dont deux pour le constructeur Dacia.
Le titre de la « nouveauté de l’année » revient au Dacia Duster
Le nouveau Dacia Duster commence à peine sa carrière qu’il est déjà distingué par le jury comme « nouveauté de l’année ». Le SUV d’origine roumaine a été apprécié pour sa bicarburation essence GPL pour le moteur Eco-G 100 mais aussi la version à transmission intégrale.
Pour distribuer ce trophée, L’argus a considéré la pertinence de la nouveauté dans la gamme mais aussi son apport dans l’univers du constructeur. Le modèle a séduit aussi par l’ajout de la nouvelle motorisation HYBRID 140 dans sa gamme et un tarif toujours contenu.
La Dacia Sandero élue « bonne occasion – Leboncoin »
Autre distinction pour un véhicule de la gamme Dacia, il s’agit de la Sandero. La citadine du constructeur a eu le droit au titre de « bonne occasion – Leboncoin » de l’année 2023. Ce titre prime la voiture qui garde le mieux sa valeur résiduelle, donc la voiture à la décote la plus faible.
Le Dacia Duster constitue la grande nouveauté de la marque roumaine pour l’année 2024. Cette troisième génération du SUV se distingue par un design moderne et affirmé, justifiant ainsi une légère hausse de ses tarifs. Bien que les prix du Dacia Duster aient connu une augmentation, le modèle d’entrée de gamme reste positionné en dessous de la barre des 20 000 €. Abcmoteur vous dévoile tous les détails sur la gamme de prix du Dacia Duster.
L’entrée de gamme à moins de 20 000 € !
Avec un tarif d’entrée de gamme fixé à 19 690 €, le Dacia Duster de troisième génération voit ses prix augmenter par rapport à la seconde génération présentée en 2017, qui débutait à 17 990 €. Cette hausse de 1 700 € aurait pu être plus prononcée, d’autant plus que le Dacia Duster, même à ce prix, n’est pas dépourvu d’équipements.
Un tarif raisonnable
À 19 690 €, le Dacia Duster demeure une proposition attrayante. Il est équipé du moteur Eco-G 100 développant 100 chevaux, offrant la possibilité de fonctionner à l’essence comme au GPL. Cette option représente une économie significative à la pompe, le GPL étant disponible à moins d’un euro par litre. En comparaison, un Renault Captur avec une motorisation similaire débute à 26 050 €, et son équipement n’est guère plus généreux.
Un équipement intéressant dès le premier niveau de finition
La finition d’entrée de gamme « Essential » du Dacia Duster n’est pas dénuée d’attraits. Elle propose en série la climatisation manuelle, l’aide au stationnement arrière, le régulateur et limiteur de vitesse, les barres de toit longitudinales, les vitres avant électriques, l’aide au démarrage en côte, ainsi que la lecture des panneaux de signalisation avec l’alerte de survitesse. Les jantes en acier de 16 pouces complètent l’équipement, faisant de cette configuration une option intéressante pour les conducteurs recherchant une voiture économique, polyvalente et bien équipée.
D’autres finitions sont disponibles dans la gamme du Dacia Duster, que nous détaillons dans notre article complet. Cependant, leur acquisition nécessitera un investissement financier supplémentaire. Consultez ci-dessous l’ensemble des tarifs du Dacia Duster.
Dacia a dévoilé le mois dernier le tout nouveau Duster, le SUV emblématique reconnu pour son accessibilité et son pragmatisme. Revenant avec une gamme diversifiée de finitions, Abcmoteur vous propose un aperçu détaillé des équipements des différentes versions du Dacia Duster.
Dacia Duster Essential
Media Control
Barres de toit fixes
Climatisation manuelle
6 airbags
Radars de stationnement arrière
Cette finition s’adresse à ceux recherchant la simplicité avec des équipements essentiels, évitant une surcharge pour une conduite conforme aux standards modernes. Il est probable que seul le moteur Eco-G 100 soit disponible.
Dacia Duster Expression
Reprenant les équipements de l’Essential, l’Expression ajoute cependant :
Jantes en alliage de 17 pouces
Tableau de bord numérique 7 pouces
Écran central tactile de 10,1 pouces avec système multimédia Media Display et réplication Apple CarPlayTM/Android AutoTM sans fil
Caméra de recul
Cette version offre des équipements plus modernes pour un Dacia Duster confortable, adapté à la majorité des utilisateurs. Elle devrait être la version permettant d’accéder à toutes les motorisations au meilleur prix.
Dacia Duster Extreme
Se basant sur les équipements de l’Expression, l’Extreme ajoute :
Barres de toit modulaires
Sellerie lavable en TEP microcloud
Tapis de sol et de coffre en caoutchouc
Climatisation automatique
Système YouClip « 3 en 1 »
Éléments décoratifs intérieurs et extérieurs en Brun Cuivré
Cette finition s’adresse à ceux qui recherchent un Dacia Duster au style aventurier, avec des équipements de confort appréciables au quotidien. Elle correspond parfaitement aux capacités tout-terrain
Dacia Duster Journey
Reprenant les équipements de l’Expression, la Journey ajoute :
Jantes en alliage de 18 pouces
Climatisation automatique
Frein de parking électrique
Chargeur sans fil pour smartphone
Système multimédia Media Nav Live avec navigation connectée
Système audio Arkamys 3D Sound System à 6 haut-parleurs
Cette finition représente le summum de la gamme, idéale pour les aficionados du Duster cherchant le plus haut niveau d’équipements. Elle incarne la montée en gamme significative de Dacia ces dernières années.
Les prix et les motorisations spécifiques à chaque version ne sont pas encore dévoilés. Le Dacia Duster continue également d’évoluer en tant que compagnon idéal pour vos road-trips !
Dacia a bien compris qu’il y avait quelque chose à exploiter avec le concept de van-life. Le constructeur propose dans son modèle le plus logeable un Pack Sleep. Il permet en quelques instants de transformer le break en véritable chambre à coucher. Un équipement qui rencontre un certain succès puisque Dacia annonce avoir déjà vendu 1 000 exemplaires.
Pour les amoureux de la nature et d’aventure
Ce Pack Sleep à bord du Dacia Jogger est destiné pour les amoureux de la nature et d’aventure. Il permet de vous créer une véritable chambre à coucher au plus proche de la nature. Chaque fenêtre du Dacia Jogger peut vous offrir une vue imprenable. De plus, vous serez davantage protégé de la pluie par la carrosserie du véhicule que par la toile d’une tente.
Une chambre tout confort
Avec le Jogger et son Pack Sleep, vous ne serez pas réveillé aux aurores. Les fenêtres peuvent s’occulter avec des accessoires complétant le kit. L’obscurité permet de profiter pendant plus longtemps du lit de 130X190 cm se dépliant en moins de deux minutes. Sous ce dernier, un coffre de 220 litres permet de ranger vos affaires. Et pour vos repas, une tablette se déplie à l’abri sous le hayon arrière.
Les ingénieurs Dacia ont réellement pensé à vous faciliter le camping par la conception de ce pack Sleep.
Des commandes soutenues
La pluie et le froid ne semblent pas effrayer les clients qui commandent encore des Pack Sleep. Chaque mois plus de 100 clients commandent encore le Pack Sleep avec leur Dacia Jogger ou en complément. Le cap des 1 000 Packs Sleep vendus a été dépassé.
Parmi les plus de 500 000 personnes ayant acquis un Dacia Duster en France et les 2,2 millions dans le monde entier, nombreux sont ceux qui ont été séduits par ses performances tout-terrain. En effet, le SUV roumain propose une version à quatre roues motrices, et avec la transition vers la nouvelle génération, le Dacia Duster améliore encore ses capacités hors route. Voici les points essentiels à connaître sur Abcmoteur.
Des modes de conduite adaptés aux conditions difficiles
Le nouveau Dacia Duster conserve sa transmission 4×4 Terrain Control, qui peut être contrôlée à travers cinq modes de conduite distincts :
Auto : la transmission distribue automatiquement le couple entre les essieux avant et arrière en fonction de l’adhérence et de la vitesse.
Snow : optimise les trajectoires sur des routes glissantes grâce à des réglages spécifiques de l’ESC et de l’antipatinage.
Mud/Sand : adapté à la conduite sur des surfaces meubles comme des chemins boueux ou sablonneux.
Off-Road : offre des capacités de franchissement améliorées en tout-terrain et sur les chemins difficiles, distribuant de manière automatique et optimale le couple entre les roues avant et arrière en fonction des conditions d’adhérence et de la vitesse.
Éco : optimise la consommation de carburant en ajustant la climatisation et les performances du véhicule, en distribuant de manière optimale le couple moteur entre les essieux avant et arrière pour limiter la consommation tout en s’adaptant aux conditions d’adhérence.
De meilleures capacités de franchissement
Avec une garde au sol de 217 mm (entre les essieux), le Dacia Duster affiche des angles d’approche et de fuite améliorés, 31 degrés à l’avant, 36 degrés à l’arrière, ainsi qu’un angle ventral de 24 degrés. Le système d’aide à la descente est également reconduit.
Ainsi équipé, le Dacia Duster excelle sur les chemins et en franchissement, bien qu’il ne soit pas un tout-terrain extrême comme le Suzuki Jimny. Néanmoins, le Dacia Duster devrait permettre de s’aventurer loin du bitume sans craindre de rester coincé face à un obstacle.
Le Dacia Duster pourrait également conserver sa popularité dans les villes et villages de montagne, où la neige est fréquente et où une transmission intégrale est souvent indispensable pour le travail ou le déplacement jusqu’à domicile.
Pour ces raisons, la nouvelle génération du Dacia Duster s’annonce comme un succès commercial potentiel. Découvrez comment il devient le compagnon idéal pour vos road-trips !
Dacia vient de dévoiler le tout nouveau Dacia Duster, un modèle attendu avec impatience par une communauté de conducteurs qui ont réservé une place spéciale dans leur cœur pour ce véhicule. De nombreux passionnés ont personnalisé leur Duster pour en faire un compagnon de voyage idéal. Désormais, Dacia propose de transformer votre Dacia Duster en un véritable camping-car. Tout confort de la maison dans le SUV populaire ?
Qu’est-ce que le pack Sleep ?
Avec l’accessoire appelé pack Sleep, Dacia offre la possibilité de transformer votre véhicule en un compagnon d’expédition. En optant pour la configuration quatre roues motrices, le Dacia Duster devient le partenaire idéal pour vos road-trips.
Le pack Sleep permet à une personne seule de déplier un lit de 130×190 cm. En quelques minutes seulement, le Dacia Duster se métamorphose en une chambre avec vue pour deux adultes. L’espace de chargement n’est pas sacrifié, car sous le lit se trouve un bac de rangement pratique pour vos effets personnels essentiels au voyage. Une tablette est même incluse pour que vous puissiez manger confortablement.
Ce dispositif se replie facilement sur lui-même, occupant un espace limité dans le coffre, matelas inclus. Ainsi, vous conservez les cinq places du véhicule !
Une galerie de toit pratique
Dacia propose également une galerie de toit facile à monter et rapide à installer sur le Dacia Duster. Elle peut supporter une charge maximale de 80 kg en mouvement, ce qui est suffisant pour installer une tente sur le toit et transformer le Duster en un véritable palace pour quatre personnes, ou pour transporter des bidons d’essence, une réserve d’eau ou des plaques de désensablage.
Des astuces pour les amateurs de camping
Pour simplifier la vie des campeurs, Dacia a intégré de petites astuces. Des supports peuvent être utilisés pour accrocher des lampes, des sacs de rangement ou même des porte-gobelets. Lorsque le coffre est ouvert, cela offre même la possibilité d’étendre des vêtements. On trouve des chargeurs USB-C à l’avant et à l’arrière pour tous vos appareils électroniques.
Ainsi équipé, le Dacia Duster est prêt pour l’aventure. Le prix de ces accessoires n’est pas encore connu, mais il est probablement significatif. Néanmoins, on peut saluer l’initiative de Dacia qui a compris que certains de ses clients sont des aventuriers. Le Duster n’est d’ailleurs pas le premier modèle à recevoir ce traitement, le Jogger ayant déjà un pack similaire.
