Jeep et The North Face, deux marques emblématiques du monde de l’exploration et des grands espaces, s’associent pour créer le Jeep Avenger 4xe The North Face. Cette édition spéciale de l’Avenger hybride met à l’honneur la liberté, l’exploration et la durabilité, avec seulement 4 806 exemplaires, en clin d’œil aux 4 806 mètres d’altitude du Mont Blanc. Arborant des finitions inspirées par la nature, ce modèle est un hommage aux paysages grandioses et à l’aventure sous toutes ses formes.
Un hybride conçu pour l’exploration
Le Jeep Avenger 4xe apporte une innovation majeure avec sa transmission intégrale hybride. Son moteur thermique de 1,2 litre est combiné à deux moteurs électriques, l’un à l’avant et l’autre sur l’essieu arrière, conférant au véhicule une puissance de 136 chevaux et une motricité exceptionnelle. Grâce à cette configuration, il peut passer de 0 à 100 km/h en 9,5 secondes, tout en assurant une faible consommation d’énergie. La motorisation hybride permet des trajets en mode électrique à basse vitesse, optimisant ainsi l’autonomie en ville et réduisant les émissions.
Les capacités tout-terrain de l’Avenger 4xe sont renforcées par son système Selec-Terrain, qui adapte la transmission selon les conditions : le mode Auto gère la motricité de manière optimale, le mode Snow s’adapte aux surfaces glissantes, et Sand & Mud assure une traction renforcée pour les terrains meubles. Ces fonctionnalités lui permettent de s’attaquer aux sentiers, aux pistes et aux environnements naturels avec la même assurance qu’en ville. De plus, l’Avenger 4xe dispose d’angles tout-terrain optimisés, d’une garde au sol accrue et de pneumatiques M+S, lui permettant de franchir des obstacles naturels sans difficulté.
Un design inspiré de la nature
Le design de l’Avenger 4xe The North Face rend hommage à la nature à travers des éléments esthétiques. Trois coloris inspirés des paysages montagneux sont proposés : Storm, Volcano et Snow. La teinte Summit Gold, iconique de The North Face, est intégrée dans plusieurs détails, ajoutant une touche élégante et unique. Ce coloris apparaît dans des motifs topographiques sur la calandre, les jantes et les finitions extérieures, évoquant les chaînes de montagnes et les grands espaces.
À l’intérieur, la série limitée intègre un tableau de bord gravé de lignes de relief rappelant les cartes topographiques et les silhouettes de montagnes. Les sièges sont également ornés de touches Summit Gold et reprennent des détails de style inspirés des vêtements techniques de The North Face. Chaque exemplaire arbore la mention « One of 4806 », un clin d’œil à cette édition limitée.
Équipements outdoor et connectivité
Jeep et The North Face offrent un kit Explore Pack : tente, sac de voyage et gourde, marqués des logos des deux marques. Ce pack est pensé pour accompagner les aventuriers lors de leurs escapades, un prolongement de l’esprit Jeep.
Côté technologie, l’Avenger 4xe est équipée d’aides à la conduite comme le régulateur de vitesse adaptatif, caméra de recul à 180°, et fonctions de sécurité comme l’aide au maintien de trajectoire et le frein de stationnement électrique. L’interface utilisateur est moderne et intuitive, intégrant un écran tactile de 10,25 pouces et un système de navigation optimisé pour des aventures sans détour.
Performance et accessibilité
La version de base du Jeep Avenger 4xe démarre à partir de 32 750 €, tandis que l’édition The North Face est proposée à 38 750 €, avec des livraisons prévues pour le deuxième trimestre de l’année.
Il s’agit à la fois de la voiture particulière quatre roues motrices la plus petite mais aussi la plus chère du marché. Les Suzuki Vitara AllGrip et le Dacia Duster sont moins onéreux mais utilisent une transmission intégrale conventionnelle et adopte un positionnement moins haut de gamme. Il est difficile de considérer Jeep comme une marque premium mais le constructeur compte clairement sur le coup de coeur pour vendre les Avenger. Plus de 70 % des acheteurs d’Avenger sont des nouveaux clients de la marque. Et une part importante des commandes sont passées par des femmes.
Jeep a présenté à la presse internationale le Wagoneer S. Premier SUV électrique de la marque à l’échelle mondiale, il revêt une importance capitale pour le constructeur. En effet, la formule de certaines Jeep change avec maintenant un esprit moins aventurier mais plus premium. Avec le Wagoneer, Jeep souhaite clairement concurrencer les constructeurs premiums et un certain Tesla ! Nous avons pu découvrir en avant-première le tout nouveau SUV électrique américain.
Un style épuré
Le Jeep Wagoneer S arbore un design épuré avec un jeu de lumières essentiel au style. La calandre à sept fentes est totalement repensée avec maintenant un rétroéclairage LED provenant du bandeau, donnant l’impression d’avoir toujours les sept fentes emblématiques de Jeep. Le capot perd en volume, il est moins bombé qu’avant.
De profil, le Jeep Wagoneer S se démarque par des panneaux de carrosserie très lisses. On remarque aussi des poignées de portes affleurantes. Les jantes de 21 pouces n’adoptent pas un design aérodynamique comme la plupart des productions électriques.
À l’arrière, le Jeep Wagoneer S se distingue par un bandeau lumineux large, mais aussi un becquet de toit ajouré et un aileron sur le hayon. Les ingénieurs de la marque Jeep ont travaillé pour réduire le coefficient de pénétration dans l’air. Il atteint 0,29, ce qui en fait la Jeep la plus aérodynamique jamais produite. Toutefois, on est encore loin du cx de 0,23 d’un Tesla Model Y que Jeep semble avoir pris pour cible.
Un habitacle premium et technologique
Jeep fait aussi un bond en avant dans son habitacle. Comme pour le style extérieur, les inspirations sont davantage premium que baroudeur. On retrouve alors une sellerie en cuir artificiel pour un plus grand respect de l’environnement. Celle-ci peut être noire, rouge ou blanche.
Le Jeep Wagoneer S dispose également de trois écrans pour une surface totale de 45 pouces. Il y a bien sûr le combiné d’instruments numérique, le système d’infodivertissement tactile et le moniteur face au passager.
Pour les plus mélomanes, Jeep propose un système audio à 19 haut-parleurs produit par la marque McIntosh. La puissance atteint 1 160 watts. Le Jeep Wagoneer S sera proposé pour cinq personnes. Ce grand SUV va être particulièrement accueillant proposant un coffre atteignant 866 litres.
Une batterie immense et une transmission intégrale
Le Jeep Wagoneer S est un produit développé sous le giron du groupe Stellantis. Il est donc normal de découvrir une plateforme STLA Large pour le nouveau SUV américain. À l’intérieur de celle-ci prend place une batterie de 100 kWh. Le constructeur américain annonce 300 miles avec une seule charge, soit 482 km. Une autonomie pas exceptionnelle en comparaison de la capacité de la batterie.
Le Jeep Wagoneer S devrait donc avoir une consommation électrique importante, notamment en raison de son poids, mais aussi de ses deux moteurs développant une puissance de 600 chevaux pour 800 Nm de couple et offrant une transmission intégrale. Le 0 à 100 km/h peut être atteint en 3,4 secondes.
