Land Rover est une marque spécialisée dans véhicules les tout-terrain. Particulièrement les luxueux 4×4. La marque britannique n’est donc pas un constructeur avec une gamme de véhicules électriques, pour l’instant en tout cas. Effectivement, le constructeur va prochainement lancer le nouveau Ranger Rover électrique. Ce que l’on sait déjà sur Abcmoteur
Un luxueux véhicule électrique
Chez Land Rover, le confort est de mise. Le constructeur profite des particularités de l’électrique pour faire du prochain Land Rover Range Rover électrique, « le Range Rover le plus silencieux et le plus raffiné jamais créé ». L’habitacle est annoncé comme très confortable en raison de la plateforme électrique du véhicule.
Il est aussi précisé qu’un soin particulier a été apporté à la conception sonore. Les longs voyages en Range Rover électrique devraient être reposants.
Toujours de bonnes capacités en tout-terrain
Le Land Rover Range Rover électrique a été essayé dans des conditions extrêmes. Face au froid polaire qui règne en Suède ou contre les chaleurs étouffantes autour de Dubaï. De plus, il a dû affronter des passages de gué jusqu’à 850 mm à une vitesse de 50 km/h. Bien que confortable, le premier Land Rover électrique n’oublie pas ses origines.
Des réservations déjà ouvertes
Les réservations du prochain Land Rover Range Rover électriques sont dès à présent ouvertes. Elle devrait permettre aux plus impatients de se balader fièrement au volant du tout premier véhicules électriques de la marque. Les livraisons se feront en 2024.
Décidément, les Anglais ne font vraiment rien comme tout le monde. Non seulement ils roulent du mauvais côté de la route, mais en plus ils osent bousculer les codes établis ! Un 4×4 de luxe capable de grimper aux arbres ? Ils l’ont fait. Un SUV 3 portes ? Aussi. Qu’entends-je ? Un SUV décapotable ?! Land Rover persiste et signe, avec l’Evoque Cabriolet. C’est à Courchevel que j’ai pu en prendre le volant, et malgré la température extérieur proche de 0, il ne m’a pas laissé de glace.
Bad Boy
Mon premier contact avec le petit dernier de Land Rover m’a fait forte impression. L’Evoque Cabriolet est un concentré de nervosité et affiche un design ultra agressif de la proue à la poupe. Les phares effilés dispose d’une belle signature LED, le bouclier avant exhibe pléthore de prise d’air (certaines sont factices) et avec l’option Black Pack, l’entourage de calandre est peint en noir, au même titre que les prises d’air présentes sur le capot et les ailes et que le diffuseur. De quoi joliment contraster avec le Orange Phoenix de la carrosserie.
De profil, l’affiliation entre l’Evoque Cabriolet et son faux jumeau coupé saute aux yeux : enlevez simplement le toit de ce dernier et les deux sont virtuellement identiques ! Seul le spoiler sur la malle est spécifique à la version découvrable. Toutes les voitures disponibles étaient en finition haute HSE Dynamic et disposaient de jantes de 20 pouces noir satiné. A l’arrière enfin, le sentiment de déjà vu persiste, rien ne change sur le cabriolet.
La gamme Evoque est de mon point de vue une réussite stylistique, la version cabriolet apportant ce petit côté sexy supplémentaire. J’adore !
L’intérieur est agréable et accueillant, 4 adultes peuvent s’y installer. D’après la marque, l’espace aux jambes à l’arrière est identique au coupé et l’espace à la tête est le même que celui de la version 5 portes, capote en place. Une bonne nouvelle si vous souhaitez emmener des passagers, mais notez toutefois que vous ne pourrez plus mettre le filet anti-remous, pourtant bien utile en dehors de la ville, pour éviter que trop d’air ne circule dans l’habitacle quand vous roulez à l’air libre (le toit se replie en 18 s et revient en place en 21 s). Le coffre affiche quant à lui 251 L quelle que soit la position de la capote.
Côté multimédia, l’Evoque Cabrio est le premier de la gamme à embarquer le nouveau système d’info-divertissement baptisé Incontrol Touch Pro, inauguré sur la Jaguar XF l’année dernière. Il est compatible 4G et propose tout un tas d’applications plus ou moins utile, à l’image des prévisions météo. Les sièges massant, chauffant et réglables dans tous les sens se sont montrés très confortables mais il faudra piocher dans le catalogue des options pour en profiter. Pour les amateurs de musique, le système audio Meridian est tout à fait correct.
Correct sur route…
Une fois au volant, une petite pointe de déception se fait sentir. D’une manière générale, le cabriolet se débrouille bien. Il est correctement suspendu, juste assez ferme pour limiter le roulis en courbe à allure normale tout en restant confortable pour envisager les longs trajets sereinement. Mais là où le bât blesse, c’est qu’avec l’ablation de son toit au profit d’une capote en toile, l’Evoque s’est laissé aller sur les kilos et affiche une prise de poids supérieur à 250 kilos, dû aux différents renforts pour rigidifier la caisse. Du coup, on arrive quasiment à 2 tonnes et cela influe grandement sur la conduite. N’essayez pas de le brusquer, il déteste ça. De même, les reprises et accélérations sont relativement molles. Le modèle que j’avais entre les mains était pourtant équipé du diesel 180 chevaux, qui affiche tout de même 430 Nm de couple. Je n’ai pas essayé le plus petit de 150 chevaux, mais je suis prêt à parier qu’il est pour le coup carrément insuffisant. Un moteur essence de 240 chevaux (340 Nm) est également disponible, mais je n’ai pas pu en prendre le volant.
