En 2024, Volkswagen renouvelait le Tiguan sans relancer de version Allspace 7 places de son SUV. Et ce n’était pas un oubli de la part de Volkswagen : le constructeur allemand a adopté une nouvelle stratégie en lançant un modèle 7 places inédit, qui s’intercale entre…
Vous n’êtes pas sans avoir remarqué que depuis le début du mois de mars le prix des carburants s’est envolé en raison de la guerre en Ukraine. Une hausse fulgurante laissant atteindre les produits pétroliers à de tristes records. Une situation qui fait naître une gronde chez les automobilistes mais aussi de nombreux professionnels dont les premières actions commencent.
Des dépôts bloqués
Certains dépôts de carburants font l’objet de manifestations qui sont pour l’instant des barrages filtrants. Cependant, la situation pourrait alors se tendre avec le blocage entier des lieux de stockage. Les revendications se cristallisent autour d’une baisse massive des taxes sur les carburants qui représentent environ 55% du prix des carburants. Cet élément combiné a la hausse du prix de la matière première en raison du conflit russo-ukrainien fait dépasser essence et diesel les 2€ le litre dans de nombreuses stations.
Pour rappel, le mouvement des gilets jaunes né en novembre 2018 provenait de la hausse du prix des carburants qui approchait 1€50 le litre à l’époque. Il est alors normal de voir aujourd’hui une contestation naître d’autant plus que le gouvernement ne prévoit pas une baisse la fiscalité sur les produits pétroliers. Une contestation naissante qui pourrait perturber les élections présidentielles s’approchant.
Pour l’heure une pénurie ne semble pas à craindre. Néanmoins, si le mouvement et ses actions persiste la situation pourrait devenir difficile.