Le Jeep Wagoneer S est attendu dès la fin d’année 2024 aux États-Unis. Pour nous, Européens, le débarquement du nouveau SUV électrique de la marque Jeep est prévu en 2026.
Vous pensiez que Jeep produit uniquement des gros tout-terrains polluants ? Faux ! La marque américaine propose une gamme adaptée à l’Europe, notamment avec l’Avenger. Le SUV compact a été développé en Italie sous la supervision de Stellantis. Une voiture au charme latin qui n’a pas manqué de séduire, en devenant « Voiture de l’année » dès janvier 2023 dans sa version électrique de 156 chevaux. Depuis, le Jeep Avenger se diversifie avec une motorisation essence, mais aussi, très récemment, une motorisation hybride 48 volts. Abcmoteur a été convié aux premiers essais du Jeep Avenger e-Hybrid 100. Voici notre avis sur la petite de Jeep !
Effet de mode
On le sait, les SUV sont à la mode. Les clients apprécient ces véhicules pour la position de conduite haute, mais aussi pour l’image de véhicule affirmé qu’ils renvoient. Jeep l’a bien compris. Bien que l’Avenger soit la plus petite des Jeep avec seulement 4,08 m, il ne manque pas de caractère.
L’Avenger est reconnaissable comme une Jeep immédiatement avec sa calandre à sept fentes. Celles-ci sont pleines pour des contraintes d’aérodynamique : le coefficient de pénétration dans l’air est réduit au maximum pour baisser les consommations et les émissions de CO2. Le Jeep Avenger a des projecteurs avant à LED avec une simple barre comme signature lumineuse.
De profil, on remarque des ailes marquées, un logo Avenger sur le bas des portières avant, ainsi que des poignées de portes dissimulées dans les montants des fenêtres arrière. Effet de style intéressant permettant de faire oublier visuellement les portes arrière. Le style de l’Avenger est dynamisé.
À l’arrière, des optiques carrées avec une forme de X rétroéclairées en rouge. Comme à l’avant, l’inscription Jeep est en toutes lettres. La partie arrière est la moins affirmée du Jeep Avenger. Toutefois, on arrive ici à distinguer sa motorisation avec le « E » en vert. Celui des versions électriques est bleu.
Un habitacle plutôt simple
Le Jeep Avenger a un habitacle épuré, avec une planche de bord comprenant un écran d’instrumentation de 10,25 pouces personnalisable. Il est possible d’y afficher la navigation, la consommation, le média joué et d’autres informations selon vos préférences. La couleur du compteur et de l’éclairage d’ambiance est associée aux divers modes de conduite.
L’écran d’infodivertissement tactile de 10,25 pouces n’est pas parfaitement au centre de la planche de bord. Il n’est pas orienté vers le conducteur mais simplement rapproché au maximum du volant. Les commandes de climatisation sont encore physiques et situées sous l’écran, tandis que les sélecteurs de la boîte de vitesses automatique à six rapports sont des boutons sur la console centrale. Enfin, la planche de bord se termine vers le passager avec un grand bandeau effet aluminium, et l’inscription Avenger est présente vers le passager. La présentation est très sobre, peut-être même triste sous certains aspects. Enfin, pour terminer sur la planche de bord, on regrette des plastiques durs, ce qui devient difficile à justifier lorsque le tarif dépasse 30 000 € avec la finition haut de gamme.
À l’arrière, pas de miracle. Avec seulement 4,08 m, l’habitabilité du Jeep Avenger n’est pas remarquable. Il faudra sacrifier un peu d’espace au passager avant pour faire rentrer un adulte à l’arrière. Il est alors plus adapté d’utiliser la banquette arrière pour des enfants. Enfin, pour le coffre, il offre un volume de 380 litres, plutôt honnête. On apprécie cependant son plancher modulable ou encore la banquette rabattable.
Autre remarque : si votre Jeep Avenger est équipée d’un toit ouvrant, vous ne disposez d’aucune poignée de maintien. Celle présente sur le plafonnier disparaît et aucune poignée ne permet de la substituer, que ce soit dans l’intérieur de la porte ou sur la console centrale. Dommage, la poignée de maintien fait partie intégrante d’un baroudeur. Son absence traduit le positionnement davantage citadin qu’aventurier de l’Avenger. Pour avoir une version prête à l’exploration, il faudra opter pour la prochaine déclinaison Avenger4xe du SUV compact proposant 4 roues motrices via un ingénieux système hybride. Son arrivée est prévue pour 2025.
Des consommations maitrisées et une puissance suffisante
Avec seulement 100 chevaux, on pourrait s’attendre à une voiture poussive. Ce n’est pas le cas. Le Jeep Avenger a une puissance suffisante : sans en faire un foudre de guerre, la centaine d’équidés sous le capot permet de déplacer correctement le poids contenu du Jeep Avenger. Cette version hybride 48 volts, dotée d’une boîte automatique à double embrayage, ne pèse que 1 280 kg. Un poids contenu au bénéfice des consommations ; ces dernières sont très faibles. Lors de notre essai du Jeep Avenger sur les routes de Bretagne, principalement sur départementales et sur voies rapides, avec une vitesse moyenne d’environ 60 km/h, la consommation s’est établie à 5,2 litres aux 100 km.
Toutefois, pour obtenir cette voiture légère, Jeep semble avoir fait des concessions. Effectivement, l’insonorisation est faible. Les bruits de roulement se font entendre sur des chaussées dégradées. De plus, des bruits d’air s’introduisent à bord lorsque l’on approche les 100 km/h, un constat d’autant plus marqué lorsque votre véhicule est équipé du toit ouvrant. Lors des accélérations, le trois cylindres essence se fait sonore. L’Avenger n’est donc pas la Jeep la plus agréable sur autoroute. Toutefois, il propose un régulateur de vitesse adaptatif et de l’aide au maintien dans la voie. Des solutions améliorant la sécurité, surtout lorsqu’il s’agit de prendre la route sans être toujours bien reposé.
L’Avenger e-Hybrid 100 est à l’aise en ville. Sa motorisation hybride profite d’une batterie de 0,9 kWh placée sous le siège conducteur. D’une petite capacité, elle permet de rouler 1 km en tout électrique à une vitesse inférieure à 30 km/h. Selon Jeep, il est possible de rouler 50 % du temps en électrique dans une circulation urbaine. La transition entre thermique et électrique est relativement bien gérée. Autre bon point, le freinage régénératif de l’Avenger, plutôt puissant, permet de moins utiliser la pédale de frein. La direction est douce, et le véhicule est maniable en raison de ses porte-à-faux courts. La caméra de recul avec vision à 360 degrés et les radars de stationnement, avant et arrière, aident.
Un mot sur la position de conduite. Vous êtes assis haut dans le Jeep Avenger ; la garde au sol de 20 cm fait figure de maximum sur le segment. Vous avez donc une bonne visibilité. Toutefois, l’accoudoir ne s’avance pas assez. Selon votre morphologie, la position de votre coude sur l’accoudoir central peut être désagréable lors des longs trajets.
Conclusion
Pour conclure, l’Avenger e-Hybrid se montre plus à l’aise en ville que sur autoroute. Le niveau sonore dans l’habitacle monte rapidement. Il reste néanmoins mieux adapté aux longs trajets que son frère électrique, ce dernier ne peut pas dépasser 250 km d’autonomie sur les voies rapides.
