En roulant en Suède pour l’essai de la Skoda Octavia Combi, j’ai été surpris par le nombre de breaks que l’on croise sur les routes. Le parc automobile suédois ne ressemble pas au parc français. En effet, on retrouve beaucoup moins de SUV dans le pays scandinave alors…
L’Opel Astra OPC est la plus puissante de sa famille jamais produite par la marque au Blitz. Ce coupé, dérivé de la variante GTC, est animé par un moteur turbo 2 litres à injection directe de 280 chevaux.
Le sport automobile a toujours fait partie intégrante de l’histoire d’Opel où la plupart des modèles eurent droit à leur déclinaison “hautes performances”. Depuis quelques années, cette famille de produits repose sous l’appellation OPC (pour Opel Performance Center)
Parlons design. De ce point de vue, nul doute que l’Astra OPC (qui reprend la base du coupé GTC) ne passera pas inaperçue ! Avec ses ailes rebondies, ses jantes de 19 pouces (20 en option !), sa grille de calandre, ses sorties d’échappement chromées, ses rétros sculptés ou encore son aileron arrière, il n’y a pas à dire : la belle ne fait pas dans la dentelle ! Maintien parfait et position de conduite ajustable dans les moindres détails, volant et changement de vitesses tombent parfaitement dans les mains.
Au volant, nous avons retrouvé la copie quasi parfaite de la planche de bord de la GTC : finition très correcte, équipement particulièrement généreux, une multitude de boutons … Parmi ceux-là, le propriétaire d’un modèle OPC apprendra à en repérer deux en particulier : “Sport” et “OPC”, ces touches qui lui permettront de moduler la sportivité de sa monture et de ses 280 bouillonnants canassons !
C’est en effet la puissance que développe son 2.0 litres turbo et injection directe d’essence. Le train avant – pivots découplés – du coupé GTC (repris en partie de l’Insignia OPC) a été amélioré pour assurer un bon guidage des roues mais la cerise sur le gâteau vient du différentiel à glissement limité (multidisques) qui équipe, en série, ces versions OPC.
L’Astra OPC est facile à conduire d’autant qu’il est possible de moduler la réponse de l’accélérateur et des suspensions Flexride (grâce aux boutons Sport et OPC) et même de choisir un mode “compétition” pour son ESP qui autorise alors quelques légères dérobades. Pour le plaisir !
Prix : à partir de 34 640 €.
Et c’est ça que vous appelez un « essai » ? Mort de rire, on dirait une de ces pseudo-vidéos qu’on trouve sur la Centrale pour présenter les véhicules en vente…
Filmé avec un téléphone portable c’est bien ça ? Et que dire du son…. magnifique ! ^^
Bonjour,
vous êtes sévère pour cet « essai » que l’on pourrait mieux qualifier de « prise de contact ». Toska n’est pas un journaliste, on fait avec les moyens du bord et chaque doit débuter un jour ou l’autre. 😉