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En sus de la version de série du TT, Audi profite du salon de Genève pour dévoiler un concept-car : le TT Quattro Sport. Cette étude a pour but de démontrer les capacités de la troisième génération du coupé allemand.
Un design très expressif
Ulrich Hackenberg, directeur technique de la firme d’Ingolstadt, explique que « cette voiture est conçue pour la course – une machine de conduite extrême pour les amateurs de sport automobile parmi nos clients ».
L’Audi TT Quattro Sport Concept voit sa garde au sol diminuer et son châssis est allégé grâce à un mélange de carbone et de fibre
En découvrant les images de la TT Quattro Sport Concept et son immense calandre à la grille spécifique, ses prises d’air hypertrophiées avec sa lame avant carbone, on imagine très bien l’auto dévorer le bitume à toute allure !
Les grosse roues de 20 pouces chaussées de pneus semi-slicks, les jupes latérales, les deux sorties d’échappement rondes de part et d’autre du diffuseur et surtout l’aileron conséquent fixé sur le hayon achèvent de nous convaincre de la vocation sportive de l’engin.
Du côté de l’habitacle, Audi a retiré tout le superflu pour dépouiller au maximum la voiture et gagner en poids. Ainsi, les poignées de porte sont remplacées par des sangles et des sièges baquets en Alcantara font leur apparition. L’écran digital de 12,3 pouces est toujours présent derrière le volant qui reçoit d’ailleurs quatre boutons supplémentaires dont un de couleur rouge pour mettre le moteur en route.
Le 2,0 l TFSI poussé à « bloc »
Venons-en donc à la mécanique. Sous le capot du TT Quattro Sport, Audi y a inséré un quatre-cylindres essence 2,0 l turbo TFSI qui développe la puissance impressionnante de 420 ch à 6 700 tr/min, soit un rendement de 210 ch/l !
Le couple moteur n’est pas en reste, puisqu’il est ici affiché à 450 Nm de 2 400 à 6 300 tr/min, tandis que dès 1 900 tr/min ce sont 300 Nm qui sont disponibles. Par ailleurs, le rupteur intervient à 7 200 tr/min.
Ce bloc est renforcé avec des pistions spéciaux en aluminium avec un canal de refroidissement intégré au vilebrequin en acier forgé à très haute résistance. Il permet au coupé de franchir la barre des 100 km/h en 3,7 petites secondes grâce à une boîte automatique à double embrayage S tronic et à une transmission intégrale permanente Quattro. Le poids de l’ensemble est de 1 344 kg, avec une répartition des masses de 54/46 entre le train avant et arrière.
Les ingénieurs du constructeur ont revu les liaisons au sol, les béquilles électroniques (désactivables partiellement ou totalement) et le freinage pour offrir un tenue de route à la hauteur du surplus d’équidés.
Belle évolution du design qui donne du caractère , cependant , une telle puissance dans un bloc moteur si petit (2l) je reste dubitatif quand à la durée de vie du dit moteur même si il est vrai qu’ AUDI emploi aujourd’hui des ingénieurs de renom.
à suivre…
Les Audi et la TT en particulier a une calandre en nid d’abeille vraiment belle et typée, encore plus sans la plaque d’immatriculation.