L’Evoque Cabriolet s’apprécie en balade, à rythme tranquille, où il donne l’impression de ne jamais forcer grâce à la boîte de vitesse automatique à 9 rapports. Elle est douce et suffisamment rapide en conduite coulée mais son mode sport qui débloque les palettes solidaires du volant n’apporte pas grand chose en termes d’agrément de conduite. Tout juste m’en suis-je servi sur les petites routes de montagne pour rester constamment dans la bonne plage d’utilisation moteur.
Rien à redire sur autoroute si ce n’est que la conversation devient difficile à 130 km/h si le toit est replié. Capote fermée, seul le sifflement de l’air dans les rétroviseurs, à haute vitesse, vient perturber le calme qui règne dans l’habitacle.
… Impressionnant en franchissement
Là où j’ai été bluffé par contre, c’est sur les aptitudes tout terrain de l’Evoque. Land Rover s’est bâti une solide réputation dans le milieu du 4×4, mais je craignais que son plus petit modèle ne puisse soutenir la comparaison avec ses prédécesseurs. Que nenni ! Le petit nouveau n’a pas a rougir et se débrouille très bien hors des sentiers battus. Alors certes, Land Rover nous a fait évoluer sur des parcours avec des obstacles prévus tout spécialement pour l’Evoque, mais c’est tout de même impressionnant de voir à quel point il peut être exploité.
Pour moi qui n’avait jamais fait de franchissement, les aides à la conduite hors-piste de Land Rover ont été une véritable aubaine. Premièrement, il y a le Terrain Response. C’est un sélecteur de mode de conduite qui agit sur la réponse du moteur, la gestion de la boîte de vitesses et les différentiels pour adapter la voiture aux différentes situation qui peuvent se présenter et conserver une adhérence maximale.
Le Terrain Response
Vient ensuite le Contrôle de progression en tout terrain (ATPC). Il s’agit en fait ni plus ni moins que d’un régulateur de vitesse pour terrains difficiles. Il suffit de programmer l’ATPC sur une vitesse donnée (entre 2 et 30 km/h) et ce sont ensuite les capteurs de la voiture qui vont analyser le terrain et faire bouger la voiture. Vous n’avez alors plus que la direction à gérer, vous évitant ainsi quelques sueurs froides. Très efficace ! Ce système se couple au Contrôle de vitesse en descente (HDC) qui s’occupe de gérer la progression quand la section que vous abordez est particulièrement pentue et que les conditions d’adhérence sont précaires.
De manière à économiser du carburant, l’Evoque Cabriolet dispose d’une transmission intégrale non permanente, ce qui fait qu’il se transforme en simple traction quand les conditions d’adhérence sont bonnes. Une bonne nouvelle, parce qu’avec le poids de la bête je ne serai jamais passé sous les 8,5 L/100 Km. Enfin, le Torque Vectoring permet de freiner la roue intérieur en cas de sous-virage et de distribuer au mieux le couple sur les roues qui ont le plus d’adhérence.
Tout pour plaire
Malgré son poids pachydermique pour une voiture relativement compacte (4 m 37), l’Evoque Cabriolet est une réussite. Il propose un concept franchement sympa et ne se défait pas de ses gènes, c’est un vrai 4×4 qui peut s’en tirer honorablement en dehors du bitume. Mais, blason oblige, il n’est pas exactement ce que l’on peut appeler accessible. Le modèle que j’avais (HSE Dynamic, 180 chevaux diesel) s’échange contre 60 800 € hors option. C’est très cher, mais finalement, avec quoi peut-on le comparer ? Land Rover a pris un risque en sortant une voiture qui n’appartient à aucun segment, sans réelle concurrence. Mais je ne me fais pas trop de souci, je suis convaincu que le Range Rover Evoque Cabriolet va faire un malheur près des côtes… Ou en station. Snow, Evoque and Sun !
Un SUV cabriolet, ce n’est pas une première mondiale. Outre les modèles plus ou moins découvrables déjà proposés par le passé, comme le Suzuki Vitara, Nissan a dévoilé en 2010 le Cross Cabriolet, dérivé du Murano. Mais ce fut un sacré flop et la preuve qu’investir une telle niche est risqué, avec une probabilité de rentabilité faible.
18 secondes pour décapsuler
Ce qui n’a pas refroidi Land Rover qui ose donc décapsuler l’Evoque. Si l’auto se prête mieux à l’exercice que le Murano, le résultat reste très original, du moins lorsque la capote est dépliée. En position « fermée », la silhouette de l’Evoque n’attire pas particulièrement l’œil. Mais en cabriolet, la ligne de caisse très haute donne un effet baignoire sur roues !
Un cabriolet pour toutes les saisons et tous les terrains.
L’Evoque adopte une classique capote en toile, avec un mécanisme de fermeture en Z. Elle s’ouvre en 18 secondes, venant se fondre avec le coffre derrière la banquette. La manœuvre peut s’effectuer en roulant jusqu’à 50 km/h environ. La fermeture prend 21 secondes. Land Rover promet un niveau sonore comparable au coupé.
Pour la sécurité, des arceaux en aluminium sont intégrés à la carrosserie et se déploient en 90 millisecondes en cas de tonneau. Un petit volet remplace le hayon pour l’accès au coffre. L’ouverture est riquiqui, de même que le volume de chargement, digne d’une citadine avec 251 litres. Une trappe à skis vous permettra d’aller à la neige.
