Apparue en 2007, la Nissan GT-R a été continuellement améliorée. Chaque année quelques retouches sont apportées. Pour 2015, la supercar sera une nouvelle fois mise à jour. Voici les nouveautés.
La dernière mise à jour avant son remplacement ?
Commençons par l’esthétique qui reste inchangée à l’exception des jantes pour lesquelles un nouveau modèle à double branches apparaît en option.
Le confort est le point qui a été visé en particulier par les équipes de la marque nippone (voir vidéo en fin d’article). Pour l’améliorer, elles ont revu l’amortissement qui demande désormais moins de corrections sur une chaussée dégradée. A cela s’ajoute une nouvelle structure pour la monte pneumatique d’origine augmentant la stabilité. Aussi, l’isolation acoustique du tapis de coffre devient plus efficace. Le constructeur affirme garder le même niveau de performance.
De petites corrections donc, qui s’appliquent également au freinage, à la transmission, ainsi qu’à la direction. Le but étant d’amplifier le ressenti avec la pédale de frein. Pour les deux autres éléments, les vibrations et le bruit ont été diminués. Ce sera sans doute la dernière évolution pour « Godzilla » avant de voir apparaître sa remplaçante en 2016 ?
Une nouvelle finition intermédiaire
Petit bonus pour le coupé à transmission intégrale avec boîte séquentielle à 6 rapports et développant toujours 550 ch et 632 Nm de couple à partir de son V6 3,8 l biturbo. En effet, une nouvelle finition est introduite. Celle-ci vient s’intercaler entre la version standard et la plus radicale baptisée Nismo qui culmine à 600 ch.
Appelée « Track Edition engineered by Nismo » (79 700 € au Japon), cette finition inédite bénéficie du savoir-faire du préparateur de Nissan. Il s’agit d’une suspension, de renforts pour la caisse et le châssis, d’amortisseurs spécifiques, d’ailes avant élargies, de jantes et pneus, … spécifiques.
Une série limitée « 45th Anniversary » en référence aux 45 ans de la première Nissan Skyline GT-R sera proposée à la vente dans la limite de… 45 unités. Une teinte métallique et une finition intérieure inédites lui seront réservées.
La commercialisation sur le sol français de la Nissan GT-R 2015 se fera probablement au printemps prochain.
Personne ne s’y attendait et pourtant Nissan l’a fait ! Sur le stand du nippon trônait une Pulsar Nismo ! Petit tour des nouveautés chez le constructeur japonais…
Nissan Pulsar Nismo Concept
Arrivée récemment dans la gamme Nissan, la Pulsar n’a à priori pas l’ambition de bouleverser la catégorie des compactes qu’elle réinvestit… Mais souvenez-vous, Nissan a osé implanter le moteur de la GT-R dans le normalement sage crossover Juke… Comme quoi, tout est possible !
Depuis, Nissan virilise ses modèles sportifs (370 Z puis GT-R tout récemment) par des déclinaisons Nismo. Néanmoins, le constructeur nippon veut aller plus loin et nous présente un concept Pulsar Nismo au look époustouflant !
Ainsi, le bouclier avant est copieusement musclé avec d’imposantes prises d’air, rehaussées de fibre de carbone, des feux diurnes et deux lames rouges en partie inférieure. Le profil accueille, lui, des jupes latérales plus imposantes soulignées de rouge et des jantes de 19 pouces. A l’arrière, la Pulsar Nismo Concept présente là encore un bouclier surgonflé et une double sortie d’échappement centrale encadrée de rouge.
Nous remarquerons surtout dans l’habitacle les baquets Recaro de couleur rouge et noir, ainsi qu’un volant repris à la 370 Z.
Peu d’informations techniques sont connues. Tout juste pouvons nous imaginer un châssis surbaissé et une suspension raffermie accompagnant vraisemblablement un moteur 1.8 turbo essence de plus de 250 ch.
Nissan a « pris la température » au Mondial, toutefois nous ne pouvons que souhaiter la commercialisation de cette boule de nerfs ! De quoi inquiéter les Mégane R.S., Léon Cupra et autres futures Civic Type R et 308 R.
Nissan IDx Freeflow et Nismo
Apparus pour la première fois au salon de Tokyo 2013, ces deux petits coupés ont immédiatement conquis leur public. La marque japonaise avait alors assuré leur commercialisation pour 2016, mais il semble que finalement rien ne soit tranché.
Par conséquent, Nissan les a exposé au Mondial de Paris histoire de prendre encore un peu pouls et se laisser le temps de réfléchir. Compacts, légers et peu puissants, les IDx Freeflow et Nismo auraient tout d’une petite sportive propulsion accessible. A suivre !…
Voiture d’ingénieur pour certains, tueuse de supercars pour d’autres, qu’on le veuille ou non la GT-R a fait couler beaucoup d’encre. Mise à jour tous les ans depuis son lancement en 2008, nos photographes espions sont tombés sur un prototype avec l’avant camouflé, préfigurant le cru 2015.
Aérodynamique revue
Le premier changement que l’on remarque sous le camouflage concerne la calandre, qui se scinde désormais en trois parties. La prise d’air est aussi légèrement modifiée et perd sa forme trapézoïdale au profit d’un design rectangulaire. En partie basse, la lame avant semble légèrement plus travaillée que sur la génération actuelle. Les extrémités de la face avant ont également une forme retravaillée, qui n’est pas sans rappeler la GT-R Nismo.
Si aucune autre modification n’est visible pour le moment, Nissan pourrait tout de même proposer de nouvelles peintures ou de nouvelles jantes, comme il l’a fait avec les précédentes versions.
Quid de la partie technique ?
Avec l’introduction d’une suspension Bilstein faite sur mesure pour la Nismo, il y a fort à parier que la GT-R 2015 reçoive une mise à jour de ses trains roulants et profite des avancées technologiques du constructeur. Le travail effectué sur la rigidité de la caisse devrait également être repris. Au niveau de la puissance, gageons que Nissan décide d’augmenter légèrement cette dernière pour la situer entre un millésime 2014 (550 chevaux) et une Nismo (600 chevaux).
Ces améliorations pourraient d’ailleurs être les dernières apportées à la GT-R telle qu’on la connaît, si la marque décide d’introduire une hypothétique GT-R R36. Les rumeurs voudraient que la remplaçante de Godzilla (surnom affectif donné à la GT-R par les Japonais) soit animée par un moteur hybride fort de 700 chevaux.
Prix en hausse
L’un des atouts majeur de la GT-R à sa sortie, c’était son prix. En effet, elle était disponible en version de base aux alentours de 76 000 €. Certes elle n’était alors donnée « que » pour 475 chevaux, mais au fil des ans son tarif a gonflé pour atteindre un ticket d’entrée fixé à 94 200 € aujourd’hui.
Avec les modifications, la prochaine devrait encore faire grimper l’addition, se rapprochant dangereusement de la barre des 100 000 €. Plus si bon marché.
Lancée depuis peu, la Nissan 370Z Nismo va subir pour la rentrée 2014 en l’Europe (aux les Etats-Unis, la présentation a eu lieu en mai dernier) un restylage concernant la carrosserie, l’habitacle et le châssis. En voici les détails.
Un design extérieur encore un peu plus agressif
Il ne sera pas trop difficile de distinguer la proue du 370Z Nismo 2015 de la version précédente. En effet, celle-ci adopte un nouveau bouclier avec des feux leds horizontaux, des ouvertures devant les passages de roue et une lame avant de couleur rouge avec un dessin plus sophistiqué.
On note également, des phares avec le fond de l’optique assombri, des rétroviseurs inédits, ainsi que des jantes alliage 19 pouces forgées Rays à la finition diamantée brunie.
Enfin, la poupe n’a pas été oubliée avec une refonte du pare-chocs et du spoiler pour améliorer l’aérodynamisme de l’auto. Aussi, l’aileron devient plus petit, mais il accroît son appui à haute vitesse. Nissan assure que les forces aérodynamiques sont maintenant bien réparties entre l’avant et l’arrière du 370Z Nismo millésime 2015 et que l’appui de son coupé sportif est supérieur à celui de ses concurrents.
Des nouveaux baquets spécialement étudiés pour le 370Z Nismo
Pour profiter à fond de ces améliorations, Recaro a été sollicité pour équiper en sièges baquets la voiture. C’est sur la base de Recaro Sportster que les nouveaux sièges du 370Z Nismo restylé ont été spécialement conçus dans le but de proposer une meilleure position de conduite avec un maintient et un confort qui progressent.
Ces sièges, dont la structure est constituée par une coque, deviennent plus rigides et légers. Ils sont recouverts de cuir noir et d’Alcantara rouge, couleur propre à Nismo.
Même puissance moteur, mais réglages châssis revus
Comme jusqu’à aujourd’hui, la Nissan 370Z Nismo phase 2 conserve son moteur V6 atmosphérique essence d’une cylindrée de 3,7 litres développant 344 chevaux et 371 Nm de couple. Une mécanique de plus en plus rare offrant du couple à bas régime et un 0 à 100 km/h en 5,2 secondes. Sa vitesse maxi est bridée électroniquement à 250 km/h.
Ce qui change, ce sont : le tarage des amortisseurs arrière et de nouvelles protections à l’intérieur des passages de roues afin d’obtenir un meilleur confort de suspension et une insonorisation de l’habitacle plus réussie. Le 370Z Nismo est toujours proposé uniquement en coupé et en boîte manuelle avec système de talon-pointe automatique au rétrogradage.
Commercialisation en septembre
Commercialisés à partir de septembre 2014, les 370Z et 370Z Nismo 2015 qui recevront à peu près les mêmes modifications n’ont pas encore divulgué leurs prix. La marque indique que la fiche technique et les tarifs seront diffusés peu avant le lancement du modèle.
Pour fêter les 15 ans du jeu vidéo Gran Turismo (déjà !), les designers de Nissan ont créé un modèle virtuel ; le Nissan Concept 2020 Vision Gran Turismo.
Il s’agit d’une supercar 2+2 créée en collaboration avec la société Polyphony Digital Incorporation (éditeur japonais du jeu Gran Turismo).
Une voiture très basse, écrasée même, qui laisse deviner de l’avenir des modèles « haute performance » de la marque. Les designers anglais, ce sont eux en effet qui ont eu carte blanche au bureau londonien pour créer le véhicule, en collaboration avec l’équipe d’ingénieurs Nissan basée à Atsugi au Japon, ont élaboré un modèle futuriste, aux lignes tendues et résolument sportif.
Un exercice de style qui laisse présager de ce que pourrait être la nouvelle GT-R ? Ou un simple délire de designers ?
La Nissan Concept 2020 Vision Gran Turismo en vidéo
Au début du mois de mars dernier, nous vous présentions le Nissan Juke restylé, mais il manquait encore quelques informations sur les équipements, moteurs et tarifs notamment. Voici donc les derniers détails.
Du nouveau sous le capot
Au total, le Juke 2014 propose cinq moteurs de 94 à 190 ch dont quatre essence. La nouveauté est un turbo essence DIG-T de 1,2 l et 115 ch pour 190 Nm de couple (19 150 €). Il est associé à une boîte manuelle à 6 rapports et à un stop & start de série. Il vient remplacer (uniquement en boîte manuelle) le vieillissant 1,6 l de 117 ch qui reste vendu avec la boîte à variation continue (CVT) Xtronic.
