En 2024, Volkswagen renouvelait le Tiguan sans relancer de version Allspace 7 places de son SUV. Et ce n’était pas un oubli de la part de Volkswagen : le constructeur allemand a adopté une nouvelle stratégie en lançant un modèle 7 places inédit, qui s’intercale entre…
Le constructeur japonais, que l’on connaît surtout pour sa gamme deux roues, présente cette année un sympathique concept de coupé sportif au 45ème salon de Tokyo, sous la dénomination Sport Ride Concept. Le but ? Proposer une voiture sportive qui délivre la même excitation, volant en main, qu’une balade au guidon d’une moto supersportive.
Le Sport Ride Concept est un coupé compact aux traits agressifs. Bien que d’une manière générale Yamaha ait su conférer une identité propre à son étude de style, on peut trouver des similitudes avec d’autres coupés : l’avant ferait presque penser à la récente Honda NSX, la forme de l’arrière singe une certaine Renault Dezir tandis que la silhouette évoque l’Artega GT qui n’aura pas survécu bien longtemps à la concurrence. Toutefois la forme des échappements rappelle que l’on est bien en présence d’un constructeur de motos. L’intérieur asymétrique est résolument pensé pour le conducteur, avec une console centrale tournée vers celui-ci.
Un peu de magie anglaise
Pour concevoir le Sport Ride Concept, Yamaha a utilisé la technologie iStream, qui s’appuie sur des procédés venus de la Formule 1 et qui garantissent un poids plume associé à une rigidité à toute épreuve. En témoignent les 750 kilos annoncés. Le détail qui fait toute la différence ? iStream est développé par Gordon Murray Design, et si par malheur vous ne sauriez pas qui est ce grand monsieur, il n’est ni plus ni moins que le concepteur de la mythique McLaren F1. Autant dire qu’il s’y connaît un minimum et du coup, nous, on a bien envie qu’il arrive en série ce Sport Ride Concept, histoire de voir ce qu’il propose.
Pas la peine de s’emballer, aucune motorisation n’est annoncée ce qui prouve bien que la production est encore très loin. Comme le doute est permis, on pourrait imaginer un moteur de moto, comme Suzuki l’avait fait en 2001 avec la GSX-R/4. Ou bien encore un trois ou quatre cylindres turbo compact et gavé de couple. Allez Yamaha, osez !