Les boîtes manuelles sont maintenant considérées par un ensemble de personnes comme ringardes, désuètes mais fort heureusement de l’autre côté les passionnés continuent de faire vivre cette transmission. C’est le cas de Toyota qui dévoile à présent une version à boîte…
Tout comme sa devancière la Gallardo, l’Huracan a le droit à sa version découvrable. C’est à Francfort que Lamborghini a choisi de la révéler, de quoi combler les amateurs de promenade rapide cheveux au vent…
Pour apprécier pleinement le V10 atmosphérique
La Lamborghini Huracan aura donc pris un peu moins de 2 ans pour perdre son toit. Une bonne nouvelle pour les intéressés par les modèles découverts du Taureau, mais qui n’auraient pas pu s’offrir la surpuissante Aventador SV Roadster dont le prix se situe aux alentours des 400 000 €… soit une somme correspondant à environ deux Huracan Spyder.
Alors que les Ferrari 488 Spider et McLaren 650S utilisent un toit rigide rétractable, la cousine de l’Audi R8 Spyder fait appel à la toile lorsqu’elle souhaite se couvrir. Cela se traduit par un poids en hausse de 120 kg pour un total correct de 1 542 kg. Ainsi, les 610 ch issus du V10 5,2 l emmènent sans peine l’Italienne aux 100 km/h en 3,4 petites secondes. A noter qu’il est possible de se décoiffer jusqu’à 324 km/h… Pour actionner la capote, il faudra patienter 17 secondes et la déclencher à une vitesse de 50 km/h maximum.
Lamborghini profite de cette déclinaison pour faire bénéficier au cabriolet au coupé de petites optimisations. Ainsi, un stop & start fait entrée afin de couper le moteur à l’arrêt et 5 des 12 cylindres peuvent se désactiver selon les conditions afin de là aussi diminuer la consommation de carburant. Enfin, la gestion de la transmission intégrale a été modifiée.
L’intérieur est original est propre à Lamborghini, mais il est peut-être un peu surchargé de boutons…
Il ne vous reste maintenant qu’à passer commande et de profiter des vocalises de celle qui sera sans doute la dernière génération à être dotée d’une mécanique non suralimentée…
Tout gamin déjà je poussai mes Dinky Toys en m’imaginant tel un agent de sa majesté en mission périlleuse poursuivi par des méchants, au volant du cabriolet à travers les rues monégasques, le coude à la portière, costume blanc trois pièces, nœud papillon et coiffure impeccable, affichant un sourire ravageur.
Few years later…
Et bien ce soir je m’offrirai volontiers une tranche de ce concert symphonique à dix cuivres disposés en V à 90° et quarante pistons donné dans les arènes de Sant’Agata Bolognese, avec ou sans toi(t), dussé-je y laisser tout mon solde de points annotés sur mon petit carnet rose…
Voilà, petite fille de Ferruccio au prénom d’un taureau andalous et aux yeux plus bleus que l’azurro, à genou sous ton balcon, je te déclare ma flamme !
Euh, papa Noël si tu entends ma sérénade…