L’année 2024 semble être celle de la sportivité électrique. En seulement un trimestre, on a déjà du mal à compter toutes les nouveautés électriques aux prétentions sportives. On a déjà découvert la Hyundai Ioniq 5 N qui arrive sur nos routes, la Porsche Taycan Turbo GT et les prochaines Lancia Ypsilon HF et Alpine A290. Mais voici qu’Abarth, déjà protagoniste de l’histoire des voitures électriques avec l’Abarth 500e, prépare l’arrivée d’un nouveau modèle. Il s’agit de l’Abarth 600e qui va devenir le modèle le plus puissant de la marque au scorpion. Tout ce que l’on sait déjà avec Abcmoteur !
Cependant, Stellantis a d’autres ambitions pour le modèle. Le groupe ne va pas le laisser devenir un énième SUV concurrent luttant sur ce marché saturé. La Fiat 600e a droit à une version sportive signée Abarth.
L’Abarth la plus puissante de l’histoire
Selon les annonces du constructeur, la nouvelle Abarth 600e sera la voiture la plus puissante de l’histoire du préparateur italien. La puissance annoncée est de 240 chevaux, identique donc à la prochaine Lancia Ypsilon HF. Il ne serait pas surprenant de voir le même moteur électrique sous son capot avant.
À l’avant, oui, l’Abarth 600e reprend en toute logique l’architecture de la Fiat 600e avec son moteur avant. À la différence de puissance s’ajoute aussi un différentiel à glissement limité promettant une meilleure adhérence.
Une âme sportive à bord
L’intérieur de la prochaine Abarth 600e Pack Scorpionissima sera véritablement sportif. L’habitacle s’équipe d’une planche de bord rehaussée de graphismes Abarth, de motifs exclusifs et d’un environnement sombre. Le volant obtient un scorpion en jaune fluo, tout comme les surpiqûres de cette couleur. Ce dernier est équipé de cuir et d’Alcantara. L’écran d’infodivertissement de 10,25 pouces a des affichages Abarth spécifiques.
La nouvelle Abarth 600e sera présentée au mois de juin prochain.
Abarth est connu depuis les années 50 pour doper aux hormones des Fiat. Le préparateur italien s’est fait connaître avec ses modifications de Fiat 500, Fiat 124, Fiat 131 ou encore Fiat Ritmo. Des versions sportives et expressives appréciées pour leur moteur thermique. Mais Abarth évolue. Après avoir arrêté l’Abarth 595 pour la remplacer par l’Abarth 500e, le préparateur va dévoiler son modèle le plus puissant de l’histoire.
Un SUV électrique
Les temps changent. En effet, jamais on aurait imaginé il y a quelques années voir le constructeur proposer dans sa gamme un SUV électrique. Mais c’est bien ce que prépare Abarth avec le 600e.
Abarth affirme que le modèle s’articule autour de trois caractéristiques principales : un design orienté pour les performances maximales, un moteur qui en fait l’Abarth la plus puissante de tous les temps et un esprit de compétition pour séduire les passionnés de l’automobile.
L’Abarth la plus puissante de l’histoire
Ce nouveau SUV Abarth 600e va être la voiture la plus puissante de l’histoire d’Abarth. Il devrait développer 240 chevaux provenant d’un moteur électrique. Il sera doté d’un différentiel mécanique à glissement limité pour améliorer sa stabilité et sa maniabilité. Abarth annonce d’ailleurs l’utilisation de pneumatiques hautes performances développés conjointement avec un fournisseur de Formule E.
🚨 Abarth semble réagir aux fuites en dévoilant cette image officielle et quelques informations sur la nouvelle 600e, ici dans son édition de lancement « Pack Scorpionissima » :
Pour le lancement, l’Abarth 600e arrive en série limitée. Il s’agit d’une version nommée Pack Scorpionissima avec une couleur exclusive « Hypnotic Purple ». On remarque aussi un l’aileron arrière aérodynamique est conçu pour maximiser les performances, des jantes larges de 20 pouces et un freinage revu.
Les Abarth sont connues pour faire un son puissant pour des petites voitures, souvent surprenant lorsque l’on n’est pas avisé. Cependant les passionnés de la marque au scorpion avaient peur que le bruit iconique de leur citadine sportive préférée disparaisse avec le passage à l’électricité de l’Abarth 500e.
6 000 heures de travail
Pour donner un son de voiture thermique à l’Abarth 500e qui est 100% électrique, les ingénieurs du Stellantis Sound Design Studio ont travaillé pendant 6 000 heures. Des heures nécessaires pour enregistrer le son de l’Abarth thermique dans chacune des phases de conduite accélération, décélération, freinage et virage rapide. Les enregistrements ont dû être travaillés et adapté à une voiture électrique. Un travail de précision qui s’est fait dans une chambre semi-anéchoïque pour avoir un niveau de bruit très bas laissant les ingénieurs se concentrer.