Pour le printemps 2016
Car c’est l’argument de vente numéro 1 de l’auto : un cabriolet pour toutes les saisons et tous les terrains, grâce à la transmission intégrale évoluée Terrain Response, complétée par le système de passage de gués et au contrôle de progression en hors piste. Ainsi, ce véhicule est aussi bien destiné aux balades en bord de mer qu’aux aventures en dehors du bitume. Un concept très original… typiquement anglais !
Trois moteurs seront au programme : un essence 240 ch et des diesel 2.0 Ingenium de 150 et 180 ch. Dévoilé en première mondiale au Salon de Los Angeles, l’Evoque Cabriolet sera commercialisé au printemps 2016.
Plus que quelques jours avant l’ouverture du Salon de Francfort 2015. Les nouveautés défilent, la tension monte ! Abcmoteur a décidé de faire le point sur le programme de ce grand show, en listant les nouveautés déjà annoncées, celles attendues et les surprises potentielles. Après les Français, le premium allemand ou encore les Allemands, Espagnols et Tchèques généralistes, fin de notre périple européen avec les Italiens et Anglais.
Bentley
Evénement pour la firme britannique. Bentley viendra à Francfort avec son tout premier SUV. Dévoilé il y a quelques jours, le Bentayga est doté d’un W12 6.0 de 608 ch, ce qui en fait le 4×4 de série le plus puissant et le plus rapide au monde. C’est aussi le tout-terrain le plus luxueux et sans aucun doute le plus cher ! Voilà qui promet un beau duel avec son compatriote Range Rover.
Autre marque britannique qui exposera en Allemagne son premier SUV : Jaguar. Mais le modèle du félin, nommé F-Pace, sera nettement plus abordable… et plus compact. Il rivalisera avec les Audi Q5 et Mercedes GLC. Pour l’instant, une seule image officielle de l’auto a été publiée. Pour en voir davantage et surtout connaître les informations techniques, il faudra attendre l’ouverture du Salon à la presse. Le F-Pace, qui comme son nom l’indique, s’inspire de la F-Type (lire notre essai), sera commercialisé courant 2016.
Land Rover
Pour le moment, c’est silence radio du côté de Land Rover. La marque n’a encore annoncé aucune nouveauté. Pourtant, elle en a bien une dans les tuyaux : la déclinaison cabriolet de l’Evoque, « teasée » officiellement dès le Salon de Genève ! Land Rover attend t-il l’ouverture du Salon pour le dévoiler… ou le réserve-t-il à un Salon plus ensoleillé, celui de Los Angeles (fin novembre) ?
Si Mini appartient au groupe BMW, son cœur est toujours britannique. Le Salon de Francfort 2015 marquera le début d’une nouvelle ère pour Mini avec la présentation du plus grand véhicule de son histoire, le Clubman III. Ce modèle est désormais un grand break à six portes, mesurant 4,25 mètres de long. Objectif de la marque : détourner des clients des compactes premium.
Les firmes britanniques sont en forme à Francfort. Rolls Royce dévoilera lui aussi un nouveau modèle, ce qui lui arrive rarement compte tenu de sa petite gamme. Il exposera en première mondiale la Dawn, qui n’est autre que la version cabriolet de la Wraith. Une découvrable ultra luxueuse, que la marque décrit comme le modèle cheveux dans le vent le plus confortable du marché.
Pour une fois, c’est Alfa Romeo qui va présenter au sein du groupe Fiat quelque chose de 100 % nouveau à Francfort. Et c’est même un sacré morceau, puisqu’il s’agit de la berline Giulia, qui marque le renouveau d’Alfa. Pour l’instant, seule la version sportive QV de 510 ch a été montrée. On espère donc découvrir le jour J le reste de la gamme, pour voir à quoi ressemble l’auto sans un kit carrosserie.
Avec Ferrari, pas de temps à perdre. Le coupé 488 a été dévoilé en mars au Salon de Genève, voici à Francfort la variante Spider ! Comme pour la 458, qui a servi de base, l’auto est dotée d’un toit rigide rétractable. Dans les entrailles, le nouveau V8 biturbo de 670 ch. Certains espèrent découvrir aussi la variante épicée de la 599, qui pourrait se nommer GTO. Mais Ferrari n’est pas vraiment du genre à dévoiler deux nouveautés dans le même Salon.
Fiat va sûrement mettre en avant à Francfort sa « nouvelle » 500. Mais celle-ci a été présentée début juillet et est même visible depuis un mois et demi dans les concessions. Il y aura donc un fort air de déjà vu. Aucun inédit n’est annoncé pour l’instant, et s’il y en a, ils devraient tourner autour de la 500 ! De son côté, le 124 Spider devrait être montrée fin novembre à Los Angeles. Reste la division sportive Abarth, qui pourrait elle aussi exposer sa 500 mise à jour et pourquoi pas la version épicée de la 500 X.
L’info a été confirmée il y a quelques jours : la firme au taureau viendra à Francfort avec la variante Spyder de son Huracan. L’actu est donc très « aérée » pour Lamborghini, car cette présentation fera suite à la révélation de l’Aventador SV Spyder ! L’Huracan sans toit arrivera sur le marché près de deux ans après le coupé. Ceux qui sont intéressés devraient déjà réserver leur auto, car les délais de livraison vont vite exploser.
Lancia
Triste événement sur le stand de la marque italienne. Celle-ci devrait présenter à Francfort sa dernière nouveauté : l’Ypsilon restylée. La citadine chic italienne adopte une nouvelle calandre et un nouveau bouclier avant. Elle met aussi sa connectivité à jour.
