En 2024, Volkswagen renouvelait le Tiguan sans relancer de version Allspace 7 places de son SUV. Et ce n’était pas un oubli de la part de Volkswagen : le constructeur allemand a adopté une nouvelle stratégie en lançant un modèle 7 places inédit, qui s’intercale entre…
On pensait que les voitures thermiques neuves allaient disparaître en 2035 en raison d’une interdiction de l’Union Européenne mais les rebondissements de ces dernières semaines offrent un espoir pour le moteur à explosion. En effet, certains pays dont l’Allemagne ne souhaite pas voter le texte dans son état actuel ce qui pousse les représentants des pays à se réunir pour discuter une nouvelle fois.
Une réunion au Parlement en cours
Le Parlement européen est actuellement réuni pour essayer de mettre les 27 pays d’accord sur le texte visant à interdire la vente des véhicules thermiques en 2035. En effet, certains pays, principalement l’Allemagne ne souhaitent pas adopter ce texte car aucun aménagement n’est prévu pour les carburants synthétiques comme il était prévu. Le pays d’outre Rhin étant un fervent défenseur de cette nouvelle technologie notamment Porsche avec le e-Fuel, il est normal de voir les dirigeants Allemands défendre un amendement pour assurer un avenir aux moteurs thermiques fonctionnant avec des carburants synthétiques.
Le projet de loi doit rallier plus de pays
Cependant, l’Allemagne n’est pas le seul pays qu’il faut convaincre puisque l’Italie et la Pologne ont déjà montré des réticences mais ces derniers ne mettaient pas en péril la loi. En effet, pour que la commission européenne adopte une loi elle doit être validée par un minimum de 14 des 27 pays membres qui représentent 65% de la population de l’union. Actuellement avec le retrait de l’Allemagne, ce sont seulement 55% de la population qui est représentée en faveur par leur pays. Les négociations à Strasbourg vont donc être fortement suivies.