En 2024, Volkswagen renouvelait le Tiguan sans relancer de version Allspace 7 places de son SUV. Et ce n’était pas un oubli de la part de Volkswagen : le constructeur allemand a adopté une nouvelle stratégie en lançant un modèle 7 places inédit, qui s’intercale entre…
Les fêtes approchant à grands pas, chez Abcmoteur on a donc décidé de vous faire plaisir avec quelques cadeaux et une offre avantageuse…
Le père Noël a déposé 4 lots chez Abcmoteur !
Noël arrive d’ici une semaine, et pourtant le bonhomme vêtu de rouge a déjà déversé le contenu de sa hotte à votre blog préféré ! J’ai ainsi à vous faire gagner un stage de pilotage et trois abonnements numériques à l’Auto-Journal. Et si jamais la chance n’est pas avec vous, j’ai également de quoi vous faire profiter d’une réduction sur ce magazine.
Comment participer au concours ?
Pour aller se faire plaisir sur circuit, glace ou terre (le détail de la smartbox se trouve ici) ou remporter l’un des trois abonnements numériques au bi-mensuel qu’est l’Auto-Journal, il vous suffit de nous raconter votre plus belle expérience à bord d’une auto en posant un commentaire (avec adresse mail valide) à la suite de cet article. Ce souvenir peut avoir été vécu au volant, comme en passager. Pour augmenter vos chances (participation x 2), il vous suffit de retweeter le tweet suivant en prenant soin de préciser votre pseudo dans votre commentaire :
https://mobile.twitter.com/abcmoteur/status/677538651136516096
Comment bénéficier de l’Auto-Journal à prix réduit ?
Si vous désirez offrir ou vous offrir l’Auto-Journal avec 30 % de réduction à l’occasion des fêtes, c’est par ici qu’il faut se diriger afin de recevoir ce magazine qu’on ne présente plus ! Le compagnon idéal pour être au courant de l’actualité automobile, des modèles à venir et découvrir les dernières nouveautés aux mains des essayeurs.
Sur ce, bonne chance à tous, j’ai hâte de lire vos histoires ! 😉
Depuis ma naissance, j’ai grandi avec une seule passion , l’automobile.
A l’âge de 8 ans ,une voiture commençait à me faire rêver, une japonaise, une subaru impreza .
j’ai commence à conduire une citroen c2 vts, première révélation de voiture sportive, je me lançais toutes les nuits dans les cols mythiques du championnat WRC , comme le col de Turini .
Cette VTS a été une révélation et j’ai par la suite acheté une 207 rc .
je commençais à apprendre la conduite avec moteur turbo et m’améliorer au fur et à mesure en roulant sur des circuits comme le Driving Center ect ..
Un jour, il y a exactement deux mois jour pour jour, J AI REALISE MON REVE !
j’ai achete mon gros jouet, mon bébé , ma passion , mon rêve, une SUBARU IMPREZA STI 9 .
bleu , jantes dorées, ligne madac, dump valve forge, mélodieux son du flat 4 , conduite en glisse dans la terre , sous la pluie…
j’ai une seule hâte, la chute de neige abondante dans la station de ski la plus proche afin de faire des travers et d’utiliser à fond le DCCD ( réglage des ponts et plus précisément des différentiels )
Depuis ce jour là d’acquisition , je ne dors plus , je vibre flat 4 , je respire Subaru . Sur mes étagères , je possède la miniature, je dors en pyjama subaru.
tous les matins je ne déjeune plus, je bois de la MOTUL 300V , je respire du POTENZA RE070 .
C’est un plaisir incroyable , un châssis hallucinant, une précision de conduite hors du commun, que du bonheur .
les mots ne suffisent pas pour décrire ce bonheur, un rêve enfin réalisé , je suis comme un enfant devant ma monture . J’en fais profiter tous mes amis lorsque je les amène faire des petites balades .
longue vie à abcmoteur et toujours un plaisir à lire et toujours des nouveaux articles passionants .
LOVE MY STI 9
Aaah j’adore !! Je te reconnais bien, tu étais comme un enfant devant son jouet lorsque tu as pris les clefs et c’est clairement une petite bombe cette Impreza STI !…
A essayer pour ceux qui peuvent avoir la chance d’en conduire une, c’est redoutable d’efficacité !! Et puis quoi, c’est une voiture mythique !