Maserati
Aucun programme pour Maserati. La marque va-t-elle créer la surprise au dernier moment en révélant son premier SUV ?
Le plus indien des constructeurs anglais à profité du salon de Genève pour confirmer la production de son Evoque en version cabriolet. Une demi-surprise, tant l’étude de style présentée il y a trois ans déjà, semblait aboutie.
Presque identique
Le mois dernier, nous vous présentions la version 2015 restylée de l’Evoque. Et bien sachez que le cabriolet l’imite à la perfection ! On retrouve la même ceinture de caisse très haute, les mêmes boucliers, les mêmes sorties d’échappement. Il n’y a guère que le petit spoiler intégré sur la malle de coffre et le toit en toile (repliable en 20 secondes) pour faire la différence. Nous n’avons aucune photo de l’intérieur pour le moment, mais il devrait suivre la même tendance et se montrer identique.
Le futur Range Rover Evoque Cabriolet testé sur le redoutable circuit du Nürburgring, en Allemagne
L’absence de toit en dur impose de rigidifier le châssis et les panneaux de carrosserie, opération qui se solde ici par une centaine de kilos en plus sur la balance. L’Evoque cabriolet ne sera donc pas le plus dynamique de tous, mais se dégustera en cruisant tranquillement et en profitant de la brise. Pour les motorisations, la nouvelle gamme de moteur du groupe, baptisée Ingenium, pourrait se retrouver sous le capot de l’Evoque cabrio. Il s’agit de moteurs turbocompressés avec une cylindrée unitaire de 500 cm3 (4-cylindres 2.0, 6-cylindres 3.0 etc). On ne sait pas encore quel sont les puissances ni les architectures retenues, mais la production de ces blocs vient de débuter.
Nouvelle prise pour nos photographes espions, mais cette fois-ci dans le grand froid, en Suède !
Marché de niche
Le pari de proposer un SUV (dans ce cas crossover compact) cabriolet peut paraître étrange, mais il n’est en aucun cas inédit. Nissan offrait par exemple jusqu’en 2014 (et exclusivement aux Etats-Unis) le Murano CrossCabriolet. Il n’a pas été reconduit faute de chiffres de vente suffisants, mais le concept était bel et bien là. Si l’on imagine assez mal ce genre de voitures dans nos villes françaises, la côte ouest des USA est tout indiquée en raison de son taux d’ensoleillement autrement plus élevé que chez nous.
Pour finir, les photos officielles de Land Rover
Si l’on creuse encore un peu, certains préparateurs se sont même spécialisés dans le décapsulage de voitures de luxe, à l’image de Newport Convertible Engineering. On leur doit notamment un Range Rover Autobiography cabriolet et un Porsche Cayenne découvrable. Leur dernier projet en date ? Une Nissan GTR roadster !
La vidéo du tournage se trouve en fin d’article
Il n’est donc pas étonnant de voir un constructeur haut de gamme se lancer dans la bataille. Le Range Rover Evoque cabriolet sera disponible en 2016, probablement au printemps.
Une poule aux œufs d’or, il faut l’entretenir sans la dénaturer. Voilà pourquoi le restylage du Range Rover Evoque est léger. La nouvelle coqueluche de la firme britannique a déjà été produite à plus de 400.000 exemplaires depuis son lancement en 2011. Cet incroyable succès n’a rien d’un feu de paille. La preuve, 2014 a été la meilleure année, avec un peu plus de 125.000 ventes dans le monde. L’Evoque attirant toujours les foules dans les concessions, les designers ont fait simple pour la mise à jour de mi-carrière.
Esthétiquement, les changements se concentrent au niveau de la face avant, avec notamment des prises d’air agrandies.
Les changements les plus importants se trouvent au niveau de la face avant. Le bouclier a été modifié, avec des entrées d’air latérales agrandies qui donnent un côté plus sportif à l’auto. Elles intègrent de nouveaux antibrouillards à diodes. La calandre a été revue, avec deux maillages différents selon les versions.
L’habillage des optiques est inédit, avec une nouvelle signature lumineuse. L’Evoque est le premier modèle de la marque doté de projecteurs adaptatifs 100 % LED. Pour l’arrière, signalons la présence d’un nouveau becquet équipé d’un troisième feu stop plus large et plus fin, ainsi que de feux à l’intérieur remodelé.
Seuls les habitués du modèle remarqueront ce qui a été changé à bord. La modification la plus importante concerne les sièges, qui ont été redessinés. Land Rover signale également la présence de nouveaux habillages sur les portes et d’une instrumentation revue. Le système multimédia a été mis à jour, pour offrir une utilisation plus intuitive. Il est possible de gérer des applications de son smartphone depuis l’écran de la voiture. Autre nouveauté : le hayon électrique, qui peut s’ouvrir sans contact : on passe le pied sous le bouclier et le coffre est accessible.
L’Evoque millésime 2016 reçoit un nouveau moteur diesel. Il s’agit du quatre cylindres Ingenium, inauguré par la Jaguar XE. Ce 2.0 tout en aluminium est plus léger que l’ancien bloc de 20 à 30 kg. Il sera disponible en deux niveaux de puissance : 150 et 180 ch. Le modèle 150 ch annonce une consommation moyenne de 4,2 l/100 km. En version « écolo » E-Capability, avec seulement deux roues motrices, il ne rejettera que 109 g/km de C02 en carrosserie coupé (113 g en 5 portes). Les amateurs d’essence n’auront d’autre choix que le Si4 240 ch.
