En roulant en Suède pour l’essai de la Skoda Octavia Combi, j’ai été surpris par le nombre de breaks que l’on croise sur les routes. Le parc automobile suédois ne ressemble pas au parc français. En effet, on retrouve beaucoup moins de SUV dans le pays scandinave alors…
Présentée en 2012, l’actuelle GS a eu l’honneur d’inaugurer en série le nouveau design Lexus, très anguleux. Mais les modèles qui ont suivi ont été de plus en plus osés, à tel point que la GS semble désormais toute timide.
Nouvelle face avant
Consciente de cela, la firme japonaise offre un nouveau visage à sa routière, qui peine à se faire remarquer en Europe face aux incontournables allemandes. Ce restylage a un petit air de déjà vu. Normal : Lexus en avait donné un avant-goût en début d’année avec la version sportive F.
La GS “normale” reprend ainsi le nouveau regard inauguré par la F, avec des optiques affinées et des “L” lumineux détachés. La calandre est modifiée : autrefois découpée en deux parties, la forme en diabolo est désormais faite d’une pièce, comme sur les autres Lexus. De quoi donner à la GS un air nettement plus agressif.
Le reste change peu
En revanche, pour le reste de la voiture, c’est le service minimum. Un œil exercé remarquera le nouvel habillage des feux arrière, qui pourrait faire croire que leurs contours ont été modifiés, mais il n’en est rien. Lexus indique aussi la présence de nouvelles jantes, en 18 et 19 pouces, et de teintes de carrosserie inédites.
Même refrain dans l’habitacle. Les changements sont minimes : horloge centrale couplée au GPS pour un ajustement de l’heure automatique, nouvelles décorations, reconnaissance vocale améliorée… L’équipement s’enrichit avec le “Lexus Safety System +”, qui combine de nombreuses aides à la conduite tels que la détection de piétons, l’alerte de franchissement de ligne blanche ou encore le régulateur de vitesse actif.
L’hybride toujours majoritaire
Il y a du neuf sous le capot, avec l’arrivée d’une version 200t. Elle est équipée du nouveau bloc quatre cylindres essence 2.0 turbo, déjà vu sous le capot du SUV compact NX. Ce moteur développe une puissance de 245 ch et le couple maxi est de 350 Nm. Il est envoyé aux roues arrière.
Cependant, Lexus n’a pas encore indiqué si ce modèle serait proposé en France, la marque misant davantage sur l’hybride chez nous. Deux versions combinant essence et électricité sont disponibles : 300h et 450h, avec des puissances cumulées de 223 et 345 ch.
Les Designers nippons auraient-ils interprété au premier degré l’expression ” Elle a de la gueule ! ” ? Le probloc de ce gobe-mouches c’est que le moulbif qui est derrière risque de se faire enrhumer au premier feu rouge. C’est un peu contradictoire et inutile en effet car Lexus a bien d’autres arguments à revendiquer face au triumvirat teuton… Et je sais de quoi que je cause ;-)))
Intérieur toujours aussi insipide, calandre déjà bien trop imposante qui a encore été élargie… Lexus prend la mauvaise pente, il faut revenir sinon Jaguar va les bouffer tout cru !
c’est le coup de poker .. mais de trop ! je doute que les acheteurs audi/mercedes tombent dans sa gueule grande ouverte .. malgré d’indéniables qualités .