En 2024, Volkswagen renouvelait le Tiguan sans relancer de version Allspace 7 places de son SUV. Et ce n’était pas un oubli de la part de Volkswagen : le constructeur allemand a adopté une nouvelle stratégie en lançant un modèle 7 places inédit, qui s’intercale entre…
La réforme des retraites vient de quitter l’assemblée nationale mais elle n’est pas adoptée. Pas tant que le Senat ne l’accepte pas dans les mêmes termes. Il reste donc un espoir pour les syndicats de faire plier le gouvernement qui a décidé de ne pas faire voter les députés. Une action importante est prévue pour le 7 mars prochain avec la volonté de mettre « la France à l’arrêt ». Pour cela, les syndicats annoncent une grève dans les raffineries qui début dès le 6 mars.
Une grève reconductible
S’il y a bien un secteur qui serait capable de faire plier le gouvernement sur le sujet de la réforme des retraites, il s’agit des raffineries. Sans elles, il est impossible de fournir le pays en énergie et face à ce mouvement social l’hypothèse de pénurie ressurgie. C’est donc un mouvement de grève fortement suivi qui devrait débuter dès les 6 mars au soir et qui pourrait être reconduit selon l’évolution de la situation.
Vers une nouvelle pénurie de carburant ?
Il est pour l’instant difficile de déterminer s’il y a réellement un risque de pénurie de carburants dans les stations-service françaises. Avec seulement une journée de mobilisation, les approvisionnements ne devraient pas être perturbés mais si la grève se poursuit des difficultés pourraient être rencontrées. Des difficultés bien souvent créées par les automobilistes qui vont aller faire leur plein par anticipation afin d’éviter la pénurie que leur comportement crée, une prophétie autoréalisatrice. En effet, la France est capable de tenir 90 jours grâce à ses réserves stratégiques de pétrole, il n’y a donc pour l’instant aucune raison rationnelle de s’inquiéter de se ruer à la pompe pour remplir son réservoir.