C’est sur le circuit Paul Ricard au Castellet qu’Audi nous a invités pour célébrer les 90 ans de la marque. Mais l’anniversaire de la réunion des 4 anneaux fut aussi le prétexte pour rappeler à tous, notamment aux trois du fond qui auraient oublié, qu’Audi rime avec…
Nul besoin d’interroger un passionné d’automobile pour trouver quelqu’un connaissant la Ford Mustang. Cette icône de l’automobile américaine est connue de tous. Et pourtant, ce n’est qu’après 50 ans de carrière et plus de 9 millions d’unités produites que la sixième génération de ce modèle se décide à être vendue officiellement en Europe, à la fois en coupé et en cabriolet !
Voici un événement qu’Abcmoteur ne pouvait pas manquer ! Pour connaître nos impressions sur la nouvelle ‘Stang, découvrez notre essai après avoir effectué un road trip reliant Paris à Deauville !
Attire-t-elle toujours les regards ?
Lors de sa présentation officielle, la Ford Mustang avait quelque peu surpris son monde en dévoilant une plastique moins intimidante et musclée pour des lignes plus raffinées, mais aussi nettement plus modernes. Faisons donc un petit tour du propriétaire…
Bien sûr, l’avant conserve un long capot bombé et l’on a aucun mal à deviner de quelle auto il s’agit. Toutefois, ces petites optiques effilées surprennent sur une Mustang qui est d’ordinaire assimilée à de gros blocs optiques de forme circulaire. Les plus attachés au dessin la mouture précédente se rassureront en constatant que la calandre d’apparence similaire exhibe toujours fièrement un mustang en train de galoper !…
Si de profil la métamorphose est moins évidente, on remarque tout de même là aussi une allure moins virile, ainsi que des traits moins marqués, à l’exception des ailes arrière donnant l’impression d’être plus volumineuses sur la dernière génération. L’aspect fastback se caractérisant par un coffre intégré dans le prolongement de la ligne de toit est évidemment toujours présent. Petit changement, mais pas anodin, les custodes ne sont plus séparées des vitres avant ! En outre, Ford livre de série des jantes de 19 pouces spécifiques au coupé et au cabriolet.
La poupe conserve ses jolis feux en trois parties indissociables de la personnalité de cette pony car. Pour le reste, le bouclier et la double sortie d’échappement intégrée dans un diffuseur jouent la carte de la sobriété. On notera aussi sur le coupé l’intégration discrète du troisième feu stop en haut de la lunette.
En définitive, que penser du nouveau look offert à la Mustang VI ? Pour ma part, je pense que ce style marque une rupture en abandonnant cette allure massive que l’on connaissait jusqu’à présent. Cela étant, ce nouvel opus a été élargi (1,91 m de large !) et rabaissé (1,38 m pour le coupé) pour garder cette forte présence qui se ressent toujours malgré un caractère moins agressif. La recette semble fonctionner, puisque les passants ont dans leur grande majorité tourné la tête à son passage !
Une finition « américaine » ?
Une fois à l’intérieur, les amateurs ne seront pas dépaysés. La planche de bord est massive et présentée de façon typiquement américaine.
Le volant assez fin à trois branches ne diffère pas beaucoup, les compteurs sont toujours enchâssés dans des fûts et les deux excroissances sur les extrémités de la planche de bord – dont une bonne partie reprend l’apparence de l’alu – sont bien au rendez-vous. Les différences les plus importantes concernent la forme des aérateurs et la présentation de la console centrale qui a perdu quelques boutons au passage, sans pour autant devenir un modèle de simplicité.
Ford dote sa Mustang généreusement : climatisation bi-zone, sellerie cuir, écran 9 pouces multimédia SYNC 2, alarme périmétrique, nombreux airbags, …
La grande question est de savoir si Ford a aligné la qualité de finition sur les standards européens ? Mon avis est que des efforts importants ont été réalisés, l’intérieur de la Mustang V prend un sérieux coup de vieux. La nouvelle Mustang possède des matériaux corrects et à première vue on peut espérer que les plastiques vieilliront plutôt bien sans craquer à chaque déformation de la chaussée. Cela dit, un petit effort sur le revêtement du tunnel de transmission et sur les touches type aviation aurait été bienvenu.