Renault communique généreusement à propos du Kardian sans toutefois le dévoiler. Le constructeur lance des teasers sur ce nouveau SUV qui devrait être dévoilé à la fin du mois au Brésil. À présent il s’agit de l’intérieur que l’on peut apercevoir, ce que l’on sait déjà sur Abcmoteur.
Un habitacle moderne ?
Les dernières annonces de Renault à propos du Kardian nous ont permis d’imaginer un lien avec la Dacia Sandero Stepway. Toutefois l’intérieur semble plus cossu que la citadine du constructeur roumaine.
On remarque un éclairage d’ambiance à LED mais aussi un volant arborant le nouveau logo « Nouvel’R ». L’ambiance lumineuse de cet environnement peut changer avec l’usage du MULTI-SENSE qui promet d’adapter l’éclairage au mode de conduite.
Une boîte automatique ?
Avec ce nouveau visuel dévoilé par la marque au losange, on peut remarquer le levier de vitesse « e-shifter » permettant de changer de vitesse par une simple impulsion. On peut donc comprendre que le Renault Kardian devrait être doté d’une boîte de vitesses automatique.
Un lien avec Dacia ?
SI l’habitacle semble plus moderne qu’une Dacia, l’écran tactile du système d’infodivertissement est de 8 pouces, soit la même taille que l’équipement présent dans une Dacia Sandero ou un Jogger. On peut l’interpreter comme un indice permettant de rapprocher la Dacia Sandero et le Renault Kardian.
Toutefois, ce nouveau Renault Kardian n’est pas programmé pour la France mais pour le continent Sud Américain comme en témoigne la présentation prévue le 25 octobre prochain à Rio. Difficile de comprendre pourquoi Renault France communique autant sur ce futur modèle. Le constructeur français a peut être une surprise pour l’hexagone.
Le Dacia Duster est un des symboles de la réussite de Dacia dans l’hexagone. En effet, le constructeur roumain détenu par Renault a lancé en 2010 un véhicule au look de baroudeur et aux aptitudes de franchissement ainsi que de tout chemin qui a connu un grand succès. À présent la marque roumaine annonce que son modèle vient de passer un cap important en France.
Plus de 500 000 exemplaires sur nos routes
Dès 2010 la première génération trouvée son succès avec un public et une clientèle au rendez-vous. En effet le véhicule au look robuste et aux bonnes capacités lorsque le bitume s’éloigne, surtout pour les versions 4 roues motrices. Cette première génération s’est écoulée dans l’hexagone à 291 764 exemplaires, fédérant ainsi une communauté forte qui se retrouve autour de clubs et de forums.
En 2017 le Dacia Duster est renouvelé. Son successeur connaît lui aussi le même succès puisqu’avec 208 236 immatriculations en France en seulement 6 ans, il permet au Duster de revendiquer plus de 500 000 exemplaires mis en circulation en France. Il a même été le SUV le plus vendu à particulier l’année passée en France, symbolisant alors l’intérêt des Français pour le Dacia Duster.
Dacia avait déjà présenté le Duster Extreme Edition et récemment la Spring Extreme. À présent le constructeur de véhicules abordables généralise la finition haut de Gamme Extreme à tous ses véhicules.
Des teintes spécifiques
Il sera facile de reconnaître ces finitions Extreme grâce à leur teinte Vert Cèdre pour les Duster, Jogger et Stepway et une teinte Bleu Ardoise pour la Spring. Cela contraste avec les jantes noires et les éléments de couleurs cuivre comme les coques de rétroviseurs, les barres de toit, les centres de roues et sur le pare-chocs. Enfin, les protections latérales ont un motif qui est réservé à cette finition.
Un habitacle pour les baroudeurs
Les passagers seront accueillis dans un habitacle recouvert d’un textile « MicroCloud » sur les sièges et les panneaux de porte. Cet habillage est plus résistant et plus facile à laver, pratique pour un véhicule qui veut partir à l’aventure. De plus, on retrouve des tapis en caoutchouc de série, la aussi moins fragiles et plus faciles à laver que des tapis en tissu.
Une meilleure adhérence
Pour les clients qui choisiront le Jogger ou la Sandero Stepway, un nouveau système Extended Grip arrive. Il permet une meilleure adhérence lorsque le conducteur souhaite quitter le bitume. Pour réussir cela, pas d’action mécanique mais une gestion électronique de l’ESP qui gère mieux l’arrivée du couple aux roues.
Cette finition est disponible au catalogue Dacia à partir de 17 400 € en ce qui concerne la Sandero Stepway, 20 900€ pour le Jogger, 22 300€ pour la petite Spring et 21 300€ pour le Duster. Les commandes sont dès à présent ouvertes.
Le constructeur abordable du groupe Renault évolue changeant son emblème pour un emblème plus épuré. Dacia présente sa nouvelle identité visuelle.
Plus épuré
C’est donc un logo plus épuré qui viendra prendre place prochainement sur les Dacia. Le Dacia Link est composé des lettres essentielles du constructeur, un D et un C entrelacé qui donnent l’impression de former les maillons d’une chaîne. Le constructeur affirme que c’est un « symbole de robustesse et de simplicité ». Ce nouveau logo se retrouve également sur l’arrière du véhicule et sur le volant de manière minimaliste pour ne conserver que l’essentiel.
De plus, le constructeur en profite pour lancer une nouvelle teinte « Gris Megalithe » pour les barres de toits, les skis avant et arrière ainsi que les rétroviseurs des Sandero Stepway, des Spring ou bien encore des Duster.
Nouvelle identité, même philosophie
Si l’identité du constructeur Dacia change, la philosophie reste néanmoins la même. Le constructeur reste attaché aux essentiels qui reviennent pour eux à proposer des voitures sans superflu. Des véhicules considérés comme robustes et fiables mais aussi polyvalents afin de pouvoir prendre la route des grands espaces.
Enfin le constructeur annonce réduire l’utilisation de matériaux en effet chrome pour diminuer la pollution de sa production et d’ici 2023 toute les Dacia commercialisées seront limitées à 180 km/h.
Dacia a frappé fort avec son nouveau Jogger. Malgré une récente augmentation de tarif, cette familiale reste LA bonne affaire pour tous ceux souhaitant avoir de la place ! Nous avons pris le volant de la version ECO-G, compatible GPL, qui devrait représenter l’essentiel des ventes, pour plus de 1 000 km !
L’apparition d’un nouveau modèle Dacia est un petit événement dans le monde auto. Avec son Jogger, la marque Roumaine propose à nouveau un break après l’arrêt de la Logan MCV. Disponible en version 5 ou 7 places et disposant d’un vaste coffre, le Jogger remplace à la fois le monospace Lodgy et le ludospace Dokker. Ne bénéficiant pas d’une carrosserie à la mode, ces derniers n’ont pas eu le succès escompté.
Pour mettre toutes les chances de son côté (et faire quelques économies), Dacia a décidé de ne pas partir d’une feuille blanche. Le Jogger reprend en effet la plateforme CMF-B de la Sandero (que l’on retrouve également chez Renault avec les Clio et Captur).
Un air de déjà vu
Du côté du style, pas de chichi : l’ensemble de la face avant, jusqu’aux portes, est reprise de la berline Roumaine. Une bonne idée tant la Sandero plaît au public, comme en témoigne sa première place régulière au palmarès des voitures les plus achetées par les particuliers.
S’il ne reprend pas le nom de Stepway, le Jogger a droit à tous les attributs du parfait baroudeur. Il se dote ainsi de protections plastique faisant le tour de sa carrosserie et sa garde au sol est rehaussée. En revanche, pas de transmission intégrale au programme. En effet, la plateforme ne le permet pas, et cette option serait trop onéreuse à mettre en place (d’autant plus que le Duster propose déjà cette alternative dans la gamme Dacia).
Juste après des portes avant, on distingue un décrochage. C’est à partir de ce niveau que le Jogger s’émancipe de la Sandero. La hauteur se fait plus importante et les portes arrière plus grandes que sur la berline. Deux modifications nécessaires pour accueillir avec davantage de facilité les passagers du deuxième rang, voire troisième rang si vous optez pour les deux sièges supplémentaires (option à 1 310 € en finition d’accès Essentiel, 800 € sur le reste de la gamme).
Vu de dos, on ne peut s’empêcher de voir du Volvo dans le dessin des feux. On remarque aussi le grand hayon vertical où l’on constate que les badges au nom de la marque et du modèle ont été remplacés par de simples stickers. Si la mode est plus vers des pavillons fuyants favorisant la ligne, ce dessin plus cubique est bien plus approprié pour maximiser le volume de chargement. Dans notre version 5 places, celui-ci affiche de 708 à 1 819 litres. De quoi partir en vacances sereinement ! Tout juste pouvons-nous regretter un seuil de chargement avec une petite marche ainsi qu’un fond pas totalement plat (un dégagement est prévu pour que les pieds des occupants des 6e et 7e sièges puissent se glisser sur les versions 7 places). De même, la modularité est simpliste avec une simple banquette fractionnable 2/3-1/3 et rabattable en portefeuille. Cette architecture, si elle est économique, grève la longueur de chargement totale disponible.
De la place pour tous !
Une fois installé derrière le volant, on retrouve la planche de bord déjà vue dans la Sandero. Si le plastique dur est omniprésent, les assemblages sont bien réalisés et l’ensemble présente convenablement. Le bandeau de tissu rehausse la qualité perçue. Mais si sa texture 3D est du plus bel effet, elle pourrait toutefois rendre son nettoyage fastidieux.
Bien que le volant ne bénéficie pas d’une amplitude de réglages très importante, on parvient rapidement à trouver une bonne position de conduite. Les sièges profitent d’un moelleux appréciable bien complété par un amortissement des plus prévenants.
À l’arrière, les occupants du second rang profitent de trois vraies places et d’un espace aux jambes suffisant. Toutefois, ils auraient apprécié un peu moins de fermeté du côté des dossiers et des assises.
Un 3-cylindres suffisant
Si le Jogger peut laisser apparaître un train arrière légèrement rebondissant à vide sur les chaussées les plus défoncées, il s’avère parfaitement suspendu le reste du temps. Les plaques d’égout et autres ralentisseurs rencontrés en milieu urbain ne sont qu’une formalité. Bien que sa longueur de 4,55 m impose un diamètre de braquage important (11,7 m), circuler en ville se fait sans inquiétude, notamment grâce à des extrémités faciles à cerner.
En sortant des centres-villes, le moelleux est toujours de mise sans pour autant imposer un pompage excessif. Sur autoroute, le confort de suspension est tout bonnement excellent et permet d’engranger les kilomètres sans fatigue. Il faudra tout de même composer avec des bruits d’air importants à partir de 110 km/h. On notera aussi une certaine sensibilité au vent latéral qui se fait notamment ressentir lorsque l’on double un poids lourd.
Toujours du côté de l’insonorisation, le bruit du 3-cylindres est bien contenu. S’il se fait entendre lors des fortes accélérations, il sait se montrer raisonnable à allure stabilisée. Les performances délivrées par le moteur ECO-G 100 sont suffisantes. Les accélérations n’ont évidemment rien de fulgurant mais elles permettent de s’insérer sans problème dans le flot de circulation, notamment grâce aux deux premiers rapports plus courts.
Notre test nous a emmené dans les environs de Grenoble où nous avons pu mettre notre Jogger à l’épreuve sur des routes de montagne. Les 100 ch et 170 Nm de couple sont alors pleinement mis à contribution et ne sont pas de trop pour enchaîner les virages. Encore une fois, le Dacia des familles s’en sort fort bien, cependant il ne faut pas hésiter à jouer de la boîte de vitesse. Dommage que celle-ci accroche un peu au passage de la seconde. Heureusement, la plupart des virages peuvent se négocier en 3e grâce à la souplesse du bloc. Le comportement général ne souffre d’aucune critique et fait preuve d’une belle stabilité dans les grandes courbes. La direction douce au quotidien possède une consistance suffisante mais manque de communication pour bien sentir les limites d’adhérence.
Un équipement à la page
On en vient au principal argument de ce Dacia Jogger : son tarif ! Bien que son prix ait récemment augmenté, il reste un point fort ! Le Jogger est ainsi disponible à partie de 15 490 € en version 5 places et finition Essentiel. Cette dernière, si elle possède une prise USB, une connexion Bluetooth, l’allumage auto de feux ou encore un limiteur de vitesse, fait tout de même sur des équipements qui nous paraissent essentiels comme la climatisation ou le réglage en profondeur du volant. Et si les barres de toit sont bien présentes, il faut en revanche opter pour la finition confort pour qu’elles deviennent modulables.
