Le Q3 affine sa ligne mais fait bien plus qu’imiter une mode lancée il y a maintenant plus d’une décennie par le BMW X6. En devenant Sportback, l’Audi se montre aussi bien plus vif et amusant à emmener.
J’ai récemment eu l’occasion de passer une journée en compagnie du Q3 avant de le laisser à Jean-Baptiste pour qu’il vous en fasse un essai complet (si vous ne l’avez toujours pas lu, il est dispo ici !). Bien élevé et rassurant, il ne m’était pas apparu particulièrement enthousiasmant au cerceau. Aussi n’avais-je pas de grandes attentes pour sa déclinaison Sportback, qu’Audi m’a invité à essayer dans la région de Valence, en Espagne. Coup de bol, je me suis bien trompé sur ce point. En suivant le magnifique roadbook concocté par le staff, j’ai eu tout loisir d’exploiter à fond le châssis du Q3 Sportback sur des routes sinueuses à souhait. Et quel pied ! Le feeling est totalement différent que dans le SUV classique, le « coupé » apportant avec lui la rigueur et la précision qui manquait sur son cousin plus conventionnel.
Grâce à des réglages plus fermes, il vire à plat et se maintient bien mieux sur ses appuis. La direction précise (direction progressive qui change le rapport de démultiplication en fonction de l’angle de braquage, livrée de série) aide à placer l’Audi avec confiance, même si elle ne remonte pas assez d’informations dans le volant. L’Allemand est très neutre dans ses réactions et il faut vraiment lui forcer la main plus que de raison pour le faire sous-virer, qu’il soit équipé de la transmission intégrale quattro, ou non. Un bon point qui traduit un bel équilibre général et une bonne répartition des masses (centre de gravité plus bas de 4 cm), au bénéfice direct de l’agilité. Tout ceci ne laisse présager que du bon pour le futur RS Q3 qui risque d’être, à l’inverse de son prédécesseur, réellement sportif en déclinaison Sportback. Le confort s’est lui aussi montré à la hauteur, malgré de grandes jantes de 20 pouces, en tout cas avec la suspension pilotée Audi drive select qui permet de choisir plusieurs lois d’amortissement.
Moteurs connus
Sans surprise, le Sportback reprend les blocs déjà présents sous le capot du Q3. On retrouve donc les 35, 40 et 45 TFSI côté essence, avec la présence d’un système électrique 48V et d’un alterno-démarreur sur le plus modeste. Côté diesel, on peut compter sur les 35 et 40 TDI. J’ai pour ma part commencé avec le plus puissant de tous, le 2.0 essence de 230 ch (45 TFSI). Souple et onctueux, il se fait rapidement oublier au quotidien. Mais quand le besoin s’en fait sentir, il délivre sa puissance de manière linéaire et reprend avec vigueur grâce à ses 350 Nm de couple. Une valeur très proche du 35 TDI qui revendique 340 Nm, mais qui doit se contenter de 150 ch. Forcément, les accélérations sont moins impressionnantes, mais le diesel ne démérite pas et se montre très suffisant pour qui cherche une auto polyvalente sans mettre la performance au premier plan.
S’il y a bien un grief commun que j’ai relevé sur les deux versions essayées, c’est la gestion de la boîte S tronic. L’unité à double embrayage n’est pas mauvaise en soi, loin s’en faut. Mais à cause des normes WLTP, Audi est obligée de la museler pour conserver des émissions correctes, ce qui nuit grandement à sa réactivité. A allure stabilisée, enfoncer la pédale de droite jusqu’au plancher ne prendra effet qu’une bonne seconde après que votre pied ait atteint le kick-down, et ce même en mode Dynamique. Le tout induit une impression de lenteur, alors que changer de rapport via les petites palettes derrière le volant se fait pourtant de manière assez rapide. Gageons que sur les modèles sportifs, la boîte sera autrement plus alerte.
