Lotus, ça vous dit quelque chose ? Le constructeur anglais est connu pour ses petites sportives légères et authentiques, que ce soit la Seven, l’Elan, l’Elise ou encore l’Exige. Mais depuis quelques années, Lotus a pour ambition de concurrencer des marques comme Porsche avec des modèles plus imposants et plus puissants. C’est notamment le cas du SUV Lotus Eletre proposé dans diverses versions électriques. Mais c’est aujourd’hui au tour de la berline Emeya d’être dévoilée. Elle pourrait concurrencer la Porsche Taycan et la Tesla Model S. Tout ce qu’il faut savoir avec Abcmoteur !
Une grande berline élancée
Cette nouvelle Lotus Emeya mesure 5m01 et dispose d’un empattement de 3m07. Il s’agit d’une grande berline soit très différente de la devise « light is right » du fondateur Colin Chapman. Heureusement, elle garde une ligne élancée avec un toit fuyant, des poignées de portes dissimulées dans la carrosserie ou encore des rétroviseurs caméras.
Avec 5m01, la Lotus Emeya est une berline imposante
On retrouve aussi un bouclier avant très agressif complété par un capot nervuré. Pour favoriser l’appui aérodynamique, la Lotus Emeya dispose de volets actifs. Fermé, ils permettent un coefficient de pénétration dans l’air réduit à 0,21 pour une bonne autonomie. Au contraire, dans la position ouverte, c’est l’appui aérodynamique qui est favorisé. On retrouve la même logique avec l’aileron arrière. Au total, la Lotus Emeya peut profiter de 150 kg d’appui aéro.
Lotus a trouvé des astuces pour proposer de l’appui aéro tout en gardant un CX faible.
Un habitacle moderne et luxueux
A bord, le système d’infodivertissement Lotus Hyper OS profite d’un grand écran tactile de 15,1 pouces. Il permet un affichage 3D interactif permis par la présence de l’Unreal Engine dérivé du monde des jeux vidéos. L’écran intègre également un système de navigation intelligent reprenant les habitudes du conducteur. Un affichage tête haute en réalité augmentée est aussi présent.
L’intérieur est moderne et spacieux
Les passagers profiteront d’un important espace à bord mais aussi de sièges massants avec cinq programmes. Un éclairage d’ambiance dynamique est proposé changeant selon les conditions comme lorsque le conducteur reçoit un appel ou lorsque la voiture est en charge. Enfin, un toit panoramique en verre est présent. Celui-ci peut s’opacifier sur une simple demande.
Une berline survoltée
Lotus a annonce la puissance maximale de sa Emeya. Elle peut atteindre 918 chevaux. Cela permet à la Lotus Emeya d’abattre le 0 à 100 km/h en seulement 2,8 secondes, soit le temps d’une hypercar. Mais si vous suivez l’actu des véhicules électriques, vous savez que c’est toujours plus lent que la Tesla Model S Plaid. La berline d’Elon Musk développe 1 020 chevaux et effectue l’accélération jusqu’à 100 km/h en seulement 2,1 secondes. Et au niveau tarif, la Model S Plaid est plus accessible.
La Lotus Emeya a une autonomie de 610 km.
Et oui, la Lotus Emeya n’est pas donnée. Elle est affichée à partir de 109 160 €. Pour profiter de plus de sportivité, il faut opter pour l’Emeya S proposée à 129 890 € tandis que la version de 918 chevaux est l’Emeya R à 154 090 €.
A titre de comparaison, une Tesla Model S Plaid est affichée à partir de 109 990 €. Heureusement, l’Emeya propose une autonomie annoncée comparable avec 610 km en cycle WLTP et une charge rapide d’une puissance de 350 kW permettant le remplissage de 10 à 80 % en seulement 18 minutes.
Renault qui à la mi-septembre avait annoncé par une lettre d’intention, la volonté de rachat de l’écurie Lotus F1 Team a confirmé dans un communiqué officiel récemment le rachat de celle-ci (lire : Renault sera impliqué en Formule 1 à 100 % en 2016). Le prix du rachat, lui, reste insolite…
Un livre sterling…
Un livre sterling soit 1 euros et 35 centimes, voilà pour combien Renault s’est offert l’écurie Lotus, classée sixième sur dix au classement constructeur selon les comptes de l’écurie anglaise.
Romain Grosjean lors du Grand Prix du Canada (crédit photo)
La bonne affaire pour Renault ?
L’écurie Lotus F1 Team avait un avenir incertain en tant qu’écurie indépendante, mais cette somme symbolique montre l’impatience des anciens propriétaires de l’écurie, la priorité étant de renflouer les dettes et de permettre à l’équipe de reprendre un nouveau départ. Renault a racheté à ce prix, 90 % de l’ex-team Lotus, les 10 % restants aux mains du fonds d’investissement hollandais Genii Capital et plus précisément par la filiale Gravity Motorsports.
Il faut néanmoins rappeler que Renault avait déjà vendu son écurie de F1 en 2011 au même fonds d’investissements hollandais (Genii Capital), néanmoins la marque était restée très présente en tant que motoriste.
Une toute nouvelle organisation !
Le nom de l’écurie, la structure complète de management, les sponsors et partenaires et tous les autres détails spécifiques à la création de l’écurie Renault seront annoncés en février à Paris selon les dires du constructeur dans son communiqué de presse. Dans l’attente de cette organisation nouvelle, deux directeurs intérimaires ont été nommés. Il s’agit de Jérome Stoll en tant que président et Cyril Abiteboul en tant que directeur général. Le constructeur a d’ailleurs annoncé qu’après la conférence qui sera tenue en février, la team sera prête en temps et en heure, les équipes techniques travaillant et réalisant des progrès de jour en jour sur la voiture qui sera parée pour les essais à Barcelone fin février. Cependant, Carlos Goshn a tenu à souligner que la marque au losange sera totalement opérationnelle en F1 d’ici 3 ans.
Lotus profite de la fin de l’année – et de l’approche des fêtes – pour faire plaisir à ses aficionados en dévoilant l’Exige Sport 350 avec une vidéo en sus…
Nouveau nom et cure de minceur pour l’Anglaise
En production depuis 2012, la Lotus Exige S3 cache dans ses entrailles un V6 3,5 l compressé d’origine Toyota lui permettant d’afficher des performances redoutables. Cette sportive légère s’inscrit encore un peu plus dans la devise du constructeur britannique « Light is right » en perdant du poids sur la balance pour 2016.
La Lotus Exige Sport 350 s’échange en France contre la somme de 74 630 €
En effet, en plus de troquer son appellation « Exige S » pour « Exige Sport 350 » en référence au nombre de chevaux inchangé (et toujours 400 Nm de couple), la bête s’allège de 51 kg pour tomber à 1 125 kg, soit moins qu’une Peugeot 208 GTi (1 160 kg) pourtant déjà légère ! Pour mener à bien ce régime, les ingénieurs de Lotus ont notamment utilisé un panneau de hayon à persiennes, une batterie allégée, des supports moteur légers et une console centrale légère avec une boîte aux mécanismes visibles !