Cette dernière, qui représente le cœur de gamme, ajoute en plus : l’écran tactile 8 pouces, la compatibilité Apple CarPlay et Android Auto, une prise USB supplémentaire, l’allumage auto des essuie-glaces, le régulateur de vitesse, ou encore le radar de recul. L’addition s’élève alors à 17 700 € avec notre bloc ECO-G 100. Pour la déclinaison 7 places, il faut ajouter 800 € (1 310 € en entrée de gamme). À ce prix-là, le Jogger reste la seule et unique proposition 7 places sur le marché !
Des économies à la pompe
Le réservoir GPL de 40 litres, qui s’ajoute à celui de 50 litres d’essence, permet aussi de limiter le prix du plein. Lors de notre essai, la consommation s’est établie à 7,4 l/100 km de sans-plomb sur autoroute. Bien évidemment, celle-ci est plus élevée lorsque l’on passe au Gaz de Pétrole Liquéfié. L’ordinateur de bord nous a alors indiqué 9,4 l/100 km. Des valeurs qui n’ont rien de surprenant étant donné la hauteur de ce break surélevé. Lors de notre parcours montagneux à rythme soutenu, nous avons consommé une moyenne de 16 l/100 km de GPL et 12,1 l/100 km d’essence.
Si nous avons relevé 9,2 l/100 km (essence) en ville, cette valeur n’est pas représentative étant donné notre faible kilométrage en zone urbaine. Au final, malgré la surconsommation au GPL, son prix à la pompe inférieur (0,86 € en moyenne au moment d’écrire ces lignes) permet à ce moteur d’afficher un coût bien inférieur à celui de l’essence !
Le Dacia Duster est l’un des best-sellers sur le marché du SUV en France. 4ème en 2021 avec 27 729 immatriculations et même premier en 2019 avec près de 49 000 exemplaires mis en circulation. Un succès déclinant au fil des années que Renault-Dacia compte bien redynamiser avec cette nouvelle série spéciale.
Dacia Duster Extreme, c’est le nom de cette version limitée basée sur la version prestige de la gamme conventionnelle. À l’extérieur cette finition a le droit à des éléments exclusifs comme des inserts décoratifs orange sur la calandre, les coques de rétroviseurs, les barres de toit ainsi que la porte de coffre et des jantes exclusives en aluminium noir.
À l’intérieur, ce Duster Extreme, se voit doté d’une sellerie spécifique en tissu et similicuir avec des surpiqûres orange, les aérateurs reprennent la même couleur. Au chapitre des équipements, il reprend les mêmes que celui de la version prestige mais il lui est ajouté la carte d’accès main libre habituellement réservée aux Renault, des prises USB pour les passagers arrière et des caméras multivues.
Sous le capot, rien d’extrême cepedant. Cette série spéciale reprend les motorisations déjà connues du Duster. 3 moteurs essence, ECO-G 100 (bicarburation GPL), TCe 130 ou 150. Un diesel de 115 chevaux est disponible uniquement en boîte mécanique. La version 4 roues motrices est proposée qu’avec ce moteur.
L’ouverture des commandes se fera dès le 6 janvier 2022 à partir de 19 800€.
Si la star des Dacia Sandero est sans conteste la version Stepway, il serait dommage de négliger sa déclinaison standard. Essayée en finition Confort qui porte bien son nom, elle bénéficie elle aussi du bloc Eco-G 100 pouvant rouler au GPL. Affiché au même prix que le TCe 90, il permet de profiter d’un prix à la pompe divisé par 2 !
Un succès qui ne se dément pas
Renouvelée à l’automne dernier, la Dacia Sandero continue sur la même lancée que sa devancière. Elle est toujours un succès majeur en s’octroyant la première place des autos vendues aux particuliers sur les 6 premiers mois de 2021. Si la version Stepway est largement plébiscitée par les clients, il sera dommage de délaisser cette déclinaison plus classique. Elle se passe alors de l’accastillage aventurier et bénéfice d’une garde au sol plus basse. Si certains jugeront que la Sandero manque alors de style, la citadine se rattrape par un meilleur confort et une consommation amoindrie.
Question style, cette toute nouvelle Sandero s’éloigne un peu plus du low cost en soignant sa plastique. Elle a droit à un éclairage LED à l’avant, une carrosserie plus travaillée ou encore une largeur accrue pour mieux « l’assoir » sur la route. Dacia parle d’ailleurs de « voiture essentielle » et plus de low cost afin de valoriser davantage son image de marque.
Un habitacle bien pensé
Dans l’habitacle, la simplicité est de mise mais quelques astuces facilitent la vie à bord. On trouve par exemple un support de téléphone intégré. Bien utile, notamment pour profiter de son appli de navigation favorite. Tellement pratique au quotidien qu’on se demande pourquoi plus de constructeur ne le proposent pas sur leurs modèles.
Toutefois, certains possesseurs de smartphone de grande taille pourront éventuellement être gênés par l’emplacement un peu haut du support. La vue vers la route pourra alors être légèrement obstruée.
À ses côtés se trouve l’écran tactile de 8 pouces réactif et facile à prendre en main. Sur les versions de base, cet écran est remplacé par un simple support de téléphone. Le Bluetooth est inclus ainsi que la compatibilité Android Auto et Apple CarPlay. Deux prises USB font aussi partie de la dotation d’origine afin de ne pas se retrouver en panne de batterie.
De la place pour tous le monde
Si les matériaux sont basiques avec bon nombre de plastiques durs, les assemblages sont sérieux et l’ensemble fait robuste. Bien que le noir soit omniprésent, des pièces de tissu et quelques touches couleur chrome (boutons de ventilation, volant, poignées de porte, pourtour du levier de vitesse etc.) viennent rehausser l’ambiance générale. Assis au volant, on profite d’une colonne de direction réglable à la fois en hauteur et en profondeur. Un bon point, bien que l’on aurait apprécié un peu plus d’amplitude dans les réglages.
L’habitabilité est tout ce qu’il y a de plus correct. À l’arrière, l’espace est généreux, que ce soit pour les jambes ou la tête des passagers. Le coffre s’avère appréciable avec 328 litres (8 litres de plus que la génération précédente). Un seuil important est tout de même à signaler et pourra gêner lors de l’embarquement de charges lourdes. La banquette arrière qui se replie selon un classique schéma 2/3-1/3, n’offre pas de plancher plat une fois rabattue.
Le bon plan GPL
Dacia a la bonne idée de proposer ce moteur Eco-G 100 au même prix que le TCe 90. Le 3 cylindres turbo est alors compatible avec le GPL grâce à de légères modifications ainsi qu’au réservoir supplémentaire installé à la place de la roue de secours. Cela permet de bénéficier d’un coût d’usage très raisonnable. En effet, bien que le GPL entraine une surconsommation d’environ 20-25 %, son prix au litre est quasiment divisé par 2 par rapport à celui de l’essence. De quoi faire de sacrées économies à la station !
À l’usage, le passage du Sans-Plomb au GPL se fait au moyen d’un simple bouton proche du volant. Il est toutefois bon de savoir que le démarrage se fait toujours à l’essence, son pouvoir énergétique étant plus important. Il ne faut donc pas rester avec le réservoir de SP95 vide sous peine de ne pas pouvoir redémarrer malgré le plein de GPL effectué !
Le passage d’un carburant à un autre est totalement transparent, bien que le GPL permette de bénéficier d’un couple légèrement supérieur (170 Nm contre 160 Nm). Dans les deux cas, le 3 cylindres 100 ch se montre discret et maitrise bien ses vibrations. La boîte 6 n’est pas très précise mais son maniement est très doux. Son étagement privilégie la consommation avec des rapports longs. Pour les dépassements, il ne faut pas hésiter à tomber une, voire deux vitesses pour bénéficier de bonnes reprises.
La plus confortable des Sandero
Par rapport à une Sandero Stepway, elle profite de son absence de barre de toit pour engendrer moins de bruits aérodynamiques. Cette absence, couplée à une garde au sol plus basse, lui permet d’afficher des consommations bien inférieures à sa sœur en tenue d’aventurière. Certains collègues ont relevé jusqu’à deux litres d’écart sur autoroute à l’avantage de la Sandero Confort !
Le confort est de mise avec un amortissement prévenant associé à des sièges moelleux. Là encore, la différence avec la Stepway est notable. La hauteur moins importante permet de se contenter de barre anti-roulis de plus petit diamètre, au bénéfice de suspensions plus conciliantes. Bien que l’insonorisation n’ait logiquement pas fait l’objet d’autant d’attention que dans une Clio, elle reste tout à fait acceptable pour envisager de longs trajets sans soucis
Tarifs et équipements
La Sandero Eco-G 100 démarre à 11 690 € en finition Essentiel. Elle possède déjà l’indispensable avec : les feux de jour à LED, des enjoliveurs 15 pouces, le Media Control (Streaming audio, 2 HP, Bluetooth avec support téléphone), le siège conducteur et le volant réglables en hauteur, régulateur / limiteur de vitesse, allumage auto des feux, freinage d’urgence effectif entre 30 et 140 km/h.
Il ne manque que la climatisation manuelle, qui est ajoutée sur la finition Confort supérieur que nous ne pouvons que vous recommander. Cette dernière est disponible contre 1 300 € supplémentaires, soit 12 990 €. Pour ce prix elle ajoute donc la climatisation manuelle mais aussi : le réglage en profondeur du volant, les radars de recul, le Media Display (écran 8 », réplication smartphone, 4 HP, 1 support téléphone) les rétroviseurs et les vitres arrière électriques, le capteur de pluie et les enjoliveurs 16 pouces.
La concurrence
À titre de comparaison, une Sandero Stepway débute à 13 090 € (soit 1 400 € de plus) et offre, mis à part un accastillage esthétique spécifique, une climatisation manuelle en finition Essentiel et automatique en Confort.
Enfin, la Clio est hors course car, même si elle offre une finition plus léchée et une meilleure insonorisation, elle ne s’affiche pas en dessous de 19 500 € à motorisation équivalente !
Sans réelle concurrente, la Sandero Confort Eco-G 100 est assurément la bonne affaire de la catégorie. D’autant plus que dans cette déclinaison « standard » elle consomme moins que la variante Stepway, qui se trouve être par ailleurs moins confortable et légèrement plus bruyante.
Merci à Jalil Chaouite pour son aide à la réalisation des photos dynamiques.
Plus que quelques jours avant l’ouverture du Salon de Francfort 2015. Les nouveautés défilent, la tension monte ! Abcmoteur a décidé de faire le point sur le programme de ce grand show, en listant les nouveautés déjà annoncées, celles attendues et les surprises potentielles. Chauvins, nous commençons aujourd’hui par les Français.
Renault : pluie de nouvelles stars
La marque au losange est en super-forme. Elle n’avait jamais proposé un programme aussi fourni. Renouveler un modèle capital, pour une marque généraliste c’est fréquent, mais deux en même temps c’est assez rare. Le public découvrira ainsi à Francfort la quatrième génération de la Mégane et l’inédite Talisman, qui prend la relève de la Laguna.
Notons d’ailleurs que ces modèles appartiennent à des segments très importants en Allemagne et visent clairement les références Volkswagen à domicile ! Frappant fort, Renault propose même les premières déclinaisons de ces véhicules : la sportive light GT pour la Mégane et le break Estate pour la Talisman.
Avec un tel menu, inutile d’espérer une surprise le jour J. Le Salon sera l’occasion d’en savoir plus sur la compacte, dont peu d’éléments ont été officialisés pour l’instant. Seul petit mystère : le concept de pick-up Alaskan sera t-il de la partie ?
Au sein du groupe Renault, il y a aussi Dacia. La marque roumaine exposera à Francfort le Duster Edition 2016. Au menu : quelques modifications esthétiques (jantes 16 pouces et couleur de carrosserie inédites) et des équipements en plus, dont la caméra de recul.
