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Le plus imposant des SUV de la marque à l’étoile a été photographié par nos carparazzi durant une session de test hivernale. En dehors de son nouveau patronyme, il nous montre quelques changements cosmétiques.
Vous le savez désormais, Mercedes a décidé d‘homogénéiser le nom de ses SUV depuis le GLA. Ils s’appelleront tous GL suivi de la désinence qui correspond à leur classe. On devrait donc retrouver d’ici les prochaines années les GLA, GLC (ex-GLK), GLE (ex-ML) et GLS (ex-GL). C’est ce dernier qui nous intéresse aujourd’hui.
Le peu de camouflage dont disposait le prototype photographié prouve que les changements apportés à la carrosserie sont mineurs. L’avant semble être la partie la plus nouvelle, avec un pare-choc redessiné, des nouveaux phares et un capot revu.
A l’arrière, les feux devraient présenter un nouveau dessin bien que les blocs optiques conservent la même forme, le bouclier devrait évoluer lui aussi en douceur et enfin les deux sorties d’échappement passent d’une forme rectangulaire à une forme trapézoïdale.
Sous le capot, le GLS devrait se contenter des blocs déjà présents dans le GL, au moins dans un premier temps. Le 350 BlueTEC (V6, 258 ch) constitue l’unique offre diesel quand l’essence profite de trois versions : 400 (V6, 333 ch), 500 (V8, 435 ch) et enfin 63 AMG (V8 557 ch). Tous sont équipés de la boîte automatique 7G-TRONIC PLUS et de la transmission intégrale 4MATIC.
Toutefois, si de nouvelles motorisations sont introduites sur le GLE l’année prochaine, le GLS pourrait lui aussi en profiter, à terme.
Du moins… C’est ce qui est attendu de lui. En l’absence de photos, nous ne pouvons pas juger. Néanmoins, en changeant d’appellation, le SUV réaffirme un peu plus son appartenance au segment du luxe et se doit donc d’être à la page niveau confort des passagers et technologie embarquée. Nous pouvons avancer sans prendre trop de risques que le GLS embarquera une palanqué d’aides à la conduite et un système multimédia dernière génération, avec un écran plus grand que dans l’actuel GL.
La vraie surprise pourrait venir d’un GLS châssis long porteur du prestigieux logo Maybach. L’intérieur serait complètement revu (proche de ce qu’offre la Classe S) et personnalisable à l’envie. Le confort serait encore supérieur et le tarif sûrement élitiste. Rien n’est confirmé officiellement du côté de Stuttgart, mais les rumeurs vont bon train. Si Mercedes-Maybach GLS il y a, le constructeur allemand s’approcherait du segment des SUV ultra haut de gamme qui verra prochainement l’apparition d’un modèle Bentley, sans toutefois entrer en concurrence direct avec lui, faute d’exclusivité.
Le GLS sera présenté l’année prochaine, mais aucune date précise n’a déjà été communiquée.
Crédit photos : CarPix pour Abcmoteur
Produite depuis 2013, la sixième génération du roadster SL (R231) va prochainement connaître quelques évolutions. Ce sont nos chasseurs de scoops qui nous en informent après être tombés devant un modèle avec un regard assez inhabituel…
En observant la Mercedes SL sur les spyshots visibles ci-dessous, les amateurs de l’auto remarqueront immédiatement qu’elle ne porte pas ses optiques d’origine et qu’il s’agirait même de celles de la Classe S Coupé !
Ce mulet est sans doute l’un des tout premiers du futur SL restylé. Mercedes serait donc en train de tester la nouvelle identité stylistique inaugurée par la Classe S qui se retrouve même sur la Classe V !
Les rumeurs laissent penser que ce ne sera pas le seul changement. Le SL phase 2 gagnerait également une calandre, des boucliers avant et arrière, ainsi des sorties d’échappement retravaillés. De plus, les feux appartenant à la poupe devraient subir une légère cure d’amaigrissement.
Rien n’est encore connu pour la partie intérieure, mais là aussi la firme de Stuttgart mettra à jour la présentation, tout comme les équipements disponibles.
Au chapitre moteur, des nouveautés sont déjà parues cette année avec le SL 400 et un gain de puissance pour le SL 63 AMG.
Toutefois, il y a fort à parier qu’au mois de janvier prochain Mercedes dévoilera un SL AMG Sport, cette nouvelle version, présentée il y a peu de temps, est un peu moins sportive que les AMG classiques.
Pour le reste, il est estimé que la commercialisation du Mercedes SL se fera en 2016 ou au plus tard en 2017. Par conséquent, il y aura encore l’occasion – nous l’espérons – de croiser plusieurs prototypes plus avancés du roadster très haut de gamme de l’Etoile.
Crédit photos : CarPix pour Abcmoteur
La période de tranquillité pour le X6 est terminée. Sept ans après sa naissance et alors que sa deuxième génération vient d’arriver dans les concessions, le SUV coupé de BMW voit débarquer en cette fin d’année son premier vrai rival. Sans surprise, c’est un compatriote, venu de Stuttgart. Voilà qui promet un beau match en 2015 !
Sous cet angle, le GLE Coupé ne va pas plaire à tout le monde ! Il mesure 4,90 m de longueur et 2,00 m de largeur !
Petit rappel avant de commencer la présentation : d’où sort le nom « GLE » ? Mercedes a dévoilé il y a quelques jours son nouveau système d’appellations, qui apporte du changement surtout chez les SUV. Tous les 4×4 de la marque auront un nom qui commencera par le préfixe GL auquel on ajoutera la lettre de la berline classique correspondante chez Mercedes. Le GLE est ainsi la Classe E SUV. Plus simplement, c’est le nouveau nom du ML (qui changera de patronyme dans quelques mois lors de son restylage). Le GLE Coupé est donc la version sportive du ML de la même manière que le X6 est un X5 recarrossé.
Le GLE Coupé étant un rival du X6, il est logique que sa silhouette soit similaire. Pour certains, Mercedes est un copieur… mais dans une même catégorie, il est normal que les autos aient la même forme ! Quand BMW a lancé la Série 6 Gran Coupé bien après la CLS, quasiment personne n’a parlé de copie. Ici, on retrouve donc le toit plongeant, le vitrage latéral réduit, la lunette très inclinée et la poupe haut perchée. Chez Mercedes, la malle est plus proéminente. La partie arrière devrait faire débat… et on attendra de voir l’auto en réel pour donner un avis ! Ce modèle s’inspire de la Classe S Coupé, avec des feux horizontaux qui sont surlignés et reliés par une baguette chromée. La proue est typiquement Mercedes avec une large calandre verticale et des optiques aux formes galbées.
La planche de bord est celle du ML mais avec quelques modifications (qui seront reprises par le ML restylé/GLE). Changement le plus visible : l’écran entre les aérateurs centraux, qui adopte comme sur les autres Mercedes un aspect tablette. Il peut être commandé par un pavé tactile situé au dessus de la molette placée entre les sièges. Le volant est inédit. Selon Mercedes, l’espace à l’arrière est le plus généreux de la catégorie. Autrement dit, on serait plus à l’aise que dans un X6. Là aussi, c’est à vérifier en vrai, surtout au niveau de la garde au toit avec une chute de pavillon prononcée. Le coffre a un volume maximal de 1.650 litres.
Le GLE Coupé débute sa carrière avec trois moteurs V6 3.0 litres. Le modèle d’accès a un bloc diesel de 258 ch. Au-dessus, on a deux essence de 333 et 367 ch. Ce dernier correspond à la nouvelle finition AMG Sport, une sorte d’AMG « light », qui fait le lien entre les modèles normaux et les vraies sportives.
Tous les GLE Coupé sont dotés d’une boîte de vitesses automatique à 9 rapports et d’une transmission intégrale 4MATIC. En conditions de circulation classiques, elle répartit le couple à part égale entre les essieux, sauf sur l’AMG Sport, avec 60 % sur le train arrière. Cette version est dotée en série d’une suspension pneumatique et d’un système d’amortissement adaptatif variable en continu avec une fonction d’abaissement automatique à vitesses élevées. De série, le 450 AMG Sport a des jantes de 21 pouces ! On ose imaginer le budget pneumatique. Mais Mercedes est clair : si le GLE Coupé est un SUV qui mesure 4,90 mètres de longueur et 1,73 mètre de hauteur, il peut se conduire comme une sportive.
Le GLE Coupé devrait arriver dans les concessions Mercedes d’ici l’été 2015. Pour la France, la marque à l’étoile indique que la version de base sera dotée du hayon électrique, de la caméra de recul, du démarrage sans clé et du système d’alerte collision. Le prix de départ devrait avoisiner les 70.000 € !
Mercedes avait annoncé que le GLE (remplaçant du ML) aurait droit à une version coupé, pour contrer BMW et son X6. Le constructeur avait annoncé une version intermédiaire AMG Sport fin novembre, mais c’est bien la « vraie » déclinaison AMG que nos photographes espions ont surpris en pleine phase de tests hivernaux.
Vu de l’avant comme de l’arrière, le constat est sans appel : l’AMG GLE Coupé en impose ! Seul le profil paraît un peu moins fluide, la faute à une surface vitrée réduite. Le bouclier avant proéminent présente de larges entrées d’air très travaillées.
Le peu de camouflage permet de faire le rapprochement entre le GLE et la Classe E : la calandre semble par exemple parfaitement identique. L’arrière se donne également en spectacle pour notre plus grand plaisir. Les feux sont très inspirés du coupé sportif AMG GT et les sorties d’échappement encadrant le diffuseur sont quant à elle une évocation de la Classe C 63. La malle de coffre se dote d’un becquet.
Par rapport au BMW X6 M, son concurrent direct, l’AMG GLE Coupé est moins anguleux, mais il n’en reste pas moins trapu. Un sentiment renforcé par les ailes larges et les jantes imposantes.
Les rumeurs concernant la motorisation se contredisent. Certains parlent du V8 4.0 introduit sur l’AMG GT et disponible également sur la C 63, quand d’autres affirment que l’AMG GLE Coupé se contentera de l’ancien V8 5.5, encore présent sous les capots des Classe E, CLS, S, SL, ML, GL et G 63 AMG.
Dans tous les cas, il s’agira d’un V8 biturbo débordant de couple. Nous voilà rassurés ! Si aucune puissance n’a été annoncée pour le moment, on peut espérer qu’elle s’établira au moins à 550 chevaux sinon plus (l’actuel ML 63 en développe 525), histoire d’aller taquiner les 575 chevaux du X6 M.
Etant donné la vocation dynamique de l’engin, les suspensions devraient disposer d’un tarage plus agressif que sur le GLE et la transmission intégrale maison 4MATIC pourrait recevoir un réglage spécifique au bénéfice direct de l’agilité.
Le Mercedes GLE Coupé devrait être présenté au salon de l’automobile de Detroit en janvier prochain. Mercedes pourrait toutefois décider de garder la version AMG au chaud pour le salon de Genève, qui se déroulera au mois de mars.
Crédit photos : CarPix pour Abcmoteur
Nous vous en parlions dès le mois d’octobre sur Abcmoteur, la nouvelle classe E est en plein développement. Nos photographes espions ont eu l’opportunité de s’approcher de plus près du prototype et vous en dévoilent aujourd’hui l’intérieur.
La Classe E se situe entre la plus petite Classe C et l’imposante Classe S ? Qu’à cela ne tienne, Mercedes a donc décidé de s’inspirer des deux pour concevoir la nouvelle génération de Classe E (W213).
L’intérieur rappelle fortement celui de la S. La planche de bord reprend les aérateurs ronds et l’écran multimédia est intégré à la console centrale, à l’inverse de la Classe C et de son écran façon tablette. Par rapport à l’actuelle génération de la Classe E, on note que le prototype présente un nouveau volant ainsi qu’un combiné d’instrumentation repensé.
Il conserve toutefois des compteurs analogiques et fait l’impasse sur le large écran LCD de la Classe S, qui pourrait être proposé en option. Les commandes de climatisation évoluent vers plus de finesse et la présentation générale paraît plus sobre, plus chic que sur l’actuelle W212. L’horloge est toujours de la partie, mais a été déplacée sur le bas de la console centrale.
