Comme nous vous en parlions en novembre 2012, Mini est en train de préparer activement un nouvelle déclinaison de son modèle fétiche : une Mini 5 portes ! La gamme de la marque appartenant à BMW va donc encore s’élargir après l’arrivée des Clubman et Countryman.
Du côté du style de cette Mini 5 portes, seul l’empattement semble ajouter quelques centimètres à la voiture. Le reste semble inchangé. Toutefois, c’est du côté de l’habitabilité (en progression) que les petites familles se pencheront
Avec cette Mini 5 portes, les Clubman, Countryman et BMW Série 1 (origine de la nouvelle plateforme de cette Mini MkIII) ont-elles du souci à se faire ?
Sur cette image, on peut remarquer la double sortie d’échappement centrale caractérisant les Mini Cooper S
Des motorisations identiques à la trois portes
Si la Mini 5 portes proposera deux ouvrants supplémentaires, du côté de son offre moteur (des 3 et 4-cylindres essence et diesel de 116 à 192 ch), ce sera complètement identique à la nouvelle Mini 3 portes 2014. Quid d’une version John Cooper Works ?
Deux autres photos (prises sur le site de production anglais à Oxford) permettant voir la Mini 5P à la peinture…
Certains l’appellent déjà « Countryman abaissée » tellement la rassemblement entre les deux modèles se fait sentir. Impression à confirmer (ou non) lorsqu’elle sera dévoilée au public
Tarifs & sortie
La différence de prix entre une 3 et 5 portes devrait être de l’ordre de 1 500 €. Le prix d’entrée est estimé à environ 20 000 €.
A suivre avec une présentation officielle de la Mini 5 portes en 2014 pour une commercialisation attendue en 2015…
Une JCW, c’est une carrosserie foncée, cette fois grise, avec des touches de rouge un peu partout.
Les vacances de Noël arrivées, le marathon des repas familiaux va débuter. Une dizaine de jours de plaisir gustatif lors desquels on ne va plus se soucier de sa ligne. Viendra alors la nouvelle année et son lot de bonnes résolutions, avec souvent en tête de liste l’envie de faire des exercices physiques pour éliminer les excès des fêtes. La nouvelle Mini, fraichement révélée, a déjà pris cette initiative. Pour 2014, elle va se mettre au sport. Elle a d’ailleurs pris un peu d’avance en dévoilant la tenue qu’elle revêtira pour l’occasion !
Car oui, autant le dire tout de suite, pour le moment il est juste question de look. Aucune information technique n’a été donnée lors de la publication des premières photos de cette John Cooper Works Concept, qui fera ses débuts en public mi-janvier au Salon de Detroit. Que d’la gueule ! La pratique est courante au sein de groupe BMW. D’ailleurs, il n’y a même pas d’habitacle à découvrir. Voilà qui nous rappelle le Mercedes GLA 45 AMG Concept.
Aucune indication sur ce qui va se cacher sous le capot de la prochaine John Cooper Works. On attend une puissance d’au moins 220 ch.
Elle voit rouge… et gris
Pour savoir ce qui se cache sous le capot, il faudra faire preuve de patience. Fidèles à ses habitudes, Mini devrait nous en dire plus quelques semaines avant la révélation de la voiture de série, en guise d’avant-goût, comme cela avait été fait pour la nouvelle génération. En toute logique, on devrait retrouver une version survitaminée du 2.0 essence de la Cooper S, qui développe 192 ch. La puissance devrait aussi être supérieure à celle de l’ancienne John Cooper Works, qui proposait 211 ch. On s’attend donc à retrouver environ 220 ch. Voire plus, histoire peut-être de ne pas se laisser distancer par la prochaine Peugeot 208 R.
Comme toutes les Mini, la nouvelle John Cooper Works reprend les codes incontournables de sa lignée. On retrouve donc une teinte grise avec des touches de rouge. La revêtement de carrosserie nommé Bright Highways Grey fait l’objet d’un procédé de fabrication particulier. La couche de finition polie à la main est recouverte d’un vernis. La brillance de haute qualité fait ressortir les structures marquantes de la couche de couleur. Le rouge est arboré par le toit, le becquet et les coques de rétroviseurs. Il est aussi visible par petites touches sur les jantes ou dans la calandre. A cela s’ajoutent des bandes en Chili Red pour le capot et le hayon ; et en blanc pour le pavillon.