Autre nouveauté de la marque : la présentation d’une boîte pilotée Easy-R pour les Logan et Sandero avec la motorisation TCe 90. Tous les blocs proposés chez Dacia se convertissent aussi à la norme Euro 6, avec quelques gains de consommations et d’émissions de CO2 à la clé.
Peugeot : en attendant le 3008…
Le lion est en phase de transition. Après avoir renouvelé de fort belle manière la 308 (lire notre essai), puis la 108 (lire notre essai), Peugeot est en panne de nouveautés depuis de longs mois. Il prépare une offensive produits avec notamment le tout nouveau 3008 mais il faudra attendre l’année prochaine pour découvrir la seconde génération du crossover compact (lire nos informations).
Le Français nous fait donc patienter avec un énième concept-car, certes très réussi, le Fractal. Côté gamme, Francfort sera le théâtre de lancement de la nouvelle sportive de la firme, la 308 GTi, dotée d’un 1.6 THP de 270 ch.
Après la 5, c’est au tour de la 4 d’adopter la calandre DS, avec un cadre chromé qui relie les optiques. Celles-ci sont dotées sur les finitions supérieures de la technologie LED/Xénon. La DS 4 profite de son restylage pour voir double. En plus de la version classique, dont la garde au sol a enfin été abaissée, DS propose une déclinaison typé aventure, nommée Crossback. Celle-ci reçoit quelques détails de déco spécifiques.
DS exposera aussi en première mondiale sa monoplace électrique qui participera au Championnat du Monde Formule E. La DSV-01 arbore les couleurs de Virgin. Enfin, DS a annoncé il y a quelques jours qu’une surprise serait dévoilée le 15 septembre, jour d’ouverture à la presse. Mais selon certaines rumeurs, il ne s’agirait que d’une DS 4 maquillée…
Comme pour Peugeot, pas de grande nouveauté encore chez Citroën. Pour faire le show, la marque a donc concocté un concept plein de nostalgie : le Cactus M. Ce prototype basé sur le C4 Cactus rend hommage à la Méhari, en multipliant les clins d’œil : portes en plastique, habitacle facilement lavable, capote en toile manuelle…
Citroën exposera aussi en première européenne le concept Aircross, qui annonce le SUV familial que prépare la marque pour 2017. A Francfort, le C4 Cactus bénéficiera de quelques améliorations. Il adoptera enfin une banquette 1/3-2/3. Autre nouveauté dans la gamme du crossover Citroën : une inédite couleur de carrosserie Jelly Red. De son côté la C1 hérite de la teinte Blue Lagoon et peut être commandée avec le freinage automatique Active City Brake.
10 ans déjà ! En effet, la marque roumaine née en 1966, puis reprise en 1999 par Renault vient de fêter ses dix années de présence sur le marché français. Remémorons-nous cette belle ascension aussi spectaculaire qu’inattendue que Dacia fête en organisant un concours sur les réseaux sociaux.
La Logan comme point de départ
Nous sommes en 2005 et voilà que Dacia propose aux Français une berline neuve, aux organes éprouvés et sans fioritures au prix de l’occasion ! La Logan ne manquera pas de séduire des millions de clients avec son tarif sans concurrence situé sous la barre des 8 000 € (7 500 € exactement).
L’arrivée du break MCV en 2007 se transformera également en carton commercial, mais ce sera encore davantage le cas avec l’introduction en 2008 de la citadine baptisée Sandero.
En 2010, Dacia sort son SUV Duster « scandaleusement accessible » comme le dit la pub. Proposé à partir de 11 990 €, ce baroudeur va lui aussi séduire les foules et même parfois devenir la deuxième ou troisième voiture du foyer. Les monospaces Lodgy et Dokker débarqués en 2012 sont pour le moment les seuls modèles de la marque à chercher leurs acheteurs.
Et vous, comment étiez-vous à dix ans ?
Ce qui fait la force de Dacia, c’est aussi d’avoir su créer une communauté très importante dans un esprit familial et festif. Les pique-niques géants rassemblent toujours un grand nombre de fans.
Ainsi, pour ses dix ans, le constructeur organise un concours invitant les internautes à poster sur Twitter, Instagram, sur la page Facebook Dacia France et sur son site Dacia 10 ans, une photo d’eux ou de leurs enfants à l’âge de dix ans avec le hashtag #10ansSeulement.
Un petit clin d’œil qui sera récompensé par un séjour au Parc Astérix (deux jours et une nuit pour quatre personnes) pour l’heureux gagnant qui aura été tiré au sort parmi les 20 meilleures photos retenues par jury.
Une vidéo résume en quelques secondes le jeu-concours #10ansSeulement :
En parlant de vidéo, avez-vous vu celle mettant en scène des enfants de 10 ans en train de conduire une Dacia sur route ouverte ? Ils sont décidément très forts au marketing ! Vous pourrez également découvrir sur le site la série limitée 10 ans proposée sur la totalité de la gamme Dacia.
Le jeu-concours #10ansSeulement se terminant ce vendredi 10 juillet, n’attendez plus pour poster votre petite bouille ! Comme je suis joueur, je commence en publiant une photo lorsque j’avais atteint mes dix bougies ! 😉
Hier, Florent vous présentait en détails la nouvelle citadine ultra low-cost de Renault : la Kwid. Destinée aux pays émergents, cette auto légèrement plus longue qu’une Twingo pourrait apparaître dans les concessions européennes du Losange… et plus particulièrement en France ! Cependant, vous ne la trouverez dans les showrooms Dacia, et non pas Renault !
Seulement 4 200 euros !
Souvenez-vous, il y a maintenant dix ans la Dacia Logan arrivait en Europe. Un lancement qui n’est pas passé inaperçu pour cette voiture qui à l’origine n’était pas prévue pour notre marché. En dévoilant la Kwid, le PDG de Renault s’est logiquement fait questionner sur la potentielle commercialisation de la voiture rebadgée du logo Dacia. La marque roumaine assurant la diffusion des modèles à bas prix du groupe dans les pays développés.
Voici celle que les jeunes (et moins jeunes) pourraient s’offrir en première voiture : la Dacia Kwid avec ses airs de Sandero et de Duster
Carlos Ghosn n’a pas répondu de manière tranchée. Si la venue de la Kwid en Europe n’est pas prévue, elle n’est pas non plus écartée. Vendue à partir de 4 200 euros en Inde, la citadine serait affichée chez nous à un prix nettement plus élevé. Cela est dû au lieu de production qui basculerait au Maroc, à Tanger, et au fait que les normes de sécurité (ABS, airbags, ESP, contrôle de la pression des pneus, appel d’urgence eCall en 2018, …) sont nettement plus contraignantes.
Si vous attendez impatiemment de vous offrir une Dacia Kwid en première voiture et/ou tant que bonne alternative à une voiture d’occasion, sachez qu’elle pourrait apparaître en France d’ici un à deux ans. Elle s’échangerait contre la somme de 6 000 à 7 000 euros. Les rumeurs actuelles la disent équipée d’un moteur trois-cylindres 0,8 l de faible puissance (60 ch ?) associé à une boîte manuelle à 5 rapports pour une consommation réduite.
Carlos Tavares, qui dirige PSA Peugeot-Citroën, répète à l’envie que son groupe est « back in the race » (revenu dans la course). Mais si les finances ont bien retrouvé le vert chemin, le planning des nouveautés depuis quelques mois est tout de même maigrichon. Rien à voir avec celui de Renault !
Du jamais vu
Le renouveau du losange a commencé il y a bientôt trois ans, lors du lancement de la Clio IV. La reconquête s’est poursuivie au printemps 2013 avec l’arrivée du Captur, qui depuis se vend comme des petits pains. Il y a eu ensuite une petite pause. Normal : toute la gamme était à revoir ! Les designers et ingénieurs se sont ainsi lancés dans une foule de projets.
Le Renault Captur
Avec pour conséquence heureuse un calendrier de lancement de septembre 2014 à septembre 2016 ultra chargé. Renault va entrer cette semaine dans une période charnière. Lors des 100 prochains jours, pas moins de cinq autos vont faire l’actualité de la firme de Billancourt. Et il y en aura pour tous les goûts. A se demander si ce soir, il ne faudrait pas acheter des actions !
De l’ultra low-cost…
Premier événement : la révélation de la Kayou, mercredi. Ce nom ne vous dit rien (et vous faire sourire) ? C’est normal, il s’agit d’une auto inédite : une citadine conçue en priorité pour le marché indien, coûtant 5.000 € environ. Constatant l’échec de la très médiatisée Tata Nano, Renault a retenu la leçon : les indiens ne veulent pas d’une auto trop rustique.
La Kayou sera donc une vraie voiture dont on n’aura pas honte mais qui évidemment ne sera pas au top dans tous les domaines. Il se murmure qu’une version adaptée à l’Europe serait en préparation, avec un prix un peu plus élevé, mises aux normes obligent. Sans surprise, chez nous, l’auto intégrerait la gamme Dacia.
… à la nouvelle Alpine !
En juin (la date précise n’est pas encore connue mais devrait tourner autour du 15), Renault lancera sur le Vieux Continent un modèle qui devrait rapidement devenir un best-seller du marché : le crossover Kadjar. Dévoilé à Genève, ce proche parent du Nissan Qashqai fera rapidement oublier l’échec du Koleos. Mais le lancement commercial de ce modèle devrait vite être médiatiquement éclipsé par un gros événement : la présentation le 11 juin, juste avant les 24 Heures du Mans, d’un concept dévoilant les grandes lignes de la nouvelle Alpine.
Carlos Ghosn à côté du Renault Kadjar sur lequel repose beaucoup d’espoirs
Le dernier concept en date d’Alpine
On va enfin savoir à quoi va ressembler la Berlinette du 21ème siècle ! Après trois ans de rumeurs, la silhouette de cette auto est encore inconnue. On nous promet une voiture qui fait immédiatement penser au modèle originel, sans pour autant tomber dans un excès de néo-rétro. On espère en découvrir plus sur la fiche technique.
Deux piliers totalement revus
Les festivités se poursuivront début juillet (le 6) avec la révélation d’un modèle très attendu : la remplaçante de la Laguna. C’est sûr : le nom sera changé, histoire de prendre un nouveau départ sur le segment des berlines. Contrairement à l’Alpine, l’auto a été aperçue de nombreuses fois sur la route : ses formes sont donc en partie connues. Ce véhicule devrait être une alternative crédible à l’incontournable Passat, avec un design sobre et élégant, des technologies à jour et une finition soignée. Seul souci : les moteurs seront partagés avec l’Espace (voir notre essai). La gamme plafonnera donc dans un premier temps à 200 ch…
Un mulet de développement de la remplaçante de la Renault Laguna
Fin août ou début septembre, le losange renouvellera un autre best-seller : la compacte Mégane. Ici, le nom sera repris. Le design ne sera pas révolutionné, car la marque souhaite désormais que ses autos se suivent et se ressemblent pour faire comme la Golf (voir notre essai) ! La Mégane IV ne devrait plus être proposée en carrosserie coupé, ce qui fait que la prochaine RS aura 5 portes !
Amateurs de Renault, vous ne serez donc plus où donner de la tête lors des trois prochains mois. Quant aux autres, plusieurs de ces autos seront peut-être à même de vous faire changer d’avis sur les produits du losange !
Une Dacia, c’est généralement le choix que l’on fait quand on a besoin d’une voiture. Quand on aime l’automobile, ce n’est pas exactement la première marque qui vient à l’esprit. Pourtant, le prototype que nous vous présentons aujourd’hui pourrait faire un peu évoluer l’équation !
Les détails qui font la différence
Stylistiquement parlant, on pourrait presque passer à côté du prototype sans s’émouvoir plus que ça. Presque. Cependant, en y regardant de plus près, on observe des jantes de Clio IV GT, une double sortie d’échappement et des disques de frein au diamètre majoré. Voilà qui devient intéressant ! Le reste est pour le moment identique à une Sandero classique. Pas sûr que Dacia greffe un kit carrosserie complet sur la citadine, mais on peut quand-même envisager quelques ajouts sur les pare-chocs, des jupes latérales et des jantes spécifiques (consultez notre article avec des illustrations de la Sandero RS).
L’intérieur montre lui aussi quelques signes de sportivité, avec des éléments piqués directement chez la maison mère, Renault. Le volant est ainsi repris de la Clio RS (voir notre essai), le pommeau de levier de vitesses est gainé de cuir avec surpiqures contrastées et enfin un siège semi-baquet accueille le conducteur et se charge de le maintenir efficacement.