L’extérieur reste très lourdement camouflé, mais deux détails ont retenu notre attention. Les phares et les feux arrière se montrent enfin et semblent très proches de ceux de la Classe C dans leur dessin. Même constat pour la malle de coffre au design arrondi.
Les dessous de la E W213 sont les mêmes que ceux de la Classe C. Toutes deux reposent sur la plateforme modulable MRA (ce qui en fait des propulsions par défaut), mais la E présente un empattement allongé et des voies élargies pour garantir plus d’espace à bord.
Les autres bénéfices de cette architecture sont un net gain de poids et une rigidité accrue. Le client aura le choix entre plusieurs blocs diesel et essence, couplés ou non à la transmission intégrale 4MATIC. Les spéculations vont bon train, les rumeurs parlant même d’un éventuel 3-cylindres turbo en entrée de gamme. Ce qui est sûr, c’est qu’une variante AMG chapeautera la gamme, avec très probablement le même V8 4.0 biturbo que la C 63. L’actuelle E 63 AMG développant 525 chevaux, on peut s’attendre à ce que la puissance de la prochaine dépasse les 550 chevaux.
La Mercedes Classe E W213 sera présentée en 2016 et sera disponible en berline, break, coupé et cabriolet.
Crédit photos : CarPix pour Abcmoteur
Actuellement, chez Mercedes dès lors que l’on souhaite acquérir une sportive, il faut opter pour une AMG. La moins puissante affiche quand même 360 chevaux et correspond à la A 45 AMG vendue à partir de 52 600 €… Pour élargir sa clientèle, Mercedes va proposer un entre deux baptisé « AMG Sport ».
A l’image des S placées en-dessous des RS chez Audi, les AMG Sport seront l’avant-dernier niveau avant AMG chez Mercedes. Le but étant de rendre plus accessibles les modèles AMG et augmenter les volumes de ventes des versions hautes performances. Le constructeur allemand souhaite doubler d’ici 2017 le nombre d’unités écoulées chaque annuellement, soit passer de 40 000 à 80 000 AMG et AMG Sport par an !
Dans le détail, les AMG Sport bénéficieront de modifications portant à la fois sur le châssis et la mécanique en plus de traits esthétiques spécifiques. Les réglages et systèmes de freinage seraient repris aux « vraies » AMG, tout en modérant le coût total des modifications. La puissance des moteurs des AMG Sport – une majorité de quatre-cylindres à émissions de CO2 contenues laisse comprendre le communiqué ? – sera moindre par rapport aux AMG, mais on ne sait pas encore dans quelle proportion. Tout comme la question de la politique tarifaire demeure en suspend…
Néanmoins, Mercedes commence à en dire un peu plus sur sa future gamme AMG Sport. Et pour preuve, la marque a diffusé une image présentant un modèle que l’on ne présente plus qu’est la Classe C, mais aussi un « petit » nouveau…
Ce dernier est un SUV encore inconnu au bataillon, puisqu’il s’agit du GLE Coupé ! Cette imposante auto haute sur pattes et se voulant dynamique avait été annoncée par le concept Coupé SUV. Elle ira tailler des croupières au BMW X6, le pionner du genre !
Pour en savoir plus, il faudra patienter jusqu’à l’ouverture du salon de Detroit se tenant du 14 au 25 janvier 2015.
La gamme de Mercedes est l’une des plus vastes du marché. Mais vous êtes un éternel insatisfait et vous n’arrivez pas à trouver votre bonheur. La CLA vous plait mais il vous faudrait un break un peu plus pratique avec son hayon. Pour vous, la Classe C break fait trop voiture de retraité et la CLS Shooting Brake est trop grande (et aussi hors de prix). Le constructeur à l’étoile, qui investit toutes les niches possibles, vous propose donc dès aujourd’hui la CLA Shooting Brake !
La longueur est la même que celle du coupé (4,63 mètres). Seule la courbure du pavillon a été modifiée.
Alors oui, ce modèle ne fera pas recette auprès des déménageurs. Par rapport au coupé, le volume en configuration standard ne progresse que de 25 litres, pour atteindre 495 litres. Une valeur qui semble correcte mais qui est loin de ce qui est proposé par des breaks compacts classiques. Une Peugeot 308 SW (voir notre essai) dépasse ainsi les 600 litres. L’avantage du Shooting Brake est quand même la présence du hayon, qui facilite le chargement d’objets plus volumineux… même si l’ouverture manque de largeur à cause des imposants feux.
Petite astuce : pour gagner 100 litres de capacité, il est possible de redresser les dossiers de la banquette. On peut toujours voyager à 5 mais la position plus verticale pour le dos des passagers arrière s’annonce inconfortable. Le volume maxi est de 1.354 litres. Avec le pack Compartiment, on trouve dans la soute un casier pliant, une prise 12V et des filets de rangement. Le plancher peut être orné en option de baguettes aluminium avec inserts antidérapants.
D’un point de vue esthétique, le break est proche du coupé puisque seules la courbure du pavillon et la lunette ont vraiment été modifiées. Il y a aussi une troisième vitre latérale, qui se termine en pointe. La nouvelle forme du toit améliore l’habitabilité arrière : on gagne 4 centimètres de garde au toit. L’accès à la banquette est aussi amélioré. La planche de bord est identique au coupé… et donc à la Classe A. Seul changement : le volant. Mercedes propose en option un éclairage d’ambiance multicolore.
Lors de sa commercialisation, au cours du premier trimestre 2015, la CLA break sera proposée avec cinq motorisations. Pour l’essence, les 180 et 200 seront dotées d’un 1.6 de respectivement 122 et 156 ch. La 250 aura un 2.0 de 211 ch. Cette dernière sera disponible en 4MATIC. Pour le gazole, les 200 CDI et 220 CDI auront un 2.1 de 136 et 177 ch. Ces blocs seront proposés avec la transmission intégrale courant 2015.
Comme le coupé, la CLA existe avec deux types de boucliers : classiques ou sportifs AMG. Mercedes proposera aussi au lancement une série limitée OrangeArt Edition, qui comme son nom l’indique reçoit des détails de décoration oranges : inserts dans les jupes avant et arrière, cerclage des projecteurs bi-xénon, contours des jantes noires. A bord aussi on trouve du orange, notamment sur les sièges.
Bonne nouvelle, Mercedes ne nous fait pas attendre pour la version sportive AMG, dévoilée en même temps que la CLA Shooting Brake classique. On retrouve sous le capot le bloc 2.0 turbo quatre cylindres poussé à 360 ch. Le couple maxi est de 450 Nm. De quoi atteindre facilement 250 km/h et passer de 0 à 100 km/h en moins de cinq secondes. Parfait pour les livraisons express !
Vous roulez en Mercedes Classe S 600, mais quelque chose vous chiffonne. L’espace disponible à bord vous convient, mais vous ne seriez pas contre un petit extra. Et puis avouez-le, vous trouvez intolérable que l’on puisse confondre votre S 600 V12 avec la S 300 doté d’un vulgaire 4-cylindres. Mercedes a pensé à vous.
Tel un phœnix, la marque allemande de très grand luxe ne cesse de renaître de ses cendres. Rachetée par le groupe Daimler en 2002, elle a produit deux modèles jusqu’en 2013, la 57 et la 62 sur base de Mercedes Classe S (sans compter l’anecdotique 57 S Xenatec coupé sur base de Mercedes CL et le concept car Exelero). Problème, la clientèle les jugeait trop peu différents d’une Classe S, et la marque n’a pas atteint les objectifs de ventes qu’elle s’était fixés.
Pour 2015, Mercedes remet le couvert en changeant de stratégie. Les nouvelles Maybach arboreront désormais l’étoile à trois branches et seront situées au top de la gamme Classe S. Mercedes a décidé d’intégrer Maybach dans sa gamme, comme il l’a fait avec AMG.
Extérieurement, une Mercedes-Maybach en impose. Véritable limousine avec ses 5,4 m de long, elle dispose d’un empattement gigantesque de 3,4 m. A titre de comparaison, c’est 20 cm de plus que celui d’une Classe S a empattement allongé, et à peine inférieur à la taille d’une Renault Twingo (3,6 m) ! La messe est dite.
Pour le reste, les changements s’avèrent beaucoup plus subtils : quelques touches de chrome en plus (sur les montants de portières notamment), des portières arrière plus petites qui s’arrêtent avant la vitre de custode et un logo Maybach sur le montant C. Les jantes chromées sont quant à elle spécifiques et présente un design très conservateur, même si des jantes à bâtons, plus sportives, sont également disponibles.
Ce qui fait la force d’une voiture ultra luxueuse, c’est sa capacité à choyer ses occupants. Car non, une limousine n’est pas une voiture qui s’apprécie au volant, mais bien depuis les places arrière.
Sélection des meilleurs cuirs, système audio haute fidélité, sièges massants avec position allongée, boiserie fine, éclairage d’ambiance ou encore insonorisation très travaillée il est impossible de dresser une liste exhaustive du degré de raffinement dont disposent les nouvelles Maybach. D’autant plus que la personnalisation est ici très poussée, et que seul votre porte-monnaie dictera la configuration finale. Avec la possibilité de se concocter un intérieur « à la carte », Mercedes entend bien marcher sur les plates-bandes de Rolls-Royce et Bentley.
Et pour se faire, seules les motorisations les plus puissantes de la Classe S (hors AMG), sont reprises. La Maybach S 500 reçoit donc le V8 4.6 biturbo de 455 ch et 700 Nm de couple et la S 600 le V12 6.0 biturbo de 530 ch et 830 Nm de couple. De quoi voir venir. Si les deux sont des propulsions, une version intégrale 4MATIC de la S 500 sera disponible en juin 2015.
Les Mercedes-Maybach S 500 et S 600 viennent d’être présentées simultanément en Chine et aux Etats-Unis, leurs deux marchés de prédilection. Elles seront disponibles à partir de février 2015, à un tarif de base estimé aux alentours des 200 000 euros.
Peut-être que vous connaissez l’énorme Mercedes G 63 AMG 6×6 ? Ce gros tout-terrain basé sur le Classe G a notamment été vu lors des différentes éditions du Gumball… Nos chasseurs de scoops viennent de tomber sur une nouvelle version dotée de deux roues en moins !
Chez AMG, on doit aimer faire les choses à l’envers. Ainsi, après avoir donné six roues au G 63 AMG en mars 2013, ils sont en train de préparer une version avec 4 roues seulement ! C’est dans le Sud de l’Europe que nos paparazzi ont surpris celui que l’on surnomme « Green Monster ».
Pour l’occasion, la bête est quelques peu revue avec des passages de roue élargis, de nouvelles jupes latérales et un bouclier arrière inédit. Bien entendu, la garde au sol très haute et les grosses roues montées en pneus offroad sont de la partie !
Sous le capot du mastodonte, on trouvera un V8 biturbo essence d’une cylindrée de 5,5 l. La puissance affichée sera de 544 ch et 760 Nm… Les quatre roues seront motrices et c’est une boîte automatique G-tronic à 7 rapports qui sera utilisée pour la transmission.
Prévu pour une commercialisation pendant l’année 2015, le Mercedes G 63 AMG devrait être quand même un peu moins cher que les 450 000 € demandés par la version 6×6…
Crédit photos : CarPix pour Abcmoteur
Vous l’aurez deviné, si il y un G dans le patronyme d’un modèle de la marque à l’étoile, c’est qu’il est capable de sortir des sentiers battus ! L’allemand nous propose ici un SUC (pour Sport Utility Coupé) très compact et bardé de technologie.
Mercedes n’est pas le seul à avoir pris deux plateformes que le public apprécie (un coupé et un SUV) pour en faire un seul et même concept : si vous êtes un lecteur assidu d’Abcmoteur, vous n’avez certainement pas raté notre précédente news sur le Peugeot Quartz.
Ici, la recette stylistique est plus ou moins la même. Une carrosserie compacte (4,10 m soit moins qu’un GLA) mais large (1,90 m) et basse, le tout campé sur des jantes de 21 pouces et avec une garde au sol rehaussée. C’est le studio de design de Pékin qui est l’auteur du Vision G-Code.