Le véritable avantage de l’Avenger e-Hybrid est sa simplicité d’utilisation. Il s’agit d’une voiture électrifiée capable de rouler parfois en tout électrique sans nécessiter de charge. Un véhicule sans contrainte qui évite le malus écologique grâce à ses émissions de CO2 établies à 111 g/km.
Avec l’ajout au catalogue de cette motorisation hybride, disponible dès 26 500 € en finition Longitude, Jeep a un atout de plus pour séduire la clientèle européenne. Son style affirmé pouvant déclencher des achats au coup de cœur devrait aider la marque américaine dans son objectif : atteindre 14 000 véhicules vendus sur le Vieux-Continent en 2024.
Jeep offre une toute nouvelle version de son SUV compact, l’Avenger. La déclinaison 4xe allie moteur thermique et moteurs électriques pour proposer une transmission intégrale sans faire exploser les émissions de CO2. La marque américaine en profite aussi pour améliorer les capacités de franchissement de son plus petit véhicule. Abcmoteur a pu voir en avant-première l’Avenger 4xe !
Plusieurs moteurs pour une transmission intégrale
Le Jeep Avenger utilise sous son capot avant un moteur thermique 1,2 litre turbo aidé d’une micro-hybridation. Celui-ci développe une puissance de 136 chevaux distribuée au train avant par une boîte automatique double-embrayage à six rapports.
Le Jeep Avenger 4xe va plus loin. Il propose une transmission à quatre roues motrices sans lien mécanique entre les deux essieux. La motorisation du train arrière est assurée par un moteur électrique de 21 kW, soit 28 chevaux. Celui-ci permet une gestion intelligente de la transmission.
Une gestion intelligente des quatre roues motrices
Sans lien mécanique entre les roues avant et arrière, le Jeep Avenger 4xe peut adapter la répartition du couple entre les essieux. De ce fait, l’Avenger propose une répartition 50/50 à basse vitesse jusqu’à 30 km/h. Au-dessus de cette vitesse et jusqu’à 90 km/h, le 4xe peut utiliser le train arrière si les conditions d’adhérence l’exigent. Enfin, au-dessus de 90 km/h, le moteur arrière est débrayé, réduisant ainsi les consommations et émissions du véhicule.
De meilleures capacités en tout-terrain
Jeep en profite pour améliorer les capacités de franchissement de l’Avenger. La version 4xe a une garde au sol de 21 cm. De ce fait, les angles d’approche de 22°, de rupture de 21° et de départ de 35°. Il peut traverser 40 cm d’eau. De ce fait, le Jeep Avenger 4xe propose les mêmes aptitudes en tout-terrain que la référence de la catégorie, le Dacia Duster. Il n’y a que le Suzuki Jimny qui fait mieux mais sans les mêmes qualités routières.
Pour les plus aventuriers, il est possible de remplacer les pneus de série M+S par une monte tout-terrain optionnelle 3PMSF.
Des éléments distinctifs
Il est possible de distinguer le Jeep Avenger 4xe par des petits éléments distinctifs comme les crochets de remorquage, les barres de toit ou encore des feux antibrouillard redessinés positionnés légèrement plus haut et vers l’extérieur. De plus, les pare-chocs avant et arrière sont fabriqués en matériau moulé dans la couleur avec une finition anti-rayures, la plaque d’immatriculation est également mieux protégée.
En option, un nouvel autocollant est proposé. Celui-ci est mat pour éviter les reflets désagréables en conduite. Enfin, les sièges adoptent une sellerie résistante et étanche.
La petite Jeep des aventuriers
Avec tout cet habillage, associé à la transmission intégrale et la garde au sol rehaussée, le Jeep Avenger 4xe devient le SUV compact des aventuriers. On l’imagine aisément comme véhicule du quotidien dans des zones rurales mais aussi en ville. Et à l’approche des vacances, il peut vous accompagner dans vos envies d’évasion. Ajoutez-lui une tente de toit et vous êtes prêt pour l’aventure !
Voici une information nous venant tout droit du Michigan. Jeep s’apprête à lancer son premier véhicule électrique à l’échelle mondiale. Pour cette grande nouveauté, Jeep a choisi d’utiliser un nom emblématique de son histoire puisqu’il s’agit du Wagoneer. Tout ce qu’il faut savoir sur ce prochain SUV électrique avec Abcmoteur.
Un nouveau SUV survolté
Chez Jeep, les SUV surpuissants ne sont pas une nouveauté. Cependant les SUV électriques survoltés sont encore inédits. On parle bien ici d’un SUV électrique à la puissance colossale. Effectivement Jeep annonce déjà le prochain Wagoneer S avec 600 chevaux. Le 0 à 60 mph (96 km/h) serait abattu en seulement 3,5 secondes. Les Américains du Michigan ont alors mis les doigts dans la prise et ce n’était pas seulement du 12V.
Un style modernisé
Avec la nouveau Jeep Wagoneer S électrique, il n’est pas question de brusquer le client avec un style faisant table rase du passé. On remarque ainsi un dessin de calandre reprenant le mythe de Jeep. Les sept fentes sont éclairées par des LED. La signature LED est complétée par un fin bandeau de LED.
Et comme une Jeep est avant tout un 4×4, le Jeep Wagoneer S reprend la transmission 4xe. La motorisation électrique promet ici une utilisation intelligente de la puissance pour lui offrir de bonne capacité en tout-terrain.
Jeep n’a pas encore donné de date de présentation officielle pour cette nouveauté survoltée.
Le Jeep Avenger est le plus petit SUV dans la gamme du constructeur américain spécialisé et connu pour ses 4×4. Maintenant intégrée dans le groupe Stellantis, l’Avenger profite d’une nouvelle motorisation hybride. Ce qu’il faut savoir de ces nouveautés avec Abcmoteur !
Dans sa logique de proposer un modèle aux multiples énergies, le Jeep Avenger reçoit une motorisation hybride en complément des motorisations thermiques et électriques déjà présentent.
Un moteur doté d’une hybridation légère
Ainsi, c’est un moteur MHEV (mild-hybrid 48V) proposée dans la gamme de la voiture européenne de 2023. Le Jeep Avenger e-Hybrid propose un mode de déplacement tout électrique à basse vitesse. Cette fonction est permise grâce à la combinaison de la transmission automatique à double embrayage e-DCS6 à 6 rapports et de son moteur électrique intégré.
N’attendez pas une grande autonomie, elle peut atteindre 1 km d’une traite à une vitesse minimale de 30 km/h. Il faut plutôt le voir comme une aide lors des démarrages et des accélérations permettant de limiter la consommation en carburant.
Quelle puissance ?
Cette motorisation MHEV utilise un bloc-moteur 3 cylindres 1,2 litre de 100 chevaux. Ce dernier est utilisé dans de nombreuses Peugeot et Citroën du groupe Stellantis. Il est associé à une boîte de vitesses à 6 rapports abritant un moteur électrique d’une puissance maximale de 21 kW.
Jeep annonce une consommation de carburant de 5,1 l/100 km utilisant un réservoir de 44 litres. Les émissions de CO2 sont estimées allant de 111 à 114 g/km, il évite ainsi le punitif malus écologique.
De nouveaux équipements
Jeep semble profiter de la version e-Hybrid pour introduire de nouveaux équipements. Notamment le toit ouvrant électrique en verre mais aussi la sellerie cuir et du siège conducteur à réglages électriques avec fonction massage.