S’il est toujours plus chic, l’Evoque n’oublie pas les capacités en tout-terrain. Il adopte le nouveau système ATPC lancé il y a quelques mois sur ses grands frères. Il s’agit d’un contrôle de progression en hors piste qui maintient une vitesse prédéterminée, en marche avant comme en marche arrière. Sur la route, l’Evoque vous fera voyager plus en sécurité grâce à une alerte de franchissement de ligne (associée à la correction de trajectoire), un détecteur de somnolence ou un freinage automatique d’urgence.
L’Evoque restylé arrivera dans les concessions en août.
En décembre dernier, nous découvrions l’Aston Martin DB10 de Daniel Craig pour le 24ème opus de la saga James Bond. Une autre partie des modèles sélectionnés pour le film vient d’être dévoilée.
Jaguar Land Rover Special Vehicule Operations
Cette fois-ci, c’est le groupe Jaguar Land Rover qui est à l’honneur avec trois voitures. Pour Jaguar, ce sera une C-X75, mais sa motorisation hybride (850 ch) sera remplacée par un V8. Cette supercar audacieuse qui n’avait malheureusement pas eu de carrière commerciale connaîtra donc une seconde vie sur grand écran. Elle sera accompagnée des Range Rover Sport SVR (550 ch) et Land Rover Defender. Ces deux derniers seront soigneusement préparés par les équipes de Spécial Vehicule Operations. Cette division spéciale est en charge de concevoir des véhicules hautes performances à quelques unités tels que la F-Type Project.
La Jaguar C-X75 qui ira se mesurer face à l’Aston Martin DB10
Les pneus du Land Rover Defender sont en… 37 pouces !
La sortie en salle de Spectre se fera le 6 novembre 2015.
Sur le marché des SUV compacts depuis 2011, le Range Rover Evoque a immédiatement rencontré le succès auprès du public, notamment grâce à son physique très séduisant. Il a permis à Land Rover de conquérir de nombreux nouveaux clients.
Proposé en 3 et 5 portes, l’Evoque se décline en deux niveaux de puissance en diesel (150 ch et 190 ch) et en essence (240 ch et 285 ch). L’ensemble de ces motorisations bénéficient d’une nouvelle boîte automatique à 9 rapports depuis cette année 2014. Une bonne occasion de prendre en main le 4×4 le plus branché de sa catégorie dans sa version 2,2 l 190 ch SD4 BVA9 en finition Dynamic.
Quelle allure !
Les personnes les plus au courant de l’actualité automobile se souviennent peut-être du concept-car Land Rover LRX présenté au salon de Detroit, en 2008. Ce 4×4 3 portes avait fortement impressionné par son style et sa faible longueur, la marque anglaise nous ayant plus habitué à présenter des tout-terrains de gros gabarit. Trois années plus tard, c’est donc inchangé que l’Evoque est commercialisé !
Avec cette face avant très massive, mais pourtant dotée de petites optiques, notre SUV dans cette livrée couleur bronze (appelée « Zanzibar ») interpelle. Quel est donc ce modèle sorti tout droit des allées d’un salon ?
De profil, il continue d’étonner avec une surface vitrée qui semble particulièrement réduite, tandis que la hauteur de caisse est élevée. Ligne de toit et ceinture de caisse convergent vers l’arrière, ce qui lui confère une allure trapue. Les passages de roues accentués et situés aux quatre coins de la voiture renforcent son aspect baroudeur que ses mensurations ne trahissent pas (1,97 m de large, 1,61 m de haut, mais « seulement » 4,37 m de long).
Pour la partie arrière, on remarque immédiatement cette lunette de hayon écrasée, ainsi que le dessin très détaillé des feux reliés entre eux par une baguette noire. Les deux sorties d’échappement de forme rectangulaire viennent couronner le tout !
Raffinement à bord
Après avoir observé les lignes de l’Evoque, dont il est difficile de ne pas tomber sous le charme malgré le côté un peu « m’as-tu-vu » de l’ensemble, on s’attend à découvrir un intérieur lui aussi original, alors qu’il n’en est rien.
Land Rover fait dans le classique avec un habitacle utilisant des formes rectilignes et ce n’est pas pour nous déplaire, tant la présentation est soignée et flatteuse. Seuls les sièges baquets en cuir marron semblant provenir de la cousine F-Type sont un peu osés pour une auto de ce type !
L’habitabilité est bonne pour les passagers, tandis que le volume de coffre est dans la moyenne avec 420 l (et jusqu’à 1 445 l), soit une valeur voisine aux 410 l d’un BMW X1.
Un sentiment de robustesse et de bien-être nous fait – une nouvelle fois – apprécier ce SUV. Il est donc maintenant temps de s’installer à son volant !…
Une nouvelle boîte bienvenue
Auparavant disponible avec une boîte automatique à 6 rapports, le Range Rover Evoque se montrait glouton (environ 10,5 l/100 km pour pas loin d’1,7 tonne) et manquait de vigueur. Avec cette nouvelle transmission inédite, Land Rover propose 3 rapports de plus, n’est-ce pas trop ?
A l’usage, la nouvelle BV9 se montre plus efficace et aussi un peu plus performante que sa devancière BVA6. Les vitesses se passent rapidement sans trop se faire sentir, les relances sont plus vives, tandis que l’allongement final de la boîte permet de faire diminuer significativement la consommation avec 1,5 l d’économisé tous les 100 kilomètres parcourus. Un appétit qui a également été réduit grâce au stop & start (et à venir la gestion intelligente des 4 roues motrices permettant de passer en simple traction lorsque cela est suffisant).