Le 0 à 100 km/h est effacé en seulement 3,9 s (3,8 s avec la boîte automatique), tandis que la vitesse maximale est atteinte à 274 km/h selon Lotus. Sur le circuit d’Hethel lui appartenant, l’Exige Sport 350 a amélioré son chrono de 2,5 s à 1 min 298. En outre, le système de gestion dynamique de la performance (DPM) offre le choix entre trois modes (Drive, Sport et Race). En Race, des dérives importantes sont possibles avant que la trajectoire ne soit corrigée. Pour que ce soit plus parlant, il suffit d’apprécier le petit film ci-dessous…
Pensez à laisser la porte de votre garage ouverte le 24 au soir, peut-être que le père Noël pourrait passer !…
Au mois de février dernier, le petit constructeur britannique se décidait à lever le voile sur son Evora restylée. Voici maintenant en vidéo celle qui n’est rien de moins que la Lotus de route la plus puissante jamais produite…
Le coupé anglais fait le show à domicile
Lorsqu’en début d’année Lotus présentait son Evora restylée, il faut admettre que les moyens ont été mis pour donner une nouvelle jeunesse au coupé. Le design a été revu, tout comme la présentation intérieure et le moteur passant de 350 à 400 ch.
Voici un petit jouet que l’on verrait bien passer entre les mains d’Abcmoteur…
Alors que chez Abcmoteur on n’est pas entièrement conquis par la face avant, même après l’avoir aperçue au salon de Genève, je reconnais qu’une teinte de couleur jaune lui sied déjà beaucoup mieux qu’un gris trop triste pour habiller une pareille sportive !
Pour mettre en scène son Evora 400, Lotus a logiquement choisi de tourner ses images à la maison, soit à Hethel et ses alentours, au nord est de l’Angleterre. On peut ainsi voir évoluer la bête sur de belles routes sinueuses complètement désertes. Après cette échauffement dans la campagne, la direction suivante est sans surprise la piste, histoire de voir tout son potentiel et d’apprécier encore un peu plus la sonorité V6 3,6 l compressé qui ne manque pas de voix…
Fidèles d’Abcmoteur, vous n’êtes pas sans savoir que votre serviteur possède une Lotus Elise (voir ma dernière sortie circuit à Clastres) ! Il était ainsi tout naturel de participer en compagnie d’Arnaud au 2ème Festival Lotus en l’honneur de la 20ème bougie de l’Elise ce samedi 4 juillet dernier !…
Plus de 130 voitures réunies par le Club Lotus France
Pour bien faire les choses, le Club Lotus France (avec qui j’avais déjà pu effectuer une ballade en Seine-et-Marne) avait réquisitionné un circuit mythique et quasiment centenaire : j’ai nommé Montlhéry ! Tous les propriétaires de la marque anglaise et plus particulièrement du petit cabriolet, mais aussi le public, étaient conviés à ce rassemblement se déroulant sur toute la journée.
Ce sont environ 130 voitures qui ont roulé par session et par niveau de pilotage sur ce tracé situé en Essonne (91). Deux parades ont aussi été organisées. Quel beau spectacle de voir ces autos de taille réduite filer à toute allure sur l’anneau !
Je vous laisse apprécier cette belle rencontre à travers différentes photos, dont une partie prise par Arnaud, et une vidéo réalisées sur place. Toutes les générations de l’Elise étaient réunies. Il y avait également des Exige, Evora, Elan, Esprit, … Certains avaient même fait le trajet depuis le Luxembourg, la Belgique ou encore l’Italie !
Quand on parle de la marque Lotus, on pense immédiatement à la sympathique Elise ou à la plus radicale Exige. Ce serait oublier que le petit constructeur anglais peut faire encore plus performant. Succédant à la 2-Eleven produite en 2007 et 2008, la 3-Eleven reprend exactement le même cahier des charges : une barquette sans compromis destinée à faire tomber des chronos sur piste.
La fonction dicte la forme
Il y a peu de ressemblances entre la 3-Eleven et le reste de la gamme Lotus. Les optiques sont familières, la livrée historique verte et jaune ne nous est pas inconnue non plus. Le reste est inédit. Il s’agissait pour les ingénieurs anglais de concevoir une voiture générant un maximum d’appui à haute vitesse tout en réduisant la traînée. Ainsi, la 3-Eleven est dépourvue de toit, de pare-brise (un petit saute-vent se trouve tout de même devant le pilote) et possède un arceau cage ainsi qu’un aileron réglable chargé de plaquer la voiture au sol.
Pour les mordus de chiffres, sachez que la marque avance 215 kilos d’appui à 240 km/h sur la version course. Oui il y aura deux versions, une route et une course, cette dernière gagnant des éléments aéro encore plus agressifs et un siège baquet avec harnais 6 points homologué FIA. Les jantes forgées en 18 (à l’avant) et 19 pouces (à l’arrière) sont identiques aux deux versions.
Pour le design intérieur, comment dire… C’est un peu vide. Et c’est exactement le but recherché : le strict minimum pour pouvoir exploiter la bête sur circuit est là, avec un volant, un pédalier, un siège et un écran TFT affichant toutes les informations nécessaires au pilote. Même le siège passager est en option, c’est dire ! Détail amusant pour les geek de mon acabit : le volant ressemble fortement à un Logitech G25 agrandit.
Evora es-tu là ?
Le moteur de la 3-Eleven n’est autre que le V6 3.5 compressé de l’Evora 400 (lire : Lotus Evora 400 : de GT à supercar ?). Sauf qu’ici, il ne développe pas moins de 450 chevaux et 450 Nm de couple. Sachant que la bête pèse moins de 900 kilos (version course), on imagine sans mal les performances stratosphériques ! Sans trop entrer dans les détails, Lotus annonce un 0 à 100 km/h en moins de 3 secondes et une vitesse maxi de 290 km/h pour la version route et 280 km/h pour la version course.
Jean-Marc Gales, directeur général de Lotus Cars, pose dans la 3-Eleven à Goodwood
Une différence due notamment à l’emploi de deux boîtes de vitesses : la première reçoit une unité manuelle à 6 rapports mais la seconde est équipée d’une boîte séquentielle avec palette de changements de rapports au volant. Les deux intègrent un différentiel à glissement limitée.
Au niveau du châssis, on retrouve des amortisseurs réglables Öhlins équipés de ressorts Eibach, et le freinage est confié à des étriers 4 pistons et des disques ventilés de 332 mm de diamètre aux quatre coins, fournis par AP Racing.
Chacun des 311 véhicules produits seront assemblés à la main dans l’usine d’Hethel en Angleterre. La version de route démarre à 82 000 livres (115 364 euros au taux de change en vigueur à l’écriture de cet article) et la version course s’échange contre 115 200 livres (162 055 euros). Premières livraisons prévues en avril 2016.
Julian Thomson est l’homme à la tête du design Jaguar. Cependant, il vient de publier sur son compte Twitterdeux illustrations d’une Lotus Elise S1 sensiblement revue…
Une proposition bien plus sportive…
Auteur notamment du remarquable concept-car Jaguar C-X75, du Land Rover Evoque (voir notre essai), mais aussi de la Lotus Elise S1 de 1996, ce monsieur souhaite proposer autre chose que ce que offre aujourd’hui Lotus avec l’Elise S3. Sa proposition visible ci-dessous est bien différente. Basée sur l’Elise S1 et inspirée par la Porsche 911s développée par Singer, elle adopte une allure bien plus trapue et virile. Elle est plus basse de 3 cm et plus large de 7,5 à 10 cm.
Peut-on encore parler d’une Lotus Elise ?
Côté moteur, ce ne serait pas le quatre-cylindres 1,8 l Toyota, mais un bloc Honda VTEC associé à une boîte séquentielle à 6 rapports à la place du traditionnel levier manuel. Sur le forum LotusTalk, Thomson précise qu’il envisagerait de produire une vingtaine d’exemplaires à un prix encore inconnu. Ces derniers pourraient apparaître dès fin 2015 ou début 2016 !…
Cela étant, sa proposition est loin d’être déplaisante !