Cette version se distingue des autres grâce à son badge spécifique sur le hayon ou encore de palettes au volant pour gérer la boîte automatique e-DSC6. Le pack Connect One est maintenant proposé apportant assistance et sécurité mais aussi le pack Connect PLUS proposant une large gamme de services connectés axés principalement sur la navigation.
Prix et lancement
Le Jeep Avenger sera disponible à la commande dès la fin du mois de novembre 2023. Il propose une gamme de trois finitions à l’équipement plus ou moins riche. Ses tarifs ne sont pour l’instant pas connus, toutefois on peut l’estimer. Il devrait se placer entre le prix d’accès à la motorisation thermique actuellement au catalogue à partir de 27 000€ tout en restant moins cher que les 39 000 € demandés pour le Jeep Avenger Electrique.
Jeep dévoile les nouveautés de son icône, le Wrangler. Effectivement, le constructeur américain donne une nouvelle face avant à son 4×4 emblématique mais aussi des nouveautés dans l’habitacle et en profite pour revoir totalement la gamme de motorisations en France en raison du malus écologique. Tout ce qu’il faut savoir sur les évolutions du franchiseur de l’Oncle Sam avec Abcmoteur.
Des évolutions peu perceptibles
Si le restylage d’un véhicule est subtil, c’est souvent que le véhicule continu de plaire aux clients. En effet, le Jeep Wrangler a une gueule mythique qui reprend le style de la Willys qui a débarqué en France il y a bientôt 80 ans, un 6 juin 1944. Lancé en 1987, le 4×4 de la marque américain à connu un fort succès de plus de 5 millions de véhicules vendus.
Il ne faut donc pas brusquer la clientèle de cette icône qui l’achète pour ce qu’il représente, un véhicule robuste, capable et qui reprend l’historique passé de la Willys. Les modifications esthétiques sont alors un pare-chocs avant redessinés, de nouveaux optiques, une calandre avec des fentes plus fines ou encore un bandeau de LED revisité.
Une nouvelle antenne intégrée au pare-brise est cachée tandis que 3 nouveaux dessins de jantes sont disponibles.
Un nouveau système multimédia
La nouveauté à bord est l’apparition d’un écran tactile de 12,3 pouces qui sert de système d’infodivertissement Uconnect 5 qui trône de manière proéminente au-dessus de la console centrale ainsi que la nouvelle buse d’air rectangulaire. Le Uconnect 5 est dit pour être 5 fois plus rapide et utilise Android comme système d’exploitation avec des mises à jour à distance. Bien évidemment il comprend Android Auto mais aussi Apple CarPlay sans fil ainsi qu’une navigation connectée TomTom. Il peut à présent avoir deux téléphones connectés en Bluetooth en simultanée.
Uniquement disponible en hybride en France
Le marché français est sévère avec les voitures qui polluent, ou du moins avec les personnes qui souhaitent les acheter en réclamant un abominable malus écologique pouvant aller jusqu’à 50 000€ ainsi qu’un malus au poids. Difficile de vendre des voitures polluantes dans ces conditions d’autant plus que par son gabarit, le Wrangler ne pouvait répondre aux exigences pour échapper au malus avec un moteur thermique.
La solution ? Un moteur hybride rechargeable, plus écologique sur quelques kilomètres mais aussi plus énergivore une fois la batterie électrique vide. D’autant plus lorsque l’on utilise son tout-terrain en bivouac où il est impossible de charger en pleine nature. Toutefois, Jeep a fait le choix de l’hybride rechargeable en France uniquement permettant de contourner les règles. La motorisation 4xe utilise un moteur quatre cylindres turbo de 2.0 litres à essence et une transmission automatique TorqueFlite à huit vitesses associée à un moteur électrique et à une batterie de 17 kWh. L’autonomie annoncée par le constructeur en tout électrique est de 51 km, tout juste suffisante pour ne pas faire payer aux acheteurs un malus écologique ou au poids.
Jeep présente une nouvelle série spéciale du Renegade et du Compass, la version Upland allie un style d’aventurier et une motorisation hybride parfaitement adaptée à la jungle urbaine. Tout ce qu’il faut savoir avec Abcmoteur.
Un look de baroudeur
Il sera facile de distinguer cette version Upland du Jeep Renegade et du Jeep Compass, en effet, ils reprennent le style du Trailhawk avec des pare-chocs biseautés, des jantes spécifiques de 17 pouces avec des pneus M+S (Mud and Snow) ainsi que des stickers de capot noir. On retrouve également le Pack Style comprenant les vitrages arrière teintés et les feux full LED. Dans l’habitacle on retrouve une sellerie spécifique lavable et des inserts bronze sur la planche de bord et les grilles d’aérations.
Une motorisation hybride
Si son style fait penser à un aventurier, sa motorisation lui permet d’être à l’aise en ville grâce à une hybridation. En effet, il obtient un moteur essence de 1,3 litre turbo ainsi qu’un moteur électrique sur le train arrière. La puissance totale atteint 240 chevaux transmis à la route par 4 roues motrices. Ce moteur électrique est relié à une batterie de 11,4 kWh donnant une autonomie de plus de 50 km en cycle urbain.
Prix
Cette nouvelle série spéciale offre un positionnement tarifaire intéressant. En effet, la Jeep Renegade Upland s’échange contre 41 990 € soit 110€ de moins que la finition Limited pour 3 000 € d’équipements supplémentaires selon Jeep.
Le Compass Upland s’offre à partir de 47 490 € soit 760 € de moins que la version Limited dont elle est basée avec 2 000€ d’équipements supplémentaires.
Jeep abandonne officiellement les moteurs thermiques pour devenir une marque électrifiée en France à l’aide d’hybridation de 48V ou hybride rechargeable.
Première chez Stellantis
C’est la première marque du groupe Stellantis à avoir pris cette mesure. Concrètement, les Jeep Wrangler, Renegade Compass ou Grand Cherokee seront maintenant uniquement proposés avec une hybridation légère de 48V dénommé e-Hybrid ou en hybride rechargeable appelé 4xe.
Ultimes disponibilités en thermique
À ce jour, seul le Jeep Gladiator sera encore vendu quelque temps avec un V6 3,0 litres multiair diesel de 264 chevaux. Mais ce pick-up est considéré comme un véhicule utilitaire léger.
Il reste encore possible de prendre commande des motorisations thermiques essence ou diesel, jusqu’à la fin du mois de mai 2022. La direction de Jeep est maintenant de lancer un véhicule électrique dans chaque gamme d’ici 2024. Le constructeur a déjà annoncé l’arrivée prochaine d’un modèle inédit 100% électrique. D’ici 2027, le constructeur prévoit même de devenir un constructeur uniquement électrique.
Reste à savoir si cette décision s’appliquera hors Europe. Les Jeep sont aux Etats-Unis appréciées pour leurs aptitudes à l’aventure dans des milieux parfois très reculées loin d’une prise électrique.
