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Au mois d’octobre dernier, vous aviez le plaisir de découvrir l’essai exceptionnel de la nouvelle Audi R8 sur Abcmoteur. Revenons maintenant un peu sur terre en allant à la rencontre de la cinquième génération de l’A4 (la neuvième en comptant la 80 qui l’a précédée) qui ambitionne rien de moins que de devenir la numéro un du segment des familiales.
Que nous propose donc ce nouveau modèle qui semble, en apparence, bien similaire à celui qu’il remplace ? Pour le savoir, j’ai pris le volant de l’A4 à la fois en berline (2.0 TFSI 252 ch quattro S tronic) et en break (3.0 TDI 272 ch quattro tiptronic) aux alentours d’Aix-en-Provence. Embarquez avec nous !
Le sujet qui fâche
Je vous entends déjà dire que « rien n’a changé » avec cette nouvelle A4. Ma réaction était à peu près la même en ce qui concerne les lignes de carrosserie lors d’un premier contact statique. Toutefois, il faut prendre le temps d’apprivoiser une auto, qui plus est lorsque les changements se situent dans les détails…
En effet, les designers allemands n’ont pas eu pour mission de révolutionner l’allure de la berline fétiche d’Audi. Elle évolue par petites touches au fil des générations pour garder une certaine cohérence et ne pas trop déprécier les productions moins récentes. Concrètement, cela se traduit par l’arrivée en force de formes rectilignes. La fameuse calandre « single frame » aux coins biseautés et les optiques à led avec un décroché sur la partie inférieure sont les nouveautés les plus marquantes de la face avant.
De profil, même les plus férus auront du mal à jouer au jeu des sept erreurs ! Les rétroviseurs déplacés vers le bas, la nervure plus marquée parcourant le bas de caisse et les feux arrière s’étirant sur les ailes sont des indices pour repérer la dernière A4 dans la circulation. En revanche, la sensation est différente lorsque vous vous tenez à ses côtés. Ce petit quelque chose me faisant dire que la berline a nettement plus de présence m’a intrigué. Il s’agit en fait des proportions qui ont subtilement été revues ! La longueur passe à 4,73 m (+ 3 cm), la largeur à 1,84 m (+ 1 cm), tandis que la hauteur ne bouge pas d’un iota. Ce n’est pas le gabarit d’une A6 (4,93 m de long), mais une A5 est plus courte avec ses 4,71 m !
Les rétroviseurs extérieurs participent à la maîtrise du CX (0,23 pour la berline, 0,24 pour le break)
Les feux arrière rappellent un peu ceux de l’A3 berline. Le petit décroché au niveau du feu de recul permet de les distinguer… et de faire un clin d’œil aux optiques avant. Le reste de la poupe demeure proche de la précédente A4.
Les différences entre le break et la berline sont minimes : feux arrière légèrement arrondis, barres de toit, … Il est dommage qu’il n’ait pas été doté d’une allure plus dynamique et originale
En définitive, je retiens que si le style change peu, Audi réussit malgré tout à nous proposer une A4 qui ne laisse pas l’impression d’avoir en face de soi sa devancière maquillée à l’aide de quelques artifices. Le pari n’était pas gagné d’avance et ce n’est qu’un début…
Sa carte maîtresse ?
Oui, ce n’est qu’un début parce qu’à l’intérieur la nouvelle A4 met tout simplement une claque à sa grande sœur ! Oubliez la planche de bord imposante et massive, ici la présentation est aérée et respire la qualité comme Audi sait le faire !
A l’opposé de l’extérieur, l’intérieur a été dessiné à partir d’une feuille blanche. En prenant place à bord, un sentiment de quiétude s’installe naturellement. Les matériaux sont de très bonne facture, même en allant tâtonner les parties les plus basses. Le bandeau gris clair et les aérateurs parcourant en largeur la planche de bord légèrement inclinée vers le conducteur donnent de la prestance. Le pack S line ajoute un sympathique volant à trois branches offrant une bonne prise en main et une sellerie confortable faite de cuir et d’alcantara.
Les aérateurs étirés en longueur font penser à la Volkswagen Passat (lire notre essai)
L’écart technologique est flagrant. L’unique écran couleur encastré est remplacé par un autre de 8,3 pouces de meilleure qualité simplement posé à l’image de ce que fait Mercedes, notamment sur sa CLA (lire notre essai). Le tableau de bord est presque entièrement occupé par le virtual cockpit qui se généralise dans la gamme Audi après avoir été inauguré sur le TT (lire notre essai). J’apprécie particulièrement le soin apporté aux boutons de la console centrale. Les boutons évoquent le haut de gamme et sont agréables à manipuler.