Une Mini est une Mini. Donc le style évolue par petites touches, y compris pour les jantes 18 pouces !
Toujours plus typée karting
Evidemment, la JCW, ce n’est pas que des couleurs, c’est aussi des éléments de carrosserie inédits. On remarque ainsi un nouveau bouclier avant, avec des prises d’air à la place des antibrouillards. Pour améliorer l’aérodynamique, les bas de caisse ont été modifiés et le bouclier arrière intègre un diffuseur et une double sortie d’échappement qui arbore le logo John Cooper Works. Des jantes 18 pouces au design revu complètent la panoplie.
Pour bien coller l’auto au sol, Mini a agrandi le becquet et rajouté un diffuseur dans le bouclier.
La JCW devrait être encore plus joueuse en profitant des modifications techniques apportées à la gamme entière : empattement plus long, poids en baisse… On retrouvera sûrement le système de suspensions réglables. Au final, on aura une Mini au comportement toujours plus typé karting !
Si la Mini gagne près de 10 cm en longueur par rapport à sa devancière, ses concepteurs n’ont pas souhaité révolutionner la Mini. Ils ont cherché, au contraire, à s’appuyer sur ses valeurs fortes telles qu’un comportement routier proche de la conduite d’un karting et un style fidèle au modèle originel.
Carrosserie
Pas question de révolution, le style de la nouvelle Mini doit rester immédiatement identifiable à une Mini. De fait, si les proportions évoluent, la nouvelle Mini garde les code stylistiques propres à la marque, à savoir : des phares avant de formes ovoïdes cerclés de chrome, des feux arrières rectangulaires et verticaux eux-aussi entourés de chrome, une calandre en nid d’abeille (Cooper S), les montants de carrosserie noirs au niveau des vitrages et le toit de couleur contrasté.
En option, l’éclairage extérieur peut être réalisé à partir exclusivement de LED (phares avant, feux arrière, antibrouillards, éclairage diurne) avec adaptation automatique de la lumière en fonction des conditions de circulation.
L’aérodynamique de la carrosserie fait un net progrès avec un Cx désormais de 0,28 contre 0,35 à la génération précédente (surface frontale non communiquée).
Dimensions
La nouvelle Mini a donc gagné 98 mm en longueur par rapport à la Mini 2. Afin de garder des proportions équilibrées, le nouveau modèle gagne aussi 44 mm en largeur. La hauteur progresse de 7 mm, une augmentation relativement faible par rapport aux deux précédentes lui confère une silhouette plus trapue que le modèle précédent. Au final, la nouvelle Mini mesure 3,81 m de long (3,85 m pour la Cooper S), 1,73 m de large et 1,41 m de haut.
En matière d’empreinte au sol, l’empattement progresse de 28 mm et les voies avant et arrière sont élargies de respectivement de 42 mm et de 34 mm. Des valeurs qui devraient améliorer la stabilité intrinsèque de la nouvelle Mini, elles pourraient à l’inverse dégrader la maniabilité, une des caractéristiques marquantes de la Mini. Toutefois, des réglages châssis adéquats doivent préserver un bon compromis entre ces deux valeurs antinomiques.
Grâce à ses dimensions en hausse, l’habitabilité fait un bond notable : le coffre propose désormais 211 litres (contre 160 l précédemment). Les occupants bénéficient également d’un espace accru. L’accès aux places arrières est facilité, passagers arrières qui profiteront d’une assise plus longue de 23 mm et d’une plus grande largeur aux épaules.
Motorisations
Exit les collaborations avec Chrysler, Toyota et plus récemment avec PSA. Mini utilise désormais ses propres moteurs et ils exploitent amplement les technologies de la maison-mère BMW. Toutes les motorisations (au nombre de 3 au lancement de la nouvelle Mini) sont conformes aux futures normes d’émissions Euro 6.
Tous les moteurs sont d’ailleurs équipés de la technologie TwinPower de BMW, à savoir le recours à la suralimentation (via turbocompresseur), l’injection directe de carburant, le calage variable des soupapes à l’admission et à l’échappement (double VANOS) ainsi que la levée variable des soupapes (Valvetronic).