Arrivé à mi-carrière, le Nissan Juke voit ses optiques et boucliers retouchés
En diesel, seul le 1,5 l dCi de 110 ch pour 260 Nm de couple (19 550 €) pourra être choisi par les gros rouleurs. Les amateurs de 4×4 devront obligatoirement passer le 1,6 l DIG-T de 190 ch pour 240 Nm (26 150 €), puisqu’il est le seul bloc avec transmission intégrale.
Arrivée du toit ouvrant panoramique
Sur les finitions haut de gamme (Connect Edition et Tekna), la liste des équipements de série est plutôt bien fournie.
En Connect Edition, on a l’allumage automatique des feux et des essuie-glaces, les rétroviseurs rabattables électriquement, les caméras de stationnement à 360°, le système de navigation tactile ou encore le fameux « Safety Shield » cher à Nissan comprenant un ensemble d’équipements de sécurité (détection de franchissement de ligne, angle mort et objets en mouvement).
En Tekna, on ajoute un inédit toit ouvrant panoramique, des projecteurs au xénon, des sièges avant chauffants et le démarrage sans clef.
Pas d’inflation sur les prix
La bonne nouvelle, c’est que suite à ce facelift la marque nippone ne fait pas grimper la note. L’entrée de gamme constituée par le 1,6 l essence de 94 ch en finition Visia débute toujours à 15 990 €. En sus, on bénéficie des feux de jour à LED, de quatre vitres électriques et d’un capteur de pression, mais en revanche pas de climatisation.
Le 1,2 l DIG-T de 115 ch est même moins cher de 452 € par rapport au 1,6 l de 117 ch qu’il supplante et tout cela sans malus.
La liste complète des moteurs, finitions et tarifs
Pour la troisième génération du X-Trail (voir notre présentation détaillée), Nissan a complètement repensé son 4×4 pour le faire ressembler davantage à un SUV. Les lignes sont réussies et si il grossit légèrement en longueur (17 mm) et largeur (30 mm), son poids est en baisse de 90 kg avec 1 500 kg pour le modèle de base.
Un seul moteur pour le lancement !
Petite surprise, puisque le nippon disponible en 5 ou 7 places (+ 800 €) ne proposera qu’un seul moteur lors de sa commercialisation au mois de juillet 2014 ! Il s’agit d’un quatre-cylindres diesel 1,6 l dCi offrant 130 ch et 320 Nm de couple dès 1 750 tr/min. Un bloc bon à tout faire et sobre. A la pompe, il demande 4,9 l/100 km de carburant pour des rejets de CO2 s’élevant à 129 g/km en 4×2. Seules les versions 4×2 avec la boîte auto à variation continue Xtronic (CVT) et 4×4 (uniquement disponible en boîte manuelle à 6 vitesses) sont soumises au malus. Respectivement, elles demandent 150 € (135 g/km) et 250 € (139 g/km).
Avec ce nouvel opus, le X-Trail 2014 donne un sérieux coup de vieux à celui qu’il remplace
Moins cher que celui qu’il remplace
La bonne nouvelle, c’est que le X-Trail III en profite pour être moins onéreux que son prédécesseur. Ainsi, l’offre débute à 27 700 € avec l’entrée de gamme Visia comprenant déjà le feux de jour à LED, la climatisation, l’aide au démarrage en côte, le témoin de pression des pneus, le régulateur de vitesse, un accoudoir à l’avant et à l’arrière, quatre vitres électriques, le kit main libre Bluetooth ou encore les jantes en alliage de 17 pouces.
Le deuxième niveau de finition, Acenta, ajoute pour 2 200 € de plus la climatisation automatique bi-zone, les antibrouillards, l’allumage auto des feux et essuie-glaces et les radars de stationnement avant et arrière.
Plus d’équipements pour le haut de gamme
Les finitions haut de gamme telles que Connect (à partir de 32 250 €) et Tekna (34 400 €) permettent d’accéder au hayon électrique, à des caméras de stationnement à 360°, au système d’info-divertissement avec écran tactile, l’ouverture et le démarrage sans clef, le freinage automatique d’urgence, le détecteur d’angle mort, les projecteurs entièrement à LED, …
Chez Nissan, ces dernières années on a fait carton plein sur le créneau des crossovers avec le Qashqai et le Juke qui ont d’ailleurs été récemment restylés. Toutefois, un trou devait être bouché depuis l’arrêt de la berline compacte Almera 2 – oui, il est normal que ce nom ne vous ait pas marqué – en 2006.
En observant la Pulsar 2014, les fins connaisseurs identifieront quelques traits communs avec la Tiida 2 en particulier sur le profil pour la découpe du vitrage. Néanmoins, c’est avant tout ses liens de parenté avec les dernières productions de la marque qui sautent aux yeux. On remarque tout particulièrement le « V » sur la calandre et les optiques arrière très inspirées par le dernier Qashqai. Malheureusement, l’ensemble n’est pas pour autant franchement attirant, même plutôt banal.
Conventionnelle, la nouvelle Nissan Pulsar 2014 mise sur d’autres atouts que son style pour séduire
Là où la Pulsar se distingue, c’est au chapitre des dimensions. Avec une longueur de 4,39 m, elle mesure 15 cm de plus que ses deux rivales citées précédemment ! Son empattement s’élevant à 2,70 m n’est pas non plus des plus petits. Ce grand gabarit devrait logiquement être favorable à l’habitabilité et au volume de coffre, d’autant plus que le design de la Japonaise ne semble pas compromettre l’espace à bord avec une garde au toit importante.
Des équipements à la pointe
La Nissan Pulsar n’évitera pas l’habituel package technologique constructeur, à savoir le Safety Shield comprenant plusieurs système de sécurité dont la détection des objets en mouvement, l’alerte de franchissement de file, la surveillance d’angle mort, le freinage automatique d’urgence, …
La navigation NissanConnect et l’AVM-Vision 360° à quatre caméras (vue tout autour de la voiture, pour faciliter les manœuvres par exemple) sont aussi de la partie.
Un essence et un diesel, dans un premier temps
Les clients intéressés auront vite fait le tour des motorisations au catalogue lors du lancement, puisque la Pulsar se contentera de seulement deux moteurs. Il s’agit d’un diesel 1,5 l dCi de 110 ch et 260 Nm de couple, ainsi qu’un essence 1,2 l DiG-T de 115 ch et 190 Nm. Le tout pouvant recevoir une boîte manuelle ou au choix une transmission automatique à variation continue (CVT) Xtronic.
La consommation moyenne et les taux d’émission de CO2 n’ont pas encore été communiqués, car en cours d’homologation, mais Nissan affirment que moins de 95 g de CO2/km seront rejetés.
En outre, début 2015 un 1,6 l turbo essence fort de 190 ch fera son entrée, avec pourquoi pas un kit carrosserie plus aguicheur ?
A découvrir à l’automne 2014
Fabriquée à l’usine de Barcelone, en Espagne, la Nissan Pulsar débutera sa commercialisation à l’autonome prochain et sera présentée au Mondial de l’auto à Paris. Ses tarifs, tout comme les images de l’habitacle, seront diffusés ultérieurement.
Nissan a profité de la journée annuelle de rassemblement des propriétaires d’un coupé de la lignée Z, le « ZDayZ », pour le lever le voile sur la 370Z Nismo millésime 2015.
Nouveautés esthétiques
Au menu de ce restylage de la 370Z Nismo apparue en 2008 aux US (2013 en France), on remarque pour la proue un nouveau bouclier avant avec deux lèvres rouges inspiré par la GT-R Nismo et des led horizontales. Des jantes inédites bicolores en alliage d’une taille de 19 pouces font leur apparition. Pour la partie arrière, on note un becquet de coffre intégré à la carrosserie plus discret, un bouclier avec un liseré rouge et des extracteurs plus grands.
La nouvelle Nissan 370Z Nismo dans les locaux de Nismo à Yokohama aux côtés de la Z Motul Autech GT 500
Si le design se modernise, il devient aussi un peu plus chargé
Quatre teintes sont disponibles : Solid Red, Magnetic Black, Pearl White et Brillant Silver.
Quelques améliorations pour l’intérieur
Du côté de l’habitacle, cette mise à jour se décline à travers de nouveaux sièges baquets Recaro rouges et noirs faits de cuir et d’alcantara. Le volant en alcantara change d’apparence, tandis que le tachymètre (compteur de vitesse) devient rouge.
Le client pourra, en option, opter pour le pack Tech incluant un écran tactile multifonction 7 pouces, un rétroviseur intérieur électrochrome, ainsi qu’un système audio Bose.
Des évolutions sur le plan technique, mais pas pour le moteur
Enfin, en ce qui concerne la mécanique, le V6 3,7 l atmosphérique développe toujours 350 ch et 374 Nm de couple (version américaine). Toutefois, la 370Z restylée gagnera une suspension revue et surtout pour la première fois une transmission automatique. C’est une boîte auto à sept rapports avec palettes au volant et le Downshift Rev Matching (DRM) permettant un double-débrayage automatique au rétrogradage. Heureusement, la boîte manuelle est toujours proposée.
Le coupé japonais sera disponible aux Etats-Unis au mois de juillet 2014. Une commercialisation pour la France n’est pas prévue. Les tarifs n’ont pas encore été communiqués.
Le gros SUV de Nissan, c’est le Murano. Cette auto avec un style décalé apparue en 2003 va laisser place à sa troisième génération. Le salon de New-York qui se tient actuellement est l’occasion pour le constructeur de dévoiler au grand jour ce nouveau modèle.
Plus aérodynamique et léger
Dès le premier coup d’œil, le Murano III rappelle le concept-car Resonance du salon de Detroit 2013 dont il s’en inspire largement comme prévu. On retrouve donc cette nouvelle identité stylistique avec une calandre proéminente en forme de « V », le pavillon donnant l’illusion d’être flottant et les feux arrière en boomerangs. Le tout lui conférant une allure assez futuriste et intimidante sans toutefois égaler le Lexus NX !
Le Nissan Murano 3 profite d’une face avant modernisée avec des blocs de phare faisant penser au coupé 370Z de la marque
Le SUV profitera des dernières technologies, à savoir les caméras à 360°, la détection des angles morts, le freinage d’urgence automatique, le régulateur de vitesse adaptatif, …
Au-delà de ces évolutions esthétiques, la marque japonaise a aussi soigné deux autres aspects : l’aérodynamisme et le poids. Cela fait que respectivement le premier point est amélioré de 16 % avec un coefficient de traînée de 0,31 et que la masse du véhicule décroît de 59 kg. A la clef, ce sont des consommations de carburant en baisse qui sont à attendre.
Déjà quelques motorisations connues
La mise à jour se poursuit du côté des moteurs avec un V6 3,5 l essence passant de 255 à 260 ch. Il sera disponible en 4×4 comme en traction avant avec des jantes de 18 pouces ou jusqu’à 20 pouces en option.
A l’intérieur, le Murano joue la carte du luxe avec un espace important pour ses passagers. Le toit panoramique devient l’un des plus grands de sa catéogorie
L’ensemble est plus épuré (10 boutons au lieu de 25 auparavant)
Par ailleurs, l’Europe devait avoir le droit à un nouveau bloc fonctionnant au mazout venant remplacer l’antique 2,5 l dCi de 190 ch. Il faudra encore patienter un peu avant de connaître la totalité de la palette de motorisations proposée.
A découvrir très prochainement en concession
La date de sortie n’a pas encore été divulguée, mais la commercialisation du mastodonte de près de cinq mètres se fera d’ici la fin de l’année 2014 à un prix de base estimé à au moins 50 000 € hors malus écologique.