En effet, ce concept n’est a priori destiné qu’au marché asiatique, où la clientèle jeune et dynamique est friande de véhicules disposant d’une identité visuelle forte. Le look futuriste et épuré se retrouve dans l’habitacle qui dispose de quatre sièges baquets (le SUC est un 2+2 et dispose de portes arrière à ouverture antagoniste pour faciliter l’accès à bord) et regorge de matériaux contrastants comme le carbone, sombre, et des sièges en cuir blanc.
Comme tout bon concept, le G-Code se devait d’être hybride pour accrocher l’attention (même les hypercars telle la McLaren P1 s’y mettent !). Il dispose donc d’un bloc thermique turbocompressé qui fonctionne à l’hydrogène et n’entraîne que l’essieu avant, ainsi que d’une unité électrique qui, pour sa part, s’occupe de l’essieu arrière.
En conséquence le SUC peut rouler en traction, en propulsion ou en transmission intégrale. Trois modes de conduites sont au programme : HYBRID eDrive, qui privilégie l’électrique, HYBRID eco mode qui s’apparente à ce que l’on trouve sur les systèmes hybrides actuels et HYBRID sport mode qui combine la puissance des deux blocs pour des performances accrues.
La calandre, qui est en fait un écran, change de couleur en fonction du mode de conduite choisi. Plus fort encore, la peinture baptisée « multi-voltaic silver » peut servir à recharger les batteries du moteur électrique. Comment ? En agissant comme un panneau photovoltaïque géant. Elle est également chargée électro-statiquement pour capter l’énergie du vent. Tout un programme !
Très éloigné de la réalité, le Mercedes vision G-Code concept permet tout de même de se faire une idée générale du style vers lequel la marque tend, tout en proposant des innovations qui auront peut-être une application en série dans les années à venir. Reste que l’idée d’un petit crossover à l’allure sportive pouvant fonctionner en tout-électrique en ville est diablement tentante.
Le groupe Daimler a annoncé qu’il allait acquérir 25% du constructeur de moto italien MV Agusta, via sa branche Mercedes-AMG. Le feu vert doit encore être donné par les dirigeants, mais l’essentiel des termes du contrat est déjà connu.
La base du partenariat entre les deux constructeurs repose sur les domaines des ventes et du marketing. Les deux parties bénéficieront directement de cette alliance : Mercedes-AMG en accédant au monde du deux roues et donc à de nouveaux clients potentiels et MV Agusta en profitant du réseau allemand pour s’implanter sur de nouveaux marchés. Si aucun prix d’achat n’a pour le moment été communiqué, on sait de source sûre que Mercedes-AMG choisira un des membres du conseil d’administration de la marque transalpine.
L’idée est de proposer une image forte dans laquelle tout passionné de belle mécanique et de haute performance puisse se retrouver, qu’il soit motard, conducteur ou idéalement, les deux. MV Agusta et AMG possèdent tous les deux une histoire riche en compétition et partagent la même obsession pour la qualité. En témoignent les 75 titres gagnés par la marque italienne et l’adage « un homme, un moteur » pour le sorcier d’Affalterbach.
L’autre aspect qui pourrait bien avoir été un choix déterminant dans ce partenariat est la propension qu’ont les normes de sécurité et les normes anti-pollution à devenir de plus en plus drastiques. Par exemple, l’ABS sera obligatoire sur les motos à partir de 2016. Quoi de mieux pour un constructeur de deux-roues que de se tourner vers un constructeur automobile qui utilise cette technologie en série depuis bien plus longtemps ? Pour la pollution c’est l’inverse en revanche : les motos, avec leurs moteurs compacts et très légers, constituent une vraie technologie de pointe vers laquelle lorgnent de plus en plus de grandes marques automobiles, dans le but de diminuer toujours plus leurs émissions de CO2.
On pense par exemple à Volkswagen et son concept XL Sport récemment présenté au Mondial de Paris, motorisé par un V2 d’origine Ducati. Mercedes a d’emblée précisé qu’on ne retrouverait pas, en l’état, de 3-cylindres MV Agusta sous le capot de ses voitures, mais il se murmure que ces derniers pourraient être utilisés comme range-extender par exemple, quand les batteries d’un véhicule hybride sont à plat.
Ce partenariat devrait être officialisé et conclut pour de bon fin novembre, et pourrait donner lieu à des séries spéciales comme AMG l’avait déjà fait avec la Ducati Diavel (en 2012) ou encore avec le constructeur de bateaux Cigarette Racing.
Nos photographes ont réussi à débusquer une version quasi définitive du break dérivé du CLA. Sans surprise, il ressemblera beaucoup à son grand frère CLS Shooting Brake.
Prenez un coupé quatre portes CLA, étirez-le un peu et munissez le d’un hayon : vous obtenez un CLA Shooting Brake. En somme, exactement la même recette que Mercedes a appliqué au CLS voilà maintenant deux ans.
La petite A arbore donc un profil très dynamique, avec des traits marqués mais qui n’entachent en rien la fluidité générale de la ligne. Seul l’arrière a malheureusement pu être immortalisé pour l’instant, car le prototype entrait sur l’autobahn.
Toutefois, des petits malins ont réussi le tour de passe-passe de recréer le Shooting Brake numériquement, à partir du coupé. Et il y a fort à parier que ces artworks soient très proches de ce que sera le modèle définitif. Nous vous proposons ici deux dessins 3D, un figurant une version classique (en rouge) et l’autre une version AMG (en blanc), à l’allure très agressive.
En terme de gabarit, le break devrait s’approcher des 4,65 m, soit un peu moins que les 4,70 m d’une Classe C Break, à l’allure bien plus conventionnelle.
Pour le cœur de la bête, point de surprises : les mécaniques et transmissions du coupé seront reprises. On retrouvera donc très probablement des blocs diesel allant de 109 (CLA 180 CDI) à 170 chevaux (CLA 220 CDI) et des blocs essence compris entre 122 (CLA 180) et 211 chevaux (CLA 250).
Boîte de vitesses automatique à double embrayage ainsi que transmission intégrale seront également de la partie, en fonction de la finition et de la motorisation choisies.
La tonitruante version AMG reprendra le 2.0 turbo développant quant à lui 360 chevaux, ce dernier étant d’office couplé à la transmission intégrale 4MATIC et à la boîte de vitesses automatique 7G-DCT.
Le Mercedes CLA Shooting Brake est attendu début 2015, avec peut-être une présentation officielle au salon de l’auto de Genève.
Crédits : CarPix pour Abcmoteur
La prochaine génération du Mercedes ML recevra une déclinaison Plug-In Hybrid. Il pourrait aussi changer de nom, et adopter la dénomination GLE, pour coller au reste de la gamme.
Bardé de rajouts et autres fausses grilles sur ses faces avant et arrière, le nouveau GLE ne nous laisse rien voir de sa future plastique. Par contre, autant de camouflage signifie que la prochaine mouture devrait opérer un changement stylistique important.
Pour l’heure, la vraie nouveauté se trouve sur le côté droit du pare-choc arrière : une petite trappe cache en effet une prise qui permet de recharger les batteries du SUV.
Dans une logique d’expansion de sa gamme, Mercedes offrira au nouveau GLE le système Plug-In Hybrid, tout comme la limousine Classe S et la berline Classe C avant lui. Cette innovation se caractérise par la possibilité de recharger les batteries de la voiture sur secteur, de manière à effectuer le plus de trajets possibles en utilisant uniquement la motorisation électrique. Il garantit une meilleure autonomie en mode tout électrique qu’une voiture full hybride, comme la Toyota Prius par exemple. Au-dessus d’une certaine vitesse, le moteur thermique démarre normalement.
Mercedes dispose actuellement de deux architectures pour son système Plug-In Hybrid : un 4-cylindres et un V6. Laquelle sera présente sous le capot du GLE ? Mystère !
En fait, les deux peuvent prétendre y figurer. Le 4-cylindres (211 ch thermiques et 60 kW électriques, soit environ 292 ch au total) dans une logique de downsizing, et le plus noble V6 (333 ch et 85 kW soit environ 447 ch au total) parce que le ML/GLE se veut bourgeois et positionné plutôt haut de gamme.
A moins que Mercedes ne souhaite réserver ce dernier bloc pour un futur GLS (actuel GL, il faut suivre…) plus luxueux encore que le GLE. Quelle que soit la solution technique – et marketing – retenue, c’est la transmission automatique 7G-Tronic qui devrait se charger d’orchestrer le tout.
La marque à l’étoile n’a pour l’instant communiqué aucune date de sortie de cette version revue et électrifiée de son SUV fétiche.
Crédit : CarPix pour Abcmoteur
GLC ? C’est en tout cas la rumeur qui court quant au patronyme du nouveau GLK. Ce changement de nom serait dû au fait que Mercedes souhaiterait harmoniser l’appellation de ses SUV sur le modèle de la gamme A (Classe A, CLA et GLA). Mieux, le GLC recevra sûrement une version AMG au même titre que la Classe C de laquelle il dérive.
En apparence, le prototype qu’il nous est donné de voir ne diffère en rien des autres « mulets » de test du GLC. Toutefois, en s’attardant sur quelques détails, on se rend compte de menus changements qui pourraient faire toute la différence.
Premièrement, le SUV est plus proche du sol, ce qui laisse présager de l’utilisation d’une suspension sport raffermie. Ensuite, le choix de jantes d’une taille généreuse ne se fait pas dans un souci d’esthétique, puisque ces dernières cachent des disques de frein d’un diamètre supérieur à ce que l’on trouve habituellement sur une auto de cette catégorie.
Enfin, la largeur des pneus arrière nous laissent penser qu’une cavalerie importante sera de la partie et qu’il faudra bien la passer au sol !
Pour l’heure, point de kit carrosserie extravagant, de jantes spécifiques ou de deux doubles sorties d’échappement. Il faudra patienter un peu pour en découvrir plus.
L’introduction d’une version AMG sur le GLC traduit la volonté de Mercedes de mettre le paquet sur son offre SUV mid-size.
Une version haut de gamme permettrait en effet de redorer son image, alors que le GLK se vend moins bien que ses concurrents directs que sont les BMW X3 et Audi Q5.
De plus, avec l’arrivée du Macan, Mercedes ne peut pas se résoudre à laisser Porsche se tailler la part du lion dans la catégorie des SUV sportifs. D’où l’utilisation très probable du V8 4.0 biturbo des AMG GT et C 63.
On devrait le retrouver dans une version légèrement dégonflée, aux alentours de 400 chevaux, ce qui correspond aux chiffres d’un Porsche Macan Turbo. Un BMW X3M empruntant le 6-cylindres des M3 et M4 serait aussi en préparation. La concurrence sera donc prête !
On attend le Mercedes GLC pour le mois de septembre 2015 et sa version musclée AMG début 2016. Un GLC Coupé, pour faire de l’ombre au BMW X4, serait également dans les cartons.
Crédit : CarPix pour Abcmoteur
Un des stands du Mondial de l’Automobile de Paris qui est toujours bondé, c’est bien celui de Mercedes ! Pour cette édition 2014, les nouveautés étaient pour le moins intéressantes avec la Mercedes-AMG GT, la C 63 AMG break et le Classe B restylé.
Avec ce coupé sportif dont le capot cache un V8 biturbo pouvant dépasser les 500 chevaux, la marque à l’étoile vise Porsche et sa 911… Si les essais n’ont pas encore eu lieu avec la presse, le public est lui déjà conquis !
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre présentation détaillée de la Mercedes-AMG GT.
Si pour vous un coupé deux places est trop peu habitable, Mercedes saura vous rediriger vers une offre plus spacieuse, mais pas moins puissante : la C 63 AMG disponible en berline, comme en break. Avec un minimum de 476 chevaux, BMW et ses M3/M4 de 431 chevaux ferait presque pâle figure…
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre présentation détaillée de la Mercedes C 63 AMG.
Ces deux bolides nous feraient presque oublier que le constructeur germanique propose aussi des véhicules à destination des familles tels que le Classe B. Face au BMW Série 2 Activer Tourer (voir notre essai) fraîchement sorti, Mercedes réplique en restylant son monospace… de manière presque inaperçue.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre présentation détaillée de la Mercedes Classe B restylée.