Pour le reste, que ce soit les sièges classiques au dessin enveloppant ou les baquets Recaro, dans les deux cas ils sont en cuir et le maintien est très satisfaisant, tout comme le confort est d’un bon niveau. Avec ce joli volant et ce tout petit levier de vitesse manuel, il me tarde de mettre le contact !…
Le catalogue des options est simple : un pack premium à 2 500 € (GPS, radars de stationnement arrière, 12 haut-parleurs, garnitures et tableau de bord spécifique, sièges climatisés, …) et quelques options indépendantes telles que les sièges baquets Recaro à 1 800 €
Deux Mustang aux caractères opposés
Lors de ces deux jours en compagnie de la Ford Mustang, j’ai pu à la fois tester les versions cabriolet et coupé. Dans le premier cas, la motorisation était le quatre-cylindres EcoBoost et dans le second l’incontournable V8 5,0 l. Vous allez voir que ce sont deux philosophies franchement différentes…
Le convertible EcoBoost pour le plaisir de cruiser
La découverte de la première Mustang importée en France débute donc par le cabriolet. Notre exemplaire est garé dans les profondeurs du parking de la porte Maillot. Le premier challenge est de placer l’énorme museau sur les voies étroites permettant d’atteindre la sortie. A certains moments le fait de voir uniquement le capot est assez intimidant, surtout que le bouclier avant ne possède pas de radars de stationnement ni de caméra, même en option. Cela étant, les manœuvres se déroulent sans accrocs. La direction démultipliée aidant.
Une fois dans la circulation dense de la capitale, la Mustang Convertible surprend par sa douceur de suspension, c’est à peine si l’on ressent les pavés. Le freinage se révèle un peu trop assisté. Il suffit d’effleurer la pédale pour freiner un peu (trop) fort. Le reste des commandes est agréable à manipuler. Son gabarit imposant (4,78 m de long) pas vraiment taillé pour la ville ne nous incite pas à nous attarder dans la circulation, place aux voies rapides !
Décapotée à 120 km/h, voire 130 km/h, l’Américaine ne secoue que très peu ses passagers et ce malgré l’absence de filet anti-remous. Seules les personnes installées aux places arrière, plutôt spacieuses et confortables pour un cabriolet, sont plus exposées.
Pour ce qui est de l’agrément mécanique, ce quatre-cylindres 2,3 l turbo (à double entrée) de 317 ch et 432 Nm de couple offre des performances loin d’être ridicules. La poussée est forte (seulement 5,8 s au 0 à 100 km/h), mais linéaire (toute la puissance est disponible à 5 500 tr/min) décevra les amateurs de mécaniques vivantes. Néanmoins, on se consolera par les relances franches (le couple maxi est disponible de 2 500 à 4 500 tr/min), ainsi que la boîte de vitesse ferme aux débattements courts et aux verrouillages précis qui est un véritable régal à utiliser.
Sur petites routes, l’auto n’aime pas être bousculée. La suspension pompe au passage des rapports, la direction manque de précision et la rigidité du châssis est perfectible. Grâce aux différents modes de conduite, on peut améliorer l’ambiance sonore (dont une partie est synthétisée) et rendre le volant plus ferme, mais la vocation de la Mustang à toit en toile est de cruiser – le bon système audio laissant envisager de sympathiques virées –, pas d’attaquer dans le sinueux. Son poids de 1 715 kg (pourtant en baisse) ne jouant pas non plus en sa faveur.
Le fastback GT pour les sensations
Passons maintenant aux choses sérieuses ! Dès la mise en route du moteur, la Mustang GT vous transpose dans son univers mécanique propre avec la sonorité typique de son V8 cubant à 5,0 l de cylindrée… Tout comme sur la Convertible, on retrouve ce petit levier de vitesse au maniement parfait maintenant associé à un bloc apportant encore plus d’agrément grâce à une onctuosité que l’on obtient uniquement sur les motorisations atmosphériques.
L’autre bonne surprise vient du châssis ! Nous pouvons enfin faire davantage corps avec l’auto ! L’ensemble est plus rigide, la suspension plus ferme tout en préservant un peu de confort et la direction semble avoir été améliorée dans la foulée. Le Fastback V8 est-il pour autant capable de partir à l’attaque de petites routes ou est-il cantonné à faire parler la puissance en effectuant de grandes accélérations en ligne droite sur une 2×2 voies ?
