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Commercialisé depuis maintenant quatre ans, le Ford C-Max va profiter du Mondial de l’Automobile de Paris (du 4 au 19 octobre prochain) pour présenter au public sa version mise à jour. Histoire d’attirer l’attention, la marque à l’ovale bleue vient de diffuser une première image en guise de teasing sur sa page Facebook.
Ainsi, on peut découvrir qu’une petite partie du monospace le plus importé en France (selon Ford, données AAA Data fin août 2014). Le petit bout de calandre apparent laisse croire que comme les Mondeo, Focus, Fiesta, … les C-Max et Grand C-Max recevront à leur tour la fameuse calandre trapézoïdale semblant inspirée par Aston Martin.
Les optiques se montrent également. Elles sont de forme plus rectangulaire.
Pour le reste, le profil devrait rester inchangé, tandis que la poupe recevra aussi quelques modifications. En outre, l’habitacle sera très certainement revu avec une meilleure ergonomie et l’offre technologique sera améliorée. Rien n’a été précisé au sujet des potentielles évolutions pour les motorisations qui viendront se loger sous le capot.
Pour en savoir plus, il faudra patienter encore un peu plus d’un jour avant d’avoir la présentation officielle des Ford C-Max et Grand C-Max restylés. Leur date de sortie pourrait avoir lieu fin 2014 ou au début de l’année 2015.
A suivre très rapidement…
Les amateurs de glisse en muscle-car vont bientôt trouver leur bonheur. C’est Ford Racing qui a annoncé la venue pour le début d’année prochaine d’une Mustang RTR (pour « Ready to rock ») conçue en collaboration avec le champion de drift Vaughn Gittin Jr.
Avec ces images en guise de teaser, Ford nous dévoile – en partie – ce que sera la version RTR de la dernière Mustang. La liste des réjouissances qui seront apportées à l’Américaine n’est pas encore connue dans son intégralité, mais l’on a déjà connaissance de quelques éléments.
Pour la partie esthétique, on note une grille de calandre inédite avec des leds en forme de triangle sur les extrémités, différents stickers sur la carrosserie présents notamment sur le capot et la poupe, un kit aérodynamique plus suggestif, … L’habitacle subira aussi certainement des modifications.
Son comportement devrait se trouver amélioré grâce à un meilleur appui venant du becquet arrière, des jantes « RTR » plus légères, ainsi que des amortisseurs et barres antiroulis réglables. Le système de freinage devrait être également amélioré, tout comme un certain nombre de pièces seront renforcées.
Commercialisée à partir du mois de janvier prochain, la Mustang RTR 2015 sera proposée de base avec le 4-cylindres 2,3 l EcoBoost de 300 ch (que vous pouvez écouter en vidéo ici) et de manière optionnelle avec le gros V8 5,0 l Coyote fort de 435 ch.
Ford Racing assure que de plus nombreux points de vente que par le passé proposeront cette Mustang RTR, que des pièces seront proposées en après-vente directement sur le site internet et qu’elle sera disponible dans le monde entier. Espérons que l’Europe en fait partie, Ford vient de sortir la première Mustang avec conduite à droite !
A suivre pour connaître le reste des spécificités de cette ‘Stang RTR… Son prix n’a pas encore été communiqué.
L’attente aura été longue ! Initialement prévue pour un lancement en 2012, la nouvelle génération de la Ford Mondeo (appelée Ford Fusion aux Etats-Unis) arrivera qu’à la fin de l’année à l’occasion du Mondial de l’auto de Paris au mois d’octobre prochain, soit avec deux ans de retard.
Pour cette quatrième génération de la Mondeo (la première génération remontre au début des années 1990), c’est surtout la face avant qui évolue en comparaison avec sa devancière. Comme le reste de la gamme du constructeur, elle adopte une calandre façon « Aston Martin » qui est du plus bel effet avec ses phares effilés.
En finition haut de gamme, l’ensemble des optiques avant et arrière utilisent des LED et les projecteurs avant deviennent adaptatifs. Certains pourront regretter que la poupe reste proche de l’ancien modèle.
Un regret également concernant l’intérieur, puisqu’on y découvre une planche de bord qui est aussi assez proche. Un peu plus de modernisme aurait été bienvenu… Toutefois, Ford n’oublie pas de mettre à la page la Mondeo en terme d’équipements, puisque cette dernière reçoit un nouvel écran 8 pouces, un airbag-ceinture pour les passagers arrière, le stationnement semi-automatique, l’ouverture du coffre en passant le pied sous le bouclier arrière, le freinage automatique d’urgence, …
Côté moteurs, l’offre est déjà assez fournie avec des quatre-cylindres essence 1,5 et 2,0 l estampillés EcoBoost allant de 125 à 240 ch. En diesel, l’offre est composée de quatre-cylindres 1,6 et 2,0 l TDCi oscillant entre 115 et 200 ch, tandis qu’un bloc essence-électricité sera proposé. Avec un 2,0 l et des batteries de 1,4 kWh, les émissions de CO2 de cette motorisation hybride s’établiront à 99 g de CO2/km, soit environ 4,3 l/100 km.
Un trois-cylindres 1,0 l Ecoboost et une transmission intégrale (4×4) feront leur apparition en 2015
Il est d’ores et déjà possible de passer commande pour une Mondeo berline 4 portes/5 portes (hayon) ou break en finition Trend ou Titanium. Deux nouvelles finitions arriveront en 2015 : la finition Ambiente pour l’entrée de gamme et la finition Business Edition pour le haut de gamme. Son prix d’entrée devrait débuter aux alentours des 27 000 €. Les premiers exemplaires apparaîtront en concessions au mois d’octobre.
Avant sa présentation à la fin de l’année passée, la Ford Mustang a beaucoup fait parler d’elle. Actuellement, c’est toujours le cas puisqu’elle a été récemment vue dans sa version haute performance, tandis qu’hier nous vous communiquions sa gamme de moteurs. Parmi ces blocs, un moteur intrigue sous le capot d’une Mustang d’emblée associée à un V8 : le quatre-cylindres 2,3 l turbo EcoBoost fort de 314 ch et 434 Nm de couple.
Avec une telle puissance, ce « quatre pattes » se montre même plus performance que le V6 3,7 l développant 304 ch et 380 Nm, un comble ! Le six-cylindres constituerait donc selon Ford l’entrée de gamme de la Mustang…
Si nous espérons le vérifier d’ici son lancement commercial prévu pour le début de l’année prochaine en France (mais seulement avec, semble-t-il, le L4 et le V8), une première vidéo de roulage à bord de la Mustang équipée du quatre-cylindres a été diffusée sur la toile. Une bonne occasion d’avoir une première impression sur la bête. Le résultat sonore paraît pas trop décevant pour le nombre de cylindres présents, même si malheureusement depuis l’extérieur le turbo couvrirait la sonorité moteur d’après ce que l’on peut entendre lors d’une forte accélération… A l’intérieur, le constat semble plus positif et pourrait même faire penser à un V8 avec cette tonalité assez rauque.
La Ford Mustang 4-cylindres EcoBoost Performance Pack (19 pouces, freins majorés, baquets, …) en automatique (7 rapports) sur le circuit d’essai Ford :
Et à titre de comparaison, la Ford Mustang GT Performance Pack boîte manuelle 6 vitesses (vous pouvez aussi l’écouter ici à l’arrêt avec de beaux coups de gaz) :
Abcmoteur avait également essayé la précédente génération avec son V8 de 300 ch.
Crédit photo : vidéo YouTube « TheDriver »
De nombreux coups d’annonces ; teasers, communiqués retenus et fuites ont fait de la future Mustang un objet de désir avant qu’elle n’arrive en concession. Prévue pour le début de l’année 2015 (normalement), la belle américaine vient de dévoiler une information supplémentaire : ses motorisations.
Victime du « downsizing », la Mustang adoptera un nouveau bloc Ecoboost à 4 cylindres (déjà monté sur les générations II et III) de 2.3l de cylindrée, développant 314 chevaux pour 434 Nm de couple. L’injection directe, un turbo et une distribution à calage variable ont contribué à l’optimisation du 4 cylindres américain. Une version qui pourra être associée à une boîte manuelle 6 rapports, ou automatique à 7 rapports avec palettes au volant.
Plus gros mais moins puissant, un 6 cylindres sera également proposé (mais pas en France) : 3.7l de cylindrée, 304 chevaux et un couple de 380 Nm.
Enfin cerise sur le gâteau et en haut du panier : le gros V8 qui équipera la version GT, avec une cylindrée de 5.0l et une puissance affichée à 440 chevaux pour un couple de 540 Nm. C’est le même bloc qu’on pouvait retrouver sous le capot de la version Mustang 2011.
Il faudra encore patienter pour avoir plus de détails pour les blocs qui seront vendus en Europe.
La Ford Mustang a été dévoilée officiellement à la fin de l’année passée, mais une version bien plus musclée est toujours en cours de développement. A ce sujet, les rumeurs sont encore de légion et des mulets lourdement camouflés arpentent toujours les routes comme en témoignent les derniers clichés espions de nos photographes.
Pour le moment, le patronyme de celle qui deviendra la Mustang actuelle la plus puissante n’est pas connu. Les appellations telles que « GT 350 », « GT 500 », « SVO », « Mach 1 » ou encore « SVT Cobra » ont été évoquées, le plus probable étant « GT 350 » dans un premier temps… une autre version encore plus dévergondée pouvant suivre ultérieurement pour aller rivaliser avec les Chevrolet Camaro ZL1 et Corvette, ainsi que la Nissan GT-R.
Bien entendu, pour l’occasion la Ford Mustang se virilise avec un kit carrosserie agressif, de larges entrées d’air, des bas de caisse marqués, quatre sortie d’échappement, …
On peut également apercevoir son habitacle où des sièges baquets très sportifs de la marque Recaro sont présents. Le régime maxi est déplacé à 6 500 tours/min et il sera même possible d’atteindre les 7 000 tours/min dans certaines conditions.
Les quatre roues sont équipées de pneus larges Michelin Pilot Super Sport, tandis que le freinage est assuré par des freins à disque perforés en carbone céramique !
Au chapitre mécanique, le V8 de 5,8 l suralimenté sera mis à jour. Le but étant de proposer mieux que les 662 ch et 631 Nm de couple de l’actuelle Shelby GT 500.
Le total de canassons sous le capot du bolide pourrait atteindre les 700 ch étant donné que Dodge et sa Challenger SRT Hellcat en offrent 707 pour 808 Nm (soit bien plus les 600 ch environ annoncés à l’origine !…) !
Pour découvrir le visage de cette Ford Mustang très certainement délirante, il faudra patienter jusqu’en 2015 minimum pour la voir dans un salon. Sa date de sortie étant attendue pour le courant de l’année 2016. Son prix de vente américain dépassera sans aucun doute les 55 000 $ (40 460 €) demandés aujourd’hui pour une GT 500.
A suivre…
Une courte vidéo pour apprécier la sonorité du V8 :
Crédit : CarPix pour Abcmoteur
Au mois de février dernier, nous vous présentions la Ford Focus restylée, mais il manquait encore la version sportive siglée des deux lettres « ST ». Voici maintenant les images et informations officielles de la Focus ST dans sa nouvelle robe.
Comme prévu, la Focus ST reçoit les mêmes modifications déjà vues sur le modèle « standard », mais en conservant toujours cet kit carrosserie agressif qui la distingue des motorisations moins puissantes.
La proue subit le plus gros des évolutions avec une calandre en nid d’abeille revue, des optiques plus effilées et des boucliers inédits accueillant des antibrouillard troquant leur forme ronde pour un aspect plus anguleux. Le capot est plus sculpté, tandis que l’ovale bleu ne vient plus empiéter sur la découpe de ce dernier. Au final, l’ensemble paraît mieux équilibré.
De profil, les lignes demeurent inchangées. Seul, un jeu de jantes en alliage de 19 pouces différent fait son apparition en option.
A l’arrière, on note de nouvelles optiques, un hayon redessiné et des boucliers simplifiés. La double sortie d’échappement hexagonale est toujours de la partie.
Les clients pourront choisir une nouvelle teinte carrosserie gris foncé tirant vers le bleu baptisée « Stealth » en plus des Tangerine Scream, Bleu Impact, Blanc Glacier, Noir Scala et Rouge Racing.
A bord, le nouveau système de commande vocale SYNC de seconde génération est présent avec écran couleur 8 pouces. L’ergonomie est simplifiée
L’aide au maintient dans la file applique une correction au volant pour ramener l’auto dans sa file si aucun clignotant n’est enclenché
Malheureusement, les photos de la Focus ST SW (break) n’ont pas encore été diffusées.
Par ailleurs, Ford Team RS (la branche européenne du groupe Véhicules hautes performances de Ford) a également amélioré les réglages de la voiture avec comme « objectif numéro 1 » en tête les sensations de conduite dixit le communiqué du constructeur.