Look 80 % nouveau
Bien que ce soit son popotin tronqué qui attire l’œil, le Q3 Sportback ne partage en réalité que 20 % de son extérieur avec le Q3. Pare-chocs, calandre, jantes, becquet de toit ou encore ailes élargies sont autant d’éléments qui différencient les deux carrosseries, sans parler de la silhouette plus dynamique du Sportback.
Quelques nouvelles couleurs font aussi leur apparition, comme l’Argent Rosé de ma monture, qui apparaît tantôt blanc, tantôt vert ou bleuté, mais rarement rosé ! La teinte lui va tout de même à ravir, surtout qu’elle souligne joliment les traits de carrosserie. Les bas de caisse et les passages de roues sont soulignés par un Gris Manhattan qui contraste avec la carrosserie.
Pas de surprise dans l’habitacle, qui reprend la planche de bord et les équipements du Q3, à l’identique. Totalement inutile donc indispensable, le petit logo quattro illuminé fait son effet la nuit ! Bon point pour les passagers arrière, la banquette abaissée compense la perte de 3 cm en hauteur due au design spécifique du Sportback. Oui, la garde au toit est un peu moins bonne, mais pas au point d’en faire un frein à l’achat sauf si vous prévoyez de transportez deux ou trois joueurs de NBA quotidiennement sur la banquette arrière. Le coffre n’est en revanche aucunement sacrifié, et affiche toujours 530 litres de capacité annoncée.
Le meilleur des Q3
Vous l’aurez compris, il n’y a pas grand chose que je n’aime pas dans l’Audi Q3 Sportback, qui se paye le luxe d’être quasiment aussi accueillant que son homologue non coupé tout en proposant un design et un châssis bien plus dynamiques. Le mieux a bien évidemment un coût, puisque les deux versions sont séparées de 3 000 € en finition de base. Un écart qui se réduit quand on monte en gamme, notamment parce que le Sportback est mieux équipé que le Q3 classique. Pas de quoi hésiter longtemps !
Un grand merci aux amis Guillaume et Yann pour l’aide sur les photos !
Audi pense aux familles avec son nouveau Q3 plus grand et plus spacieux. Nous l’avons essayé avec son plus petit moteur diesel, le 2.0 TDI de 150 ch, associé au système Quattro.
Dans les années 2000, les monospaces étaient les coqueluches des parents souhaitant transporter toute la famille. Les temps ont changé et les SUV ont désormais, et depuis quelques années, les faveurs des acheteurs. Si les parents se plaisent à rouler dans une voiture avec plus de caractère, ils n’en oublient pas leur besoin d’espace et d’aspect pratique. Audi propose donc un Q3 au design plus affirmé qu’auparavant mais qui ne néglige en rien les passagers.
Audi a abandonné les lignes rondouillardes de la précédente génération pour un dessin plus acéré. Les ailes, notamment arrières, plus sculptées, ou la calandre octogonale (propre au SUV de la marque contrairement au reste de la gamme qui adopte une calandre à 6 cotés) confèrent au Q3 un look plus agressif. Et avec cette couleur « orange pulse » impossible de passer inaperçu dans le trafic.
La place à l’honneur
Dans l’habitacle, tout est fait pour accueillir confortablement les occupants. À l’arrière, la banquette est rabattable mais aussi coulissante sur 15 cm. Cela a le mérite de laisser au choix plus de place pour les jambes des passagers ou pour leurs bagages. Les passagers qui seront d’ailleurs à l’aise s’ils ne sont que deux, mais qui ne devraient pas trop se plaindre si une troisième personne se trouve au milieu. À l’avant, le / la copilote a assez d’espace pour étendre ses jambes et ne se retrouvera pas avec les genoux dans la boite à gant, même avec le siège avancé. Pratique si plusieurs grands gabarits voyagent ensemble. Divers rangements de contenances généreuses sont disposés un peu partout dans l’habitacle.