C’est avec ma première voiture, une Golf 3 GTD que j’ai eu juste après mon bac. J’ai donc fêté l’été comme il se doit et cette voiture est marquée dans mon esprit grâce à ça
J’ai retweeté sur twitter avec mon pseudo : foxn117
Joyeuses fêtes de fin d’année
Sympa pour débuter avec un permis neuf. Dire qu’elle avait seulement 75 ch à l’époque… et qu’aujourd’hui elle en compte 184. 😮
Ma plus belle expérience est très certainement à bord de la Mercedes 300 SL de mon père. On partait chaque année en vacances avec en prenant les routes de campagne et pas les autoroutes pour profiter du paysage et du plaisir de rouler dans sur toutes ces routes
Quelle chance !… J’imagine à peine le plaisir ressenti !
Coucou, ma plus belle expérience en auto c’est en deudeuch … Honnêtement, c’est une voiture tellement populaire et merveilleuse !!
J’ai été tellement contente de remonter le temps et me pavaner dans ce bijou
Passez de bonnes fêtes de Noël et merci
Je suis fan sur twitter et j’ai RT le post concours (lilouenseptembre)
Je n’ai jamais tenté l’aventure à bord de cette auto pourtant incontournable, j’espère en avoir un jour l’occasion !
Et bien je vous le souhaite aussi..c’est top !!
Bonsoir à tous,
Et bien je me lance, et vais vous raconter ce qui constitue pour moi la plus belle expérience vécue à bord d’une auto, enfin presque puisqu’il s’agissait d’un combi VW.
Nous sommes le dernier dimanche de juillet en cette année 2005, la route est large et peu fréquentée, nous filons sur la voie de gauche à vive allure vers notre destination, profitant d’un ruban asphalté aux accotements de terre rouge incertains qui déroule devant nous de grandes lignes droites tracées au cordeau au beau milieu de collines habillées de hautes herbes jaunies par un hiver trop sec et de quelques huttes rondes blanchies à la chaux et couvertes de paille qui semblent avoir été parsemées ici et là… Le soleil devient rasant, les ombres s’allongent la nuit ne va plus tarder à tomber sur le pays Zoulou.
A bord de notre minibus, malgré la fatigue d’une rude journée passée sur la route, la tension monte doucement, nous devons impérativement franchir les portes de l’Hluhluwe-Umfolozi Game Reserve avant leurs fermetures car au coucher du soleil la nature reprendra ses droits et il nous sera alors impossible de rouler dans le parc pour rejoindre le Hilltop Camp où nous devons passer la nuit.
Après un solide petit déjeuner puis notre départ en milieu de matinée du Forester Arms, un vieil mais néanmoins charmant hôtel aux relents coloniaux, fait de bois surannés en plusieurs bâtisses à simple rez-de-chaussée disséminées dans une clairière, des paysages toujours plus saisissants les uns que les autres ont défilés devant nos yeux ébahis par tant de beauté, depuis les immenses plantations forestières de conifères de la région montagneuse de Mhlambanyatsi à l’ouest du pays entre Mbabane et Manzini, aux plateaux arides du sud du Royaume du Swaziland jusqu’aux premières collines couvertes de savane du Kwazulu-Natal à moins de trois cents kilomètres au nord de Durban.
Six heures du soir moins quelques poussières, nous voici enfin devant le Mémorial Gate, mis à part les quelques gardiens du parc, il n’y a pas âme qui vive. Nous sortons nos rands sud-Africains et nous acquittons des taxes en échange desquelles le guichetier nous distribue nos billets d’entrée et un plan du parc en nous lançant un « Nice Evening ! » prémonitoire. La nuit tombe, nous comprenons que l’hôtel est encore à quelques kilomètres en haut de l’une des collines qui se devinent au loin et qu’il va falloir le rejoindre à la lumière de nos feux de route. Les barrières du parc se referment derrière nous, nous serons les derniers visiteurs de la journée…
A peine une centaine de mètres plus loin le Combi stoppe net; Devant nous à une dizaine de mètres, un énorme Rhinocéros blanc vient de s’arrêter sur la piste et nous fait face. Le Cératotherium simum doit bien faire plus de deux mètres de haut, toute la longueur du Van et peser au moins trois tonnes. Les plissures de son épais cuir grainé restent immobiles, derrière sa large mâchoire et sa corne dressée contre nous il semble nous observer de ses petits yeux noirs tout ronds. Seules ses oreilles cylindriques en feuilles repliées s’orientent tour à tour, traquant le moindre indice… Nous éteignons les feux de positions, coupons le moteur, faisons silence et retenons notre respiration… Une pensée me traverse l’esprit, combien de temps résisterait la mince plaque de tôle peinte du capot ou de la portière s’il lui venait l’idée saugrenue de nous repousser ? « Glups ».