Le fameux compte YouTube « NM2255 » où l’on trouve une mine de vidéos dédiées aux voitures de sport avec un soin particulier apporté à l’enregistrement de leur sonorité avait filmé une Nissan GT-R R35 une peu spéciale…
850 chevaux et un échappement spécifique !
Dès que l’échappement de la Japonaise est libéré, la bande son du V6 turbo de 3,8 l (développant autour des 500 ch selon les millésimes) est très, très plaisante à écouter ! Alors quand le préparateur Monstaka retouche le coupé pour qu’il offre 850 ch sous le pied du conducteur en y associant une ligne complète Hks, le rendu est plus que probant !
Godzilla !!
Voici une série d’accélérations dans les rues de Monaco avec différentes prises de vues !…
Chez Nissan, on a pas peur de sortir sentiers battus. La déclinaison sportive du petit crossover de la gamme en est une bonne illustration. Le Juke Nismo RS restylé est donc bien présent au salon de Genève.
Un Juke encore plus dévergondé
Déjà doté d’une apparence des plus originales, tout comme la version standard, le Juke Nismo RS 2014 profite du restylage réalisé sur ce modèle. Il se caractérise donc par une allure musclée avec de nouveaux optiques et boucliers agressifs, des extensions d’ailes avant et arrière, des bas de caisse marqués et une grille de calandre au maillage plus fin. A cela, il faut ajouter un liseré rouge faisant le tour de la voiture, une sortie d’échappement horizontale (en est inclinée vers le bas sur les moteurs moins puissants), un becquet surplombant la lunette arrière et des coques de rétroviseur rouges avec répétiteur de clignotant à LED intégré.
Voici le nouveau Nissan Juke Nismo RS avec ses phares xénon Il sera proposé en quatre coloris : blanc nacré, gris mat, gris perle et noir métallisé
Le constructeur promet une sonorité à l’échappement « plus rauque et sportive »
En outre, on remarque des jantes bicolores 18 pouces et un logo « RS » sur la proue, la poupe et le compte-tour de la Japonaise.
Performances améliorées
Bien heureusement, les ingénieur de Nissan Motorsport ne se sont pas arrêtés en si bon chemin. Des évolutions sont également de la partie pour le moteur avec un gain de 18 ch et 30 Nm de couple, soit un total de 218 canassons et 280 Nm issus du 1,6 l turbo essence.
La rigidité du châssis a été améliorée, tout comme le système de freinage plus endurant
Dans l’habitacle, le tempérament de la bête est évoqué par un rappel de point milieu sur le volant, un pédalier alu, des sièges baquets Recaro, … Le conducteur profite aussi de caméras 360°et du Nissan Safety Shield offrant un ensemble de systèmes de sécurité
Le client peut choisir entre une version traction équipée d’un différentiel autobloquant mécanique ou une autre en transmission intégrale. Pour faire passer la puissance, ce sera une boîte automatique à 8 rapports avec mode séquentiel qui sera utilisée.
Petite déception, puisque Nissan n’a pas encore communiqué sur la fiche technique de son nouveau Juke Nismo RS, mais il fera mieux que les 200 km/h en pointe et 8,2 s au 0 à 100 km/h de son prédécesseur.
Commercialisation et prix
Pour le garer dans son garage, il faudra patienter jusqu’au second semestre 2014. C’est durant cette période que sa date de sortie sera programmée.
Côté tarifs, rien n’est encore officiel, mais on attend un prix d’appel plus élevé. Entre 27 000 et 28 000 €.
Le segment des petits crossover est le créneau pour les marques généralistes en 2014. Nissan qui avait lancé le mouvement avec le Qashqai – lui aussi récemment remis au goût du jour – renouvelle son petit frère apparu en 2010. Le Juke passe donc par la case restylage et il subit tout un lot d’évolutions à découvrir ci-dessous…
Il adopte les optiques avant du coupé 370Z
La première modification qui saute aux yeux concerne la proue. Celle-ci reçoit de nouveaux phares à LED faisant en forme de boomerang penser à ceux que l’on trouve sur la 370Z. A cela, on note que la « banane » située sur la calandre et entourant le logo de la marque devient plus épaisse. Les rétroviseurs gagnent des répétiteurs de clignotants à LED.
Le « nouveau » Nissan Juke garde son style décalé qui a déjà séduit plusieurs dizaines de milliers d’acheteurs français
Pour la fantaisie, les jantes pourront même être assorties à la couleur carrosserie…
Les plus aguerris remarqueront des ailes élargies, un bouclier arrière revu et un dessin intérieur différent pour les feux présents sur la poupe. En outre, de nouvelles teintes et jantes seront proposées aux clients.
Nouvelle signature lumineuse pour le Juke restylé qui passe aux LED !
Des évolutions également pour l’habitacle
Le constructeur japonais en profite aussi pour retoucher l’intérieur du Juke avec des possibilités de personnalisation plus importantes. Différentes colorations peuvent être choisies pour les garnitures de porte, la console centrale, les surpiqures de sièges, …
La couleur fait son entrée dans l’habitacle, une bonne chose au regard de la présentation peu joyeuse…
Un toit vitré panoramique pouvant s’ouvrir électroniquement fait son entrée et le volume de coffre progresse de façon notable en passant de 251 à 354 litres pour les versions deux roues motrices. Le plancher est à double niveau.
Nissan n’oublie pas de mettre à jour son modèle sur le chapitre technologique en ajoutant aux équipements le Nissan Safety Shield correspondant à un ensemble de systèmes de sécurité (caméras à 360°, angles morts, airbags rideaux, …) et un écran multimédia avec info-divertissement et navigation grâce au Nissan Connect.
Un nouveau moteur essence sous le capot
Par ailleurs, la mécanique n’est pas en reste avec un nouveau bloc essence 1,2 l DiG-T 115 ch doté du start & stop et remplaçant le 1,6 l de 117 ch.
Type de moteur
Moteur
Conso / CO2
essence
1,2 l DiG-T 115 ch
5,5 l / 126 g
1,6 l DiG-T 190 ch
non communiqué / 139 g
diesel
1,5 l dCi 110 ch
4,0 l / 104 g
Le puissant 1,6 DiG-T – optimisé pour l’occasion afin d’offrir plus de couple en bas – pourra être commandé en version intégrale et recevoir la nouvelle transmission automatique à variation continue M-CVT avec mode séquentiel (7 rapports).
Date de sortie et prix du petit crossover
La commercialisation du Nissan Juke phase 2 est attendue pour l’été 2014 et son prix d’entrée devrait demeurer stable à 16 000 € environ.
Dévoilée au mois de novembre dernier, la Nissan GT-R Nismo est préparée par le département performance de la marque japonaise. Ce passage dans les ateliers de ces « magiciens » lui permet de gagner 50 ch et 20 Nm de couple sur le V6 3,8 l biturbo pour atteindre un total de 600 ch et 632 Nm, mais qu’en est-il de son prix ?
La NIssan GT-R Nismo est dotée d’une mécanique plus puissante (599,76 ch exactement), mais aussi d’une suspensions plus efficace et d’une aérodynamique retravaillée
Un prix et une date de sortie communiqués…
La supercar du pays du soleil levant s’échangera contre la coquette somme de 150 000 € et c’est sans compter sur l’Etat français demandant au passage 8 000 € supplémentaires au titre du malus écologique… Reste à savoir si Nissan proposera également sur la GT-R le pack aérodynamique nommé « N-Attack » au Japon. Celui-ci a permis de boucler un tour du Nürburgring en 7 min 08 s 679.
Cela se caractérise par de nouveaux boucliers et un aileron arrière plus imposant
Le bolide sera en concessions dès le mois de septembre 2014.
… mais les performances demeurent inconnues
Alors que l’on sait qu’une Nissan GT-R 2014 « standard » de 550 ch plie le 0 à 100 km/h en seulement 2,8 s, le constructeur se réserve de mettre au grand jour les performances de son auto (2,4 s sont attendues pour cet exercice). Est-ce un contretemps ou une volonté de créer la surprise lors de sa présentation au salon de Genève ?
Le cuir se fait plus présent, notamment sur la planche de bord. Les sièges baquets Recaro sont en fibre de carbone
Sur circuit, il y a toujours celui qui a une auto plus puissante et qui vous énerve parce que même si vous pilotez mieux que lui, il vous distance en ligne droite. Alors qu’il n’y a pas besoin d’avoir 100 ch pour se faire plaisir sur piste, voici une vidéo d’un pilote japonais pas peu fier de s’être « fait » une Nissan GT-R sur circuit à bord de sa Honda Civic EF1 préparée (moteur 1,4 l sohc) !
Intitulée « Where is your GODzilla now? », cette séquence est pour le moins amusante. A prendre avec humour bien sûr, si ce n’est qu’on peut retenir qu’acheter un bolide de quelques 500 ch ne veut pas dire acheter le coup de volant avec, à méditer pour ne griller les étapes !
Voir aussi la vidéo complète où l’on peut voir ce monsieur avaler une Integra et une S2000 toutes les deux modifiées pour le circuit :
Les fans de la supercar japonaise n’en croiront pas leurs yeux : dans les rues de Singapour les passants et automobilistes ont pu voir un défilé de GT-R d’une rare importance !
Elles sont blanches, noires, rouge ou oranges, voici 30 Nissan GT-R en pleine ville !
Ce sont pas moins de 30 exemplaires de celle que l’on surnomme « Godzilla » qui ont été aperçues. La Nissan GT-R est déjà très imposante, mais avec ce rassemblement la sensation pour les piétons devaient être tout autre !
Une vidéo filmée depuis l’intérieur d’une des GT-R du convoi a été mise en ligne. On peut voir les sportives partir du fameux hôtel Marina Mandarin (régulièrement des autos d’exception y sont stationnées) pour aller au Avaition Park Road de Singapour.
Pour écouter 30 V6 3,8 l bi-turbo dont certains sont préparés, c’est par ici
Nissan fait partie des constructeurs automobiles innovants et décalés. Nous avons pu le voir avec le Juke-R, un crossover préparé par les équipes Nissan afin de délivrer 545 chevaux ! Au salon de Tokyo 2013 avait été présenté deux concepts de coupés basés sur une même auto : les IDx Freeflow & Nismo.
Les Nissan IDx, avec la Nismo au premier plan et la Freeflow à l’arrière plan
Pour Detroit qui se tient actuellement aux Etats-Unis, la marque japonaise fait une nouvelle fois sensation avec ses deux études et Andy Palmar, vice-président de Nissan, annonce qu’au moins une des deux IDx prendra le chemin de la production !
Deux coupés néo-rétro
Devant le petit succès des Toyota GT86 (voir notre essai circuit) et Subaru BRZ, Nissan ne compte pas rester immobile. C’est avec deux concept-cars remettant au goût du jour des silhouettes du passé (Datsun 510/1600 et la première Skyline GT-R) qu’il compte faire la concurrence.
La Freeflow est un coupé de taille réduite. Il mesure 4,1 m de long, 1,7 m de large et 1,3 m de haut. Dotée d’un style atypique, mais attachant et moderne, cette auto propulsion avec moteur avant n’a pas précisée sa motorisation. Ce serait de petits blocs essence de 1,2 à 1,5 l de cylindrée. Le poids réduit aidant à obtenir de bonnes performances sans utiliser un gros V6 par exemple. Un boîte automatique à variation continue (CVT) serait de la partie.
Les feux LED de forme circulaire donnent beaucoup de charme à la Freeflow
L’habitacle est sobre et assez chaleureux. Les sièges en jean sont originaux !