Moins radical que la Clio RS
Sous le capot, on devrait retrouver le 1.2 turbo qui anime la Clio GT. Il affiche 120 chevaux et 190 Nm de couple dans cette dernière, néanmoins on ne sait pas si ces valeurs demeureront, ou bien seront revues un peu à la hausse. Toujours est-il que la Dacia Sandero RS (le nom est provisoire) sera moins radicale que sa cousine sportive au losange, tandis qu’elle fera vraisemblablement l’impasse sur la boîte à double embrayage EDC.
Là où elle pourrait surprendre, c’est au niveau du châssis. Les ingénieurs de Renault Sport n’en sont en effet par à leur coup d’essai, en témoigne le longue lignée des Clio survitaminées (Williams, 2RS, 3RS et 4RS) et des Mégane portant le fameux logo. On s’attend ainsi à un comportement fun et joueur, doublé d’une efficacité insoupçonnée.
Et le plus fort, c’est que badgée Dacia, cette petite sportive pourrait se négocier autour des 15 000 euros. Vivement un essai de celle qui pourrait devenir une base prisée des amateurs de trackday (journée circuit pour le loisir) à moindre coût. La présentation devrait intervenir en septembre, pour le salon de Francfort.
Nos photographes espions viennent de nous communiquer des clichés pour le moins intrigants montrant une nouvelle version de la Dacia Logan… Que peut bien nous réserver la marque roumaine alors que sa Logan de deuxième génération a été dévoilé depuis seulement deux ans ?
Une nouvelle apparence pour la Dacia Logan
A la vue de ces photos volées, on remarque immédiatement que la face avant cache de potentielles modifications. Ces changements esthétiques concerneraient la calandre, les optiques, ainsi que le bouclier y compris les antibrouillards ?
Dacia serait donc déjà en train de préparer la version restylée de la Logan présentée en 2012 ? Cela nous paraît un peu tôt. Par ailleurs, d’autres éléments surprennent…
Des moteurs plus économes et une version musclée ?
En effet, en observant l’auto de profil, on note que les quatre roues possèdent des freins à disque, alors que jusqu’à maintenant toutes les Logan reçoivent des tambours sur les roues arrière pour réduire les coûts. Serait-ce donc un prototype d’une Logan Sport ?
Après avoir regardé la poupe accueillant une nouvelle sortie d’échappement, le doute est bien permis ! D’autant plus que des composants liés à la suralimentation sont présents derrière la calandre tels qu’un intercooler servant à augmenter la puissance d’un moteur et refroidir la température des gaz chauds d’admission.
Comme les motorisations de la Logan II phase 2 devront passer la norme anti-pollution Euro VI, le constructeur pourrait en profiter pour ajouter le quatre-cylindres essence turbo 1,2 l TCe de 130 ch équipant déjà la Megane.
Avec un tel niveau de puissance, l’éventuelle « Logan Sport » bénéficierait de performances satisfaisantes (0 à 100 km/h légèrement en-dessous des dix secondes et une Vmax proche des 200 km/h) pour son prix et irait combler les acheteurs de voitures low-cost à la recherche de blocs plus pêchus. On peut même rêver de quelques réglages spécifiques à destination du châssis pour l’occasion…
Une version « sportive » d’un modèle Dacia ayant déjà été évoquée à plusieurs reprises, est-ce que le pas sera cette fois-ci franchi ? Seul l’avenir nous le dira, mais une chose est sûre, ces spyshots ne sont pas anodins…
Face au succès des Sandero Stepway et du Duster (voir notre essai), Dacia va logiquement offrir à ses Lodgy et Dokker la finition typée « baroudeuse » (d’ailleurs, nous vous en donnions un aperçu ici et là en 2012). Voici les premiers éléments connus avant la présentation au Mondial.
Une allure plus valorisante
Qui dit Stepway dit protections en plastique noir sur les bas de caisse et passages de roue, des renforts style chrome satiné sur la partie inférieure à l’avant et à l’arrière, ainsi qu’une inscription éponyme sur les portières avant.
La panoplie est complétée par des antibrouillards cerclés d’un teinte aspect chrome satiné et de barres de toit, coques de rétroviseurs et jantes alliage 16 pouces en « dark metal ». La garde au sol est rehaussée.
Une teinte exclusive
Les Lodgy Stepway et Dokker Stepway seront proposés en cinq coloris dont le bleu azurite (images) est spécifique à cette finition.
A l’intérieur, là aussi la sellerie est propre à la finition avec des broderies « Stepway » et des surpiqûres bleutées. Une décoration qui se retrouve sur les compteurs du tableau de bord, le volant, les aérateurs et sur les contours de la console centrale. Pour le reste, c’est le noir qui domine.
Intérieur Dacia Lodgy Stepway
Les équipements disponibles en série ou en option sont le système tactile de navigation et multimédia Media Nav, la climatisation, le régulateur et limitateur de vitesse, l’aide au parking arrière, … Côté pratique, des filets de rangements sont fixés à l’arrière.
Intérieur Dacia Dokker Stepway
Offre moteur réduite
A ce chapitre, le choix sera rapide pour le client, car deux moteurs sont disponibles pour chacun des modèles. Le Lodgy Stepway (5 ou 7 places) se voit proposé en essence TCe 115 ch avec boîte manuelle à 5 vitesses et en diesel dCi 110 ch.
Pour le Dokker Stepway, le même essence est disponible, mais en diesel c’est le dCi 90 ch qui officiera avec ses 4,5 l/100 km demandés (118 g de CO2/km).
Bientôt la suite…
La liste complète des équipements et tarifs sera dévoilée ultérieurement lors du Mondial de l’Automobile de Paris (4 – 19 octobre) où bien entendu les deux modèles du constructeur roumain seront exposés au public.
Actuellement, chez Dacia on propose sûrement l’un des meilleurs rapport prix/prestation. Seulement, avec la montée en gamme progressive des modèles du constructeur roumain, des modèles plus onéreux peuvent être envisagés.
Un projet de Sandero sportive déjà bien avancé
L’un d’entre eux pourrait être une « Sandero Sport » ou « Sandero RS ». En effet, les britanniques d’Autocar nous apprennent que le patron de Renault Sport, Patrice Ratti, leur a livré quelques informations intéressantes lors du salon de Moscou. Dans la volonté d’expansion de la marque Renault sur les marchés émergents tels que la Russie ou le Brésil (les modèles Dacia sont badgés Renault dans ces pays), une version musclée de la Sandero est en projet.
Les modifications apportées à la Dacia Sandero par l’illustrateur Virtual-Car sont légères, mais efficaces
Ainsi, afin de faire connaître le savoir-faire de Renault Sport, une Sandero RS avec un moteur encore non présent au catalogue de Dacia fera très certainement son apparition. Aujourd’hui, la Sandero va jusqu’à 101 ch avec son quatre-cylindres essence 1,6 l. On peut donc imaginer un bloc de 130 à 150 ch, pas beaucoup plus, car M. Ratti précise bien qu’une « Sandero est plus légère qu’une Clio, c’est pourquoi vous n’avez pas besoin d’énormément de puissance ».
Par ailleurs, il est revenu sur la possibilité d’une Twingo RS et d’un Captur RS… Vivement la suite !
Quid d’une commercialisation en Europe ?
Comme vous l’aurez compris, malheureusement cette potentielle Sandero RS ne sera pas prévue pour chez nous en France, ni même en Europe. Toutefois, on peut toujours espérer qu’un jour une version plus épicée d’un des modèles Dacia fasse irruption sur le marché français…
Lancé depuis 2012, le Dacia Dokker a décidé de refaire parler de lui. Pour ses deux premières bougies, le ludospace à bas prix s’offre une série spéciale basée sur la finition haut de gamme Lauréate.
Plus d’équipements pour un prix encore plus intéressant
Le cousin du Renault Kangoo présente la série spéciale « Emblème ». Celle-ci ajoute, à l’intérieur, le système de navigation avec écran tactile, le régulateur limiteur de vitesse, une console centrale en noir brillant, une sellerie en tissus spécifique et des tapis de sol.
Les intéressés par un ludospace bien optionné et pas trop cher devraient être séduits
A l’extérieur, on retient des jantes alliage de 16 pouces, des vitres arrières surteintées et des barres de toit.
L’habitacle du Dokker est plus qualitatif avec cette série spéciale Emblème
Disponible avec le bloc essence TCe 115 pour 13 750 € ou avec le diesel dCi 90 contre 15 250 €, le prix est supérieur de 500 € à la finition Lauréate. Toutefois, le rapport prix/équipement est encore plus avantageux, car le GPS (250 €), le régulateur limiteur (150 €) et les barres de toit (90 €) atteignent 490 €. Les jantes alliage 16 pouces, les vitres teintées et la console en noir brillant sont donc cadeaux…
Quelques options…
Pour les plus exigeants, des équipements peuvent encore être ajoutés par le biais des options avec notamment la cartographie Europe (100 €), l’ESP (300 €), la peinture métallisée (480 €), l’aide au parking arrière (200 €), la roue de secours avec cric (120 €) et le filet de retenu des bagages (100 €).
Renault, avec Dacia, fait partie des rares constructeurs proposant une offre low-cost, et ce, avec un succès toujours grandissant. Pour autant, la marque roumaine ne se repose pas sur ses lauriers avec des ambitions toujours plus grandes. Dernière en date : vendre une voiture pour 5 000 € !
Une Dacia à 5 000 € pour la France… mais pas pour tout de suite
Ce projet, on en parle depuis 10 ans ! Pourtant, aujourd’hui Dacia prépare une petite citadine proposant le strict nécessaire pour un prix de vente défiant toute concurrence : 5 000 €. A ce tarif, il faudra bien évidemment ne pas s’attendre à une Renault Twingo simplement moins bien finie.
Voici la Dacia à 5 000 € réservée (dans un 1er temps) aux pays émergents tels que l’Inde. Elle y apparaîtra avec le logo Renault sur la calandre à la différence de chez nous (crédits : Antoine51)
En effet, pour baisser ses coûts, le spécialiste des modèles peu chers va utiliser une ancienne plateforme, celle de la Twingo 2. Moins aboutie, elle coûtera aussi moins chère qu’elle est déjà connue et amortie. En outre, les outils de production existent. Son usine de fabrication sera située là où la main-d’œuvre est la moins onéreuse, soit sans doute au Maroc. Son gabarit réduit la portera autour des 3,50 m et quatre personnes pourront prendre place à bord.
Par ailleurs, les dernières gadgets technologiques (GPS, écran tactile, Bluetooth, commande vocale, …) seront, au mieux, disponibles en option pour certains. Des accessoires inutiles pour une citadine comme le régulateur de vitesse ne seront pas proposés. Tout comme la Logan à sa sortie, les boucliers de carrosserie seront en plastique brut, la couleur de carrosserie apparente dans l’habitacle, les roues des jantes en tôle de 14 ou 15 pouces, les freins arrière à tambour, les rétroviseurs manuels, la climatisation en option et les rangements intérieurs non recouverts en plus d’être réduit en nombre. Il se pourrait même que la télécommande d’ouverture centralisée soit absente sur la clef…
La priorité de Dacia est d’envahir les marchés émergents – et particulièrement l’Inde – avec son auto, avant de signer des bons de commandes en France, car c’est dans ces pays que les plus gros volumes et parts de marché sont à prendre. Et le problème, c’est que si proposer une Dacia à 5 000 € aux indiens est possible, c’est une autre paire de manche pour le marché hexagonal et européens très exigeants sur la sécurité et les émissions polluantes des moteurs.
Des contraintes qui se répercutent sur le prix de vente. L’ABS, l’ESP, des airbags et la norme Euro VI sont notamment au programme. Une équation qui semble difficile à résoudre pour garder un prix attractif.
Plus chère et mieux équipée d’ici 2016 ou 2017 ?
Alors que la mini-citadine Dacia à 5 000 € est attendue pour les alentours de 2015 dans les pays en développement, la France pourrait en profiter d’ici 2016 ou 2017 dans une formule revue et corrigée intégrant notamment les normes de sécurité et de pollution. Les moteurs seront des trois-cylindres essence uniquement et d’origine Renault. Ils ne dépasseront pas les 70 ch.
