Une prime à la casse plus généreuse a été mise en place pour accélérer la reprise du marché automobile. Montants et conditions, voici ce qu’il faut savoir. Pour booster la reprise de l’activité dans les showrooms, le gouvernement a choisi la méthode de la carotte. De…
Le constructeur californien de voiture électriques sportives fait, certes plus de recettes, mais son défit se dégrade de plus en plus dangereusement. Avec des chiffres de ventes sur la bonne voie et une santé économique fragile, comment le constructeur peut-il faire pour aller mieux si ce n’est vendre davantage ?
Les recettes de Tesla Motors
Les recettes de Tesla Motors ne sont pas uniquement constituées de la vente de roadstars, il y a également des entreprises qui lui demande son savoir-faire dans son domaine par excellence : l’électrique. Ainsi, la marque fournit à Daimler des batteries pour sa Smart électrique, il a transformé le Rav4 de Toyota en tout électrique… Tout cela fait que les recettes ont progressé de 4 % de 2010 à 2009 (de 11,9 millions à 116,7). On attend mieux d’une entreprise qui démarre dans la Silicon Valley. Toutefois, l’automobile se développe pas aussi facilement que le dernier produit high-tech !
Un déficit inquitétant
Il s’agit du point noir de l’entreprise américaine. En augmentation de 200 % entre 2009 et 2010, ce pourrait être le facteur responsable de la disparition de Tesla. Heureusement, les investisseurs ont toujours confiance dans le constructeur en bourse. Alors que Tesla perdait 55,7 millions il y a deux ans et que l’année dernière ce fût 154,3 millions (!), l’action se tient toujours au Nasdaq.
Vendre plus pour retrouver l’équilibre financier
Avec 1 500 ventes au compteur, le constructeur devra donc vendre beaucoup plus pour être rentable. Déjà 3 700 commandes ont été réalisé pour son futur modèle S, voilà une bonne nouvelle !