Les Mustang européennes reçoivent de série le Pack Performance comprenant les étriers à 4 pistons (étriers Brembo à 6 pistons avec le V8), jantes 19 pouces, différentiel à glissement limité, …
Pour ce dernier exercice, Ford a tout prévu, car un mode launch control permet de réaliser des départs canons et un autre mode appelé line lock donne la possibilité de bloquer les roues avant et ainsi de faire chauffer le train arrière pour réaliser un burnout !… Les 421 ch disponibles à 6 500 tr/min et le couple phénoménal de 530 Nm à 4 250 tr/min offrent des performances de premier ordre (0 à 100 km/h en 4,8 s). Les modes de conduite sont aussi disponibles à l’envie.
Un des avantages de la Mustang est de ne pas trop estomper la sensation de vitesse derrière son volant contrairement à la majorité de la production automobile actuelle. Ainsi, sur un parcours sinueux, il est possible de s’amuser sans atteindre des allures inavouables tout en restant à un régime de 4 000 tr/min et plus afin de profiter au maximum de bruit rageur de la mécanique. On regrette seulement que le pédalier ne se prête pas mieux au talon-pointe, ce qui est pourtant un jeu amusant avec ce type de bestiau…
Le comportement routier se révèle sécurisant et en cas de besoin les aides électroniques veillent au grain. Il reste tout de même un peu difficile avec cette prise en main de ressentir les limites de la voiture, mais l’arrivée de la suspension arrière indépendante contribue à rendre l’auto plus agile et plus proche de ce qu’on a l’habitude de conduire en Europe.
Ce qu’il faut en retenir
Les plus | Les moins | ||
– le prix ! – le V8 atmosphérique – la finition en net progrès – la boîte manuelle aux petits oignons – le design modernisé avec succès |
– le châssis trop mou du cabriolet – la consommation de carburant – le manque de caractère de l’EcoBoost – la direction pas assez directe |
Sans concurrence ?
Au terme de cet essai, on peut se dire que Ford arrive sur le marché des coupés typés grand tourisme avec une offre atypique en proposant sa Mustang à la fois en coupé et en cabriolet avec le quatre-cylindres ou le V8 à un prix défiant toute concurrence.
Vendue à partir de seulement 35 000 € en Fastback EcoBoost et 5 000 € de plus en choisissant le V8, même en ajoutant le super malus de 8 000 € l’Américaine ne peut trouver une rivale aussi puissante s’échangeant à un tarif équivalent. Pour cette somme, on obtient une BMW 428i de 245 ch. Pour disposer de plus de 400 ch, il faudra opter pour le M4 et ses 431 ch vendus 82 300 €… Il est vrai que l’Allemande est autrement plus efficace comme nous avons pu le voir lors de notre essai.
Certes, Ford ne livre pas une mouture exempte de défauts et particulièrement économe en carburant (11 l de moyenne en 317 ch et 17 l en 421 ch). Néanmoins, on accède à une auto mythique sans casser sa tirelire. Les chiffres des premières commandes en France semblent donner raison à l’Ovale bleu !…
Fiche technique Ford Mustang Fastback GT 5,0 l V8 421 ch BVM6
Informations générales |
|
Commercialisation | mai 2015 |
Pays | Etats-Unis |
Carburant/énergie | essence |
Prix du neuf | 40 000 € |
Mécanique | |
Cylindrée | huit-cylindres 5,0 l atmosphérique |
Puissance | 421 ch à 6 500 tours/min |
Couple | 530 Nm à 4 250 tours/min |
Transmission | arrière (propulsion) |
Performances | |
Vitesse max | bridée électroniquement à 250 km/h |
0 à 100 km/h | 4,8 s |
Consommation | cycle mixte : 13,5 l aux 100 km |
Rejets de CO2 | 299 g/km |
Poids et mesures | |
Poids à vide | 1 720 kg |
Dimensions | L : 4,78 m / l : 1,91 m / h : 1,38 m |
Réservoir | 61 litres |
Volume de coffre | 408 litres |
Pneumatique AV/AR | 255/40 R19 – 255/40 R19 |
Lisez aussi : la Ford Mustang V GT à l’essai !