Mieux présentée, la version française soignera davantage son look en finition haute, mais sera vendue 1 000 ou 2 000 € plus chère pour le prix de base…
Il se pourrait également que Dacia joue la carte de la séduction – pas trop tout de même, il ne s’agit pas de cannibaliser l’entrée de gamme de la nouvelle Twingo – avec une présentation plus avenante que ce que nous avait habitué le constructeur. Une voie que la Duster restylé (voir notre essai) semble avoir ouverte…
Véritable succès dans les crossovers, le Dacia Duster reçoit un restylage à mi-carrière tout en baissant ses tarifs !
Sorti en 2010, ce baroudeur a tout de suite connu un succès au-dessus des attentes de la marque roumaine.
Après 3 années de bons et loyaux services, ce Duster évolue esthétiquement mais aussi sur la partie moteur avec l’ajout d’un nouveau bloc essence.
Deux moteurs diesel (90 et 110 ch) et deux moteurs essence (105 et 125 ch) sont à disposition ainsi que quatre finitions (Duster, Ambiance, Lauréate et Prestige).
Voici le Dacia Duster restylé en finition Prestige (le plus haut niveau de finition)
Nous avons pu essayer sur les routes du sud le 1.5 dCi de 110 ch et le 1.2 TCe de 125 ch dans leur finition haut de gamme (Prestige).
Après restylage : quelles évolutions ?
Extérieurement, les changements principaux sont situés à l’avant avec une toute nouvelle calandre et l’ajout de nouveaux phares. Ces modifications lui donnent un nouveau regard beaucoup plus accrocheur que sur la première version. Mis à part cela, on peut ajouter des barres de toit couleur aluminium avec l’inscription « Duster » (de série sur la finition Prestige).
Sur cette vue rapprochée, on peut voir la calandre retouchée pour le lifting. Elle devient plus classieuse et les optiques de phares gagnent un dessin interne plus moderne
Pour la partie arrière, aucun changement visible malheureusement
Les dimensions extérieures sont identiques, soit 4,32 mètres de longueur pour 2 mètres de large.
Concernant les motorisations, les deux diesels (90 et 110 ch) et le bloc essence/GPL de 105 ch sont reconduits. A cela s’ajoute le nouveau moteur essence 1.2 TCe de 125 ch disponible dès le deuxième niveau de finition.
Qualité intérieure en progrès
A son bord, la nouvelle planche de bord devient plus fonctionnelle avec l’apparition de deux vide-poches.
Malheureusement, la finition intérieure reste de piètre qualité. Les plastiques bas de gamme sont trop présents dans l’habitacle et on prend un léger coup de vieux à son volant.
Bon point, les commandes de vitres qui étaient auparavant sur la console centrale passent sur les portes, un lieu plus approprié pour leur manipulation.
Côté conducteur, on est bien assis dans un siège qui procure un confort satisfaisant. Le volant n’est pas réglable en profondeur, il faudra donc « jouer » avec le réglage du siège pour trouver une position optimale.
La présentation intérieure, et notamment la planche de bord, devient plus agréable malgré tout avec ce restylage
Dans notre finition Prestige, ce Duster n’est pas avare en équipements. Grand écran tactile de 7 pouces incluant la navigation GPS et les autres menus (radio, prise USB, téléphone, Bluetooth, …), climatisation, volant cuir, régulateur/limiteur de vitesse ainsi qu’un radar de recul ! Imbattable !
A cela s’ajoutent deux airbags latéraux supplémentaires et un ESP devenu obligatoire sur tous les modèles, rassurant en terme de sécurité.
Pour tout ce qui est des autres équipements en option, ils sont à un prix modique, 200 € pour des sièges chauffants par exemple.
Dimensions intérieures inchangées
Les cotes intérieures restent les mêmes après ce restylage. A l’arrière, les nouveaux sièges donnent un surplus de confort.
Les 1,70 mètre de haut du Duster ne gênent pas les passagers de grande taille qui ne sont pas à l’étroit et l’espace aux jambes s’avère dans la moyenne.
Cependant, la largeur à l’arrière est insuffisante pour 3 passagers qui se sentent un peu serrés.
Les vitres arrière surteintées de série sur notre modèle ne nous ont pas déplu avec le soleil présent lors de l’essai.
Il a du volume ce coffre par rapport à la concurrence !
Le coffre de 475 dm3 spacieux et pratique se place bien par rapport à ses concurrentes sur le marché des 4×4. A titre de comparaison, un Nissan Qashqai sensiblement du même gabarit offre un coffre de 450 dm3.
La modularité peu évoluée de la banquette empêche d’obtenir un plancher plat. En effet, les dossiers se rabattent partiellement et restent donc apparents.
Châssis rassurant
Malgré la hauteur de caisse, ce Dacia Duster réagit bien dans les virages, bien aidé par l’ESP désormais de série. Sa tenue de route nous montre qu’il a été étudié plus pour la route que pour un usage tout-terrain.
Les suspensions filtrent très bien les imperfections de la route. Quant aux mouvements de caisse, ils restent faibles.
A l’usage, les sièges apportent peu de maintien dans les virages et cela devient vite fatigant, plus particulièrement lors de notre essai sur routes sinueuses. L’écran tactile situé trop bas oblige le conducteur à quitter la route des yeux, gênant lors d’une navigation GPS…
De la boue, des ornières et des gués ? Même pas peur pour le Duster !
Toujours équipé de tambours à l’arrière pour des raisons de coût, on pourrait croire que le freinage n’est pas performant. Effectivement, il n’est pas excellent, mais son poids mesuré (environ 1 200 kg selon les versions) lui permet d’effectuer des freinages corrects et n’a donc pas à rougir de ses concurrentes équipées de disques avant/arrière.
On aurait juste préféré une meilleure accroche sur les freinages d’urgence.
Il est à son aise sur tous les terrains
En ville, la direction est lourde et demande un peu d’effort lors des manœuvres, mais reste agréable à allure plus élevée.
Deux motorisations nous étaient proposées à l’essai, le diesel de 110 ch et le bloc essence de 125 ch dans la configuration 4×2 (deux roues motrices). Pour obtenir la version 4×4, il faudra débourser 2 000 € supplémentaires (le dCi 110 ch est le seule à pouvoir en profiter).
Notre mazout de 110 ch équipé d’une boite à 6 rapports suffit au quotidien. Son couple maximum, disponible tôt dès 1 700 tr/min jusqu’à 2 500 tr/min, ainsi que sa légèreté lui permettent d’effectuer des relances satisfaisantes.
Son moteur reste bruyant et se fait sentir dans l’habitacle, dont l’insonorisation progresse, mais n’est pas encore parfaite.
Quant à la version essence de 125 ch équipée d’un turbo, elle nous a surpris par son couple important disponible très tôt (2 000 tr/min). Ses relances vives permettent au conducteur d’effectuer des dépassements en toute sécurité sans pour autant changer de rapport sur une boite 6 vitesses efficace.
Moins bruyant que le diesel, ce bloc essence se fait oublier plus facilement en écoutant la radio qui reste simple d’utilisation.
Par ailleurs, Dacia n’envisage pas l’arrivée de moteurs plus puissants à ce jour.
Concernant le bonus/malus, les deux moteurs essence subiront un malus de 500 € et les diesel resteront en zone neutre grâce à une réduction des émissions de CO2 suite à ce restylage.
Type de moteur
Moteur
Finition
Prix
essence
1.6 105 ch GPL 4X2
Duster
11 900 €
Ambiance
13 000 €
TCe 125 ch 4X2
Ambiance
14 500 €
Lauréate
15 600 €
Prestige
16 700 €
diesel
1.5 dCi 90 ch 4X2
Duster
13 400 €
Ambiance
14 500 €
Lauréate
15 600 €
1.5 dCi 110 ch 4×2
Ambiance
15 100 €
Lauréate
16 200 €
Prestige
17 300 €
1.5 dCi 110 ch 4×4
Ambiance
17 100 €
Lauréate
18 200 €
Prestige
19 300 €
Atelier franchissement
Après une journée au volant du Duster 4×2, nous avons pu découvrir sur un atelier franchissement les aptitudes tout-terrain du Duster 4×4.
La garde au sol permet d’envisager des franchissements loin d’être ridicules
Avec sa transmission intégrale (disponible sur le 1,5 l dCi 110 ch), le tout-terrain roumain ne se trouve que rarement en difficulté
Les sensations n’ont rien à voir avec un Duster deux roues motrices, on est même étonné par sa capacité à franchir des obstacles. Pente de 40 degrés, bosses le mettant sur 3 roues, aptitude sur sol glissant, traversée d’un gué avec 30cm d’eau, rien ne lui a résisté !
Une bonne expérience pour les personnes n’ayant jamais fait de 4×4 dans des conditions difficiles.
Un 4×4 intéressant
Soyons clairs, ce 4×4 n’est pas un franchisseur tel que serait une Jeep et ce n’est pas ce qu’on lui demande.
Ce que souhaite Dacia en commercialisant le Duster, c’est proposer un 4×4 polyvalent sur tous les terrains sans pour autant exceller dans un des domaines. Confortable, plutôt rassurant sur route, il est à l’aise sur les terrains accidentés, y compris en deux roues motrices. La marque roumaine a rempli ses objectifs !
Bien sûr, on ne peut pas oublier sa finition bas de gamme, sa mauvaise insonorisation ainsi que sa direction lourde à basse vitesse … mais à un tel prix plancher, peut-on espérer mieux ?
Considéré comme une alternative au crossover tel que le Nissan Qashqai 2, le Dacia Duster moins cher à l’achat, même dans sa finition la plus haut de gamme, peut s’avérer un bon choix.
Ce restylage l’a rajeuni intérieurement avec une finition en progrès, mais aussi extérieurement avec une gueule vraiment attachante !
Les modifications esthétiques se font rares à l’extérieur. Dacia a jugé que ce n’était pas une priorité.
Dacia se prendrait-il pour un constructeur haut de gamme ? D’habitude, ce sont les premium qui en font le moins possible lors des restylages de leurs modèles ! Ou alors au contraire, à véhicule low-cost, lifting low-cost ? Pas totalement.
Alors oui, à l’extérieur, la marque roumaine ne s’est pas foulée. Selon ses termes, les petites modifications apportées à l’engin renforceraient son côté baroudeur. Elles lui donneraient aussi un côté un peu plus chic, avec par exemple un nouvel habillage pour les optiques avant. La calandre adopte deux bandeaux chromés. C’est ce qui est le plus visible. Les plus observateurs remarqueront ailleurs les nouvelles barres de toit siglées Duster, la canule d’échappement chromée ou encore les jantes 16 pouces « Dark Metal » associées à des pneumatiques de type M+S.
Un œil exercé remarquera quand même le nouvel habillage des phares et de la calandre. Ce nouvel ensemble fait un peu monter en gamme le Duster.
Le plus intéressant est à bord
En réalité, les plus gros changements se trouvent à l’intérieur, avec une toute nouvelle planche de bord. Bonne surprise, celle-ci est inédite. La marque ne s’est pas contentée de reprendre celle de la nouvelle Sandero. Même si quand on y regarde de plus près, on se rend compte que quasiment toutes les commandes sont partagées avec d’autres Dacia et que la position des éléments est identique. Mais l’emballage est nouveau, avec une large console centrale encadrée par deux inserts verticaux, gage de robustesse.
C’est ici que le changement se remarque le plus, avec une nouvelle planche de bord, un peu plus valorisante visuellement. Niveau qualité, les plastiques restent durs. Mais à ce prix, c’est normal.
L’ergonomie progresse, avec par exemple l’arrivée (enfin) des commandes de vitres électriques dans les portières. Autre petit progrès, l’ordinateur de bord affiche la température extérieure. Pour plus de confort, Dacia a redessiné les sièges avant et les dossiers de la banquette ont été renforcés. Un nouveau cache-bagages prend place dans le coffre.
Nouveau moteur essence
Sous le capot, preuve que Dacia n’est pas le parent pauvre du groupe Renault, on trouve un inédit TCe de 125 chevaux (boîte manuelle 6 rapports), en complément du 1.6 de 105 ch compatible GPL. Curieusement, le 0.9 TCe de 90 ch est absent. Pas de changement côté diesel, avec les connus et fiables 1.5 dCi de 90 et 110 ch. Seul ce dernier est proposé avec la transmission intégrale, facturée 2000 euros.