Un générateur de son
Pour reproduire le son de la ligne Monza de l’Abarth 595, la marque a choisi de mettre un générateur de son à l’arrière de la voiture. Il va du mode « IDLE » qui reproduit le son du moteur au ralenti, jusqu’à « SIGNATURE » qui reproduit toutes les phases de fonctionnement du moteur en fonction de la vitesse de l’Abarth 500e. Bien évidemment ce système est désactivable via un bouton actionnable lorsque la voiture est l’arrêt.
L’annonce d’une Abarth électrique est pressentie depuis que Fiat a lancé la 500e, troisième génération électrique de la citadine mythique. Une présentation attendue qu’Abarth et Fiat viennent d’organiser sur le toit de l’usine historique de Turin en Italie. Alors véritable bombinette survoltée ou simple version plus puissante de la Fiat 500e, découverte de l’Abarth 500e sur Abcmoteur.
Un look résolument sportif
Cette Abarth 500e s’assume comme sportive avec son look extérieur spécifique et agressif, bien qu’elle dérive de la Fiat 500e, il ne sera pas possible de les confondre. Son bouclier avant est plus sportif tandis que le capot adopte une bosse sur la partie centrale. Dans cette version Scorpionissima, l’Abarth 500e est bien posée sur des jantes de 18 pouces. Les ailes portent fièrement le scorpion, signe astrologique de Carlo Abarth fondateur de la marque. L’arrière est un peu plus discret. On y retrouve un diffuseur, le lettrage en toute lettre « ABARTH » et un becquet de coffre toit qui vient donner la touche de sportivité y compris lorsque l’on suit cette Abarth 500e.
Avec un tel look, il ne sera pas surprenant de la voir s’imposer comme nouvelle star des villes. Les automobilistes en Abarth 500e passeront difficilement inaperçus surtout avec cette teinte verte acide de la version de présentation Scorpionissima. Un style plutôt m’as-tu vu mais qui correspond bien aux véhicules sportifs latins. De plus, bien que les véhicules électriques soient silencieux, cette Abarth sait aussi se faire entendre avec un « générateur de sons reproduisant l’incomparable rugissement Abarth ». Cependant, il n’est pas certain que celui-ci soit aussi surprenant et séduisant que l’Abarth 595 avec l’échappement Record Monza. Véhicule connu pour avoir une sonorité laissant penser à des voitures à la mécanique plus noble que le petit 1,4l T-Jet.
Un habitacle lui aussi sportif
Dans l’habitacle le maître mot est « alcantara ». Il est très présent, on en trouve sur le volant sport spécifique à cette Abarth 500e mais aussi sur la planche de bord avec un travail en relief séduisant. Les sièges sport adoptent eux aussi de l’alcantara et un pédalier en aluminium siglé du scorpion d’Abarth est présent. La base de cet habitacle est celui de la Fiat 500e et est donc des plus modernes.
Qu’en est-il sous le capot ?
Lorsque l’on s’intéresse à une Abarth, c’est pour l’émotion mécanique supplémentaire qu’apporte le préparateur. Cependant, il semblerait que ce modèle ne soit pas un exemple du genre. En effet, la motorisation électrique couplée à une batterie de 42 kWh propose seulement 150 chevaux et 235 Nm de couple. Ce n’est pas un gain de puissance par rapport à l’Abarth 595, au contraire puisque la version competitzione développe 180 chevaux et 250 Nm dans une sonorité marquée. De plus, le poids de cette Abarth 500e est en nette hausse. Les performances ne sont pas meilleures puisqu’elle demande 7 secondes pour passer de 0 à 100 km/h tandis que sa devancière thermique réclamait 6,7 secondes. Il n’y a pas match non plus sur la vitesse maximale limitée à 150 km/h sur l’Abarth 500e tandis que l’Abarth 595 competitzione pouvait dépasser aisément 200 km/h.
Si vous vous attendiez à une bombinette électrique, vous risquez d’être déçu. Cependant, si vous souhaitez une Fiat 500e plus performante et plus affirmée, elle est faite pour vous. Il faudra cependant accepter une autonomie moins importante que la version Fiat en raison de l’utilisation de la même batterie mais d’une puissance plus conséquente et de jantes plus grandes.
Prix et lancement
Le prix de cette Abarth 500e devrait dépasser 40 000€, cela ne l’empêchera pas d’être la star des quartiers chics. Les réservations doivent ouvrir le 15 décembre prochain tandis que les premières livraisons sont prévues pour mars de l’année prochaine.
Au cours de l’année 2021, le groupe FCA nous a présenté le concept Abarth 1000 SP (Sport Prototipo). Ce concept flatteur s’inspirant d’une production de la marque dans les années 60 avait peu de chance de voir le jour, mais les réactions du public ont poussé Abarth et le groupe FCA à envisager une production.
Afin de réduire les coûts de développement, cette sportive réutilisera la plateforme et le moteur de l’Alfa Romeo 4C pour qui la production vient de se terminer. Une manière de lui rendre hommage également. On retrouve donc le 4 cylindres 1,8l turbo de 240 chevaux en position centrale arrière, ce sera en toute logique une propulsion légère qui devra ravir les amateurs de conduite sportive.