Est-ce que selon vous c’est une auto dans la lignée des Elise ? Est-ce un projet véritablement sérieux qui sera autorisé par Lotus ? Seul l’avenir nous le dira… Pour ma part, je demeure sceptique !
Après Dijon-Prenois, dimanche 24 mai dernier je me suis rendu à Clastres. Un circuit sur lequel j’avais déjà posé les roues, mais pas depuis son agrandissement effectif depuis le 1er mai 2014. C’était donc la bonne occasion d’y amener pour la première fois la Lotus Elise !
Un aperçu… trop rapide !
Au terme de 2 h 30 de route, me voilà arrivé en Picardie dans l’Aisne (02), sur le site de la Clé des Champs et plus précisément au circuit de Clastres. Un peu avant 10 h, le propriétaire d’une Peugeot 106 jaune préparée m’offre son siège passager afin d’effectuer une petite reconnaissance de cette piste partiellement nouvelle. La portion achevée l’an passé ajoute quelques virages rapides et allonge la ligne droite, voilà une bonne nouvelle pour ce tracé qui était réputé pour sa lenteur.
A noter qu’une autre extension est déjà en réflexion au regard du succès rencontré par le circuit. Il faut dire qu’en cette belle journée ensoleillée, les Français ne sont pas les seuls à avoir répondu présent. Des Belges, ainsi que des Luxembourgeois sont également de la partie. Le plateau est plutôt bien rempli avec beaucoup de petites autos, mais aussi quelques engins plus costauds…
Réapprentissage du talon-pointe
Pour ce qui est de mon expérience avec mon Elise 111R toujours montée en semi-slicks (des Toyo cette fois-ci), elle a été encore une fois très plaisante sur cette piste. Le revêtement est toujours impeccable (le circuit a seulement un peu plus de 5 ans !) avec un bon grip, tandis que les grands dégagements sont rassurants en cas d’erreur. C’est à la fois grisant de sauter d’un virage à un autre avec la Lotus dans les parties sinueuses, tout comme prendre de la vitesse dans les courbes rapides. Les pneus offrant une très bonne accroche, on peut donc passer très fort…
Néanmoins, je me suis concentré à perfectionner mon talon-pointe. J’y arrivais déjà avec ma BMW E36 323i qui a un pédalier idéal pour cette technique de pilotage. Comme le pédalier de l’Anglaise est suspendu, faire du « pointe-pointe » est plus simple, mais il me fallait donc presque tout réapprendre et notamment freiner puissamment avec seulement la moitié du pied droit sur la pédale. Pas facile !
A l’issue de trois sessions d’une quinzaine de minutes, cela commence à être plus naturel et j’arrive enfin à freiner fort avec seulement la partie gauche de mon pied droit sur la pédale de frein. Je peux donc rétrograder en préservant la boîte et l’embrayage tout générant moins d’à-coups, le top ! Malheureusement, les nombreux drapeaux rouges réduisent à une peau de chagrin le temps de roulage. Il est déjà 16 h 30 et la fin approche.
A bord d’une GT86 préparée !
La « pré-grille » étant déjà saturée, j’en profite pour monter à bord de la Toyota GT86 préparée d’un Belge que j’ai rencontré sur place. Un modèle qui ne m’est pas inconnu, notamment sur piste, car j’avais déjà pu conduire cette auto en configuration d’origine sur circuit. J’étais donc particulièrement curieux de voir le résultat une fois vidée et passée à 215 ch.
Montée en pneus de route, la Japonaise marchait étonnamment bien ! J’étais convaincu que la base était très saine. Ici, après ces quelques modifications, la GT86 se montre très, très efficace ! La motricité est vraiment bonne, le quatre-cylindres boxer de Subaru répond avec vivacité, la GT86 vire à plat et le freinage tient la durée ! Voilà une bien belle expérience avant de prendre le chemin du retour !…
Une petite vidéo pour vous donner un aperçu de la journée :
Vivement la prochaine sortie, peut-être à Magny-Cours club à la mi-juillet !
Voici la bonne surprise de ce début de semaine : la future Alpine tant attendue, qui est toujours en développement, a été surprise en pleine séance d’entraînement !
Le bruit d’une Mercedes A 45 AMG !
Grâce à un lecteur d’Auto Plus, nous pouvons découvrir une Lotus bien particulière en train de vadrouiller sur les routes Suisse ! Plus exactement, il s’agit en fait de la berlinette Alpine dont la commercialisation est prévue pour 2016. Sur les trois clichés du photographe espion amateur, on peut reconnaître un mulet utilisant une base de Lotus Exige de deuxième génération.
Voici ce qui semble être un mulet de développement du premier modèle qui marquera la renaissance de la marque Alpine
Ainsi, tout comme pendant l’été 2013 sur le Nürburgring, la marque française utilise la base de l’Anglaise pour mettre au point sa sportive. Voilà qui est de bon augure pour les amateurs de légèreté et de sensations fortes !
Par ailleurs, on apprend grâce l’auteur de ces images que l’Alpine aperçue dans le col de Simplon émettait d’après lui une sonorité comparable à celle d’une Mercedes A 45 AMG (le son du quatre-cylindres 2,0 l turbo essence de 360 ch est à écouter ici). « Un plaisir à entendre et à regarder », bien que, rappelons-le, l’auto n’a pas encore son allure définitive ! Toutefois, elle semble adopter un profil assez allongé avec sa poupe de type fasback !
De plus, Pierre qui a eu le bon réflexe de sortir son appareil photo, ajoute que les passages de rapport étaient très rapides. De quoi supposer l’utilisation d’une boîte à double embrayage…
L’actualité calme de ces derniers jours a l’avantage de laisser place à des sujet concernant des modèles à venir chez les constructeurs. Le futur SUV de Lotus en fait partie !
Le SUV est-il un passage obligé pour tout constructeur depuis que Porsche a son Cayenne ?
Si nous avions déjà déjà parlé de ce modèle qui paraît complètement incongru par rapport à l’esprit de la marque anglaise, de nouvelles informations sont apparues. On sait notamment que la philosophie « light is right » sera « respectée » grâce à un allégement de 200 kg en comparaison à la concurrence, à savoir le Porsche Macan ! Il faut donc ne pas s’attendre à une auto ultra-légère… ce qui paraît de toutes façons bien difficilement réalisable en prenant la carrure d’un SUV ! On apprend également que sa garde au sol sera diminuée de 3 centimètres…
En outre, du côté des motorisations, il ne faudra pas s’attendre à des nouveautés, puisque ce devrait être le quatre-cylindres 1,8 l et le V6 3,5 l actuels qui seront repris. Quid du diesel diront certains ? Nous dirons que pour le moment nous ne préférons pas y penser !
A noter que le SUV british sera produit en Chine avec l’aide de l’entreprise chinoise Goldstar Heavy Industrial et Proton dont Lotus est l’actionnaire. Cette Lotus haute sur pattes est comprise dans le plan stratégique visant à écouler 10 000 unités par an.
Samedi 28 mars dernier, votre Serviteur s’est rendu avec Arnaud à la sortie du Club Lotus France IDF. Le lieu de rendez-vous était fixé à la gare de Bois-le-Roi, un charmant petit village de Seine-et-Marne (77). Malheureusement pour nous, ce matin-là la météo n’était pas de la partie, mais la passion pour la marque anglaise demeure intacte ! Nous étions ainsi une trentaine de voitures prêtes pour le départ.
Les petites anglaises à l’assaut de la place de la gare de Bois-le-Roi
On pouvait compter une majorité de Lotus Elise S2, mais aussi quelques S1 et S3, des Exige, une Evora, une ancienne Elan, … Quelques Opel Speedster et Catherham étaient également avec nous.