> Retrouvez toutes les nouveautés du Mondial 2014 dans cet article.
Le week-end dernier, il se déroulait en Allemagne la dernière course de la saison 2014 de DTM sur le circuit de Hockenheim (appelé officiellement « HockenheimRing Baden-Württemberg »). Abcmoteur était aux côtés d’Audi pour découvrir cette compétition rassemblant trois marques allemandes et qui est plus populaire que la Formule 1 auprès du public local !
Si le Marco Wittmann au volant de sa BMW M4 avait assuré son titre de pilote depuis Lausitzring et que BMW Team RMG était déjà l’équipe titrée, le titre de constructeur était encore disputé entre Audi, BMW et Mercedes pour la manche finale sur le HockenheimRing. Les chronos se jouant toujours à quelques dixièmes de seconde, tous les teams était concentrés au maximum !
Un fois le drapeau à damiers levé, c’est la marque aux anneaux qui signe un joli triplé en plaçant Mattias Ekstrom, Mike Rockenfeller et Jamie Green sur le podium ! Le suédois qui arrive en première place avec sa RS 5 commente : « Je suis heureux de conclure la saison avec deux victoires. Nous avons vécu beaucoup de hauts et de bas, mais cela fait partie du DTM ».
L’une des attractions a été également le tour de force d’Audi de faire rouler la RS 7 Piloted Driving Concept doté d’un V8 4,0 l de 560 ch. Grâce à des capteurs, des radars, ainsi que des caméras reliés à un GPS, l’auto a pu parcourir le tracé à pleine vitesse sans conducteur à son bord !
Prochaine étape ? La redoutable boucle nord du Nürburgring avec ses 154 virages et 21 km !
Quelques prises pour vous plonger dans l’ambiance… avec en bonus un peu de Formule 3 et de Scirocco R-Cup.
L’Audi TT Cup prévue pour la saison 2015 en parallèle du DTM :
Les Porsche 911 Carrera GT3 Cup :
C’est une version Cabriolet partiellement camouflée de la Classe C que nos photographes espions ont surpris. Si l’on est loin de tout apprendre sur la belle, elle en dévoile tout de même assez pour faire un rapprochement évident avec les autres productions de la marque à l’étoile.
L’arrière, et en particulier la malle ainsi que les feux, ne sont en effet pas sans rappeler une certaine Classe S. Avouez qu’il y a pire comparaison !
On retrouve donc une baguette chromée surplombant des feux qui semblent très inspirés par sa grande sœur (copie conforme, vous avez-dit ?) et un coffre qui en reprend également le dessin, en un peu plus arrondit. Même constat au niveau des sorties d’échappement chromées, dont la forme est exactement la même que celles du vaisseau amiral de Mercedes.
Bien que la marque ait démocratisé l’usage du toit rigide escamotable sur le SLK en 1996, il semble qu’elle souhaite réserver cette solution technique à ses seuls roadsters, à savoir le SLK et l’imposant SL. La version camouflée que nous avons sous les yeux conserve pour sa part une classique capote en toile, comme l’actuelle Classe E Cabriolet.
La C Cabriolet reposera sur l’architecture modulable MFA (Modular Front Architecture) reprise de la berline. On peut cependant s’attendre à quelques changements pour la découvrable et le coupé, avec notamment des voies élargies et une garde au sol réduite.
Au niveau des motorisations, la majorité de celles déjà présentes sur la berline seront reconduites mais on attend également une inédite version C 450 AMG Sport, censée combler le vide entre la C 400 et une hypothétique C 63 AMG Cabriolet. Hypothétique, car premièrement il n’existait pas de version découvrable sur l’ancienne génération de Classe C, donc on ne peut pas savoir. Ensuite, si l’on regarde la gamme actuelle, Mercedes ne propose pas de versions AMG pour ses Classe E Coupé et Cabriolet en raison de sombres histoires marketing. Pour l’heure, il nous faut donc patienter.
Nul doute que l’intérieur sera en accord avec les standards de la marque, mais en l’absence de photos et d’informations pour le moment, nous nous abstiendrons d’en juger.
Pour plus d’informations, vous pouvez aussi consulter notre autre article sur la Mercedes Classe C Cabriolet.
Crédit : CarPix pour Abcmoteur
Que nous prépare donc Mercedes à un mois du salon de l’auto de Los Angeles ? Nos photographes espions sont tombés sur un étrange prototype, entièrement bâché, qui circulait non loin d’une usine de la marque.
Les photos nous montrent une forme fluide, relativement basse, qui suggère un dessin exécuté sans lever le crayon de la proue à la poupe du véhicule. L’impression de longueur induite par l’empattement, que ne renierait pas une Classe S, est encore renforcée par des porte-à-faux très courts.
Les seuls éléments qui permettent d’affirmer que ce qui se cache sous le camouflage est bien badgé Mercedes ? La grille de calandre barrée d’un seul trait horizontal et la couleur grise, symboles de la marque. On remarque également l’absence de poignées de porte et de rétroviseurs.
Quant aux jantes, elles sont de type roue de secours galette, ce qui nous fait dire que l’on pourrait être en présence d’un véhicule électrique ou au moins très économe en carburant. En effet, ces derniers sont souvent équipés de pneus très fins afin de diminuer la résistance au roulement, à l’image des BMW i3 et i8 ou encore de la Volkswagen XL1. Rien n’est moins sûr cependant, les « galettes » ne pouvant être là que pour camoufler d’avantage le projet en préparation.
Le constructeur de Stuttgart a pris l’habitude de présenter ses concept-cars les plus fous au salon de l’automobile de Los Angeles. On se souvient notamment des sculpturales Biome en 2010 et Silver Arrow en 2011.
Par conséquent, impossible de ne pas faire le rapprochement entre le prototype camouflé surpris par nos photographes et l’édition 2014 dudit salon, qui se déroulera du 21 au 30 novembre cette année.
Etant donné le peu d’informations dont nous disposons, il est très difficile de savoir si ce prototype préfigure un quelconque nouveau modèle de la gamme Mercedes. On peut toutefois se risquer à dire qu’au vu de la taille de l’engin, on se retrouvera probablement en présence d’un véhicule à vocation familiale plutôt que d’un coupé sportif. Vivement novembre pour en savoir plus !
Crédit : CarPix pour Abcmoteur
C’est une version entièrement camouflée de la future berline routière de Mercedes que nos photographes espions ont pu immortaliser en Allemagne. Sous ses peintures de guerre, la Classe E arbore également divers éléments de carrosserie que l’on ne retrouvera probablement pas sur la version de série.
Difficile de cerner avec précision ce que seront les détails de carrosserie de la E W213, pour citer son patronyme complet. Tout juste sait-on qu’elle sera basée sur la plateforme modulable MRA (Modular Rear-wheel-drive Architecture) de l’actuelle Classe C, mais avec un empattement allongé et des voies plus larges.
Si les photos nous montrent que l’allure statutaire est toujours de la partie, difficile de se prononcer sur la forme de la calandre, ici cachée derrière un grillage en nid d’abeille, ou encore celle du capot arborant de proéminent bossages qui ne servent probablement qu’à nous induire en erreur.
Rappelons que la Classe E W212 encore au catalogue a subit un profond restylage l’année dernière, ce qui laisse tout le temps à Mercedes de nous faire patienter à coup de teasing dans les mois à venir, comme la marque l’a si bien fait pour son coupé AMG GT.
Le bruit court depuis quelques années que Mercedes travaillerait sur une nouvelle génération de moteurs 6-cylindres en ligne. Mieux équilibrés et moins gourmands en carburant que les V8, ils pourraient remplacer ces dernier sur les modèles haut de gamme de la marque.
La clientèle ne serait en effet pas prête à accepter de « vulgaires » 4-cylindres sur des voitures d’un certain standing, aussi bons et performants soient-ils. C’est justement la Classe E nouvelle génération qui serait prédisposée à étrenner ces nouveaux blocs, dont on dit que la cylindrée serait comprise entre 2,2 litres et 3,3 litres.
Sauf retournement de veste de la part des têtes pensantes chez Mercedes, les versions AMG devraient toutefois être équipées du V8 4.0 biturbo récemment introduit par la marque. D’une manière générale, blocs essences, diesels et hybrides seront de la partie, comme pour la version actuelle.
Attendue pour 2016, la Mercedes Classe E W213 devrait être présentée selon le schéma habituel de la marque : berline, break, coupé, puis cabriolet.
Crédit : CarPix pour Abcmoteur
Pourquoi perdre trop de temps ? Neuf mois après sa présentation, la nouvelle Classe C se montre en version AMG. Chez BMW, il a fallu attendre plus de deux ans pour que la dernière génération de Série 3 devienne M3 ! Lancée en début d’année, la bavaroise a donc déjà une redoutable rivale en face d’elle. Et celle-ci prend une longueur d’avance du point de vue de la puissance.
Deux versions de la C 63 sont proposées : une de 476 ch et une de 510 ch. La M3 est loin derrière avec ses 431 ch !
Alors que la M3 est dotée d’un six cylindres de 431 ch, la Classe C 63 cache sous son capot un V8 4.0 biturbo qui annonce en version de base 476 ch. A noter que ce bloc est emprunté à la toute nouvelle GT, qui n’aura donc pas eu longtemps l’exclusivité sur cette motorisation ! Il remplace l’ancien V8 6.3 litres. Comme toujours pour une AMG, le moteur a été assemblé à la main par un seul ouvrier, qui appose à la fin sa signature sur le bloc. Le couple maxi est de 650 Nm, disponible dès 1.750 tr/min et jusqu’à 4.500 tr/min.
Mais la C 63 va encore plus loin : Mercedes propose une version S poussée à 510 ch ! Le couple grimpe à 700 Nm (avec la même plage d’utilisation). Dans les deux cas, la vitesse maxi est limitée électroniquement à 250 km/h. Le 0 à 100 km/h est réalisé en 4 secondes avec la S (0,1 seconde de plus sur la normale). Mercedes annonce des consommations en baisse de 32 % en moyenne !
Le V8 est couplé à une boîte Speedshift MCT 7 rapports qui laisse le choix entre plusieurs modes de fonctionnement : économique, sport, sport +. La S reçoit un mode Race en plus. Le changement de cylindrée n’a pas fait évoluer le nom de la voiture. Ou plus précisément le nombre car il y a quand même eu une petite modification dans la dénomination : il faut maintenant appeler l’auto « Mercedes-AMG C 63 » et non plus « Mercedes C 63 AMG ». Une petite nuance pour bien insister sur le fait que, pour la mise au point de cette voiture, AMG est l’égal de Mercedes.
Côté look, la C 63 s’inspire de ses grandes sœurs AMG, avec au niveau de la face avant une large prise d’air traversée par une lame. Impossible donc de confondre la C 63 avec une simple Classe C dotée du pack look AMG. La calandre est dotée d’une double barrette centrale. A l’arrière, le diffuseur intègre quatre sorties d’échappement. La S est équipée d’office de jantes 19 pouces (18 pouces sinon). Pour ceux qui auraient du mal à reconnaître l’auto, la mention V8 Biturbo est visible sur les ailes. A noter que la C 63 est présentée d’office en berline et en break, les deux carrosserie étant proposées en « normale » ou S. A bord, les changements sont plus discrets. On remarque surtout le volant à la jante épaisse et les sièges baquets.
Il y a une semaine, nous vous présentions le musée Porsche. L’autre visite incontournable se trouvant à quelques kilomètres de là est bien entendu le musée Mercedes-Benz de Stuttgart, encore plus grandiose !
Ouvert en 2006 et réalisé par le cabinet d’architecte néerlandais UNStudio, l’imposant bâtiment futuriste fait d’aluminium a une superficie de 16 500 m2. Sur place, ce sont 160 véhicules (voitures, bus, camions, voitures de course, avions, …) étalés sur 125 années et plus de 1 500 pièces d’exposition au total. Même les non-passionnés d’automobile sortiront réjouis de la visite ! En plus des voitures, des moments clés de l’Histoire (du 19ème au 21ème siècle) sont retranscris en parallèle.