Abarth devrait produire 5 exemplaires si l’on en croit Auto Italia Magazine qui se sont entretenus avec le patron de FCA Heritage Roberto Giolito. Une voiture très exclusive qui n’aurait pas dû voir le jour car au départ éclipsé pour faire de la place à l’Alfa Romeo 4C.
Plus d’informations devraient arriver en ce début d’année. On se réjouit de voir une nouvelle sportive légère bien qu’ultra-confidentielle après l’arrêt de la Lotus Elise ou encore de la 4C.
Abarth n’aura pas perdu de temps ! Alors que la Fiat 124 Spider n’est pas encore commercialisée, elle se voit déjà survitaminée par le spécialiste maison de la préparation !…
Enfin un nouveau jouet pour le préparateur turinois
Le Scorpion avait de quoi être lassé de la 500 à force de la décliner dans une pléthore de versions dont les 595 Competizione et 695 Biposto (que nous avions essayées). Par conséquent, on imagine facilement les équipes se ruer sur le petit roadster qui a été dévoilé en novembre dernier au salon de Los Angeles. Pour Genève, nous avons donc eu le droit à l’Abarth 124 Spider qui ne cache pas son penchant sportif, bien au contraire !
La peinture blanche est contrastée par la partie noire et les petites touches de rouge
Le quatre-cylindres 1,4 l turbo culminant à 140 ch et 240 Nm de couple sur la Fiat gagne 30 ch et 10 Nm pour un 0 à 100 km/h annoncé en 6,8 s. Les accélérations apporteront sans doute leur lot de sensations, car cette propulsion ne pèse que 1 060 kg sur la balance. La répartition des masses est idéale (50/50). Le choix de la transmission manuelle ou automatique, à six rapports dans les deux cas, sera laissé à l’acheteur.
Le différentiel autobloquant devrait assurer à l’Abarth 124 Spider un comportement efficace. La suspension signée Bilstein, les barres antiroulis durcies et les freins Brembo lui permettront d’encaisser un rythme musclé. D’autant que l’ESP sera désactivable pour les plus téméraires… Le tout sera accompagné d’une sonorité bien présente grâce à l’échappement Record Monza de série (voir notre vidéo).
Seul détail qui pique… : le prix ! Entre la proposition de Fiat et celle d’Abarth, l’addition enfle de près de 14 000 € ! Soit la somme rondelette de 40 000 € tout rond. Le donneuse d’organes qu’est la Mazda MX-5 qui plafonne à 160 ch pour 32 050 € – sans être aussi sportive – est nettement moins onéreuse. La confrontation entre l’Italienne et la Japonaise sera inévitable.
La gamme 500 Abarth, un temps confuse avec pléthore de séries limitées et autres versions spéciales, est désormais échelonnée simplement, en fonction des niveaux de puissances. On démarre avec la 595 à 140 chevaux, vient ensuite la 595 Turismo avec 160 chevaux, puis nous avons la 595 Competizione à 180 chevaux. Enfin, tout en haut, la Biposto grimpe pour sa part à 190 chevaux. Ce sont les deux versions les plus puissantes que nous avons pu essayer sur le réseau secondaire aux alentours de Valence.
Pas dans la demi-mesure
Qu’on se le dise tout de suite, si vous souhaitez passer inaperçu vous n’avez pas exactement frappé à la bonne porte. Commençons par la plus intrigante du lot, la Biposto. Bouclier avant et diffuseur arrière proéminents, ailes tirées pour faire passer les voies élargies de 10 mm, becquet de toit, jantes OZ Racing Ultraleggera en 18 pouces… On est immédiatement dans l’ambiance ! Le tout est mis en valeur par une peinture gris mat aussi belle que fastidieuse à entretenir.
Le carbone s’invite à la fête et recouvre pare-choc, diffuseur et coques de rétroviseur. Deux sorties d’échappement Akrapovic au diamètre conséquent se chargent d’achever le look ultra sportif de la Biposto.
A côté, la Competizione paraîtrait presque sage ! Les pare-chocs sont un peu moins massifs, les ailes moins larges et les jantes baptisées Formula se contentent de 17 pouces.
L’échappement Record Monza, spécifique à cette version, se compose de deux doubles sorties. La Competizione est personnalisable à l’envie avec un grand choix de peintures : assez passe-partout en gris ou noir elle devient pétillante dans une teinte bicolore. Surtout, elle est disponible en cabriolet, ce que ne permet pas la Biposto, plus orientée piste. En tout cas, dans ce joli Rouge Cordolo la petite 595 a fait tourner les têtes sur son passage.
Deux univers
Si vous trouviez l’extérieur de la Biposto sportif, attendez de voir l’envers du décor : jamais je n’étais monté dans une voiture homologuée route aussi radicale ! Ici, pas de banquette arrière (en italien, Biposto signifie deux places), pas de climatisation et encore moins de système audio.