La soute permet quant à elle des départs en vacances sereins. Le volume annoncé par Audi étant déjà de 530 L banquette reculée, il peut atteindre 675 L si cette dernière est avancée au maximum. Cette dernière position réduisant la place aux jambes de façon significative. Si un déménagement se profile, il est possible de rabattre les dossiers de façon individuelle pour bénéficier de 1525 L. Le plancher de coffre peut aussi se relever pour obtenir une surface plane.
Le confort d’abord
Sur la route, la plus grande qualité de ce Q3 est sans conteste son confort. Malgré le châssis sport, imposé par la finition S Line, et les jantes de 19 pouces dont nous disposions (option à 1000€), les imperfections de la route, comme les raccords de chaussée ou les plaques d’égouts, ne secouent jamais les occupants. Ce confort ne se fait pas au détriment du comportement routier. La voiture ne s’affaisse pas dans les virages et le roulis est bien maîtrisé. Il est à noter que nous étions équipés de l’option suspension pilotée et du Drive Select (850€) qui donne le choix du mode de conduite : Comfort, Dynamic etc (on trouve même un mode Offroad !). Il serait intéressant de voir ce que vaut le Q3 avec une suspension standard. Audi a l’habitude de régler ses autos de façon neutre et ce SUV familial n’y échappe pas. Si vous augmentez le rythme, il glissera alors gentiment de l’avant, même pourvu de la transmission intégrale. Cela arrivera d’autant plus vite sur le mouillé où les pneus Hankook, livrés d’origine, verront leurs limites rapidement atteintes.
Coté moteur, le 2.0 TDI 150 fait le boulot. Les 340 Nm dont il dispose dès 1750 tr/min sont les bienvenues pour fournir des relances suffisantes aux 1700 kg de ce Q3 (surement plus pour notre voiture d’essai bardée d’options). En revanche, l’insonorisation laisse quelque peu à désirer. Le claquement typiquement diesel se fait bien trop entendre, surtout lors des fortes accélérations. Bien qu’il ne disparaisse pas totalement, ce grondement sourd diminue fortement à vitesse stabilisée. La boite manuelle 6 rapports, la seule disponible si l’on souhaite bénéficier des 4 roues motrices, est bien étagée mais accroche lors des passages de vitesse. Autre grief, la consommation. Sans être totalement déraisonnable pour un véhicule de ce gabarit, ce 2.0 pourrait se montrer plus sobre. Nous avons en effet relevé près de 7 l au 100 km de moyenne sur un trajet autoroutier en roulant aux allures légales. Et si vous circulez régulièrement en centre ville, il va falloir être prêt à voir affiché régulièrement 9,5 l / 100 km sur l’ordinateur de bord !
Des options toujours aussi nombreuses
En plus de son châssis sport spécifique, notre finition S Line bénéficie d’un kit carrosserie spécifique. L’équipement de série comprend notamment le freinage d’urgence, la climatisation 2 zones, le Virtual Cockpit, ou encore le GPS. En revanche, pour un véhicule affiché à 45 260€, il est mesquin de devoir passer par la case option pour obtenir l’affichage des panneaux (300€), les sièges avant électriques (780€) ou encore les élément en alcantara (450€). Ces derniers égayent un habitacle joliment dessiné et rempli de rangements. Comme d’habitude chez Audi, les finitions sont excellentes, tout comme les ajustements et les matériaux choisis avec soin. Malheureusement cela n’est valable que pour les parties supérieures. Lorsque le regard plonge dans la partie inférieur de la planche de bord, les plastiques durs font leurs apparitions. Rien de bien gênant au quotidien mais cela chagrine un petit peu lorsque l’on monte dans un SUV qui se veut premium.