Un parapluie, des couleurs vives, c’est aussi ça l’esprit british !
Me voilà ! 🙂
En route !
Petite pause
Arrivée au Country Club (Samois),pour le déjeuner après cette balade fort sympathique sur de petites routes dépaysantes
Lors de la présentation de la toute première Elise au salon de Francfort en 1995, Lotus n’était pas au mieux de sa forme. Ce projet de voiture sportive légère débuté en 1994 et mené par Julian Thomson avait même pris du retard. C’est à la fin de l’année 1996 que débute la commercialisation des premiers exemplaires. Depuis, trois générations du cabriolet se sont succédé et cette auto est devenue le modèle phare de la marque Anglaise ! Des nombreuses déclinaisons sont apparues comme l’Exige, la 340R ou l’Europa, mais aussi pour d’autres constructeurs comme Tesla avec la Roadster entièrement électrique.
Pour fêter son anniversaire, je vous propose quelques clichés de la mienne, une Elise S2 111R de 2006 avec le moteur Toyota 1,8 l de 192 ch, ainsi qu’une vidéo (Lotus marque le coup en sortant une édition spéciale). Pourvu que l’esprit originel (« Light is right ») de Colin Chapman reste intact, la venue d’un SUV au sein de la gamme laisse planer fortement le doute !
Quelques modifications esthétiques pour l’Anglaise
Avec l’appellation S Club Racer, l’Exige gagne sa version la plus radicale. A l’extérieur, cela se remarque par l’habillage noir mat du spoiler avant, du capot, du toit, des rétroviseurs et de l’aileron arrière. Uniquement disponible en coupé, l’Anglaise reçoit aussi un logo Club Racer au-dessus des rappels de clignotant et sur le tableau de bord et les sièges.
Les heureux propriétaires auront le choix entre quatre coloris : jaune métallique, Exige orange, blanc métallique ou noir mat (en option).
Pas plus performante, mais plus chère
Pour rendre plus légère et agile sa sportive, Lotus a allégé la batterie, la console centrale, les sièges sport et les portes. Au total, ce sont 15 kg qui ont été récupérés par rapport à une Exige S classique, soit désormais 1 161 kg au total. Le changement sera donc presque imperceptible ?…
Du côté des performances ce sera le cas en tous les cas, puisque le V6 3,5 l essence compressé d’origine Toyota sort toujours 350 ch et demeure à 4 s pour l’épreuve du 0 à 100 km/h. La Vmax reste, elle aussi, bloquée à 274 km/h… Cela étant, les adeptes de réactivité découvriront avec plaisir que l’interrupteur permettant de passer les modes Sport et Course est maintenant monté en série, de quoi améliorer le temps de réponse de l’accélérateur selon l’envie du conducteur.
Le prix de vente de la Lotus Exige S Club Racer est fixé à 74 622 €, contre 70 487 € pour une Exige S.
Après une très bonne année 2014, Lotus continue d’avoir une actualité relativement riche. Pour les 20 ans de son modèle phare, l’Elise dévoilée en 1995 au salon de Francfort, le marque anglaise lève le voile sur une édition anniversaire baptisée « 20th Anniversary Special Edition » qui vient remplacer l’Elise S Club Racer.
Légère cure d’amincissement
Ainsi, la troisième génération de l’Elise voit son poids diminuer de 10 kilos, à 914 kg, par rapport à l’Elise S. Pour y parvenir, le constructeur a recours à des jantes noir mat en aluminium forgé, de nouveaux sièges baquet en cuir ou Alcantara (sièges sport en option) et à une console centrale moins lourde. Le mode Sport permettant d’améliorer la réponse de l’accélérateur et de moduler l’intervention de l’ESP fait également partie de la dotation, soit au total 7 000 € d’équipements normalement optionnels sur une Elise S. Le toit en dur pour remplacer la toile (1 895 €), la climatisation (2 120 €) et le système radio CD USB pack NVH (1 440 €) demeurent au catalogue des options.
La Lotus Elise 20ème anniversaire Edition Spéciale basée sur l’Elise S Club Racer
Pour le nuancier, le client peut choisir entre les teintes bleu, vert, jaune et argent.
Performances identiques
Sous le capot arrière, c’est toujours le quatre-cylindres essence 1,8 l d’origine Toyota qui officie. Compressé, celui-ci développe 220 ch et octroie de jolies performances au cabriolet d’outre-Manche. Le 0 à 100 km/h est toujours expédié en 4,6 s, tandis que la vitesse maximale est atteinte à 237 km/h. La consommation moyenne de carburant est de 7,5 l/100 km, soit 173 g de CO2 par km (malus écologique de 2 200 € en France).
Comme d’habitude pour une journée circuit, le départ est matinal, c’est donc sur les coups de 6 heures que je mets le contact pour réveiller le 1,8 l encore profondément endormi. J’ai à mes côtés Arnaud (à qui je dois toutes ces magnifiques photos et vidéos, merci infiniment à lui !), toujours présent aux sorties pistes de la Lolo ! En route pour 250 km, soit à peu près 2 heures d’autoroute à… 4 000 tr/min – oui, la boîte à 6 vitesses est du genre courte !
Joli lever de soleil pour démarrer cette journée…
… qui ne nous quittera pas
Rapide aperçu de la Bourgogne. Le coin paraît abandonné, mais donne envie d’y retourner pour se balader
Premiers tours sur Dijon-Prenois…
Une fois arrivé sur les lieux aux alentours de 8 h 30, on découvre une quantité de bolides attendant sagement d’aller tourner le tracé de 3,8 km. Pour ce dimanche 8 mars, deux organisateurs cohabitent et forcément le nombre de participants est conséquent (autour de la centaine !…). Le prix attractif (175 € pour les premiers inscrits, contre habituellement plus de 200 €) n’est donc pas sans compromis.
Et voici la Lolo !
Le casque et la caméra embarquée sont prêts !
Les nouveaux pneus semi-slick Toyo R888 attendent de se frotter à la piste !
Avant de partir, petit contrôle de pression
Sans oublier le crochet de remorquage
Personnellement, je suis toujours un peu impressionné au départ. Pour ma première fois avec l’Elise à Magny-Cours club que je découvrais par la même occasion, j’avais de l’appréhension par rapport au fait que je ne connaisse rien du circuit. J’étais donc monté en passager avec un sympathique propriétaire d’une Renault Megane 3 RS préparée. Pour Dijon-Prenois, qui est un circuit d’une autre envergure, je préfère avoir un connaisseur pour les premiers tours. C’est donc Jean-Paul (voir la vidéo en fin d’article), ayant tourné ici à plusieurs reprises, notamment sur Porsche 911, qui me conseille.
C’est parti ! Direction la pitlane !
Hello chers lecteurs ! 🙂
La surpopulation constatée sur le gigantesque plateau à l’abord du circuit se traduit sans surprise par beaucoup d’autos roulant simultanément sur la piste. Dijon-Prenois est très rapide, vallonné et avec peu de dégagement à certains endroits, ce qui en fait un circuit relativement dangereux. Partir en reconnaissance avec autour de soi des petites GTI, de la grosse sportive, des modèles préparés pour la compétition et quelques protos sans rien casser relève de l’exploit, surtout quand certains pilotes cherchent à taper des chronos à tout prix ou adoptent une attitude loin d’un gentleman driver… Malgré cela, le tracé rentre petit à petit. Le fait qu’on y roule vite et que la piste est en dénivelé ralenti un peu l’apprentissage. C’est au bout d’une dizaine de tours que je commence à mieux me repérer, me placer et être plus serein malgré les dépassements kamikazes de certains.