Le « nouveau » Duster se reconnait sous cet angle à ses feux rhabillés et sa canule chromée. Les jantes de ce haut de gamme sont nouvelles, avec des pneus neige/boue.
On ne connait pas la date précise d’arrivée de l’auto dans les concessions. Cela devrait se faire avant la fin de l’automne. Dacia vient tout de même de dévoiler la nouvelle gamme de l’auto. Les commandes seront ouvertes le 8 octobre.
Enfin les équipements modernes
Avec la marque roumaine, on n’est jamais déçu. Et si les prix étaient canons, ils le sont encore plus car, surprise, ils sont en légère baisse à dotation équivalente. Car si certaines versions perdent un ou deux équipements, l’ESP est proposé de série sur toute la gamme (300 euros auparavant).
La version de base, sans changer de prix, gagne aussi des airbags latéraux, qui demandaient avant 500 euros de rajout. Bon, côté confort, c’est toujours vide, direction assistée mise à part.
Le niveau supérieur, Ambiance, rajoute la condamnation centralisée des portes, la banquette 1/3-2/3, les vitres avant électriques ou encore la radio CD avec prise jack et USB. Le prix de cette version baisse de 300 euros en moyenne… mais les antibrouillards et les jantes acier 16 pouces disparaissent. On les retrouve au niveau supérieur Lauréate qui ajoute aussi la climatisation manuelle, l’ordinateur de bord et les rétros électriques.
La transmission intégrale sera réservée au bloc dCi 110 ch. Elle coûte 2000 euros.
La version haut de gamme Prestige est celle qui fait l’objet du plus de changements. A prix équivalent, si elle perd la peinture métallisée, elle propose maintenant de série l’aide au parking arrière, le système de navigation Média Nav avec écran tactile et le régulateur de vitesse. Le Duster se met donc enfin à la page niveau équipements.
Et clairement, c’est cela qui intéresse plus les acheteurs qu’un nouveau bouclier avant. Pas radin Dacia, juste malin !
Après les rumeurs d’une sportive chez Dacia, voici une autre information qui agite la toile : un modèle électrique chez le constructeur roumain et c’est de Carlos Ghosn en personne que provient l’information !
Une Dacia Sandero modifiée pour être électrique
Fort de ses 100 000 ventes de voitures électriques avec la Nissan Leaf et la Renault Zoé notamment, l’alliance Renault-Nissan revendique le « titre » de premier constructeur mondial de VE, mais il ne compte en rester là.
En effet, c’est en marge du salon de Francfort 2013 que le PDG de l’alliance a déclaré au site Auto Express qu’un véhicule 100 % électrique fera son apparition chez la marque à bas prix. Ses propos sont les suivants : « Lorsque la demande sera présente, nous serons là (…) rien n’interdira à Dacia de produire une voiture électrique. Croyez-moi, nous (les constructeurs, NDLR) y viendrons tous. Vous ne pouvez pas prospérer dans cette industrie automobile sans véhicule électrique et sans hybride rechargeable ».
Ce n’est encore qu’un concept qui participe à un rallye « vert », mais peut-être que dans les années futures… Il faut dire qu’un prototype d’une Sandero hybride (baptisée Hamster) avait été surpris en 2010 !
Inutile de dire que suite à ces phrases les réactions n’ont pas tardé à fuser ! Proposer un VE low-cost ? Impossible aujourd’hui ! Décidément, si Dacia réussissait ce pari, ce serait peut-être le retour du phénomène Logan qui, rappelons-le, demandait plusieurs mois d’attente avant d’être livrée à cause de son énorme succès !
Après la Logan et la Sandero, c’est le Duster qui va passer chez les designers de la marque pour un restylage (comme nous vous l’avions annoncé à la fin de l’année dernière). Si pour le moment le 4×4 roumain laisse peu d’éléments visibles, les paparazzis automobile ont quand même réussi à dénicher quelques évolutions intéressantes…
Solidement camouflée, la face avant, qui recevra l’essentielle des modifications, devrait se doter de phares au dessin plus modernes ainsi que d’une calandre redessinée
De profil, la recette devrait être la même comme en témoigne l’absence de camouflages
Pour la partie arrière, les évolutions du Duster 2013 devraient se limiter à une mise à jour des feux
Pour l’habitacle, comme on peut le voir ci-dessus, de gros progrès seront faits en matière de style et de qualité perçue. L’insonorisation et la résistance au crash-test devraient être améliorés
Un Dacia Duster phase II que l’on devrait découvrir en chair et en os au salon de Francfort au mois de septembre prochain… si d’autres fuites n’ont pas lieu d’ici-là !
Pour en savoir plus sur les évolutions moteur, c’est par ici.
Depuis la suppression du bonus écologique d’Etat d’un montant de 2 000 € pour les véhicules fonctionnant au GPL, ce type de carburation a été presque oublié sur le marché français, les ventes n’en disent pas le contraire… Dacia, qui a écoulé plus de la moitié des voitures GPL l’an passé, enfonce le clou en proposant pour la première fois le Duster GPL.
Avec son Duster GPL, Dacia offre la version GPL pour moins chère que l’essence (malus pris en compte)
Associée au moteur essence 1,6 litre 105 ch, cette bicarburation permet à la marque de passer les rejets de CO2 de son 4×4 (ici, en deux roues motrices) de 167 à 146 grammes, de quoi échapper au nouveau gros malus de 1 500 € dont écopait cette version. Il ne sera plus « que » de 400 € avec des pleins autours de 30 €, car le Gaz de Pétrole Liquéfié est vendu aux alentours de 1 € le litre dans les stations-service qui veulent bien en proposer.
Quant à la consommation, elle passe de 7,2 à 9,2 l/100 km en mixte. Le tout pour un tarif qui reste identique :
Type de moteur
Moteur
Puissance
Finition
Tarifs
essence + GPL
1,6 l 16V
105 ch
Ambiance
13 350 €
Lauréate
14 350 €
Le kit GPL monté directement en usine sur la chaîne de production, avec son réservoir de 34 litres situé sous le coffre en remplacement de la roue de secours (un kit anti-crevaison vient substitution), permet de parcourir 1 000 kilomètres en additionnant le réservoir d’essence !
La garantie constructeur, quant à elle, demeure de 3 ans ou 100 000 km.
Après les Logan et Sandero, le Duster commercialisé depuis 2010 – dont le succès ne commence qu’à ralentir ces derniers mois (- 13,4 % depuis début 2012 par rapport à 2011) – va également recevoir quelques retouches.
Dacia uniformise progressivement les faces avant de ses autos, dont le Duster prochainement, afin de compresser autant que possible ses coûts de production
Elles auront lieu comme on peut s’en douter sur la carrosserie avec l’arrivée de la nouvelle calandre Dacia qui est commune à l’ensemble des modèles de la marque. On espère aussi un rafraichissement de la partie arrière qui commence à accuser légèrement le coup des années.
Toutefois, ces modifications ne se limiteront pas à l’esthétique, puisque que du côté des motorisations les évolutions seront présentes. Il s’agira sans doute d’un nouveau bloc essence : le 1,2 l turbo TCe développant 115 ch. Les moteurs diesel (1,5 l dCi 90 et 110 ch) devront, quant à eux, subir simplement quelques améliorations afin de rester dans le coup et réduire leurs émissions de dioxyde de carbone.
Difficile à suivre ! Telle est l’actualité récente du constructeur Dacia qui n’arrête pas de présenter des nouveautés ces derniers temps. Après le Lodgy, le Dokker, les nouvelles Logan et Sandero, voici le Dokker version Stepway !
Les artifices façon « 4×4 » donnent un look sympathique au Dokker et sa garde au sol plus importante lui permettra de crapahuter sur les chemins de terre
C’est à l’occasion du salon de l’auto d’Istanbul, en Turquie, que la marque d’origine roumaine a mis le jour sur la version « baroudeur » de son Dokker alors que rien n’avait encore filtré à ce sujet.
L’inscription « Stepway » sur la portière devrait disparaître pour la version de série
On apprend que hormis les modifications esthétiques habituelles aux finitions Stepway (bas de caisse bruts, panneaux de carrosserie en plastique, pare-chocs style alu, barres de toit, …), l’auto est également surélevée de quelques millimètres et qu’elle gagne des jantes en aluminium d’une taille de 16 pouces.
Le Dacia Dokker Stepway, un concurrente pour les Peugeot Outdoor et Citroën XTR 5 à 6 000 € plus chers ?
Du côté de l’offre moteur, ce sont les blocs déjà utilisés pour la Sandero Stepway Combi I qui devraient être utilisés, c’est-à-dire l’essence L3 0,9 L TCe de 90 ch (ou alors le 1,6 l MPI 85 ch ?) et le diesel L4 1,5 L dCi de la même puissance.
Premier aperçu de la planche de bord de la version Stepway du Dokker qui s’inspire beaucoup de sa grande soeur la Sandero Stepway. Le combispace profite donc des équipements haut de gamme et pour certains spécifiques de la marque tels qu’un GPS tactile, la climatisation, garniture du volant en cuir, …
Le prix reste quant à lui inconnu, mais d’après les habitudes de Dacia, il faut tabler pour la finition Stepway Ambiance sur un prix aux alentours de 12 000 € pour le sans plomb et de 14 200 € pour le mazout. Pour la finition Stepway Prestige, il faut compter environ 1 000 € supplémentaires en plus du tarif de la finition précédemment citée.
A découvrir en concession pour 2013 si sa sortie sur le marché automobile français est confirmée.
La Logan. C’est avec ce modèle que l’histoire de Dacia a commencé sur le marché français et se poursuit encore aujourd’hui. Comme sa sœur la Sandero, la Logan aura le droit à une cure de jeunesse pour 2013. Voici en détails les modifications apportées par la marque low-cost sur son auto qui a fait tant couler d’encre à sa sortie.
Avec un style plus imposant, la Dacia Logan II ferait penser, en terme d’esthétique, aux productions de Volkswagen selon certains…
C’est sous cet angle que la Logan diffère le moins de sa devancière
Les intéressés peuvent être rassurés : la Logan conserve sa garantie de 3 ans ou 100 000 km
Au chapitre des motorisations, on retrouve les même blocs vus chez la Sandero 2013, c’est-à-dire deux essence, un GPL et deux diesel qui sont :
Type de moteur
Moteur
Puissance
essence
L4 1,2 L 16V
75 ch
L3 0,9 L TCe
90 ch
GPL
L4 1,2 L 16V
75 ch
diesel
L4 1,5 L dCi
75 ch
L4 1,5 L dCi
90 ch
Reste maintenant à avoir si le prix de la Logan 2013 va augmenter ? Il reste aujourd’hui inconnu, mais l’on sait que par le passé la différence se situait entre 200 et 300 € en faveur de la Logan par rapport à la Sandero.
L’intérieur de berline à bas prix progresse et reprend des éléments au récent Dokker. Les équipements sont également à la hausse avec un GPS tactile notamment
On peut donc prévoir les tarifs et finitions suivants qui sont donc stables :
Moteur/Finition
Logan
Ambiance
Lauréate
1,2 16v 75
7 700 €
8 600 €
9 700 €
1,2 16v 75 GPL
8 400 €
9 300 €
10 400 €
TCe 90
9 700 €
10 800 €
dCi 75
10 700 €
11 800 €
dCi 90
12 400 €
Il est à noter que la Dacia Logan MCV a été retirée du catalogue pour laisser place au Lodgy.
Déjà dotée à son lancement d’un physique bien plus avantageux que celui de la Logan, la Sandero évolue encore (après seulement 4 ans de production !) avec un design revu en profondeur. D’apparence bien plus robuste, la Sandero II semble une réussite en tous points pour la marque Dacia.