Pire, si vous piochez dans le catalogue des options comme c’était le cas sur notre modèle d’essai, les vitres deviennent de simple meurtrières en polycarbonate, le carbone recouvre une grande partie de l’habitacle et la boîte de vitesse conventionnelle laisse place à une boîte à crabot à la tringlerie apparente. Ce petit chef d’œuvre est sans conteste ce qui permet de réellement comprendre que l’on se trouve dans un engin hors du commun, mais nous reviendrons sur son maniement plus tard.
Des harnais se chargent de vous maintenir dans les baquets Sabelt à coque carbone et un arceau en titane complète la panoplie. Sur la console centrale, un data logger vous indique une foule d’information comme par exemple le rapport engagé, le temps au tour ou encore le pourcentage d’essence restant dans le réservoir. Les bagages ? Un filet permet d’éviter qu’ils traversent l’habitacle en conduite musclée, mais à moins d’avoir la taille parfaite du coffre ils glisseront sur le revêtement du plancher. Pour faire simple : oubliez. La Biposto n’est tout simplement pas faite pour ça.
Dans la rouge, on retrouve une ambiance plus familière, avec une boîte manuelle classique, la climatisation, la radio et… des plastiques durs, franchement inesthétiques et peu flatteurs au toucher, même en partie haute de l’habitacle.
Tant pis, la magie n’opère pas comme dans sa grande sœur, on se consolera une fois le moteur en route ! Notre modèle d’essai était équipé du toit en verre escamotable, un vrai plus pour apporter un peu de lumière dans l’habitacle. Ne pensez toutefois pas l’ouvrir au-dessus de 100 km/h, les bruits d’air étant bien trop importants pour tenir une conversation sans avoir à significativement hausser la voix.
L’intérieur ne change finalement pas beaucoup d’une Fiat 500 classique, à l’exception de quelques logos Abarth, des sièges Corsa et enfin du compteur entièrement digital.
Dévoreuses de bitume
Je vous vois trépigner derrière votre écran : ça donne quoi une Biposto sur la route ? Mon confrère et moi avons profité de la voiture un peu plus d’une heure et à chaud, les seuls mots qui sortaient de nos bouches se résumais à « ça arrache », « trop délire » ou encore « non mais t’as vu cette boîte de folie ?! ». Oui, une Abarth 695 Biposto marche très fort. Le 1.4 turbo est explosif quoique que creux en dessous de 3 000 trs/min (turbo lag) et ne rechigne pas à taper le rupteur au-delà des 6 000 trs/min. Le tout avec une sonorité rocailleuse grâce à l’échappement en titane Akarapovic, une fois le mode sport enclenché. Dire que j’ai pris du plaisir au volant de cette petite bombe est un euphémisme tant j’ai été bluffé par les sensations qu’elle délivre. Le poids limité à 997 kilos y est sûrement pour quelque chose. La suspension réglable très raide vous renseigne sur les moindres aspérités de la chaussée mais garantit une tenue de route exemplaire avec très peu de mouvements de caisse. L’arrière que je pensais joueur n’est finalement pas si mobile que ça au levé de pied, à moins de franchement lui forcer la main.
Certes la Biposto n’est pas confortable, mais elle n’est pas invivable non plus. Il est tout à fait possible de rejoindre un circuit ou une course de cote par la route sans devoir réserver un an de séances de kiné. Non, là où vous aurez sans aucun doute le plus de mal, c’est avec la boîte à crabots. Cette technologie dérivée de la compétition se passe de synchros pour des passages de vitesse éclairs… à condition de connaître le mode d’emploi. A basse vitesse, tout changement de rapport se solde par un à-coup très marqué et un « klong » sonore qui indique le verrouillage de la vitesse. Surprenant au début, à tel point qu’on se surprend à regarder dans le rétroviseur pour voir si on en a pas laissé un morceau sur la route ! En conduite sportive par contre, le débattement très court et le positionnement idéal du levier de vitesses permettent de passer les rapports à la volée.
Les petites routes sinueuses, terrain de jeu idéal pour la Biposto !
A l’usage, l’efficacité est redoutable et le commun des mortels atteindra ses limites bien avant celles de la boîte. Si cette dernière intègre un différentiel à glissement limité, préparez-vous à d’importantes remontées de couple dans le volant. Les 230 Nm de couple et 190 chevaux sont bien présents et l’antipatinage à fort à faire pour endiguer toute la fouge du 4-cylindres. J’ai regretté que le volant soit un peu grand et ne participe pas à l’immersion. Quitte à proposer une voiture radicale, il aurait été plus judicieux de proposer un petit volant comme sur une Caterham. Autre point qui chagrinera les pistards, l’ESP n’est pas totalement déconnectable.
