En 2024, Volkswagen renouvelait le Tiguan sans relancer de version Allspace 7 places de son SUV. Et ce n’était pas un oubli de la part de Volkswagen : le constructeur allemand a adopté une nouvelle stratégie en lançant un modèle 7 places inédit, qui s’intercale entre…
Les émissions de CO2 sont un polluant émis par les voitures thermiques, si le gouvernement français fait la chasse au moindre gramme avec son malus écologique et que les constructeurs tentent de réduire au maximum les émissions de leur véhicule, Google s’attaque au souci avec une contribution intéressante.
Les embouteillages sont un véritable fléau pour la qualité de l’air. Imaginez plusieurs dizaines ou centaines de véhicules arrêtés au même endroit avec le moteur tournant. L’air devient vite irrespirable. Google souhaite aider avec son intelligence artificielle.
Green Light
Avec son programme Green Light, Google tente de réguler les infrastructures notamment les feux de circulation pour fluidifier le trafic. L’intelligence artificielle a accès aux données de Google Maps et les soumet aux feux tricolores pour optimiser l’allumage.
Contrairement aux autres systèmes, celui de Google ne nécessite pas de modification de l’infrastructure existante. Un ingénieur local va simplement adapter le feu. Le système peut évoluer et ne devient pas rapidement obsolète.
Réduire la pollution
Une voiture consomme plus de carburant lors des démarrages, il faut lancer la masse du véhicule. Les émissions augmentent aussi à ce moment. Il faut donc arriver à fluidifier le plus que possible le trafic contrairement à ce que font de nombreuses villes en France qui sèment d’embûches la circulation.
Google annonce que son système est capable « de réduire les arrêts de 30 % et les émissions de gaz d’échappement de 10 % ». Actuellement 12 villes à travers le monde expérimentent ce système : Seattle, Rio de Janeiro, Manchester, Hambourg, Budapest, Haïfa, Abou Dhabi, Bangalore, Hyderabad, Kolkata, Denpasar et Jakarta.
L’intelligence artificielle arrive à bord des véhicules mais elle arrive aussi vite sur les infrastructures comme le montre Google.