Pendant ce face à face qui nous parait interminable, digne d’un duel d’Ennio Morricone, quelques buissons s’agitent derrière le Rhino, plusieurs masses sombres apparaissent lentement, aïe, il est maintenant accompagné de toute sa famille. Dans le minibus tout le monde s’est regroupé autour de la banquette avant, les yeux grand ouverts, rivés devant ce spectacle magistral; Les présentations sont faites mais la forme nous laissent un petit arrière-goût, je déglutis à nouveau…
L’un de nous émet alors une idée lumineuse et suggère en chuchotant que nous remettions en route et fassions doucement marche arrière jusqu’au portail du parc. Je me retourne et malgré la pénombre ne distingue plus les gardiens, ils ne sont plus là, où sont-ils donc passés, il y a encore cinq minutes ils étaient là à discuter autour d’un pick-up…
C’est alors que juste devant les portes de bois, sortent des fourrés un troupeau d’éléphants, une dizaine environ, marchant d’un pas décidé, un grand mâle en tête de cortège, ses larges oreilles déployées et ventilant d’avant en arrière, la trompe pendante se balançant de part et d’autres de ses deux défenses à la blancheur réfléchissante. Les pachydermes empruntent la piste et se dirigent droit sur nous; Parbleu, nous sommes encerclés.
La scène est absolument incroyable de puissance et de beauté mais terriblement angoissante, quand nous nous promenions dans les réserves voisines du grand Kruger trois jours plus tôt à la recherche des « Big five », nous étions immanquablement accompagnés d’un ranger, d’un pisteur et il y avait toujours un fusil chargé dans le Defender pour le cas où…
Nous voilà seuls, livrés à nous-même et à vrai dire bien peu de choses ce soir-là…
Nous ne passerons cependant pas notre première nuit dans le Transporter, petit à petit les animaux rois de cette immense réserve, la plus ancienne d’Afrique du Sud, vont s’effacer de la piste et nous laisser passer. Sur la petite dizaine de kilomètres qui nous sépare de nos lits, nous ne serons plus jamais importunés par ces géants ou d’autres animaux sauvages. Nous garderons cependant longuement en mémoire des images fabuleuses de ce grand moment d’émotion que nous avons vécu ensemble.
Voilà, j’espère que mon histoire vous a plu.
Je tiens toutefois à préciser, pour le cas où le jury d’Abcmoteur serait touché par ce récit, que je ne désire pas recevoir de lot et souhaite que celui-ci soit ré-attribué à plus nécessiteux que moi, Noël oblige.
Joyeux Noël à tous.
Hello Marco, tu racontes tellement bien que je m’imaginais être dans le Combi ! Vous avez eu chaud, même si le spectacle était mémorable !!
C’est bientôt noté pour le concours, c’est très gentil de ta part de laisser ta place aux autres. 🙂
A bientôt !
J’ai deux souvenirs qui m’ont marqué… ! Il y en a un, avec lequel j’ai attrapé la (bonne) grippe des BMW, c’est lorsque mon popa a eu une 325 TDS E36 ; Une accélération assez franche et ces quelques mots : « Tu vois, ça c’est un moteur ! Un 6 en ligne, ça respire ! Écoute ! »
Mais LE souvenir, c’est surtout la première fois où mon père a eu sa première 205 GTi 1900 – Lorsqu’il a pu la conduire pour la première fois (nous sommes allés la chercher ensemble), j’étais encore jeune (en 2003, 12 ans) et là, au premier coup de gaz… Il y a eu une révélation pour nous deux : c’est LA voiture sportive !!! L’ambiance, l’odeur de l’habitacle, la moquette rouge, et surtout le bruit caractéristique !!!!!
Depuis ce jour là, nous sommes tous les deux fous de la 205 GTi, chacun à la sienne (grâce à un énoooorme cadeau de mon popa) et cette joie de conduire ces bombinettes n’est pas prêt de s’arrêter 🙂
Depuis, de nombreuses balades ont été faites, nos 205 font quelques salons (Caen, Rouen, Paris…) et grâce au club « 205 GTi Classic Club » (instant pub !), l’esprit de 205 GTi full stock continue de respirer et de ronronner, tout en faisant tourner les têtes à chaque passage… 🙂
Merci ABCMot’ pour tous les articles et ce concours 😉
Bonne chance à tous, faites-nous rêver les lecteurs !
Très belle histoire Julien, merci ! 🙂