Equipé de grosses jantes de 20 pouces, notre Evoque se montre plutôt confortable au regard de la taille des roues. En revanche, ces dernières génèrent d’importants bruits de roulement qui viennent s’ajouter aux bruits aérodynamiques.
Heureusement, l’insonorisation du diesel est bonne, le moteur n’étant pas trop bruyant. Toutefois, les performances du quatre-cylindres 2,2 l de 190 ch (à 3 500 tr/min) et 420 Nm de couple (à 1 750 tr/min) restent derrière celles d’une Audi Q3 2.0 TDI quattro S tronic de 177 ch et 380 Nm pourtant moins puissamment motorisé, puisque l’Anglais demande 8,5 s, contre 8,2 s pour l’Allemand.
Finalement, le « baby » Range marque des points avec sa direction et son châssis permettant d’adopter une conduite dynamique (toutes proportions gardées, car nous sommes bien à bord d’une auto haute sur pattes pesant un certain poids). Cela étant, on a bien du mal à quitter son volant tant la formule générale nous séduit…
Que faut-il en retenir ?
Les plus
Les moins
– Forte personnalité stylistique
– Présentation et finition intérieure
– Agrément de conduite en hausse grâce à la BVA9
– Prix élevé
– Bruits d’air et de roulement (en 20 pouces)
Modèle essayé
Prix (hors options)
Range Rover Evoque SD4 190 ch Dynamic
49 300 €
Modèles concurrents
Prix
Audi Q3 4-cyl 2,0 l TDI 177 ch S line quattro S tronic – 46 471 €
BMW X1 xDrive20d 4-cyl 2,0 l 184 ch M Sport BVA8 – 43 350 €
Un prix conséquent
Vendu à partir de 49 300 € (en finition Dynamic, hors options), notre petit Range fait payer cher son look ravageur. A titre de comparaison, une BMW X1 xDrive20d finition M Sport de 184 ch s’affiche à 46 471 € et une Audi Q3 S line 2.0 TDI quattro S tronic de 177 ch demande 43 350 €. Les deux sont plus efficients à défaut de posséder des lignes aussi originales. Par conséquent, l’achat de l’Evoque tiendra davantage du coup de cœur. L’Evoque présente aussi de réelles aptitudes en tout-terrain, à condition de ne pas nécessiter une garde au sol trop importante.
En mettant le tarif de côté, le Range Rover Evoque se révèle être un très bon choix sur le segment des SUV compacts premiums avec un design fort, un intérieur cossu et un agrément de conduite plaisant.
Un peu plus tôt dans l’année, nous parlions du Range Rover Sport RS qui viendrait se positionner en tant que le SUV le plus puissant de sa catégorie. Comme si que cela ne suffisait pas, Land Rover prévoirait également la même motorisation pour la version longue (« LWB » pour « Long Wheelbase ») de son mastodonte.
550 ch sur un SUV
Actuellement proposé avec un bloc culminant à 510 ch grâce à un V8 5,0 l suralimenté, le Range Rover LWB se musclerait encore davantage. Ce sont nos photographes espions qui ont déniché un prototype du Range Rover LWB SVR cachant donc sous son capot un V8 porté cette fois-ci à 550 ch et 680 Nm de couple ! Les quatre sorties d’échappement étant caractéristiques.
Avec une telle cavalerie, le char d’assaut « british » demanderait moins de 5,5 s pour effectuer un 0 à 100 km/h, tandis que sa vitesse maximale serait de 225 km/h…
Bien entendu, Land Rover modifiera les réglages châssis et notamment la suspension, ainsi que le système de freinage en conséquence. L’exemplaire partiellement camouflé ne semble pas encore présenter tous les éléments de carrosserie pour la mise en série et plus particulièrement en ce qui concerne l’aérodynamique qui devrait être améliorée pour l’occasion.
Proche des 200 000 € ?
Le plus luxueux et musclé des Range Rover sera réservé à un marché de niche avec un prix très élevé. Prévu pour un lancement à la mi-2015, il trouverait preneur contre un peu moins de 200 000 €. 190 000 € plus précisément, selon les estimations qui circulent.
Le Range Rover LWB SVR sera très probablement le plus demandé au Moyen-Orient.
Comme la MX-5, qui vient d’être entièrement renouvelée, le Discovery fête cette année ses 25 ans. Et il s’est dit qu’à cet âge, il serait peut-être bon de fonder une famille. Le Disco devient donc aujourd’hui papa d’un petit Sport ! Bon, l’histoire est très romancée… surtout que la réalité est bien plus marketing. Ce nouveau modèle est plus simplement le remplaçant du Freelander, qui a donc été rattaché au Discovery pour profiter de la bonne réputation du patronyme… qui est d’ailleurs écrit en gros devant et derrière ! La gamme Land Rover sera ainsi coupée en trois lignes de produits : Discovery, Range et Defender.
Il ressemble à un Evoque… mais pour qu’on ne se mélange pas les pinceaux, Land Rover a bien écrit en gros devant « Discovery ».
Fils de Discovery… et de Range
Petit problème quand on découvre le dernier né de la firme britannique : tout ce petit monde va beaucoup se ressembler. Le Disco Sport reste proche esthétiquement des derniers Range, avec une face avant au côté très galet poli. On retrouve une fine calandre prolongée par des optiques étirées, des feux horizontaux débordant dans les ailes… De l’univers Discovery, on retrouve la troisième glace latérale rattachée à la lunette, après un épais montant incliné couleur carrosserie, qui forme comme un pilier qui soutient le toit.