Les 192 ch et 800 kg en action !
Au bout de trois sessions d’une quinzaine de minutes chacune, c’est le coup de cœur pour Dijon-Prenois qui ne vole pas sa réputation de circuit difficile, certes, mais à sensations ! A aucun moment sur la piste prenoise la concentration ne se relâche, pas même dans la ligne droite en légère montée qui se termine facilement à plus de 200 km/h pour les plus rapides !… Les douze virages sont variés avec une parabolique, un double droit et un double gauche et puis des courbes rapides, sans oublier la célèbre « Courbe de Pouas » pouvant être abordée à très haute vitesse pour les plus chevronnés. Même pour le débutant que je suis que ce soit en terme de pilotage ou de connaissance de ce circuit, le plaisir était intense ! La combinaison de la vitesse et des virages (en devers, en pente, en montée) font de ce tracé de véritables montagnes russes de l’automobile !
La Lotus dans la mêlée
Comme d’habitude, on vous embarque pour quelques minutes dans cette ambiance propre aux track days pour laquelle Arnaud et moi-même sommes complètement fans ! A peine nous avions quitté l’enceinte du circuit que je souhaitais déjà programmer la nouvelle sortie, c’est dire !
Il est plus de 17 heures, chacun va prendre le chemin du retour
Pauvre béhème, elle n’aura pas survécu
Petite rencontre impromptue avec une Ariel Atom !
Même superbe ciel que ce matin pour ce début de soirée
Dernier souvenir : une des Corvette Z06 nous dépasse dans la nuit avec ses quatre feux arrière ronds… Une belle image qui me rappelle mon retour du Mans Classic
Après six ans de carrière Lotus se décide enfin à offrir une mise à jour pour son Evora comme nous vous le détaillions à la fin du mois de février dernier. Au programme ? Un nouveau style, un intérieur revu, un châssis amélioré et une puissance en hausse. De quoi avoir tout bon me diriez-vous ?
Cependant, le premier reproche que l’on peut faire à l’Evora 400, concerne son design. Certes, c’est un point de vue forcément subjectif. Cela étant, pour avoir pu contempler l’Anglaise au salon de Genève, la face avant millésime 2015 perd sans aucun doute en élégance pour plus d’agressivité. Si encore le résultat était convaincant, mais là, à part une bouche béante, on ne voit pas trop ce qu’apporte ce restylage…
On pourrait aussi reprocher au coupé d’être trop lourd (1 400 kg à vide, soit 22 kg de moins que l’Evora classique) pour la philosophie Lotus et également trop cher (prix estimé à 75 000 – 80 000 €), néanmoins cela demeure moins onéreux et plus performant qu’une Audi RS 4 de 450 ch ou bien une BMW M4 (voir notre essai) de 431 ch qui sont aussi toutes les deux plus lourdes. Avec un habitacle plus cossu, la british vise une clientèle plus large. Un mal pour un bien afin d’assurer la pérennité du petit constructeur ? Préparez-vous alors à l’arrivée prochaine du SUV made in Lotus !
Annoncée fin novembre et surprise en test à la mi-février, la Lotus Evora restylée se montre enfin au grand jour six ans après l’introduction de l’Evora sur le marché. Au programme ? Des modifications esthétiques et mécaniques afin de donner une nouvelle jeunesse à celle qui devient la Lotus de route la plus puissante jamais produite !
Un look plus bestial
A l’extérieur, la marque anglaise a voulu muscler sa sportive. Cela se caractérise par une face avant plus agressive avec une bouche d’aération plus proéminente, ainsi que des led venant acérer son regard. Fini la discrétion et la sobriété de l’ancienne génération…
Les jantes sont allégées et inédites
Pour la poupe, l’aileron est revu et devient plus costaud à défaut d’alléger le style (l’appui est tout de même augmenté de 32 kilos à une vitesse de 24 km/h). Les petits feux circulaires situés auparavant à côté des optiques regroupant les feux et les clignotants descend plus bas sur le bouclier. Celui-ci en profite aussi pour se doter d’un nouveau diffuseur d’aspect plus robuste.
L’intérieur bénéficie également de ce restylage. La finition semble faire un bon en avant avec une généralisation du cuir, l’ergonomie a été revue et l’accès à bord facilité. Les sièges sont remplacés par d’autres plus légers (3 kilos).
Performances à la hausse
Si l’Evora 400 affûte son regard, elle n’oublie pas la mécanique ! Ainsi, le V6 3,6 l d’origine Toyota passe à 400 ch et 410 Nm (contre 280 ch/342 Nm ou 350 ch/400 Nm en S). A l’exercice du 0 à 100 km/h l’Evora 400 ne demande plus que 4,2 s, contre 4,8 s pour la S. Elle sera disponible en boîte manuelle et automatique. Le 0 à 160 km/h s’effectue en seulement 9 s et la vitesse de pointe s’établit à 300 km/h… Lotus assure que son auto gagne six secondes au tour sur le circuit maison d’Hethel. De quoi passer de GT à supercar ? Les essais seront là pour y répondre…
Sur la balance, la british perd 22 kg. En outre, elle s’offre un autobloquant Torsen pour limiter le patinage.
La Lotus Evora 400 sera bien entendu exposée au salon de Genève. Elle sera livrée à partir d’août 2015 à un prix encore inconnu…
Le PDG de Lotus, Jean-Marc Gales, a récemment annoncé que la marque allait faire son grand retour sur le devant de la scène en proposant un modèle capable de rivaliser avec Porsche. Peu de temps après, nos photographes espions sont tombés sur une Lotus Evora camouflée.
Timide à l’extérieur
Nous vous présentons donc aujourd’hui les premières images de celle qui donnera peut-être du fil à retordre à quelques productions de Stuttgart. L’Evora actuelle arbore un style plutôt sage et sans fioritures, presque passe partout. Si vous vous attendiez à un changement radical avec le facelift, c’est raté.
Les seuls changements que nous ayons observés sont en effet un bouclier avant aux entrées d’air élargies et un nouvel aileron à l’arrière. Nos photographes jurent également avoir décelé des feux de jour à LED camouflés sur le pare-choc avant, mais l’information est difficilement vérifiable à 100 % sur les clichés. En bref, si vous voulez un look de tueur, allez plutôt voir du côté de l’Exige.
Nous n’avons pour l’heure aucune information concernant une éventuelle évolution de l’intérieur.
Et sous la carrosserie ?
Eh bien une fois encore, ce ne sont que des spéculations que nous pouvons faire. Avec les annonces de J-M. Gales, on s’attend à ce que la partie moteur et les trains roulants soient de très haut niveau. Il serait toutefois vain de s’emballer et de rêver d’un nouveau moteur, car les finances de l’entreprise ne sont pas exactement au beau fixe. Tout juste l’écurie de F1 du groupe a-t-elle réussi à finir 2014 quasiment à l’équilibre.
On retrouvera donc vraisemblablement le V6 3.5 d’origine Toyota équipant l’actuelle monture, sûrement avec un peu plus de puissance (pour rappel il développe 276 chevaux dans l’Evora et 345 dans l’Evora S). Lotus étant avant tout connu pour ses châssis d’exception à l’équilibre sans pareil, on est également en droit d’attendre une mise à jour de la suspension pour plus d’efficacité et un meilleur feeling de conduite. En digne héritière de ses ancêtres poids plumes, l’Evora pourrait aussi éventuellement perdre quelques kilos.