Pour y parvenir, la suspension adopte de nouveaux ressorts à l’avant et des amortisseurs avant et arrière réglés vers plus de sportivité. Les barres antiroulis et les ressorts arrière restent identiques à la Focus ST d’avant le restylage. Les modifications ont aussi été faites pour la direction à assistance électrique, l’ESP et le différentiel électronique gérant, entre autres, la répartition du couple sur les roues avant.
Ford assure que les sensations issues du train avant et de la commandes de boîte de vitesse ont été accrues grâce à l’utilisation de supports moteur spécifiques et adaptés aux performances de la Focus ST. En 19 pouces, le savoir-faire de Michelin entre en jeu, puisqu’un nouveau pneu a été développé spécifiquement. Il se distingue notamment par son adhérence latérale.
Toutefois, la nouveauté la plus marquante de cette nouvelle Focus ST, c’est bien l’introduction d’une motorisations diesel ! Oui, vous avez bien lu !
A l’image de Volkswagen avec sa Golf GTD (voir notre essai sur circuit) – et bientôt de Peugeot avec sa 308 GT –, Ford fait le choix d’introduire sous le capot de la ST un mazout en plus du bloc essence. Il s’agit d’un 2,0 l TDCi de 185 ch avec une transmission raccourcie dérivé du 2,0 l TDCi de 150 ch de la Focus « classique ». La puissance augmente de 23 % suite à une reprogrammation électronique, une admission d’air plus importante et un échappement « sportif ». Les 185 ch sont atteints à 3 500 tr/min, tandis que le couple maximal de 400 Nm est disponible de 2 000 à 2 750 tr/min. Le 0 à 100 km/h est abattu en 8,1 s (7,5 s pour la GTD). La Vmax s’établit à 217 km/h. Par ailleurs, la consommation moyenne s’élève à 4,4 l/100 km pour 114 g de CO2/km.
Le 2,0 l turbo essence EcoBoost fort de 250 ch (à 5 500 tr/min) et 360 Nm de couple (de 2 000 à 4 500 tr/min) voit sa puissance stagner, mais avec l’introduction d’un stop & start (tout comme sur le diesel) il devient un peu plus économe. Il boit en moyenne 6,8 l/100 km et rejette 158 g de CO2/km (+ 2 200 € de malus). Le 0 à 100 km/h est effectué en 6,5 s et la vitesse maxi située à 248 km/h.
Dans les deux cas, c’est une boîte à 6 rapports avec débattements courts qui officie.
A l’heure actuelle, les tarifs de la Ford Focus ST ne sont pas encore connus, mais l’on sait déjà que les commandes seront ouvertes à partir de l’autonome 2014. Les premières livraisons débuteront début 2015.
Alors que PSA a sorti avec succès son 1.2 e-THP 130 sur ses 308 (voir notre essai) et C4, l’initiateur du trois-cylindres optimisé Ford a sans nul doute été vexé et prend sa revanche…
Ainsi, son très médiatisé moteur EcoBoost – à juste titre, tellement le moteur était innovant et éblouissant, titulaire de nombreux prix et records – gagne quelques chevaux sous le capot de la citadine Fiesta. Idéal pour combler le fossé existant entre le 1.0 EcoBoost 125 et le 1.6 de 180 ch du même nom de la Fiesta ST (voir notre essai). Ford se vante alors de présenter une puissance au litre supérieure à la Bugatti Veyron et la Ferrari 458 Spéciale, bien qu’une Peugeot RCZ-R (voir notre essai) fasse mieux notamment. Ce nouveau moteur de 1.0 EcoBoost 140 ch permet alors à la Fiesta d’atteindre les 100 km/h en 9.0 secondes, pour une vitesse de pointe de 201 km/h, une consommation mixte de 4.5 l/100 km et de 104 g de CO2.
Ce nouveau moteur de pointe intègre la gamme Fiesta trois portes sous deux nouvelles finitions Red et Black Edition. Elles se caractérisent par une grille de calandre en nid d’abeille, un bouclier avant plus dynamique ; ces deux éléments étant contrastés en rouge sur la Black Edition et inversement pour la Red Edition. Idem pour les rétroviseurs et le toit de l’auto. Le bouclier arrière se veut aussi plus sportif et s’accompagne d’un spoiler.
A l’intérieur, volant et levier de vitesses s’habillent de cuir noir et de surpiqûres rouges, tandis que la Fiesta adopte des sièges sport noirs associés également de surpiqures rouges.
Une fois n’est pas coutume, ces Fiesta généreusement motorisées se dotent d’une suspension raffermie, d’un étagement de boite plus court et d’une direction plus ferme.
Le tarif devrait tourner autour de 19 000€. Les commandes seront ouvertes cet été pour une commercialisation au mois de septembre 2014.
Ford a profité du Salon du Mobilier de Milan pour avancer un peu plus ses pions dans le domaine du luxe en dévoilant un deuxième concept-car de la griffe Vignale.
Cette deuxième étude de style est destinée au S-Max. Ainsi, le monospace racé de la marque américaine perd un peu de son allure dynamique pour un aspect plus costaud et imposant. Les nouvelles jantes de 21 pouces (!) y contribuent pour beaucoup tout comme la calandre béante prenant place sur la poupe.
La poupe est très convaincante, espérons qu’elle sera conservée à l’identique en série, diffuseur mis à part…
La ligne est figée pour la production, mais les grosses roues seront remplacées par de plus petites (18 ou 19 pouces certainement)
On note également des barrettes chromées sur les contours de vitres et les bas de caisse. La partie arrière est sans doute la plus réussie, car elle arrive à marier élégance et finesse malgré le gabarit. L’ensemble plutôt épuré donne un sérieux coup de vieux au S-Max vendu actuellement dans les concessions !
Une fois dans l’habitacle, on découvre un intérieur très qualitatif et pas trop chargé, sans faire dans le clinquant. La sellerie cuir matelassée, le volant trois branches au dessin travail, la planche de bord en cuir et l’inscription trônant au sommet de la console centrale font leur effet.
Nouveaux standards de finition en perspective ? Vivement les essais pour juger le nouveau HDG Ford !
Tout comme d’autres firmes de luxe, le S-Max Vignale est proposé avec une sélection de produits dérivés tels que des sacs, portefeuilles, trousses de toilette, … Le but est « d’inventer une expérience de luxe » selon l’ovale bleu.
Le S-Max Vignale représentant « l’expression la plus raffinée de la marque […] tant du point de vue du produit que de l’expérience client » selon Stephen Odell, président de Ford sur le Vieux Continent notamment, sera commercialisé en Europe l’année prochaine, soit quelque temps après la berline tricorps Mondeo Vignale.
Pour les personnes voulant changer de voiture à intervalles très courts ou tout simplement ne pas débourser une grande somme d’argent en une seule fois, la location avec option d’achat est une solution. Cette formule est de plus en plus proposée par les marques automobiles et les consommateurs français en sont de plus en plus friands.
Pour ceux étant à la recherche d’une auto d’un gabarit taillé pour la ville, le constructeur répond avec la KA. Cette petite citadine de 3,6 m de long est proposée à partir de 99 €/mois (3 028 € d’apport) en finition Titanium 1,2 l 69 ch.
Les plus gros rouleurs pourront se tourner vers la compacte Focus (129 €/mois) ou la berline Mondeo (179 €/mois) plus statutaire. Les familles à la recherche d’espace à bord ne sont pas oubliées avec quatre monospaces : le B-MAX (119 €/mois), le C-MAX (139 €/mois), le S-MAX (199 €/mois) et le plus habitable qu’est le Galaxy (239 €/mois).
Afin de profiter de cette offre, il suffit de se rendre à cette adresse, de sélectionner le modèle désiré et de remplir le formulaire de coordonnées sur le côté droit. Il faudra ensuite imprimer le coupon de remise obtenu et se rendre en concession avec ce dernier.
Article sponsorisé
Le week-end dernier, les photos de la Ford Focus restylée apparaissaient au grand jour. Les informations officielles ont été livrées et nous en savons désormais un peu plus.
Pour l’année 2014, la Focus 3 adopte la nouvelle calandre façon Aston Martin. Un nouveau faciès qui lui va comme un gant. On note quelques menues évolutions sur le reste de la carrosserie comme de nouveaux optiques et un dessin du hayon revu.
Les nervures du capot de la Focus 2014 participent à la rendre « plus tonique, plus athlétique… », selon Martin Smith, directeur du style chez Ford Europe
L’intérieur est également visé par ce restyling, puisque la console centrale voit son ergonomie améliorée avec un diminution du nombre de boutons. Un écran multimédia tactile (8 pouces) de plus grande taille intégrant le système de connectivité SYNC 2 avec notamment des commandes vocales plus évoluées est présent. Le volant multifonction – qui perd deux branches au passage – en profite aussi pour éliminer quelques touches qui rendait son maniement trop compliqué. De plus, un nouvel accoudoir central fait son entrée et un espace supplémentaire est alloué au pied de la console centrale afin d’y placer plus facilement des bouteilles ou gobelets. Par ailleurs, la marque promet une meilleure insonorisation de l’habitacle avec des moquettes et vitres plus épaisses.
Côté sécurité et aides électroniques, la Focus est le premier modèle Ford à disposer d’un système de stationnement semi-automatique à la perpendiculaire (en bataille) grâce à l’ajout de deux capteurs sur la poupe. Ces derniers permettent en sus de profiter du « Cross Traffic Alert » avertissant le conducteur lorsqu’un véhicule est en approche. Par exemple, lorsqu’il sort d’une place de stationnement en marche arrière. Le freinage automatisé « Active City Stop » est actif jusqu’à 50 km/h (au lieu de 30 km/h) et le paramétrage de l’auto à l’aide de « MyKey » est introduit dans la compacte. Il offre la possibilité au propriétaire de verrouiller certaines fonctions de la voiture (ESP, vitesse maximum, volume audio, …) selon la personne qui conduit, notamment pour les jeunes permis encore débutants…
Le constructeur à l’ovale bleue n’oublie pas la partie mécanique qui subit de la même manière un rafraichissement.
On retient la venue d‘un quatre-cylindres essence turbo 1,5 l EcoBoost décliné en 150 et 180 ch. Le petit 1,6 l essence est remplacé par le trois-cylindres turbo 1,0 l Ecoboost de 100 ch (99 g CO2/km) représentant l’entrée de gamme essence de la Focus. Pour les amateurs de diesel, l’offre est composée du 1,5 l TDCi de 95 et 120 ch et du 2,0 l TDCi de 150 ch. Pour les motorisations disposant d’une boîte auto, des palettes au volant peuvent être ajoutées en option.
La consommation de carburant en baisse de 19 % pour les mazout et de 17 % pour les blocs carburant au sans plomb.
Les prix ne sont pas encore connus, mais la commercialisation de la nouvelle Ford Focus restylée interviendra au second semestre 2014.
Les explications sur sa conception :
Le point sur les technologies embarquées :
Toute comme sa petite sœur la Fiesta, la Focus adopte la fameuse calandre façon Aston Martin. C’est donc un restylage conforme aux attentes (voir spyshots) que nous livre Ford pour la troisième génération de sa compacte déjà vendue à plus d’un million d’unité à travers le monde…
Au salon de Genève, Ford présentera la Focus 5 portes et break sous le nouveau dessin que l’on peut voir sur ces images officielles visibles ci-dessous.
La proue concentre la majeur partie des modifications effectuées à l’occasion de ce facelift de mi-carrière. La calandre est totalement revue. Elle se pare de barrettes chromées horizontales et d’un bouclier plus discret rendant l’ensemble plus élégant, mais pas banal pour autant. Les optiques de phare s’habillent d’un fond légèrement noirci et les antibrouillard quittent leur forme ronde pour un aspect rectangulaire.
Pour le profil, cela semble une copie identique de la phase 1, même les rétroviseurs demeurent inchangés.
Enfin, du côté de la poupe, le dessin intérieur des optiques évoluent légèrement – en donnant l’impression d’être plus minces – pour la 5 portes tout comme pour le break et le hayon reçoit un arc de cercle là où se trouvait deux diagonales de part d’autre de la plaque d’immatriculation.
Pour le conducteur, l’intérieur ne se verra pas transformé. On note une console centrale avec un écran plus large et un volant qui n’est plus à quatre – une habitude chez Ford –, mais trois branches. Les selleries et teintes devraient recevoir quelques nouveautés. De nouveaux équipement disponibles sont également à prévoir.
A suivre d’ici lundi pour la présentation avec les informations officielles.
Ken Block commencerait-il à s’ennuyer au volant de sa Ford Fiesta malgré ses figures en drift toujours plus impressionnantes ? Afin d’éviter toute monotonie, le pilote de rallye américain a profité de la présentation au salon de Detroit du nouveau Ford F-150 pour se construire un nouveau jouet avec sa structure Hoonigan Racing : le F150 RaptorTRAX !
Surnommée la « chenillette la plus rapide du monde », le RaptorTRAX est dérivé du pick-up F-150 de dernière génération. Les modifications ont eu lieu sur les roues qui ont été remplacées par des chenilles à neige, sur l’habitacle qui reçoit un arceau de sécurité, des sièges baquet Recaro, une sono,… et bien entendu sur le moteur !