Juste avant de la rendre, un baptême sur une route de col fermée avec Renaud Poutot, pilote officiel Abarth au Monte Carlo 1995 (j’avais deux ans…), m’a permis de me rendre compte d’une chose : la Biposto n’est ni plus ni moins qu’une voiture de rallye homologuée pour la route. Les vitesses de passage en courbe sont tout simplement indécentes, la rigidité à toute épreuve et l’efficacité globale proprement sidérante pour une voiture de ce gabarit. Oser proposer pareil outil à monsieur tout le monde dans un pays aussi sévère que la France en matière d’automobile, c’était un pari risqué. Chapeau bas !
Une petite pause pour me sustenter et me remettre de mes émotions et me voilà repartit avec la 595 Competizione. Je peste toujours contre le volant et la position de conduite haute, mais une fois encore, il suffit de quelques tours de roues pour qu’un sourire revienne sur mon visage. Ces petites Abarth sont diablement fun ! Le moindre virage est propice à l’arsouille et la voiture en redemande sans cesse. Bien que moins radicale que la Biposto, la Competizione est loin de démériter dans le sinueux. Le moteur est toujours aussi plaisant et tracte formidablement (avec toujours autant de remontées de couple…) les 1035 kilos de la 595. Le châssis pardonne plus facilement les fautes et l’amortissement se montre également moins sec. Mention spéciale pour l’échappement Monza à la sonorité plus aiguë que l’Akrapovic et qui singe celle d’un moteur atmosphérique dans la partie haute du compte-tours. Jouissif !
En enlevant le mode sport, la Competizione redevient alors une citadine au confort ferme mais tout à fait vivable au quotidien, à moins que vous ne parcouriez que des rues pavées. Dans l’une comme dans l’autre, vous n’aurez aucun mal à rester en dessous des 9L/100 km sur route, en conduite normale. A l’attaque par contre, la consommation se veut plus proche des 15 L/100 km. Au final, la 595 Competizione m’apparaît comme le compromis idéal entre sportivité et facilité d’utilisation. Avec quelques notions de pilotage, elle peut être emmenée très vite tout en restant utilisable en ville.
On signe où ?
Bon c’est décidé, je me prends une Biposto pour les weekends et une Competizione pour tous les jours ! Comment ça ? 40 500 € le ticket d’entrée ? Ah… Oui tout de même. Et encore, ce prix n’inclus pas la boîte magique (10 000 €), ni le kit carbone intérieur (5 000 €) ni les vitres en polycarbonte (4 000 €), ni le kit course avec le data logger et les harnais (5 000 €) et j’en passe. La voiture que j’ai essayée approchait en réalité les 70 000 €. Sans véritable concurrence, la Biposto n’est pas une série limitée, son prix astronomique suffisant à réguler la demande. Est-ce vraiment un achat raisonnable ? Probablement pas. Surtout que pour en tirer tout le plaisir et être réellement dans l’ambiance, je ne vois pas l’intérêt de faire l’impasse sur les options précédemment citées. Mais si vous en avez les moyens, foncez. Par simple plaisir de rouler complètement décalé et parce qu’une voiture de rallye homologuée, c’est tout simplement extrêmement rare !
La 595 Competizione est affichée 25 350 € malus compris. C’est 1 000 € de plus que l’ancienne version 160 chevaux (lire notre essai), mais elle possède aujourd’hui l’échappement Monza et les baquets Sabelt de série. A titre de comparaison, la Corsa OPC Pack Performance essayée récemment par Adrien s’échange contre 25 800 € avec 2 200€ de malus à ajouter. Au regard du plaisir que j’ai pris derrière le volant, le tarif ne me semble pas élitiste. Pour encore plus de performance dans un encombrement minimal, il faut viser une Audi S1 (lire notre essai) qui propose 231 chevaux et une transmission intégrale, mais dont le prix de base est de 34 300 €. Avis aux amateurs !
Fiat avait présenté lors du Mondial de l’Automobile 2014 un SUV urbain appelé 500X. Des rumeurs avaient annoncé l’arrivée d’une version Abarth, mais il nous manquait encore la preuve que le préparateur italien travaillait bien à muscler cette auto. Une vidéo espion vient nous en apporter la preuve…
Un mulet filmé en cavale
Grâce aux Italiens de CarPassion, nous pouvons apercevoir une partie de ce qui semble être un prototype d’une 500X Abarth. Deux éléments permettent pour le moment de le distinguer : une double sortie d’échappement positionnée à droite et des jantes spécifiques d’un diamètre important (19 pouces).
Jusqu’à présent, le Fiat 500X doit se contenter de 140 ch au maximum. Au salon de Francfort, il pourrait apparaître aux couleurs d’Abarth et se révéler nettement plus puissant
Un autre élément nous fait penser chez Abcmoteur que cette version est probable. En effet, le vice-président du design Fiat, Roberto Giolito, avait déclaré en octobre dernier que « le 500X a une bonne carrosserie pour devenir une Abarth » et « qu’il est absolument parfait en terme d’agilité, de contrôle. Le siège conducteur est parfaitement ajusté pour contrôler la voiture. Ainsi, une [version] Abarth serait parfaite ».