Cet Audi Q3 est donc une voiture confortable que les familles apprécieront pour son excellent confort et son habitacle accueillant, aussi bien à l’avant qu’à l’arrière. Si vous n’avez pas absolument besoin des quatre roues motrices, nous ne sauront que trop vous conseiller de vous tourner vers la version traction, automatiquement associée à la boite S-Tronic à 7 rapports. En plus d’une facilité d’utilisation accrue, cela devrait vous permettre d’abaisser les consommations de ce Q3 2.0 TDI 150 et ce, pour un prix catalogue similaire à notre variante Quattro.
Merci à Yohan Paschal (Classic Polish) et Thomas Chung pour leur aide précieuse pour les prises de vues extérieures.
Vous êtes un inconditionnel du SUV, mais vous aimeriez avoir également de la cavalerie sous le capot ? La firme d’Ingolstadt n’y voit aucun inconvénient comme en témoigne le RS Q3 proposant pas moins de 340 ch !
Moins de 5 s au 0 à 100 km/h pour ce SUV compact !…
Oui, l’Audi RS Q3 a réellement une fiche technique de sportive grâce à son cinq-cylindres 2,5 l TFSi ! Avec son restylage que nous vous avions détaillé en novembre dernier, le plus petit des SUV aux Anneaux n’a rien de ridicule au feu rouge, il égale même son rival qu’est le Mercedes GLA 45 AMG (un peu plus puissant, à 360 ch) en effectuant le 0 à 100 km/h en 4,8 s. Sa boîte S tronic à 7 rapports et sa transmission intégrale quattro n’étant certainement pas étrangers à cette performance…
Le restylage du Q3 apporte notamment cette calandre biseautée plus épaisse
Pour l’occasion, la puissance progresse de 30 ch et le couple de 30 Nm. Soit un total de 340 ch et 450 Nm sur les quatre roues
Depuis son lancement il y a trois ans, l’Audi Q3 se vend bien, mais pour autant la marque aux anneaux ne s’endort pas sur le succès de son SUV. En effet, en vue de l’ouverture du salon de Los Angeles, le constructeur d’Ingolstadt ne présentera pas uniquement un concept spectaculaire, son stand exposera aussi les Q3 et RS Q3 restylés !
Calandre « DS Wings » et xénon de série
En observant les images officielles des Q3 et RS Q3 millésime 2015, Audi nous a surpris. Pour une fois, et il faut le souligner, les retouches sont nettement plus visibles, du moins pour ce qui concerne la calandre. Et pour cause, celle-ci se distingue assez nettement en rejoignant désormais les deux blocs optiques façon « DS Wings » ! Il en résulte une impression d’avoir une auto plus haut de gamme et au faciès plus imposant.
Les modifications ne s’arrêtent pas là, puisque Audi en a également profité pour modifier quelque peu les phares en dotant le Q3 du xénon en série et du full LED en option. En outre, les clignotants sont maintenant à affichage dynamique et le bouclier arbore des entrées d’air (factices) plus grandes.
Le profil, la partie arrière et l’habitacle demeurent inchangés. Le Q3 affiche toujours 4,39 m de long et un volume de coffre s’élevant à 460 litres.
Des moteurs plus économes et plus puissants
En plus de faire passer à la norme antipollution Euro 6 les moteurs de son SUV (émissions de CO2 en baisse de 17 %), Audi précise avoir réduit leurs consommations et introduit la technologie « Audi cylinder on demand » permettant de désactiver deux cylindres sur quatre dans certaines conditions. Dans le détails, les cinq moteurs diesel et essence couvre une puissance allant de 120 à 220 ch, contre 140 à 211 ch auparavant. Pour les TDI, comme pour les TFSI, ce sont des quatre-cylindres. Leur consommation moyenne varie de 4,4 l à 7,2 l/100 km.
Pour le RS Q3 doté du quattro et de la S tronic à 7 rapports, le gain de puissance atteint 30 ch et 30 Nm de couple en passant de 310 ch à 340 ch et de 420 Nm à 450 Nm. Ainsi, le cinq-cylindres de 2,5 l de cylindrée retrouve sa puissance initiale qui était proposée sous le capot de l’ancien TT RS et se retrouve presque à armes égales face au Mercedes GLA 45 AMG fort de 360 ch. D’ailleurs, face à son rival étoilé, il établit le même score pour l’exercice du 0 à 100 km/h, soit 4,8 s ! Par ailleurs, il boit, en moyenne, entre 8,4 l et 8,6 l/100 km.