La transmission aux roues avant de la Mini se fait via une boîte manuelle à 6 rapports. Lors d’un changement de vitesse, le moteur adapte automatiquement le régime moteur pour un meilleur confort de passage notamment lors des rétrogradages.
Optionnellement, elle peut être équipée d’une boîte automatique à convertisseur à 6 rapports elle-aussi. Accouplée au système de navigation, la boîte automatique adapte sa loi de passage des vitesses en fonction du profil de la route. Quelle que soit la motorisation choisie, la boîte automatique conserve les mêmes démultiplications, optimisées pour la Cooper S. Seul le rapport de pont change pour pallier les différences de couple entre les motorisations.
L’offre de Mini (Cooper) démarre en essence avec un moteur 3 cylindres développant 136 ch (entre 4.500 et 6000 tr/min) de 1,5 l de cylindrée. Il affiche un couple de 220 N.m (jusqu’à 230 N.m temporairement) de 1.250 à 4.750 tr/min. Ainsi motorisée, la nouvelle Mini accélère de 0 à 100 km/h en 7,9 secondes (7,8 secondes avec la boîte automatique) et atteint la vitesse maximale de 210 km/h. En matière d’émissions de CO2, elles se portent à 105 g/km (boîte de vitesses manuelle) ou 109 g/km (boîte automatique).
La Mini Cooper S est équipée d’un 4 cylindres de 2l de cylindrée. Il développe une puissance 192 ch de 4.700 et 6.000 tr/min et un couple de 280 N.m (300 N.m de manière temporaire) entre 1.250 et 4750 tr/min. Elle accélère de 0 à 100 km/h en 6,8 secondes (6,7s en boîte automatique) et sa vitesse maximale est de 235 km/h (233 km/h avec la boîte automatique). Les émissions de CO2 sont de 133 g/km (boîte manuelle) ou 122 g/km (automatique).
Enfin, la Cooper D cache sous son capot un 3 cylindres diesel 1,5l équipé d’un turbo à géométrie variable et d’une rampe d’injection commune dont la pression peut atteindre 2.000 bars. Il dispose d’une puissance de 116 ch à 4.000 tr/min et d’un couple de 270 N.m à 1.750 tr/min. La D accélère de 0 à 100 km/h en 9,2 secondes et atteint la vitesse de 205 km/h (204 km/h avec la boîte automatique). Ses émissions de CO2 se limitent à 92 g/km en boîte manuelle et 98 g/km en boîte automatique sur le cycle d’homologation.
Tous les moteurs sont associés à un (petit) réservoir de 40 litres, capacité identique à la précédente génération.
Châssis
Le châssis de la Mini reste fidèle au principe de l’essieu avant de type Macpherson à l’avant et de l’essieu arrière multi-bras. Grâce à l’emploi d’aluminium et d’acier à haute limite élastique pour les éléments de suspensions, la Mini contient son poids par rapport à la génération précédente.
Fidèles à la réputation de la marque, les équipes de développement se sont attachées à conserver les caractéristiques d’agilité et de maniabilité de la nouvelle Mini. De fait, il ne faudra pas attendre de la nouvelle Mini plus de confort de suspension par rapport à la génération précédente. Les ingénieurs ont mis la priorité sur les sensations de conduite.
En option, la nouvelle Mini peut être équipée d’un amortissement variable piloté.
Tableau de bord
La nouvelle Mini fait sa révolution ! Le grand cadran central, trônant toujours fièrement en haut de la console centrale, n’affiche désormais plus la vitesse (ni la jauge à carburant). Cette présentation était devenue obsolète et il était temps pour la marque anglaise de la faire évoluer.
L’instrument central est désormais entouré d’un anneau éclairé par des LED. Capable de produire 6 couleurs différentes, elles ont une fonction informative. Par exemple, en association avec le radar de recul, elle passeront du vert au rouge selon la proximité d’un obstacle.
Au milieu de l’anneau central prend place, en option, un écran de 8,8 pouces. Les commandes type cockpit d’avion sont naturellement conservées (commandant notamment l’éclairage intérieur ou la désactivation de l’ESP).
L’indicateur de vitesse, le compte-tours et le niveau de carburant sont désormais positionnés de manière classique, en face du conducteur. En option, la Mini peut être équipée d’un affichage tête haute.