200 ch attendus
Sous le capot, il y a fort à parier que l’on ne retrouvera pas le petit quatre-cylindres 1,4 l de la 500 Abarth (voir notre essai), mais plutôt le quatre-cylindres 1,75 l TBi équipant l’Alfa Romeo Giulietta QV (voir notre essai) et la 4C (voir notre essai). Pour le cas du 500X Abarth, la puissance sera probablement contenue à 200 ch, ce qui devrait se révéler suffisant pour aller batailler avec les Mini Countryman John Cooper Works et Nissan Juke Nismo RS qui sont tous les deux des SUV « sportifs » de 218 ch.
Le Fiat 500X Abarth en vidéo
Voici ce qui semble être un prototype du Fiat 500X Abarth en cours de mise au point !
Connaissez-vous la signification du scorpion noir trônant au centre du logo Abarth ? Il est dû au signe astrologique de Karl Abarth (1908 – 1979) qui fonda en 1949 le préparateur turinois. Rapidement, sa société s’est accaparée une solide réputation grâce aux petits bolides explosifs qui sortaient de ses ateliers et aussi par ses échappements à la sonorité caractéristique (Gordini et Porsche ont même été ses clients !). C’est en 2008 qu’Abarth, tombé dans le giron de Fiat depuis 1971, fait son grand retour en tant que constructeur à part entière en lançant l’Abarth 500 (135 ch).
Le modèle qui va nous intéresser pour cet essai, c’est l’Abarth 595 Competizione sortie en 2013. Plus puissante (160 ch) et plus radicale, elle s’adresse aux amateurs de petites bombinettes à sensations fortes. L’Italienne dit-elle vrai ? c’est ce que nous allons tenter de vérifier !…
Quand la Fiat 500 se fait piquer par le Scorpion…
Lancée en 2007 – soit juste 50 ans après sa devancière –, la Fiat 500 a reçu un accueil au-dessus des espérances de la marque bien aidée par ses lignes néo-rétro très séduisantes. Une fois passée entre les mains des sorciers du Scorpion, l’Abarth 595 Competizione ne demeure pas moins désirable !
Pour l’occasion, son allure devient plus musclée avec une proue dotée d’une nouvelle calandre. Le logo rouge laisse place à du jaune et du rouge, la barrette chromée rétrécit légèrement tout en devant un peu plus épaisse, tandis que l’entrée d’air s’agrandit. Le bouclier perd sa baguette chromée et la bouche d’aération, où viennent se loger les antibrouillards, devient plus proéminente. Des ouïes latérales sont greffées sur les extrémités pour compléter la parure.
Le profil n’est pas en reste, puisque des autocollants « Abarth » sont posés sur la partie inférieure des flancs, l’assiette est surbaissée, les passages de roues sont élargis et les jantes blanches à battons de 17 pouces (qui sont en fait du kit Esseesse) abritant des disques de frein perforés contribuent à renforcer cet esprit de pot de yaourt dévergondé.
Concernant la poupe, l’aspect sportif de la 595 Competizione est retransmis à l’aide d’un becquet de toit, de deux extracteurs situés derrière les roues et d’un magnifique diffuseur où sont encastrés quatre sorties d’échappement baptisées « Record Monza ».
Un bel habitacle, mais accusant le poids des ans
A peine à l’intérieur de l’Abart 595 Competizione, on remarque immédiatement les deux sièges baquets marrons signés Sabelt frappés du chiffre mythique « 595 ». Le volant à trois branches, le manomètre de pression du turbo, le pédalier en aluminium et le petit levier de vitesse finissent de convaincre sur le tempérament de l’auto.
Ces sièges baquets donnent beaucoup de cachet à la voiture
Cependant et malgré le traitement spécifique de la planche de bord – tout de même très proche de la 500 –, la finition générale, et plus particulièrement les plastiques durs et rayables facilement, est critiquable. De plus, la console centrale aux boutons commandant l’air conditionné plus tout jeunes donnent un côté cheap, cet aspect contrastant avec la belle sellerie. Dommage…
Le système audio est daté et les haut-parleurs indignes du prix de l’auto
En option, le GPS amovible était complètement perdu
En contre-partie, ces jolis sièges empiètent sur les places arrière
Le volume de coffre varie de 185 à 550 litres
Très amusante et pourtant pas sans défauts…
Une fois à bord donc, on commence par chercher sa position de conduite. Les sièges baquets étant positionnés hauts perchés, on cherche à les descendre, mais ce réglage n’est pas disponible. Même constat pour le volant qui, lui, ne se règle qu’en hauteur, mais pas en profondeur. Par conséquent, il n’est pas toujours aisé d’être bien installé, en particulier pour les grands gabarits se retrouvant avec la tête dans le ciel de toit. Toutefois, dès que l’on effectue un tour de clef, le 1,4 l T-Jet Turbo se réveille et il donne déjà de la voix, de quoi retrouver le sourire !