Disponible en début d’année prochaine
Pour terminer, les nouveaux Q3 et RS Q3 seront commercialisés en 2015. Pour le Q3, ce sera en février et pour le RS Q3 au courant du 1er trimestre.
L’entrée de gamme du Q3 débutera à 29 500 €, mais ne sera pas disponible immédiatement. Pour la version sportive RS Q3, le prix n’est pas encore indiqué. A titre de comparaison, avant restylage il s’échangeait pour 61 660 €, soit plus que les 58 900 € demandés par le GLA 45 AMG possédant pourtant 20 ch en sus. Espérons qu’Audi s’alignera sur son concurrent…
Avec aucun V6 prévu pour l’Audi Q3 4×4, le petit SUV devra se débrouiller avec de petits 4 cylindres (dégonflés déjà présents sur le Q5) qui seront composés de deux moteurs essence et un moteur diesel. Par ailleurs, la puissance des motorisations sera comprise entre 170 et 211 chevaux (de 158 à 184 g de CO2/km).
L'Audi Q3 surpris camouflé
Il faut savoir que la boîte de vitesse S-Tronic de 6 vitesses sera disponibles uniquement sur les plus gros blocs de 211 chevaux. Enfin, une version S du Q3 permettrai peut-être d’obtenir un V6 sous le capot de l’auto…
Dans un excès de confiance, Audi pourrait répéter la même erreur qu’avec l’Audi A1 en terme de positionnement tarifaire. En effet, pour la petite citadine premium le constructeur avait imposé des prix trop salés et injustifiés par rapport à la concurrence alors qu’il n’était pas le premier à arriver sur le secteur, bien au contraire !
Avec l’Audi Q3, la marque arrive une nouvelle fois après d’autres constructeurs auto tel que BMW avec le X1. Estimé à partir de 31 000 €, le prix du Q3 devra se justifier car pour certain son style serait bien trop proche de ses grands frères qui sont le Q5 et le Q7. Réponse en novembre 2011 !
Audi n’a pas supporté longtemps que son rival de toujours, à savoir BMW, fasse débouler sur le marché des SUV le petit X1. Et la parade se nomme Q3. Le constructeur allemand a décidé de faire son entrée lui aussi sur le segment des petits 4×4 premiums.
Décidément, c’est une tendance générale, tous les constructeurs qui auparavant se limitaient à quelques modèles se diversifient énormément, y compris les marques destinées à un clientèle aisée comme Porsche avec le Cajun ou Bugatti qui aurait pour projet de sortir une berline.
La future Audi Q3 prévue pour 2011 ?
S’inspirant du design du concept Cross Coupé (photo ci-dessous), l’Audi Q3 2011 sera dessinée dans un style dynamique pour lui éviter les reproches faits au Q7 qualifié de trop « pataud ». Mesurant environ 4,40 mètres, il se distinguera également de ses grands frères par une lunette arrière fortement inclinée. Par ailleurs, il se voudra plus huppé que ses rivaux germaniques.
Le concept Cross coupé, inspirateur en terme de design pour le Q3
C’est sur le circuit Paul Ricard au Castellet qu’Audi nous a invités pour célébrer les 90 ans de la marque. Mais l’anniversaire de la réunion des 4 anneaux fut aussi le prétexte pour rappeler à tous, notamment aux trois du fond qui auraient oublié, qu’Audi rime avec…
MG frappe très fort avec sa compacte MG4. Ses tarifs ultras serrés laissaient présager le pire, mais c’est au contraire une grosse surprise que nous réserve le constructeur chinois. Avec les marques…