Apple CarPlay et Android Auto sont intégrés pour profiter des applications de son smartphone (téléphone, navigation, messages, musique…)
Le tunnel central paraîtrait presque trop volumineux tant tout est épuré. Les passagers arrière sont bien installés et peuvent profiter de tablettes tactiles (sous le système Android) à bord du break. Elles peuvent accéder à un certain nombre de fonctions de la voiture comme la radio ou la carte. C’est une sorte d’ordinateur de bord déporté !
Le volume de coffre est identique à une Série 3 : 480 l (+ 25 l pour le break)
Sans conteste, la marque d’Ingolstadt maîtrise son sujet ! Dès les premiers instants, l’habitacle de l’A4 sort du lot et se montre irréprochable. De bons prétextes pour démarrer la conduite !
L’Audi par excellence ?
Pour partir de la gare TGV d’Aix-en-Provence, je choisis une A4 Berline en Noir Mythic équipée du plus puissant des diesel disponibles, à savoir le 3,0 l TDI de 272 ch. Dans cette configuration, elle a presque des allures de petite A8. Les premiers kilomètres sur voie rapide vont dans ce sens. Le confort soigné, l’insonorisation réussie, les performances du six-cylindres et la foule de technologies dédiées aux aides à la conduite en font une « limousine de poche »…
Pris dans les bouchons de fin de journée, le moment est idéal pour tester le pack Assistance Route comprenant notamment l’assistant embouteillage, de marquage au sol et de collision qui se révèlent très efficaces et rendent la conduite partiellement autonome. Il est ainsi possible, suivant les cas, de ne pas toucher à l’accélérateur, le frein ou le volant (voir vidéo en fin d’article) ! A noter tout de même que la loi impose de garder les deux mains sur le cerceau. Une obligation nécessaire, car le conducteur reste maître de son véhicule et que le système – qui m’a bluffé et séduit ! – ne peut pas tout prévoir.
Sur la fin du parcours du premier jour, la route se rétrécit et devient sinueuse alors que la luminosité est presque nulle. Bien installé dans mon siège sport, je gravis avec facilité ce serpentin de bitume qui aurait pu effrayer une auto de ce gabarit. La direction offrant un très bon ressenti et de la précision se remarque et s’apprécie immédiatement. Le régime subit par l’A4 (jusqu’à 110 kg de moins) bénéficie au comportement qui sous ses aspects tranquilles ne laissait pas espérer une telle agilité. Autre petit agrément de cette partie nocturne : le Matrix LED. Il est possible grâce à lui de rouler en pleins phares sans éblouir les autres automobilistes. Une petite révolution pour la conduite de nuit !…
La suspension pilotée laisse le choix entre un grand confort ou un meilleur maintien de la caisse pour une conduite plus dynamique
Le lendemain, je troque mon TDI contre un 2,0 l TFSI de 252 ch qui est l’essence le plus costaud actuellement disponible en attendant la S4. Si le V6 diesel est séduisant, ce quatre-cylindres carburant au sans plomb se montre encore plus attrayant. Le bloc est presque inaudible et se fait entendre juste ce qu’il faut lorsque je grimpe dans les tours. La boîte automatique à double embrayage S tronic qui lui est associée est redoutable d’efficacité. Réactive et douce la plupart du temps, elle devient un jeu une fois le mode manuel enclenché. Un coup sur l’une des palettes solidaires au volant – peut-être légèrement trop petites – et le rapport passe en une fraction de seconde.
Le quattro (4 roues motrices) rassure lorsque la chaussée est glissante
5,8 s suffisent au 2,0 l TFSI de 252 ch pour atteindre les 100 km/h (5,3 s pour le 3,0 l TDI de 272 ch qui s’est révélé frugal bien que ce soit un V6)
Que ce soit avec la première ou la deuxième motorisation et en berline, comme en break, l’Audi A4 remplit, à mon sens, sa mission : vous transporter longtemps dans un petit cocon raffiné sans vous fatiguer. Les nombreuses aides (désactivables) la plaçant parmi les pionnières de sa catégorie en terme de technologies embarquées.
Ce qu’il faut en retenir
Les plus
Les moins
– la présentation et finition intérieures
– les technologies embarquées
– agrément et facilité de conduite
– le design trop figé
– les tarifs qui s’envolent avec les options
Modèle essayé
Prix (hors options)
Audi A4 Berline 3.0 TDI 272 ch quattro tiptronic BVA8
52 900 €
Modèles concurrents
Prix (hors options)
BMW 330d 258 ch xDrive BVA8 – 49 750 €
Mercedes C 250 d 204 ch 4MATIC BVA7 – 46 500 €
Jaguar XE 25t 240 ch BVA8 – 42 900 €
Montez à bord !