Pour la Nismo, comme son nom l’indique, ce sont les chronos qui sont visés. Ici, les dimensions progressent légèrement (+ 10 cm tout de même en largeur) grâce au kit aérodynamique et c’est aussi ce qui lui confère une esthétique de petite bombinette. On remarquera l’échappement latéral du plus bel effet, les différentes pièces en carbone, le diffuseur arrière, les petites touches couleur pourpre et les jantes en 225/40 19 pouces. Pour le moteur, ce serait un essence 1,6 l turbo avec boîte auto et palettes au volant.
La Nismo annonce la couleur !
Il va falloir aimer le rouge, mais l’habitacle est sportif comme on aime !
Pas très puissant, mais fun
Le but ici, c’est de cibler les jeunes. Aujourd’hui, avoir une voiture ne fait plus partie des priorités de cette tranche de la population. Avec ces deux petits coupé accessibles, Nissan souhaite attirer ceux que l’automobile n’intéresse pas (IDx Freeflow) et ceux qui voudraient s’offrir une première petite sportive (IDx Nismo). Même si les blocs seront relativement modestes, la légèreté, le petit gabarit et la propulsion permettront de s’offrir du plaisir en tant que conducteur.
Voici les paroles de M. Palmer : « ce sera une auto très légère et donc avec un petit moteur. Mais cela reste fun puisque ce sera une propulsion. Nous n’avons pas encore statué pour la boîte mais je m’attends quand même à trouver des palettes au volant. Il y a de nos jours différentes manières de concevoir une boîte manuelle. Nous cherchons à faire différent de Toyota, à proposer une voiture de sport différente. Et ça devrait ressembler de près au concept. Nous devons faire renaître cet enthousiasme de la voiture de sport chez les jeunes. »
Quid de sa sortie ?
Il est encore trop tôt pour connaître la date de commercialisation, mais une sortie en 2016 ne serait pas impossible. Du côté des tarifs, on peut tabler sur un prix d’entrée aux alentours de 30 000 €, on n’espère pas plus.
A découvrir en vidéo
Voici les deux concepts IDx. La IDx Nismo pourrait bien sérieusement pimenter l’offre de petites sportives européennes toutes converties ou presque à la traction. Quant à la IDx Freeflow, le plaisir automobile « simple » annoncerait son retour ? A suivre de près !!
Pour le salon de Detroit 2014, Nissan dévoile un concept-car appelé Sport Sedan Concept. Cette imposante berline de 4,87 m reçoit un design très sportif, mais qui semble trop torturé, en particulier pour le profil. Toutefois, ce n’est pas étonnant les designers de l’étude de style aient pris quelques libertés pour la dessiner (elle a été conçue conjointement par Nissan Design America, aux Etats-Unis et Nissan Global Design Center, au Japon) , le but étant toujours lors de ces événements de capter un maximum de regards sur son stand.
Voici la Nissan Sport Sedan Concept, son allure ne laisse pas indifférent !
La partie arrière est moins prononcée, mais les feux stop demeurent caricaturaux en étant très étirés
Avec des portières moins travaillées, la ligne générale aurait gagnée une légèreté bienvenue
Pour la marque, c’est d’autant plus important de faire parler d’elle, car la Sport Sedan Concept annonce très certainement la remplaçante de la berline Maxima lancée en 2009 aux USA. Ici, nous avons donc les premiers éléments de la Maxima de huitième génération qui sera sans doute lancée en 2015 ou 2016. La calandre boomerang, les optiques de phare en pince de crabe et les feux arrière devraient être reconduits sur le modèle de série. Pour le toit flottant on aimerait bien dire « oui », mais il est encore trop tôt pour en avoir la certitude. Pour les énormes jantes de 21 pouces (en 275/30R21 !), les rétroviseurs très effilés et les portes sculptées, cela restera l’apanage du concept. En somme, la Maxima VIII gardera en tête tout comme sa prédécesseur de se démarquer de l’allure statutaire que véhiculent ses concurrentes.
La calandre « V-Motion » de Nissan On peut aussi apercevoir un morceau de l’habitacle avec les sièges de couleur claire notamment…
Les feux sont très travaillés et suivent la nervure qui s’arrête sur les ailes arrière
La Nissan Sport Sedan Concept dispose d’une suspension sportive inédite, mais rien de plus n’est précisé…
Du côté de la mécanique, on sait simplement que la Sport Sedan est mue par un moteur essence V6 de 3,5 l développant 300 ch. Le puissance envoyée aux roues avant est commandée par une boîte auto à variation continue (CVT).
Alors que le salon de Tokyo approche, Nissan vient de révéler une version encore plus puissante de sa supercar déjà connue pour son rapport prix/performance imbattable. En effet, avec la GT-R Nismo 2014, la marque japonaise améliore encore son auto en allant titiller la barre des 600 chevaux !
Un design spécifique pour la GT-R Nismo
Passée entre les mains de la section Nismo qui s’occupe notamment chez Nissan de développer les versions les plus musclées des modèles de série (la 370Z Nismo par exemple), la GT-R subit donc quelques évolutions à commencer par l’extérieur. On remarque de nombreuses pièces en fibre de carbone tirées de l’option Track Pack comme les bas de caisse, la lame avant, l’aileron, …
Voici la Nissan GT-R Nismo 2014 exposant fièrement ses jantes Rays montées sur des pneus Dunlop spécifiques !
Le liseré rouge entourant la voiture rappelle que les ingénieurs Nismo ont apporté leur touche
Le tout permettant d’économiser 65 kilos. Sur le plan dynamique, des ressorts plus fermes et des amortisseurs réglables Ohlins sont de la partie.
Une mécanique survoltée de 600 ch
Une Nissan GT-R propose déjà pas moins de 550 ch et 632 Nm de couple, ce qui n’est pas rien. Pour la plus puissante des GT-R qui est représentée par la Nismo, ce sera 599,76 ch et 650 Nm de couple qui seront tirés du V6 3,8 l biturbo ! Pour arriver à atteindre ces chiffres, la cartographie, la ligne d’échappement, les deux turbos (dérivés de la GT-R GT3), le calage de la distribution et l’admission ont été optimisés.
C’est ici que sont enfermés les 600 ch de la bête !
Dans l’habitacle, peu de changements. On compte quand même le volant en Alcantara et les sièges baquets Recaro en fibre de carbone pour la coque. Le tableau de bord est recouvert de cuir noir surpiqué
Si la totalité de la fiche technique de ce bolide du Pays du Soleil Levant n’est pas encore connue, la GT-R Nismo arrive à talonner la Porsche 918 Spyder (887 ch – 775 000 €) sur le Nürburgring puisqu’elle la suit de seulement 10 secondes… pour un prix bien différent !
Date de sortie & prix
D’ailleurs, côté tarifs rien n’a encore été annoncé par Nissan, mais il faut savoir que la GT-R Nismo avec Track Pack est vendue au prix de 200 000 dollars environ aux USA, soit à peu près 148 000 euros. La note finale sur le Vieux Continent pourrait se situer un peu en-dessous des 200 000 euros ?
Du côté de la commercialisation, elle est attendue pour la fin du mois de février 2014 dans son pays natal le Japon et pendant le printemps pour les Etats-Unis et l’Europe.
Vidéo du chrono sur le Nürburgring
La Nissan GT-R Nismo pilotée par Mickael Krumm, c’est du pilotage !
Dans une interview accordée au Financial Times, Carlos Ghosn a admis que l’objectif promis d’avoir vendu fin 2016 un total de 1,5 millions de véhicules ne serait pas réalisé. Selon le PDG de l’Alliance, il faudra patienter au minimum jusqu’en 2020 pour réaliser cette ambition.
Jusqu’ici, l’optimisme de Carlos Ghosn semblait inébranlable, malgré la faible part de véhicules électriques dans le total des véhicules vendus (0,07 % des ventes au niveau mondial), confirmé par un démarrage plutôt timide de la Zoé en Europe (cette dernière ne devrait pas se vendre à plus de 6 000 exemplaires alors que Renault espérait officieusement réaliser 20 000 ventes). Au mieux, l’Alliance Renault-Nissan peut espérer vendre 500 000 véhicules électriques d’ici à 2016, soit un tiers de l’objectif initial.
Toutefois, Carlos Ghosn ne remet pas en cause la stratégie de l’Alliance et pointe du doigt le faible développement des infrastructures de recharge des véhicules électriques.
Un véritable paradoxe alors que Carlos Ghosn a toujours affirmé pendant la campagne de lancement du véhicule que l’autonomie de la Zoé couvrait amplement les trajets quotidiens. C’était oublier que les conducteurs se déplacent aussi le week-end et souhaitent certainement s’affranchir de toute contrainte pour atteindre leur destination.
C’est aussi oublier qu’à force de répéter que la conception d’un véhicule électrique était beaucoup plus simple que son homologue à moteur thermique, il est difficilement compréhensible aux yeux du grand public que le tarif de la Renault Zoé (hors déduction du bonus écologique) atteigne 5.000€ de plus que celui d’une Clio diesel.
Dans ces conditions, il apparait désormais urgent que Renault consacre une large part de ses activités de développement à la mise au point de véhicules hybrides, ceci afin de pallier le faible volume des ventes des véhicules électrique et de réaliser une transition en douceur.
A ce titre, Renault pourra bénéficier des aides gouvernementales dans le cadre de la mise en place de la « nouvelle France industrielle », une aubaine pour le constructeur au losange et plus généralement pour l’Alliance.
Sept ans après sa première apparition, le Qashqai s’offre une refonte complète. Et les temps ont changé : il n’est plus le seul représentant des crossovers compacts.
C’est un renouvellement sous haute tension comme Nissan n’a pas vraiment l’habitude d’en faire en Europe ! Remplacer une star du marché n’est à la base pas une chose aisée. Alors, quand il s’agit carrément du véhicule le plus vendu de son histoire sur le Vieux Continent, on ne rigole plus. On comprend alors mieux pourquoi le japonais a mis le paquet niveau communication en multipliant les teasers et effets d’annonce pour faire monter la pression.
Prendre la relève d’une première génération qui a cartonné ne sera pas facile. Mais le nouveau venu part avec un argument que son prédécesseur n’avait logiquement pas (tout comme beaucoup de Nissan…) : la légitimité. Le Qashqai n’a pas été le premier crossover, mais il est celui qui a vraiment fait connaître et popularisé le terme. Le nom est donc connu.
Quelques traits sont semblables à ceux du nouvel X-Trail, mais les deux autos ont tout de même une personnalité distincte.
Carrosserie plus travaillée
Les clients apprécient le produit, ce qui explique que Nissan n’a pas souhaité bouleverser la formule. La recette est la même : un peu de berline, une pincée de monospace, un soupçon de break et une bonne dose de SUV. Le style a quand même beaucoup changé par rapport au premier cru, né en 2006. Bonne, surprise, Nissan ne s’est pas contenté de faire une version courte du nouvel X-Trail. Même si l’air de famille entre les deux autos est évident, avec des traits anguleux et étirés, aucune pièce de carrosserie n’est commune.
Le Qashqai se fait plus athlétique que son grand frère, notamment au niveau de la poupe, qui adopte une lunette très inclinée. Les hanches sont galbées, recouvrant les poignées de portes arrière et les feux. Ces derniers sont de taille généreuse… peut-être un peu trop. La carrosserie est beaucoup plus travaillée, avec de nombreuses nervures. Là aussi, il aurait pu être bien d’en faire un peu moins. Il y en a dans tous les sens, du capot au hayon. Cette nouvelle génération se veut plus élégante, avec quelques touches de chrome, mais ne délaisse pas pour autant l’aspect baroudeur, avec de généreuses protections en plastique brut.