Un treuil et quelques autres accessoires sont montés sur le TRAX de Ken Block avait de parer à toute éventualité
Sous le capot, on trouve un V8 essence de 6,2 l suralimenté ! Malheureusement, la puissance n’est pas encore été révélée…
Ken Block va bien entendu ne pas se priver à bord de son F150 personnalisé. En effet, à l’occasion des Winter X Games à Aspen, dans le Colorado, une vidéo sera publiée. Nul doute que le SUV surpuissant va déménager, on a hâte de le voir à l’œuvre !…
En France, chaque année, la voiture neuve la plus vendue est une citadine, Peugeot et Renault se disputant le titre. En Allemagne, la chouchoute est inlassablement la compacte Volkswagen Golf (voir notre essai). Et aux USA ? Le roi depuis plus de 30 ans est un gros pick-up pardi ! Il s’agit du Ford F-150, un engin qui mesure en moyenne plus de 5,50 mètres de longueur !
Les américains en raffolent. En 2013 encore, la marque à l’ovale bleu en a écoulé plus de 760 000 au pays de l’Oncle Sam ! Quand on découvre que la deuxième meilleure vente, aussi un pick-up, le Chevrolet Silverado est loin derrière (480 000 unités), on se dit que le F-150 a un pouvoir d’attraction que l’on ne peut comprendre de notre côté de l’Atlantique !
Il est énorme et pourtant c’est un véhicule très polyvalent, capable de séduire les pères de famille et les chefs de chantier.
Le plus étonnant est de voir que l’auto a encore cartonné alors que la clientèle locale savait qu’une nouvelle génération allait voir le jour. Ford avait en effet présenté il y a un an le concept Atlas, qui dévoilait les traits de ce tout nouveau F-150. Ce succès ininterrompu n’a pas pour autant incité la firme U.S à se reposer sur ses lauriers. Au contraire même. La marque a revu en profondeur son best-seller… pour que celui-ci attire davantage de monde dans les concessions !
Ford a pris conscience que, même si la clientèle du F-150 est du genre très fidèle, les américains commencent à accorder de plus en plus d’importance à des critères qui jusqu’alors étaient plutôt importants seulement chez nous. On pense ainsi à la qualité de fabrication et aux consommations. Sur ce dernier point, on attend de gros progrès de la part de cette treizième génération. Ford n’a pour l’instant donné aucun chiffre sur les besoins en carburant. Mais la marque a fait beaucoup efforts pour réduire le poids de la bête, qui est en baisse de plus de 300 kilos ! La carrosserie est ainsi tout en aluminium « de qualité militaire ». Pour rassurer les clients, le constructeur précise que l’engin n’a jamais été aussi robuste.
Le F-150 est proposé en de multiples versions, dont cette Super Crew aux équipements spécifiques pour séduire les aventuriers.
La gamme des moteurs a aussi été dépoussiérée. Le label Ecoboost fait ainsi son apparition sur le F-150. Ford met en avant un nouveau « petit » V6 essence 2.7 litres, doté d’un système Stop and Start. Le gros V8 6.2 litres a été mis à la retraite. Il est remplacé par un V6 3.5 Ecoboost, de puissance équivalente selon Ford (là aussi, aucune donnée précise). Les amateurs de V8 se tourneront vers un bloc 5.0. La boîte de vitesses 6 rapports est bien évidemment automatique dans tous les cas !
Le dernier né de Ford est un sacré beau bébé ! Avec cette calandre, il avalerait presque une Twingo !
Le succès du F-150 n’a pas non plus empêché les designers de modifier le dessin de l’auto. Après, il est vrai que la silhouette d’un pick-up est toujours à peu près la même. Les stylistes s’attaquent donc surtout aux détails, comme la forme des optiques. A l’avant, les projecteurs adoptent une forme très tarabiscotée, évoquant le symbole grec sigma. La signature lumineuse a été soignée, avec un clignotant qui fait tout le tour de ces phares. La calandre chromée est encore plus grande. Pour le reste, pas de surprise, on retrouve un capot plat haut perché, des passages de roue bien marqués ou encore un vitrage latéral avec un décroché au niveau des rétroviseurs.
Ford tente de soigner la présentation. Mais un dessin plus léger n’aurait peut-être pas été une mauvaise idée…
Le dessin de la planche de bord évolue dans une moindre mesure. La présentation est un peu plus flatteuse, même si les formes restent plutôt typées utilitaire. On observe une large console centrale encadrée par deux épais éléments verticaux. Voilà qui évoque bien la solidité et la robustesse ! Côté équipements, le F-150 se met à la page avec les dernières technologies Ford : surveillance des angles-morts, alerte de franchissement involontaire de ligne blanche, caméra de recul, vision à 360° autour de l’auto avec des caméras …
Le F-150 version 2015 arrivera sur le marché américain dans le milieu de l’année.
Lancée en 2011 pour être vendue dans le monde entier, la Ford Focus de troisième génération fait une belle carrière avec plusieurs millions d’exemplaires déjà vendus. Cependant, la concurrence sur le segment s’est encore durcie avec l’arrivée de la Volkswagen Golf 7 (voir notre essai) et la Peugeot 308 2 notamment. Ainsi, dès 2014 la compacte à l’ovale bleue ainsi que ses deux déclinaisons, seront revues de fond en comble afin de conserver sa position de leader sur son marché.
Tout comme sa petite sœur, la Fiesta (voir notre essai de la version sportive ST), la Focus adoptera le fameux facelift « Aston Martin ». Adieu les entrées d’air triangulaires sur la proue, place à une grande bouche d’aération avec baguettes horizontales chromées. En somme, la version électrique ne devrait pas trop s’en éloigner (image) ? Les optiques subiront une grosse refonte avec l’apparition des LED pour un regard plus moderne.
Les bâches sont encore bien présentes lors de cette phase de test pour la Ford Focus restylée photographiée par Autoevolution
Lors de sa sortie, Ford devrait la présenter comme la « nouvelle Ford Focus » bien qu’il s’agisse d’un restylage, important, il est vrai
A l’intérieur, la marque en profite pour réorganiser la console centrale tant décriée (ouf, le pavé numérique disparaît !). La qualité des matériaux semble également progresser. Par ailleurs , un écran tactile sera très certainement de la partie
Pour la partie arrière, alors qu’on pensait qu’elle ne serait pas touchée par le restylage, celle-ci verra au moins ses feux modifiés comme les camouflages sur les photos volées le suggèrent. Le profil, et donc les portes, demeureront inchangés.
Au chapitre mécanique, les blocs carburant au diesel seront mis à jour pour être plus économes et émettre moins de CO2 au kilomètre. Pour la gamme essence, on notera l’arrivée du nouveau trois-cylindres Ecoboost de 1,5 l, tandis que le 1,0 l Ecoboost deviendra plus efficace. La boîte auto baptisée « Powershift » à double embrayage (en option) sera reprise à la Fiesta.
La Ford Focus restylée 2014 sera peut-être visible au salon de Genève en mars prochain. Côté tarifs, pas de bouleversement à prévoir : Ford continuant à jouer sur une politique tarifaire agressive. Le prix de base se situera aux alentours de 18 500 €.
Source iconographique : Autoevolution
Difficile d’être fixé, c’est le moins que l’on puisse dire à propos d’une éventuelle version « RS » de l’actuelle Ford Fiesta ! En effet, depuis un moment déjà des rumeurs indiquent sa sortie prochaine ou sa mise au placard. Les Britanniques d’Auto Express nous affirment que chez la marque à l’ovale bleue, il ne manque plus qu’un feu vert pour que la petite bombinette voit le jour. Explications.
La Ford Fiesta ST 1,6 l turbo 182 ch (voir notre essai) a été très bien accueillie par l’ensemble de la presse et les bruits de couloir annonçant une Peugeot 208 R et une Renault Clio Gordini RS ont sans doute fait accélérer le pas à la direction de Ford pour une Fiesta RS.
Pour l’horizon 2015, ce serait donc une Fiesta RS forte de 230 ch tirés du 1,6 turbo qui pourrait voir le jour. Ici, ce serait un véritable différentiel autobloquant mécanique, des suspensions revues et raffermies, ainsi qu’un freinage amélioré qui serait de la partie en plus d’une esthétique encore plus aguicheuse. En somme, une version plus radicale.
Fidèle à son habitude, Ford ne ferait pas gonfler exagérément les tarifs de son auto. Pour la Fiesta RS 2015, on parle d’un prix à 28 000 €, pour un plaisir encore plus grisant qu’avec la ST.
Vivement la suite !
Source iconographique : Auto Express / Poblete
Au début du mois de décembre la nouvelle Ford Mustang était révélée, une présentation très attendue et globalement bien accueillie. Toutefois, il restera encore les essais à réaliser pour cette américaine qui perpétue le mythe depuis 1964. La commercialisation de la muscle-car étant prévue dans le courant 2014 pour les USA et en 2015 pour l’Europe, il va falloir attendre un peu !
Heureusement, quelques chanceux semble déjà profiter de la Mustang VI comme en témoigne les deux vidéos partagées sur la toile par SotA1080 que l’on peut lire ci-dessous. Au programme, une vidéo de l’extérieur et de l’intérieur du bolide avec la sonorité moteur.
Puis, une comparaison entre la Mustang 2014 et la génération précédente (voir l’essai).
Plutôt convaincant !
Au mois de mai dernier, Abcmoteur montait à bord d’une Mustang Mach 1 de 1969. S’assoir pour la première fois dans une Mustang n’est pas banal, loin de là ! Alors que Ford vient tout juste de présenter officiellement la sixième génération de sa muscle-car qui sera désormais importée officiellement en Europe, voici l’essai d’une Mustang GT V8 4,6 l forte de 300 chevaux testée cet été.
La Ford Mustang est un mythe. Depuis sa première génération datant de 1964, la muscle car américaine a été achetée par plusieurs millions de clients, c’est la sportive la plus populaire aux Etats-Unis. Alors que les générations II et III avaient déçu le public, pour cette Mustang V, Ford a été très inspiré en matière de design.
Quelle est belle cette Mustang !… Massive, bestiale, rétro… et immédiatement identifiable. La double bande qui part du capot jusqu’au coffre lui offre encore un peu plus de charme
Les deux feux aux côtés du mustang sont additionnels et permettent de donner encore plus de caractère à l’auto déjà agressive avec un regard encore plus marqué
Un aileron sur la malle, deux gros bloc de feux, le logo « GT » et deux sorties d’échappement forment la poupe de la Mustang
En effet, ici c’est la 350 GT Fastback des années 1960 qui a été choisie pour servir de base au dessin de la carrosserie. Ainsi, on retrouve cette imposante calandre avec une grosse bouche d’aération, les phares ronds à chaque extrémité de la proue, les custodes arrière dissimulés, la prise d’air sur le capot, les ailes arrière musclées, les feux stop verticaux, la double sortie d’échappement gauche droite, … Bref, elle fait dans le néo-rétro et le résultat est très sympathique tout en la rendant particulièrement désirable !
Du côté de l’habitacle, on reconnait une présentation américaine typée Mustang. Au premier coup d’œil, on aperçoit le volant à trois branches, le pommeau de vitesse blanc atypique et les deux compteurs encastrés dans deux cylindres profonds.
La Ford Mustang V est une quatre places, mais l’accès aux places arrière n’est pas aisé. Il faudra se contorsionner pour y accéder
Cette version GT n’est pas l’entrée de gamme, nous avons donc le droit au cuir sur l’ensemble des sièges, à une imitation carbone pour la planche de bord et quelques autres gadgets. L’ensemble fait très plastique et ce modèle qui va vers ses dix ans grince un peu au niveau du mobilier, la finition n’est pas à la hauteur des standards européens, mais ce qui nous intéresse se trouve d’abord sous le capot !
Conduire pour la première fois une Ford Mustang, c’est très souvent un vieux rêve qui se réalise ! Il est donc temps de s’assoir dans le siège conducteur bien moelleux. On règle les commandes, on enfonce la clef et contact ! Un gros bruit sourd résonne, le V8 SOHC à 90° de 4,6 l est en marche (à écouter dans la vidéo en fin d’article) !
L’habitacle original dépayse et ce coloris beige est agréable à l’œil, mais il est dommage qu’il donne une impression de qualité moyenne
Alors que l’on a même pas encore mis la première, la sonorité moteur est sans pareille, totalement envoutante ! Le ronronnement laisse présager de belles montées en régime et un caractère bien trempé ! Allez, gaz !!
Le chant du V8 Mustang constitue à lui seul une bonne partie de la voiture. On doit ces vocalises à l’échappement en inox d’un diamètre de 6,35 cm (contre 5,71 cm auparavant). La perte de puissance est limitée à 10 %
Lors des premiers tours de roues, on est surpris par la direction très souple, le gabarit imposant de la Mustang se fait vite oublier à l’inverse de boîte de vitesse manuelle Tremec. Celle-ci semble archaïque. Le levier est très dur et les débattements courts, c’est presque un mérite de passer l’un des cinq rapports ou de rétrograder ! Mais comme ici c’est d’abord le cœur qui parle avant la raison, on met cela au compte de la personnalité de la voiture.