Prix et date de sortie
Pour cette troisième génération, Mini ne perd pas de temps à dévoiler ses tarifs. Ainsi, le prix d’entrée pour l’achat d’une Mini Cooper reste inchangé à 19 950 €. Bonne nouvelle, pour la Cooper D, le prix tombe à 21 600 €, soit une baisse de 250 €. Même constat pour la version haut de gamme Cooper S affichée pour 24 750 € au lieu de 25 000 €. Du côté des équipements, rien n’a encore été communiqué, mais une Audi A1 est moins compétitive à motorisation équivalente.
Pour ce qui est de sa commercialisation, la nouvelle Mini est attendue au printemps 2014.
De l’avant, on reconnaîtra la nouvelle Mini à sa calandre agrandie ou (plus facile) à l’éclairage diurne en forme d’arc de cercle.
Pour les marques allemandes, il n’y a pas que la Chine qui offre de belles perspectives pour augmenter les volumes de ventes. Les Etats-Unis restent un marché où la marge de progression est encore intéressante. BMW souhaite donc lancer une offensive dans cette région du globe dans les prochaines années.
Sans renier ses origines européennes (on l’a vu d’ailleurs avec le festival de nouveautés à Francfort), BMW veut créer l’événement de l’autre côté de l’Atlantique avec des premières mondiales dans les salons US. Quitte à faire des choix un peu déroutants pour les européens. Il a ainsi décidé que la prochaine génération de la Mini, une voiture à la base calibrée pour le Vieux Continent, ferait ses débuts à Los Angeles, en novembre prochain (journées presse le 20 et 21).
Avant-première le 18 novembre
L’auto a donc volontairement séché le show de Francfort, pourtant plus médiatisé que celui de L.A. Mais quand on parle d’une petite chic qui s’adresse en priorité à des fashionistas, quoi de mieux que de faire sa première apparition sous le soleil Californien.
Il faudra un œil plus attentif pour distinguer la nouvelle Mini de l’ancienne à l’arrière. Cela se joue surtout au niveau des feux, très gros cette fois.
Bon, il y a quand même un petit respect de la tradition par Mini puisque l’auto sera quand même montrée légèrement en avance en Angleterre, lors d’une fête organisée dans l’usine de la marque à Oxford, le 18 novembre. Un jour pas choisi au hasard puisqu’il correspond à la date de l’anniversaire de naissance de Sir Alec Issigonis, créateur de la première Mini.
La révélation de la prochaine Mini ne devrait pas réserver beaucoup de surprises car BMW vient de donner les premières informations officielles sur la technique… mais surtout l’auto a été encore une fois surprise sans aucun camouflage lors d’une séance photo.
Too much …
La Mini 2014 ne marquera pas les mémoires par son originalité. Il ne fallait pas s’attendre à autre chose. Une auto qui joue la carte du néo-rétro ne peut pas être synonyme de révolution. On retrouve donc la silhouette légendaire de l’auto et les codes incontournables de Mini : vitrage dessiné d’un bloc, toit suspendu, optiques ovales… Evidemment, tous les éléments ont quand même été redessinés. Et les premiers avis sont plutôt partagés.
Les traits semblent tous avoir été forcés, donnant un côté jouet à l’engin. La calandre tombe plus bas, intégrant la plaque d’immatriculation. Elle a un petit côté grimaçant. Les feux arrière sont épais. Sur cette version Cooper S, l’intégration de la prise d’air supplémentaire dans le bouclier avant est douteuse, alourdissant l’ensemble. Dommage. On a l’impression que cette génération en fait trop.
On retrouve les codes Mini incontournables, comme le vitrage dessiné d’un bloc, donnant l’impression que le toit flotte au dessus de l’ensemble.
A bord, on attend des progrès en finition et en ergonomie. D’ailleurs à ce niveau, petite révolution : le compteur de vitesse sera placé en face du conducteur et non plus au milieu. Une bonne idée pour la lisibilité de l’information, même si cela faisait parti du charme de la Mini.