À Paris, le groupe Fiat Chrysler Automobiles (FCA) a inauguré l’exposition ‘’Jeep Adventure’’ dans son showroom MotorVillage des Champs-Élysées. C’est la première fois que cette place est entièrement dédiée à la marque américaine. On y trouve plus habituellement une mise en valeur des voitures des cousins italiens Fiat ou Alfa Romeo. Pour marquer le coup, une petite réception était donnée. L’occasion pour Jeep de présenter son tout nouveau Wrangler, qui débarquera en fin d’année, et de dévoiler le tarif français du monstrueux Grand Cherokee en version TrackHawk et ses 717 ch !
Un Renegade nous accueillait juste devant l’entrée du Motor Village.
Lorsque l’on entre dans le hall, le tout nouveau Wrangler nous fait face. Démuni de ses portes et dans son coloris jaune flashy, impossible de le rater ! Identifiable au premier coup d’œil, ce Wrangler dernière génération n’a pas transformé son physique. La principale différence vient de la calandre. Toujours à sept fentes verticales, elle est aujourd’hui légèrement mordue par les phares ronds, pouvant désormais adopter la technologie LED. On remarque aussi que les clignotants ont désormais migré sur les ailes. À l’arrière, la plus grande modification vient des feux, un peu plus imposants et adoptants une nouvelle signature, là aussi à LED.
Mais c’est à l’intérieur que le changement est le plus important. Si l’habitacle est toujours lavable à grandes eaux (des trous dans le plancher sont prévus pour l’évacuation), c’est surtout la connectivité qui fait un grand pas en avant. Écran tactile, compatible avec l’Apple CarPlay ou Android Auto, pouvant aller jusqu’à 8,4’’ou prises USB et auxiliaires, tout y est !
L’habitacle du Wrangler 2018 fait peau neuve.
Ce qui a fait la réputation de Jeep, c’est le franchissement et le dernier Wrangler devrait perpétuer la tradition avec brio. Châssis séparé, barres antiroulis désactivables, deux systèmes 4×4 disponibles, les terrains difficiles ne lui font pas peur. Disponible à partir du mois d’Octobre, il sera motorisé par un moteur essence 4 cylindres 2,0l turbo 280ch ou un 2,2 l diesel de 200 ch.
De la boue à l’asphalte
Il fallait descendre au sous-sol du Motor Village pour apercevoir le Grand Cherokee TrackHawk, plus fan de routes bien lisses que de terrains défoncés. Disponible aux Etats-Unis depuis le 10 Août 2017, le plus puissant SUV de la production mondiale va officiellement débarquer en France pour un prix de 120 000€. Une affaire pour un gros V8 6,2l à compresseur. Repris de la Dodge Challenger Hellcat au cheval près, il ne développe pas moins de 717ch et 880 Nm de couple. Pour passer toute cette cavalerie au sol, la transmission intégrale est imposée tout comme la boite automatique à 8 rapports.
Un physique qui ne passe pas inaperçu
Malgré le poids de plus de 2,3 tonnes, les performances sont impressionnantes : 0 à 100 km/h en 3,7 secondes et vitesse max de 289 km/h. Pour stopper le tout, les grandes jantes de 20’’ abritent des étriers de frein signé Brembo. Alors certes, une Lamborghini Urus de ‘’seulement’’ 650 ch ira un peu plus vite, mais le cœur de dragster américain du Cherokee vaut bien quelques km/h ou quelques centièmes de seconde.
Esthétiquement, le Grand Cherokee TrackHawk se différencie du reste de la gamme grâce, notamment, à un kit carrosserie plus imposant et de divers badges ‘’TrackHawk’’ ou ‘’Supercharged’’ disséminés ici et là. Les 4 sorties d’échappement évocatrices ou le capot percé d’ouïes d’aération sont aussi là pour annoncé la couleur !
Si le rêve américain vous fait envie, et que le malus de 10 000€ ne vous effraie pas, précipitez-vous chez votre concessionnaire Jeep pour précommander le vôtre ! En effet, seul une poignée d’exemplaire sera réservée au marché français !
Dans votre esprit, une Jeep est forcément encombrante, rustique et faite pour le franchissement ? Ce n’est plus tout à fait exact, car depuis peu la marque américaine propose un SUV compact entièrement nouveau destiné à séduire une clientèle urbaine et branchée.
Le Renegade, c’est son nom, tente donc de se faire une place sur le segment, déjà très disputé, de ces autos surélevées mesurant un peu plus de 4 mètres de long. Au-delà de sa légitimité en tout-terrain, assure-t-il au quotidien une véritable polyvalence ?
Une vraie gueule de Jeep
Dès le premier coup d’œil, le Renegade suscite la sympathie avec ses formes cubiques et d’autant plus dans cette livrée Omaha Orange en finition Limited.
La face avant s’identifie immédiatement comme une Jeep avec ses sept fentes caractéristiques. Les optiques de phare rondes rappellent la mythique Willys de la Seconde Guerre mondiale. Le capot plat et légèrement bombé en son centre donne du muscle à cette auto possédant un faciès très réussi.
De profil, on apprécie les excroissances au niveau des passages de roue trapézoïdaux qui confèrent là aussi une forte identité à ce SUV.
D’une longueur totale de 4,23 m, le Renegade fait partie des plus grands de sa catégorie
Les designers n’ont pas non plus négligé la poupe. Très verticale, y compris pour la lunette, celle-ci accueille deux feux carrés qui viennent s’enfoncer dans la carrosserie pour le côté « jouet ». Leur dessin intérieur fait allusion au jerrican d’essence de son aïeule.
Vous l’aurez compris, le Renegade s’affirme en tant que Jeep et s’attribue une personnalité marquée. Impossible de le manquer parmi la pléthore de modèles existants sur le marché.
Peut mieux faire
Une fois à l’intérieur, on est étonné de découvrir un habitacle plus spacieux qu’il n’y paraît. Néanmoins, il est entièrement noir à l’exception du ciel de toit et de quelques inserts (aérateurs, volant, enceintes, boîte de vitesse, …), contrairement à l’extérieur, nettement plus jovial. Pour plus de gaité en finition Limited, il faut opter pour l’unique alternative qu’est le Cuir Freefall avec Inserts Anodized Orange. Ainsi, on gagne des assises et des plastiques en partie inférieure blancs qui se saliront rapidement… Toutefois, les multiples touches d’orange rendent la présentation plus joyeuse.
Pour le reste, la planche de bord présente plutôt bien avec des bouches d’aération stylisées et une console centrale pas trop chargée. Un écran tactile de 6,5″ se charge de regrouper les fonctions multimédia. Le volant est joliment dessiné, tandis que le tableau de bord reçoit deux compteurs lisibles et un grand écran couleur de 7″.
« Since 1941 » est inscrit sur le pourtour de l’écran central
Ici, la classique zone rouge cède sa place à une tache de boue rappelant le milieu du 4×4
En somme, le seul véritable regret concerne la finition qui, si elle est honnête, mérite la critique concernant la partie basse de la planche de bord et la partie supérieure des contre-portes formées d’un revêtement brillant et sensible aux rayures.
Le logo présent sur le cerclage fait allusion à la calandre du Renegade et de la Willys. L’habitacle en est truffé, bonne recherche !
L’espace aux places arrière est convenable. La garde au toit est quant à elle suffisamment importante pour tous les gabarits
Atteignant 351 litres, l’espace de chargement est dans la moyenne. On espérait mieux au regard des dimensions de l’auto
A l’aise dans toutes les situations ?
