Depuis maintenant un peu plus d’un an (avant il s’agissait de tests), des policiers et gendarmes vous surveillent sur les routes de manière totalement invisible depuis leurs voitures équipées d’une technologie embarquée à la pointe. Il ne s’agit pas des nouveaux radars embarqués, ni du dispositif L2V utilisé par la Gendarmerie, mais du LAPI.
Le système LAPI. On peut apercevoir deux caméras dissimulées dans la rampe lumineuse offrant une vision à 360 degrés Des véhicules équipés du dispositif seraient en fonction notamment en Charente-Maritime (17)
LAPI, pour Lecture automatique de plaques minéralogiques, est un système en testé il y a plus d’an par la Police. A bord d’un Renault Scenic banalisé (ou sérigraphié, mais identique à une voiture de Police « classique ». Il y a aussi des Citroën C4), les forces de l’ordre parcourent les routes nuit et jour en se relayant. Dans l’habitacle, on peut apercevoir un imposant écran au niveau de la console centrale qui n’a rien d’un équipement d’origine. C’est sur cet appareil que les six caméras disposées dans la rampe de gyrophares (deux de chaque côté et une à l’avant et une à l’arrière) affichent instantanément les plaque minéralogique des véhicules croisés. 4 000 à 6 000 plaques peuvent être scannées par heure grâce aux capteurs de 10 millions de pixels et ce jusqu’à une distance de 30 mètres et 18,40 mètres de largeur. Le prix total de cet équipement s’élève à 40 000 €.
Avec cet attirail, les Policiers assurent retrouver plus facilement les voitures volées (une liste noire est chargée au préalable par la clef USB), tandis que le fabricant se targue d’un taux de reconnaissance des plaques très élevé. La détection des plaques est possible en mouvement comme à l’arrêt. Les occupants du véhicules suspect peuvent également être photographiés. Par ailleurs, la CNIL (commission nationale de l’informatique et des libertés) impose une durée de vie aux fichiers enregistrés : 8 jours pour une vidéo et 31 jours pour une photo de plaque d’immatriculation.
C’est fou comme on peut changer la personnalité d’une auto avec peu de choses. Ici, on modifie juste la calandre et le bouclier et la CT est transfigurée !
Sur le marché du premium, il faut savoir vivre dans l’ombre des constructeurs allemands. Pour réussir (ou survivre…), les autres labels doivent tenter la différence. Lexus a d’abord joué la carte de l’écologie, en misant sur la technologie hybride. Il est d’ailleurs le seul à proposer tous ses modèles avec un bloc alliant essence et électricité. Mais ce n’était pas suffisant. Il a alors révolutionné son style, considéré jusqu’il y a peu comme trop sage.
Les temps ont bien changé quand on voit le look bestial de la dernière génération de berline IS ! En un an et demi, le japonais a revu tout son porte-feuille de produits avec ses nouveaux codes esthétiques. Enfin presque. Un modèle avait été oublié : la compacte CT200h. Mais les choses s’apprêtent à rentrer dans l’ordre.
On est en présence d’une version F-Sport, que l’on reconnait aux bas de caisse spécifiques. La forme des optiques et du capot ne bouge pas.
Plus de caractère… à l’avant
La semaine dernière, un dirigeant de Lexus évoquait l’arrivée de cette version restylée pour la prochaine année. Et tout s’est accéléré en ce début de semaine puisque le même jour des scans d’une brochure ont été publiés sur le Net et un exemplaire a été aperçu outre-Atlantique, lors d’une séance photos/vidéos. L’occasion de découvrir en détail les changements qui seront apportés au design extérieur.
Très logiquement, la CT de 2014 adopte la nouvelle calandre maison, qui semble venir racler le bitume. Voilà un élément qui donne beaucoup plus de caractère à la proue de l’auto ! Le bouclier est modifié en conséquence. En revanche, la forme des optiques ne change pas. Leur fond est revu, avec une signature lumineuse en forme de virgule. Le badge présent sur les ailes avant indique que nous sommes en présence d’une version F-Sport. Le modèle « classique » devrait donc mettre un peu d’eau dans son vin.
Sans surprise, l’arrière change moins. Ce qui est fort dommage, car c’est à ce niveau que la CT est la plus critiquée. Mais les investissements auraient surement été trop coûteux. La forme molle des feux n’est donc pas modifiée. Pourquoi Lexus n’a pas tenté de sauver les meubles en retouchant la partie sur le hayon ? Le bouclier est nouveau, il montre un peu plus de relief. Mais la CT souffrira toujours de proportions hasardeuses, avec une curieuse répartition du vitrage latéral.
La CT a rapidement pris un coup de vieux à cause du dessin très mou de son arrière. Et malheureusement, cela ne changera pas.
Toujours 100 % hybride
Il ne devrait pas y avoir de révolution à bord. Et encore moins sous le capot. La CT avait tenté le pari audacieux sur le segment des compactes de n’être proposée qu’avec un bloc hybride de 136 ch. Ce qui n’a pas vraiment marché. Il faut dire qu’en Europe, le diesel reste une arme de séduction massive, même si les comportements commenceraient à changer. Le cru 2014 pourrait revoir légèrement ses caractéristiques mais Lexus ne devrait pas en profiter pour élargir la gamme. Dommage.
Reste à savoir quand cette auto fera ses débuts. On pensait qu’elle ne se montrerait pas avant 2014 mais elle semble prête ! On pourrait donc la découvrir dès novembre lors des salons de Tokyo et Los Angeles.
Au niveau de la poupe, service minimum avec un nouveau bouclier, plus sportif. Lexus aurait pu dynamiser l’ensemble avec de nouveaux feux.
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