En roulant en Suède pour l’essai de la Skoda Octavia Combi, j’ai été surpris par le nombre de breaks que l’on croise sur les routes. Le parc automobile suédois ne ressemble pas au parc français. En effet, on retrouve beaucoup moins de SUV dans le pays scandinave alors…
Tout change pour la Série 1. La plus petite des BMW adopte une nouvelle base technique qui entraîne une profonde évolution du style.
On efface presque tout et on recommence ! Pour la troisième génération de la Série 1, BMW est parti d’une feuille blanche. Ou plutôt d’une nouvelle base, qui a de grosses conséquences sur le look et la philosophie du modèle. Pour faire des économies d’échelle, la compacte bavaroise reprend la plate-forme des dernières Mini, des monospaces Série 2 et du X2. La voiture abandonne la propulsion et devient ainsi une traction. Mais ce n’est pas un souci pour BMW, qui indique que peu de clients de la 1 savaient qu’ils avaient une propulsion ! De plus, les moteurs sont maintenant en position transversale.
Ce changement technique apporte une révolution esthétique. La Série 1 change complètement d’allure. Clairement, avec une partie avant raccourcie, elle perd sa personnalité, avec une silhouette plus conventionnelle. On lui trouve d’ailleurs un surprenant côté « monospacisant ». Cette impression vient surement de la position inclinée des optiques et du dessin plongeant du vitrage latéral. La Série 1 ne fait d’ailleurs pas dans la finesse, comme en témoignent les gros haricots de la calandre, avec une drôle de cassure dans leur partie haute. A l’arrière, si les feux sont fins, ils vont loin sur le hayon, désormais encombré de la plaque d’immatriculation.
Un modèle plus accueillant
La Série 1 semble avoir grossi. Pourtant, elle perd quelques millimètres en longueur. Elle mesure 4,32 mètres. L’empattement a même perdu 20 mm. Une mauvaise nouvelle pour l’habitabilité, déjà peu généreuse ? Non, car BMW promet au contraire du progrès, avec 33 mm de plus pour les jambes des passagers arrière. A ce niveau, la garde au toit progresse de 19 mm. La capacité du coffre grimpe de 20 litres, à 380 litres.
A l’avant, on trouve une planche de bord dans la continuité des dernières réalisations de la marque. Il y a les fondamentaux de BMW, notamment la console centrale orientée, avec les dernières évolutions, comme l’écran tactile proche de l’instrumentation. Celle-ci peut être 100 % numérique sur les versions hautes. L’écran central fait 8,8 ou 10,25 pouces. La présentation est toutefois chargée, avec des éléments décoratifs qui semblent superflus.
Plus de six cylindres
Cinq moteurs seront proposés au lancement. En essence, la voiture fera le grand écart avec la 118i de 140 ch et la M135i xDrive de 306 ch. Cette dernière sera équipée d’un quatre cylindres 2.0, la nouvelle architecture n’étant pas compatible avec des six cylindres (autre petite révolution pour la Série 1). En diesel, il y aura les 116d, 118d et 120d de 116, 150 et 190 ch. La 120d aura d’office les quatre roues motrices et la boîte automatique à 8 rapports.
Côté équipements, on retrouve des dispositifs vus sur la dernière Série 3, comme l’assistant personnel qui apprend à connaître vos habitudes et vos préférences, les commandes vocales, l’aide à la marche arrière automatique ou encore l’accès par smartphone. Le lancement en France est prévu pour le 26 septembre. Le prix de base est de 27.150 €.
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