La partie technique modifiée en profondeur
Si le style ne sera pas bouleversé, il en est tout autrement de la technique, revue en profondeur. Et là, on parle avec des infos officielles. L’auto reposera sur un nouveau châssis. Les proportions ont été modifiées, avec notamment un porte-à-faux avant étiré pour une meilleure protection des occupants. Pour la sécurité des piétons, un capot actif sera disponible.
Pour toujours plus de plaisir au volant, la direction assistée électromécanique est toute nouvelle, contrôlant mieux les remontées de couple. Que l’on se rassure, Mini promet toujours l’agilité qui a fait la réputation de ses modèles (le comportement d’un kart). D’ailleurs, pour plus d’efficacité, l’auto adopte un train arrière multibras. La suspension sera pour la première fois réglable, avec deux modes de fonctionnement : sport et confort.
Une fois de plus, c’est lors de la séance photos/vidéos pour le dossier de presse que l’engin a été surpris. Faire ça en pleine rue aussi…
Il y aura aussi du changement sous le capot, avec une gamme de moteurs entièrement renouvelée. On n’en connait pas tous les détails. Mini n’a par exemple pas parlé des versions d’accès, les One, qui pourraient d’ailleurs n’être présentées qu’en mars prochain à Genève. Pour l’essence, exit les blocs mis au point avec PSA. A la place, on trouve un tout nouveau 3 cylindres turbo de 134 ch qui annonce un couple de 220 Nm. La Cooper S passera au quatre cylindres 2.0 de 192 ch (couple de 280 Nm, 300 avec l’overboost). Pour le diesel, on annonce là aussi un nouveau trois cylindres 1.5 de 116 ch. Grâce à un poids moyen annoncé en baisse, les consommations devraient être meilleures.
Voici déjà deux ans que les chasseurs de scoop traquent la Mini comme on a pu le voir ici et là avec une version cinq portes… Voilà quelques jours, c’est le site internet Carscoops qui a débusqué une Mini Cooper S III prévue pour fin 2013 sans aucun camouflage !
Dans cette livrée jaune, la nouvelle Mini se distingue peu de sa devancière pour le néophyte
Les plus connaisseurs remarqueront sur le cerclage lumineux des optiques de phare et la partie inférieure de la calandre recevant des formes inspirées du concept-car Rocketman. Une évolution qui casse un peu avec le style rétro…
De profil, on peut remarquer que la Mini prend encore un peu d’embonpoint pour cette troisième génération
La taille des optiques arrière suivent le même chemin en grossissant légèrement
Au chapitre des motorisations, la Mini 2013 devrait bénéficier d’un trois-cylindres 1,5 l et du quatre-cylindres 2,0 litres BMW
Le bouclier arrière de la Cooper S évolue un peu
Avec ces photos espions, on s’aperçoit que la Mini n’évolue pas tant que cela, du moins pas autant que les précédents spyshots et la nouvelle plateforme (la même qui sera utilisée pour la BMW Série 1 GT) le laisser penser.
Sur cette image, on croit deviner la disparition du fameux et imposant compteur central ?
Plus d’informations devraient paraître d’ici peu et sa première présentation au public pourrait avoir lieu lors du salon de Francfort au mois de septembre prochain.
Comme les informations parues au milieu de l’année 2011 le laisser penser, la troisième génération de la Mini va fortement évoluer. On pourrait se dire que les déclinaisons vont à nouveau fleurir, mais ce n’est pas tout, c’est le modèle en lui-même qui va profondément changer !
En tests, la Mini 5 portes prend une tout autre allure avec ces ouvrants supplémentaires
Bien plus longue, la future Mini 2013 n’a plus grand chose à voir avec le concept de la première Mini !
En effet, comme écrit ici, les dimensions de la future Mini vont grimper fortement du fait que ce sera sur la plateforme de la nouvelle Série 1 qu’elle reposera. Et deuxième bouleversement de taille, la Mini serait proposée en version… 5 portes ! Une déclinaison qui est donc pour le moins inédite et surprenante alors que jusqu’à présent on se tournait vers la Clubman quand la version 3 portes n’était pas suffisante en terme d’habitabilité.
Les photos espions ne permettent pas de juger du design de la future citadine chic, mais les rumeurs indiquent qu’elle se distinguera assez nettement de sa devancière. A suivre !
A n’en pas douter, c’est bien l’Audi A1 Sportback qui est visée par la citadine chic du groupe BMW !