Pour débuter cet essai dans les Gorges du Verdon, nous sommes partis de la gare TGV d’Aix-en-Provence, le lieu idéal pour juger d’une conduite au quotidien de la petite italienne. Sans surprise, son gabarit réduit est un atout dans la circulation et lorsqu’il faut chercher un stationnement. Le volant est agréable à manier (une jante un peu moins grande aurait été préférable), tout comme les différentes commandes (pédales, boîte, …), elle n’est pas invivable dans cet environnement urbain où déjà il nous titille de laisser s’exprimer la mécanique… Seul bémol, le confort pèche.
Le 0 à 100 km/h est abattu en 7,4 s et la Vmax atteinte à 211 km/h
Pour cela, rien de telle qu’une départementale sinueuse à travers les montagnes. Dès les premières accélérations, la 595 Competizione affiche un caractère assez joueur avec un moteur « on/off ». On appuie sur le bouton sport, permettant de rigidifier la direction, améliorer le temps de réponse de la pédale des gaz et atteindre le couple maximal de 230 Nm à 3 000 tr/min tout de même, avant d’enchaîner les premiers virages.
Avec sa direction offrant un assez bon ressenti et son train avant précis, c’est un vrai régal d’enrouler les courbes, en dépit d’une suspension ferme (amortisseurs Koni). Toutefois, à partir du moment où le rythme s’accélère, le châssis peu rigoureux et les mouvements de caisse qui en découlent vous créeront quelques petites sueurs froides, même sur revêtement lisse. Néanmoins, les 160 ch demandant d’être toujours exploités entre 4 000 et 5 700 tr/min à l’aide du pommeau au maniement agréable, on ne peut s’arrêter de solliciter le bestiaux, d’autant plus que le freinage Brembo est très efficace et la ligne d’échappement, très sonore, totalement grisante !
Les kilomètres défilent et petit à petit la magie du Scorpion agit sur vous. Les défauts qui vous agaçaient lui sont pardonnés. Il faut dire qu’une fois apprivoisée, la 595 Competizione donne vraiment beaucoup de plaisir à être pilotée. Bien calé dans les Sabelt, on se plaît à attaquer les épingles toujours plus fort, surtout que la motricité est bien gérée sur le sec. La pédale du milieu ne faiblit pas, l’étagement court de la boîte et le poids relativement contenu à 1 145 kg font de cette Abarth un véritable petit kart ! Seul véritable défaut, le correcteur de trajectoire (ESP) ne peut pas être désactivé. Certes, il laisse un petit peu de liberté dans les dérives, mais pour une sportive de ce tempérament, cela peut être rédhibitoire, et encore davantage pour les amateurs de circuit.
Enfin, en terme de consommation de carburant, en mixte elle s’élève à 9 l/100 km environ. En attaque, il est possible d’atteindre entre 12 et 15 l, en ville un bon 10 l, sur le réseau secondaire 7 l et sur autoroute 8,5 l à cause du régime moteur élevé (3 500 tr/min à 130 km/h).
Que faut-il en retenir ?
Les plus
Les moins
– Les lignes attachantes
– L’échappement Record Monza
– Le comportement vif et les sensations
– La finition, ainsi que le système audio et de navigation en retrait
– La position de conduite
– Le châssis trop souple déstabilisant pour le pilote
En étant parfaitement raisonnable et en ne cherchant pas à tout prix une auto survitaminée de petites dimensions, l’Abarth 595 Competizione a peu de chances de l’emporter. Sa finition intérieure datée et son châssis en « guimauve » ne jouant pas en sa faveur.
Pourtant, si vous n’êtes pas insensible à son charme, à son moteur caractériel souligné par les borborygmes rauques en provenance de l’échappement, aux sensations de conduite et que vous savez pardonner quelques défauts, l’Abarth 595 Competizione pourrait bien vous faire craquer !
Vendue neuve à partir de 23 700 € (+ 1 600 € de malus) avec une dotation de série plutôt généreuse (radars de recul, nombreux airbags, bi-xénon, sièges baquets, climatisation, USB/Bluetooth, …) et sans réelle concurrence, la 595 Competizione mérite le détour !
Vidéo de l’essai
Voici la présentation intérieure et extérieure de la voiture avec de la conduite :
La Fiat 500 a beaucoup plu à ces dames et aux hommes que l’on catégorise de « métrosexuels », mais une version sport a fait son apparition pour tous, l’Abarth 500. Revenons en détail sur cette petite bombe italienne. « Petite, mais méchante ».
Côté technique
Le préparateur dit qu’il a rajouté « une dose de venin » à la 500 pour la rendre séduisante et surtout racée. Mais c’est bien plus que ça, surtout si on observe attentivement cette bête de petite dimension. En ouvrant le capot, vous aurez devant vous un moteur à turbocompresseur 1.4L d’une puissance de 135 chevaux à 5500 tr/min. Et malgré ces caractéristiques, l’Abarth 500 consomme peu. Avec 6.5 L aux 100 et des émissions de CO2 de 155 g/km, cette auto peut se vanter d’enregistrer des performances de voiture de course pour son tout petit gabarit.