Pour finir, Lotus a annoncé une « présentation excitante » pour le prochain salon de Genève qui ouvrira dans moins d’un mois. Evora ? Pas Evora ? Rendez-vous en mars pour le savoir !
Néanmoins, le Salon de Bruxelles n’aurait pas la même saveur s’il n’avait pas ces petits traits caractéristiques étonnants. Salon des « Utilitaires Légers, Véhicules de Loisirs et Motos », motards comme artisans pourront trouver leur bonheur, chose rare sur un salon automobile. De quoi même trouver une… ambulance sur le stand Renault ! Mercedes n’hésite pas alors à montrer des Vito en peinture flashy bleu mat, quand Volkswagen, Peugeot-Citroën et Ford consacrent une belle partie de leurs stands à ces utilitaires légers.
Autre belle surprise, nous avons pu nous rendre à l’exposition temporaire Dream Cars regroupant plus de 40 voitures d’exception ! Et cela, s’il vous plait, sans oublier les plus récentes ! Nous pouvions alors retrouver les toutes dernières Lotus Exige LF1, McLaren 650S MSO (McLaren Special Operations), Mercedes-Maybach Classe S, Mercedes-AMG GT S,Nissan GT-R Nismo, Noble M600 Convertible en première mondiale – qui présente de faux airs de Porsche 911 Targa et de Lotus Exige S… Une petite note exclusive était à noter du côté de Ferrari avec la F12 Berlinetta « Tour de France 64 », spéciale commande au service de personnalisation de la marque « Ferrari Tailor Made » du concessionnaire bruxellois Francorchamps Motors Brussels en hommage à la victoire du Tour de France d’une 250 GTO de même configuration en 1964. Audi et Porsche virent leurs gammes très bien représentées par une RS7 Sportback, une R8 LMX (dotée de feux laser pour rappel), ainsi que la R18 e-tron du Mans, quand Porsche proposait une 911 GT3, une 911 Targa, un Cayman GTS, un Macan Diesel ainsi qu’une 918 Spyder, tout de même. De quoi être stupéfait de la voir ici, sans pudeur, alors qu’elle était bien cachée, pour quelques privilégiés, au Mondial…
Voici donc un petit échantillon de toutes ces petites merveilles réunies dans cette exposition !
Enfin, pour les plus aventuriers, un complexe de franchissement 4×4 était installé aux abords du Salon quand les motards pouvaient aussi profiter d’animations dédiées.
Au final, et à l’heure où certains salons sont contraints d’annuler des éditions, nous ne pouvons que nous réjouir de voir exister des petits salons comme celui-ci, sachant que sa fréquentation était en hausse de 12,76 % par rapport à la dernière édition de 2013, avec 434 465 visiteurs ! Donc non, clamons-le haut et fort, et dans la continuité des bons résultats du Mondial de l’Automobile, la passion automobile est toujours bien présente !
Sur le marché depuis 2012, la Lotus Exige S a atteint en fin d’année le cap des 1 000 unités vendues. La bonne santé de la marque anglaise en 2014 devrait se poursuivre avec la commercialisation de l’Exige S Automatic qui vient de commencer.
Un tiers des ventes attendu pour la boîte automatique
Proposée en option contre 2 185 € (hors taxes), la boîte automatique installée sur l’Exige S (à partir de 67 190 €) est celle déjà utilisée pour l’Evora. Disponible sur le coupé, comme sur le roadster, cette nouvelle transmission à 6 vitesses permet selon Lotus d’améliorer le 0 à 100 km/h de 0,1 s à 3,9 s. Le changement d’un rapport à l’aide des palettes au volant demande 240 millisecondes, soit un temps légèrement plus long qu’une Lexus LFA ou une Nissan GT-R. D’ailleurs, le constructeur affirme que l’Exige S Automatic effectue le même chrono que son homologue en manuel sur le circuit d’essai maison (Lotus Hethel).
Le Race Pack optionnel permet d’ajouter un mode Race à la gestion de la boîte pour diminuer l’intervention du contrôle de motricité et de stabilité
Le launch control fait aussi partie du Race Pack
Cette boîte n’engendre pas de prise de poids avec toujours 1 182 kg sur la balance, tandis que les émissions de CO2 chutent de 235 g/km à 222 g/km pour une consommation moyenne de carburant de 9,6 l/100 km. En position centrale arrière, le V6 3,5 l d’origine Toyota conserve ses 350 ch et 400 Nm de couple.
Lotus espère accroître encore ses ventes en 2015 et écouler 1/3 de ses Exige S en automatique. Reste à connaître quel sera le résultat en terme de conduite sur cette auto forte en sensations !
Après la Ferrari 365 Daytona pour débuter le week-end, nous vous proposons de terminer celui-ci avec une vidéo d’une Lotus Exige qui n’est pas avare en vocalises !…
68 chevaux en plus
Il s’agit de la deuxième génération de l’Exige (2004 – 2006) utilisant le moteur 1,8 l d’origine Toyota déjà présent sur l’Elise 111R. Développant 192 ch à 7 800 tr/min et 181 Nm de couple à 6 800 tr/min en sortie d’usine, le propriétaire lui a ajouté un compresseur pour atteindre 260 ch, soit un joli gain de puissance ! Ces performances supplémentaires sont aussi à mettre au crédit de l’échappement Quicksilver titanium Stage 2 que l’on peut apprécier dans la vidéo… (voir en fin d’article)
Le bouclier possède deux feux de jour à led de marque Hella
La personne qui a filmé l’Anglaise nous indique que l’auto ne demande plus que 4,1 s au 0 à 100 km/h, contre 5,2 s auparavant. Un vrai missile de moins d’une tonne pour la route !
La vidéo de la Lotus Exige S2 préparée
La séquence a été tournée pendant le rassemblement d’un club Ferrari (Dutch Ferrari-Autumn tour) :
Chez Lotus, on fait partie des gagnants pour l’année 2014 en termes de ventes ! Le petit constructeur anglais a immatriculé 54 % de sportives en plus par rapport à 2013. Une belle performance qui sera suivie de plusieurs nouveautés dès cette année dont la première sera dévoilée dans moins de deux mois.
Près de 150 % de hausse sur le marché français !
Les 163 concessionnaires Lotus peuvent avoir le sourire – tout comme les 50 de plus prévus pour 2015 –, ce sont 1 565 véhicules neufs qui ont été vendus en 2014, soit 551 de plus comparé à un an plus tôt.
Les plus belles progressions sont en Europe (+ 81 %) avec la France (+ 143 %) et l’Allemagne (+ 139 %). En Asie, la Chine (+ 130 %) et le Japon (+ 125 %) ne sont pas très loin derrière. Les Etats-Unis (+ 29 %) et le Moyen-Orient (+ 24 %) se contentent d’augmentations plus faibles.
Jean-Marc Gales, un ancien de PSA maintenant PDG de Lotus, a déclaré que « L’accueil reçu par nos dernières productions est aussi bon sur nos marchés déjà établis que sur les nouveaux marchés. Ce qui traduit un développement stratégique qui va dans la bonne direction ».
Une Evora ultime pour le salon de Genève ?
D’ailleurs à ce sujet, c’est au salon de Genève (du 5 au 15 mars 2015) que Lotus dévoilera l’Evora restylée. Nous vous avions déjà parlé en novembre des évolutions attendues pour cette auto produite depuis 2009.
Les dernières rumeurs en date laissent entendre que Lotus présentera en plus du restylage une version très épicée de l’Evora. De quoi offrir une remplaçante à la version GTE de 444 ch découverte à Francfort en 2011 ?