La MINI est actuellement présentée au salon de Francfort, c’est donc l’occasion de présenter la MINI Coupé, la nouvelle petite sportive de MINI. Il est fort à parier que cette déclinaison fera partie dès son lancement des petites autos punchy et sexy à succès !
Mini Coupé 2011 : les moteurs et prix
Le tarif débute pour cette MINI Coupé sportive à 21350€ avec un quatre cylindres de 122ch.
Il faudra ajouter 1650€ pour avoir la boîte automatique. Pour la version S et ses 184ch, MINI fait passer le prix du neuf à 26.050 euros (la version avec boîte automatique sera disponible à 27.700 euros). La version John Cooper Works chapeaute la gamme: 32.700 euros.
La Mini Coupé JCW, elle n'aura sans doute aucun mal à faire de bons chiffres de vente !
Quel style pour cette Mini coupé 2011, on craque !
La Mini coupé, la plus masculine des Mini ?
Une seule version diesel est au menu avec la Cooper SD Coupé. Le moteur 2.0 litres de 143 chevaux permet à l’Anglaise de filer à 100 km/h en 7,9 secondes et jusqu’à 216 km/h.
Mini a pensé à la trappe à ski pour la Mini Coupé
L'intérieur de la Mini Coupé est sobre mais quelques liserés rouge viennent apporter un peu de gaité
Bref, un super design pour une petite citadine musclée au caractère joueur. Ce n’est pas une grosse berline mais son look fera pâlir les voitures de grandes envergures.
Alors que les dernières photos volées de la Mini 2013/2014 ont révélé la disparition de l’atypique compteur central qui participait beaucoup à la personnalité de l’habitacle de la Cooper, que nous réserve le constructeur au chapitre des tarifs ? Faut-il s’attendre à être surpris également ?
La prochaine génération de la Mini Cooper plus chère ?
La réponse est pour le moment difficile avec le peu d’information dont on dispose. Seulement une chose est sûre, la prochaine génération de la Mini va gagner quelques centimètres… Si la prise de croissance est prononcée, la citadine pourrait devenir une compacte et du coup les prix de la Mini 2014 serait logiquement impactés… Vendue aujourd’hui à partir de 15 990 €, la zone de prix pourrait se situer autour des 18 000 et 20 000 euros si le passage dans le segment supérieur se confirme. A suivre.
Récemment, la Mini Cooper 3 qui entrera sur le marché en 2013 a été surprise en phase de test. Les photos espions se sont révélées intéressantes car le constructeur serait décidé à allonger sérieusement la longueur de l’auto. La raison est que c’est la plate-forme de la prochaine génération de la BMW Série 1 qui sera utilisée. Et une autre info à filtré concernant ses motorisations : la petite Mini devrait être équipée d’un trois cylindres.
Si la Mini Cooper s’allonge, son poids devrait en prendre un coup, et les moteurs aussi !
Il s’agirait d’un TwinPower d’origine BMW. Les blocs PSA/BMW quitteraient donc la palette des moteurs de la Mini 2013 et les diesel devraient rester… mais rien n’est encore sûr. Affaire à suivre !
Que nous réserve Mini pour la prochaine génération de la Cooper prévue pour une commercialisation en 2013 ? Sur la base de la future BMW Série 1, la Mini 2013 héritera donc d’une plateforme fortement allongée, les photos espions ci-dessous ne prouvent pas le contraire malgré les nombreux camouflages ! Ces clichés permettent aussi de remarquer quelques changements esthétiques pour la Cooper. Ainsi, la taille de la grille d’aération diminue et logiquement le capot s’élargit et s’allonge. Certains sites automobiles ont assuré que les optiques avant comme arrière allaient fortement changer. Il paraît difficile de se prononcer immédiatement sur ce point étant donné qu’il s’agit souvent du dessin imposé par le camouflage, il n’est pas rare de voir des prototypes Mercedes aborder ces même feux…
La face avant de la Mini Cooper 2013 encore camouflée
La Mini Cooper a pris de l'empattement et ça se voit !
De nouveaux feux arrière pour la prochaine génération de la Mini Cooper ?