Voici le compartiment moteur et son V8 24 soupapes à distribution variable VCT (Variation Cam Timing) ayant toute sa partie supérieure en aluminium.Une soupape-papillon permet une plus grande vélocité de l’air admis dans le bloc
En prenant un peu de vitesse la première bonne impression sur le confort des suspensions se vérifie, les irrégularités de la routes sont très bien gommées. Le moteur ronronne, ses 300 ch (à 5 750 tr/mn) et ses 434 Nm de couple (à 4 500 tr/min) permettent de franches accélérations (0 à 100 km/h en 6 s) et beaucoup de souplesse. Son poids élevé de 1 600 kg ne l’aide pas, toutefois le freinage ABS (option à 775 dollars sur la version V6 !) est convaincant, quoique l’on aimerait un peu plus de mordant.
Lorsque le rythme s’accélère, la question que l’on se pose, c’est bien de savoir si la Mustang tient la route. Son châssis tiré d’une Lincoln LS permet à Ford d’économiser sur la conception et proposer son modèle à un prix bas. Cette génération de la Mustang est plus rigide que sa prédécesseur, elle est équipée en McPherson à l’avant et d’un essieu rigide à l’arrière. Rustique ! A l’usage, on ne se sent pas trop à l’aise dès que l’on force un peu le trait en courbe et même en ligne droite sur autoroute, rien ne nous pousse à dépasser les 110 km/h. On prend plaisir à cruiser à l’Américaine, on apprécie également la musique du V8.
L’exemplaire en main parcoure les routes depuis 2006 pour un total de 86 000 km, il y a quelques bruits parasites qui n’incitent pas à la pousser dans ses derniers retranchements. Les plus inquiets peuvent se rassurer, l’auto a son garde-fou appelé TCS (Traction Control System) permettant d’éviter les dérobades du train arrière. Essayée uniquement sur sol sec, le système électronique bride presque entièrement les glissades. Il faudra donc le désactiver pour s’amuser et faire le plein de sensations, mais un peu d’expérience est préférable avant de brûler la gomme afin d’éviter de mauvaises surprises.
On vous l’a dit, le V8 Ford est l’une des meilleures mélodies pour nos tympans :
Les plus | Les moins | ||
– Un look terrible et du charme ! – Le moteur V8 et sa sonorité ! – Rapport prix/performances (26 000 dollars neuve aux US, 25 000 € env en occasion en France) |
– Tenue de route (modèle d’essai kilométré et mal entretenu ?) – Conception ancienne – Finition |
Que faut-il en conclure de cette Mustang V sortie en 2005 ? Une première chose, c’est que les amateurs et puristes du genre ne seront pas déçus, c’est certain. Pour un conducteur plus ordinaire, il faudra bien définir l’usage que l’on voudra faire de l’engin, car si le plaisir délivré est bien là, il sera coûteux pour l’immatriculer (26 CV) et pour rouler (consommation moyenne de 12 l et 17 l en usage urbain…). L’assurance s’élèvera aux alentours de 1 000 € en tous risques.
Par ailleurs, comparer la Mustang à d’autres sportives européennes et japonaises (Nissan 350Z ?) n’aurait pas beaucoup de sens dans la mesure où Ford fait ici dans la tradition (essieu rigide) sans avoir recours à une conception sophistiquée pour contenir les tarifs. La ‘Stang est d’abord une pony car qui se savoure sur ses poussées d’accélération et sur un filé de gaz fenêtre ouverte, avant d’être une sportive rigoureuse et précise abattant les chronos.
La face avant de la nouvelle Mustang est inspirée par le concept Evos, avec de fines optiques qui remontent dans les ailes.
Une phrase, signée Stephen Odell, vice-président exécutif de Ford Europe/Moyen-Orient/Afrique, résume tout. « Même dans les pays où elle n’a jamais été en vente, la Mustang peut s’appuyer sur sa renommée, sur son statut d’icône synonyme de performances et de liberté. »
La Mustang, on est très nombreux à la connaître en Europe… même quand on en a jamais vu une. C’est ce qui fait sa force. Elle est d’ailleurs l’auto qui détient le record de mentions « J’aime » sur Facebook. La plus célèbre des américaines n’avait pourtant jamais daigné retraverser l’Atlantique depuis sa toute première génération. Les fans étaient obligés de passer par un importateur.
La silhouette est toujours musclée, avec un long capot, un toit plongeant, une lunette inclinée. La proue est moins verticale.
Les choses vont changer avec cette nouvelle génération. On pourra en effet l’acheter dans les concessions Ford proches de chez nous ! La Mustang va être enfin officiellement commercialisée sur le Vieux Continent. D’ailleurs, parmi les six villes retenues pour la présentation de l’auto aujourd’hui, il y a Barcelone.
Cela promet un très beau duel avec son équivalent européen : la Porsche 911. Joli hasard du calendrier, les deux autos ont presque le même nombre d’années au compteur. La Mustang fêtera en 2014 ses 50 ans, un âge que vient tout juste d’avoir l’allemande.
Ford était conscient que techniquement sa Mustang était à la traîne par rapport aux productions germaniques. L’ovale bleu a donc revu en profondeur les dessous de sa sportive, qui adopte enfin des suspensions arrière indépendantes ! Ford annonce avoir amélioré la rigidité de la caisse tout en réduisant le poids. De nouveaux éléments MacPherson à double rotule autorisent le montage de freins de grandes dimensions. De nombreux réglages (ressorts, amortisseurs) ont été adaptés aux routes européennes.
Heureusement, à l’arrière, on retrouve toujours les feux composés de trois éléments verticaux, reliés par une bande noire.
La Mustang cède à la tentation des différents modes de conduite proposés via un bouton sur la console centrale. Selon son parcours et ses envies, le conducteur peut adapter instantanément l’assistance de direction, la réponse du moteur, les réglages de la transmission et du contrôle de stabilité électronique. Elle adopte aussi un différentiel électronique actif, qui transmet la puissance sur la roue qui en a le plus besoin pour une efficacité maximale en virage. La version GT à boîte mécanique a de série un dispositif qui optimise l’accélération au démarrage.
Pour séduire le client européen, la Mustang adopte un nouveau quatre cylindres essence Turbo Ecoboost de 2.3 litres, avec injection directe et distribution à calage variable. Il développe une puissance d’au moins 309 ch et un couple de 407 Nm. Il peut être associé à une boîte mécanique 6 rapports ou à une transmission automatique avec palettes au volant. Ford proposera aussi chez nous un V8 5.0 litres de 426 ch et 529 Nm.
La planche de bord reste typée américaine, avec ses éléments chromés… et ses nombreux boutons. On a hâte de prendre place !
Reste à parler du style. On pensait dire que cette Mustang ressemble à une Mustang. Mais ce n’est pas aussi simple ! Evidemment, les grandes lignes de la silhouette sont conservées, avec un long capot, un arrière musclé, une lunette très inclinée, des feux arrière en trois éléments… Sauf que certains codes typiques disparaissent, comme la custode séparée. L’avant est assez éloigné des dernières Mustang, avec de fines optiques étirées. Ford présente d’emblée la version cabriolet, dotée d’une capote en toile multicouches, qui abaisse le niveau sonore dans l’habitacle.
La planche de bord est inspirée de l’aviation selon la marque. L’ambiance reste très américaine. Un large bandeau en aluminium prend place. Un grand écran tactile 8 pouces permet de piloter les équipements multimédias. En série, on retrouve la commande vocale SYNC. Le GPS est associé à un autoradio 12 haut-parleurs.
Depuis sa naissance, la Mustang a été vendue à plus de neuf millions d’exemplaires. Et il y en aura peut-être bientôt un dans votre jardin. Reste à en connaître les prix. Ford ne devrait pas en dire plus avant plusieurs mois, l’auto ne devant pas arriver dans les concessions avant 2015. Mais on a déjà tellement attendu que l’on peut être encore un peu patient.
Décidément, cela devient une habitude pour les constructeurs de dévoiler officiellement un nouveau modèle alors que des images montrant tout (ou presque) circulent déjà sur la toile. Pour la sixième génération de la mythique Ford Mustang, ce sera le cas. En attendant de découvrir les images officielles qui seront livrées le 5 décembre prochain, voici une série de photos « volées » issues du magazine Autoweek :
Si la calandre de la Ford Mustang 2014 reste assez proche de sa devancière, elle troque ses phares ronds pour un dessin rectangulaire plus moderne
Alors que bon nombre de rumeurs indiquaient un changement radical pour le design de la Mustang 2014, il n’en est rien. Si la ‘Stang évolue, elle reste dans la continuité de ses prédécesseurs tout en étant facilement identifiable. Il y a tout de même deux importants changements pour ce nouveau modèle.
Pour la poupe, les feux formant trois barres verticales sont conservés, et c’est tant mieux ! Le diffuseur est bien visible. Les deux sorties d’échappement seraient plus ou moins grosses selon le moteur
Tout d’abord, Ford va commercialiser en Europe pour la première la « pony car », alors que celle-ci existe depuis 1964 ! Les fans du genre ne manquent pas sur le Vieux Continent et l’arrivée de la Chevrolet Camaro a sans doute accéléré les choses…
L’autre révolution, c’est que la Mustang va recevoir un quatre-cylindre sous son capot ! Même si lors du choc pétrolier la Mustang II en possédait un, c’est avec un V8 que la muscle-car est reconnue !
La ligne du coupé est trapue et le toit plongeant. L’ensemble est réussi. Il est à noter que la Mustang délaisse son traditionnel essieu arrière rigide. Les roues seront indépendantes
Pour cette version 2014 de la Mustang, ce sera donc parmi trois motorisations que le futur acquéreur pourra choisir : un L4 2,3 l EcoBoost de 300 ch environ, un V6 et bien entendu un V8.
Encore une fois, pour ce qui est de l’intérieur avec le volant et la planche de bord, Ford ne fait pas de rupture. Les compteurs demeurent bien encastrés, on retrouve le volant Mustang à trois branches, …
Cependant, les clients américains et européens ne devraient pas être sur le même pied d’égalité, puisque pour ces derniers seul l’EcoBoost devrait être proposé à l’achat. Une grosse déception qui est le résultat de normes anti-pollution trop strictes ? Les importateurs auront encore du travail en 2015, année de commercialisation de la Ford Mustang en France (2014 pour les USA).
Les nouveautés de l’ovale bleu ont appris à voyager ! Dans le cadre de la stratégie « One Ford », qui consiste à proposer un maximum d’automobiles dites globales, des modèles auparavant typiques d’un continent sont désormais proposés sur la planète entière. L’avantage est que bien souvent les best-sellers des différentes zones géographiques se complètent.
Pour ses modèles compacts, Ford a ainsi privilégié des produits européens, comme la Fiesta ou la Focus. Pour son haut de gamme, les autos américaines sont préférées. Deux produits typiquement US vont ainsi enfin traverser l’Atlantique d’ici deux ans. D’abord, un mythe : la Mustang, dont la prochaine mouture sera dévoilée le 5 décembre prochain. Puis un gros SUV, nommé Edge, annoncé via ce concept qui a fait ses débuts au Salon de Los Angeles.
La deuxième génération se fait un peu plus dynamique, avec une lunette plus inclinée et une custode pointue.
L’Europe devra une nouvelle fois faire preuve de patience tout de même. La version de série de l’engin sera présentée dans quelques semaines. L’Edge numéro 2 sera ensuite lancé sur son marché d’origine avant d’arriver chez nous plusieurs mois après. Il ne faut donc rien attendre avant 2015… Il viendra agrandir l’offre de SUV Ford qui comporte l’EcoSport et le Kuga.
S’il est destiné au monde entier, le futur Edge garde un style très américain, avec sa grande calandre aux épaisses barres chromées. Les optiques sont entièrement composées de LED. Ceux qui connaissent le modèle verront que c’est la poupe qui change le plus, moins typée break. Les formes sont plus anguleuses, avec des feux horizontaux qui débordent sur le hayon et qui sont reliés entre eux. Ils remontent aussi sur les flancs, où l’on remarque une vitre de custode pointue, qui ressemble à celle de la Lexus RX. Evidemment, lors du passage à la série, on oubliera les éléments typés concept : les jantes immenses, les poignées de portes quasi inexistantes…
A l’intérieur, on remarque une planche de bord au dessin proche de celle du dernier concept S-Max. La console centrale sur deux niveaux, avec en partie haute un écran tactile 10 pouces entouré de grands aérateurs. Concept oblige, Ford a soigné la présentation avec un tableau de bord en partie recouvert de cuir perforé et de nombreux éclairages indirects bleutés. Ces éléments pourraient être conservés sur la version haut de gamme de l’Edge, nommée Vignale.
Aucun commentaire n’a été fait sur la partie technique. Pour en savoir plus à ce niveau, il faudra attendre la révélation du modèle de série… puis du modèle adapté à l’Europe. On en sait en revanche plus sur les dernières innovations embarquées par l’engin. Ford s’est lancé dans une course à la technologie depuis la naissance de la dernière Focus, et cela n’est pas prêt de s’arrêter visiblement.