Sous cet angle, le nouveau Qashqai fait penser à d’autres autos : la Ford Focus 4 portes pour les feux ou la Mitsubishi Lancer pour la lunette inclinée.
Planche de bord connue
A bord, de façon logique pour des raisons économiques, on retrouve la planche de bord du X-Trail. La présentation est flatteuse mais l’ensemble manque vraiment de gaieté et d’originalité. Dommage pour un véhicule qui se veut branché. Pour réchauffer l’ambiance, on a quand même quelques éclairages indirects de couleur orange. Nissan annonce une habitabilité en progrès, sans donner de valeurs précises. En revanche, le volume du coffre est connu : 430 litres, soit 20 de plus par rapport à l’ancien modèle. Le plancher de la malle est réglable sur deux hauteurs. Nissan insiste beaucoup sur la présence de nouveaux sièges, plus confortables et au meilleur maintien. Un bon point quand on souhaite avaler les kilomètres.
La planche de bord est reprise au X-Trail. Seule la partie autour du levier de vitesses change légèrement.
Quatre moteurs seront composeront la gamme lors du lancement. Pour l’essence, on aura d’abord un bloc 1.2 DIG-T de 115 ch. Nissan le présente comme un moteur issu de l’Alliance. Autrement dit, c’est un TCe de Renault, mais revu par le japonais. Associé à une boîte manuelle à 6 rapports, il annonce un couple de 190 Nm et des rejets de CO2 de 129 g/km. Le Stop and Start est fourni en série. Ceux qui veulent plus de puissance iront vers le 1.6 DIG-T de 150 ch, au couple de 230 Nm.
Mais l’essentiel des ventes en France se fera avec des blocs diesel. Le cœur de gamme sera toujours le connu 1.5 dCi de 110 ch. Retravaillé, il promet un couple en hausse de 20 Nm. Nissan annonce surtout une meilleure insonorisation et moins de vibrations. La consommation en cycle mixte serait de 3,8 litres aux 100 km. Au dessus, on trouve un bloc 1.6 dCi de 130 ch. Ce bloc sera le seul qui sera proposé avec la transmission intégrale All-Mode 4×4-i. Le Qashqai 2 repose sur la nouvelle plate-forme modulaire CMF du groupe.
Nissan promet plus d’espace pour les jambes et les épaules des passagers arrière.
Lancement en janvier
Côté équipements, on retrouve les dernières friandises à la mode, vues notamment sur le nouveau Note. On a par exemple un détecteur de franchissement involontaire de ligne blanche, une surveillance des angles morts, un détecteur d’objets en mouvement autour de l’auto, une caméra lisant les panneaux de signalisation ou encore une aide au créneau. On a aussi un radar anti-collision ou une surveillance de la perte d’attention du conducteur. Le Qashqai vous alertera en cas de somnolence au volant.
Le nouveau Qashqai sera toujours fabriqué en Europe, dans l’usine britannique de Sunderland. Nissan annonce une commercialisation à la mi-janvier.
Comme nous vous en parlions depuis plus d’un an, le Nissan Qashqai 2014 qui sera présenté officiellement le 7 novembre 2013 va être transformé en profondeur pour être un peu plus conformiste…
Un Qashqai trop proche visuellement du X-Trail ?
Avec cette deuxième génération, la marque lui offre un design plus commun et s’approchant de son grand frère comme on avait pu le voir sur les photos volées tout en s’inspirant du concept Hi-Cross. Le grand frère, c’est le Nissan X-Trail 2014. Est-ce que les potentiels clients seront-ils convaincus ? Le risque n’est-il pas de les perdre en changement brutalement le design pour passer d’un crossover à un SUV et en ressemblant au X-Trail ? La frontière entre ces deux modèles se fait plus mince. Voici la première image du Qashqai 2 livrée ce jour par Nissan :
La face avant du Nissan Qashqai 2014 : assez proche du nouveau X-Trail, mais le design est réussi !
De son côté le communiqué de presse du constructeur explique cette future génération avec ces termes : « En termes de design comme en termes d’innovation, le nouveau Qashqai entraîne le segment des crossovers vers une nouvelle dimension« .
Une recette vendue à 2 millions d’unités à travers le monde
Voici une infographie retraçant le parcours à succès du Qashqai :
Le Nissan Qashqai II en vidéo
Avant de le découvrir en chair et en os, voici quelques prises de vue avec le crossover en action sur route sèche et enneigée dans sa tenue de camouflage :
Les camouflages restent encore épais. Mais on distingue quelques éléments, comme les optiques horizontales ou le V autour du logo.
Devenu spécialiste du crossover, Nissan s’apprête à renouveler celui qui en 2007 a démocratisé le genre : le Qashqai. Certes, le Murano existait avant lui, mais c’est vraiment ce modèle qui a popularisé le terme, qui définissait un véhicule né du croisement de plusieurs genres. Nissan souhaitait en effet remplacer sa fade Almera par un engin plus original, un mix entre berline, break et SUV, pour se démarquer sur le marché saturé des compactes.
Evolution plus que révolution
Et le japonais a eu le nez creux, car le Qashqai a d’emblée été un succès immense. Les délais de livraison avaient explosé dès les premiers jours de commercialisation ! Et le succès ne s’est pas démenti au fil des années, malgré l’arrivée de concurrentes. Sauf qu’il faut bien penser à la relève ! Et il n’est jamais aisé de remplacer un modèle qui a cartonné. Nissan va donc prendre aucun risque.
Le Qashqai 2 repose sur la nouvelle plate-forme modulaire CMF, qui sera utilisé par la future Mégane.. et son dérivé crossover, attendu vers 2015.
Mais la donne a un peu changé au sein de la gamme. Le Qashqai doit maintenant cohabiter avec le turbulent Juke et le familial X-Trail, qui vient de faire ses débuts à Francfort. L’auto va donc se concentrer sur le segment « C », en oubliant la variante 7 places « +2 ». En revanche, à la vue des derniers spyshots, la silhouette ne semble pas plus délurée. On pouvait penser que le Qashqai « 2 » soit plus original, vu le classicisme du X-Trail, mais la firme asiatique ne veut apparemment pas trop choquer pour ratisser le plus large possible.
Vraie auto ou juste X-Trail court ?
Les traits semblent d’ailleurs proches du grand frère, du moins au niveau de la face avant. Les proues seront-elles communes ? C’est au niveau de la poupe que les changements devraient donc être les plus importants, avec par exemple des feux plus fins. Au final, on se demande quand même si le Qashqai va avoir sa propre personnalité ou sera juste un X-Trail raboté. Pour faire des économies d’échelle, les planches de bord pourraient être identiques.
Zut, c’est raté pour voir si la planche de bord est la même que celle du X-Trail. Il y a des chances, question d’économies.
Autre élément partagé, mais là, c’est logique : la plate-forme. Il s’agit de la nouvelle base modulaire CMF, qui sera utilisée par toutes les futures Renault des segments C et D (de la Mégane à l’Espace en clair). Quelques premières indiscrétions ont filtré sur la gamme des motorisations. Lors du lancement, la Qashqai cru 2014 devrait être doté d’un nouveau bloc essence 3 cylindres turbo de 115 ch. Pour les diesel, on retrouvera les connus 1.5 dCi 110 ch et 1.6 dCi 130 ch. La transmission intégrale sera toujours proposée, même si elle ne représente que très peu de ventes.
Le nouveau Qashqai devrait faire ses débuts en mars prochain au Salon de Genève.
C’est à ce niveau que l’on attend le plus de différences par rapport au X-Trail. Et en détaillant un peu les traits, cela ne semble pas gagné !
Chez les constructeurs automobile, les cascades extrêmes ont la cote ! Alors que certaines marques en font même une mini-série comme Volvo, ici c’est Nissan et sa nouvelle 370Z Nismo qui rentrent en jeu.
La Nissan 370Z Nismo utilisée pour le film « Nismo VS Wingsuit »
Nous sommes dans les Alpes suisses, et plus précisément dans le col de Susten. C’est dans ce magnifique endroit que les équipes Nissan vont affronter des hommes volants et un pilote conduisant la 370 Nismo.
Dans les airs, nous avons David Barlia (base jumper vétéran et référence internationale en wingsuit) et Barry Holubeck dit « le caméraman volant ». Sur la route, il s’agit de Peter Pyzera. Le jeune homme était encore il y a peu devant sa console puisqu’il est le vainqueur de la GT Academy 2012 allemande, belle progression en devenant pilote professionnel dans les Blancpain Endurance Series !
Le but dans l’impressionnante vidéo qui suit est de tester et de promouvoir les systèmes de relevés biométriques de Nismo (embarqués sur les wingsuiteurs et le pilote (un BioHarness), puis relevés par le JukeRide) permettant de contrôler et d’améliorer les performances des pilotes. Ce sont donc le rythme cardiaque, la température de la peau, la respiration et d’autres indicateurs qui sont mesurés et analysés :
Assez sophistiqué, ce dispositif est déjà utilisé pour les pilotes Nismo. On peut imaginer trouver un jour cette technologie sur la route, comme en témoigne cette montre présentée il y a peu par Nissan Nismo qui est connectée entre la voiture et son conducteur.
On efface tout et on recommence. Le nouvel X-Trail adopte l’allure d’un crossover, avec un air plus citadin, sans protection en plastique.
C’est ce qu’on appelle l’ironie de l’histoire. Le X-Trail avait vu ses ventes fondre suite à l’arrivée des Qashqai court et long. A tel point qu’on le pensait condamné. Et pourtant, en 2013, l’engin doit son salut au crossover compact de la firme japonaise ! Explications.
Si Nissan n’a pas décidé d’abandonner totalement les carrosseries classiques (il prépare en ce moment une nouvelle compacte rivale directe de la Golf), il veut proposer un maximum de crossovers en complément suite au véritable succès du Qashqai. Et il y avait un trou entre ce dernier et le Murano. La version 7 places « +2 » du premier le comblait partiellement mais Nissan souhaitait placer un vrai modèle. Et ce rôle a été attribué à la 3ème génération de X-Trail, qui délaisse donc l’allure de baroudeur pour une silhouette plus urbaine et plus sportive. Typé famille, le nouveau venu poussera vers la sortie le Qashqai +2 et permettra à Nissan de proposer un Qashqai 5 places plus dynamique, dans la veine du Juke.
Cette troisième génération a été préfigurée par le concept Hi-Cross vu à Genève en mars 2012.
Plus élégant, plus américain
On oublie donc tout des anciens X-Trail. Le nouveau est plus chic, plus moderne et prouve à merveille qu’avec quelques traits simples on peut obtenir une jolie silhouette. L’engin ne fait pas dans l’outrancier ni dans les excès et sait pourtant se montrer séduisant avec des formes équilibrées. Le nouvel X-Trail est international : il sera aussi vendu aux Etats-Unis sous l’appellation Rogue.
Le nouvel X-Trail n’est pas l’engin le plus original qui soit mais son allure est très agréable avec des lignes équilibrées, sans fioritures.
Et l’influence américaine se ressent dans le design, surtout au niveau de la poupe, avec des volumes solides. L’épaisse barre chromée autour du logo à l’avant fait aussi très USA. Une nervure partant du capot, contournant le montant de pare-brise et soulignant le vitrage latéral donne du relief au profil, tout comme les passages de roues marqués.
Le premier X-Trail 7 places
Il est dommage de voir Nissan ne pas faire des efforts pour le dessin de la planche de bord. La marque qui cherche à donner un côté fun a ses crossovers pourrait proposer un poste de conduite plus dynamique. Le succès du Peugeot 3008, avec sa planche de bord digne d’une sportive, prouve que le client est attentif à ce genre de détail. Ici, on a du classique, sans originalité.