Comme vous le savez sans doute, votre serviteur affectionne la marque Lotus et possède d’ailleurs une Elise 111R que vous avez pu voir à Magny-Cours club et aux Ecuyers. Alors quand il tombe sur une vidéo rassemblant plusieurs modèles du constructeur anglais, on partage avec plaisir !
Un meeting de Lotus en Italie
Surtout quand dans la vidéo en question, le caméraman était en présence d’un joli cortège rassemblant des Elise et Exige de toutes les générations !
Un beau panel doté d’échappements sport pour apprécier la sonorité des moteurs. Et comme les routes empruntées se situent dans le nord de l’Italie, les longs et étroits tunnels ne manquent pas… de quoi faire résonner la mécanique comme il se doit ! Un régal pour les tympans !
Ca ronronne !
Mettez la chaîne hi-fi sous tension et profitez de ce concerto de 4 min !
Pour écouter la Lotus Exige noire plus longuement, voici une vidéo qui lui est dédiée, le bruit est impressionnant :
Depuis les premiers tours de roues sur le circuit Magny-Cours club au mois de juillet dernier, la Lotus n’était pas retournée sur la piste, soit une attente interminable pour le pilote, tout comme pour sa monture ! Heureusement, ce dimanche 7 décembre, une journée ouverte à tous organisée par Alain’s Passions se tenait aux Ecuyers (02130 Beuvardes), l’occasion d’aller dégourdir les bielles de l’Anglaise…
Arrivée dans le brouillard !
Avec Arnaud (qui avait déjà fait chauffer la gomme la veille avec la Peugeot 208 GTi 30th !), nous sommes donc partis avant le lever du jour pour un trajet d’un peu plus de 110 km pour un peu moins de deux heures de route, mais c’était sans compter sur un épais et persistant brouillard qui ne nous quitta à aucun moment sur le chemin. Un fois arrivé sur place, nous avons même dû patienter deux bonnes heures avant que la piste s’ouvre tant la visibilité était trop réduite !…
Les plus courageux ont répondu présent, le nombre de participants était assez restreint. C’est en quelques sortes la basse saison
Une vieille Alfa Romeo Sprint qui ne manquait pas de voix une fois en marche !
Voici la Lotus ! Une 111R S2 et ses 192 ch pour un petit 900 kg à peine tous pleins faits !
Le possesseur de l’Opel Speedster est un Anglais très sympathique (esprit typiquement British, très décontracté !) avec qui nous avons discuté en attendant que la brume se lève. Malheureusement, il a eu plusieurs soucis pendant la journée avec son auto… (petit accrochage et surchauffe)
Ce petit désagrément dernière nous, c’était avec plaisir que j’ai repris en main ce tracé que j’avais déjà pratiqué par deux fois au volant de la BMW E36 323i.
Au début, seule une voiture était autorisée à rouler sur la piste à cause de la faible visibilité, ce qui rendait l’attente un peu longue
Gaz, c’est parti !!
Cette fois-ci, la piste était légèrement grasse et comportait deux ou trois rigoles d’eau. Les quatre pneus semi-slicks Yokohama A048 montés sur la « Lolo » adhérèrent superbement bien au bitume malgré des gommes usées sur le train arrière. Et par-dessus tout, quel plaisir de réentendre chanter librement ce bloc 1,8 l d’origine Toyota (voir vidéo embarquée ci-dessous) ! Quelle ambiance dans cet habitacle réduit, avec un châssis poids plume comparable à un kart, ce petit volant entre les deux mains et les harnais bien sanglés !
Dans la ligne droite des Ecuyers, on peut atteindre plus de 160 km/h avec le quatrième rapport engagé
Il faut dire que ce tracé de 3,5 km est vallonné et très sinueux, un terrain de jeu idéal pour l’Elise qui bondit d’un virage à un autre avec une agilité déconcertante !
Quelques tours de piste en vidéo…
Merci à Arnaud qui a tenu le caméscope dans le froid glacial pour les vues externes (et également le téléobjectif !) :
La vidéo teasing de Protois :
Les 17 heures sont passées, il est maintenant temps de prendre le chemin du retour la tête pleine de bons souvenirs !
Aujourd’hui, la gamme de modèles proposée par Lotus est assez réduite avec l’Elise, l’Exige et l’Evora. Le constructeur « artisan » britannique doit vendre plus que les environ 2 000 exemplaires de cette année 2014 pour continuer à vivre. Le PDG a été interviewé par Autocar, ce qui nous permet d’en savoir davantage sur le futur de la marque.
La prochaine nouveauté Lotus au salon de Genève 2015
Ce que Jean-Marc Gales nous apprend, c’est notamment que Lotus doit vendre davantage. Il espère 3 000 unités en 2015 et dans le futur même 10 000 ventes annuelles ! Il cite en exemple Porsche. Pour arriver à atteindre ces objectifs, dès l’année prochaine l’Evora en production depuis 2009 sera restylée.
Présentée à l’occasion du salon de Genève se tenant en mars 2015, la plus imposante des Lotus actuelles sera retouchée à l’extérieure, à l’intérieur et aussi au niveau de la fiche technique. D’après les informations obtenues, le poids baisserait de 15 % et la puissance augmenterait, quant à elle, de 15 %… Ainsi, l’Anglaise ne pèserait plus que 1 221 kg (contre 1 437 kg) dans sa version S. Le moteur V6 3,5 l d’origine Toyota développerait quelques 400 ch, soit 50 canassons de plus que jusqu’à présent.
D’autres surprises par la suite…
En 2016, ce sera au tour de l’Exige d’évoluer. Ici encore, la cavalerie sera revue à la hausse, tandis que la masse totale sera diminuée.
De plus, il a été évoqué qu’un SUV Lotus – oui, oui ! – serait possible pour les prochaines années ! On a encore du mal à imaginer ce que cela pourrait donner, mais Lotus pourrait utiliser une plateforme du constructeur malaisien Proton dont il est le propriétaire. Pour rappel, Jean-Marc Gales a travaillé pour le groupe VW et a assisté à la naissance du Cayenne, de quoi lui donner des idées !…
Enfin, le PDG a parlé d’une surprise pour la suite sans livrer plus de détails… Certains spéculent déjà sur un modèle se posant en digne successeur de l’ultra-sportive 2-Eleven !
En novembre 2013, Lotus présentait l’Elise S Cup R avec un look hyper-agressif. Normal, puisque celle-ci est destinée uniquement au circuit et plus précisément aux championnats tenus par la marque « british ».
De la piste à la route
Toutefois, chez Lotus, la frontière entre la compétition et la série n’est jamais bien loin. Après avoir été aperçue en test sur le Nürburgring, voici que le constructeur lève le voile sur l’Elise S Cup, version homologuée pour la route de l’Elise S Cup R !
Si Lotus ne donne pas beaucoup de détails sur les différences entre les deux versions, la S Cup gagne 3 s au tour sur le Ring’ en comparaison à une S. C’est notamment l’aérodynamique qui a été améliorée, puisque la S Cup obtient 61 kg (5 kg de plus) en appui à 160 km/h (125 kg à 225 km/h) ! Le kit de couleur noir et l’aileron arrière ne sont donc pas qu’une question de frime…
Par ailleurs, au chapitre mécanique, on retrouve le quatre-cylindres compressé 1,8 l DOHC VVT-I d’origine Toyota développant 220 ch à 6 800 tr/min et 250 Nm de couple à 4 600 tr/min. Associé à une boîte courte à 6 rapports, l’exercice du 0 à 100 km/h est terminé en 4,6 s et la vitesse maximale est atteinte à 225 km/h. Le poids est de 932 kg, soit une augmentation de 8 kg par rapport à la version circuit.