Après ce tour du propriétaire, il est temps de prendre le volant ! Pour commencer, c’est avec une version 2.0 Multijet de 140 ch 4×4 boîte manuelle que nous partons de l’aéroport de Lyon-Saint-Exupéry. Dès les premiers mètres, le Jeep Renegade fait bonne impression avec un silence de fonctionnement surprenant pour un diesel et une suspension très prévenante. Les commandes sont globalement agréables et la visibilité n’est pas entachée par les épais montants du pare-brise.
Une fois sur l’autoroute en direction de Tignes, le Renegade continue à faire bonne impression avec peu de bruits de roulement et des bruits d’air maitrisés (Cx de 0,34), alors que sa carrure laissait craindre d’importants bruits aérodynamiques. Les kilomètres défilent de manière imperceptible. De plus, notre modèle disposait du système d’avertissement de franchissement de ligne corrigeant automatiquement la trajectoire en cas d’écart. L’affichage entre les deux compteurs du tableau de bord prévient le conducteur en conséquence. D’ailleurs, le rendu de l’écran est de bonne qualité et suffisamment grand pour assurer une bonne lisibilité. Par ailleurs, on regrette que la position de conduite soit aussi verticale et que l’appui-tête soit trop incliné vers l’avant.
La navigation remplit bien sa fonction
Côté agrément moteur, si le 2.0 Multijet de 140 ch (à 3 750 tr/min) et 350 Nm de couple (à 1 750 tr/min) brille par sa discrétion à bord quelque soit le rythme imposé grâce à une bonne insonorisation de l’habitacle, il ne se montre pas particulièrement véloce. Il faut dire qu’avec 1 505 kg à tracter (poids à vide), le moteur a fort à faire. Les performances sont justes suffisantes avec un 0 à 100 km/h demandant 9,5 s selon le constructeur. Heureusement, la réponse à l’accélérateur ne se fait pas attendre, puisque le couple maximum est disponible dès les bas régimes. Le maniement du levier de vitesse comportant 6 rapports se fait sans accroc.
Avant d’arriver à la station, une heure de route de montagne attend le Renegade. L’occasion de tester ses capacités dynamiques et c’est une véritable bonne surprise ! Sans aucun doute, ce SUV est né avec un châssis agile et bien suspendu. Alors que bien souvent les SUV pâtissent d’un comportement pataud, le Renegade passe d’un virage à un autre avec facilité, tout en ayant un roulis maîtrisé. Sa masse importante se fait complètement oublier hormis pour mettre en difficulté sa mécanique. En outre, la direction manque de précision et de consistance.
Même sur ces chemins défoncés, le Renegade soigne ses passagers en absorbant remarquablement les bosses et autres trous en plus de se déplacer avec facilité
Pour le chemin du retour, ce fut l’occasion d’essayer la même version, mais avec la nouvelle boîte à 9 rapports déjà vue sur le Range Rover Evoque (voir notre essai). Comme sur le SUV anglais, la BVA9 se montre rapide au passage des rapports et se fait oublier. Son seul inconvénient est de créer des vibrations venant du moteur qui remontent dans le volant aux alentours des 1 500 tr/min, soit à environ 90 km/h. Pour le reste, la consommation en carburant de l’essai a atteint 7,5 l en moyenne, ce qui semble un brin élevé en dépit de quelques accélérations et du dénivelé.
Que faut-il en retenir ?
Les plus
Les moins
– design unique
– confort et insonorisation
– châssis offrant un bon comportement routier
– à l’aise sur tous les terrains
– plastiques brillants
– direction manquant de précision
– poids & consommation un peu élevés
Au terme de cet essai, le Jeep Renegade nous a globalement convaincu en proposant une formule unique sur le segment, à savoir un véhicule urbain, compact et doté de véritables capacités hors des sentiers battus. En plus de cela, il bénéficie d’un confort et d’un comportement routier qui le placent sans doute parmi les références du genre. Un Mini Countryman SD, de puissance équivalente (143 ch), procurera une mécanique plus alerte, mais aussi une suspension plus ferme.
Vendu neuf à partir de 29 850 € en 2.0 Multijet S&S 140 AD Limited BVM6, le Renegade offre une dotation fournie sans exploser les prix avec, entre autres, le volant en cuir, la sellerie cuir/tissu, le système de navigation, la climatisation automatique bizone, une banquette fractionnable 40/20/40, le démarrage sans clef, des jantes alliage de 17 pouces, les rétroviseurs extérieurs électriques et dégivrants, le radar de recul, le régulateur de vitesse, … Les équipements de sécurité ne sont pas oubliés avec les systèmes d’avertissement anticollision et de franchissement de ligne ou encore l’affichage de perte de pression des pneus.
Si vous êtes à la recherche d’un SUV branché avec un look inimitable, capable d’effectuer des trajets urbains et de long cours ou encore de crapahuter en-dehors des routes bitumées, et que les quelques plastiques durs de l’habitacle ne vous importent guère, le Jeep Renegade pourrait bien l’emporter !
La vidéo de l’essai
Dans cette vidéo, découvrez l’extérieur du Jeep Renegade. Montez ensuite à bord pour explorer son intérieur et rouler quelques instants tout en testant la correction de trajectoire automatique. Des prises de vues ont aussi été réalisées sur terrain escarpé.
La commercialisation du Jeep Renegade ayant déjà débuté, tandis que les premières livraisons arriveront pendant le Mondial de l’Automobile, c’était donc une bonne occasion pour votre blog Abcmoteur d’aller à la rencontre du petit SUV du célèbre constructeur de 4×4…
Un gros « jouet »
Avec ses formes cubiques simples et ses phares circulaires, le Renegade séduit rapidement son public et s’identifie immédiatement comme une Jeep. Ses protections en plastique noir au niveau des bas de caisse et des passages de roue rappellent l’univers du 4×4, alors que ses feux arrière – de forme carrée pour le coup – font preuve de fantaisie avec un dessin intérieur original.
Oui, vous reconnaissez bien le MotorVillage !
Nous avons été assez surpris par son gabarit (4,23 m de long), car sur les images il donnait l’impression d’être plus compact. D’ailleurs, c’est assez amusant de se rendre compte que le plus petit modèle Jeep – depuis la Willys dans les années 1940 – fait sentir sa présence, mais sans se rapprocher du gros tout-terrain qui n’aurait pas sa place en ville. Pour le coup, le Renegade semble taillé pour toutes les situations.
En ce qui concerne l’intérieur, nous n’avons pas pu l’examiner en détail, mais il nous en a semblé de bonne facture sans nous emballer non plus…
Enfin, sachez que cet SUV urbain débute à 18 950 € en essence 110 ch et qu’il peut grimper – sans jeu de mots ! – jusqu’à 32 800 € en diesel 2.0 l Multijet 170 ch BVA9 finition Trailhawk. A ce prix, on bénéfice de toute l’expertise du constructeur avec une garde au sol la plus haute possible, la transmission intégrale, des plaques de protection, … Une confrontation avec sa cousine la Fiat 500X semble inévitable !
Jeep, marque créée juste avant la seconde guerre mondiale et utilisée par l’armée américaine n’a cessé de produire des véhicules après avoir rendu service aux soldats américains.
Depuis la sortie de la Jeep Willys en 1941, la marque américaine s’est réorientée pour proposer des modèles pour tout public.
