Les boîtes manuelles sont maintenant considérées par un ensemble de personnes comme ringardes, désuètes mais fort heureusement de l’autre côté les passionnés continuent de faire vivre cette transmission. C’est le cas de Toyota qui dévoile à présent une version à boîte…
Déjà mal en point, DS s’apprête à affronter des années 2016 et 2017 difficiles. La nouvelle marque premium du groupe PSA, officiellement détachée de Citroën en juin 2014, est en manque cruel de nouveautés.
La fin des DS à chevrons
Avant l’arrivée d’un véhicule vraiment inédit, un SUV urbain, d’ici 2018, elle doit se contenter de vivre avec trois autos qui ont le plus grand mal à cacher leur âge. Pour vraiment marquer la scission avec les Chevrons, DS s’est tout de même activé pour greffer « sa » calandre sur des véhicules qui n’étaient pas conçus à la recevoir.
L’opération chirurgicale a commencé en février 2015 avec la DS 5, dernière arrivée chez nous mais première servie car considérée comme le porte-drapeau de la firme. Le résultat est plutôt bancal. Le lifting s’est mieux passé sur la DS 4 mais DS s’est contenté du minimum, souhaitant investir le moins possible dans un modèle déjà condamné. Aujourd’hui, voici venu le tour de la DS 3. Avec sa refonte, la gamme européenne tourne définitivement la page Citroën, sept ans après la présentation du premier concept-car. Surprise, la DS 3 cru 2016 a le droit à un sacré privilège.
Deux calandres pour trois modèles
La citadine de la marque inaugure en effet en série le nouveau visage de DS, avec une grande calandre qui fait immédiatement songer à la Singleframe d’Audi. Cette bouche, qui relie les optiques et est dotée de curieuses moustaches en partie basse, a été vue pour la première fois sur le concept Divine dévoilé en septembre 2014 et qui posait les bases du nouveau design DS.
Voilà qui personnellement me laisse sans voix. La nouvelle signature esthétique de DS est inaugurée sur un restylage digne d’un bricolage. Surtout, l’auto arrive seulement cinq mois après la DS 4 restylée. Les nouvelles DS 4 et 5 ont moins d’un an… mais on peut considérer qu’elles ne sont plus dans le coup. C’est incompréhensible. DS aurait mieux fait d’attendre un vrai nouveau modèle pour la nouvelle calandre.
D’autant que comme pour les autres replâtrages, la nouvelle calandre est glissée au milieu d’une face avant qui par ailleurs ne change pas et ne se trouve donc pas taillée pour elle. Voilà qui donne à l’ensemble un aspect surchargé, voire clinquant. Le reste de la voiture ne bouge pas. Pas étonnant, il est plutôt toujours dans le coup. Et puis il ne faut pas bouleverser la seule DS qui se vend bien chez nous !
La Racing devient Performance
DS indique que la palette de coloris accueille un nouveau Rouge Aden et une teinte de toit inédite, le Brun Topaze. A bord, pas de modification si ce n’est de nouvelles selleries et décors. Pas de bouleversement sous le capot. Là, c’est pardonnable car l’auto a bénéficié au cours des derniers mois des nouveaux blocs PSA PureTech et BlueHDi. DS signale quand même l’arrivée du PureTech 130 ch.
Plus intéressant, la version Racing est mise à jour, profitant des avancées vues sur la cousine 208 GTi. La puissance du 1.6 THP monte ainsi à 208 ch et un différentiel à glissement limité Torsen est monté sur le train avant. A noter que l’appellation Racing est abandonnée au profit de « Performance » du nom de la division sportive de la marque, qui est engagée en Formule E.
L’auto arrivera dans les concessions en mars.
Bah, je ne comprends pas trop cet article. Je trouve pas cette voiture si moche. J ai vu pire… Et puis la marque DS n a que deux ans. Attendons les futurs modèles qui seront de vraies DS et pas des Citroën maquillées. Rome ne c est pas faite en un jour.
Personnellement je la trouve sympathique même si je ne suis pas un adepte des grosses calandres type Audi ou Lexus mais les goûts et le couleurs sont le propre de chacun, vous semblez l’oublier. Cependant force est de constater que Audi et Lexus sont d’une prétention que n’a pas la DS. A ce titre, d’ailleurs, votre rôle n’est pas de donner votre avis sur l’esthétique d’un modèle pendant les trois quarts de votre article mais de le présenter globalement sans oublier les points techniques. L’arrivée du Puretech 130cv ne fait qu’une ligne, c’est très représentatif de votre bafouille…….
tout à fait d’accord avec vous !
Citroën mise un peu trop sur la Chine et met de côté la France… Et la gamme DS qui était sensée être la vitrine de la gamme « haute » n’est devenue que l’ombre d’elle-même ! Une DS3 vieillissante (un comble, la C3 sera renouvelée avant la DS3, ça va faire un peu bizarre d’avoir un modèle soi-disant essentiel plus moderne que celui qui se veut huppé dans la gamme DS), une DS4 qui a dû gérer pendant longtemps un positionnement avec le cul entre deux chaises (coupé ? Suv ? on savait pas trop), maintenant ils proposent deux solutions bien distinctes, mais pas de miracles, on sent bien l’intérieur de C4 par exemple, et la DS5 a toujours peiné à convaincre (malgré, il faut bien le dire, une audace que j’ai toujours trouvé rafraîchissante !). A côté de ça à part la C1 renouvelée il y a peu et le C4 Cactus, il y a quoi qui reste ? Une C3 en fin de vie, un C3 picasso dont on ne parle jamais, une C4 qui semble un peu trop sage, et une C5 qui tire encore sur la corde comme elle peut. Il reste le C4 picasso, mais ça fait un peu peu d’avoir si peu de modèles vraiment représentatifs dans une gamme ! La chine par contre a droit à une DS4 LS et un suv DS6 totalement inconnu en France…
On voit bien que depuis l’arrivée des asiatiques la maison historique de Javel n’a plus les coudées franches, notre Déesse (DS) n’est plus que l’ombre d’elle-même, et comme le dirait J.P Smet himself, « à queu j’en jauni rien qu’à l’idée (ID) ».
C’est un pan de l’industrie automobile française qui part, Flaminio Bertoni, André René Lefebvre, Paul Magès et Fantomas, doivent s’en retourner dans leurs tombes.
allez allez ! on y croit .. pourtant ces gens étaient » chevronnés » .
J’avoue faire de la simple spéculation mais je suis prêt à parier un petit billet que Hyundai va en mettre, LUI, un (très) gros pour développer sa marque premium Genesis.
Ici, désolé d’être cruel, mais c’est du travail d’amateur que fait PSA ou pis, du travail d’un constructeur fauché. Je sais que DongFeng a des sous mais, d’après ce que j’ai compris, DS est assemblé par un autre Chinois en Chine, Chang’An si je ne m’abuse, ceci doit expliquer celà. Il va falloir vite éclaircir la situation sur ce point car la crédibilité de la marque en dépendra.