L’arceau de compétition est de série, de quoi ne pas faire mentir le nouveau PD-G de la firme, Jean-Marc Galès, déclarant que son auto « est parfaite pour les conducteurs recherchant une voiture sportive, rapide, authentique, attractive et compétitive ».
Au final, il ne lui manquerait plus que des harnais et un extincteur pour redevenir une Elise S Cup R !
Un prix d’entrée proche des 60 000 €
Enfin, question tarif l’inflation est importante, puisque à peu près 10 000 € séparent une Elise S d’une Elise S Cup. En effet, cette dernière sera vendue neuve aux alentours des 57 000 € lors de sa commercialisation.
A la fin de l’année dernière, vous aviez pu découvrir ma vaillante E36 323i et l’E90 325i reprogrammée de l’ami Tontongreg qui s’étaient données rendez-vous sur la piste de La Ferté Gaucher (77). Pour 2014, nous vous partageons une nouvelle vidéo d’une journée open, mais cette fois-ci à bord de mon nouveau jouet : une Lotus Elise 111R !
L’entrée du circuit Magny-Cours club
Le tableau de chasse du magazine MotorSport sur Magny-Cours club !
Un peu d’appréhension…
Pour cette première sortie piste avec l’Elise (nous vous la présenterons plus en détails ultérieurement), j’étais un peu anxieux à l’idée de poser quatre pneus semi-slicks d’une auto plutôt radicale sur un tracé que je ne connaissais pas du tout et cela en étant entouré de pistards parfois un peu « chauds » !
Finalement, j’ai effectué ma découverte de Magny-Cours club à bord de la Renault Megane 3 RS d’un certain Stéphane rencontré sur le plateau. Sa MRS stage 3 (soit 319 ch), vidée et chaussée elle aussi en semi-slicks était très impressionnante sur la piste. Merci à lui pour ces quelques tours avec ses plaquettes pas encore rodées et le bouton sport non enclenché (« seulement » 250 ch).
Ensuite, j’ai commencé mon roulage au volant de la 111R et si le circuit demande de la pratique pour être maitrisé avec notamment ses nombreux virages piégeux, j’ai très rapidement pris beaucoup de plaisir à piloter la Lotus.
Vidéo embarquée sur le circuit club de Magny-Cours
Très vive et légère, la « Lolo » régale par son freinage ultra-efficace, son grip phénoménal et son moteur 1,8 l Toyota de 192 ch ne demandant qu’à monter dans les tours ! Un vrai petit kart totalement grisant qui délivre son lot de sensations !… Arnaud, « sac de sable » pour la dernière session, peut en témoigner. 🙂
Quelques images de la journée…
Le plateau de ce samedi 12 juillet était fort sympathique. Malheureusement, je n’ai pas eu le temps de photographier tous les bolides présents ce jour…
On se souvient encore de la sonorité de cette Maserati 4200 GT « légèrement » préparée !…
Cette Fiat Coupé 2.0 20V turbo équipée du 5-cylindres de 220 ch (une belle bande-son !) perd du liquide refroidissement…
Quelques prototype de ce genre nous tiennent compagnie. Il y avait aussi une Peugeot Spider 207 !
Une Tesla Roadster qui ne touchera pas la piste. On aurait été curieux de la voir en action
Le plateau en fin de journée est déjà à moitié vide
Quelques Japonaises et leur Vtec… Merci à Nicolas pour le tour à bord de sa Civic
Deux Alfa Romeo Nuova Super 1600 d’Alain’s Passions
Il est près de 18 heures, soit le moment de reprendre la route pour rentrer chez soi. Une belle journée préservée de la pluie, à refaire sans aucun doute !
Lotus vient de présenter l’Exige LF1. Cette série spéciale rend hommage au passé victorieux de la marque britannique en Formule 1 en commercialisant autant de d’exemplaires qu’il y a eu de victoires en monoplace pour ceux dont l’adage est « Light is right ». Ces quarante dernières années, cela fait donc précisément 81 Grand Prix remportés.
Une présentation spécifique
Basée sur une Exige S, cette édition très limitée reprend les codes couleur déjà vus sur les « barquettes » du constructeur, à savoir le noir, (pour la majorité de la carrosserie), le rouge (pour quelques éléments comme la lame avant) et le doré (pour les jantes notamment).
L’habitacle n’est pas non plus oublié, puisqu’on y trouve une sellerie spécifique mêlant tissu et cuir, des logos sur les sièges baquets et tapis de sol inédits, ainsi qu’une plaque numérotée en fibre de carbone… En option, des sièges chauffants et l’aide au stationnement sont disponibles, « shocking! » (« choquant ! » dans notre langue) diront les Anglais, et ils ont raison !
Les jantes avant sont en 17 pouces et les jantes arrière en 18 pouces. Elles sont chaussées de pneus Pirelli P Zero Trofeo
Sous le capot arrière, on trouve toujours le V6 3,5 l d’origine Toyota développant 350 ch et 400 Nm de couple grâce à son compresseur. Il permet de mouvoir les 1 176 kg du bolide en 4 secondes pour le 0 à 100 km/h. Un boîte manuelle avec pommeau en alu est bien entendu toujours de la partie, tandis que le pack Race (suspension revue, trois modes de conduite dont « Race », …) et la climatisation sont de série.
Quelques « extras » en plus de la voiture
Exposée lors des 24 Heures du Mans, la Lotus Exige LF1 est vendue au prix de 79 000 € (malus de 8 000 € offert par la marque !). Les commandes sont déjà ouvertes et les premières livraisons interviendront dès cet été.
Par ailleurs, chaque acheteur aura le droit à une visite pour deux aux QG de Lotus Cars et Lotus F1, mais aussi une reproduction à l’échelle 1/2 du casque du pilote tricolore Romain Grosjean ou encore des tarifs avantageux sur certaines produits dérivés de la firme anglaise.
Le week-end dernier, le club Lotus France a organisé une balade en Seine-et-Marne. L’itinéraire débutait en milieu de matinée sur la place de la gare de Bois-le-Roi. Une pause était prévue à Saint-Mammès et le parcours se terminait au centre hippique du Grand Parquet, non loin de Fontainebleau.
Voici quelques clichés pris en passant sur les lieux rapidement, on y trouvait bien entendu des Lotus, mais aussi de nombreuses Caterham de tous les millésimes ou presque :
Il est désormais impossible de passer à côté du développement de la future Alpine. Alors que des rumeurs font état d’un prix plus élevé que sa jumelle chez Caterham, voici que la sportive se fait surprendre avec la carrosserie d’une Lotus Exige ! Explications.
Premier indice qui a frappé l’œil des photographes espions : la plaque française (en « W » – appartenant donc à un garage) portée par cette Lotus Exige sur le Ring
Autre détail intéressant pour cette Lotus assez particulière : il ne s’agit pas de la dernière génération de l’Anglaise, mais de l’avant-dernière. De plus, son aileron (indissociable à ce modèle) n’est pas présent…
Sous cet angle, tout pense à supposer qu’il s’agit du mulet de test pour la prochaine Alpine, car les voies sont élargies pour laisser place à de plus grosses roues. Cela expliquerait donc l’absence d’aileron pour coller à l’esprit de la berlinette A110 d’antan
Par ailleurs, les paparazzis indiquent avoir décelé des équipements Renault Sport et des suspensions de marque Ohlins…
Il s’agit-là encore que de maigres informations accompagnées de suppositions encore peu sûres, mais devant le retour de ce mythe qu’est Alpine, il est bien difficile de ne pas élucubrer sur le sujet !…
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