La planche de bord est dans la lignée des dernières productions de Ford, avec un design moins caricatural. L’ambiance manque de chaleur.
On trouve en premier lieu un stationnement tout automatique. Il s’appuie sur le système semi-automatique Ford Active Park Assist pour se garer d’une simple pression sur un bouton et même de l’extérieur à l’aide d’une télécommande. Il fonctionne grâce à des capteurs à ultrason, capables de repérer une place perpendiculaire, et permet aussi de laisser le véhicule sortir seul d’un emplacement étroit avant de s’installer au volant.
Autre progrès : un meilleur dispositif d’évitement d’obstacles, qui peut déclencher une alerte lorsqu’il détecte un obstacle lent ou fixe devant. En l’absence de réaction du conducteur, il freine et braque automatiquement pour éviter une collision. On trouve aussi une direction adaptative, pour faciliter les manœuvres, tout en préservant de bonnes sensations de conduite à vitesse soutenue.
La troisième génération de Ka fait ses débuts sous forme de concept-car au Brésil. Elle débutera sa carrière là-bas l’année prochaine.
On efface tout et on recommence ! On pourrait penser cela en découvrant ce concept qui annonce la troisième génération de Ka, très éloignée des deux précédentes moutures. Sauf que cette auto n’est pas celle que l’on croit. Voilà une phrase bien mystérieuse ! Explications.
La Ka que l’on a sous les yeux a été conçue par les bureaux brésiliens de Ford, qui ont aussi créé le petit crossover EcoSport. Elle a été imaginée pour prendre la suite de la Figo, qui était une ancienne Fiesta modifiée, boxant dans la catégorie des citadines économiques mais pas rustiques, très en vogue dans les pays émergents. Une sorte de Dacia Sandero donc, en un peu plus petit. Elle trouvera au Brésil et en Inde de nombreuses rivales inconnues chez nous : Hyundai HB20, Toyota Etios, Fiat Uno…
On retrouve à l’avant les codes des nouvelles Ford « internationales » : la grille de calandre type Aston Martin ou les optiques étirées.
Mais chez Ford, depuis quelques années, on veut des voitures globales. Autrement dit des véhicules qui sont vendus sur quasiment tous les continents, à quelques exceptions près. Cette Ka « low-cost chic » a donc de fortes chances de débarquer en Europe. Le fait que le nom du modèle européen soit repris par ce produit mondial est un bon indice.
Les dirigeants de la firme à l’ovale bleu avaient été de toute façon clairs il y a quelques mois. La Ka que l’on connait, une mini-citadine trois portes à l’image plutôt jeune et dynamique, n’avait pas d’avenir car la produire uniquement pour l’Europe n’était pas assez rentable.
La troisième mouture, qui sera dévoilée l’année prochaine sous sa forme définitive et qui devrait être lancée chez nous en 2015, n’a donc pas grand chose à voir avec l’actuelle. Déjà, pour plus de polyvalence, elle adopte cinq portes. La ligne est beaucoup plus sage, avec une silhouette classique. Si au niveau de la face avant on reconnaît bien une Ford avec la calandre hexagonale et les optiques étirées, à l’arrière on pourrait mettre n’importe quel badge. La poupe très classique, mais pas forcément désagréable, semble issue d’une auto asiatique.
La nouvelle Ka suit la tendance sur le segment des petites autos en étant proposée uniquement avec 5 portes.
Ford annonce dès maintenant que les prestations de cette Ka ne seront pas à la ramasse, avec une belle présentation intérieure et un équipement complet. On retrouvera ainsi des technologies dignes des segments supérieurs, comme la connectivité vocale SYNC. Mais aucune image de l’habitacle n’a été montrée. Les infos techniques sont aussi inexistantes. Espérons que l’américain n’ait pas délaissé les possibilités de personnalisation, qui séduisent de plus en plus les acheteurs de ce type de modèles.
Ford a du en tout cas regarder de près l’arrivée de la nouvelle Hyundai i10, qui vient de mettre la barre très haute sur le segment des petites puces.
Telles pour être la signification des initiales représentant la gamme sportive du modèle Fiesta (pour, en réalité, Sport & Technologie). Issue d’une dynastie de citadine économique débutée en 1976, la Fiesta enfile de nouveau son jogging et ses baskets.
Entamée en 1981 avec la XR2, la lignée sport de la Fiesta a connu un parcours pour le moins chaotique !
La XR2 première du nom, accueillait en son sein, le légendaire et indestructible 1 600 Kent L3E (1 598 cm3, tout fonte, OVH, X-Flow), qui animait à l’époque les fabuleuses Lotus Seven et surtout les formules Ford !
N’est-elle pas craquante avec ses peintures de guerre typiquement eighties, ses phares ronds
qui lui donnent ce regard plus agressif, les longues portées bien campées sur le pare-choc…
Seulement, ce cœur battait trop fort pour les frêles roulettes de 13″ et surtout un châssis resté semblable aux versions plus « civilisées » (!). Un train avant instable à la moindre sollicitation un tant soit peu musclée, qui demandait un gros cœur à qui voudrait l’exploiter et l’emmener virilement.
…ses jantes « Pepper Pot », la sortie d’échappement à droite et son aileron en mousse ?!
Remarquez que sous cet angle, le « faux » bas de caisse peint, lui donne véritablement l’air d’avoir un kit d’ailes larges (!)
Elle devient ensuite MK2 en 83, mais n’améliore pas suffisamment ses trains roulants, alors quand débarque le 96 ch, l’essieu avant est à la rue ! La pauvre bête, pourtant agréable rend vite les armes dès que le rythme s’accélère. Et plus le revêtement se dégrade, pire c’est.
Plus que de réelle nouvelle version, il s’agit surtout d’un restyling.
Au cœur des années 80, le plastique est plus présent que jamais.
L’arrière est quasiment inchangé, si ce n’est des lignes un peu moins tendues,
un redessin des feux, un bouclier plus enveloppant et l’aileron entourant le hayon.
La 3ème mouture arrivée en 1989, se verra déclinée en deux versions sportives, la XR2 toujours, devenant XR2i en adoptant l’injection, mais aussi une RS Turbo (qui sera la seule Fiesta badgée RS de tous les temps), plus turbulente encore (133 ch). Et là, la poussée du turbo aidant, Ford abandonnera l’idée d’une sportive sur la base, de la cependant très bonne, citadine.
…et se voit rejointe par l’impétueuse RS Turbo, reconnaissable à ses jantes 3 bâtons et les prises d’air sur son capot,
cas qui ne fera pas école.
Puis, plus rien. Nous sommes en 95. La 4ème génération arrive, et laisse un vide sur le créneau des petites sportives.
En 1999, alors qu’elle vient d’être restylée, une simple version 1 600 S fait son apparition, sur la base du moteur Zetec SE.
Rien de bien folichon avec ses 103 ch, elle parait même timide, mais…! Elle commence à canaliser correctement la puissance sur les roues avant et à tenir le pavé. Enfin !
Ford s’est enfin décidé à traiter le châssis à part et sur mesure. La marque s’y est attelé avec brio.
2005, l’appellation « ST » apparait sur la Mk5. Elle sera le premier produit du Team RS, département sport de Ford.
Forte de 150ch, elle commence vraiment à faire parler la poudre. La partie cycle est remarquable. Cette fois, les données sont inversées : le châssis est top et le moteur est faible, comparativement.
M’enfin, mieux ça que l’inverse comme auparavant.
L’accastillage de la ST affirme son caractère tout en restant sobre, notamment dans cette livrée grise.
Le bouclier avant spécifique intégrant les AB, les jantes en 17″ et l’aileron font partie du pack.
Avec cette première ST, la Fiesta devient plus sérieuse et rigoureuse. On commence enfin à s’amuser !
A noter, les très reconnaissables bandes blanches chères à Ford, seront légion sur ce modèle.
Le récent Championnat du Monde Junior, en WRC, permet à Ford de reparticiper au sport automobile de haut niveau en tant qu’écurie, et d’éprouver les qualités de la bombinette.
En 2006, juste après un léger restyling, la marque se payera même le luxe de créer un championnat monomarque,
le Fiesta Sporting Trophy.
Une version RS est même étudiée en 2005 (en bleu sur la photo), après le succès de sa grande sœur, élue « Sportive de l’année » en 2002 par le célèbre magazine, « Échappement ». Le projet est abandonné, et jamais aucune Fiesta RS ne verra le jour.
Une fois convaincante, Ford s’enflamme pour la Fiesta et développe plusieurs pistes potentielles.
Ce qui n’est pas pour nous déplaire !
Le but est également de préparer le retour dans la cour des grands, avec la génération à venir et en remplacement de la Focus WRC, sous la houlette de Malcolm Wilson, patron de M-Sport, manager de Ford WRT. La réussite sera de la partie, car la Fiesta remporte le triplé dès son 2ème rallye lors de la saison 2011, le Rallye de Suède !
Mikko Hirvonen remporte son 1er rallye au volant de sa nouvelle monture, au 59ème Rallye de Suède,
sous les couleurs du BP Ford Abu Dhabi World Rally Team.
A noter également, que la Fiesta 6ème du nom a gagné en notoriété grâce à Ken Block, et ses célèbres vidéos de gymkhana.
En voici un exemple, pour le plaisir :
Curieusement, la Mk6 ne voit pas sa version ST arriver. Il faudra attendre, une fois n’est pas coutume, le restyling, intervenu au dernier Mondial de l’Automobile de Paris, en octobre 2012, pour la voir enfin débouler en concession, fin avril 2013.
Ford vise les 10 000 unités en Europe, dont 300 en france.
Le gros des ventes sera pour le marché GB, représentant 60%.
Qu’en sera-t-il cette fois-ci de la nouvelle version ST ?
La surprise est excellente !
Faisons un petit tour du propriétaire. Pour commencer, le facelift est le principal changement notable.
Le kit « sport » composé d’un bouclier très enveloppant intégrant une calandre en nid d’abeille, des jantes alliage 17″ Rado Grey, des bas de caisse, un diffuseur arrière avec sa double sortie d’échappement et un aileron proéminent surplombant le hayon.
Avec cette gueule béante de raie manta, la calandre fait indéniablement penser à la signature stylistique Aston Martin.
Passons à présent à l’intérieur. Bien que richement équipée sur le plan technologique (climatisation régulée, audio mp3 Sony, écran de contrôle/GPS 7″, les systèmes MyKey & SYNC, etc…), la planche de bord ne se distingue pas vraiment des autres versions, plus sages.
L’intérieur, n’a visuellement rien de sportif, ou si peu.
Heureusement, on peut compter sur les sièges « baquets » qui nous en redonnent l’impression et la sensation.
Par contre, chichement équipée sur le plan « sportif » (pédalier et pommeau de vitesse « alu », insert ST sur le volant et… c’est tout (!)), seuls les sièges Recaro très enveloppants et incontestablement sportifs, font leur effet et participent à la position de conduite assez typée.
Les futurs client ne se précipiteront donc pas sur le bon de commande pour son physique. L’intérieur n’est pas des plus démonstratifs. L’extérieur étant quant à lui, certes orienté mais relativement discret, quoique paradoxalement les couleurs proposées sont pour le moins flashy.
Les 3 couleurs disponibles sur le marché français (5 au total) :
La belle dans sa livrée Orange Molten posant devant le village de Gourdon,
abritant en son sein les très jolis jardins du Château, aménagés par André Le Nôtre, jardinier de Louis XIV !
Le sanguin « Rouge Racing ». Ici devant l’ancien moulin de Carros Village,
ayant servi de cache d’armes et d’explosifs, en 1943 pendant la 2nde guerre mondiale.
Devant le Domaine qui nous a accueilli pendant ces 2 jours, peinte en « Bleu Performance » (ou « Spirit Blue » suivant les marchés)
A noter, que Ford prévoit 2 versions : une ST1, plus dépouillée pour l’Allemagne, la Belgique, la Grande-Bretagne notamment & la ST2, présentée ici, pour le marché français.
Ouvrons le capot à présent.
Nous découvrons là le 4 cylindres 1.6 litre EcoBoost tout aluminium, développant 182 ch et 240 Nm de couple. Mais, grâce à son « overboost », la puissance et le couple grimpent en flèche !
L’overboost, qu’est ce que c’est ?
D’une durée limitée à 20 secondes, il se déclenche à pleine charge, lorsque les 182 chevaux sont lâchés, la pression du turbo basse inertie passe de 1,05 à 1,45 bar, ainsi 15 bourrins supplémentaires rejoignent le troupeau et le couple gagne 50 Nm, permettant de faire jeu égal, sur le papier tout du moins, avec ses concurrentes les plus directes !
La double sortie d’échappement distille un son fort agréable et en concordance avec celui du moteur.
Plus que sur le papier, le bouilleur sait autant se montrer discret, que montrer qu’il est là, car doté du « Sound Symposer », boitier communiquant entre le collecteur d’admission et l’habitacle. En phase d’accélération la membrane s’ouvre et permet à la mélodie émanant du moteur de venir chatouiller les tympans du pilote.