Le début du voyage débute par une montée à 34 mètres de hauteur dans un ascenseur qui fera rêver plus d’un enfant !…
Pour une entrée à 8 €, il est possible d’admirer ces œuvres pendant plusieurs heures !…
Le Mercedes Classe B n’est plus seul depuis l’arrivée de la BMW Série 2 Active Tourer ! Pour se remettre au goût du jour, la marque à l’étoile fait donc passer son monospace par la case restylage. Il sera présenté au Mondial de l’Automobile de Paris au mois d’octobre prochain (du 4 au 19). En voici les nouveautés.
Fidèle à son habitude, Mercedes ne chamboule pas ses modèles restylés. Ainsi, le Classe B millésime 2015 se voit doté de nouveaux phares à LED comprenant désormais les feux de jour, le dessin des optiques évolue légèrement en les rendant plus sculptées, tout comme les boucliers avant et arrière. Les feux à LED de la poupe obtiennent également un nouvel agencement intérieur. Sur ces photos, le Classe B rouge est équipé du pack AMG plus agressif.
Pour l’habitacle, les changements sont composés d’un volant inédit inspiré par la dernière Classe C et l’écran tactile – à l’intégration esthétique toujours bancale – peut atteindre jusqu’à 8 pouces. Les graphismes de l’instrumentation de bord ont été retouchés.
En outre, Mercedes propose sur son Classe B restylé 12 teintes d’ambiance pour son éclairage intérieur à LED et le détecteur de fatigue a été perfectionné. Le freinage autonome fait son entrée au sein de l’équipement « Collision Prevent Assist ».
Les adeptes du déverrouillage et démarrage sans clef seront ravis, puisque enfin l’auto en profite. En revanche, du côté des moteurs thermiques, c’est statu quo. Aucun des huit blocs proposés n’est modifié pour l’occasion. A noter tout de même que la version B200 CDI est désormais disponible en quatre roues motrices (4Matic). Selon la motorisation, une boîte à double embrayage 7G-DCT pour être choisie.
Toutefois, Mercedes en profite de cette mise à jour pour introduire une version électrique baptisée « Electric Drive » d’une puissance de 180 ch, mais dont l’autonomie n’est pas communiquée. Un Classe B fonctionnant au gaz naturel (156 ch) est aussi proposé. Son coefficient aérodynamique record pour le segment (Cx de 0,25) devrait l’aider à être économe.
Le nouveau Mercedes Classe B est commercialisé depuis le 12 septembre 2014 et les premiers exemplaires arriveront en concessions le 29 novembre prochain. Son prix de base est de 26 700 € en B180, soit 600 € de plus par rapport à auparavant.
Les tarifs débutent de 26 700 € et s’arrêtent à 39 400 €.
Légende : entre parenthèses = 7G-DCT / entre crochets = 4Matic
Type de moteur | Moteur | Conso/100 km | Prix |
essence |
1,6 l 122 ch B180 | 5,6 l (5,4 l) | 26 700 € |
1,6 l 122 ch B180 BE Edition | 5,2 l | N.C (dispo : mars 2015) | |
1,6 l 156 ch B200 | 5,6 l (5,4 l) | 29 350 € | |
2,0 l 184 ch B220 4Matic | 6,5 l | 35 300 € | |
2,0 l 211 ch B250 | 6,1 l [6,6 l] | 36 500 € [38 700 €] | |
diesel | 1,5 l 90 ch B160 CDI | 4,1 l (4,0 l) | 27 300 € |
1,5 l 109 ch B180 CDI | 4,1 l (4,0 l) | 28 850 € | |
1,5 l 109 ch B180 CDI BE Edition | 3,6 l | N.C. (dispo : mars 2015) | |
2,1 l 136 ch B20 CDI | 4,3 l (4,0 l) [5,0 l] | 30 500 € [34 900 €] | |
2,1 l 177 ch B220 CDI | 4,1 l [5,0 l] | 37 200 € [39 400 €] | |
électrique | 180 ch Electric Drive | 16,6 kWh | N.C. |
gaz naturel | 2,0 l 156 ch Natural Gas Drive | 4,3 kg (4,2 kg) | N.C. |
Le suspens a pris fin ! Après de nombreux teasers – dont les vocalises de la mécanique –, la Mercedes-AMG GT vient de se montrer entièrement. Par conséquent, elle lève le voile sur ce qui nous était encore inconnu jusqu’à présent : sa carrosserie. Ce coupé très attendu et développé par AMG nous livre enfin ses secrets…
Les premiers instants où l’on découvre la Mercedes-AMG GT, on pense immédiatement à la SLS. Toutefois, on l’observant de plus près, on remarque que les lignes sont bien différentes, même si les formes générales comportent des ressemblances. La GT fait aussi 10 cm de moins que sa grande sœur avec 4,54 m de long.
Ainsi, la face avant est composée d’une large calandre proéminente où la grosse étoile siège en son centre, les phares assez quelconques sont en forme d’amande et deux prises d’air hypertrophiées sont creusées en-dessous. Malgré cela et un capot moteur XXL, la Mercedes-AMG GT ne me fait pas craquer comme une Jaguar F-Type Coupé ou une indémodable Porsche 911. On a le sentiment que la proue manque de personnalité, qu’elle est un peu fade…
De profil, le constat s’améliore. Les flancs épurés et la ligne de toit typée fastback (l’inclinaison de la lunette arrière et de coffre se confondent) lui octroient une certaine élégance, elle aurait presque un petit côté rétro.
Concernant la poupe, là aussi c’est plus réussi. Le dessin est sans fioritures. Les feux très effilés et soignés procurent à l’ensemble de la prestance manquant à la proue. En outre, les deux sorties d’échappement rectangulaires logées de part et d’autre du diffuseur rappellent la mécanique bouillante se cachant sous le long capot avant…
En GT S et dans la teinte rouge ou encore mieux, jaune, elle dégage déjà plus de charme.
A l’intérieur, la console centrale massive saute aux yeux, cela en est presque disgracieux. Un contraste d’autant plus renforcé par l’écran tactile comme « posé » au-dessus des quatre aérateurs centraux et cet aspect imposant qui se ne retrouve pas à l’extérieur. Pour le reste, l’ambiance sportive répond bien présente. Le volant à méplat, le pédalier alu, les sièges baquets et la couleur rouge donnent le ton.
Pour les clients intéressés, Mercedes proposera deux versions de sa GT : la GT et la GT S. Correspondant à deux motorisations, ces deux appellations utilisent un V8 de 4,0 litres biturbo en position centrale avant avec une transmission à double embrayage Speedshift à 7 rapports.
Dans le détail, la GT affiche 462 ch à 6 000 tr/min et 600 Nm de couple de 1 600 à 5 000 tr/min. Cela lui permet de réaliser l’épreuve du 0 à 100 km/h en 4 petites secondes et d’atteindre une vitesse maximale de 304 km/h…
Si ces chiffres ne vous impressionnent pas suffisamment et que votre porte-monnaie est à la hauteur, la GTS devrait vous convenir avec ses 510 ch et 650 Nm. Cette version s’offre ainsi le droit de rentrer dans le cercle très fermé des sportives en-dessous des 4 s au 0 à 100 km/h avec précisément 3,8 s demandées pour cet exercice. Elle a également le privilège de disposer d’un mode de conduite « Race » spécialement dédié au circuit pour rendre le bolide le plus démoniaque possible !
Malgré ces puissances de plus de 450 chevaux et le 8-cylindres, la consommation théorique des GT (9,3 l) et GT S (9,4 l) demeurent en-dessous des 10 l/100 km !
Thomas Weber, responsable de la recherche et du développement Mercedes-Benz Cars, explique « [qu’]vec la Mercedes-AMG GT, nous investissons pour la première fois le segment très exigeant des voitures de sport, un secteur d’ores et déjà occupé par des modèles concurrents de prestige. Pour nous, il s’agit à la fois d’une stimulation et d’une incitation à prouver aux amoureux des voitures de sport de tous les pays de quelles performances AMG est capable ».
Ce pari sera-t-il gagné par la marque à l’étoile ? Le Mondial de l’Automobile de Paris au début du mois d’octobre prochain sera une première étape pour la Mercedes-AMG GT avant sa commercialisation prévue pour le premier trimestre 2015. Ses prix seront communiqués à l’occasion du salon parisien.
Le sport chez Mercedes a différentes facettes. Il peut être classique avec des modèles de grande série dévergondés, extrême avec des supercars comme la SLS ou la future GT, ou très bourgeois comme avec cette nouvelle Classe S Coupé 65 AMG, placée au-dessus de la S 63 dévoilée en mars dernier. La nouvelle venue hérite d’un V12 6,0 l biturbo. C’est la quatrième Mercedes équipée d’un douze cylindres. L’allemand est le constructeur automobile qui offre le plus de modèles dotés de ce type de moteur !
Le V12 est abrité par un cache en carbone et aluminium. Comme le veut la tradition AMG, il est assemblé par un seul homme, qui appose à la fin sur le bloc une plaque avec sa signature. La puissance est de 630 ch et le couple est digne d’un camion avec une valeur maximale de 1.000 Nm, disponible de 2.300 à 4.300 tr/min. La vitesse maxi est limitée électroniquement à 250 km/h mais on se doute que l’auto est capable d’atteindre des vitesses bien plus élevées. Le 0 à 100 km/h est réalisé en 4,1 secondes.
C’est bien, très bien même… mais à ce niveau de puissance il y a mieux. La S Coupé est pénalisée par son poids, qui devrait dépasser les deux tonnes. Mais comme on l’a dit au début, l’auto reste avant tout un coupé très haut de gamme et ne fait aucun sacrifice en matière de confort. Elle fait quand même quelques efforts pour contenir sa masse, en adoptant par exemple une batterie lithium-ion, plus légère de 20 kg que le modèle standard.
Côté boîte de vitesses, on retrouve la transmission AMG Speedshift Plus 7G-Tronic, qui dispose de trois modes de fonctionnement : Controlled Efficiency (favorisant les économies de carburant), Sport et Manuel. La S 65 AMG est dotée d’un Stop and Start et annonce une consommation en cycle mixte de 11,9 litres tous les 100 km. Une valeur qui correspondra aux moments où vous conduirez pépère pour aller acheter le pain. Dès que vous vous amuserez un peu avec la pédale (d’accélérateur), la conso s’envolera ! Mais quand on achète un tel jouet, généralement ce n’est pas vraiment un souci.
Côté châssis, on retrouve les dernières innovations de la Classe S et de sa variante Coupé, avec par exemple une fonction d’inclinaison dans les virages, qui réduit l’accélération transversale qui s’exerce sur les occupants. L’auto se penche dans les courbes, à la façon d’une moto. Mercedes indique que l’objectif n’est pas d’atteindre des vitesses plus élevées dans les virages mais de rendre la conduite plus agréable ! Les virages sont détectés par une caméra, qui repère aussi à l’avance les imperfections de la chaussée.
Côté look, pas de grands changements par rapport à la S63 AMG. Seuls des chromes en plus et le logo V12 biturbo font la différence. L’auto est dotée de jantes forgées de 20 pouces qui cachent un système de freinage composite avec des étriers gris. En option, ils peuvent être rouges et on peut s’offrir des freins en carbone composite. Le tarif est corsé : 251.500 euros ! A ce prix, la dotation est complète, avec de série l’affichage tête haute, le pavé tactile, les caméras panoramiques, le système sono haut de gamme Surround Burmester, les garnitures en cuir Nappa étendu ou le pack d’assistance à la conduite.
Les commandes sont ouvertes, les premières livraisons débuteront fin septembre.
Il y a un peu moins d’un mois, nous vous dévoilions celui que l’on appelle « Mercedes MLC », en référence au concept-car Coupé SUV. Dernièrement, le MLC 63 AMG s’est fait à nouveau surprendre par nos photographes, mais avec maintenant son habitacle dépourvu de tout camouflage !…
Avant de vous présenter l’intérieur de l’imposant SUV étoilé, il faut savoir que son appellation n’est pas encore confirmée. Si la presse s’est accordée pour le nommer « MLC » (nom de code : C292), son patronyme serait plutôt « Classe M Coupé » ou « Classe ML Coupé ». La suite nous dira si oui ou non, nous avions vu juste pour ce futur concurrent de l’initiateur de ce segment des SUV coupés 5-portes : le BMW X6.