On est un peu déçu par cette planche de bord, sans grande originalité. On aurait aimé quelque chose de plus sportif.
Comme on l’a dit plus haut, le X-Trail séduira les familles. En option, il pourra proposer deux sièges supplémentaires dans le coffre. Les trois rangées de sièges sont implantées à des hauteurs différentes pour que les passagers puissent bien voir le paysage. Pour favoriser l’accès à la banquette centrale, mais aussi l’installation des jeunes enfants, les portes arrière s’ouvrent à près de 90 °. Les sièges de la deuxième rangée sont coulissants et inclinables. L’habitabilité progresse grâce à un empattement allongé et à des sièges conducteur et passager creusés. Ceux qui aiment se faciliter la vie opteront pour le hayon électrique. Dans le coffre, on trouve un plancher réglable sur deux niveaux.
Pas de miracle, les 6ème et 7ème places seront réservées à des petits gabarits… qui ne seront pas très à l’aise. Cela dépannera.
Côté équipements, pas d’innovation. Le X-Trail millésime 2014 reprend les friandises vues sur les modèles récents de Nissan, comme le Note. On retrouve la dernière génération du système de navigation NissanConnect, qui donne accès à tout un ensemble d’applications allant des plates-formes de réseaux sociaux au divertissement via un écran tactile 7 pouces. On retrouve aussi les fonctionnalités de Google avec par exemple la fonction Send to car : le conducteur planifie son itinéraire depuis sa maison avant de l’envoyer d’un clic à la voiture. Le système est associé à la fonction Bluetooth et à des prises USB et AUX.
Entre les sièges avant : la molette du système All-Mode 4×4-i, qui gère la transmission intégrale.
La nouvelle base technique du groupe
Le nouvel X-Trail a l’honneur d’inaugurer la nouvelle plate-forme modulaire CMF de l’Alliance Renault-Nissan, qui sera reprise par toutes les autos du losange des gammes moyenne et haute (de la Mégane à l’Espace). Pour l’instant, Nissan est resté muet sur les motorisations qui équiperont l’engin. On aura le choix entre des versions traction ou quatre roues motrices, avec le système « All-Mode 4×4-i » qui offre le choix entre trois modes de fonctionnement : deux roues motrices, Auto et Lock (transmission intégrale permanente).
Le nouvel X-Trail sera commercialisé en Europe en juillet 2014, mais aucune date précise n’a été communiquée. Quant à son prix, les tarifs devraient débuter aux alentours des 29 000 €.
Depuis sa venue sur le marché des petits monospaces en 2006, le Nissan Note a été restylé en 2009 et 2013 saura l’année de sortie de la deuxième génération qui propose une esthétique bien différente et une montée en gamme sur les équipements proposés avec notamment un radar anti-collision et un système d’angle mort « pour le meilleur et pour le pire » comme le dit elle-même la marque nippone.
La Nissan Note 2 qui sera commercialisée en septembre 2013 en France se veut être la citadine fun et habitable
Voici d’ailleurs la vidéo promotionnelle mettant en avant le Nissan Safety Shield (système d’alerte anti-collision) :
Il faut avouer que ce genre de technologie qui tend à se généraliser (ici, c’est de série ou en option selon les finitions qui sont présentées en fin d’article) est un plus appréciable, en particulier pour une citadine, car c’est le lieu des petits coups de frein intempestifs qui surprennent.
Avec le Pack Style (bas de caisse, aileron, boucliers et jantes 16 pouces spécifiques ) dans cette teinte rouge, la Note propose un style racé
Du coup, du côté des dimensions elle perd un peu en longueur (4,10 m) et en hauteur (1,53 m) par rapport à la première mouture
Motorisations, équipements et tarifs au programme
Pour se déplacer, le Nissan Note II a choisi de s’équiper avec deux blocs essence trois-cylindres dont un est doté d’un compresseur (le DIG-S), tandis que les amateurs du gazole se rapatrieront sur un dCi Renault.
Pour l’habitacle, c’est assez sobre, mais les touches bleutées ici et là contribuent à rendre l’ambiance plus vivante
L’ensemble des moteurs est couplé à une boîte manuelle à cinq rapports (boîte auto CVT en option sur le 98 ch) et à un stop & start.
Type de moteur
Moteur
Finition
Prix
essence
1,2 l 80 ch – 110 Nm
109 g CO2/km
Visia
13 490 €
Acenta
14 690 €
Connect Edition
16 090 €
1,2 l DIG-S 98 ch – 142 Nm
99 g CO2/km
Acenta
16 490 €
Connect Edition
17 590 €
Tekna
18 690 €
diesel
1,5 l dCi 90 ch – 200 Nm
95 g CO2/km
Visia
15 790 €
Acenta
16 990 €
Business Edition*
18 190 €
Connect Edition
18 390 €
Tekna
19 590 €
*finition réservée aux professionnels
Cette tarifaire nous dévoile donc une deuxième génération du minispace moins chère que sa devancière, mais avec des équipements plus high-tech que voici :
Le prix des options et les finitions avec leurs équipements de série et en option
Quel est le point commun entre un constructeur automobile japonais et un marchand de meubles suédois ? Vous séchez ?
C’est facile, c’est l’éco-mobilité !
Une Nissan Leaf se recharge sur le parking d’un magasin IKEA à coté d’une borne de recharge Autolib’
Nissan et Ikea viennent d’officialiser ce lundi 15 juillet, la conclusion d’un partenariat pour l’installation d’une gamme de services pour les possesseurs d’un véhicule électrique. Ainsi, ces services comprennent la mise à disposition de bornes Autolib’ dans les magasins franciliens, des bornes de recharge rapides Nissan pour les véhicules électriques, et un partenariat avec Hertz pour la location de véhicules.
11 magasins Ikea sont désormais équipés d’une borne de recharge rapide pour véhicules électriques fournie par Nissan, à Avignon-Vedène (84), Bordeaux (33), Franconville (95), Vélizy-Villacoublay (78), Montpellier (34), Paris Nord-Gonesse (95), Plaisir (78), Villiers sur Marne (94), Reims-Thillois (51), Rouen-Tourville la Rivière (76) et Tours (37).
Ces bornes seront en accès libre pendant les heures d’ouverture des magasins.
IKEA a pour objectif d’obtenir son indépendance énergétique d’ici 2020.
Fabriquées en France et commercialisées par DBT, partenaire de Nissan, ces bornes rapides permettent de recharger 80 % de la batterie d’un véhicule électrique en moins de 30 minutes. Ces bornes répondent aux deux standards CHAdeMO DC (courant continu) et AC (courant alternatif), permettant ainsi de recharger l’ensemble des véhicules électriques compatibles avec la charge rapide.
Les emplacements des bornes de recharge seront répertoriés dans le système de navigation Carwings de la Nissan Leaf.
De nouvelles implantations sont aujourd’hui à l’étude et une nouvelle vague d’installations sur les parkings de magasins Ikea verront le jour pendant le deuxième semestre 2013.
Ainsi les usagers et clients du magasin pourront recharger leur véhicule électrique gratuitement pendant leurs achats.
Tous les véhicules électriques auront le droit à cette borne de recharge hormis la première génération de Fluence ZE et de Kangoo ZE. La Kangoo ZE ne se recharge qu’en mode standard de 6 h à 9 h. La Fluence ZE en plus de la recharge en mode standard, accepte également la recharge quick drop, le système de remplacement rapide de la batterie.
A noter qu’un parc de 29 éoliennes, situé sur 3 sites en France couvre 86 % de la demande d’électricité de IKEA et 26.000 m² de panneaux photovoltaïques seront également installés sur le toit du dépôt de Saint-Quentin Fallavier (38) fin 2013. Ainsi, IKEA pourra obtenir son indépendance énergétique d’ici 2020 en énergie renouvelable (station de recharge comprises).
La Nissan Micra est à sa quatrième génération, et ce dernier modèle s’est un peu effacé dans le paysage des citadines en comparaison à sa devancière. Certains diront que c’est son design banal qui n’a pas facilité les choses et qu’elle n’a plus ce côté « chic et sexy »… Que cela ne tienne, après trois années de carrière, Nissan revoit sa copie avec un restylage de la Micra en profondeur !
Plus joviale, moins banale et dotée de la nouvelle calandre Nissan, tout de suite la petite Micra a d’avantage d’allure !
Le restylage touche également un peu la partie arrière avec un nouveau bouclier qui semble légèrement plus imposant et des feux redessinés à LED. Les jantes sont en 16 pouces
On peut lire qu’elle a des airs de Toyota Aygo sur les forums… Reste qu’avec ces chromes et ces antibrouillards placés ainsi, elle gagne en personnalité
La Micra n’est pas seulement restylée à l’extérieur, l’habitacle subit le même traitement avec une présentation plus agréable à l’oeil mais qui demeure en retrait par rapport aux ténors de la catégorie. En son centre, il est placé sur la console centrale un écran tactile de 5,8 pouces. NissanConnect sera disponible sur la finition haut de gamme (Tekna)
Prêt(e) à conduire ?
Cette phase 2 garde le même gabarit que la phase 1 et elle est uniquement vendue en cinq portes, tandis que l’offre mécanique reste sans surprise avec deux moteurs essence trois-cylindres et pas de bloc diesel :
Type de moteur
Moteur
Puissance
essence
L3 1,2 l DIG-S
80 ch
L3 1,2 l DIG-S
98 ch
Il est à noter qu’une boîte automatique (appelée CVT) est disponible en option et que trois niveaux de finition sont proposés : Visia, Acenta et Tekna. Les tarifs de la japonaise s’étalent de 10 900 à 18 760 € pour les versions les plus cossues.
A retrouver dans les concessions à l’automne prochain !
Nismo, c’est la branche sportive de la marque japonaise Nissan. Aujourd’hui, ces versions Nissan Motorsport sont inconnues pour les européens mis à part pour les passionnés. En effet, le constructeur ne proposait pas jusqu’il y a peu de modèle typé « GTI ». C’est le fameux Juke Nismo (200 ch) qui a ouvert le bal, mais bientôt une déclinaison bien plus sérieuse va faire son entrée : la 370Z Nismo !
En plus de revoir à la hausse ses caractéristiques techniques, la Nissan 370Z Nismo 2013 évolue stylistiquement avec un bouclier avant plus agressif et un imposant aileron arrière
Pour bien assoir le coupé, la 370 Z reçoit des jantes 19 pouces « gun metallic »
L’habitacle reste sobre pour ne pas s’éloigner de l’ambiance sportive, mais il se pare tout de même de garnitures de cuir et d’alcantara exclusives. Chaque modèle est numéroté
Au menu des réjouissances ? Dans sa version standard, la 370Z affiche déjà de beaux chiffres pour une efficacité reconnue, à savoir : un V6 3,7 litres développant 328 ch et 363 Nm de couple, le 0 à 100 km/h est abattu en 5,3 secondes. Dans cette livrée Nismo, la 370Z atteint les 344 ch (+ 16 ch) et 371 Nm (+ 8 Nm) pour faire ainsi tomber le 0 à 100 km/h en un dixième de moins, soit 5,2 s.
Pour se faire un joli coup de pub, la Nissan 370Z Nismo participe au Gumball 2013 avec une équipe franco-française
Mais ce n’est pas tout, la 370Z Nismo profite aussi de nouvelles améliorations au niveau du châssis afin d’encaisser le surplus de puissance : suspensions, amortisseurs, barre anti-roulis et freins revus et renforcés. Afin de clôturer son numéro de charme, la « 370 » se dote d’une ligne d’échappement aux vocalises retravaillées pour une sonorité plus sportive et virile de ce V6 sans pareil.