Plus affirmée, la Dacia Sandero présentée au salon de l’auto 2012 monte d’un cran
Avec un prix toujours agressif et de nouveaux équipements, la Sandero 2013 va une nouvelle fois faire « mouche »
Les essais détermineront si la plateforme « B0 » qui a été améliorée pour l’occasion tient ses promesses
Au chapitre des motorisations l’offre est relativement simple. Elle est composée de cinq blocs dont deux en essence (dont un trois-cylindres TCe), un en GPL et deux en diesel comme suit :
Type de moteur
Moteur
Puissance
Consommation
Rejets
essence
L4 1,2 L 16V
75 ch
5,9 l/100 km
135 g de CO2/km
L3 0,9 L TCe
90 ch
5,2 l/100 km
120 g de CO2/km
GPL
L4 1,2 L 16V
75 ch
diesel
L4 1,5 L dCi
75 ch
3,8 l/100 km
99 g de CO2/km
L4 1,5 L dCi
90 ch
3,8 l/100 km
99 g de CO2/km
En plus de cet esthétique plébiscité et une gamme moteur établie, la compacte roumaine a-t-elle gardé son principal atout, le prix ?
Dotée d’une planche de bord plus valorisante, la nouvelle Dacia affiche une qualité perçue en hausse
Alors que les équipements de série progressent, que le catalogue des options s’apparente de moins en moins à du low-cost, les tarifs de la nouvelle Sandero restent aussi attractifs, si ce n’est pas plus. Les voici en détails par finitions et moteurs :
Lancée en 2007, la Dacia Sandero est apparue comme un modèle low-cost « confirmé ». Il ne s’agissait plus d’une Logan au design et aux prestations les plus réduites. Avec cette auto, le constructeur roumain annonçait qu’il voulait faire évoluer le segment des voitures à bas prix vers un meilleur agrément tout en gardant un prix très compétitif. La Sandero 2 qui sera dévoilée au Mondial 2012 pour une date de sortie en 2013, continuera sur cette voie :
La partie avant se voudra une nouvelle fois plus moderne. La Dacia Sandero 2013 reprendra les traits Lodgy avec la calandre et les phares notamment. Les flancs de la voiture resteront quasiment inchangés. On pourrait presque parler d’un gros restylage
La poupe se veut plus travaillée avec des feux stop plus fins et dessinés en hauteur. Comme pour sa devancière, la Sandero sera proposée dans une version préparée tout-chemin appelée « Stepway »
Voici bien la preuve que la marque appartenant au groupe Renault est très active, cela fait que cinq ans que sa citadine est sur le marché. On aurait pu croire que la stratégie aurait été de la faire durer sans trop y apporter d’évolutions.
Avec la présentation de son monospace Lodgy, Dacia avait quelque peu surpris. On ne s’attendait pas à un modèle aussi abouti et ayant si peu l’allure d’une voiture low-cost. Les premières images officielles du Dokker nous dévoilent un ludospace semblable au Kangoo et décliné en deux versions : une pour les particuliers et une pour les professionnels.
Impossible de ne pas reconnaître le Lodgy à travers le Dokker qui partage de nombreux éléments de carrosserie tels que le capot, les ailes et les phares
C'est sous cet angle, qu'on reconnait ici un sérieux concurrent pour les Kangoo, Berlingo et Doblo. Il va sans dire que le prix est un facteur important sur ce segment
La partie arrière n'est pas des plus esthétiques, mais on se réjouira de la modularité de la banquette permettant d'offrir un coffre d'un capacité allant jusqu'à 800 litres
Bien qu'ayant une forme différente à l'extérieur, le ludospace roumain garde à l'identique la planche de bord inaugurée par le Lodgy. Le GPS MédiaNav avec son écran de sept pouces, la climatisation, le limiteur de vitesse, ... sont donc toujours au programme
Le Dokker paré pour servir le monde professionnel. Son prix, très certainement agressif, sera un argument de poids
L'habitacle du Dokker permettra le transport de nombreux objets
Il à noter que la production a lieu au Maroc et que la commercialisation a déjà débuté à cet endroit. En Europe, le lancement du Dokker se fera à la rentrée 2012.
Dacia a fait très forte impression en dévoilant le tarif de base du Lodgy ces derniers jours, mais qu’en est-il des moteurs du équiperont le monospace ? A en croire la palette des motorisations, on ne change pas une équipe qui gagne avec des moteurs en provenance de la marque au losange.
Le Lodgy est-il prêt à prendre la route ?
Compteurs sobres et lisibles pour le nouveau monospace Dacia
A bord du Dacia Lodgy 2012, les enfants (et les parents) profiteront d'une habilité généreuse
La palette des motorisations du Lodgy
C’est donc Renault qui placera ses blocs sous le capot du Lodgy. L’offre moteur sera également répartie entre l’essence et le diesel.
Type de moteur
Moteur
Puissance
essence
1,6 l MPI
85 ch
1,2 l TCE
115 ch
diesel
1,5 l dCi
90 ch
1,5 l dCi
110 ch
Voici un des facteurs qui a permis à Dacia de proposer le Lodgy à un prix d’entrée si peu cher : le 1,6 MPI 85. Ce petit moteur essence aura sans doute du mal lors de grosses charges avec un peu dénivelée, mais le pari de proposer un monospace low-cost en-dessous de 10 000 € est tenu !
Attendu pour un prix supérieur à 10 000 € (les différentes estimations tournaient aux alentours de 13 000 €), le monospace roumain crée la surprise avec un tarif de base à seulement quatre chiffres ! Autant dire que la concurrence tels que les Peugeot Partner, Volkswagen Caddy, Renault Scenic et autres se trouvent plutôt inquiets et on les comprend !
Prix du Lodgy : 9 990 €
Le monospace roumain frappe très fort : un monovolume neuf pour seulement 9 990 €, personne n’osait y penser ! Le constructeur rapproche donc encore une fois les petits budgets du neuf au détriment du marché de l’occasion.
Le Lodgy ne profite pas d'une grande élégance mais c'est aussi pour lui laisser la possibilité de s'améliorer lors de son restylage à mi-carrière
9 990 € pour un monospace comparable à un Renault Scenic en terme de gabarit... sans aucun doute Dacia a visé juste !
Il est à noter que pour ce prix on dispose d’une habilité record avec une voiture offrant sept places et mesurant 4,5 mètres de long pour 1,75 mètre de large avec un toit culminant à 1,68 mètre.
Le volume de coffre conséquent saura rendre service dans bien des situations. Espérons que la modularité soit à la hauteur
Du côté du volume de chargement, le Lodgy propose 207 litres avec les sept sièges, 827 litres en version cinq places et… 2 617 litres si uniquement les deux assises avant sont relevées. Autant dire qu’en cas de déménagement le Lodgy sera redoutable !
Un équipement jamais vu sur une Dacia
Tenez vous bien, la marque propose pour son véhicule un système Bluetooth, une navigation par satellite avec un système d’info-divertissement tactile, couleur et affichant un GPS avec vue 3D en option pour… 450 euros ! Même les options sont à prix discount ! Et puis c’est sans compter sur les prises Jack et USB pour une connectivité réussie.
Le Lodgy est une familiale qui soigne ses occupants avec un GPS et d'autres options abordables jusque-là inexistantes sur une Dacia
Toujours standard, ce modèle gagne tout de même en pédigrée comme c'est la tendance générale chez la marque roumaine
Par ailleurs, le client pourra également ajouter le radar de parking arrière et le limiteur de vitesse.
Décidément, acheter une Dacia n’a jamais était un aussi bon choix en terme d’équipement/prix !
Même si deux images officielles du monospace Lodgy ont été lâchées par Dacia, toute la partie intérieure de la voiture reste inconnue ! Du coup, les amateurs de la marque sont à l’affût du Lodgy pour essayer de le surprendre sous de nouveaux angles, de le photographier, de découvrir l’habitacle et même de le filmer !
Première photo volée de l’intérieur du Lodgy
L'habitacle du Dacia Lodgy présente bien et devient peut-être même le plus soigné de la gamme. Le constructeur ne dément pas la montée en gamme que certains lui reproche
Il s’agit d’un membre du forum Worldscoop qui a eu la chance d’arriver au bon moment afin de prendre la planche de bord du Lodgy. On y découvre donc le volant, la console centrale, un petit bout des compteurs de vitesse (chromés sur cette version), les aérateurs, … L’ensemble paraît moderne, sobre et discret. Les possesseurs du Duster ou Sandero reconnaîtront le poste radio déjà présent sur ces modèles.
Plus d’informations et de clichés devraient filtrer par la suite…
Le Dacia Lodgy en vidéo
Le monospace Dacia a également été surpris en cavale ! Cette vidéo montre le Lodgy en action de l’arrière, de devant et de côté. De quoi se faire une idée plus précise de l’allure de la voiture :
Les constructeurs automobiles rivalisent d’ingéniosité pour décliner le plus possible leurs modèles afin de répondre à une demande de plus en plus variée et exigeante. Un Lodgy surélevé avec une robe de baroudeur, et pourquoi pas ? Après tout, Dacia commercialise déjà la Sandero Stepway !
Première photo du Lodgy 4×4
Voici un photomontage imaginant ce à quoi pourrait ressembler le futur Dacia Lodgy Stepway ou 4×4 :
Très sympathique visuellement parlant, ce Dacia Lodgy Stepway pourrait faire un malheur tellement ses atouts son nombreux. Si sa production venait a être annoncée, il serait fort probable qu'il soit épaulé du diesel 1,5 l DCi 110 ch
On peut ainsi remarquer l’apparition de protections pour les bas de caisse et d’un parechoc avant bicolore. Les coques des rétroviseurs et les poignées de porte en reprennent le coloris gris. Et, équipement immanquable, la galerie de toit avec les fixations pour le transport de deux planches de surf !
Autant dire qu’avec ce look, il est sûr que le Lodgy 4×4 trouvera ses clients sans difficulté tellement c’est le type de véhicule recherché pour cet usage. Néanmoins, la question d’une transmission intégrale reste encore entière. Les Peugeot Partner et Citroën Berlingo auraient du souci à se faire ?
Le monospace Dacia Lodgy pourra être vu au mois de mars prochain lors du salon de Genève !
Long de 4,5 mètres, le monospace roumain pourra être acheté dans une version disposant de cinq ou sept places vraies places. Le but avec ce modèle est de séduire les familles à la recherche d’une voiture pratique et sans fioriture. Le prix du Lodgy sera réduit et selon la marque il se comparerait au prix d’un monospace d’occasion. Le même discours avait été employé lors de la sortie de la Logan.
Sous cet angle, le Dacia Lodgy 2012 a une certaine ressemblance avec le Renault Scenic (sur lequel repose sa base technique) et plus particulièrement en ce qui concerne son profil
Cependant, comme cela s’est vu avec la Sandero puis le Duster, les modèles Dacia montent tout doucement en gamme. Par conséquent, il faudra s’attendre à un Lodgy un peu moins low-cost que le reste de la gamme.
Par ailleurs, il devrait y avoir deux moteurs diesel et un bloc essence au lancement. D’autres moteurs plus puissants avec des finitions plus huppées viendront étoffer l’offre par la suite.
Dacia aime bien ce genre de teasing qui est de présenter un futur modèle via une préparation pour le trophée Andros. Cela avait été le cas pour le Duster, rebelote avec le futur monospace de la marque ! Ainsi, celui que l’on nommait « Popster » s’appellera « Lodgy » (attention, pas « Logy »). Voici quelques précisions sur cette voiture familiale et spacieuse low-cost qui agite les passions.
Sera-t-il un Scenic killer ?
Beaucoup de personnes reprochent au monospace Dacia Lodgy d’être le prochain assassin de Renault (comme cela avait été le cas pour la Logan) et plus particulièrement du Scenic. Avec un prix de 13 000 €, le monospace Dacia visera-t-il la même clientèle ? Probablement non.
Cela étant, on peut déjà se faire une idée du style de la voiture. Il s’agit d’une préparation pour la course pour Alain et Nicolas Prost.
Le Dacia Lodgy est équipé d'un kit car avec châssis tubulaire épaulé d'un moteur V6 VQ30. Ce dernier est positionné à l'arrière et développe 355 chevaux pour 360 Newton-mètres de couple
La poupe du Dacia Lodgy qui sera présent au Trophée Andros 2012
Un monospace pour la course ? Dacia l'a fait !
En enlevant les passages de roues surdimensionnés, les pare-chocs prédominants et les ailes arrière élargies on obtiendra un Lodgy pas trop loin de sa version finale que l’on retrouvera lors de sa présentation l’année prochaine au salon de Genève.
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