Aujourd’hui, Jeep perpétue la tradition en proposant des 4×4 franchiseurs (Wrangler) mais aussi des 4×4/crossovers plus raffinés et destinés aux familles (Cherokee, Grand Cherokee, Compass et Renegade).
Mais Jeep n’oublie pas ses bases et offre sur tous ses modèles des qualités de franchissement très intéressantes pour ses clients désireux d’utiliser leur 4×4 en « conditions réelles ».
Depuis 1999, Jeep propose à ses clients ou amateurs de véhicules tout terrain un stage pour découvrir le franchissement ou perfectionner sa conduite sur terrain abrupt et accidenté.
Ce stage, facturé 250 euros pour deux personnes (140 euros pour les membres du club Jeep) se déroule sur une journée dans un lieu défini en France voire au Maroc !
Nous avons pu participer à l’une de ces sessions sur le domaine de Forest Hill dans les Yvelines. Nos impressions…
Accueil de l’équipe, briefing et départ pour les ateliers
Nous arrivons sur place : un briefing est donné par l’ensemble des moniteurs puis les groupes sont formés. Une équipe partira avec les modèles les plus urbains de la gamme (Cherokee et Grand Cherokee) pour un essai routier ainsi que du franchissement tandis que l’autre équipe partira avec le Wrangler pour des franchissements beaucoup plus difficiles.
Nous partons au volant d’un Grand Cherokee 3.0 L V6 CRD 250 ch pour un petit essai sur routes et ainsi découvrir les aptitudes du 4×4 haut de gamme de la marque. Ici pas de surprise, les 2,4 tonnes de l’engin se font sentir dans les virages. On voit tout de suite que ce véhicule est plus destiné aux familles recherchant un 4×4 confortable et spacieux plutôt que de grande qualité routière.
Heureusement, le V6 diesel à la sonorité agréable accompagné de sa boite auto 8 rapports et la bonne insonorisation globale donne envie de voyager à son bord.
Après avoir découvert le Grand Cherokee, il est temps de passer au volant de son petit frère, le Cherokee qui cette fois est propulsé par un 3.2 L V6 Pentastar 272 ch.
Plus léger (1900kgs) et disposant d’une boite automatique à 9 rapports, les aptitudes routières sont plus intéressantes avec notamment un V6 essence qui donne le sourire dès que l’on monte dans les tours. A son bord, on retrouve moins de luxe par rapport à son grand frère mais suffisamment d’équipements de série comme l’alerte de franchissement de ligne qui remet le véhicule dans le droit chemin.
De vrais 4×4 !
Nous arrivons sur le parcours de franchissement où la plupart des difficultés possibles sont présentées (passage étroit entre des arbres, montées, descente, trous, boue)
Tout d’abord, un moniteur nous présente le parcours à bord d’un Jeep Cherokee. Rien d’anormal si ce n’est qu’il effectuera tout le parcours avec les pieds sur le tableau de bord ! Comment est-ce possible ? Grâce à la boite auto du Cherokee, il est possible en mettant la boite en mode séquentiel d’effectuer un frein moteur avec une vitesse engagée (Système Selec-Terrain). En 1ère vitesse, l’auto se déplacera (même dans une pente à 25 degrés) à 1 km/h, en 2ème vitesse à 2 km/h, etc… Impressionnant d’efficacité !
Jeep Cherokee
Avec ce mode, n’importe quelle personne réussira à franchir tous les obstacles. Par contre, il faudra plus de douceur sur la pédale si on ne veut pas utiliser les modes.
Nous avons d’ailleurs décidé d’effectuer les franchissements sans le Système Selec-Terrain pour corser la partie. Surprise, l’auto est facile à conduire et nous franchissons les obstacles sans trop de difficulté grâce aux conseils de nos précieux moniteurs.
Il arrive que le 4×4 reste bloqué dans des montées avec une terre fraiche mais sans paniquer et avec un filet de gaz, le système 4 roues motrices fait son travail et sort l’auto sans trop de mal.
Même travail pour le Grand Cherokee qui malgré son gabarit plus important passe aussi facilement que le Cherokee.
Jeep Grand Cherokee
Randonnée en Wrangler
L’après-midi, nous prenons place à bord d’un Wrangler, modèle phare de la marque avec son look qui n’a quasiment pas changé depuis des dizaines d’années. Le nôtre est équipé d’un châssis court et propulsé par un 2.8 L CRD de 200 ch accompagné de sa boite manuelle 6 vitesses.
Jeep Wrangler
Etant un 4×4 de franchissement, la boite se révèle tellement courte qu’il faut passer un rapport à chaque petit changement de vitesse. Heureusement, le couple monstrueux du moteur permet de relancer à bas régime et même démarrer en 3ème sans aucun problème !
Nous retrouvons le même atelier effectué avec les Cherokee et Grand Cherokee mais cette fois avec un 4×4 beaucoup plus apte aux franchissements.
Ici, beaucoup plus de facilité pour le Wrangler qui dispose de certaines fonctions comme la Sway-Bar permettant de déconnecter la barre stabilisatrice et ainsi garder le contact avec le sol sans que l’auto penche. Une montée parsemée de trous devient une simple formalité…
Tous les franchissements s’effectuent sans trembler et nous sommes plus rassurés à titiller les limites de l’auto tellement l’auto est rivée au sol.
Un parcours semé d’embuches…
Nous pénétrons dans l’ensemble du domaine de Forest Hill pour une balade en pleine forêt. Certains endroits ressemblent plus à la jungle qu’à une forêt des Yvelines tellement la nature se frotte à nous.
Les difficultés que l’on peut rencontrer sont plus variées avec notamment des montées à fort pourcentage, des passages rocailleux ou bien la traversée d’une petite rivière.
Fidèle à sa réputation le Jeep Wrangler passe aisément les difficultés, son châssis court lui permet de passer plus facilement lors de slaloms entre les arbres.
Afin d’essayer toutes les configurations du Wrangler, nous passons sur un châssis long avec boite auto 5 rapports. La suite du parcours ne nous a pas été favorable avec des passages étroits mais surtout une descente boueuse où le gabarit allongé de ce Wrangler ne nous a pas aidés.
Mais la bonne humeur était au rendez-vous avec nos moniteurs toujours présents pour détendre l’atmosphère.
Rien ne l’arrête : la traversée d’une fosse remplie de 40cms d’eau boueuse se fait sans encombre.
Un 4×4 rustique mais efficace !
Une expérience à faire au moins une fois
La Jeep Academy est une journée très enrichissante qui permet de découvrir l’univers du 4×4.
Cette journée procurera autant de plaisir aux amateurs de véhicule tout terrain qu’aux néophytes.
Vidéo de la journée
En début de journée, nous arrivons avec peu de connaissances dans ce domaine et nous repartons en fin de journée avec de vraies aptitudes à rouler sur terrains accidentés et à faible adhérence.
Les moniteurs présents pendant toute la durée de l’évènement sont à nos côtés et nous donnent de précieux conseils pendant la conduite.
Pour 250 euros (ou 140 euros si vous êtes adhérent du club), vous pourrez découvrir cet univers si particulier.