Le son a été travaillé pour être discret et doux à bas régime et/ou stabilisé, mais dès que la pédale de droite s’enfonce, il s’amplifie et devient plus rauque et viril. De quoi entendre siffler la turbine, rappelant un modèle très connu de l’autre marque à l’ovale bleu (!).
Si vous avez la chance de parcourir des vallées encaissées telles que celle de la Bévéra, entre Moulinet & Sospel,
son terrain de jeu favori, oubliez la clim’, ouvrez simplement la fenêtre et profitez du son ainsi amplifié !
Plus que sur le papier, le Duratec se montre très efficace, car 20% plus performant que la génération précédente, tout en consommant 20% de moins, soit une conso moyenne de 5,9, prétendue par Ford et rejetant 138 gr de Co2.
Néanmoins, lorsque le rythme se fait plus sportif, le 1 600 plonge une paille dans le réservoir pour aspirer allègrement ses 15 litres aux 100 !
Une ligne élancée, une face avant très verticale, une ceinture de caisse oblique et un arrière abrupte,
tel est le profil de la nouvelle Fiesta ST.
Les performances annoncées confirment les données chiffrées. Le 0-100 km/h est abattu en 6,9 sec, le 1 000 DA en moins de 28 sec.
Ceci dit, le poids bien contenu (1 088 kg, avec les fluides pleins et 90% de carburant), permet d’arborer un rapport poids/puissance flatteur d’environ 6 kg/ch, qui descend à 5,5 le temps de l’overboost ! Le meilleur de sa catégorie. A ce moment-là.
Notre balle rouge du jour, prend la pause dans le, certainement, plus célèbre col du monde,
le temps de laisser refroidir la mécanique. Chose aisée au vu de l’environnement !
Sur le bitume, la loi n’est plus la même. Le comportement routier de la bombinette, impose ses règles ! L’amortissement ferme et le freinage efficace et endurant nous a bluffé. Après l’ascension du col, le temps d’une courte pause photo et un refroidissement de la mécanique, nous repartons à l’attaque dans la descente de Moulinet, jusqu’à Sospel.
Le descente vers Sospel nous aura permis de faire une halte à la chapelle Notre Dame de la Menour,
édifice érigé il y a près de 700 ans !
Pour la première fois, la Fiesta adopte les 4 freins à disques. Quelle bonne idée !
Le Col de Turini, lieu ô combien mythique, aura été, le temps d’un après-midi notre piste d’essai.
Les lois de la physique ont parlé ! La reine, c’est elle.
Les étriers mono-piston enserrent les galettes à chaque pression sur la pédale du milieu de manière sidérante, sans jamais être pris à défaut. A l’avant, comptez 278mm x 23, à l’arrière 253mm x 10.
L’ ESC déconnectable selon 3 modes de réglage, permet d’exploiter pleinement les qualités du châssis selon son niveau de pilotage et d’audace au volant.
Les étriers teintés de rouge pincent des disques de 278mm de diamètre,
le tout derrière des jantes alliage de 7,5 x 17, chaussées avec de redoutables Bridgestone Potenza RE 050.
Comme le gâteau du même nom, la ST se déguste en découvrant surprise après surprise.
Mais dans le cas présent, le fondant est caché en-dessous !
La tenue de route, sans être d’une rigueur militaire, est sécurisante et la prise en main se fait naturellement et d’une extrême facilité. Le train avant se place au millimètre et le train arrière se montre assez joueur et mobile. Il enroulera le moindre virage qui se referme au simple levé de pied droit.* Un régal !
* A condition bien sûr de sélectionner le mode adéquat.
Et qui-qui c’est qui a le train arrière baladeur et qui aime aller se le dégourdir dans les épingles de l’arrière-pays niçois ?
En conclusion, la Fiesta ST s’impose incontestablement comme la surprise et la référence de son segment, de l’année ! Permettant un usage au quotidien, son domaine de prédilection reste quand même la grosse attaque et les routes sinueuses à souhait.
L’essayer c’est l’adopter ! L’essayer, c’est en tomber amoureux, l’essayer c’est l’épouser !
Longtemps en marge de la catégorie pour pouvoir prétendre à quelques lauriers, aurait-elle semé le trouble aujourd’hui ?
Moteur 4 cylindres transversal TIVCT 1 596 cm3 EcoBoost
Pression max. Turbo : 1,05 bar (1,45 avec l’overboost)
Puissance max. : 182ch. (197 avec l’overboost) à 5 700 tr/min
Couple max : 240 Nm de 1 600 à 5 000 tr/min (290 avec l’overboost)
Rapport volumétrique : 10,1 : 1
Accélération : 0-100 km/h 6,9 sec.
1 000m DA : 27,8 sec.
Vitesse max. : 220 Km/h
Freins : Avant Disques ventilés à étrier flottant 278×23mm mono-piston 54mm
Arrière Disques à étrier flottant 253×10mm mono-piston 34mm
Rapport poids/puissance : 6 kg/ch (5,5 avec l’overboost)
Boite manuelle 6 rapports – Durashift B6
Long. 3 975 mm
Larg. 1 978 mm (rétros dépliés)
Haut. 1 456 mm
Poids en ordre de marche (pleins faits de tous les fluides) : 1 088 kg
Réservoir : 42 litres.
Consommation : Autoroute : 4,8 l/100km – Urbaine : 7,9 l/100km – Mixte : 5,9/100km
Roues : Jantes alliage 7,5 J17? 5 bâtons
Pneumatiques : Bridgestone Potenza RE 050 – 205/45 R17 88
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Pour le côté sport, la version WRC est déjà prête et en période de test :
Après la sortie en mai dernier de Fast 6 et sa Ford Mustang de la fin des années 1960, c’est un autre film qui ira ravir les fans des films de voitures avec Need for Speed qui sortira dans les salles obscures en 2014. Tiré du célèbre jeu vidéo éponyme, Need for Speed le film – dont Ford est le partenaire – mettra également une Mustang en avant, il s’agira d’une GT 500 Super Snake préparée spécialement pour le long-métrage.
Lors de la sortie du film, la Ford Mustang fêtera ses 50 ans et elle sera conduite par Aaron Paul qui est la vedette de la série Breaking Bad
Au programme ? Une décoration spécifique avec des voies élargies, jantes de 22 pouces, des projecteurs à LED et deux bandes bleues partant de la calandre pour aller terminer sur le coffre. Cette Shelby GT 500 recevra également des ouïes d’aération agrandies afin de faire respirer au mieux la mécanique. Il ne s’agit ni plus, ni moins que d’un moteur V8 compresseur développant la bagatelle de… 900 chevaux !
Cascades, runs, … le film Need for Speed deviendra-t-il aussi populaire que Fast and Furious qui prévoit déjà un 7ème opus avec Jason Statham ?
En plus de ce modèle, une autre Mustang sera utilisée en tant que « voiture travelling ». Avec son bras télescopique où il se trouve au bout une caméra, les poursuites à haute vitesse pourront être filmées. Un pick-up F-450 appelé « The beast » (pour « la bête ») sera aussi de la partie.
Pas encore de bande-annonce disponible, mais ces premières images annoncent des cascades de haut vol !
A l’approche de la sortie de Fast and Furious 6 (le mercredi 22 mai prochain), l’attente des fans ne faiblit pas, bien au contraire ! Afin de se mettre dans cette ambiance si particulière que fait vivre une muscle-car, et plus particulièrement une Mustang des années 1960, Abcmoteur a été invité à passer une journée à bord d’une Ford Mustang Mach 1 de 1969 ! Soit, à quelques détails près, le modèle exact qui se retrouve réduit en miette à la fin de la bande-annonce de FF6.
Il faut savoir qu’au départ, on m’avait simplement évoqué un stage de pilotage sur circuit. J’ai donc pris rendez-vous à la gare de Lyon pour faire le reste du trajet. Et là, énorme surprise, une vieille Mustang s’approche de moi avec des stickers Fast and Furious !
La voici cette fameuse Mustang presque à l’identique que celle du film Fast 6 ! Impossible de passer à côté que ce soit par son gabarit, son allure, sa sonorité émise par le gros V8 Ford de près de 6 litres !…
N’étant encore jamais monté à bord d’une Mustang, et qui plus est une ancienne, je reste scotché devant la voiture ! Oui, avant de se rendre sur la piste, nous allons déjà faire un tour de Paris avec l’américaine !
L’engin fait près de cinq mètres !…
Cette ligne à couper le souffle, qui n’a pris aucune ride après plus de 40 ans, est un chef d’œuvre de réussite quelque soit l’angle de vue
Je monte donc à bord sous de nombreux regards curieux. Les appareils photo sont déjà sortis et pour les personnes qui ont connu ce modèle pendant leur jeunesse, c’est un retour tout droit en enfance !
L’habitacle est d’époque, mais dans un bon état. Assis dans mon siège en cuir, je n’attends que le démarrage et… contact !
On s’élance dans un énorme bourdonnement à la sonorité typiquement américaine et surtout caractéristique aux muscle-cars US. Le couple impressionnant nous colle au siège
Dans les rues de Paris avec l’une des Mustang les plus viriles, c’est une expérience unique qu’il faut vivre !
Et c’est sans compte que cette Mach 1 dans laquelle nous roulons maintenant a été préparée. Alors que d’origine elle développe 250 ch, notre version préparée déplace ses 1 800 kg avec 400 ch ! Le moteur a été refait, les cylindres sont alésés de 2mm, ce qui signifie que les chambres de combustions sont plus volumineuses qu’à l’origine. Ensuite, les collecteurs d’échappements ne sont pas ceux d’origine, ce sont des collecteurs de 429. Enfin, le carburateur est un Holley 4 corps 800, qui n’est pas non plus d’origine…
Allez, c’est le moment d’apprécier la musique accompagnée d’une bande son d’un film bien connu… (Drive)
D’ailleurs, son propriétaire (Jean-Laurent) prête son américaine au cinéma, à la photographie… : locationmustangcinema.com
Deuxième surprise, nous sommes tombés sur le modèle juste un an après le nôtre ! Impossible de passer à côté sans s’y arrêter !
Une rencontre inopinée, mais loin d’être décevante pour cette Mustang Boss dans un état exempt de tout reproche
Pour ces deux voitures de collection, c’est au niveau de la calandre que se situent les évolutions stylistiques les plus flagrantes
Et ce ne sont pas ces jantes de 15 pouces avec un flanc de pneu haut qui lui font du tord, elles sont de toute beauté !
Et bien évidemment, c’est une nouvelle occasion de régaler les tympans !…
L’heure tourne, les appétits s’aiguisent, nous passons devant le Trocadéro :
Sous le soleil, la Mustang attire les touristes asiatiques complètement fans. Des personnes viennent poser devant la voiture…
Puis nous filons vers un restaurant en phase avec notre matinée !…
Il s’agit d’Auto Passion Café qui se caractérise par une décoration du plus bel effet reprenant les moments forts de l’univers automobile
Pour prendre un peu de plaisir en sécurité, nous nous sommes rendus au circuit de Marcoussis. Sur cette boucle de 1,5 km, j’ai pu conduire une Lamborghini Gallardo 560 ch :
Et comme on ne repart jamais sans un souvenir, voici une vidéo de ma performance sur cette chaussée particulièrement glissante où le V10 Lambo se sent bien à l’étroit… :
Cela nous a également permis de faire à nouveau une sympathique rencontre :
La Ford Shelby GT 500 complètement démoniaque… sans doute un des modèles sur le paddock demandant le plus de doigté
Nous retrouvons toujours pour notre plus grand plaisir ces fameux optiques striés sur la partie arrière
Il est maintenant l’heure de rentrer après cette journée où nous avons été déconnectés de la réalité pendant que nous étions à bord de la Mustang, c’est un autre monde qu’il faut découvrir absolument ! En attendant de pouvoir monter à l’intérieur, on pourra déjà se contenter de Fast 6 qui promet une belle ribambelle d’autos d’autrefois comme actuelles !
Seul segment en croissance actuellement, le marché du SUV en France a quasiment quadruplé (!) en 10 ans, en majorité en 2 roues motrices. Depuis 2010, la tendance est orientée vers les modèles compacts et plutôt en diesel (<120ch).
Succès incontesté de la maison à l’ovale bleu, le Kuga 1er du nom s’est écoulé à plus de 35 000 unités en France en 4 ans, le SUV Ford a été dévoilé ici dans sa deuxième génération.
Modèle reconnu particulièrement pour ses qualités dynamiques, son style, son niveau sécuritaire, la version 2013 conserve les propriétés qui ont fait sa gloire en corrigeant ses défauts.
En gare de Calais-Fréthun, une ribambelle de Kuga nous attendaient pour une prise en main immédiate dès notre arrivée.
Le nouveau style s’est affiné, en partie grâce aux modifications de dimensions. 8cm sont gagnés en longueur (soit 4,524m), mais en conservant un empattement identique l’habitabilité n’évolue guère, cela permet surtout d’augmenter la taille du coffre, passant de 360dm3 à 456, un des défauts de la première génération, et ainsi rejoindre ses principaux concurrents sur ce point. La largeur quant à elle diminue de 4mm et la hauteur tombant à 1,70m (-8mm), le coefficient aérodynamique s’en trouve amélioré en passant à 0,33 de Cx.