Le Classe MLC devrait perdre une bonne partie – voire toutes – de ses capacités de tout-terrain en comparaison avec le Classe M dont il dérive
La nouvelle boîte auto à 9 rapports (9G-Tronic) sera présente sur la majorité des motorisations du Mercedes MLC, mais le 63 AMG restera équipé de la 7G-Tronic
Sur les clichés espions visibles ci-dessous, les connaisseurs reconnaîtront la console centrale du Classe M restylé (W166), à l’image du X6 qui reprend bon nombre d’éléments du X5. Le MLC sera de toutes façons sur la plateforme du Classe M. Certains verront aussi une ressemblance avec le Porsche Cayenne en ce qui concerne les aérateurs centraux en position verticale.
Pour découvrir en chair et en os le SUV coupé de Mercedes, il faudra patienter jusqu’au salon de Detroit (Etats-Unis), en janvier prochain.
A suivre…
Crédit : CarPix pour Abcmoteur
Apparue pour la première fois en 2004, puis renouvelée en 2011, la CLS restylée avait pointé le bout de son capot – et même un peu plus – devant les objectifs de nos photographes espions. Il est désormais temps de découvrir dans sa version officielle la nouvelle Mercedes CLS 2014.
Sans surprise, les retouches stylistiques apportées à cette CLS restylée présentée ici sont discrètes. Elles concernent la berline, le break et la sportive 63 AMG disponible dans ces deux carrosseries.
Au rayon des changements donc, on note un nouveau regard Multibeam LED se caractérisant pour des projecteurs avant composés de 24 LED individuelles chacun. Cette technologie permettant d’ajuster le faisceau lumineux jusqu’à 100 fois par seconde grâce à une caméra logée dans le haut du pare-brise. Nous avons là un système en concurrence avec le Matrix LED d’Audi vu sur l’A7 récemment rafraichie…
Pour le reste, on remarque des boucliers avant et arrière légèrement remaniés, ainsi que la venue de la jolie calandre à « diamants » des Classe A et CLA.
Enfin, du côté de l’habitacle, les habitués ne perdront pas leurs repères. Un nouveau volant sport à trois branches fait son apparition et l’écran de l’ordinateur de bord est plus grand et comme posé sur la planche de bord au lieu d’être encastré tel qu’auparavant. Pour les grands chamboulements, il faudra attendre la troisième génération de la CLS.
A ce chapitre, Mercedes améliore son offre de diesel allant de 170 à 258 ch, tandis que sa palette de motorisations essence culmine toujours à 585 ch.
Dans le détail, un quatre-cylindres diesel de 170 ch et 400 Nm de couple fait son entrée (CLS 220 BlueTEC), le CLS 250 CDI troque son nom pour CLS 250 BlueTEC et demeure à 204 ch et 500 Nm, alors que la CLS 350 BlueTEC passe à 258 ch pour 620 Nm au lieu de 252 ch.
Pour les amateurs de sans plomb, le CLS 400 V6 3,5 l biturbo d’entrée de gamme grimpe à 333 ch (+ 26 ch) et 480 Nm (+ 110 Nm) en remplaçant le CLS 350, le CLS 500 V8 4,6 l biturbo reste fixé à 408 ch et 600 Nm et enfin le bloc le plus explosif (CLS 63 AMG) ne change pas non plus (V8 5,5 l biturbo de 557 ch ou 585 ch en version S).
La dernière nouveauté étant l’introduction d’une boîte à 9 rapports (9G-Tronic) sur les trois diesel et sur l’essence de 408 ch de la CLS 500. Cela apportant l’avantage de moins consommer et d’être plus confortable selon la marque à l’étoile.
Pour les chanceux qui pourront se rendre au Festival de la Vitesse de Goodwood, du 26 au 29 juin, en Angleterre, la Mercedes CLS restylée y sera exposée. Pour les autres, il faudra attendre le Mondial de l’auto de Paris en octobre prochain.
Sa date de sortie et ses tarifs n’ont pour le moment pas été communiqués.
En ce moment, Mercedes est sur tous les fronts et c’est peu dire. Après la Classe C, la Classe C Break, les versions hybride et hybride rechargeable, ainsi qu’une Classe C Cabrio, la marque à l’étoile peaufine le haut du panier de ses motorisations comme en témoignent les dernières photos espions de nos photographes.
Dernièrement, c’est une C 450 AMG Sport Estate 4Matic qui a été surprise en test sans aucun camouflage. Le break allemand reçoit un kit carrosserie agressif (boucliers, jupes latérales, diffuseur, …), une calandre plus sportive, des coques de rétroviseur noires et quatre sorties d’échappement.
Avec la C 450 AMG Sport Break, Mercedes vient se positionner en face l’Audi S4 Avant tirant 333 ch de son V6 3,0 l TFSI essence compressé, mais également des BMW Série 3 335i (306 à 320 ch en M Performance) et future Jaguar XE-S (335 ch).
Ici, le déménageur pressé étoilé réutilisera le V6 3,0 l biturbo de la C 400 (333 ch), mais pour l’occasion la puissance sera portée à 367 ch pour environ 550 Nm de couple. Elle se situera donc en-dessous de la prochaine C 63 AMG disposant d’un V8 de 480 ch… Comme ses concurrentes, elle proposera la transmission intégrale et une boîte automatique.
La date de sortie de la Mercedes C 450 AMG Sport Break n’est pas encore connue, mais elle interviendrait à la mi-2015, tandis que pour en profiter en 4×4, il faudra patienter jusqu’à la fin de cette même année.
Son prix de vente est estimé aux alentours des 65 000 €. A réserver aux familles fortunées !…
A suivre…
Crédit : CarPix pour Abcmoteur
Après l’Edition 1 et la version AMG, c’est au tour de Brabus d’apparaître sur la carrosserie de la nouvelle Mercedes GLA. Un passage qui permet au nouvel opus étoilé de gonfler sa puissance et son look.
Pour transformer ce GLA, Brabus n’est pas parti sur la base du modèle AMG, mais sur une version plus sage : le GLA 220 CDI ! Il s’est vu rajouter des grandes jantes de 21 pouces, un sabot de protection avant qui remonte bien sur la calandre, une superbe double sortie de pots 2×2, un diffuseur et large spoiler à l’arrière qui marque définitivement l’aspect sportif de cette version, des entrées d’air cerclées d’aluminium, un logo Brabus sur la calandre, et une hauteur de caisse remontée de +3 cm (que l’on peut baisser de 2.5 cm si on le souhaite, et pour les plus sportifs).
Le look est plus agressif, mais les performances risquent d’en décevoir quelques-uns puisque la vitesse de pointe est portée à 220 km/h, pour un 0 à 100 km/h avalé en 8s. Pas de quoi frissonner à chaque accélération. Il faudra attendre la version bodybuildée de 400 chevaux sur base AMG, qui elle annoncera un 270 km/h en vitesse de pointe pour un 0 à 100 km/h négocié en seulement 4.4s.
Le look reste le grand intérêt de la GLA 220 CDI transformée, qui est déjà typée en version de série. C’est le kit ECO PowerXtra D3 qui a été installé sous le capot, pour gonfler le bloc de la voiture. La puissance moteur passe ainsi de 170 à 210 chevaux, soit un gain de +40 chevaux.
Il y a peu, Mercedes levait le voile sur un concept-car massif : le Coupé SUV. Le passage des stands du salon de Pékin à la route s’est fait très rapidement pour celui que l’on appelle « MLC » ou « ML Coupé », puisque moins d’un mois plus tard les chasseurs de scoops automobiles l’ont saisi sur le vif. Le voici ci-dessous dans sa version la plus brutale, soit la 63 AMG.
Le segment des SUV coupé inauguré par BMW avec le X6 n’est pas un type de carrosserie pour jouer sur le terrain de la discrétion, et encore moins lorsque l’on parle des X6 M et MLC 63 AMG ici en photos… Au travers du lourd camouflage, on peut deviner un bouclier avant intégrant des bouches d’aération hypertrophiées, une calandre avec une grosse étoile en son centre, des jupes latérales plus larges et des jantes surdimensionnées avec un système de freinage conséquent.
Pour la partie arrière, on note un diffuseur recevant deux doubles sorties d’échappement rectangulaires, ainsi qu’une ouïe sur les extrémité de part et d’autre à la hauteur de la plaque d’immatriculation.
A l’intérieur un traitement spécifique de la part d’AMG (sièges et volant sport, inserts sur la planche de bord, etc…) est attendu, mais malheureusement pas encore visible sur ces photos espions.
Pour mouvoir son char d’assaut, Mercedes utilisera l’artillerie lourde ! Le moteur M157 qui est un V8 biturbo de 5,5 l développant 557 ch et 720 Nm de couple et 585 ch et 800 Nm dans sa version S pourrait être utilisé.
Côté transmission, on retrouverait la boîte auto AMG MCT à 7 rapports pour aller envoyer la puissance sur les quatre roues (4×4). Le tout permettant au Mercedes MLC 63 AMG de réaliser le 0 à 100 km/h en environ 4,5 s. La Vmax sera limitée électroniquement à 250 km/h.
La version « standard » du MLC (C292) sera sans doute présentée au salon de Genève, en Suisse, au mois de mars prochain. Le MLC 63 AMG apparaîtra probablement six mois plus tard, à la rentrée 2015. Son prix débutera au-dessus des 130 000 € !
Crédits : CarPix pour Abcmoteur
Après plusieurs apparitions camouflée, la Mercedes-AMG GT fait à nouveau parler d’elle au travers d’une vidéo teaser… pour le moins musclée !
Sur ces images (voir vidéo ci-dessous), le préparateur officiel de Mercedes effectue en quelque sorte une démonstration de force. L’AMG GT – le 2ème modèle développée par AMG après la SLS – est filmée à tombeau ouvert sur de petites routes sinueuses. De nombreuses glisses sont réalisées de la part de celle qui souhaite concurrencer les Porsche 911 et Jaguar F-Type Coupé…
La présentation officielle de la GT a été confirmée pour l’autonome 2014, soit à la même période que le salon de l’auto de Paris où elle y sera donc très certainement présente. Sa date de sortie est inconnue, mais sa commercialisation se fera probablement dans le courant de l’année 2015, tandis que certaines rumeurs lui donnent un prix de base se situant aux alentours de 130 000 €.
Pour patienter, un mini-site spécialement dédié à la future sportive à l’étoile a été ouvert. Différents aspects de la voiture (capacités dynamiques, performances, design, …) y seront révélés au cours des prochains mois.
Il semble bien que nous ayons affaire au nouveau V8 4,0 l biturbo Mercedes-AMG annoncé pour 500 ch et 700 Nm de couple. Sa sonorité typiquement rocailleuse ravira les fans du genre !
A titre de rappel, l’habitacle de la GT :
La cinquième génération de la Mercedes Classe C ne cesse de faire parler d’elle ! Après la berline, des photos espions de la version hybride rechargeable et tout récemment la présentation officielle du break, voici maintenant que la belle allemande perd son toit !
Comme le montrent ces clichés espions (voir ci-dessous) de nos photographes, la Classe C Cabrio (A205) se revêt maintenant d’un camouflage moins lourd. Exit donc les gros éléments en plastique noir, le cabriolet est maintenant beaucoup moins caché avec simplement des motifs sur la carrosserie, un faux toit en dur et des optiques avant et arrière encore non définitives.
Mercedes a fait le choix d’une capote souple comprenant plusieurs avantages comme une ligne esthétique conservée, ainsi qu’un gain de poids et de coût. Tout comme la berline, le cabriolet Classe C reposera sur la plateforme « MRA » (Modular Rear Architecture). Par ailleurs, le déflecteur « Aircap » de la Classe E Cabriolet permettant de se passer de coupe-vent devrait se retrouver sa petite sœur.
L’avantage de la Classe C Cabriolet, c’est d’avoir été conçue dès le départ pour son châssis. Ce « détail » devrait ainsi lui permettre d’être à peine plus lourde que le coupé
Du côté des moteurs, la Mercedes Classe C Cabriolet reprendra les motorisations diesel (quatre-cylindres) et essence (quatre et six-cylindres) de la berline et du break allant de 115 à 333 ch avec le V6 turbo 3,0 l. Cependant, les plus petits blocs ne seront probablement pas proposés en raison du positionnement davantage haut de du gamme de la version découvrable.
