Stop ou encore ? Comme Vincent Perrot le week-end sur RTL, Toyota a dû se poser la question. L’interrogation ne concernait pas une programmation musicale mais l’avenir de l’Avensis. Menant une carrière très discrète dans un segment en pleine déconfiture, la familiale japonaise devait-elle être arrêtée ou remplacée ? Au final, la firme asiatique a choisi une option intermédiaire : le gros restylage.
Pas de retraite pour la troisième Avensis. Toyota lui offre un second restylage, bien plus visible que le premier.
Conscient qu’investir dans la mise au point d’une toute nouvelle génération ne serait pas rentable, Toyota prolonge donc la vie de la troisième génération, née en 2009 et revue une première fois en 2012. Il ne s’en cache pas : il conserve au catalogue ce modèle pour répondre aux besoins d’une clientèle professionnelle (loueurs et flottes d’entreprise).
L’Avensis a été revue en profondeur. La transformation commence à l’extérieur, avec de nouvelles parties avant et arrière. L’auto adopte les derniers codes esthétiques en vogue chez la firme japonaise, comme des optiques étirées dans le prolongement d’une fine calandre ou une énorme bouche intégrée au bouclier. Le visage se fait bien plus agressif… et se montre en totale contraction avec la poupe, sage. La malle, les optiques et le bouclier ont été redessinés. L’Avensis reçoit de nouvelles jantes alliage, en 17 ou 18 pouces.
La mise à jour est encore plus visible à l’intérieur, avec une toute nouvelle planche de bord, plus anguleuse. La large console centrale intègre un écran de 8 pouces. Le conducteur a face à lui une instrumentation à l’apparence plus sportive avec des compteurs logés dans des fûts. Toyota a redessiné les sièges pour les rendre plus confortables sur les longues distances : le haut du dossier et les coussins latéraux ont été revus pour améliorer le soutien des épaules et le maintien latéral. Autre point d’amélioration pour le confort : l’insonorisation. Toyota promet un niveau sonore en baisse et moins de vibrations, grâce notamment à des isolants et des joins plus épais.
La gamme pour le marché français n’a pas encore été dévoilée mais Toyota annonce un niveau d’équipement amélioré. La version d’accès sera dotée en série d’une climatisation (manuelle), d’un régulateur/limiteur de vitesse, d’un lecteur CD avec Bluetooth et USB ainsi que du système Toyota Safety Sens (alerte pré-collision, freinage automatique urgence, avertisseur franchissement ligne, reconnaissance panneaux signalisation). Le second niveau ajoutera, entre autres, le système multimédia Toyota Touch 2, la caméra de recul et la sellerie tissu/alcantara. Le haut de gamme bénéficiera d’un accès sans clé, d’une sellerie cuir et de la navigation.
La nouvelle Avensis sera disponible en France avec trois moteurs, dont deux diesel, inédits sous le capot de l’Avensis. On aura le choix entre un 1.6 D-4D de 112 ch et un 2.0 D-4D de 143 ch, associés à des boîtes manuelle 6 vitesses. Le plus petit annonce une consommation en cycle mixte de 4,1 l/100 km. Le seul essence au menu chez nous est un 1.8 de 147 ch.
Le retour de la Focus RS suscite beaucoup d’attente. Ford a contre sa volonté sans doute révélé la puissance de sa compacte quatre roues motrices et quelques autres éléments, mais cette fois-ci à travers une vidéo officielle à découvrir en fin d’article.
Les Audi RS 3 et Mercedes A 45 AMG menacées ?
La fuite est partie du site web de Ford Irlande. En effet, un internaute a eu le temps et le réflexe d’effectuer une capture d’écran montrant la Focus RS avec une description se terminant par « Quant à la puissance, un moteur 2,3 l EcoBoost spécialement développé délivre 350 ch« . Pour rappel, lors de la présentation de la sportive à l’Ovale bleue, il était seulement indiqué que la puissance du bloc serait de « plus de 320 ch ».
Avec autant de canassons sous le capot – que les informations officielles viendront probablement confirmer –, la marque américaine se place face aux Audi RS 3 (367 ch) et Mercedes A 45 AMG (360 ch). La confrontation lors d’un essai comparatif sera particulièrement intéressante !…
La nouvelle Ford Focus RS à l’attaque
En outre, la vidéo ci-dessous nous apprend que la Focus RS 2015 disposera de quatre modes de conduite. Jusque-là, il n’y rien de véritablement surprenant, si ce n’est qu’une fonction « drift » est disponible en plus de « normal », « sport » et « track ». De quoi imiter Ken Block ? La Subaru WRX STI vient de voir apparaître une rivale de choix !… Des suspensions réglables et un launch control (avec une boîte manuelle !) seront également de la partie.