Vous êtes intéressé ? Voici les dates des prochaines sessions de la Jeep Academy : 5 et 7 septembre 2014 : Rochepaule (07) – 13 septembre 2014 : Sigalous (83) – 21 septembre 2014 : Thénissey (21) – 26 septembre 2014 : Marquenterre (80) – 12 octobre 2014 : Parc du Sterou (56) – 17 et 19 octobre 2014 : Forest Hill (78)
Bien souvent lorsque l’on parle de record et de buggy, on imagine un exploit pour le moins insolite. Le pilote islandais Gudbjørn Grimsson va démontrer que rouler sur l’eau sur plusieurs centaines de mètres ne relève pas de l’impossible !
Un énorme V8 Ford préparé à l’arrière du buggy
Pour arriver à un tel exploit, on ne jette pas à l’eau le premier engin venu. Pour cela, c’est un buggy sur une base Jeep équipé d’un V8 7,4 l placé à l’arrière du châssis qui a été utilisé. Le moteur est passé entre les mains du préparateur américain Nelson Racing qui a donc ajouté deux turbos et des pistons forgés, entre autres.
De l’aquaplaning sur un lac de plus de 300 m, voilà un sacré défi !
Des pneus spécifiques avec de gros crampons sont nécessaires
Au final, l’ensemble délivre la bagatelle de 1 600 ch aux quatre roues ! Des performances renversantes demandant une certaine habilité pour correctement pilote le bolide. D’après les spécialistes, cette préparation moteur demeure assez fiable, le bloc pouvant faire jusqu’à quatre saisons de la course locale appelée Formula Offroad.
La vidéo du record
On se dit même que si le lac avait été plus long, le record aurait pu s’allonger encore un peu !
Voici encore un constructeur qui confirmera la tendance amorcée en 2013 : l’impressionnant essor du marché des petits crossovers. C’est Jeep qui s’aventure sur ce terrain en présentant lors du salon suisse le Renegade.
Jeep des villes… mais pas que !
Voici donc la réponse de Jeep au succès grandissant des Nissan Juke, Renault Captur et Peugeot 2008 : un crossover compact mesurant 4,23 m de long, 1,80 m de large et une hauteur de 1,69 m pour un empattement de 2,75 m. Là où il se différencie, c’est avec son look bien plus typé tout-terrain que ses rivaux.
Voici le premier modèle du genre chez Jeep : le Renegade qui s’inspire un peu du célèbre Willys pour la face avant
Il est basé sur la même plateforme que le petit crossover Fiat 500X attendu au Mondial en fin d’année
Une apparence qui se caractérise par différents éléments comme les passages de roues élargis, la garde au sol surélevée et les porte-à-faux réduits, ainsi que diverses protections en plastique brut sur les boucliers proéminents notamment. Une allure de baroudeur qui n’est pas usurpée, puisque le Renegade profite du savoir-faire Jeep en matière de franchissement.
En option, les passagers peuvent profiter de deux toits ouvrants
On note par exemple, une transmission intégrale permanente (en option) pouvant basculer la totalité du couple sur une seule roue, tout comme la suspension est indépendante entre chaque roue, différents modes de conduites sont proposés (auto, neige, sable et boue), la démultiplication raccourcie, …
Cinq moteurs au programme
Le « baby » Jeep démarrera sa carrière en concessions avec une palette de motorisations relativement fournie avec trois diesel et deux essence. Pour les mazouts, le client pourra choisir entre un 1,6 l de 120 ch et un 2,0 l de 140 ou 170 ch. Pour les versions carburant au super, c’est un 1,4 l turbo décliné en 140 et 168 ch qui sera au catalogue.
L’habitacle du Renegade semble bien fini et personnalisable avec ces touches de couleurs. Un écran tactile avec info-divertissement sera de la partie tout comme un radar anti-collision et la détection des angles morts
Le volume de coffre est de 350 litres et il peut être porté jusqu’à 869 litres une fois la banquette rabattue
Toutes les motorisations sont proposés en deux roues motrices, les blocs 2,0 l diesel et l’essence 168 ch pourront recevoir une transmission aux quatre roues. Selon le moteur, une boîte de vitesse manuelle à 6 rapports, une boîte à double embrayage à 6 vitesses et même une boîte auto à 9 rapports seront disponibles. Le stop & start sera de série afin de diminuer la consommation en ville et les rejets de CO2.
Commercialisation et tarifs du Renegade
Le nouveau Jeep Renegade sera en vente dès la fin de l’année 2014 pour un prix d’entrée estimé à 18 000 €.
Pour obtenir la date de sortie précise et les tarifs officiels, il faudra encore patienter un peu…
Qui ne se rappelle pas du tollé qu’avait suscité la Logan peu de temps avant son lancement ? On accusait Dacia de produire une voiture dangereuse car elle ne tenait pas la route selon un test effectué par l’ADAC (la voiture fut blanchie). Il y a un mois, le magazine suédois Teknikens Värld pointe du doigt la Jeep Grand Cherokee dont la sortie sur le marché a eu lieu il y a maintenant deux ans.
Le Jeep échouerait tandis que ses concurrents qui sont les VW Touareg et Volvo XC90 réussiraient leur passage entre les cônes sans difficulté à 70 km/h
On peut voir dans la vidéo ci-dessous que les journalistes (même pas équipées de casque lors de la conduite ?) font faire la manœuvre au 4×4, mais celui-ci se dandine sur deux roues. A un tel point que le retournement n’est pas loin. C’est sans compter sur le pneu 265/50 monté sur la jante de 20 pouces (finition Overland) qui arrive même à éclater !
Rien de très rassurant donc. Le constructeur a répondu deux semaines après en assurant que les ingénieurs n’avaient pas rencontré ce problème. Pour en avoir le cœur net, le magazine et Jeep ont reproduit onze fois le test de l’élan (63,5 km/h et la charge du véhicule au maximum réglementaire) sans obtenir le résultat catastrophique.
La raison serait que les journalistes auraient surchargé le SUV américain au-delà des seuils à respecter… On peut leur reprocher de faire un « bad buzz » vis-à-vis la marque, mais pour autant le Grand Cherokee ne paraît pas franchement à l’aise avec l’épreuve de l’évitement.
Qui n’a pas regretté d’avoir eu un 4×4 sous le sapin pour affronter les chutes de neige de cet hiver ? Mais est-ce qu’un tout-terrain se trouve à l’aise sur une chaussée enneigée ? C’est l’émission Automoto qui y répond en faisant un test avec le Jeep Compass.
La vidéo n’est réellement un essai comme ils le disent mais rappelle toutefois quelques notions…
Après 4 ans de carrière, voici le premier vrai restylage du Jeep Compass. Cousin du Dodge Caliber, le Compass restylé prévu pour 2011 voit sa face avant changer radicalement. Fini les optiques rondes rappelant le mythique Jeep Wrangler, il s’agit désormais d’un style dans la lignée du Cherokee. Le design du 4×4 gagne donc en agressivité en s’éloignant un peu des gènes de la marque mais cela lui permettra de devenir plus tendance et de contrer une concurrence toujours à l’affût.
Indéniablement, le nouveau Jeep Compass se veut plus moderne
Par ailleurs, le vieux 2.0 TDI 140 d’origine Volkswagen devrait abandonné pour sa sonorité trop élevée et le constructeur devrait se tourner vers Mercedes comme l’a fait Dodge. Enfin, on peut espérer que Jeep importe des Etats-Unis la version 2 roues motrices afin d’augmenter son potentiel de clients. A suivre… pour une commercialisation du Jeep Compass en 2011.
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