En route pour les Gorges du Verdon !
Bonne sous tous les rapports ?
A l’issue de cet essai, je dois vous avouer que le modèle des Anneaux ne m’a laissé que peu d’opportunités de lui faire des reproches. Son habitacle est aux petits oignons, les moteurs sont plaisants et le châssis est à la hauteur. Que puis-je donc bien critiquer ?
De façon subjective, il y a bien sûr le design trop similaire à la précédente A4 ! Un petit manque de fun aussi, ce petit quelque chose qui pourrait la détacher de cette rigueur germanique peut-être un peu trop omniprésente… Pour le reste, c’est bien son tarif qui pourra refroidir votre banquier : 68 410 € pour notre configuration avec le 3,0 l TDI 272 ch (les équipements sont listés en fin d’article) et 60 450 € avec le 2,0 l TFSI 252 ch sachant que le break demande une rallonge de 1 700 €. Cela étant, la concurrence représentée par les BMW Série 3, Mercedes Classe C et Jaguar XE n’est pas moins onéreuse, à l’exception de l’Anglaise (lire notre essai).
Fiche technique Audi A4 Berline 3.0 TDI 272 ch quattro tiptronic finition Design Luxe
Informations générales
Commercialisation
septembre 2015
Pays
Allemagne
Carburant/énergie
diesel
Prix du neuf
52 900 €
Mécanique
Cylindrée
six-cylindres 3,0 l turbo
Puissance
270 ch de 3 250 à 4 250 tours/min
Couple
600 Nm à 1 500 à 3 000 tours/min
Transmission
intégrale (4×4)
Performances
Vitesse max
bridée électroniquement à 250 km/h
0 à 100 km/h
5,3 s
Consommation
cycle mixte : 4,9 l aux 100 km
Rejets de CO2
129 g/km
Poids et mesures
Poids à vide
1 735 kg
Dimensions
L : 4,73 m / l : 1,84 m / h : 1,43 m
Réservoir
58 litres
Volume de coffre
480 litres
Pneumatiques AV/AR
245/40 R18 – 245/40 R18
Equipements Audi A4 Berline 3.0 TDI 272 ch quattro tiptronic finition Design Luxe
> En série :
Rétroviseurs extérieurs électriques, dégivrants et buses de lave-glace dégivrantes
Applications décoratives en aluminium Ellipse
Volant cuir sport multifonction à 3 branches (avec palettes sur les boîtes automatiques)
Intéressé par l'automobile depuis mon plus jeune âge, je suis le fondateur du site Abcmoteur me permettant de continuer à faire vivre ma passion et à la partager avec vous. Ici, tout sujet peut être abordé, du moment qu'il soit en rapport avec la thématique : l'automobile !
9 Commentaires
dede
sur 1 mars 2016 à 23 h 28 min
Et si, juste une fois dans les années avenir, ils embauchaient un designer ? car la photocopieuse qui sert de bureau de style commence a fatiguer- dans tous les sens du terme- depuis qu’elle a été installée, dans les années 80
Oui en effet, très bel essai qui permet de se faire une idée de l’auto.
Si les autos neuves sont magnifiques, le problème que j’ai rencontré avec Audi, pour avoir été leur clients pendant 10 ans (2 A4 Avt neuves), est la durée des pièces dans le temps et la relation client avec le SAV. J’espère pour eux que les choses ont évoluées dans le bon sens, car de mon côté je file une relation parfaite avec un de leur compétiteurs, SAV inclus, depuis près de 10 ans maintenant. Si je me permet cette remarque désobligeante, c’est parce par delà l’essai d’Adrien je ne perçois plus la marque de la même façon qu’avant, ce quelque soit le produit présenté.
Benoit
sur 27 février 2016 à 8 h 57 min
Inutile de mettre un deuxième commentaire quasi identique. J’ai eu très mauvaise expérience avec le SAV sans compter le tarif horaire de la main d’œuvre.
De la même façon et quelque soit les marques du groupe, je ne vois plus cette marque de la même façon et pour moi, son aura est éteinte.
Quand on se veut être « premium » on doit l’être de partout, y compris dans la politique marketing et de transparence.
Aujourd’hui quand je pense à VAG je me dis : »-dans quoi ils ont pu encore mentir, sécurité, homologation et combien de mensonge allons nous encore découvrir ? »
Pour moi, ce qui est sur et pour l’instant, je me félicite de ne plus être leur client et je reste chez la concurrence. Je ne comprends même pas qu’ils arrivent encore à vendre des voitures neuves compte tenu du contexte.