La tenue de route est exemplaire pour un véhicule de ce gabarit et se conduit comme une berline classique, notamment sur autoroute ou nationale. Ce comportement est du à la plate-forme C1 issue de la Focus et partagée avec la C-Max, et dont les réglages sont spécifiques au Kuga. La transmission intégrale pilotée y est certainement pour quelque chose également. A noter que cette transmission est inédite et 100% Ford. Le couple est distribué de façon intelligente aux 4 roues.
Toutes les 16 millisecondes, le système analyse 40 paramètres afin de le répartir au mieux. La fonction d’aide à la conduite « Curve Control », est alors introduite pour optimiser la vitesse de passage en courbe.
Une fois la vitesse de passage en courbe optimale déterminée, l’ESP agit sur les freins et le couple moteur pour la conserver.
Sur route plus sinueuse, le Kuga n’a pas à rougir. Son moteur 163ch pousse et son châssis reste là aussi très efficace.
Au niveau de la sécurité, comme souvent, Ford frappe un grand coup en décrochant une fois encore, les 5 étoiles Euro-NCAP et 5 étoiles NHTSA (USA) et en étant le plus sûr de sa catégorie ! De plus, les innovations embarquées sont légion, à commencer par le détecteur de changement de file involontaire (ou aide au maintien dans la file), le freinage automatique d’urgence (en cas d’obstacle inopiné), l’éclairage intelligent ou le système BLIS : la surveillance d’angle mort… Ford est reconnu pour être le marque la plus innovante et la plus titrée en Euro-NCAP.
Le capteur d’angle mort : Un radar situé sous le rétro (dessiné de manière à réduire les bruits aérodynamiques),
détecte la présence d’un autre véhicule en train de vous doubler,et vous le signale par un voyant lumineux.
4 motorisations sont disponibles :
A noter que tous ces moteurs sont sous la barre des 180 g/km de CO2.
Fort de 163ch, le modèle essayé, avec sa finition Titanium, peut se targuer de représenter le haut du panier de la gamme Kuga.
Les technologies dites « ECOnetic » contribuent à rendre plus efficient encore les moteurs Ford.
Ces innovations, quelles sont-elles ?
A l’image de cette éolienne, le Kuga se veut écologique, avec un taux de recyclabilité de 85%
et de valorisation de 95% !
Nous avons essayé le Kuga 2.0 TDCi 163ch en finition Titanium sur les routes du Pas-de-Calais, ce qui nous a permis au passage de découvrir les joies du sport local.*
Les 163ch ne seront pas de trop pour propulser les presque 1 700 kg de l’engin. En dessous, les 140ch devront cravacher. Cela dit, avec 340 Nm de couple, les reprises sont très acceptables sur routes rapides pour ce type de véhicule, notamment sur les 2 derniers rapports, assurant des dépassements francs et efficaces.
Dans le domaine des performances technologiques, notons également l’apparition de l’ouverture automatique du hayon, par simple passage de la jambe sous le bouclier arrière, le « park assist », qui effectue le créneau à votre place (au moins au volant)… et toujours le « key free » qui vous autorise à ouvrir la portière sans actionner la clé et démarrer sans la sortir de la poche.
Enfin, la fonctionnalité « Ford Sync », système de reconnaissance vocale, arrive sur le Kuga.
Elle permet :
… à cause de sa taille non proportionnelle à la planche de bord, qui elle ne donne pas la meilleure impression
quant aux matériaux utilisés au premier abord, mais pour cette gamme de prix la qualité est là.
Le pare-brise athermique et chauffant absorbe les rayons du soleil tout en filtrant les UV, ce qui a pour effet d’atténuer le réchauffement à l’intérieur du véhicule, particulièrement agréable l’été.
Concernant les prévisions, Ford prévoit de vendre 8 à 8 500 exemplaires par an. Répartis comme suit :
Ford projette également l’arrivée de 2 autres SUV alternatifs au Kuga, le EcoSport en 2014 et le Edge next generation suivra ensuite.
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*En effet, Ford nous a permis de découvrir l’initiation au char à voile !
Et oui, notre essai nous a emmené jusque sur la plage de Quend pour une partie de char à voile. Grisant !
Les conditions météo n’était pas optimales à notre arrivée, mais nous avons tout de même (appris à) gréé nos montures. Finalement Éole a daigné montrer sa frimousse et nous avons pu nous essayer à ce sport ultra fun, quand le temps est de la partie !
Avant de prendre les rênes de ces chars, il faut le mériter et traverser d’abord les immenses étendues de sable nordistes.
A l’orée de la Baie de Somme, Quend présente 15 km de plage, propice aux joies de ce sport de vitesse.
A peine gréé, mon destrier, prêt à en découdre, montre déjà des signes d’attaque à la moindre tension de la voile.
Ça s’annonce bien !
Les bolides ici sur la grille de départ, type Le Mans d’avant 1970, bien orientés par rapport à l’océan & en fonction du vent.
Autre parallèle avec l’automobile, la position de cond… de pilotage (sic) de l’engin. Nullement besoin de baquet ici, on est allongé comme dans une monoplace. Par contre, les pieds servent à diriger et les mains à accélérer ou ralentir.
Tout fan de l’émission britannique Top Gear connait Timothy Richard Needell, dit Tiff Needell ! Cet ancien pilote automobile né en 1951 est connu pour son coup de volant et sa personnalité originale, joyeuse et attachante.
Tiff participa à un certain nombre de courses dont les 24 h du Mans où il finit 3ème au volant d’une Porsche 962C
Qui n’a jamais voulu faire fumer ses pneus ?? Alors que l’on pourrait croire que tout est une question de puissance où les propulsions règnent en maîtres, notre très talentueux Tiff nous montre en vidéo étape par étape que drifter en Ford Puma (oui, oui !) n’est pas impossible, loin de là ! Même une traction peu puissante en est capable.
Petite séquence d’apprentissage au pilotage pour savoir comment maîtriser le frein à main, le demi-tour, la marche arrière, …
Convaincu par les performances en matière de glisse de la Puma ?
Des sources au sein de Ford ont déclaré que la prochaine génération de Ford Focus RS ferait sont apparition en 2015 avec « au moins 320CV, selon un ingénieur travaillant sur le projet. Ford n’a pas approuvé le projet pour le moment, mais la Team RS travaille déjà sur la voiture.
Parce que Ford ne possède plus Volvo, les cinq cylindres de la voiture précédente ira en faveur d’un nouveau turbo 2,3 litres, ce qui peut également être utilisé dans la prochaine génération de Mustang.
Une traction avant est presque assurée pour la Focus RS, car la Team RS considère, que quatre roue motrices seraient trop lourdes, trop complexes et qu’elles augmenteraient le prix de la Focus RS, qui lui est déjà cher, « voir très cher ». Pour atténuer le couple, il serait probable que Ford utilise le système RevoKnuckle de la Focus RS précédente. Des systèmes similaires sont utilisés sur l’Astra OPC et Renault Mégane Sport, mais ces deux voitures ont beaucoup moins d’énergie. Espérons que les Team RS peuvent trouver un moyen de gérer efficacement le couple avec autant de puissance !
La boule de nerfs de chez Ford resterait fidèle à la traction avant en dépit du couple très important à faire passer des roues au bitume
Il n’existe toujours pas de plans pour une version trois portes de la Focus. Ainsi, la nouvelle Focus RS est presque sûre d’être une cinq portes.
Info exclu ABCMOTEUR : Le 0-100km/h est annoncé en 5″ et le prix devrait se situer aux alentours de £27500 (34 500 € env.).
Aujourd’hui, nous tous passionnés de l’automobile, nous attendons avec impatience le salon de Genève ! Mais avant ça, voyageons de l’autre coté de l’Atlantique…
Au Salon de l’automobile de Chicago, Ford, Ken Block et Fifteen52 ont lancé une version de la Ford Focus ST, avec une puissance moteur revue, de 504 chevaux turbo sur un bloc d’une cylindrée de deux litres. Le modèle d’origine développe quant à lui 250 chevaux.
La firme Américaine Tuning « fifteen52 » et « Mountune britannique », ont travaillé la performance de cette voiture. Ce qui nous donne pour un 0 à 100 km/h, un 6,5 secondes ! Avec une vitesse de pointe, de 250 km/h… Rien que ça !
Une nouveauté appelée « Trackster ». Pour finaliser le programme de gestion du moteur, il a été ajouté :
Par ailleurs, une traction avant berline équipée d’un différentiel à glissement limité Quaife, de plus gros freins, une boite de vitesses avec rapports raccourcis à six vitesses, une transmission manuelle Ford Racing et un embrayage sport avec également un nouveau système d’échappement et de quatre freins StopTech. La plupart des autres composants utilisés ont été empruntés à la version de la Focus « ST-R ».
Ce modèle est-il prêt pour une commercialisation ? Pour le moment, seul le concept a été dévoilé ! La suite au prochain épisode.
Et voici cette petite bombe en vidéo avec Ken Block au micro !
Après la superbe Focus RS 500 développant 350 chevaux pour ses seules roues avant… les fans du modèle attendaient avec une certaine impatience sa remplaçante ! D’abord annoncée comme défunte, les dernières informations (en provenance de dirigeants de la marque) indiquent bien qu’il y aura une Focus RS III ! Voici les éléments connus sur ce modèle.
Pour le moment, seule la Focus ST culminant à 250 ch tient la relève. La version RS (ci-dessus) ne devrait plus tarder !
Tout d’abord, les changements qui pourront en déstabiliser quelques uns, c’est le fait qu’elle sera uniquement disponible en version 5 portes et que la mécanique présente sous son capot ne tournera plus sur l’envoutant cinq-cylindres.
Ce photoshop est assez ancien, mais on espère que Ford Europe saura différencier sa RS comme ce fût le cas avec la version précédente très réussie esthétiquement !
En effet, pour la troisième génération de la plus sportive des Focus, Ford a décidé d’y placer le désormais célèbre bloc Ecoboost avec une cylindrée de 2,3 litres pour une puissance totale de 350 ch ! Pour faire passer toute la cavalerie, le constructeur usera d’un différentiel à glissement limité géré électroniquement.
Enfin, pour ce qui est de sa date de sortie, on parle d‘une commercialisation fin 2013 ou en 2014 si le développement prend du retard. Et fait nouveau, le marché américain pour l’acheter !
A suivre !
Une Formule Ford ? Oui, c’est sur une monoplace que le constructeur américain travaille ! Aperçue sur la Nordschleife au début du mois de septembre, voici une petite présentation de l’engin aux caractéristiques de haut vol visible actuellement au Mondial de l’Auto de Paris.
Seuls les feux avant et arrière ainsi que les garde-boue ont été ajoutés à la Formule Ford afin d’obtenir l’homologation pour la route
Equipée par le fameux trois-cylindres Eco Boost d’une cylindrée de seulement un litre pour 205 chevaux (!), la Fomule Ford abat le 0 à 100 km/h en moins de 4 secondes et atteint les 255 km/h.
La petite Formule Ford sur le circuit de la Nordschleife avec sa plaque minéralogique enregistrée en Grande-Bretagne
Avec cette fiche technique, le petit bolide signe le record de sa catégorie sur le Nürburgring en effectuant le tour en 7 min 22, soit la 11ème place en tant que voiture homologuée pour la route. La moyenne sur le tour est 169 km/h. Quand même !
Voici une vidéo présentant la Formule Ford 1 litre EcoBoost avec son passage sur le légendaire circuit allemand cité précédemment :
Un dirigeant de la marque a laissé échapper qu’ils pourraient aller plus loin et que s’il y avait commercialisation, la monoplace Ford serait vendue à un prix bien inférieur à 100 000 livres (environ 125 000 euros). Il est à noter que la voiture consommerait que 2,4 l/100 km en cycle urbain et 5 l/100 km en cycle mixte !
A suivre !
La Focus ST est la troisième grosse GTI qui débarque avec des ambitions mondiales. Mais la Megane RS qui a subi un restylage offre une évolution moteur de 265 ch.
La Mégane RS qui possède une puissance plus élevée que la focus ST et un différenciel autobloquant lui permet de réaliser de bonnes accélérations et qui gagne 1″2 sur sa concurrente sur l’exercice du 400m. En revanche, la disponibilité de son moteur a bas régimes fait que la ST parvient à distancer la Renault sur l’exercice du 80 à 150 km/h et tient tête sur les relances à 140 km/h sur le dernier rapport.
L’injection directe haute pression, le turbo à faible inertie et la distribution à calage variable à l’admission et à l’échappement permet à la Focus ST d’obtenir un couple de 34.7 mkg dès 2 000 tr/min. Très tonique, il pousse sans discontinuer jusqu’à 6 500 tr/min. Mais la Mégane RS dont le moteur est plus puissant de 15 ch permet d’obtenir un couple de 36.7 mkg à 3 000 tr/min. Bien moins souple que sur sa rivale et endormi en dessous de 2 500 tr/min, il va s’asseoir jusqu’à 6 000 tr/min.