Enfin, du côté des modifications, on remarque l’arrivée d’une troisième porte ? Alors que la Mini Clubman existe déjà, on se demande comment le constructeur va rendre compréhensible sa gamme pour le consommateur (et la Mini Rocketman ?). Il s’agit sans doute de tests.
MINI vient de révéler tous les détails concernant son grand retour sur la scène du rallye, dès cette saison, avec sa MINI Countryman WRC.
La nouvelle équipe WRC MINI, qui sera dirigée par l’ancien pilote de rallye David Richards, participera à quelques rallyes triés sur le volet, dès cette année, tandis qu’en 2012, la voiture participera à toutes les compétitions régulières de la saison.
La MINI Countryman préparée pour le rallye !
C’est au rallye d’Italie que la MINI Countryman WRC va faire ses grands débuts. Ce rallye aura lieu du 5 au 8 mai sur l’île de Sardaigne. La MINI Countryman WRC devrait aussi prendre part au rallye de Finlande (juillet), au rallye d’Allemagne (août), ainsi qu’au rallye de France et d’Espagne, organisés respectivement en septembre et en octobre.
Les 2 pilotes principaux de l’écurie seront Kris Meeke et Dani Sordo.
La version rallye de la Countryman a été développée par le partenaire de MINI, Prodrive. La voiture sera équipée d’un moteur 1,6 l turbo, qui a été spécialement préparé par BMW Motorsport afin de développer 310 chevaux, ainsi qu’un couple de 420 Nm.
Le poste de pilotage du bolide
« MINI revient à ses valeurs d’origine », c’est ainsi que la nouvelle a été résumée par Ian Robertson, responsable des ventes et du marketing du groupe BMW.
Mini les avait présenté sous forme de concepts. Il s’agit des Mini coupé et roadster cabriolet. C’est cette dernière que l’ont appelle aussi Speedster qui a été surprise en test. Commercialisée en 2012 ou peut-être 2011, le petit coupé cabriolet à l’aileron arrière pourra accueillir seulement deux passagers.
La Mini Speedster déploiera sont aileron à partir d'une vitesse donnée
Présentées au salon de Francfort en 2009, ces spyshots nous prouvent bien que les déclinaisons n’ont pas été abandonnées, au moins le roadster, et c’est une bonne nouvelle !
Mesurant 4,11 mètres pour 1,79 mètre de large, la Mini Paceman Concept n’est pas très loin de la récente Countryman qui servira d’ailleurs logiquement de base à ce futur SUV coupé qui aura pour cible dans son viseur les Range Rover Evoque et Nissan Juke.
Sans doute très proche du modèle de série, ce concept-car présenté à Détroit a l’esprit baroudeur : garde au sol surélevée, plastique brut sur les bas de caisse, … Et pour être un vrai 4×4 la Paceman devra proposer une transmission intégrale permanente.
En tous cas, on sait déjà que le constructeur vise le haut de gamme comme l’affiche le moteur présent sous le capot : le 1,6 l Twin Scroll de 211 ch déjà présent sur les versions John Cooper Works.
Bien que la Mini soit toujours plébiscitée, BMW effectue un (très) timide restylage de son auto afin, peut-être, de ne pas trop souffrir de l’arrivée d’Audi et son A1
Avec ce restylage Mini nous fait jouer au jeu des 7 différences...
On retiendra que du coté des retouches stylistiques, elles concernent essentiellement la Cooper S avec notamment la légère modification du bouclier permettant de réduire l’impact en cas de choc piéton. Par ailleurs, la petite citadine branchée accueille des feux arrières à LED ainsi que des phares directionnels au xénon en option. Mini fait un clin d’œil aux jeunes avec la possibilité désormais de se connecter à Facebook et Twitter dans la voiture ! Un diesel (90 et 112 ch) conçu par BMW fait aussi son entrée, la plus importante nouveauté de ce restylage en somme…
Il est à noter que ces modifications concernent toutes les déclinaisons de la Mini (cabriolet et Clubman) et seront présentés au Mondial de l’Automobile 2010.
Le sujet des mandataires automobiles revient régulièrement sur le devant de la scène. Cependant beaucoup de zones d’ombres persistent. C’est pour cela que j’ai posé quelques questions en tant que néophyte à Jonathan Luck. Nous nous sommes déjà rencontrés et il est…