A l’intérieur aussi, ce Discovery Sport s’inspire beaucoup des derniers Range… même si l’ensemble est un peu moins flatteur à l’oeil, surement pour bien faire la différence avec les autos luxueuses de la marque. On retrouve une classique console centrale encadrée de deux éléments chromés. Au-dessus prend place un écran tactile 8 pouces. Grand changement par rapport au Freelander : sept personnes peuvent monter à bord. Bon, Land Rover parle bien d’un 5 + 2 places, ce qui veut tout dire : le troisième rang servira en dépannage. La deuxième rangée est coulissante. Pour les appareils de tout le monde, on trouve quatre prises 12V et six ports USB.
Un vrai tout-terrain
Curieusement, le Discovery Sport n’a pas eu le droit à la nouvelle plate-forme en aluminium du groupe Jaguar-Land Rover, qui sera inaugurée par la nouvelle XE, dévoilée la semaine prochaine. Il y a quand même du nouveau côté châssis, avec par exemple une nouvelle suspension arrière multi-bras pour plus de confort. Le Discovery Sport est avant tout un Land Rover, avec de vraies capacités de franchissement. On retrouve le système ultra-moderne Terrain Response, avec différents modes de fonctionnement en fonction du type de route. Les angles d’approche, ventral et de sortie sont respectivement de 25, 31 et 21 degrés.
Côté moteurs, l’auto débutera sa carrière avec deux diesel de 150 et 190 ch et un essence de 254 ch, uniquement en quatre roues motrices pour commencer. Côté transmission, on aura le choix entre manuelle 6 rapports ou automatique 9 rapports. Une version traction sera lancée l’année prochaine. Elle rejettera 119 g/km de C02 et échappera donc au malus.
L’auto devrait arriver dans les concessions début 2015. Le prix de base pour le marché français est déjà connu : 34.600 €.
Le segment des SUV survitaminés est un marché de niche, mais très rémunérateur. Les constructeurs se livrent à une bataille sans merci afin d’attirer le client et c’est Land Rover qui teste en ce moment son futur Range Rover Sport R-S. Il a été surpris par les paparazzis sur le célèbre circuit du Nürburgring, un lieu idéal pour mettre à rude épreuve un modèle en développement.
Une esthétique plus musclée
Le Range Rover badgé « R-S » est la version la plus puissante du 4×4 et il le montre. Cela se caractérise par une calandre revue, une garde au sol diminuée, des jantes encore plus imposantes, ainsi que quatre sorties d’échappement logées dans un diffuseur spécifique. Le système de freinage, la suspension et le châssis sont également modifiés pour aller de paire avec la mécanique surboostée se trouvant sous le capot et apporter un surcroît de dynamisme.
Land Rover veut garder sa longueur d’avance en augmentant encore un peu la puissance de son Range Rover Sport avec une version RS – (crédit : vidéo TouriClips)
L’habitacle ne sera pas oublié avec un traitement spécifique toujours luxueux, mais on espère qu’un aspect plus sportif par rapport aux finitions actuelles sera privilégié.
Son but : surclasser ses concurrentes germaniques
Jusqu’à maintenant, on peut opter pour un Range Rover Sport Supercharged de 510 ch et 625 Nm de couple. Avec la version R-S qui sera dévoilée à l’occasion du Mondial de Paris en fin d’année, c’est le V8 5,0 l de 550 ch et 680 Nm déjà présent sur le coupé XKR-S qui est appelé en renfort.
De cette façon, la marque anglaise veut faire taire ses concurrents que sont les Porsche Cayenne Turbo S (V8 4,8 l – 500 ch) et Mercedes Classe M 63 AMG (V8 5,4 l – 525 ch). Sa date de sortie est attendue pour le courant de l’année 2015 et son prix de vente dépassera sans problème la barre des 125 000 €.
Le Range Rover Sport R-S 2015 nous laisser savourer la mélodie de son V8
On vous laisser apprécier la bande son ponctuée par instants de crépitements en provenance de l’échappement… un vrai régal !
Les rumeurs donnaient une version beaucoup plus musclée du plus branché des 4×4 de la gamme Land Rover pour Genève. Ce sera bien le cas, puisque le Range Rover Evoque gagne deux nouvelles finitions dont une est accompagnée d’un nouveau moteur.
La finition Autobiography
La première finition est l’Autobiography, elle fait profiter à l’Evoque d’une sellerie cuir de série, de sièges sport (climatisés en option) et de diverses modifications esthétiques sur les boucliers avant et arrière. La calandre se pare de noir mate, les jantes alu de couleur gris foncé sont en 20 pouces et la carrosserie s’habille d’une teinte appelée « Phoenix Orange ».
Voici une version plus puissante du Range Rover Evoque culminant désormais à 285 ch
A Genève, il présentera ses deux nouvelles finitions les plus hautes : Autobiography et Autobiography Dynamic
Seuls les 2,2 l turbo diesel de 190 ch et 2,0 turbo essence de 240 ch pourront être choisis avec cette finition. Ils reçoivent en outre d’office la nouvelle boîte auto ZF à 9 rapports.
La finition Autobiography Dynamic
Pour l’Autobiography Dynamic, soit le plus haut de finition sur l’Evoque, la même esthétique que sur l’Autobiography est reprise. Cependant, ici le sport est de mise avec le nouveau 2,0 turbo essence Si4 développant 285 ch et 400 Nm de couple. Il est aussi accompagné de la BVA9. Le 0 à 100 km/h est abattu en 6,5 s et la vitesse de pointe se situe à 230 km/h.