Gâchée par une direction un peu tardive mais ayant un très bon équilibre sur route, la Ford se montre très directe et agile. La Mégane RS qui possède un châssis très efficace donne le sourire aux sportifs et offre un grande aisance sur la route mais reste quand même moins incisive que la Focus.
Sur une piste club de Magny-cours, la Renault Megane signe un meilleur temps que la Focus, 1’28″52″ contre 1’29″61″ mais notre RS reste quand même très sensible aux variations de température et à la chaleur. Lente dans les virages, elle en ressort comme une balle, la Megane RS est tout de même la meilleure des GTI actuelles sur circuit. La nouvelle ST semble quand même plus à l’aise que l’ancienne Focus RS mais avec des freins plus consistants et sans cette direction très mauvaise, elle aurait sûrement fait un meilleur temps.
En conclusion, la Focus ST qui est dominée par la Mégane RS est en progression par rapport à sa précédente RS; son châssis, sa précision et son agilité sont bluffants autant sur circuit que sur route. Mais la direction gâche tout le plaisir. La Mégane RS reste donc la référence en matière de GTI plus particulièrement avec son châssis cup. On espère que Ford peut inverser la donne(peut-être avec la prochaine RS ?).
Le constructeur Ford est connu pour sa politique tarifaire souvent agressive. Les spots à la télévision sont là pour en témoigner : rabais alléchants, premiers prêts à taux zéro, … la marque rivalise d’imagination et d’ingéniosité ! Le but étant bien entendu de gagner les parts de marché que les concurrents pourraient laisser se faire prendre.
Pour 2012, la Ford Fiesta aura un prix alléchant mais aussi une possibilité d'être personnalisée ! (photos de la version américaine)
Sans surprise, la même recette sera appliquée lors de la sortie de la Fiesta 2012 bien que son restylage ne soit pas des plus impressionnant, le constructeur mettra le paquet au niveau de la communication. Et l’argument qui mettra tout le monde d’accord sera son prix !
En effet, avec l’introduction de moteurs trois-cylindres pour la Fiesta restylée, l’entrée de gamme de la compacte américaine démarrera à un prix attractif et peut-être même inférieur à celui-ci proposé aujourd’hui pour la version 1,25 l 80 ch 3 portes à 11 960 €. Un prix du neuf pour la Fiesta 2012 débutant entre 11 000 et 12 200 € ne serait pas surprenant.
Affaire à suivre !
Actuellement, motorisée en entrée de gamme à l’aide du 1,25 litre atmosphérique de 80 et 60 chevaux, la Ford Fiesta MkVI va accueillir de nouveaux blocs et plus particulièrement des trois-cylindres.
La Ford Fiesta 2012 aura le droit à des trois-cylindres développant jusqu'à 90 chevaux (photos de la version américaine)
Les faits le montrent, les constructeurs automobiles diminuent de plus en plus la cylindrée de leurs moteurs. Tous les petits modèles reçoivent progressivement des blocs disposant de moins de quatre-cylindres, ce phénomène est appelé downsizing. On peut citer les Peugeot 208 ainsi que la remplaçante de la 308, la Nissan Micra et la Volkswagen Polo. BMW fera également partie de ces constructeurs qui descendent en-dessous des 1 000 cm3 ! La marque Opel avait été la première à se lancer en 1997 en équipant la Corsa de seulement « trois pattes ».
Ford proposera pour la Fiesta en 2012 des kits afin de personnaliser son auto comme on peut le voir ci-dessus
La Fiesta 2012 se verra donc vendue avec un trois-cylindres turbocompressé. Il fera partie de la famille des Ecoboost et il sera capable de développer jusqu’à 90 ch. Ce moteur essence épaulera simplement les versions d’entrée de gamme.
Les finitions plus onéreuses seront dotées du 1,6 l Ecoboost déjà présent sur les Focus 3 et C-Max. Il développera même jusqu’à 180 ch pour emmener la version sportive ST. Ses concurrentes qui sont les VW Polo GTI, Skoda Fabia RS et Mini Cooper S n’ont qu’à bien se tenir !
L’actuelle Ford Fiesta lancée en 2008 est un succès pour le constructeur, la formule de voiture mondiale disponible sur la totalité des continents fonctionne. Après ces loyaux services, la Fiesta va s’offrir un léger restylage pour 2012. Voici le programme des changements attendue pour la citadine.
Pour la mi-carrière de l’auto, comme le design est apprécié et qu’il vieillit bien dans le temps, les modifications seront minimes. On note tout de même l’apparition des feux LED sur les finitions les plus haut de gamme que sont les versions « Titanium » et « Ghia ».
Un autre coup de pinceau sera donné à la calandre pour s’aligner avec les dernières productions de la marque comme on peut le voir sur les photos volées se trouvant ci-dessous. Cela se caractérisera par une forme hexagonale.
Peut-être que de très légers changements sont prévus pour l’aspect des feux arrière, mais simplement dans le but de les différencier, leur forme restant identique afin d’éviter de faire gonfler le coût du restylage.
Déjà connue pour sa puissance débordante, la nouvelle Ford Mustang Shelby GT500 présentée au salon auto de Los Angeles se fait un petite toilette mais surtout profite de l’occasion pour offrir toujours plus de puissance. Petit tour de la bête…
Alors que Chevrolet avait gagné la course à la puissance avec la présentation de la Camaro ZL1 forte de ses 580 chevaux, la Shelby GT500 2012 la ridiculise en annonçant un V8 de 650 chevaux !… En ajoutant à cela le couple qui passe désormais de 690 à 810 Nm et une vitesse de pointe atteignant les 320 km/h, il n’y a plus grande monde dans l’univers des muscle-car qui se bouscule pour se mesurer à cette Mustang sur-boostée.
Le restylage a apporté son petit lots de retouches esthétiques que seuls les plus aguerris pourront se faire la remarque.
Pour la partie arrière, les modifications se situent au niveau des feux stop se rapprochant du style de la première génération avec des panneaux noirs reliant les optiques
L'habitacle du bolide. Seul un écran plat de 4,2 pouces permettant d'obtenir des données sur sa conduitea été ajouté
Aucune commercialisation n’est encore malheureusement prévue pour l’Europe mais il se dit que le coupé devrait faire son entrée d’ici 2014 sur le Vieux Continent. Pour le moment, il reste l’homologation comme consolation.
Dotée d’un style travaillé et élégant, de motorisations efficaces et résistantes au malus écologique, le dernier argument qui permettra à la future Ford Mondeo IV 2012 de séduire sera son prix. Revue en détails sur ce que nous réserve la berline du constructeur américain qui se veut une voiture mondiale.
Si pour cette quatrième génération la marque a décidé d’accentuer la vocation mondiale de la Mondeo, c’est bien parce que la stratégie d’attaque se basera (en partie) sur la politique tarifaire. Avec une production de masse, Ford compte bénéficier des économies d’échelle pour ainsi réduire ses coûts au maximum. De cette façon, plus le constructeur vendra de Mondeo 4, plus le coût de revient de chaque exemplaire sorti d’usine baissera. C’est un choix déjà opéré pour la Focus et qui porteses fruits. Mais concrètement, quels prix faut-il attendre pour la Mondeo 2012 ?
Un autre photoshop de la Ford Mondeo 4 2012. On ne peut plus douter qu'elle est attendue avec un dessin avenant !
Pour le modèle qui devrait entrer sur le marché européen en 2013, les prix attendus varieraient de 22 700 € à 39 000 €. L’entrée de gamme sera constituée par un bloc essence 1,6 l SCTi offrant 150 chevaux. Les versions les plus coûteuses seront dotées d’une liste d’équipements à rallonge avec des moteurs tels que les 2,0 l SCTi essence (et hybride pour 150 – 170 ch) de quelques 200 ch et le 2,0 l TDCi développant 163 ch en diesel.
Sources iconographiques : automobile-magazine.fr et autonews.fr
La Ford Mondeo continue d’évoluer. Ainsi, pour la 4ème génération de la berline, le constructeur a choisi de ne pas brouiller les pistes en gardant une identité stylistique (voir images ci-dessous) proche du modèle actuel.
Cela étant, que faut-il prévoir au niveau des moteurs pour la Mondeo 4 ? Lors de sa sortie, la Ford devrait être à la pointe de se qui se fait actuellement en matière de motorisations avec des moteurs essence, diesel mais aussi hybride. Les informations que l’on a sur la Ford Mondeo 2012 sont encore disparates, mais cela ne devrait tarder. Son arrivée étant prévue pour 2012 ou 2013, les données liées aux moteurs devrait tomber d’ici quelques mois…
En attendant, on a déjà des sources fiables qui affirment que les moteurs suivants seront de la partie. En essence, la majorité des ventes devraient être concentrées sur les blocs 4 cylindres avec plus particulièrement les 1,6 l et 2,0 l EcoBoost. Cela donnera moteurs. La première cylindrée offrira deux niveaux de puissance grâce à l’aide d’un turbo : 150 et 180 chevaux. Du côté du 2,0 litres, c’est 200 ch qui se trouveront sous le capot. Pour les motorisations diesel, il s’agira sans doute du 1,6 l TDCi s’élevant à 112 ch et des 2,0 l TDCi de 137 et 163 ch. A savoir, tous les blocs profiteront du système Stop&Start. Pour la version hybride qui devrait être réalisée avec un moteur essence, il s’agira sans doute du 2,0 l de 150 ch. Le C-Max en profitera également.
Tableau des motorisations :
Type de moteur | Moteur | Puissance |
diesel | 1,6 l TDCi | 112 ch |
2,0 l TDCi | 137 ch | |
2,0 l TDCi | 163 ch | |
essence | 1,6 l SCTi | 150 ch |
2,0 l SCTi | 180 ch | |
2,0 l SCTi | 200 ch | |
hybride | 2,0 l SCTi | 150 ch ? |
Source iconographique : l’automobile-magazine.fr
Le modèle actuel apparu dans le film James Bond Casino Royal va bientôt tirer sa révérence. La Ford Mondeo 4, déjà aperçue camouflée pendant des séances d’essais (voir photos ci-dessous), devrait faire sa première apparition d’ici moins d’un an. Elle se fera sous la forme d’un concept-car au salon de Détroit durant le printemps prochain. Ensuite, l’auto devrait se montrer dans sa version définitive au Mondial de l’Automobile de Paris 2012 (du 29 septembre au 14 octobre).
Assez ressemblante à la version actuellement en vente, la Ford Mondeo 2012 reprendra les codes stylistiques du Kinect Design 2.
Cela étant dit, que faut-il attendre de la Mondeo IV ? Quelle orientation va donner le constructeur à sa berline (et au break) ? Dans la lignée des Fiesta et Focus, la marque américaine va concevoir une 4ème génération de la Mondeo à vocation internationale. On sait aussi qu’elle gardera des traits stylistiques du modèle actuellement en production tout en gagnant un dessin plus acéré, les designers donneront des formes moins rondes à l’auto. C’est donc sous l’influence des concepts-car Evos et Vertrek (voir images ci-dessous) et en intégrant les codes stylistiques du Kinect Design 2 que la Mondeo 2012 sera modelée.
La partie arrière de la prochaine Mondeo 2013 fait quelque peu penser à Jaguar ou Aston Martin diront certains
Attendue pour une commercialisation fin 2012 aux Etats-Unis, la Mondeo 4 fera son apparition un peu plus tard sur le continent européen. La date de sortie est prévue dans le courant de l’année 2013
Dans le cadre du projet « Driving for blind and visually handicapped people » (la conduite pour les aveugles et malvoyants), Ford a fait conduire une trentaine d’aveugles et de malvoyants sur la piste de Merkenich en Allemagne, à Cologne.
L’exploit s’est déroulé au début du mois de juillet. Les conducteurs été aidés par des bénévoles ainsi que des moniteurs d’auto-école. Surpris, les professionnels ne s’attendaient pas à ce qu’ils assimilent aussi vite la conduite d’une voiture. Etant privé de ses yeux, un aveugle se dirige essentiellement par les sons qu’il perçoit…
Si cette prouesse a été possible, c’est qu’aujourd’hui l’automobile s’adapte de plus en plus aux conducteurs et les aides à la conduite permettent de palier certaines déficiences.
Le vice-président de Ford Europe affirme que « La technologie progresse tellement vite que dans 15 ou 20 ans, il ne serait pas étonnant de voir des personnes non-voyantes et malvoyantes conduire des voitures en toute sécurité. » Une bonne nouvelle !
Disponible en deux finitions (Trend et Titanium), le client aura le choix entre trois carrosserie pour la Ford Focus 3 qui sera commercialisée en mars 2011. Pour cette nouvelle version de la Focus, le constructeur américain a contenu les prix de son auto.
En effet, les hausses de prix se limiteront à 350 € pour la version d’entrée de gamme en 3 portes soit 18 850 €. Pour une Focus diesel, ce sont 1 000 € supplémentaires. En revanche, le tarif du break appelé « SW » a baissé pour atteindre 19 550 €.