Avec le concept-car DBX, la marque anglaise prend de la hauteur et surfe sur la vague des SUV coupé. Le but : bousculer les codes du segment luxe et convaincre une nouvelle clientèle.
Haut sur pattes
Le boss d’Aston, Andy Palmer, a demandé à son équipe de designers d’imaginer ce que serait la GT luxueuse par excellence dans quelques années et le résultat est plutôt surprenant. Déjà parce que le SUV semble s’imposer. Ensuite parce que pour une fois, on peut réellement parler de coupé surélevé. La ligne du concept reste en effet fluide et ne prend pas des proportions pachydermiques. On est loin du côté un peu pataud des Mercedes GLE Coupé et BMW X6 par exemple.
On reconnait immédiatement la griffe Aston Martin avec quelques éléments du design propres à la marque : l’imposante calandre, les ouïes sur les ailes avant ou encore les feux arrière sont visuellement très proches de ce qui existe déjà sur les modèles de la gamme actuelle. Le DBX se dote d’énormes jantes et de pneus à flancs plutôt hauts pour un concept, et plusieurs touches de chromes ainsi que des arches de toit en aluminium viennent contraster la peinture noire chromée.
L’intérieur mélange les genres : le choc entre luxe et technologie est en effet très marqué. On retrouve par exemple une sellerie en Nubuck très cosy mais un volant au design torturé et des commandes futuristes. Quatre adultes peuvent prendre place confortablement dans l’habitacle et entreposer leur bagages dans les coffres situés à l’arrière mais aussi à l’avant du concept.
Pas de moteur !
Ou plutôt, pas de moteur conventionnel. Vous l’aurez compris, le DBX est 100 % électrique. Les moteurs se trouvent dans les roues, ce qui fait du concept un quatre roues motrices permanent. Dommage pour les vocalises du V12 ou les borborygmes du V8, mais merci pour l’environnement. Puisqu’on en est au chapitre technologique, soulignons que le DBX est équipé d’optiques intégralement à LED et d’un système de récupération d’énergie KERS, similaire à ce qui est utilisé en Formule 1. Les rétroviseurs sont pour leur part remplacés par des caméras.
Aston Martin a précisé que le DBX était plus qu’un simple concept et que la marque allait bien s’implanter sur le segment des SUV dans les années à venir. D’ici là, vous pouvez admirer le concept à Genève jusqu’au 15 mars.
Ces derniers temps les nouveautés concernant des supercars ne cessent de tomber, salon de Genève oblige… Cela étant, il y en a une et une seule qui les surpasse toutes : la Koenigsegg Regera !
Elle ridiculise les Ferrari LaFerrari et Porsche 918 Spyder
Le constructeur suédois (dont nous avions visité les locaux !) est bien connu pour son ultra-puissante Agera, mais il a décidé de frapper encore plus fort. Avec la Regera, il atomise tout simplement la concurrence ! Nous parlons ici de 1 500 ch pour cette mégacar !
Pour y arriver, la marque utilise une motorisation hybride. En thermique, c’est un V8 5,0 l biturbo de 1 100 ch et 1 280 Nm de couple qui officie. En électrique, les moteurs sont au nombre de trois pour une puissance de 707 ch et 820 Nm… Grâce à une nouvelle transmission, la Regera se passe de boîte de vitesse puisqu’elle ne dispose que d’un seul et unique rapport !
En tout électrique, son autonomie annoncée est de 50 km
Par conséquent, au chapitre des performances la Suédoise survole de haut ses rivales. Ses 1 628 kg en ordre de marche ne requièrent que 2,7 s pour atteindre 100 km/h, 3,2 s pour passer de 150 à 250 km/h et surtout moins de 20 s pour franchir les… 400 km/h ! A tire de comparaison, une Ferrari LaFerrari demande 15 s pour un 0 – 300 km/h et la Porsche 918 Spyder 23 s.
Pas pour la piste !
Si la puissance est démesurée, Koenigsegg n’a pas souhaité rendre la Regera aussi radicale qu’une One:1 ou une Agera RS. Ainsi, l’intérieur est traité de façon luxueuse avec une insonorisation renforcée, des sièges électriques à mémoire, un système d’info-divertissement, une connexion wi-fi/3G, des caméras à l’intérieur et à l’extérieur du véhicule, du cuir à différents endroits, un toit amovible, …
La production sera limitée à 80 exemplaires pour un prix de vente pour le moment estimé à environ 1,75 million d’euros.
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