En outre, une onéreuse Classe C 63 AMG Cabriolet ira sans doute compléter l’offre moteur, ce point restant à confirmer.
Pour devenir propriétaire de la Classe C CC, il faudra patienter jusqu’en 2015, voire 2016. La présentation officielle au public devrait avoir lieu au salon de Francfort, en Allemagne, au mois de septembre 2015.
A suivre…
Crédits : CarPix pour Abcmoteur
Après la présentation de la cinquième génération de la Classe C à la fin de l’année dernière, Mercedes vient de lever le voile sur la première déclinaison de sa berline d’entrée de gamme, à savoir la nouvelle Classe C Break.
Identique à la berline pour la proue et la première moitié avant du profil, la Classe C Break 2014 se dote de lignes plus dynamiques que le modèle qui le précède. Les nervures sur les flancs sont plus nombreuses et marquées, tandis que la poupe voit sa lunette s’incliner davantage. Les optiques arrière quittant leur forme verticale pour venir déborder sur les ailes contribuent également à cette allure générale plus racée.
Elle sera aussi plus imposante, puisque par rapport à la précédente mouture, près de 10 cm sont gagnés en longueur (4,70 m), 4 cm en largeur (1,81 m), ainsi que 8 cm pour l’empattement atteignant désormais 2,8 m.
Logiquement, ces cotes en hausse profitent au volume de coffre qui se place parmi les meilleurs de son segment en variant de 490 à 1 510 litres (485 à 1 500 l auparavant). A titre de comparaison, les Audi A4 Avant (de 490 à 1 430 l) et BMW Série 3 Touring (de 495 à 1 500 l) proposent une capacité de chargement maxi légèrement moindre.
La marque à l’étoile enfonce le clou avec de nouvelles fonctionnalités comme la banquette fractionnable électriquement en 40/20/40 et l’ouverture électrique du hayon. Ce dernier peut être actionné soit par clef, à l’aide d’un bouton sur le bord inférieur du hayon ou bien en passant le pied sous le pare-choc arrière (Hands-free access).
Les équipements technologiques ne sont pas oubliés avec un écran multimédia au centre de la console centrale, le Mercedes Connect Me, l’affichage tête haute, le freinage automatique, …
Côté moteurs, l’Allemande élargit sa palette par rapport à la berline. En diesel (uniquement des quatre-cylindres), la puissance proposée varie de 115 à 204 ch. En essence (quatre et six-cylindres), la gamme est plus musclée en allant de 156 à 333 ch.
65 kg ont été perdus sur la balance grâce à l’usage d’aluminium pour la conception du déménageur huppé
La Mercedes Classe C Break 2014 s’équipera d’une motorisation hybride avec la C 300 BlueTEC Hybrid (diesel de 204 ch + 27 ch en électrique) et sans doute un peu plus tard d’une hybride rechargeable avec la C 350 (210 ch + 70 ch).
Les tarifs de la Classe C Break n’ont pas encore été communiqués, mais sa commercialisation interviendra à partir du mois de septembre 2014.
Introduit sur le marché en 2011, l’imposant Mercedes Classe M (ou « ML ») va faire sa mue dans les prochains mois comme en témoignent ces photos espions prises par nos chasseurs de scoops.
Avec ces deux photographies du Classe M restylé visibles ci-dessous, la marque à l’étoile se montre avare en informations concernant le futur design du Classe M millésime 2015. Toutefois, ces camouflages annoncent une calandre, des phares, ainsi que des boucliers revus. La proue – concentrant l’essentiel du facelift – sera davantage expressive.
Cependant, il semble que rien ne soit prévu pour la poupe et ses feux au dessin peu élégant. Pourtant, les critiques avait été nombreuses à l’encontre de blocs optiques arrière… Néanmoins, les pare-chocs et les deux sorties d’échappement seront rafraîchis.
Par ailleurs, l’habitacle accueillera quelques modifications comme notamment le nouvel écran tactile d’info-divertissement Command plus large, une console centrale retouchée et un volant inédit.
A l’image des SL et CLS, le Classe M passe au V6 3,0 l essence turbocompressé. Exit donc le M 350, et place au M 400 de 333 ch et 450 Nm de couple. Pour passer la barre des 350 ch avec ce même bloc, un M 450 (367 ch et 550 Nm) sera également proposé à la vente.
On parle aussi d’une potentielle motorisation hybride rechargeable pouvant offrir plusieurs dizaines de kilomètres en 100 % électrique…
A suivre.
Crédits : CarPix pour Abcmoteur
Lancée en 2011, l’actuelle Mercedes Classe CLS arrive à mi-carrière. C’est donc l’heure du traditionnel restylage pour la berline « coupé » du constructeur à l’étoile. Nos chasseurs de scoops ont pu surprendre un exemplaire en préparation avec peu de camouflages…
Si sur ces deux clichés espions, on ne peut voir que la face avant de l’auto, il semble bien que ce soit cette partie de la CLS (et CLS Shooting Brake, voir notre essai) qui reçoive l’essentiel des mises à jour extérieures.
Ici, on peut donc apercevoir la nouvelle face avant de la CLS restylée. Le faciès semble présenter un caractère plus sportif et inspiré par la CLA. La calandre, les optiques à led (voir l’image teaser ci-dessous) et le boucliers sont inédits. En somme, elle donne l’impression de se moderniser et d’être moins classique, une tendance suivie par l’ensemble de la gamme Mercedes…
Par ailleurs, l’intérieur accueillera le nouvel grand écran tactile Command. En sus, d’autres modifications seront très probablement introduites pour ce restylage.
Une des autres évolutions de la CLS millésime 2015 se trouvera sous le capot. En effet, la CLS 350 va disparaître au profit de la CLS 400 – tout comme sur le SL. Le V6 3,5 l atmosphérique de 306 ch (370 Nm) cède ainsi sa place à un six-cylindres 3,0 l turbo de 333 ch et 480 Nm de couple.
La transmission automatique 9G-Tronic pourrait également être de la partie sur les V6 et V8 essence en plus du V6 3,0 l diesel.
La photos officielles de la nouvelle CLS seront diffusées le 23 juin prochain, tandis qu’elle sera présente au Festival de vitesse de Goodwood cet été et au Mondial de Paris au mois d’octobre prochain. Sa commercialisation aura lieu peu de temps après.
[MAJ] : Voici la version officielle.
Crédits : CarPix pour Abcmoteur
Mercedes a été récemment surpris par les chasseurs de scoops en train de travailler au développement d’une future version pour sa berline d’entrée de gamme qu’est la Classe C dont voici les spyshots.
Avec au catalogue les Classe E et Classe S hybrides, la marque à l’étoile va bientôt se positionner face aux BMW Série 3 (ActiveHybrid 3, mais surtout la plug-in hybride encore en développement) et Audi A3 e-tron faisant appel à l’électricité en sus d’un moteur thermique classique.
La Classe C 350 plug-in hybrid utilisera un moteur essence quatre-cylindres 2,0 l de 211 ch et 350 Nm de couple – celui de la C 250 – combiné à un bloc électrique de 50 kW. La consommation en carburant attendue serait de l’ordre de 3,0 l/100 km selon la norme actuelle, soit environ 70 grammes de CO2 rejetés au km. Les différents modes de conduite permettront, entre autres, de rouler en tout électrique sur une distance qui ne devrait guère excéder les 50 km, soit de quoi assurer les déplacements urbains.
L’arrivée sur le marché de la Mercedes Classe C hybride se fera pour fin 2014 ou au plus tard en 2015.
A suivre…
Crédits : CarPix pour Abcmoteur
Chez les constructeurs premium germaniques, Mercedes est surement celui qui sort le plus des sentiers battus. La firme a l’étoile a été la première à proposer un gros SUV, le ML, à oser le monospace compact, avec le Classe B, et a même inventé la catégorie des coupés quatre portes avec la CLS. Mais designers et ingénieurs ne peuvent pas être de partout ! D’autres firmes innovent, à l’image de BMW qui a crée le concept du SUV coupé haut de gamme avec le X6 (et vient de le décliner à une plus petite échelle avec le X4)… et est toujours sans concurrence !
Mercedes prépare enfin la riposte. Et un débat est né, certains trouvant que l’étoile est un copieur en présentant un X6 revu à sa sauce. Evidemment, la silhouette est similaire avec un pavillon plongeant, une lunette très inclinée, un vitrage latéral réduit et une poupe haute. Mais c’est un peu la base du concept de SUV coupé, non ? Mercedes a autant copié BMW pour ce véhicule que BMW a copié Mercedes lorsqu’il a lancé la Série 6 Gran Coupé pour contrer la CLS. De toute manière, quand un concept est bon, la rançon du succès est de voir la concurrence se l’approprier. Vu le nombre de monospaces compacts sur le marché, Renault peut se plaindre qu’une foule de marques l’ont copié !
Le « Concept Coupé SUV » deviendra une réalité commerciale l’année prochaine. Le modèle de série pourrait se nommer MLC. Fort logiquement, il devrait partager de nombreux éléments avec le ML, qui sera pour sa part légèrement restylé à la fin de l’année. Reste à savoir quand ce véhicule sera officiellement présenté. Le délai entre show-car et véhicule définitif chez Mercedes a varié ces dernières années entre quatre mois (GLA) et un an (Classe A). On peut donc s’attendre à découvrir le MLC dès cet été, d’autant que des prototypes de test à la forme définitive ont été surpris récemment.
Mais concentrons-nous sur le Concept SUV Coupé. Cet engin de salon mesure 4,94 mètres de longueur et 1,74 mètre de hauteur, une valeur qui reste importante pour un véhicule qualifié de coupé. Pourtant, on ne l’imagine pas aussi grand. Normal, la hauteur est visuellement réduite par l’énorme largeur, 2,04 mètres sans rétroviseurs ! Il faudra bien veiller ses placements sur les petites routes ! Le concept est monté sur des jantes de 22 pouces, équipées de pneus 305/45. Comme les dernières études de style Mercedes, l’auto adopte une teinte aluminium, qui rappelle les flèches d’argent des années 30 et 50.
Côté style, on retrouve les derniers gimmicks de la marque allemande. L’avant s’inspire du GLA avec une large calandre verticale qui intègre un immense logo. Les projecteurs à LED adoptent des contours arrondis. Sur le capot on voit deux nervures très marquées. Le Coupé Suv Concept est doté de portes sans cadre. L’arrière s’inspire de la Classe S Coupé. Les feux sont reliés par une bande lumineuse et la plaque d’immatriculation est dans le bouclier, des détails qui seront repris par tous les coupés de Mercedes à l’avenir. Comme sur les autres coupés de la marque, la lunette est arrondie au niveau de sa partie supérieure.
Aucune image de l’habitacle n’a été donnée. Pas sûr qu’il y en ait un vrai sur ce concept ! Le modèle de série devrait emprunter la planche de bord du ML, qui sera revue en profondeur au moment du restylage de celui-ci. En revanche, Mercedes a communiqué des détails sur la fiche technique du Concept Coupé SUV. Sous le capot on trouve un V6 3.0 essence à injection directe, doté de deux turbos. La puissance est de 333 ch à 5 500 tr/min et le couple maxi de 480 Nm entre 1 400 et 4 000 tr/min.
La transmission est une boîte automatique à neuf vitesses, associée à un stop and start. Evidemment, les quatre roues sont motrices, avec le système 4MATIC. Le Coupé SUV adopte une suspension pneumatique à amortissement sélectif et une stabilisation active anti-roulis. Le freinage fait appel à la céramique. La direction est de type assisté électromécanique.
Reste maintenant à attendre jusqu’à l’arrivée du modèle de série !
Au mois de février dernier, Mercedes levait le voile la Classe S Coupé, puis en mars la S Coupé 63 AMG et enfin il y a un peu moins d’un mois les tarifs du luxueux modèle étaient communiqués.
La Classe S fait à nouveau parler d’elle, avec cette fois-ci sa future version découvrable dont nous révélons les premiers clichés espions en exclusivité sur Abcmoteur.