Niveau sécurité, Abarth a utilisé les systèmes les plus sophistiqués comme l’ESP pour la tenue de route, l’aide au démarrage Hill Holder, le Torque Transfer Control (TTC) pour envoyer habilement du couple sur les roues et surtout pas moins de 7 airbags. On pourrait également rajouter l’AFU (Aide Freinage d’Urgence) et bien d’autres…
Équipements
L’Abarth 500 est équipée du système intelligent Blue&Me Maps qui permet bien évidemment de se déplacer d’un endroit à un autre avec le GPS, mais aussi de contrôler les statistiques de sa conduite en temps réel ou plus tard chez soi, et de retrouver sa voiture si on est perdu !
On retrouve également le GSI (Gear Shift Indicator) qui indique au conducteur quand changer de rapport pour optimiser les performances lors du pilotage sportif ou la consommation grâce à des LED, ainsi que des dizaines d’autres équipements de série et optionnels.
Côté esthétique
Le préparateur a trouvé l’équilibre parfait entre style et performances. À l’extérieur, on admire le spoiler, la double sortie d’échappement chromée, les mini jupes latérales et les très belles jantes à 8 branches de 16 pouces en alliage. La triple entrée d’air fait aussi son petit effet et garantit un très bon refroidissement du moteur. L’intérieur est sportif et on reconnait la griffe Abarth. Volant et pommeau de vitesse en cuir, pédales en alu, sièges baquets réglables et tableau de bord avec des indicateurs précieux pour la conduite sportive.
Pour la conduire
Vous voulez tester la Fiat Abarth 500 sur circuit et découvrir toutes ses performances à la manière d’un grand pilote ? Alors n’attendez plus, des sites tels que www.stage-auto.com le proposent.
Qui ne s’est jamais imaginé sur une grille de départ d’un prestigieux circuit prêt à en découdre aux côtés d’autres pilotes ? Chacun sait que ce rêve reste du domaine de la fiction tant cela est difficile de devenir pilote. Et pourtant, il existe bien une possibilité de concrétiser ce rêve !
Entrez dans la légende du sport automobile
Il s’agit du concept Make It Your Race qui est organisé depuis 2012 (6 pilotes de cette édition participeront au Trophée Abarth Selenia Benelux en tant que pilotes professionnels !). En quoi cela consiste ? Vous êtes intéressé par la piste, vous êtes de ceux qui poser les roues sur un tracé de temps à autre le dimanche ? Ce seul et unique concours vous convient parfaitement ! En effet, ici on recherche de jeunes talents amateurs sur circuit. Toute la progression des 28 candidats (déjà 9 000 personnes se sont inscrites) qui auront été sélectionnés sera filmée et l’émission sera diffusée sur les chaînes européennes.
Comment y participer ?
Pour cela, il faut être un homme ou une femme de 18 ans et plus possédant un permis de conduire et résident en France, Italie, Espagne, Portugal, Royaume Uni, Belgique, Luxembourg, Pays-Bas, Allemagne, Suisse ou Autriche.
Si ces conditions sont réunies, il suffit de suivre les étapes suivantes :
S’inscrire avant la date limite (le 17 juin 2013) sur Make It Your Race
Attendre les résultats du casting ainsi que les dates sur le même site
Début du concours à l’autonome ! Les 28 finalistes suivent un entraînement pendant dix jours avec les meilleurs coachs. Seul le meilleur sera retenu pour concourir contre de vrais pilotes professionnels le 20 octobre prochain sur le mythique circuit de Monza, en Italie !
Pour l’heureux chanceux, c’est une renommée exceptionnelle que de participer au Trophée Abarth… et le rêve peut continuer pour ce pilote de course comme cela a été le cas en 2012 !
Afin de finir de vous convaincre, voici le trailer vidéo de l’événement :
N’attendez plus pour vous inscrire, ce genre d’initiative est trop rare pour être manquée !
Prévue pour 2012, l’Abarth Roadster est la future sportive du préparateur italien spécialisé dans la préparation de petits bolides.
Une Abarth Roadster aux allures d’une britannique mais restant italienne dans l’âme
L’auto ressemble fortement à la Lotus Elise mais seulement stylistiquement. En effet, alors que l’Abarth Roadster était sensée utiliser le châssis d’une Elise ou d’une KTM X-Bow, ce sera finalement une conception interne qui aura été retenue.
Par ailleurs, la voiture profitera d’un moteur d’1,4 l MultiAir pourvu de 170 chevaux et on notera que l’auto sera équipée d’une boîte à double embrayage à 7 rapports.
Un autre visuel... (photoshop)
Rendez-vous dans quelques mois pour en savoir plus sur son prix (attractif ?) et les caractéristiques techniques du roadster.
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