Rendez-vous en concession pour juin 2013 avec un prix du neuf autour des 52 000 €. Plus de détails ci-après.
La fiche performance de la Nissan 370Z Nismo 2013
Informations générales
Commercialisation
2013 en Europe
Pays
Japon
Carburant/énergie
Essence
Prix du neuf
estimé à 52 000 €
Mécanique
Cylindrée
V6 3,7 l atmosphérique
Puissance
344 ch à 7 400 tours/min
Couple
371 Nm à 5 200 tours/min
Transmission
arrière (propulsion)
Performances
Vitesse max
250 km/h (bridée électroniquement)
0 à 100 km/h
5,2 s
Consommation
cycle urbain : 15,4 l / cycle extra-urbain : 7,8 l / cycle mixte : 10,6 l aux 100 km
Rejets de CO2
248 g/km
Autonomie
564 km
Poids et mesures
Poids à vide
1 535 kg
Dimensions
L : 4,41 m / l : 1,87 m / h : 1,31 m
Réservoir
72 litres
Volume de coffre
235 litres
Pneumatique AV/AR
245/40 R 19 – 285/35 R 19
La vidéo de présentation du coupé sportif sur circuit
Après le Qashqai, Nissan continue à surfer sur la vague des crossovers. Le second numéro à cartonner sur ce segment qui explose sur le marché français, c’est le Juke ! Encore plus original que son grand frère précédemment cité, le Juke n’en finit plus de faire parler de lui.
Après sa version « R » complètement délirante (le V6 550 ch de la GT-R) et la mise en production d’une version Nismo, le constructeur japonais commercialise depuis le mois de mars un Juke Connect Edition dont voici la vidéo promotionnelle « Urban Thrill Ride » diffusée dans 20 pays européens :
Que propose donc cette nouvelle livrée ? Outre les équipements tels que le Bluetooth et un port USB, cette finition se démarque par une fonction sans doute très pratique sur son GPS : le Send-to-Car. C’est une fonctionnalité qui permet depuis chez soi d’envoyer à sa voiture les informations relatives à son prochain itinéraire à l’aide de Google Maps.
Le Nissan Juke Connect Edition (ou Juke n-tec) est disponible en concessions à partir de 19 640 €.
Pour la deuxième génération du Qashqai, Nissan va tout faire pour améliorer son modèle à succès qui a popularisé les crossovers sur le territoire français. Sans doute présenté au salon de Francfort en 2013 pour une commercialisation l’année suivante, le Qashqai va se mettre à la page comme en témoigne les changements suivants.
Le Qashqai II s’affichera moins comme une voiture atypique avec un design moins original. Il ressemblera davantage à un SUV
La première évolution concernera sont design qui sera inspiré du concept Hi-Cross. Plus avenant, l’auto ressemblerait plus à un tout-terrain avec une longueur d’environ 4,35 m… La déclinaison Qashqai +2 étant toujours proposée, celle-ci fera 20 cm de plus.
Par ailleurs, l’habitacle sera également revu avec une qualité de finition plus élevée et une banquette coulissante et escamotable dans le plancher. A l’image de la Clio 4, le crossover de Nissan se verra doté d’un ordinateur de bord similaire à R-Link comprenant donc un accès internet, un magasin d’applications, …
Enfin, du côté des motorisations et des tarifs, les changements seront minimes puisque les essence (1,6 l 117 et 2,0 l 140 ch) resteront les mêmes tout comme les diesel (1,5 l dCi 110 ch, 1, 6 l dCi 130 ch et 2,0 l dCi 150 ch). Des améliorations seront apportées afin de réduire les consommations et les rejets de CO2. Le prix, quant à lui, demeure autours des 20 000 € avec un supplément d’environ 1 600 € pour la version longue.
Une limousine écolo, c’est bien ce qui manquait aux célébrités ! Heureusement, Nissan a pensé aux stars à la fibre verte en mettant au point la première limousine électrique pour sortir en soirée sans polluer !
La Leaf édition limousine à l’arrêt devant l’hôtel Embassy Suites. Avec une charge elle peut parcourir 160 km
Il n’est pas difficile à deviner que derrière cette limo il se cache une Leaf coupée en deux. C’est Limoland, une entreprise située à Springfield, dans l’Etat du Missouri, qui s’est chargée de rallonger la Leaf à grand renfort d’aluminium (180 kg d’embonpoint pour la nippone) afin d’accueillir confortablement huit passagers dans un confort tout à fait honorable. On y trouve donc des sièges en cuir, du bois de cèdre et des miroirs pour se contempler.
Depuis sa première apparition sur le marché en 2010, le Qashqai est a été restylé en 2010 et culmine maintenant à plus d’un million de ventes, un vrai succès pour Nissan ! Alors forcément, depuis la sortie du crossover nippon, les concurrents ont riposté et la bataille fait rage pour sur ce segment qui plaît toujours plus aux consommateurs. Il est donc grand temps de penser à la relève après six ans.
Un peu moins crossover, un peu plus SUV le futur Qashqai ?
L’inspiration de ce photoshop vis-à-vis du concept-car Hi-Cross Nissan n’est pas difficile à deviner. La question, c’est comment renouveler cette auto qui a relancé la marque en France ?
A l’heure actuelle, très peu d’informations circulent sur le Qashqai 2. Certains misent sur une deuxième génération plus orientée SUV avec un touche de Hi-Cross (le concept-car annonçant le futur X-Trail).
Le design devra s’adapter à la taille plus contenue du crossover
Question commercialisation, on parle d’une date de sortie courant 2013-2014… à suivre !
La Nissan Skyline GT-R que l’on connait aujourd’hui, n’est pas la première génération de la Skyline. Déjà à l’aube des années 70, le constructeur nippon sortait la version très sportive de sa berline Skyline : la C10 GTR.
Déjà lors de sa première génération la Skyline GT-R ne manquait pas d’impressionner extérieurement et surtout de caractère. Le son moteur en est bien la preuve !
A ses début, celle qui est surnommée « Hakosuka » par ses fans, était équipée d’un moteur six cylindres en ligne. La cylindrée est de deux litres tandis que la puissance culmine à 160 chevaux. Affichant autour des 1 100 kilos sur la balance, la rapport poids/puissance est intéressant, et qui plus est pour son époque ! D’ailleurs, dès sa mise sur le marché, la Japonaise ne tarda pas à multiplier les victoires sur la piste…
La vidéo ci-dessous est issue de Depth Of Speed qui a publié ces images de JDM Legends. Il s’agit d’un atelier américain qui se charge exclusivement de restaurer et de préparer des modèles de voiture du pays du soleil levant.
Le bruit de la GT-R de 1970 est rageur et très expressif avec notamment les trois carburateurs qui ne demandent qu’à chanter. C’est un beau moment passé sur circuit par ces passionnés de la mécanique ancienne avant de rendre l’auto à son client… qui doit mourir d’impatience !
De plus en plus de constructeurs ont leur voiture électrique, mais cela ne veut pas dire qu’elle gagnera le cœur de clients car c’est un VE. Il faut également rendre l’auto fun et séduisante. Le concours « The big turn on » de Nissan pour la Leaf, c’est un exemple d’opération de communication pour promouvoir le 100 % électrique. Voici la vidéo du jeu à dimension européenne :
La marque propose donc de remporter une Leaf, une tablette tactile ou encore une Leaf virtuelle aux gagnants. Et pour être sélectionné, il faudra remporter la compétition en entrainant le plus de personnes dans les dix défis existants. Le site consacré à l’événement (disponible en cliquant sur le spot ci-dessus) est d’ailleurs très bien réalisé et complet.
A vous de créer le buzz pendant 100 jours avec la Leaf !
Ce dernier permet bien entendu de s’inscrire pour participer à cette course au défi, mais aussi de suivre la classement, de visualiser les lieux où sont émis les soutiens, de découvrir des vidéos pour en savoir plus sur la Leaf par exemple et également de réserver la Nissan pour une durée de 24 heures !
A vous de l’utiliser à bon escient pour remporter un maximum de défis et de faire voter vos amis !
Les 24 Heures du Mans, c’est la course d’endurance la plus prestigieuse du monde ! Tout passionné d’automobile se doit de se rendre au Mans au moins une fois. Pour cette 80ème édition, je souhaitais y aller surtout depuis que j’avais reporté à une autre fois le GP de Monaco. Et mon vœux s’est exaucé, puisque j’ai reçu un mail de la part de Nissan pour assister, à leurs côtés, à cet événement incontournable du sport mécanique !
C’est parti !
Le réveil fut un peu difficile, donc je suis finalement parti en voiture au lieu du TGV. Le trajet s’est bien passé. En partant de la région parisienne j’ai effectué un peu plus de 250 km, l’histoire de d’un peu plus de deux heures sur des routes un peu chargées mais roulantes.
La météo s'annonçait pas bonne sur le chemin aller et pourtant ce fut le seul moment où il a plu
Arrivé aux alentours du circuit Bugatti, tout est clairement indiqué. Je trouve sans difficulté le parking vert où se trouve l’hôtel Nissan (au karting Alain Prost).
Accueil
L’hôtel suffit pour se rendre compte que Nissan était très présent pour cette édition 2012 des 24H du Mans ! C’est un énorme bâtiment avec des centaines de chambres qui a été bâti.
Nissan avait vu les choses en grand ! Le constructeur était particulièrement présent sur l'événement
Les activités
Pour ces deux jours aux 24H du Mans, Nissan avait prévu plusieurs activités, ce qui nous a permis de voir la course sous tous les angles !
Voici la piste juste après la grille de départ
Les vidéos et la photo ci-dessous présentent les vieilles Matra à la sonorité magnifique :
Le paddock Nissan et son personnel au travail avec les pneumatiques des voitures
L'hélicoptère pour faire deux tours du circuit depuis le ciel !
La loge VIP de Nissan pour tout voir sur la pit line
La course
Je n’ai encore jamais assisté à un Grand Prix de Formule 1, mais une chose est sûre, cette course d’endurance du Mans est une expérience à vivre ! 56 voitures sur la grille de départ, quatre catégories différentes (LMP1, LMP2, LMGTE-Pro et LMGTE-Am), des milliers de kilomètres et cela pendant 24 heures !
On notera que chez les P1 les toutes nouvelles Toyota ont été remarquables pour leur retour, dommage que la chance les a quitté. Tandis qu’Audi triomphe encore une fois et que la Deltawing (hors catégorie) s’est malheureusement fait mettre au tas par une Toyota alors que ses performances étaient intéressantes.
Du côté des P2, la course a été pleine de rebondissements. Pas moins de dix pilotes à prétendre la première place et c’est finalement l’équipage du Starworks Motorsport qui a remporté la victoire dans cette catégorie. La partie n’était pas facile face aux nombreux protos sur un châssis Oreca et un moteur Nissan.
En GT Pro, il y a eu un duel de longue durée entre Aston Martin et Corvette alors qu’ils étaient suivis par d’autres écuries qui demandaient qu’à en découdre. Les Ferrari se sont bien battues et elles ont encore fait grincer les dents chez les protos… Par ailleurs, Porsche a plutôt déçu côté chrono.