Bonjour, j’ai toujours adoré cette voiture. Je compte bien en acquérir une dans 1 an ou 2. Mon seul soucis est de choisir entre l’ecoboost ou le V8. Sachant que ce sera plus une voiture pour le week-end end ou pour les vacances généralement au Portugal 1600 km aller.
Bonjour,
Aujourd’hui seul le V8 est disponible au catalogue si vous voulez l’acheter neuve. En occasion la question peut se poser. Si votre budget le permet et que vous voulez juste une voiture sympa peu importe la conso, moins importante dans le cadre d’une utilisation plaisir uniquement, le V8 est tout indiqué rien que pour son joli bruit. La version 4-cylindres marche déjà très bien et rend la voiture un peu plus légère et agile, mais elle est vraiment moins spéciale et enivrante. Dans un cas comme dans l’autre, la boîte manuelle est vivement conseillée.
Je n’ai essayé (trop rapidement ) que le modèle ecoboost mais je suis vraiment très intéréssé par le coupé V8. Une petite interrogation toutefois : la sonorité du V8 si envoutante sur quelques belles accélérations reste-t-elle supportable sur longs trajet (avec épouse) type 400 bornes sur autoroute à vitesse légale ou alors bouchons auditifs + doliprane indispensables
Bonjour Wally, la sonorité du V8 n’est pas excessive. Vous ne risquez pas d’être incommodé, y compris sur long trajet, à moins d’avoir en permanence le pied lourd. Ne vous faites pas de souci. 😉
Merci bcp de votre réponse.
Pourraient-ils retravailler urgemment le son de l’ecoboost ? Parce que du point de vue « marketing » , ça craint vraiment ! Pouvez-vous transmettre ce message svp ?
Sinon, belle bagnole ❤️
Dernier point : à votre avis, une personne de 1,80 m peut-elle « tenir » raisonnablement environ 200 kms à l’arrière ?
Et question subsidiaire : combien de cm gagne-t-on précisément, toujours à l’arrière, en garde au toit avec le cabriolet par rapport au coupé ?
Achat envisagé, merci de votre aide !
Bonjour, il est vrai qu’un travail sur l’échappement de l’EcoBoost ne serait pas de trop. J’espère qu’ils auront résolu ce point sur la Focus RS. 🙂
A l’arrière, il ne faut pas dépasser les 1,75 m, autrement ce sera vraiment pas agréable pour la tête et les genoux. Pour le cabriolet, cela doit être légèrement mieux.
Le mustang serait le cheval mutant de celui amené par les conquistadors, redevenu à l’état sauvage.
Les yeux droits dans le regard et la bouche du big block, les pupilles et les crocs du Cobra prêt à bondir, m’apparaissent soudain…
S’agit-il d’une mutation génétique latente, prêt à mordre carrément dans flancs viperesques des Dodge Brothers dont les modèles ne sont désormais plus commercialisés sur notre vieux in-continent ?
Gare au coup de bélier !
Avec leur « line lock » spécial dragster, ces ricaines sont les seules à pouvoir enfumer à l’arrêt et au sens propre toute la production mondiale; Bon ça youze un peu les tyres, mais moi je dis « chapeau » les Yankees ! Yippee !!!
C’est exactement ça ! C’est totalement inutile, mais aussi complètement indispensable. 😀
mon commentaire a disparu et donc modéré alors que je n’ai rien écrit de mauvais et d’insultant ou autres brisant une charte.
J’ai juste écrit un avis différent des autres commentaires soit un avis négatif et mais bien réel appuyé de faits.
Alors je me demande combien avez vous été payé par ford pour supprimer tout avis négatif sur cette mustang.
Si mon commentaire précédent réapparait, veuillez ne plus tenir compte de cet écrit.
Cette mustang va bien se vendre cette année car c’est une nouveauté mais ce sera
certainement bien différent comme la camaro dont les ventes se sont effondrés progressivement.
Le prix ne fera pas tout et il faudra bien qu’elles progressent beaucoup toutes les deux(mustang et camaro) en terme de poids et de moteur et de consommation et de confort et d’habitabilité et options possible comme les 4 roues motrices pour se mettre en phase avec la demande européenne 2015 et future.