Avec 285 ch sous le capot, les Audi RS Q3 et Mercedes GLA 45 AMG, encore plus puissants, peuvent dormir tranquilles
La technique est améliorée pour lui conférer un comportement plus efficace. On note un freinage plus performant (disque de 350 mm à l’avant et de 300 mm à l’arrière), une géométrie de suspensions revue, ainsi que de nouveaux ressorts et une suspensions adaptative recalibrée. Le couple peut être réparti entre le train avant et arrière avec le système Torque Vectoring.
Déjà aperçu il y a moins d’un mois, le nouveau Land Rover Range Rover 2012 vient de se dévoiler officiellement aujourd’hui ! On observe donc encore une fois un modèle dans la continuité de ses prédécesseurs en terme de design, mais il opère tout de même un nette rupture avec la génération précédente !
La parenté avec l’Evoque se ressent, mais le nouveau Range reste globalement fidèle à lui-même
En effet, le constructeur de 4×4 huppés a fait le judicieux choix de doter son mastodonte d’un châssis en aluminium et non plus en acier. Le résultat est plus que convaincant puisque le poids de la pièce diminue de 39 % et le nouveau Range Rover perd jusqu’à 420 kilos sur la balance selon les versions. Bien vu !
On notera les stries sur les portières avant et l’allure plus élancée pour cette 4ème génération de ce modèle lancé pour la première fois en 1970
Au chapitre des motorisations qui seront toutes équipées d’une boîte auto « ZF » à 8 rapports, cette chasse au CO2 superflu devrait se poursuivre avec l’emploi notamment d’un système micro-hybride comme le « Stop&Start » selon certaines informations. La fiche technique des moteurs essence (V6 et V8) et diesel (TDV6 et TDV8) n’étant pas encore communiquée, il faudra attendre pour en avoir la certitude. Quand à la version « Supercharged », il faut s’attendre à ce quelle égale ou dépasse les 510 ch actuels…
Le profil très similaire du Ranger IV se distinguera grâce aux feux arrière qui viennent déborder sur l’aile
Quant aux prix… il sera difficile d’avoir des tarifs qui débuteront en-dessous des 90 000 €. De toute façon le marché français préfère la finition Sport démarrant à 56 450 € pour le modèle actuel. Il faudra prévoir une inflation de quelques pourcents.
L’intérieur reprend des éléments de l’Evoque dont le succès n’est plus à démontrer mais la marque assure que ce modèle aura une finition des plus pointues
De toute façon, la grille tarifaire ne devrait guère se faire attendre, car le Range Rover 4 pourra être commandé dès septembre pour une date de sortie encore inconnue qui aura très certainement lieu en 2013 ou à la toute fin 2012.
Sans trop en pâtir, l’actuelle génération du Ranger Rover est déjà présente depuis une décennie sur le marché ! Il est donc grand temps pour Land Rover de penser à la relève. Et son remplaçant est tout proche de la présentation officielle, car comme le montrent les clichés espions visibles ci-dessous, le modèle est complètement finalisé. L’actuel 4×4 ayant pour nom de projet « L322 » va bientôt laisser la place au « L405 ».
On a ici un Range Rover influencé par le succès de petit frère Evoque : il gagne donc une face avant plus moderne qui s’autorise quelques artifices avec notamment des optiques à fond sombre et une calandre plus exubérante. Avec ce seul spyshoot de l’extérieur, il faudra encore patienter pour découvrir sa poupe
Les quelques éléments visibles à l’intérieur nous dévoilent une planche de bord qui a bien l’air d’avoir été revue de A à Z. Une petite révolution qui s’annonce donc pour ce futur Range…
La marque Tata, qui a repris le constructeur britannique en 2008, sortira son premier modèle Land Rover depuis le rachat. D’ailleurs, le tout-terrain partagera la même plate-forme que la Jaguar XJ qui est aussi aux reines du géant indien.
Une chose est sûre, avec cette fuite les images presse ne devraient plus tarder.
Il faut se rappeler que le vocation première des 4×4 Land Rover était agricole. Si le prototype des premiers modèles s’appelait le « Centre Steer », c’est bel et bien parce que son volant était central, comme dans le cas d’un tracteur.
Les Land Rover étaient taillés pour la grosse boue collante des champs agricoles
Bien sûr au jour d’aujourd’hui, les 4×4 Land Rover n’ont plus tellement d’utilisations ouvrières, mais plutôt comme loisirs; notamment dans l’est de la France qui bénéficie de belles structures pour s’adonner aux joies du tout-terrain.
Centre tout-terrain de Steinbourg en Alsace (67) :
Photo vue du ciel du parcours de Steinbourg
Depuis 60 ans de production, les véhicules Land Rover ont bien évolué. La marque a connu quatre générations de véhicules :
Les Séries I qui à partir de 1953 ont une cylindrée de 2 litres et une puissance maximum de 52 chevaux
Les Séries II qui feront leur apparition en 1958 pour célébrer les dix ans de la marque. Ils sont dotés du 2,25 litres essence ou diesel qui expose l’évolution du précédent 2 litres. En 1959, le 250 000ème Land Rover est fabriqué et en 1966, c’est au tour du 500 000ème Land d’être fêté. En 1967, le Land 109 a pour option un 6 cylindres de 2,6 litres développant 83 chevaux.
Les Séries III qui en 1974 offrent à la marque la 750 000ème unité, une nouvelle suspension apparaît puis une boîte de vitesses synchronisée et un moteur de 2,25 litres à 5 paliers
Enfin, les Land Rover 90 et 110, puis Defender est la quatrième et la génération actuelle qui offre de remarquables évolutions.
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