Adrien Sallé
sur 28 février 2016 à 12 h 59 min
J’ai aussi entendu pas que du bien du SAV Audi. Ils se montreraient très peu conciliants en cas de problème avec son auto… Je comprends très bien Marco que l’on voit les choses différemment une fois que l’on a eu des problèmes avec une marque, les mauvais souvenirs restent parfois longtemps !
Marco74
sur 28 février 2016 à 14 h 07 min
Adrien,
Si je me suis permis ce rappel perso, c’est parce que je crois comprendre qu’ABC Moteur est suivi du côté de Villers-Cotterets.
Merci de donc de sa publication et de ta réponse qui tend à démontrer l’indépendance d’ABC Moteur vis à vis des constructeurs.
PS : Bien que cela remonte un peu, je me tiens à la disposition des services Audi France pour leur fournir toutes explications complémentaires s’ils en exprimaient le souhait.
Adrien Sallé
sur 28 février 2016 à 14 h 37 min
Aucun souci ! Tant que le commentaire est argumenté et pas agressif, ça ne me pose aucun problème.
Je fais toujours attention à garder mon indépendance et mon impartialité qui est un gage de crédibilité auprès de mes lecteurs. C’est très important à mes yeux que vous puissiez lire les essais et autres articles publiés sur Abcmoteur en toute confiance.
Lors qu’il y a un partenariat avec une marque, c’est toujours précisé en début d’article pour ne pas vous tromper.
Comme on dit : c’est difficile de gagner la confiance de quelqu’un, mais c’est encore plus facile pour la perdre ! 😉
Et si, juste une fois dans les années avenir, ils embauchaient un designer ? car la photocopieuse qui sert de bureau de style commence a fatiguer- dans tous les sens du terme- depuis qu’elle a été installée, dans les années 80
Les lignes Audi, froides et inchangées, participeraient-elles de la morosité ambiante ? Il y a les alternatives BMW, Lexus ou Infiniti heureusement.
Super essai surtout la vidéo qui très bien faite.
Merci beaucoup Brendy !
Oui en effet, très bel essai qui permet de se faire une idée de l’auto.
Si les autos neuves sont magnifiques, le problème que j’ai rencontré avec Audi, pour avoir été leur clients pendant 10 ans (2 A4 Avt neuves), est la durée des pièces dans le temps et la relation client avec le SAV. J’espère pour eux que les choses ont évoluées dans le bon sens, car de mon côté je file une relation parfaite avec un de leur compétiteurs, SAV inclus, depuis près de 10 ans maintenant. Si je me permet cette remarque désobligeante, c’est parce par delà l’essai d’Adrien je ne perçois plus la marque de la même façon qu’avant, ce quelque soit le produit présenté.
Inutile de mettre un deuxième commentaire quasi identique. J’ai eu très mauvaise expérience avec le SAV sans compter le tarif horaire de la main d’œuvre.
De la même façon et quelque soit les marques du groupe, je ne vois plus cette marque de la même façon et pour moi, son aura est éteinte.
Quand on se veut être « premium » on doit l’être de partout, y compris dans la politique marketing et de transparence.
Aujourd’hui quand je pense à VAG je me dis : »-dans quoi ils ont pu encore mentir, sécurité, homologation et combien de mensonge allons nous encore découvrir ? »
Pour moi, ce qui est sur et pour l’instant, je me félicite de ne plus être leur client et je reste chez la concurrence. Je ne comprends même pas qu’ils arrivent encore à vendre des voitures neuves compte tenu du contexte.
J’ai aussi entendu pas que du bien du SAV Audi. Ils se montreraient très peu conciliants en cas de problème avec son auto… Je comprends très bien Marco que l’on voit les choses différemment une fois que l’on a eu des problèmes avec une marque, les mauvais souvenirs restent parfois longtemps !
Adrien,
Si je me suis permis ce rappel perso, c’est parce que je crois comprendre qu’ABC Moteur est suivi du côté de Villers-Cotterets.
Merci de donc de sa publication et de ta réponse qui tend à démontrer l’indépendance d’ABC Moteur vis à vis des constructeurs.
PS : Bien que cela remonte un peu, je me tiens à la disposition des services Audi France pour leur fournir toutes explications complémentaires s’ils en exprimaient le souhait.
Aucun souci ! Tant que le commentaire est argumenté et pas agressif, ça ne me pose aucun problème.
Je fais toujours attention à garder mon indépendance et mon impartialité qui est un gage de crédibilité auprès de mes lecteurs. C’est très important à mes yeux que vous puissiez lire les essais et autres articles publiés sur Abcmoteur en toute confiance.
Lors qu’il y a un partenariat avec une marque, c’est toujours précisé en début d’article pour ne pas vous tromper.
Comme on dit : c’est difficile de gagner la confiance de quelqu’un, mais c’est encore plus facile pour la perdre ! 😉