Bonsoir Mike, il y a aucun problème pour que chacun expose son avis sur Abcmoteur. 🙂
Vous n’avez pas tord en critiquant les performances de la Mustang. Toutefois, on achète pas cette auto pour avoir un moteur dernier cri ou d’autres technologies équipant des modèles bien plus onéreux. La Mustang est un style de voiture particulier, avec beaucoup de charme. La dernière génération s’est nettement améliorée par rapport à sa devancière, vous devriez aller faire un tour en concession pour en prendre son volant. 😉
Bien à vous.
Que de la gueule cette voiture.
Elle a 200 a 250 kg de trop et des performances au rabais donc a comparer avec des voitures nettement moins puissante.Une 428i est plus performante que la ford
mustang de 2,3 l turbo de 314 ch.Et que dire des performances du V8 de 418 ch bien mauvaise pour cette puissance.
Donc le tarif n’apparait donc plus si intéressant, elle est grande en gabarit mais avec une habilité au rabais digne d’une compacte familiale de 4,40 m, la honte.
Un vrai bout de bois en plus, maintenant les gt sont aussi confortable et performante et ce n’est pas le cas ici.
Elle a un beau design, une gueule et un prix, c’est tout, le reste est digne des
anciennes bagnoles américaines de réputation même si elle a un meilleure finition.
Elle consomme aussi beaucoup trop pour du 2015.
Donc c’est bien que cette mustang vienne chez nous mais cette mustang et la
camaro doivent encore beaucoup progresser et surtout maigrir et avoir une meilleure habitabilité pour offrir enfin des modèles intéressant pour beaucoup plus de monde en Europe.
Et les V8 d’ancienne génération atmosphérique doivent aussi disparaitre rapidement au profit de V8 turbo qui auront la même musicalité si travaillé(V8 biturbo amg,V8 biturbo audi,etc) mais les performances en plus.
Il serait aussi temps que les américaines puissent avoir au moins l’option roues motrices, car cela plait beaucoup, bmw et mercedes l’ont bien compris avec succès et l’augmentation constante des ventes des roues motrices sur les berlines sportives et mêmes diesel , y en a marre de ne pas pouvoir profiter de ses voitures sous la pluie ou autres mauvaises conditions.
Le bruit du 2,3 l turbo a été spécialement massacrés pour orienté les ventes sur le V8.
La ford focus rs sera d’ailleurs sera nettement plus performante dans tous les domaines et aussi jouissive avec 4 roues motrices, bien dommage que la version 3 portes disparaissent, snif.
J’en veux une !
Voilà, c’est dit !
JE VEUX LA FASTBACK ! SHUT UP AND TAKE MY MONEEEEEY !!!!
😀
Merci pour cet article fort intéressant.
Un petit doute sur la conso quand-même…
J’ai moi-même une Mustang GT 5.0 (MY 2011) équipée des rapports de boîte courts.
En conso moyenne, je suis plus à 12-14 l / 100 km (conduite cool / normale avec quelques accélérations quand il faut).
Sur un parcours autoroutier Luxembourg – Strasbourg, en respectant scrupuleusement les limitations de vitesses et sans faire d’accélérations violentes, notamment aux péages, je suis arrivé à 9 l / 100 km, conso réelle calculée sur un plein d’essence.
Pour info, j’avais avant une Skoda Fabia RS 1.4 (180 cv). Sur le même parcours, j’avais consommé 7 l / 100 km. Donc entre un 4 pattes 1.4 180 cv et un V8 5.0 420 cv, il n’y a que 2 litres d’écart sur ce genre de parcours !!
Evidemment, dès qu’on devient violent avec l’accélérateur, la conso s’envole. Pour info, sur une session de circuit à Spa Francorchamps, j’étais à 36 l / 100 km (données de l’ordinateur de bord).
Peut-être que le moteur de votre Mustang d’essai n’était pas encore rodé, ce qui explique la sur-consommation.
Néanmoins, ce V8 balaie d’un coup tous les préjugés sur les moteurs US : puissance spécifique (420 cv pour 5.0 l de cylindrée) et consommations sont tout simplement exceptionnels.
Cordialement,
Robby
Bonjour Robby,
merci pour votre retour d’expérience ! Pour tempérer notre consommation, on a eu une conduite ponctuée de beaucoup d’accélérations, mais j’étais quand même étonné de voir que sur autoroute la consommation baissait à peine. Il aurait fallu remettre à zéro l’ordinateur de bord pour mieux apprécier la soif du V8. 😉