Pour finir, la catégorie des GT Am nous a offert une lutte intéressante entre la Porsche du IMSA Performance et la Chevrolet de Larbre Compétition. Dans cette bagarre entre les deux équipes françaises, le dernier mot est revenu à la Corvette, qui s’offre même le luxe de terminer devant la Corvette officielle engagée en LMGTE-Pro. Une jolie revanche pour son pilote leader Pedro Lamy, qui avait quitté Le Mans l’an passé humilié par Peugeot.
Remerciements
Je tiens donc à adresser un grand merci à l’ensemble de l’équipe Nissan dont notre contact sur place qui a su rendre ce séjour magique. J’en garderai un bon souvenir qui n’est pas prêt d’être oublié !
A un bon mois des 24h du Mans, Nissan et Deltawing ont conviés journalistes et blogueurs à assister aux essais de leur prototype sur un autre circuit français bien connu, puisqu’il s’agit de celui de Magny-Cours, dans la Nièvre.
La Deltawing est une impressionnante voiture par son dessin totalement atypique
Si personne dans le public ne croira trop en la voiture du garage 56, il est amusant de voir que la situation n’est pas tout à fait la même du côté des investisseurs. Highcroft Raçing, Deltawing Raçing, Panoz, Michelin et Nissan sont partenaires sur ce projet au final plutôt ambitieux, et se posent la même question : « En misant un maximum sur l’aérodynamisme, en divisant le poids, la consommation, les performances…enfin bref, tout par deux, peut-on faire la différence au Mans ? »
Derniers réglages pour la Nissan Deltawing...
Le petit volant de la Delta'
Le projet est assez ancien, puisqu’il remonte à août 2008. À cette époque, Ben Bowbly décide de créer un concept qui aurait sa place en IndyCar. Le premier prototype est présenté en février 2010 à Chicago. Manque de chance, le championnat d’Indycar se prononce contre la Deltawing, et préfère se cantonner au vieillissant châssis Dallara pour encore quelques années. Qu’à cela ne tienne, Don Panoz décide d’apporter son soutien au constructeur, et très vite la voiture s’empare du garage 56 au Mans. Les autres partenaires suivront.
Sa conception s’est toutefois faites sur le tardif: finalisée en septembre 2011, ce n’est qu’en février dernier que cette batmobile recevra son premier jeu de pneus Michelin, aux dimensions assez particulières: 10/31 à l’avant, 31/62 à l’arrière, le tout en 15 pouces. Le moteur définitif, qui n’est autre que le 1.6L 4-cylindres DIG-T du Nissan Juke gonflé à 300ch à l’aide d’un turbo, ne sera monté que lors du mois de mai dernier. Autant dire qu’il est maintenant temps de tester, tester, et retester.
La Deltawing pèse seulement 575 kg, soit moitié moins qu'une LMP1
Et c’est ce que la team fait. Elle parcourt le monde pour faire manger de l’asphalte au prototype, avec l’aide de ses pilotes Dan Gurney, Marino Franchitti et Lucas Ordonez. Qui, contrairement à ce que l’on pourrait croire, qualifient la voiture de « pas plus difficile à conduire qu’une autre ».
Une véritable fusée à deux deux places disposant de 300 chevaux
Le rendez-vous et donné pour le 16 et le 17 juin, souhaitons-leur bonne chance !
Les jeux se multiplient de plus en plus sur le premier réseau social du monde, Facebook. C’est sur sa page que Nissan propose depuis le 19 janvier et pendant dix jours de gagner un voyage à Los Angeles. Pour remporter ce voyage pour quatre personnes aux Etats-Unis, les joueurs doivent, via l’application Facebook, prendre en photo les Nissan Qashqai qui se cachent sur Google Street View. La chasse est ouverte sur les territoires français, espagnol, anglais mais aussi canadien.
Le jeu « QStreet » organisé par l’agence de communication Duke Razorfish
Il s’agit donc d’une compétition où le paparazzi qui aura le plus de clichés à son actif sera le grand gagnant. Pour pimenter le tout, un classement actualisé en direct permet de voir sa position par rapport aux autres profils et mesurer sa progression suite aux dernier Qashqai trouvés. Afin de mieux saisir le concept, voici la vidéo promotionnelle du jeu « QStreet » :
N’hésitez-pas à vous rendre sur la page Facebook de Nissan, il n’est même pas nécessaire de « liker » la page pour participer !
Se perfectionner chaque année, c’est ce que fait la Nissan Skyline GT-R. Pour cette nouvelle version 2012, le constructeur japonais renchérit une nouvelle fois au chapitre de la puissance en offrant 20 chevaux supplémentaires à sa sportive. Plus de détails sur cette supercar unique ci-dessous !…
Nouvelle GT-R 2012 : plus coupleuse et puissante
Déjà boostée dans sa version 2011, le nouveau millésime 2012 est l’occasion de faire progresser une fois encore la puissance du bolide. Ce sont donc de 530 à 550 chevaux que passe la Nissan Skyline GTR. Du côté du couple, les chiffres varient de 612 à 632 Nm. La marque en a également profité pour améliorer légèrement la consommation de la GT-R, cette dernière descend de 12 à 11,8 litres aux 100 km.
Le style de la Nissan GT-R ne vieillit pas d'un poil, c'est pourquoi les évolutions sont réservées à la partie technique !
Ce genre de cliché donne plus que jamais envie de se mettre derrière le volant de la GTR !
La Nissan Skyline GT-R 2012 prise de profil dans sa couleur gris métalisé
Les amateurs du genre apprécieront également les quelques « plus » que réserve cette édition. Ainsi, la nouvelle mouture propose en option un freinage surpuissant en céramique jusqu’à présent réservé à la compétition. Pareillement, la transmission et la caisse bénéficient d’améliorations faisant progresser les performances de l’auto. C’est donc une transmission plus efficace et silencieuse (grâce à de l’huile de course) ainsi qu’une caisse plus rigide qui constituent l’essentiel des améliorations apportées.
Quelques légers changements ont été opérés dans l'habitacle de la GT-R 2012
Des nouveautés sont également présentes dans l’habitacle avec une instrumentation du tableau de bord revue et un système audio Bose. Il est à noter que le radar de recul fait son entrée en série.
Date de sortie de la Skyline 2012
Au niveau de la commercialisation de la GT-R 2012, les premiers exemplaires devraient être disponibles au début de l’année prochaine. Nissan n’a pas encore donné de date précise de sortie malheureusement.
L’essai de la Nissan Skyline GT-R s’étant déroulé sur le circuit de l’Ouest Parisien, la sportive a pu être bousculée dans les nombreux virages du circuit. Sans doute un peu moins prévisible que d’autres GT actuelles, la Skyline GT-R essayée régale par ses accélérations franches et son comportement routier qui nécessite quelques connaissances pour pleinement en profiter.
A l’intérieur
Pour un prix du neuf autour des 80 000 €, la Nissan Skyline GT-R est une supercar « abordable » face à des concurrentes aussi puissantes dépassant largement les 100 000 €. Du coup, l’habitacle peut paraître en retrait. Sobre, sérieux et bien fini, l’intérieur d’une GT-R n’a pas à faire rougir son propriétaire qui a sans doute privilégié la puissance au prestige.
Sobre, l'intérieur de l'auto n'a pas pour but d'impressionner le conducteur. C'est ce qui se trouve sous le capot qui doit remplir cette mission
Avec quelques touches de carbone, une planche de bord entièrement recouverte de cuir noir, Nissan a créé un poste de conduite efficace qui ne sera pas distrayant. Après tout, la GTR n’est pas là pour charmer avec son habitacle, c’est ce qui se trouve sous le capot qui doit convaincre !
Sur route
Une fois le contact mis, le V6 turbo de 485 chevaux donne envie de partir comme une bombe sur le circuit pour reproduire ce que l’on peut faire dans Need for Speed. Calme… l’auto est une GT et un peu sagesse dans notre pilotage évitera bien des erreurs.
Offrant à chaque accélération un coup pied au derrière, la Nissan Skyline GT-R est enivrante à conduire. Les rapports, grâce à la boîte robotisée bien étagée, peuvent se succéder à toute vitesse. L’auto fait le 0 à 100 km/h en 3 petites secondes, ce n’est pas pour rien ! Par ailleurs, il faudra faire attention à sa largeur que l’on croit inférieure à la réalité. Une sortie de piste à 150 km/h avant un virage ne se négocie pas facilement sans expérience sur piste (frayeur vécue !). Le poids de la voiture étant assez conséquent (1 850 kilos), la remettre correctement sur la route n’est pas aisé. Mieux vaut rester les quatre roues sur le bitume ! Pareillement, le dosage des gaz en sortie de virage aura son importance : un peu trop puissance dans les roues et l’anti-patinage prendra le relais, cela pouvant perturber le conducteur par le changement d’adhérence assez brusque. L’électronique ne fait pas tout, le but étant d’abord de se faire plaisir !
En conclusion
Ainsi, la Nissan Skyline GT-R est une sportive qui demande un peu de « feeling » pour la piloter correctement. Une fois ce niveau obtenu, cette capacité à la conduire sainement, il s’agit sans doute d’une des voitures de son genre avec laquelle on peut le plus s’amuser et prendre plaisir dans la phases d’accélération ou dans les prises de virage. A vous de voir !
Alors que la commercialisation a déjà démarré aux Etats-Unis et au Japon, la voiture électrique de Nissan rencontre ses premiers problèmes. Pour ce nouveau type d’auto, dont la Leaf fait partie, avoir des problèmes de fiabilité ne fera pas courir les clients aux portes des concessions pour un véhicule au prix déjà salé : 30 990 € pour la France.
« Ma Leaf ne démarre plus »
La fiabilité, prochain ennemi de la Leaf ?
Ce sont les paroles prononcées par les utilisateurs américains et japonais. L’avarie se produit après s’être servi de la Leaf pendant un certains et que peu de temps après on souhaite la redémarrer. La panne serait sans doute d’origine informatique et situerait du côté de la climatisation selon le constructeur.
Pour Nissan, aucun rappel n’est prévu comme « Ce n’est pas une question de sécurité, la voiture ne s’arrête pas en cours de marche, elle ne redémarre pas lorsqu’elle a été éteinte. Nous cherchons activement la cause de ce problèmes pour trouver les mesures adapter pour résoudre ce problème ». Affaire à suivre d’ici l’arrivée de la voiture en France prévue pour cet été.
Alors que Nissan peine à faire venir rapidement ses Leaf en Europe, Auto Observer fait remarquer que toutes les précommandes effectuées ne seront pas suivie d’un achat. Peut-être que pour certains l’effet d’euphorie pour l’électrique s’est estompé bien que les 27 000 précommandes demandaient un chèque de 99 $ non-remboursable !
40 % des précommandes de la Leaf transformées en véritable achat
C’est l’Auto Observer qui avance ce chiffre, 40 % des précommandes confirmées correspond donc à 10 800 Nissan Leaf à livrer le plus vite possible. Avec seulement quelques centaines d’exemplaires produits aujourd’hui, les consommateurs vont devoir attendre et prendre sérieusement leur mal en patience !…
1,6 millions de dollars gagnés pour Nissan rien qu’avec les annulations !
En effet, comme écrit plus haut, l’annulation d’une précommande entraîne l’encaissement par Nissan d’un chèque de 99 $ aux Etats-Unis. Avec 60 % des promesses d’achat annulées, la marque empoche la rondelette somme de 1,6 millions de dollars… sans effort !
Le sujet des mandataires automobiles revient régulièrement sur le devant de la scène. Cependant beaucoup de zones d’ombres persistent. C’est pour cela que j’ai posé quelques questions en tant que néophyte à Jonathan Luck. Nous nous sommes déjà rencontrés et il est…