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Près de 400 ch pour aller chercher la M2 ?
La dernière prise des photographes espions de Worldcarfans ne laisse guère de doute sur la nature du prototype qui a été immortalisé à l’essai sur piste. Il s’agit très probablement du TT RS, soit la version la plus musclée du coupé aux Anneaux qui viendra remplacer le modèle actuel sorti en 2009.
Sur les différents clichés, on peut déjà deviner les quelques changements d’apparence que l’on pourrait découvrir au salon de Genève, au mois de mars 2016 prochain. A l’avant, le bouclier sera intimidant avec ses entrées d’air agrandies. Le profil devrait exhiber de nouvelles jantes de grande taille, ainsi que des jupes latérales pour assoir l’auto visuellement. La poupe n’est pas en reste avec les deux traditionnelles sorties d’échappement ovales – une des caractéristiques des modèles RS – et un aileron fixe devrait être ajouté ultérieurement.
De 340 ch, le TT RS pourrait passer à 400 ch, voire même davantage pour le TT RS Plus se contentant jusqu’à aujourd’hui de 360 ch
Sous le capot, les pronostiques actuels laissent croire que l’on retrouvera le cinq-cylindres essence 2,5 l TFSI, mais uniquement associé à une boîte à double embrayage S tronic. La transmission intégrale quattro devrait encaisser une puissance qui atteindra les 400 ch, si ils ne sont pas dépassés avec la version Plus ! Pour rappel, la RS 3 utilisant le même bloc développe 367 ch tout en gratifiant son conducteur d’une sonorité atypique…
De quoi déclarer à la guerre à la BMW M2 que l’on vient de vous présenter sur Abcmoteur ! Le prix de vente est estimé à environ 60 000 €.
Intéressé par l'automobile depuis mon plus jeune âge, je suis le fondateur du site Abcmoteur me permettant de continuer à faire vivre ma passion et à la partager avec vous. Ici, tout sujet peut être abordé, du moment qu'il soit en rapport avec la thématique : l'automobile !
2 Commentaires
marco74
sur 19 octobre 2015 à 11 h 26 min
Autant la ligne du TT m’interpellait dans se première mouture (8N) lorsqu’elle se présentait toute en rondeur au début des années 2000, autant celles de ses descendantes (8J – 8S) me laissent de marbre… Dies lässt mich kalt !
Je sais, je sais que pourtant son offre moteur a évoluée et que son intérieur s’est bonifié, mais ses traits découpés à la serpe me paraissent beaucoup trop proches de ceux des autres modèles d’Ingolstadt alors qu’elle devrait revendiquer son caractère propre de petit coupé / cabriolet, mieux, elle donne l’impression de se fondre dans le paysage des moules et matrices à tôlerie de Volfsburg, ce qu’elle ne peut prendre pour un compliment.
En versions S et RS avec les peintures du guerre qui vont bien, dotées d’efficaces pneus à flanc bas chaussés sur de magnifiques et énormes jantes et des suspensions sports qui abaissent sa ligne de caisse, elle aura bien-sûr toujours de la gueule, mais c’est dans les versions d’accès que le tableau esthétique se fragilise…
Si la TT-RS fait bien référence au RAC Tourist-Trophy trusté aujourd’hui par les R18 e-tron quattro et consorts en LMP1, elle mériterait de mieux démarquer ses atours de ceux de la production de masse.
Autant la ligne du TT m’interpellait dans se première mouture (8N) lorsqu’elle se présentait toute en rondeur au début des années 2000, autant celles de ses descendantes (8J – 8S) me laissent de marbre… Dies lässt mich kalt !
Je sais, je sais que pourtant son offre moteur a évoluée et que son intérieur s’est bonifié, mais ses traits découpés à la serpe me paraissent beaucoup trop proches de ceux des autres modèles d’Ingolstadt alors qu’elle devrait revendiquer son caractère propre de petit coupé / cabriolet, mieux, elle donne l’impression de se fondre dans le paysage des moules et matrices à tôlerie de Volfsburg, ce qu’elle ne peut prendre pour un compliment.
En versions S et RS avec les peintures du guerre qui vont bien, dotées d’efficaces pneus à flanc bas chaussés sur de magnifiques et énormes jantes et des suspensions sports qui abaissent sa ligne de caisse, elle aura bien-sûr toujours de la gueule, mais c’est dans les versions d’accès que le tableau esthétique se fragilise…
Si la TT-RS fait bien référence au RAC Tourist-Trophy trusté aujourd’hui par les R18 e-tron quattro et consorts en LMP1, elle mériterait de mieux démarquer ses atours de ceux de la production de masse.
Il est vrai que souvent les modèles allemands payent bien peu de mine sans une ribambelle d’options fort onéreuses.