Depuis les W111/W112 dans années 1970, la marque à l’étoile n’a plus produit de Classe S cabriolet quatre places avec capote en toile souple. Néanmoins, cela va changer d’après les derniers prototypes surpris par les chasseurs de scoops.
En effet, comme on peut le voir sur ces images, Mercedes entrain de développer la future Classe S Cabriolet qui est encore lourdement camouflée pour le moment.
Tout comme la Classe S Coupé, le cabrio devrait recevoir les même motorisations. A savoir les V8 4,0 l turbo de 455 ch et le V12 6,0 l biturbo de 530 ch. Les S Cabriolet 63 AMG (V8 4,7 l biturbo 585 ch) et S Cabriolet 65 AMG (V12 6,0 l biturbo 630 ch) sont encore à confirmer.
La Mercedes Classe S Cabriolet sera montrée au public dans le courant de l’année 2015 et se positionnera en concurrente sérieuse des Aston Martin Volante, BMW Série 6 Cabriolet et Maserati Gran Turismo.
Crédits : CarPix pour Abcmoteur
La Mercedes SL fait parler d’elle à nouveau après que son moteur d’entrée de gamme ait été revu, ici c’est la version S 63 AMG qui est retouchée pour 2014.
Consécutivement au remplacement du SL 350 par le SL 400, Mercedes revoit à la hausse la puissance du SL 63 AMG jusqu’à présent disponible en deux niveaux de puissance. En effet, si les 537 ch d’origine ne suffisaient pas, l’acheteur pouvait opter pour le Pack Performance et ainsi gagner 27 ch, soit un total de 564 canassons.
Il est désormais aussi puissant que la nouvelle Classe S 63 AMG Coupé
Pour les adeptes du douze-cylindres, le SL 65 AMG V12 6,0 l biturbo de 630 ch et… 1 000 Nm de couple – limités électroniquement afin de ne pas fumer l’embrayage en un temps record ! – est toujours proposé !
Pour le nouveau SL 63 AMG, le nombre de chevaux est porté à 585 et le couple moteur passe de 800 à 900 Nm. La consommation moyenne s’établit à 9,9 l/100 km pour 231 g de CO2/km. Pour le moment, c’est le seul niveau de puissance pour ce V8 comme le Pack Performance disparaît par la même occasion.
Avec cette amélioration, le coupé progresse de 0,1 s au 0 à 100 km/h à 4,1 s, tandis que la Vmax demeure bridée à 250 km/h. Par ailleurs, le différentiel à glissement limité fait désormais partie des équipements de série.
Le prix de l’Allemande dépassera la barre des 180 000 € pour aller se situer autour des 185 000 €, hors malus écologique de 8 000 €.
Audi indiquait il y a peu venir au salon de Pékin avec un crossover, il aura fallu peu de temps à Mercedes pour l’imiter en dévoilant une première image de celui appelé « Concept Coupé SUV ».
Sous cette appellation, la marque à l’étoile veut « all[er] chercher de nouveaux clients en élargissant [sa] segmentation. » Elle voit « un réel potentiel dans cette combinaison de coupé et de SUV« déclare son P-DG. Sans même ces propos et en se contentant de regarder l’imposante étude de style, on fait vite le rapprochement avec le X6 de BMW qui est clairement la cible numéro un !
C’est lors de la réunion annuelle des actionnaires que Dieter Zetsche a levé le voile sur le Mercedes Concept Coupé SUV
Reposant sans doute sur la plateforme du Classe M, ce crossover prend de fausses allures de coupé avec un pavillon arrière très incliné. Le Concept Coupé SUV est aussi très ramassé avec une surface vitrée latérale réduite, de grosses roues et une calandre proéminente où vient se poser l’étoile argentée d’une taille conséquente. La forme des optiques n’est pas sans rappeler les dernières productions de la firme, à savoir les Classe A, CLA, Classe E, …
Espérons que cette forme inédite chez Mercedes sera allégée esthétiquement parlant pour le passage en série, car actuellement l’ensemble est très lourd et peu esthétique…
Ce show-car dont la totalité des images officielles sera bientôt publiée devrait porter la patronyme « MLC » lors de sa sortie. C’est l’usine de Tuscaloosa en Alabama, aux Etats-Unis, qui se chargera de produire l’engin et ce, dès 2015.
Du côté des motorisations, il reprendra des V6 et V8 déjà connus avec transmission intégrale, tandis que sa commercialisation en Europe est encore au stade de l’hypothèse. Il faudra patienter encore un peu afin d’en savoir plus…
Mercedes a récemment levé le voile sur la remplaçante de la CL, à savoir la Classe S Coupé. Plus courte de 10 cm qu’une Classe S, elle peut se pencher jusqu’à 2,5 degrés dans les virages !…
Il maintenant temps de prendre connaissance du sujet qui fâche : l’addition.
Pour le lancement, les clients intéressés par le coupé luxueux à l’étoile auront le choix entre deux blocs. Le premier étant un V8 4,0 l biturbo de 455 ch et 700 Nm de couple. Si cela n’est pas suffisant, le préparateur officiel AMG propose un V8 5,5 l biturbo de quelques 585 ch et 900 Nm ! L’esthétique de la voiture tout comme le comportement sont revus pour l’occasion.
Côté tarifs, la S500 Coupé 4Matic (transmission intégrale) débute à 139 000 € hors malus CO2 de 8 000 €. Pour la S 63 AMG Coupé, la note s’élève à 185 000 € en 4Matic hors malus de 8 000 €. Il est à noter qu’elle est aussi disponible en propulsion.
Pour les amateurs au portefeuille bien garni, les premiers modèles arriveront en concession à partir du mois de septembre 2014.
D’autres versions plus accessibles et moins puissantes devraient rapidement faire surface, tout comme une S 65 AMG dotée du V12 pour chapeauter le tout !…
Mercedes profite de l’arrivée du printemps pour faire évoluer son roadster SL 350 qui disparaît au profit du SL 400. Le modèle à l’étoile se conforme à la tendance actuelle : le downsizing ou autrement dit la diminution de la cylindrée afin de satisfaire les normes anti-pollution.
Pour cela, le modèle à l’étoile délaisse son V6 3,5 l actuel d’une puissance de 306 ch contre un six-cylindres de plus que 3,0 l – déjà présent sur les Classe E Coupé & Cabriolet –, mais offrant 27 ch supplémentaires, soit un total de 333 canassons pour l’entrée de gamme du CC. Les deux turbos du nouveau bloc n’offrent pas uniquement un gain de puissance, le couple moteur est également en hausse. Il passe de 370 à 480 Nm (disponibles de 1 600 à 4 000 tr/min), soit une augmentation de 110 Nm.
La Mercedes Classe SL s’équipe d’un turbo pour la SL400. Si le 0 à 100 progresse sensiblement, à la pompe c’est bien plus limité
A l’exercice du 0 à 100 km/h, l’Allemande s’améliore assez nettement en accélérant sept dixièmes plus vite (5,2 s contre 5,9 s auparavant).
Par ailleurs, la consommation s’en sort aussi améliorée en diminuant de 7,5 à 7,3 l/100 km. Les émissions de CO2 baissent donc de quelques grammes à 172 g/km.
La grille tarifaire demeure encore inconnue pour la France, mais chez nos voisins d’outre-Rhin, la note a déjà été communiquée. Il faut compter 97 282,50 € pour le prix de base – oui, c’est précis…
Ce passage de l’atmosphérique à la suralimentation n’est qu’un début pour le SL, la génération suivante devrait connaître un bouleversement beaucoup plus important avec la perte de son toit en dur. La capote souple ferait son retour !
A suivre…
La marque à l’étoile ne perd pas de temps. Quelques semaines à peine après la présentation de la Classe S Coupé, voici déjà la version 63 AMG.
Lors de ses dernières collections, même dans la très chic « haute-couture printemps/été 2014 », Chanel n’a pas hésité à intégrer à ses tenues bourgeoises des baskets. Un drôle de paradoxe que l’on retrouve avec cette voiture. Le coupé Classe S, qui vient tout juste de faire ses débuts au Salon de Genève, se veut très haut de gamme. Sur ce véhicule, Mercedes privilégie clairement le confort au dynamisme. Mais comme on l’a vu avec la mode, les riches aiment aussi parfois faire du sport. La dernière née de la marque à l’étoile chausse donc à son tour les baskets pour faire quelques pointes de vitesse.
Mais la S 63 AMG ne fait pas partie de ces sportives du dimanche qui s’accoutrent n’importe comment, du moment que c’est confortable (genre c’est moche mais c’est pratique). Elle fait attention à son look, qui ne cherche pas à faire dans l’outrancier. L’élégance de la silhouette du coupé est donc préservée. Fait plutôt rare chez Mercedes, la « vraie » AMG n’a pas les mêmes prises d’air avant que le modèle équipé « seulement » du pack style AMG. Le bouclier est donc inédit, avec des ouvertures plus étirées. La calandre adopte une double barrette centrale. Les jantes peintes en noir font ressortir les étriers de freins rouges. A l’arrière, on remarque quatre sorties d’échappement et un petit diffuseur, le tout est intégré dans un élément noir laqué.
Le kit carrosserie fait dans le classique : calandre revue, prises d’air agrandies, bas de caisse redessinés… Mais Mercedes n’a pas voulu trop dénaturer la silhouette de la Classe S Coupé.
Passons rapidement sur l’habitacle, où les modifications sont assez rares, à quelques détails de décoration près bien évidemment (on remarque par exemple un bandeau imitant le carbone). Allons voir plus rapidement ce qui se cache sous le capot car c’est ce qui reste le plus intéressant sur ce véhicule ! La S 63 AMG adopte un V8 biturbo 5.5 litres, qui développe une puissance de 585 ch à 5 500 tr/min. Ce bloc développe un couple de camion : 900 Nm. Cette valeur maximale est disponible entre 2 250 et 3 750 tr/min. Tradition AMG oblige : le moteur est assemblé par une seule personne, qui appose à la fin une plaque avec sa signature.
Le V8 est couplé à une boîte robotisée 7 rapports, qui offre le choix entre trois modes de fonctionnement : « C », pour une conduite en conditions normales, qui favorise les économies d’essence, « S » pour Sport et « M » pour Manuel. Deux transmissions sont au programme : propulsion ou intégrale 4MATIC. Avec cette dernière, le 0 à 100 km/h est réalisé en 3,9 secondes. Il faut 4,3 secondes à la propulsion sur cet exercice. La vitesse maxi est la même des deux côtés, elle est limitée à 250 km/h.
Voici la pièce maîtresse de cette voiture ! Un V8 biturbo qui développe 585 ch et 900 Nm de couplé maxi. C’est 41 ch et 100 Nm de plus que sur la CL 63 AMG.
Le choix de la transmission entraine une différence au niveau des suspensions. La 4MATIC est équipée d’un classique système pneumatique. La propulsion a le droit de recevoir le dispositif Magic Body Control. Cet équipement comprend une caméra qui surveille la route et détecte à l’avance toutes les irrégularités de la chaussée. La voiture est ainsi « prévenue » et agira en conséquence. Le Magic Body Control peut être enrichi sur le coupé Classe S d’un système d’inclinaison dans les virages, qui permet de réduire l’accélération transversale qui s’exerce sur les occupants. En clair, on ne glisse pas de son siège dans les courbes.
Par rapport au modèle remplacé, la CL 63 AMG, Mercedes annonce un poids en baisse de 65 kg. La masse de départ tombe ainsi sous la barre des deux tonnes (1995 kg, sans occupant à bord ni bagage mais avec un réservoir d’essence plein à 90 %). Dans la liste des options, on trouve un système de freinage carbone-céramique ou des jantes de 20 pouces. Plus futiles, des optiques avant intégrant 47 cristaux Swarovski sont aussi proposées.
L’univers intérieur est très sombre. La planche de bord est habillée de cuir et la décoration imite le carbone.
L’auto fera ses débuts en public au mois d’avril lors du Salon de New York. A ce moment-là, Mercedes ouvrira le carnet des commandes. Mais la Classe S 63 AMG n’arrivera pas avant septembre dans les concessions.